Hoshi Akiyuki [ Terminé]

Prénom: Brandon
Age: Treize ans
Sexe: Masculin
Comment avez vous connu le forum?: Google
Combien d'heures vous vous connectez par jour?: Plutôt plusieurs heures.
Tes Mangas préférés: One piece dans la logique des choses puis Naruto, Kenshin, Code geass, Death note etc ...
Ton pirate préféré dans one piece : Sanji
Hobbys: Le sport dont la BF ( Boxe française)
Autre: Je n'ai rien de particulier à dire.

~~~~~~~~~~Présentation du Personnage~~~~~~~~~~

Nom & Prenom : Hoshi Akiyuki

Pseudonyme : Aki

Age : 23 ans

Race : Humain

Occupation : Pirate

Métier : Tireur D'élite

Rêve / But : Devenir un seigneur du nouveau monde.

Description Physique :

Pourquoi devons-nous qualifier une personne par son physique, pourquoi l’homme pose t-il ses jugements sur un physique … Je voudrais ne ressembler à rien et n’avoir aucune présence dans ce monde de haine sanglant. Mon visage est le résultat de ces barbaries, des obstacles, que j’ai dû traverser malgré le danger et voilà aujourd’hui le résultat de tout cela … Malheureusement mon œil droit a été percer et cela doit se voir par se cache œil, couleur noire. Il ne me reste que mon œil gauche, d’un vert céladon, un vert semblable aux forêts qui nous entoure. Ce visage, mon visage, que je ne contemple que très peu … Mon visage n’est qu’ordinaire et n’est pas spécifique, ma peau légèrement bronzée, fine et onctueux dans cette forme ovale qu’est mon faciès. Puis vient ce nez discret tellement qu’il se fusionne harmonieusement avec mon visage, mon nez forme un bec d’aigle, il est donc aquilin. En dessous de mon nez, se trouve dès alors mes lèvres aussi familièrement dites « bouche ». Mes lèvres sont filiformes et donc loin d’être épaisse. Les dents maintenant puisqu’on parlait de lèvres, mes dents sont aussi blanchâtres qu’un lavabo, aussi vierge qu’un être divin. La dentition est idyllique, parfait pour être plus précis. Enfin, ce qui me permet d’écouter, d’entendre, mes chères oreilles presque indétectables dont la cause sont ces longs cheveux que je possède. Oui, tellement fine comme mes lèvres que les remarquaient est difficile et demande de me fixer plusieurs minutes pour se rendre compte, que j’ai des oreilles. Puis, il faut être intelligent, je n’aurais pas d’oreilles, je ne serai pas en train d’échanger ces quelques paroles. D’éthérées mèches de cheveux viennent tomber sur mon faciès, la couleur de ces si sublimes, soyeux cheveux est mordoré. Oui, mes cheveux sont légèrement bronzée obligeant parfois les gens à citer une couleur de mes cheveux complètement erronés. Mes cheveux sont aussi fins que le sable. On atteint maintenant ce qui supporte ma tête c’est-à-dire le cou, mon cou est longuet et les voies jugulaires sont facilement percevables. On descend encore et cette fois-ci c’est le torse. Grâce à mon physique efflanqué, on arrive à voir mes clavicules puis mes pectoraux, mes abdominaux symétriques. Mes bras sont faiblement musclés, par contre ils sont secs. Enfin, les jambes ! Mes jambes sont très longues et musclées contrairement à mes bras, je marche beaucoup et m’aventure dans de nombreux endroits. Vient les pieds qui me sont filiformes et d’une assez grande taille, pointure 44. Maintenant passons aux vêtements, mes vêtements si sacrés, que je porte très souvent voir en permanence. Ces vêtements que vous croiserez régulièrement, si un jour nous avons la chance de nous voir. Je porte un manteau noir dont les bordures sont dorées et un tee-shirt en dessous très simple de couleur noirâtre. Puis enfin un pantalon sombre et des socques en cuir noir. J’aime porter des vêtements plutôt classe et me permettant d’avoir un charisme unique.

Ce caractère qu’il ne colle pourtant pas à mon passé indélébile, cette histoire qui traverse encore actuellement mes pensées. Cette histoire qui devrait faire de moi quelqu’un de haineux fait en réalité de moi quelqu’un d’euphorique en permanence. Je croque la vie à pleine dent et ne me soucie guère des dangers qui m’entourent. Malgré tout cela, je suis facilement manipulable et cela est un défaut. Je crois tout ce qu’on peut me dire même si je suis loin d’être sot, j’aime faire confiance aux gens. J’ai besoin de me reposer sur quelqu’un, n’étant guère capable de tout porter moi-même. J’ai un trop lourd passé et des secrets à porter qu’il me faut un entourage digne de ma confiance et si malheureusement, je me suis trompé sur la personne en qui j’avais confiance. L’optique suivante sera pour lui, une élimination lente et douloureuse. Cependant, envers mes amis, personnes de confiances, je suis d’une bonté et d’une gentillesse sans égal. Toujours le sourire aux lèvres et cette envie folle de découvrir toujours plus. Sans arrêt surexcité et a pousser des cries de joies me faisant remarquer. Rien ne m’abat, j’ai toujours la forme et me relève quoi qu’il m’arrive. J’aime taquiner les gens que j’aime bien et frappe souvent ceux qui sortent de grosse bêtise. J’adore frapper sur la tête des protagonistes que j’apprécie afin d’y voir une bosse, cependant certains s’énervent et à ce moment là. Je cours vraiment très vite pour m’échapper des protagonistes fous de rages. Mais reprenons notre sérieux. J’apprécie de voir des femmes ayant des formes féminines généreuses, je suis loin d’être timide et parfois les râteaux sont difficiles à encaisser … Mais derrière mon caractère d’homme heureux se couche un être qui souffre en permanence. Je veux tout simplement ne pas montrer ma tristesse profonde, mes faiblesses qui me hantent jusqu’à aujourd’hui. Cette histoire qui a provoqué en moi l’épouvante sempiternelle et qui a bouleversé ma vie et rendu mon passé indélébile, ineffaçable. Une histoire qui m’est restée en tête, que je ne peux oublier puisque c’est une histoire qui fait partie de ma vie. Ma mélancolie et mon passé me permet de comprendre les souffrances des autres. Les dépressions sont sûrement les causes des larmes qui vinrent noyer mes joues et parfois je tombe dans l’ivresse. Je bois beaucoup d’alcool afin de décompresser et devant les autres être de bonnes mines … Je ne reste pas moins un pirate et la pitié n'a aucune place lorsqu'on s'attaque à moi ou mes amis. Je tue de sang-froid et le sang ne m'effraie pas.

Je n’aime ni ce froid, ni ces flocons de neiges qui s’écroulent lentement comme des feuilles. Ces mares de rouge pourpres semblant du sang qui entourait ma ville natale qui n’est qu’autre que Miyamoto. Cette ville habillait en noël était pourtant sinistre, j’ai encore ces cries que poussaient les femmes et les bébés dans ma tête. Les tirs qui firent des échos jusqu’à mes oreilles et par peur faisant monter mes larmes à mes pupilles et ces dernières s’écroulaient par la suite sur mon visage. Sur mes larmes cristallines, se trouvait le reflet des flammes, des maisons qui brûlaient. Afin d’avoir une paix, il nous fallait nous taire et de se soumettre aux nouvelles lois que la Marine venait d’annoncer. J’avais une famille, un père, une mère, un frère aîné et ensuite le dernier qui ne pouvait être que moi. Pour survivre, on faisait tout ce que demandait la Marine, sans broncher, on approuvait n’importe qu’elle ordre. Tels des esclaves … Akiyuki fût mon nom car à ma naissance nous étions en automne mais pourtant il y avait de la neige. Mon nom signifie Automne de Neige. Mon frère lui avait pour nom Asayoshi signifiant bon matin, il était né lorsque Miyamoto était recouvert de faune et de flore juste avant que les Marines arrivent et détruisent cet Archipel. Cependant, Asayoshi avait hérité d’un caractère bien à lui, très têtu et n’aimait pas qu’on lui marche sur les pieds. Ce qui faisait de lui un révolutionnaire et ne respectait en rien la loi des Marines, mais pauvre de lui, mon défunt frère aujourd’hui, à l’époque avait un talent. L’œil d’un lynx, d’une précision sans égal. Dieu, aurais-je un don semblable à celui de Asayoshi un jour ? J’espérais, mais espérer ne devait pas être suffisant. Alors que mon frère aiguisait chaque jour cette précision, je restai encore avec un arc à la main à tenter de viser dans le mille. Il n’y avait pas une journée, où il n’y avait aucun coup de feu. Chaque jour, on entendait, des explosions, des cris qui rien que les entendre me glacé le sang. Ces cris, ces explosions énervaient Asayoshi qui ne pouvait supporter d’entendre la Nation s’écroulait sous ces tirs et ces armées ! J’entendais encore sa voix tremblante, me dire qu’il me promettra un avenir de paix. Ce devait être la fibre fraternelle mais cette rage de vaincre qui nous envahissait, grandissait, depuis toujours. Les marines, nous prenait nos nourritures, tuaient des enfants, femmes et hommes. Lorsqu’on sortait, l’Archipel était rempli de cadavre gisant au sol. Ils ne ramassaient même pas les cadavres, aucun respect. Jusqu’au jour de cette insurrection qui changera ma vie, cette insurrection qui aura détruit Miyamoto, mon humanité à celle de mon frère et moi-même. Nos parents pendus, abattus devant nous. De ce jour, Dieu n’exista plus à mes yeux. La vengeance et ma haine étaient ma seule raison de vivre. Vous avez détruit ce lien qui m’unissait à ma famille, mon châtiment sera Chaos et Destruction. Il ne me restait plus que ce frère talentueux qui ne faisait que me promettre une vie de paix. Nous formions, un groupe de révolutionnaire afin d’attaquer les marines. Asayoshi, armé de deux revolvers, tiraient sur tout ce qui bougeait et veuillez me croire, il ne ratait aucune mais aucune cible ! Marines après Marines s’écroulaient sous ses tirs précis, Asayoshi, mon frère, si tu m’entends encore. Laisse moi te dire que d’antan, tu étais un héros pour moi. Ce frère, ce grand frère, mon grand frère ne reculait devant rien. Rien ne l’impressionnait, même si parfois, il frôlait la mort. Pour mon cas, je ne faisais qu’établir des plans d’attaques et parfois participer à quelques assauts, je préférai utilisé mon temps libre pour être aussi fort que mon frère, aussi précis que ce dernier. Avec de l’entraînement, mes tirs devenaient plus précis mais on ne pouvait rien prédire, ces cibles n’étaient pas mouvantes et quand elle ne bouge pas, c’est facile de tirer dans le mille. En tout cas, je ne perdis pas de temps pour annoncer à mon frère que je venais de tirer près de dix fois dans le mille. Sauf que Asayoshi s’énerva brusquement, il ne voulait pas faire de moi un combattant, un assassin, il ne voulait pas que je porte sur mes épaules. La mort de millier de personne, pourtant, j’étais près à porter ce poids mais Asayoshi ne le voulait tout de même pas. Mais, comme mon frère. Lorsque j’avais une idée en tête, j’allais jusqu’au bout et je continuais à m’entraîner jusqu’à ce que tirer dans le mille soit un réflexe. Je le faisais en cachette afin que mon frère, ne le voie point. Mais, il n’était pas sot et savait que mes absences étaient troubles. Alors, il partait me chercher tout en sachant bien évidemment où j’étais quand il vit un de mes tirs soudains. Les yeux fermés, ma flèche venait de finir dans le mille. Je m’entraînais dans une plaine plutôt loin des champs de batailles, la seule et unique plaine encore sublime n’ayant pas une goûte de sang. Mon frère estomaquait par ce tir parfait, décidait de prendre en charge mon entraînement. Cette fois-ci, ce n’était plus avec un arc et des flèches en bois. C’était avec un vrai fusil, les fusils étaient plutôt lourd et viser avec beaucoup plus dur. A cause de ce poids, tous mes tirs furent un échec. Mon frère, me retira l’arme et me fît comprendre que c’était trop tôt pour moi. Évidemment, c’était clair, que le petit frère n’était pas aussi talentueux que le grand. Je voudrais tellement avoir le don qu’a obtenu mon frère. J’ai travaillé pourtant durement mais mes tirs au fusil furent tous un échec ! Un pitoyable échec ! Il était âgé de 18 ans et moi de 15. J’étais énervé et de cet énervement m’est venu une idée qu’était de prendre un fusil dans la maison. Oui, les cachettes de mon frère étaient très mauvaises. Je m’emparai du fusil et parti sur les champs de batailles en tentant de tirer sur les Marines. Aucun de mes tirs, ne touchaient. J’allais mourir … Le coup de feu qui venait résonner jusqu’à moi, je fermais les yeux et me préparer à la violence du choc. Mais mon frère s’interposa entre la balle et moi, et il se la prit dans le bras. Je le prenais sur une de mes épaules et je courais afin de partir le plus loin possible à l’abri des tirs.

Mon frère blessait au bras par ma faute. Tout ceci, c’était passé si vite que je n’avais que mes yeux pour pleurer. Il souffrait devant moi, aucun médecin dans les parages. Que devais-je faire ? Je devais retirer cette balle avant l’infection, trouver des pinces ne seraient pas de tout repos. Je l’emmenais dans notre maison et l’allonger sur le lit. Cherchant avec la force du désespoir une pince afin d’attraper la balle et la retirer. Aucune pince, malheureusement. L’entendre hurlait et se pliait de douleur me bouleversé, je savais que je ne pouvais rien faire et que j’étais incompétent. Le seul moyen de le sauver d’une mort certaine était de l’amputé du bras qui avait la balle. Je ne pouvais pas en prendre la décision seule, je lui demandais s’il voulait garder son bras et être ronger par l’agonie jusqu’à la fin de ses jours. Il me fît un non de la tête, je vais devoir couper le propre bras de mon frère. Je lui mis un bâton dans la bouche et prenait la hache de bûcheron de mon père. Posant délicatement son bras sur une table basse afin de couper la où il fallait. Je levais la hache et la fît s’abattre violemment sur le bras de mon frère. Du sang giclait jusqu’à moi, m’éclaboussant le visage. Mon frère n’avait plus son bras, il ne sera plus aussi bon qu’il ne l’était autrefois. Par ma faute, je viens de détruire à néant, un talent par mon ignorance d’enfant immature. Je me haïs, me déteste, je ne veux même plus affronter le regard de mon frère. Honte à moi. Plus aucunes nouvelles de Asayoshi depuis cet accident créé par ma faute malheureusement. Il ne se nourrit plus et ne parle plus et ne veut même plus toucher aux armes, je voulais que mon frère retrouve le sourire mais ce n’est pas le cas. Je décidais de partir dès alors de la maison afin qu’il n’est plus besoin de me supporter et de se forcer à être gentil alors qu’au fond, il me déteste. Je prenais tout de même un fusil avant de partir. Je m’entraînai à tirer dans le mille malgré le poids de ce dernier, jour après jour. J’évoluai, mes tirs devenaient précis. Il était temps pour moi d’aller venger mon frère et de tuer celui qui a tiré la balle. En route pour le champ de bataille, je pouvais entendre les fusillades, je pouvais voir le nombre de civil mort au sol. Mais le pire dans tout ça, je pouvais voir aussi, la barbarie de l’homme ! Les habitants, les monuments historiques étaient réduit à néant, il n’en restait que des bloques de ciments qui recouvraient des hommes. Miyamoto était un véritable endroit funeste, c’est le résultat, la faute de la Marine. Ils avaient voulu conquérir une belle Archipel mais baliverne ! Ils n’ont fait que détruire ce que l’être humain à bâtit durant des siècles. Soudain ! Je suis pris dans une embuscade, très bien préparé. Mais cette haine et ce désespoir qui me consumait, faisaient de moi un homme fou de rage qui demandait la vengeance. Mon premier tir, la balle finissait dans la tête d’un Marine et cela devenait permanent. Chacun de mes tirs étaient précis, j’avais enfin, la précision tant voulue. Il se trouvait qu’à plusieurs moments, le Diable venait frôlait mon âme à croire que j’effleurais la mort…. Le ciel devenait de plus en plus gris, je combattais toujours au front. Sans relâche, mes camarades et moi ont se défendaient. Oui, car sur le front nous n’étions pas les seuls à défendre Miyamoto. Il y avait d’autres civils ! Déjà, plusieurs semaines. Que je suis au front face à l’armée des marines, et je ne fais que voir mes frères d’armes tombaient ! Impossible pour moi de m’attacher à quelqu’un puisse qu’ils disparaissent, comme lorsque la mer emporte un château de sable. Aucune nouvelles de mon frère, il doit à mon humble avis continuer sa vie sans regret. J’avance toujours plus, et je viens de me rendre compte que le poids d’un millier de mort sur ses épaules était douloureux et dur à porter. Etais-ce une preuve que l’homme qui sommeille en moi devient mature, je ne savais guère mais je savais que mon frère avait raison. Les nouvelles vont vites, plus d’un millier d’homme de la marine ont étés repoussés est-ce que les nouvelles iront jusqu’à mon frère ? Malheureusement, cette guerre ne s’arrêtera jamais, c’est un véritable cycle sanglant. Continuer de mène à rien et je ne veux pas terminer ma vie dans une Archipel de Destruction. Il était trop tard pour moi pour la marche arrière. Je voulais cette fois-ci une bonne fois pour toute, disparaître ! Je partais dès alors attaquer de front la Marine, je tirais et il tirait aussi. Mes frères tombaient un par un, derrière moi, pendant que moi, je continuais, j’avançai. Puis, malheureusement. Un tir avait cassé une vitre et des bouts de verres me fonçaient droit dessus. Mon œil droit fût crevé et maintenant … J’étais encerclé ! C’est mon heure, la mort vient frapper à ma porte. Je ne pleure pas, je fais face. Je veux mourir mais comme un guerrier, debout devant ces milliers d’hommes. Je veux qu’un message passe, je voudrais dire à mon frère. Pardon, pardon d’avoir détruit ta vie mais maintenant. Je vais disparaître ce sera le coût de t’avoir couper un bras, même si je sais que ma vie ne suffira pas à ramener ton bras. Le commandant de La Marine, disait des paroles cabalistiques. Le seul mot qui est encore en moi est ce « Tirez ! » Mais heureusement, mon frère arrivait à temps pour me sauver, une nouvelle fois. Il tira sur tout le monde avant même qu’il puisse me tirer dessus. Il m’attrapa la main et courait vers un port, un vieil homme m’y attendait. Asayoshi me prit et me jeta brusquement dans la barque du vieux. Je partais vers une nouvelle vie et je regardais une dernière fois derrière moi. Mon frère en train de continuait de tirer mais qui cédait sous le grand nombre qu’était la Marine. Il s’écroula, son cri fît un écho et faisait trembler la mer. Tout le monde pouvait l’entendre, ce cri d’un guerrier, d’un résistant ! Ce cri qu’était celui d’un frère éternel ! Je pleurais, pas de tristesse mais de joie, j’étais fier du sang qui coulait dans mes veines. En voyant, mon frère se battre avec bravoure. Je nommais ces quelques larmes, les larmes de la bataille ….

Plusieurs années s’étaient écroulées, ma vie ne s’était pas arrêtée, je continue à vivre à travers ma passion qui n’est qu’autre qu’être un excellent tireur. Je devais trouver ma voie, honorer mon sang. Je me devais d’avoir une vie digne de ce nom afin de ne pas regretter ce départ forcé. Aujourd’hui, j’ai 23 ans. Fushi Town est ma nouvelle habitation. J’ai étais élevé jusqu’à cet âge par la famille du vieux, il avait une femme, un petit garçon et une fille de mon âge. D’ailleurs, cette complicité qui m’unissait à cette fille était unique à travers nos regards, on arrivait à se comprendre. Elle s’appelait Akemi, signifiant « Belle Aube », sublime prénom et d’une beauté unique. Elle avait de longs cheveux roux, une taille fine, poitrine opulente et cuisse formidable. Tout ce qu’un homme pouvait rêver. Cependant, elle ne m’appartenait pas, même si ces regards désireux venaient apparaître plutôt souvent. Elle et moi nous occupions du bar que le vieux tenait déjà depuis plusieurs années. J’étais serveur et Akemi restait au comptoir afin de servir ce qui voulait de simple boisson sur le bar. Malheureusement, cette beauté, qu’elle était, excité plutôt beaucoup d’homme dans ce bar. Alors qu’un homme tenter de la toucher, une sensation soudaine venait m’envahir. Cette sensation, cela faisait longtemps, que je ne l’avais guère ressenti. Cette sensation de meurtre qui venait me rongeait de l’intérieur, commencé à me donner envie de tuer cet homme. Je dégainais mon revolver et tirait juste à côté de sa tête, prévenant poliment d’arrêter. Cependant, il n’avait pas l’air de me comprendre et continuer. J’avançai vers lui, attrapant sa tête en la frappant contre le comptoir redoublant du même coup précédent. Sa tête était en sang, je lui attrapais les cheveux et le soulever et m’était mon revolver dans l’intérieur de sa bouche, prêt à appuyer sur la gâchette. Je ne pouvais pas me retenir et malheureusement mon index pressa la gâchette et un violent bruit venait de faire parution. L’homme retombait au sol, ivre mort. Je rangeais mon revolver, et repartait servir l’air de rien les clients. L’avantage à Fushia Town est que tuer des personnes comme celle-ci n’apporte aucun gros problème. Mais Akemi avait l’air de m’en vouloir, elle n’aimait pas la violence. Pathétique, comme toutes les femmes … La journée finissait comme à son habitude, il était temps de rentrer chez le vieux. Malheureusement, des gardes nous attendaient. On entrait en toute politesse, le vieux avait les menottes au main, il allait être embarqué. Akemi se précipitait voir son père mais un garde lui en empêchait en la bousculant. Qu’est-ce qu’il se passait ? Pourquoi, toujours eux ! Les gardes voulaient arrêter celui qui avait tué, un de leurs hommes dans le bar. Cet homme était donc un Marine ? Et je l’avais tué … Alors, que j’allais pour me dénoncer, ce fût Akemi qui dit l’avoir tué. Elle me regardait en me faisant signe de ne rien dire, cependant. Cela ne marcha guère pour libérer le vieux, ils l’amenèrent aussi. Ils étaient tous les deux condamnés à rester à travers des barreaux jusqu’à ce qu’ils soient jugés non coupable. Le lendemain à ma plus grande surprise, je vis une foule sur la place. Qui s’agitait et qui avait l’air content de ce qui se passait sur ce plateau de bois en hauteur. C’était le vieux et Akemi ! Ils avaient étés prononcés coupables, ils étaient donc maintenant des condamnés à mort. Je me précipitais pour sortir mes revolvers mais Akemi me fît un non de la tête. Alors, je m’approchai du plateau de bois. Mes larmes noyaient mes joues. J’aurais voulu lui dire mes sentiments mais cela n’aura jamais été possible. Ils avaient assassinés, ma famille, mon frère, la femme que j’aimais et celui en qui je dois la vie. J’avais renoncé de croire en Dieu, malheureusement. Je ne peux qu’y croire, car si Dieu n’existerait pas, Le Diable lui non plus. Je deviendrais un Pirate et exterminerait toute la Marine … Je serai un Seigneur des Pirates afin de régner sur les mers, afin que la Marine ne mette plus jamais ses pieds pour semer le Chaos ! Le bourreau s’apprêtait à tirer le levier afin que le plateau de bois s’écroulent et qu’ils disparaissent étranglés par des ficelles … Je ne quittais plus des yeux Akemi, je sentais la peur, montait en elle. Les larmes montaient aussi, mais elle n’eût le temps de verser ses larmes, elle était maintenant déjà morte, pendu avec son père … Je n’hurlais pas de désespoir et je repartais dans leur habitation. Je faisais mes affaires, j’étais déterminé. Je deviendrai un Seigneur des Pirates, exterminerait la Marine. En repartant, des pirates venaient me bousculer afin de me provoquer. Je disais ne plus avoir de temps pour rigoler, mon rêve était de devenir un Seigneur des Pirates, sauf qu’ils se foutaient de moi. C’est alors qu’un colosse, un homme dont l’ampleur était immense, venait frapper toute la bande de Pirate. Ils défendaient les rêves, c’était un Pirate. Mon instinct qu’il me le disait, je découvrirai les Mers avec cet homme. Car Hoshi est mon nom, Pirate est ma destinée ! Dans ce monde corrompu par une Justice mal propre, ennemi de ce qui représente cette Justice, je ne peux que devenir Pirate …

Post Rp :(C'est un rp, que j'avais fait sur un autre forum. Que dois-je faire pour le prouver ?

J’eus peine le temps de percevoir ce regard triste. Il était partie larmes aux yeux, souffrance au cœur et expression de dégoût au visage. Oui, malheureusement l’être humain est sauvage. La où il apparaît, le chaos vient naître dans un endroit fait de paix qui devient un endroit rongeait d’horreur sombre et folie multicolores. Il me suffisait de voir ce ciel d’antan azur devenu sinistre et obscur pour tout bonnement deviner que la paix venait d’être dominée par le chaos. Que la loi du plus fort dominant les faibles refaisaient surfaces. Que la haine alimentait chacun de nous et que le bonheur se faisait de plus en plus rares en nos jours. En ce soir de lumière, Konoha était habillé en noël et les enfants s’amusaient à glisser sur le sol congelé par le froid. Ces enfants avaient l’avantage d’être ignorant et inconscient ne voyant pas la vérité en face, ils pouvaient vivre sans être effrayés par le futur. Du moins, pour l’instant ils se devaient de vivre inconsciemment sinon ce ne serait plus une vie pour ces enfants euphorique. Je voudrais espérer tant espérer que la tristesse serait éphémère mais peut-être qu’elle restera sempiternelle et que pâtir serait la normalité de la vie. Je comprends les larmes de Mithos qui l’ont fait mourir de chagrin, il avait bien raison quand il disait que le monde shinobi était infâme. Mon frère est-il du même avis ? Cela fait maintenant pas mal de mois que mon frère et moi nous sommes retrouvés. Pourtant je ne connais que peu de chose sur mon frère et lui de même. De toutes manières ont se recherchent pas, peut-être est-ce à cause de ces dix années de séparation ? Que maintenant retrouver une vie banale n’est plus aussi facile … Nous avons grandi dans deux mondes différents, très jeune Jinaru devait déjà avoir eu du sang entre les mains alors que moi ce fût bien tard que mes mains étaient souillées de sang. Puis la maturité n’était pas la même, j’étais bien plus jeune que lui. Mais au moins maintenant nous avons un point en commun, nous sommes des ninjas. En très peu de temps, j’ai su rattraper mon retard sur Jinaru. Me voilà devenu Jounin expert même si je dois cette réussite à Mithos … Voilà pas mal de temps que j’ai quitté Tessé’allah et mes anciens amis. Ici ce n’est plus du tout la même chose mais grâce aux entraînements et aux éducations. Je suis devenu plutôt puissant. Grâce à Mithos, l’une de mes capacités les plus extraordinaires est le Youton. L’art d’utiliser la lave don héréditaire que Mithos m’a permit d’obtenir. Cependant, qu’est-ce qu’était devenu Youkoulélé et le reste de la tribu vont-ils bien. J’espère qu’ils ne m’ont guère oubliés et qu’ils se souviendront de moi, si un jour, je reviens. Actuellement, j’étais dans mon habitation devant une photo de famille que Jinaru avait accepté de me donner. Dessus figure, Maman, Papa, Jinaru et moi dans les bras de Jinaru sur la photo tout le monde souriait. Ces regards étaient épanouis, tous ces souvenirs me rendaient nostalgiques. Puis soudainement une envie venait traverser ma pensée, je voulais sortir et voir ce beau clair de lune. Mais aussi voir les boules de neiges qui tombaient délicatement comme des feuilles sur Konoha et qui transformait la terre ferme en une terre enneiger. J’avançai à travers cette neige laissant derrière moi l’empreinte de mes pieds et supporter les zéphyrs venant secouer mes cheveux dans le vent. J’expirai mon air inspiré laissant une légère fumée s’échappait d’entres mes lèvres. Je continuais d’avancer jusqu’à voir un nouveau paysage, c’était la forêt de Konoha … Je pénétrais dans les forêts cabalistiques de Konoha légèrement illuminait par la pleine lune. Entrée dans la forêt, continuant ma marche. J’atteignais le lac dont la lune reflétait dessus, l’eau du lac était limpide, voir dans les abysses de ce lac était bel et bien possible tellement que cet eau était limpide. Les lucioles venaient décorés ce paysage royal.

Je m’allongeais devant le lac fixant la lune et me remémorer ces quinze dernières années indélébiles dites-vous bien. La sérénité de cette foret était agréable seul les bruits poussaient par les animaux s’entendaient mais ces mélodies faites par les animaux étaient agréables à écouter et ne pouvait me déranger. C’est difficile pour moi de m’habituer à ce rythme de vie soutenu, ce qui me fait continuer malgré les obstacles est ce frère, unique famille de sang qui me reste. La famille est précieuse et pour rien au monde, je me séparerai de ce dernier qu’importent les embûches et le danger. Petit un drame m’est arrivé et je ne veux plus que cela m’arrive. Je ne veux plus y goûter, je ne veux plus que les autres y goûtent. Je ne veux plus voir de gens vivre ce que j’ai vécu, être orphelin est douloureux. Personne à qui confier ses mésaventures et ses réussites. Ce genre de vie est dur à vivre. Puis toi Mithos, je suis sûr que toi aussi tu n’aimes pas voir les gens souffrir. C’est ce qui nous unit et c’est ce qui me permet d’utiliser à bien ton pouvoir et d’être en parfaite harmonie avec toi. Disparaître en ce soir de pleine lune m’est impossible, je veux continuer à être aux côtés de ces gens. Oui ce monde est cruel mais pâtir fait partie de la vie et on fait des rencontres parfois magnifiques. Je crois que mes yeux vont se fermer bientôt, la fatigue parcourt mon corps. Sans m’en rendre compte, je dormais déjà. Mon corps ne sentait plus ce froid d’hivers et se sentait réchauffer mais soudainement dans mon rêve. Je revoyais images par images un drame indélébile qui rien qu’en reparler me donnait des frissons … Si Jinaru ne m’avait pas prit, je serai mort dans les flammes. En revoyant les images, je semblais me voir dans mon lit entourait par les flammes et ensuite mon frère qui traversait les flammes afin de me sauver la vie. Mon frère a-t-il des rêves ? Tout le monde possèdent-ils un rêve qu’il veut exaucer qu’importe le prix ? Moi, j’en possède un. Mon rêve est d’anéantir le mal et recréer un monde de paix. Mithos me disait à l’intérieur de mon âme … Zelos anéantir le mal ne prendra pas une vie mais bien plus qu’une seule vie … Le mal est un cycle et même la pire des personnes possèdent une famille, si tu la tue alors on voudra le venger et cela ne s’arrêta guère. Tuer n’est peut-être pas la solution pour avoir un monde de paix, changer la vision des choses avec ses propres idéaux est une possibilité. Mais ce n’est pas à ton vulgaire niveau Zelos que tu réussiras à te faire écouter … Devenir fort est un des piliers de la réussite. Prends exemples sur ton frère, avance mais petit à petit avec prudence et ne te précipite pas. Mithos devait sûrement avoir raison quand il disait que tuer n’était pas une solution, après tout je ne suis pas Dieu pour ôter la vie des gens…Des souvenirs vagues de Tessé’allah me revenait puis le soleil était debout. Je me réveillais et une présence semblable à celle de mon frère venait perturber ce silence …