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 Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C]

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Walter A. Gellyfish
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Walter A. Gellyfish


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MessageSujet: Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C]   Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C] EmptyVen 5 Fév 2010 - 17:22

~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~


Aujourd'hui, je me suis réveillé en cours à 11h00 (ne me demandez pas comment j'ai fais pour m'y réveiller) et depuis je suis hanté...
Je suis donc obligé de faire ce personnage!
Et coup de bol, Jesper est mort il y a peu...
Bref, hahaha! Nate n'aura jamais mon record!

~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~


Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C] 1hq9hz4lgy

Nom & Prenom :
Walter Abraham Gellyfish

Pseudonyme :
Wendy (donné par les copains de bataillons) // Direct hit (donné par des copains plus anciens et peu recommandables)

Age :
28 ans

Race :
Homme! Un vrai homme!

Occupation :

Marine!

Rang Spécial :
Barman!

Physique :

Comment décrire brièvement Walter? Eh bien, il n'est pas discret. Pas qu'il soit vraiment massif, mais il en impose. On n'ira pas jusqu'à le qualifier de gigantesque, mais il est grand. Pour la taille, il serait sans doute rachitique s'il n'avait pas de muscle, mais son corps bien taillé impressionne, montrant à quiconque lui jette un regard qu'avec lui, il faudra pas se plaindre de se prendre une rouste si on sème le bordel. Si l'on se fiait uniquement à sa carrure, on penserait sans doute à un homme relativement violent en le voyant... on ne se tromperait pas complètement en ce cas, son passé témoigne d'un nombre de fois... intéressant de moments où il a du faire parler ses poings plutôt que sa langue. Pourtant, de par ses nouvelles ambitions et sa garde-robe plus sympathique, il parait désormais un autre homme. Moins effrayant, il est toujours aussi apte à lyncher quelqu'un, pourtant il inspire désormais un quelconque sentiment de confiance ou de neutralité à ceux qui le voient habituellement.
Commençons donc à décrire brièvement le faciès du gaillard: une tignasse blonde emmêlée recouvre son crâne, quelques mèches, enfin non, disons de nombreuses mèches plutôt obscurcissent son front, le cachant aux yeux de ses interlocuteurs la plupart du temps. En-dessous de cette jungle capillaire, deux yeux sombres, caché la plupart du temps par une belle parie de lunettes de soleil. Celles-ci ont bien entendues plusieurs vertus: elles protègent le regard d'un abus de rayons, elles cachent ses hésitations lorsqu'il a à menacer et surtout, elles lui donnent un air cool. Très cool, même! Ensuite? Pour faire court, un nez un peu long qui n'est source ni de honte ni de fierté, des oreilles partiellement cachées par sa chevelure éblouissante et une bouche... Ah, là on peut s'attarder un peu plus. Non pas sur la forme de la bouche, mais d'avantage sur sa position. Il faut dire que Walter a beaucoup fumé lorsqu'il était jeune, mais avec l'arrivée de sa vocation, il s'est décidé à changer de moeurs... Du coup, hasta la vista cigarettes, et bonjour vie sans tabac! Du moins, c'était le but et de ce côté-ci, il est parvenu à force de volonté à se passer de cette petite drogue... Mais du coup, il a du utiliser un moyen bête pour y parvenir: remplacer! Oui, car ce n'était pas la fumée qui lui manquait mais de tenir quelque chose en bouche. Après maints essais, il a fini par prendre l'habitude avec des cures-dents. Oui, il en avait toujours à portée de main, du coup, il a commencé à développer le réflexe d'en mettre dans sa gueule béante à la place de la clope. Cela gêne moins les camarades mais de son côté, cela lui arrive de se piquer la langue ou de l'avaler car moins épais qu'une cigarette... De par ce fait, on peut dire que c'est un échange équivalent pour lui par contre.
Pour la tenue? Elégant, classe, voilà ce que l'on peut dire de ses habits, non? Une belle chemise blanche immaculée, un gilet noir qui fais très pro et un noeud papillon assorti? Si cela n'est pas une vrai tenue de gagnant dans la vie, il veut bien manger un cocktail molotov sous vos yeux ébahis! Enfin bref, il porte dans environ 99% des cas ces habits-ci, histoire d'être à son avantage. Pour le reste, parfois, je dis bien parfois, on l'oblige à supporter un uniforme marine... Et lorsqu'il est dans l'obligation de se trimballer cet horrible accoutrement, il a tendance à être de très très mauvaises humeurs. En résumé, niveau vestimentaire, il a ses petites habitudes, comme tout le monde en sorte.
Bon, et pour finir sur l'apparence uniquement, on peut parler un peu du langage de Walter... Comment dire? Il jure. Oui, il jure beaucoup même. Il connait pas mal d'insultes et aimes bien en faire profiter les autres lorsqu'il est énervé. En fait, il aime bien en faire profiter les autres dès qu'il perd son calme qui n'est nullement légendaire. Ah, on distingue une belle veine gonflée sur son front lorsqu'il commence à atteindre des pics de colère. En fait, il aime beaucoup s'énerver et pas toujours pour des motifs très utiles. Du coup, lorsqu'il est vraiment enragé, il prend parfois une attitude très surprenante. Dans ces cas-ci, il est tellement calme qu'il parait inquiétant. Enfin, c'est un détail très rare. Pour le reste, il aime bien mettre des grandes tapes dans le dos à ses amis et se faire appeler "Aniki" par les jeunes soldats. Du coup, il a presque toujours au moins trois ou quatre sbires qui le nomment ainsi. C'est une habitude qu'il avait lorsqu'il était voyou et qu'il a gardé une fois repenti. A noter un détail sans rapport aussi pour le final, il retrousse ses manches lorsqu'il a à se battre, chose qui permet de rapidement savoir si on va se prendre un gnon dans les quinze secondes ou si on a le temps de décamper avant qu'il ne s'énerve vraiment.



Caractère & morale :


Alors, on va commencer par établir un fait simple: Walter a bon fond. Oui, cela peut paraitre étonnant pour un type qui a tendance à exploser des gens avec une force prodigieuse, mais il n'est pas franchement méchant. Il est juste un peu colère... Voir très aisé à énerver. En fait, cette tendance va en s'améliorant depuis qu'il a eu sa vocation pour le métier de barman. Son nouveau job, nous y reviendrons plus tard, c'est assez particulier. Parlons simplement du côté aisé à s'emporter du bougre. En bref, Walter est un type passionné. Voilà, on va le dire comme ça. Un peu trop têtu parfois, il a tendance à en venir aux mains en cas de désaccords, mais c'est pas méchant! Non, après il a tendance à sympathiser avec le type qui pisse le sang avec lui s'il a tenu suffisamment de temps pour le défouler. Sinon il garde un mauvais souvenir du pleutre et le balances ailleurs pour ne plus le voir. C'est une sorte de manifestation de l'esprit combatif on va dire...
Il a un fort esprit de camaraderie. Il a tendance à être très solidaire avec ceux en qui il a confiance ou ceux qui ont confiance en lui. Bref, il a tout du type qui frappe à tout va mais pour lequel il y a deux nuances: ceux qui frappent parce qu'ils les aiment bien, ses potes, et ceux qu'ils punch pour qu'ils finissent dans les vapes, soit ces ennemis. La majeure partie de ses amitiés se taillent dans la baston, alors voilà quoi... Un coup de poing définit parfois mieux un homme que milles discours, quoique Walter ait un certain respect pour de rares intellectuels qui peuvent le marquer. Il n'est pas très malin lui-même, il fais d'avantage confiance à son instinct qu'à une réflexion poussée, mais ceux qui sont à la fois des types qui n'ont pas froid aux yeux et des malins, en général, il leur voue un grand soutien: après tout, ils sont si rares...
En combat, Walter est... un crétin, en général. Il laisse sa furie l'entrainer en général, agis sous l'émotion et ne planifie pas de réelles stratégies, bref, un véritable taureau enragé. Oui, c'est sans doute la meilleure de traduire ce bon gars, il fonce sans se poser de question quant au danger. C'est pas le genre de gars qu'un mur de flamme arrêterait dans sa course, oh que non... Et c'est à la fois une bonne et une mauvaise chose, tout dépend du type en face. Après, il reste intelligent dans sa vision du combat, en le sens qu'il va pas démolir des innocents ou autre... Enfin, un civil qui foutrait le bordel dans sa zone de baston, il aurait tendance à le balancer au loin histoire d'avoir le champs libre, mais c'est une chose normale, non? Pour un bagarreur...
Et pour ce fichu métier qui l'obsède? Eh bien, c'est plutôt simple et ardu à décrire pour lui... En fait, pour faire simple, c'est une représentation du type que tout le monde écoute. C'est un peu une figure paternelle, enfin, comment dire... Un type qui reste sérieusement derrière son comptoir à tout entendre en se taisant les trois quarts du temps... Un mec qui connait tous ceux qui sont passés dans son bar et qui se soucie en silence de ceux qui ne viennent plus. C'est aussi celui qui te consolera un bougre qui chiale avec le bon alcool. C'est un maitre, que dis-je, un dieu au statut irremplaçable dans une société civilisée. Voilà, c'est à peu près ça. Pour Walter, c'est un honneur que de se prétendre à ce titre et c'est sans doute le statut le plus respectable auquel il puisse penser. C'est une manière de se dédier aux autres et d'être celui qui a le droit de juger des choses. C'est à la fois se montrer philosophe et ainé, oui, ainé dans les pensées et non dans les âges. Le barman, c'est le type qui t'apprend la vie et que tu écouteras après t'être pris une bonne droite parce que tu t'es comporté, je m'emporte, comme un con.
Par contre, dans ce domaine, Walter apprend. Je veux parler bien sûr de l'alcool. Jusqu'à sa découverte tardive d'une vocation, il n'y connaissait pas grand chose à la piquette qu'il ingurgitait mais depuis il travaille plutôt dur pour apprendre comment faire ses cocktails. Mais pas à la manière d'un écolier, en général, il s'essaie à ses propres mélanges et se forgent des avis sur les boissons. Mais avec de la volonté, on arrive à tout, il en est persuadé. Rien ne l'empêchera d'être le meilleur en son domaine. Et pour ce qui est de jongler avec verres, bouteilles et autres, il est déjà passé maitre. Du coup, si ces boissons ne sont pas toujours irréprochables, le service fais en général très classe.


Fruit du Démon :
Aucun! Je n'ai pas besoin d'ça!

Techniques Spéciales :
Walter possède cette étonnante faculté masculine que l'on appellera ici l'extrême volonté... Celle-ci consiste simplement à être stupidement têtu, au point de ne jamais réaliser la défaite et de toujours se relever comme un homme... Un vrai! Ainsi, il tenta toujours de revenir dans la baston, même pissant le sang de partout, avec deux bras pétés et des côtes fêlées... Dans cet exemple-ci, d'ailleurs, il tentera de vous placer un beau coup de boule qui met hors-d'état de nuire bien que ses chances de réussite soient assez faibles... Mais qui ne tente rien n'a rien, et c'est justement de cette volonté finale que peut découler le résultat d'une bagarre.
Sinon, Walter se bat à l'aide de deux accessoires, quand ce ne sont pas ces poings, ces pieds et sa tête qui morflent... Il est spécialisé dans une arme qui lui est propre et une propre au barman... Ainsi, on peut le définir comme un semi-pro d'escrime avec tesson de bouteille... Il est si habile qu'il peut défaire n'importe quel ivrogne au summum de sa force ou même des forbans en utilisant rien de plus qu'une bouteille brisée. Son arme secrète, par contre, il s'agit de glaçons... Oui, vous avez bien entendus! Walter possède dans ses manches de systèmes bricolés on-ne-sait comment à l'aide des ses notions approximatives du froid et qui permettent de conserver en permanence des cubes d'eau gelée dont il se sert comme projectile. Les tessons aussi servent parfois de projectiles, mais ce sont en général ces glaçons qui, comme des balles, vont s'éclater sur des opposants avec plus ou moins de force, pouvant parfois mettre k-o tant la force du lancer est impressionnante...

Histoire :
==> Next post!<==

Rêve / But :
-Devenir le meilleur barman de l'univers! (La classe!)
-Voir de son vivant un pays enneigé! (Simple curiosité...)

Post RP : -On abrège-


Dernière édition par Walter A. Gellyfish le Dim 28 Fév 2010 - 0:56, édité 26 fois
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MessageSujet: Re: Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C]   Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C] EmptyVen 5 Fév 2010 - 17:23

Histoire:
Commençons par le commencement: Walter est né d'une famille moyenne d'une île tout aussi insignifiante de Grand Line. Rien de bien particulier durant ses toutes premières années, hors une tendance à taper sur les autres gosses avec sa pelle en plastique lorsque ceux-ci s'approchaient, ou à jeter parfois du sable dans leurs yeux. Bref, hormis une certaine tendance à se montrer turbulent, il n'était qu'un enfant. Ses parents étaient peu charismatiques, enfin, on est méchant ici. Il faut dire simplement qu'ils étaient tout aussi commun que le reste de la vie du gosse. Un père très fier de son fils, comme pas mal d'entre eux, et une mère qui le choyait sans trop en faire. Bref, jusqu'à ses sept ans, il le vécu plutôt bien, le fait d'être né. C'est là que ça se corse plus ou moins... Une mauvaise fréquentation, c'est cela qui entraina une désertion du domaine familial. Un autre mioche nommé Billy qui lui expliquait à quel point l'île d'à côté était "cool" et qu'il était facile de l'atteindre. Un vol... Euh non, un emprunt de barque plus tard et voilà qu'hors de portée du rivage, une tempête emporte les deux jeunes enfants de par le fond. Walter ne revit jamais Billy mais lui, atterrit sur une île plutôt proche mais de laquelle il ne pu retourner sur la sienne propre. En effet, sous le coup du choc, il avait oublié le nom de son lieu de naissance et l'information exacte ne reviendrait jamais à sa mémoire. Bref, il apparu qu'un bambin solitaire sur une plage devait être placé en orphelinat après une telle escapade. C'était à la fois parce qu'on ne pouvait le laisser à la rue et également parce qu'il aurait pu réitérer l'expérience avec une famille d'accueil. Les habitants de sa nouvelle île refusant de croire qu'il avait fui par bêtise plutôt que par un côté rebelle... Peut être était-ce quelque chose dans son regard qui donnait aux gens l'impression qu'il était alors ingérable.
Bon, et là il est entré dans la cour des grands. Oui, c'était ça. L'institution foireuse dans laquelle on l'avait placé n'avait rien à voir avec les terrains de jeux, là, les grosses brutes frappaient forts et noyaient dans les cuvettes. Les premiers jours, il s'en est pris des gnons et ne ripostait pas trop... Et finalement, une fois, il vit l'un de ceux lui ayant fait un oeil au beurre-noir la veille lui tourner le dos. Il vit une pierre à sa gauche et le déclic se produisit: et le bougre ne s'en remit qu'une heure plus tard. Du coup, les crétins du coins se mirent à le respecter et lui à sympathiser avec eux. Il finit même par se faire apprécier par tout le monde après un changement majeur de comportement: pourquoi voler aux gosses qui n'avaient que quelques sucettes quant on pouvait s'attaquer au... personnel de l'orphelinat! Du coup, la bande de racketteur qui précédait son arrivée fut changée en... une équipe d'arnaqueurs en culottes-courtes et autres malandrins organisés. Il imposa son style dans de nombreux larcins de bonne nourriture ou autre, dans des blagues de mauvais goût qui était causée par des envies de revanches contre telle ou telle chose commise par les adultes et ainsi de suite. De par ce fait, les gosses qui effrayaient tout le monde finirent par imposer le respect et tout le monde voulait à présent vouer fidélité à la bande à Walter. Il y eu de tout dans cette jeunesse, coup de coeur, pleurs et drames. De chouettes moments avec du sang, du coeur et des larmes. Comment mieux le résumer? Et finalement, à l'âge de seize ans, on relâcha tout ce beau monde de l'autorité et du toit sous lequel il vivait. Un temps, Walter pensa que cela durerait toujours. Il comptait d'abord continuer avec la même équipe en passant leurs petites magouilles à un niveau plus élevé, mais certains avaient des projets et, du coup, il préféra demander à tout le monde de partir de son côté plutôt que de recomposer un groupe sans la totalité de ses membres.
C'est là qu'il se mit à la fois à fumer et à vagabonder. En effet, il s'était plus amusé que concentré sur le futur et, du coup, n'arrivait pas à trouver de véritables métiers. Dans un premier temps, il se contenta de pratiquer quelques fois l'activité de garde-du-corps, mais c'était si irrégulier et cela se payait au lance-pierre pour lui qui était un intermittent du milieu. Cela lui servait juste bouffer, boire et se payer ses clopes. Il n'avait plus de quoi s'offrir un toit, il dormait sur des bancs ou sous des ponts et foutaient la trouille de leur vie aux clochards qui tentaient parfois de l'intimider ou de le déloger. Et parfois il se battait, c'est ce qui finit par déclencher une opportunité de carrière dans sa vie. Un type assez pédant qui crachait sur un vieux et était entouré de deux gorilles. Il eut le malheur de se rire d'un "paysan" qui dormait à l'air pur. Du coup, Walter le pris mal, lui mit une droite, lyncha les deux gardes du corps et là, les événements s'enchainèrent. Le vieux en avait profité pour s'enfuir sans demander son reste, mais bon, il était totalement négligeable dans cette affaire. Après, par contre, le frimeur gominé qu'il avait amoché au début de l'histoire, lui, était important. Une sorte de jeune loup dans une société pas très légal d'échanges de... services ou monnaies, dirons-nous. Il avait beaucoup aimé le punch du jeune, enfin, ils étaient tout deux à peu près du même âge. Mais du coup, après l'avoir vu bestialement démonter ses deux protecteurs, il s'était dit qu'il fallait non pas se venger mais engager une perle de ce type. Un homme rare aux biceps efficaces et qui ne semblait pas agir en retenue. C'est ainsi que Walter finit homme de main d'un certain Lynch. Et que ses activités lui permirent enfin d'avoir un train de vie relativement sympathique.
Lynch était un bon employer, il payait grassement, parlait bien et tout et tout. Du coup, Walter ne se mit jamais réellement en tête de changer de supérieur. Même malgré quelques propositions intéressantes au niveau du salaire, deux choses finirent par l'attacher à ce nouveau job: son boss était justement quelqu'un qui voyait loin et se comportait bien avec ses sous-fifres. Etre réduit à ce rôle, ce n'était pas si dégradant à condition que celui sous qui l'on travaillait faisait bien sa part du contrat. Pour le reste, il s'était aussi attaché à ses collègues. Enfin, il leur était un peu supérieur, il gérait en quelques sortes plusieurs petites frappes, mais chacun d'eux, il les connaissait et il s'en était fais des camarades de fortune et d'infortune. Walter appris beaucoup de choses sur le fonctionnement de la société en général au cours de cette période de sa vie, bien qu'il ne réalisa pas à l'époque à quel point il lui serait un jour utile de savoir comment marchait la corruption et les services entre hommes... disons le tout de suite, pas franchement honnêtes. Pourtant, un jour, il eu à changer de carrière. Pour quelle raison? Eh bien, dans un premier temps, Lynch s'était pris une balle en pleine tête au cours d'un diner peu recommandable avec des gens tout aussi peu sympathiques. Il visait un peu trop loin à l'époque. Sans cela, il serait probable que notre jeune homme soit resté toute sa vie un homme de main. Après, il y eut un facteur déclencheur. Il n'avait toujours pas de raison directe de se tirer de se milieu, son nouveau patron qui avait succédé à son ancien recruteur gominé était un peu du même genre. Il parlait bien, il savait y faire et connaissait assez de la vie pour pas se faire rouler. Mais il y avait une chose qui lui ferait perdre Walter, à cet homme sensé être un cerveau: il était bien moins intéressé de la vie de ses hommes que Lynch. Cela fit qu'il commis une grosse erreur en envoyant notre criminel menacer et faire payer l'un de ses anciens potes d'orphelinat. Après des scènes plus ou moins tragiques que l'on passera à la vue des lecteurs de cette biographie sommaire, Walter permis à son ami de se tirer de l'île d'une manière sûr et revint défoncer la gueule à son "ex-boss" qui avait perdu sa loyauté. Il s'enfuit de l'antre de se dernier en sautant du troisième étage du manoir dont il était question, à moitié déchiqueté par la vitre qu'il avait traversé et également plombé de quelques jolies cartouches qu'il ôterait plus tard de sa chair. Il parvint tout de même à courir avec une force impressionnante jusqu'à un navire, à l'aide duquel il parvint, contrairement à cette dernière expérience maritime, à rejoindre un autre lopin de terre.
En sûreté approximative ici, il se mit à nouveau à vivre en vagabond. Il n'avait aucune envie de retourner dans le milieu qu'il avait quitté et pas d'autre poste en vue. Une nuit, alors qu'il était un peu ivre, il se battit en pleine rue et se fit coffre par une vingtaine de marines acharnés qui réussirent à le conduire tant bien que mal dans une cellule. Là, désoeuvré et en train de décuver, il fit la connaissance de Joe, un marine justement, là pour des raisons similaires. La conversation finit par s'engager et à l'aube, il y a avait deux nouvelles choses à dire sur Walter: premièrement, il avait une sacré gueule de bois. Deuxièmement, la carrière dans les forces du gouvernement n'était pas une mauvaise idée. Du coup, il alla s'enrôler et rejoignit le bastion de la ville où il subit une formation aussi intéressante qu'ennuyeuse. Pas grand chose de précis, il se fit pas mal de copains de passage, insulta quelques gradés, fit quelques jours de cachots et hérita de quelques surnoms.
C'est au cours d'une attaque pirate menée de mains de maitres sur sa ville qu'il découvrit un modèle dans la vie. Alors que ses camarades se faisaient écharper les uns après les autres, la plupart y survécurent avec des balafres hideuses, d'ailleurs, il vit une silhouette massive devant lui. Du genre presque surréaliste. Après s'être ardemment demandé s'il rêvait, de voir un tel dieu de la guerre dans une ville en feu pour des combats pitoyables entre types armés, il vit cet individu repousser à lui seul plus de trente forbans avant de s'écrouler en pissant le sang. A noter qu'il avait fait fuir la majeure partie des attaquants dans cette bagarre héroïque. Bref, une fois la baston terminée et les incendies éteins, Walter eut tout le temps d'apprendre de qui il s'agissait. Un barman de la vieille ville nommé Francesco. Massif et avec un catogan répugnant, Francesco s'avérait être un homme d'exception au rêve brisé par cet unique combat. Oui, il avait perdu l'usage d'un de ses bras durant son épique moment de gloire. Mais chaque jour, à l'hôpital où l'on faisait tout pour soigner son deuxième presque-moignon, un type venait avec des fleurs. Le jeune Wendy, comme le surnommait ses comparses de régiments désormais tous plutôt laids. Il s'efforçait d'ailleurs de ne pas s'énerver avec ce surnom, après tout, il était le seul de la base ou presque à ne pas avoir de séquelles au visage et, de par ce fait, il devait ne pas trop se la ramener dans l'immédiat face à ses amis. Bref, chaque jour il venait et conversait avec Francesco, si bien qu'au jour de sa sortie, il fut pleinement investi de sa vocation. Oui, car trois choses avaient créé en Walter ce désir de devenir barman: la scène de son "mentor" dans les flammes se montrant d'une grande et virile bestialité, les discussions avec lui qui lui avaient fait comprendre à quel point ce métier était classe, et finalement, le fait que cet homme ne pouvait plus prétendre à être le meilleur. De par ce fait, Walter pouvait reprendre officiellement le flambeau. Et voici que partait sur les mers un homme bien décidé à devenir le meilleur de tous les temps pour remplir des verres. Voici venu le temps de Walter A. Gellyfish!

[Si possible, niveau grade, je pensais à lieutenant-colonel^^]
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MessageSujet: Re: Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C]   Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C] EmptyDim 28 Fév 2010 - 22:30

Présentation finie, en me soumettant humblement à vos avis, etc... etc...
[Je pense que le message que je fais pour là peut être effacé, hein, c'est pas comme s'il était utile autrement que pour faire penser aux gens à passer sur cette prés']
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MessageSujet: Re: Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C]   Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C] EmptyDim 28 Fév 2010 - 23:35

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MessageSujet: Re: Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C]   Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C] EmptyLun 1 Mar 2010 - 18:03

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MessageSujet: Re: Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C]   Et qu'est-ce que je vous sers? [U.C de mon Q.C] Empty

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