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 ~ Kigen D. Kyouki ~ { |End!| }

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3 participants
AuteurMessage
Kigen D. Kyouki
Personnalité
Personnalité
Kigen D. Kyouki


Profil Psy : -
Nombre de messages : 204

[Feuille de personnage]
• Renommée: 0
• Wanted: 0
• Grade dans la Marine: /

~ Kigen D. Kyouki ~  { |End!| } Empty
MessageSujet: ~ Kigen D. Kyouki ~ { |End!| }   ~ Kigen D. Kyouki ~  { |End!| } EmptySam 14 Aoû 2010 - 22:22

- Présentation du joueur IRL -

Cf Minami Kin


- Présentation du personnage -


    ~ Kigen D. Kyouki ~  { |End!| } Avakyo12
    • Nom & Prenom : Kigen D. Kyouki

    • Surnom (facultatif): Miss Plague/ Lolita

    • Age : 16 ans

    • Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humaine

    • Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Civil

    • Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Selon ses envies Smile

    • Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Je réfléchis

    • Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté):
    Hiso Hiso No Mie : (Paramécia du langage animal) Celui qui a mangé ce Fruit peut communiquer avec les animaux. (Lvl 3)

    • Rêve(s)/But(s) du personnage : Vivre jusqu'à la mort & Redorer le blason familial




◘ Description Physique :
~ Kigen D. Kyouki ~  { |End!| } 0210
__________________________________________________________________________________________________________________


    ~ Kigen D. Kyouki ~  { |End!| } Goodky10

  • Bien... Décrivons Kyouki... Cette jeune fille de seize automnes possède de délicats et longs cheveux lisses d’un beau vert bleuté tendant vers les couleurs foncées comme le noir. On pourrait croire qu’ils sont grisâtres, tout en restant dans l’assombri, mais pourtant, ils sont bien d’un vert bleuté obscurci. Notons aussi que quelques mèches, en dégradé lui cache son oeil droit lorsqu'elle n'a pas son petit voile. Son œil droit était masqué par un léger voile obscure, retenu par un "chapeau", tout comme ses cheveux, attachés en queue de cheveux ou en couettes, toutefois, par un ruban ou des rubans, cette fois-ci. Et bien sûr, les coloris seyaient toujours avec sa capillarité. D’ailleurs, c’est un peu la même chose pour ses yeux... En fait, c’est la même chose, sauf qu’ils donnent une impression de changer de couleur. C’est-à-dire qu’on n’a jamais vraiment su s’ils étaient bleus ou vert foncé. Alors, on lui a attribué la couleur de vert bleuté. D’ailleurs ses pupilles détiennent une certaine étrangeté due à leur forme. Ses iris ressemblent à celles des chats, une sorte d’amande, très fine, magnifique bien dessiné qui se sied à merveille avec ses pupilles. Un regard félin, penserez-vous ? Pourtant non, vu que ses amandes sont assez arrondies. Ce ne sont que des superstitions de son entourage... Parce qu’on croyait que la jeune fille aimait les chats. Mais pas n’importe lesquels, les chats noirs ou foncés...
  • Effectivement, elle avait un goût prononcé pour l’obscur. D’ailleurs, c’est pour cela que ses tenues devaient comporter au moins une touche de noir. Sinon, elle ne se sentait pas bien. Trop de clarté nuisait à la santé selon elle. Outre ses cheveux et ses pupilles, son minois était délicatement tracé. C’était un bonheur de voir les soigneuses courbes de ses joues qui descendaient en pic courbé vers son menton. Un petit visage triangulaire, tout aussi mignon que son petit nez saillant. Il était légèrement creusé vers la fin, pourtant cela ne gâchait rien de son adorable frimousse. Viens ensuite sa bouche. Très fine, on n’avait jamais vu ses dents, car elle ne souriait jamais vraiment en fait. Elle se résumait presque à un simple trait fin assombri... En vérité, elle avait de petites lèvres pulpeuses, mais à cause de la pâleur de sa peau, on n’avait jamais vraiment su si elles existaient vraiment. J’oubliais, je n’avais pas parlé de sa peau... Aussi claire que la lune, tellement qu’on aurait pu croire que c’était un fantôme. Mais non, la demoiselle était fragile et très peu pigmentée, alors bien sûr, sa peau en avait fait les frais et la couleur avait été d’une douce blancheur. Mlle. Kigen D. se maquillait rarement, ou quand elle le faisait, c’était simplement pour mettre une touche de crayon ébène au dessus de ses cils et du fard à paupières, souvent un orange bruni qui lui allait avec grâce. Toutefois, même sans ce maquillage, elle restait toujours une jolie petite fille, d’autant plus avec son arcade sourcilière si sensible et fluette et ses petites oreilles qui paraissaient inexistantes lorsqu’on ne la détaillait pas de près. Elle était aussi de faible corpulence, assez mince qu’on crût qu’elle se serait envolée dès le soulèvement du vent. Et pourtant, elle restait bien en place, juchée sur les talons réduits de ses petits escarpins.

  • Passons maintenant à sa tenue vestimentaire. C’est ce qui devait être le plus spécial chez elle. Son style tanguait entre petite fille modèle de la Renaissance et un genre de style lolita de nos jours. Elle ne mettait que des robes. Elle n’aimait pas les pantalons. Des robes à rayures ou unis qui avaient toujours cette touche de noir. Ses robes enserraient son buste jusqu’à sa taille. Où, en fait, elle portait une sorte de cage métallique souple qui donnait cet aspect «pouf» à ses robes. Par-dessous cette cage, elle portait bien une sorte de pantalons. Mais c’était un bas. En plus du corset sanglé sur le haut de son corps. Elle avait un pantalon, souvent blanc, très serré en haut et en bas. Au milieu, c’était plus souple et si quelqu’un l’avait vue s’habiller, on aurait pu prendre cette chose pour une sorte de parachute... Tellement que la soie était si finement tissée et que le vêtement volait au moindre coup de vent. De plus, il finissait en dentelle en bas, comme si elle avait une fleur percée autour de ses tibias. Mais ce n’était pas le plus intéressant... Par-dessus cette «cage», elle possédait un jupon, toujours blanc, collée à la cage métallique en guise de bas, une fois de plus. Et j’oubliais encore, elle mettait des collants sous sa gaine ou le "pantacourt" qui servait de bas. Ce n’était pas si facile de marcher avec un attirail pareil, mais elle y arrivait, sûrement puisqu’elle avait été habituée depuis l’enfance. Décrivons maintenant ses robes. Comme je l’avais dit plus haut, elles étaient unies ou rayées. Parlons donc de celle qu’elle préférait. Rayée, entre le rose et noir, ses robes avaient de longues manches serrées contre ses bras. Finissant au niveau de ses poignets pour dévoiler ses douces mains blanches aux ongles vernis de noir. Parfois des mains gantées, pour préserver cette douceur. Toujours unis avec sa tenue. Celle-ci avait un beau décolleté, pas très prononcé, mais un léger décolleté croisé entre le U et le V. Autour de celui-ci et jusqu’à sa taille, on voyait de la dentelle de mêmes teintes que sa toilette. La robe finissait en cascade de volants, s’arrêtant un peu avant ses genoux, jusqu’au sol. A vrai dire, elle traînait par terre et pourtant, elle ne se salissait jamais. La jeune fille lui mettait une protection spéciale pour garder sa somptuosité et prenait une grande attention au sujet des endroits où elle posait les pieds. Elle tenait à garder sa tenue en bonne et due forme. Même si son buste était serré comme une sangsue serait collée à sa proie... On pourrait aussi se dire que sa poitrine s’en verrait blessée ? En fait, non, le corsage et l’habit se moulaient à l’aspect de la jeune fille et on pouvait voir une légère boule en haut de son buste. La jeune fille n’avait pas vraiment beaucoup de gorge et elle n’en avait jamais souhaité. Ce qui pouvait lui donner un aspect juvénile, malgré ses seize ans et cela avait posé bien des problèmes avec certaines personnes.

  • Venait ensuite les accessoires de sa robe. Elle avait un collier noir autour de son cou. Elle ne le quittait jamais... A vrai dire, c’était tout ce qui lui restait de sa mère avec la bague autour de son index. Le diamant était un rubis éclatant. Elle ne connaissait pas vraiment sa valeur au niveau de l’or, mais pour elle, c’était deux choses inestimables à ses yeux.... Elle n’était jamais allée quérir pour savoir sa valeur... Le seul élément qui l’intéressait était que cela avait appartenu à sa feue mère et qu’elle y tenait précieusement. Il ne nous restait que son chapeau et ses chaussures maintenant. Et l’ombrelle, toujours accompagnée d’une ombrelle... Elle ne pouvait s’en passer. Elle adorait ce genre d’accessoires. Toujours utile qu’il fasse beau, froid, chaud, tiède. En tous les temps, elle restait classe et pratique. D’autant qu’elle était constamment accordée avec sa robe et son chapeau. Chapeau qu’on aurait pu désigner comme coiffe. Entre le béret et le foulard autour de ses cheveux, on ne savait pas vraiment ce que c’était. On savait juste qu’il descendant en ruban noué jusqu’à sa taille. Mais elle n’avait pas que cette coiffe. Elle mettait aussi un type de chapeau haut de forme, en taille réduite avec un ruban et accompagnée de jolies fleurs. Le plus souvent des roses, mais elles pouvaient changer. Et c’était de vraies roses, alors, elle pouvait embaumer la pièce ou l’endroit où elle se trouvait. Le tout soutenu grâce à une sorte de ruban attaché sous le menton. Et de temps en temps, accompagné d’un galon autour de son cou. On lui donnait un aspect soumis, mais son regard était dissuasif. Surtout qu’elle avait un certain caractère...




◘ Caractère & morale :
~ Kigen D. Kyouki ~  { |End!| } 0310
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    ~ Kigen D. Kyouki ~  { |End!| } Badkyo10

  • Donnons, quatre mots pour décrire Kyouki... Hm... Je dirais hypocrite, orgueilleuse, capricieuse et folie. Une sale petite peste, pourrait-on penser ? Le fait de mentir sur ses sentiments, de se surestimer, de faire une crise à chaque fois qu’on lui refuse quelque chose qu’elle souhaite. Et au sujet de sa folie ? Et bien, disons que son esprit est légèrement dérangé... Que des défauts, mais nous devrons bien lui trouver quelques qualités dans ce lot de pêchés.

  • Commençons par ses caprices, en effet, la jeune fille, descendant d’une famille anciennement riche, a toujours eu tout ce qu’elle voulait et était gâtée au plus haut point. Alors bien sûr, à force de vivre dans ce luxe, l’enfant s’était habituée à tout avoir sur commande. Elle faisait donc des caprices des plus insupportables lorsqu’on lui refusait quelque chose et grâce à son air d’ange, les gens cédaient à force de voir cette enfant faire des pieds et des mains pour obtenir ce qu’elle désirait le plus. Elle aurait pu être pitoyable, mais vu qu’on la prenait souvent pour une jeune enfant, personne ne l’avait encore traitée ainsi. Elle aimait aussi manipuler les gens afin d’obtenir l’objet de sa convoitise. Rien ne devait lui être refusé. Elle se considérait comme une petite princesse. Mais, surtout, qui voudrait fendre le cœur de cette mignonnette au visage angélique ? Personne, à moins d’être le pire des démons. Elle se gaussait d’entraîner les gens dans ses caprices et de voir toutes les portes lui être ouverte. Ce n’était pas vraiment un bon fond, pourtant, elle savait se modérer. Elle ne voulait pas abuser de n’importe qui... C’est-à-dire qu’elle avait toujours une certaine amertume à imposer ses enfantillages à de gentilles personnes ou encore à des personnes dans le besoin. Disons qu’elle avait un certain côté d’innocence. Elle n’était pas la pire des monstres, non plus. Elle respectait tout de même les autres, du moins, quand ils le méritaient, même si, cette maigre gentillesse ne justifiait pas vraiment le fait qu’elle soit aussi peste...
  • Néanmoins, elle n’avait pas toujours été comme ça. Il y avait un temps où c’était une gentille petite fille sage et serviable auquel se tenir compagnie était d’un plaisir incommensurable. Toutefois, ce temps antérieur est tellement loin qu’elle avait du mal à s’en rappeler. De plus, à chaque fois qu’elle s’en souvenait, elle éprouvait de la nostalgie face à cette époque sans soucis où elle courait gaiement dans les champs. Où on était là pour elle. Où elle était toujours proche des personnes qu’elle aimait le plus au monde, car, il fallait le dire, mais elle tenait à sa famille, en particulier, son grand frère, Price. Il lui était très cher à ses yeux, parce qu’il s’était avec soin et attention avec elle, donc ses moments de bonheur avaient forgés un respect et un amour inébranlable pour Kyouki envers son frère. En vérité, ce n’était le seul frère qu’elle avait, mais disons qu’il lui tenait un peu moins à cœur que Price tout comme leur père. C’était un peu comme si elle se fichait éperdument d’eux. Ce n’était de même pour sa mère à laquelle, elle tenait beaucoup. Tant que Price était encore en vie, il restait encore du bonheur et de la joie dans son cœur. Mais la joie n’était pas sa principale qualité, c’était plutôt sa dévolution envers son frère qui la poussait à lui faire totalement confiance. Et uniquement en lui... Elle n’avait confiance en personne d’autre, à part... Elle-même ?

  • Viens ensuite son orgueil, la fillette se targuait de sa malice et son intelligence. Pas au point d’en être rongé par les délires à force de se surestimer, mais elle se montrait hautaine de par son attitude. Selon elle, elle n’était pas aussi basse que le reste du peuple. Elle se distinguait du reste et devait être traitée d’une autre façon. Elle n’hésitait pas vraiment à s’approprier ce qui ne lui appartenait pas et n’était pas des plus agréables auprès des autres personnes. Trop de fierté envers elle-même. Elle n’avait pas toujours été très appréciée des autres pour ne pas dire « haïe » ou encore mise à l’écart. Sa personnalité si fantaisiste et si étrange. Elle glaçait d’effroi certains. Elle en fascinait d’autres. Elle-même ne pouvait pas toujours ses envies sorties du ciel et qui lui tombait sur la tête, la poussant à se comporter de façon si démoniaque. Elle avait pourtant été innocente et sage. Elle avait toujours écouté sa mère. Mais le seul hic, c’est qu’elle ne se sentait pas bien, près de tout ce monde. Elle les méprisait sans vraiment les connaître. Elle les jalousait. On pouvait même croire qu’elle était atteinte, mais elle s’en fichait. La vérité était qu’elle vivait dans un autre monde. Sa tête était ailleurs. Elle était lunatique et rêvait d’un monde meilleur. Pas meilleur dans le sens : Tout est rose, tout le monde est ensemble et tout va bien. Un monde où elle déciderait. Elle avait une irrépressible envie de pouvoir seulement, sa constitution était bien trop fragile pour qu’elle puisse essayer de mettre ce monde à genoux. A vrai dire, elle aurait même tué si elle en avait le pouvoir. Dans ce monde, à ses yeux, il y avait bien trop d’hommes qui ne méritaient pas la vie. D’où venait cette méprise envers le genre humain ? Elle en avait tout simplement eu marre qu’on la fuit, ne comprenant pas que son orgueil lui faisait défaut. Car selon elle, elle avait toutes les qualités qui pouvaient se recéler sur un humain sur Terre. En fait, elle était pitoyable, mais enfermée dans son monde incompréhensible, elle ne pouvait pas tellement le comprendre, puisque sa personnalité était ainsi faite.

  • Caprices, orgueil, hypocrisie... Hypocrite, car elle cachait ses sentiments. La jeune fille mentait sur elle-même. Elle ne se dévoilait pas aux autres. Cela l’inquiétait. Elle ne voulait pas qu’on abuse d’elle. Ça virerait presque à la paranoïa, mais c’était seulement une simple mesure de prudence. Le monde ne lui inspirait pas confiance. Avec tout ce qu’elle avait entendu. Elle se méfiait de tout le monde. Elle jouait les petites filles angéliques. Un ange, elle n’aurait rien pu faire. On la trouvait tellement mignonne qu’on ne se doutait pas un moment qu’elle jouait simplement le jeu et que tout ce qu’elle entreprenait devait toujours avoir un intérêt derrière. En vérité, elle se fichait bien du malheur des autres, tant qu’elle obtenait ce qu’elle souhaitait, autrui n’avait que peu d’importance. C’était une vilaine petite fille. Surtout qu’elle adorait embêter les personnes alentour. La haine était quelque chose qui lui plaisait. Trop d’amour en devenait ennuyant selon elle... La tristesse, la déprime, les mauvais sentiments, c’était une très belle chose pour elle. Elle était presque prise pour une psychopathe, d’ailleurs, d’où venait sa folie.

  • Son style vestimentaire, ses goûts. Sa façon de penser. On la prenait pour une folle. Elle ne l’était pas vraiment au fond. Certes, elle aimait des choses bien précises qui sortaient du lot, mais elle n’était pas folle pour autant. Vraisemblablement, elle était tout à fait consciente et n’était pas si stupide qu’on pouvait le croire. C’était juste sa façon de penser qui était bien spéciale et propre à elle comme elle réfléchissait négativement. Sa vision de ce qui l’entourait était entachée par sa méfiance. Sa défiance lui venait de sa fragile constitution. Elle savait qu’il était facile d’abuser d’elle à voir une si petite fille, alors elle ne pouvait pas se résoudre autrement que d’être distante envers les autres. Que pourrait-on dire d’autre de Kyouki ? Hmm... On pourrait dire que c’est une addict’ aux bonbons et aux gâteaux. Elle ne peut tout simplement pas se passer d’une pâtisserie après son repas. C’est forcé. Quelque soit le gâteau... Du moment qu’il est fait avec qualité, elle le mangera... Simplement droguée aux sucreries. N’oublions pas aussi qu’elle possède quelques qualités comme sa dévolution envers son frère. Mais aussi, son envie d’achever jusqu’au bout tous les travaux qu’elle commence... Pourquoi ? Simplement de la manie. Voilà tout.



◘ Histoire :
~ Kigen D. Kyouki ~  { |End!| } 0110
Musique, Maestro.