Quelque part sur East Blue, un chirurgien vagabonde

Notre héros, après les incidents de Logue Town, fut connut dans tout East Blue. Sa prime parvint, elle, à un nombre de personnes moins important. Cependant, d'après les rumeurs, ce jeune révolutionnaire étant très prometteur, ne tarderait pas à bouger. Et ils n'eurent pas tort ! En effet, Hanran mangea un fruit du démon sans trop le savoir après cet évènement ! Que ce passera t-il ? Le gouvernement va t-il découvrir une nouvelle menace ? Ça, nul ne le sait.

Épisode 1 : L'arrivée de deux héros, L'île connu sous le nom de " Kakyonuki"
East Blue, Île portuaire...

Bon, briefing pour tout le monde ! Suite des évènements : J'ai été contacté après le grabuge fait à Logue Town pour une mission bien spécifique. Une île sous contrôle gouvernemental ( Dictat ), dispose d'une centaines de rebelles. Mes supérieurs, veulent que j'organise une attaque contre le QG de cet archipel, pour reprendre le contrôle de l'île. Je la redonnerais aux habitants bien entendu.

L'organisation révolutionnaire m'avait prêtée un bateau de type caravelle pour me rendre sur l'île en question. Un autre révolutionnaire m'accompagnait( PNJ ). Cet homme était un bretteur, tout comme moi. Celui-ci avait les cheveux oranger, surplomber la plupart du temps par ses lunettes de soleil. Habillé en noir pour l'occasion, sabre en mains, une aura émanait de lui. Nous chantions à tout va sur le bateau, bourrés, sereins, impatients.

Nous sommes les persécutés
De tous les temps de toutes les races
Toujours nous fumes exploités
Par les tyrans et les rapaces
Mais nous ne voulons plus fléchir
Sous le joug qui courba nos pères
Car nous voulons nous affranchir
De ceux qui causent nos misères

Hey ! Attttine, adeeent, AttEnds ! Yé, Y'a l'île ! ...Blurp, Rotais-je.
Spoiler:
Mon compagnon, à moitié sobre, avait garder son sérieux. Il m'expliquait que, pour le bien ma réputation, ainsi que pour le bon fonctionnement de l'opération, je me devais d'être présentable. Il me jeta alors le contenu d'un saut d'eau glacé en plein visage pour que je reprenne mes esprits. L'eau gicla sur mon faciès, me réveillant en sursaut. Mais cela ne m'affectait guère, je m'allongeai alors sur le planché mouillé et ne pensais plus à rien. Je m'endormais donc quelques secondes après l'intervention inutile de mon cher et tendre ami.

zzzzzzzZZZZZZZ, RRRRRrrrrRRRRR, zzzzZZZZZZZZZ, rrrrrrrrrrRRRRRRRRR, zzzzzzZZZZ
L'homme aux cheveux orange se dressa devant moi, me donnant un coup sur le haut de la tête.

HANRAN ! Réveille toi espèce de fainéant !cria t-il

Heinnnnnn oO quou quou QUOI !!! ??? Blurppppppp

Je lui éructais au visage ; ses cheveux, d'un magnifique oranger, se mirent en rythme grâce à ce vent organique, les faisant flotter tel un drapeau pirate en pleine tempête.

Hanran ! T'es immonde ! Lève toi on est arrivé, s'exclama alors mon compagnon.

Je me relevai d'un bond, guéris du mal m'ayant frappé x)... Durant le voyage, le bateau n'avait subit aucun dégâts, nous n'avions rencontré aucun malfrats, brigands ou autres méchants de la sorte. Non, en effet nous avions atteint l'île en question sans problème. Celle-ci était grande, limite luxueuse et ultra luxuriante. Le paysage était d'une magnificence telle, que j'en perdis l'usage de la parole.
Spoiler:

*Waw ! La marine ne choisit pas au hasard.* Pensais-je

Cette île était une île semi-glaciaire, en effet, elle était recouverte de neige ; les pins, arpentant le sol de leurs racines, étaient recouverts par une épaisse couche de neige, donnant au paysage, un tout autre visage.
Le vent soufflait, il faisait froid en cette période hivernale. L'homme m'ayant confié cette mission m'avait dit que, sur ce rivage, m'accueilleraient des villageois. Ce ne fut pas le cas, du moins, pas de suite. Cependant, une dizaine de minutes après notre arrivée, quelques rebelles vinrent à nous.

Ah, vous êtes enfin arrivez messieurs ! Suivez-nous !

A ces mots, je suivis le petit groupe de résistants partant au sud, précédé de Roy, mon compagnon de route. Le trajet allait durer une demi-heure d'après les prédictions des rebelles. Durant ce court laps de temps, nous avions pu constater que la pauvreté régnait sur l'île. En effet, les quelques villages devant lesquels nous étions passés, avaient été rasés par les forces de l'ordre sévissant sur cet archipel. Les autochtones étaient dehors, dans le froid, marchant vers la grand-ville.

Comme prévu, au bout d'une trentaine de minutes, notre voyage s'acheva. Nous arrivâmes dans une grande ville urbanisée, mais cependant très pauvre. Des mendiants se tenaient assis à même le sol, tout le long de la rue principale, quémandant un peu de pain. Leurs mains gelées tombaient en morceaux, en effet, le froid faisait office de lèpre pour ces pauvres gens. Ce genre de spectacle me faisait mal au cœur, moi qui vivais pour le peuple et la liberté. Voir ce genre de choses me mettais en rage et faisait de ma mission, une affaire personnelle.

C'est ici, veuillez entrer ! dit un des manants nous aillant accompagné.

Nous entrâmes donc dans l'édifice indiqué par notre interlocuteur. Celui-ci nous laissa pénétrer dans le bâtiment sans même nous suivre. Nous étions alors tous deux, Roy et moi, dans l'entrée de ce que l'on pourrait appeler une « Mairie ». Un grand escalier se dressait devant nous, et sur celui-ci, se dressait un homme, à l'allure trébuchante. Cet homme avait le dos courbé, était trapus et parlait d'une voix douce :

Vous êtes enfin arriver les amis, quelle joie de vous rencontrer ! Vous savez ce pourquoi vous êtes là, n'est ce pas ?
Je m'inclinais face à ce vieil homme en me penchant en avant. Roy fit de même après mon intervention. Je répliquai :

Tout l'honneur est pour nous, Monsieur. Nous nous attellerons à ce qui doit être fait quand vous nous le demanderez.

Bien, bien, je vois que vous connaissez les bonnes manières mon cher. Mes hommes vous montrerons vos quartiers pour la nuit. Sur ce, a demain.

Les rebelles vinrent alors à nos côtés tout en nous escortant vers nos chambres. Les alcôves étaient faites d'un bois vétuste. Celui-ci était moisi, mangé par les mites et donc très fragile. Voir un tel manque d'attention de la part du gouvernement envers les villageois m'attristait au plus haut point. Mais la bataille ne se mettrait en place que demain à l'aube. Une bonne nuit de sommeil était impérative pour espérer réussir. Notre potentiel était avant tout basé sur la surprise. Cependant, les rebelles habitant l'île, n'avaient pas chômé. En effet, à leur disposition, 25 canons et une trentaine de bazookas niveau artillerie lourde et pour le corps à corps, des fusils et un maximum de sabres. Le tout avec beaucoup de munitions.

Le moment n'était pas opportun pour commencer à rêvasser. Je devais dormir...

Épisode 2: Un réveil matinal, Surprise générale, Hanran et son fruit du démon !

"oaaaahhh"

Je venais à peine de me réveiller. Contre toutes attentes, la nuit que je venais de passer avait été longue et revigorante. Les craquements incessants du sol, donnaient à la situation, une certaine ambiance, une ambiance agréable. Les oiseaux du matin exerçaient leur chant comme à leur habitude, laissant mon esprit voyager quelques minutes en cet instant unique.

Je ne pouvais pas m'empêcher de penser que dans quelques heures à peine, cet archipel, encore calme, deviendrait un champ de bataille. L'organisation révolutionnaire me faisait confiance. Je ne pouvais pas les décevoir. Je pris alors mes clics et mes clacs et sortis de la chambre encore embaumée de mon odeur. Je posai mes affaires quelques secondes pour tout de même aérer la pièce; question de respect, puis descendis l'escalier principal.

Là, m'attendaient Roy, le vieil homme, et trois gardes parfaitement alignés.

Hanran, Roy, veuillez me suivre je vous prie, s'exclama alors l'osan

Nous le suivions donc. Il se dirigeait vers une porte de fer, rouillée par le temps et apparemment très lourde. Les gardes nous escortant se placèrent devant celle-ci et la poussèrent, laissant se dresser devant nous, une salle majestueuse. Cette pièce ressemblait étrangement à une bibliothèque. A vrai dire, s'en était une, et pas des moindres. Les livres étaient rangés dans des étagères d'environ dix mètres de hauteur, qui elles, étaient placées de telle sorte que l'on ne voit pas les murs. Au milieu de cet auditoire, une immense table rectangulaire, ornée de blasons révolutionnaires, faits entièrement d'or. Cette assistance me laissai sans voix. Le contraste entre les rues et bâtiments de la ville face à cette merveille était flagrant. Mais, revenons en à la situation.

Nous entrâmes donc dans la salle et nous installâmes dans des sièges confortables. L'homme d'un certain âge s'assit alors face à nous, l'air épanoui.

Messieurs, vous avez été appelés pour nous délivrer de l'oppression. Comme vous le savez déjà, nous disposons de pas mal de moyens pour parvenir à nos fins. Mais la question est... Êtes vous prêts ?...Car cette opération ne réussira pas sans un minimum d'aide. Nous comptons sur vous pour faire de notre victoire, une réalité.

Roy et moi écoutions sont discours avec attention, n'en perdant aucune miette. Mon corps frissonnait horriblement. L'impatience et l'excitation m'envahissaient. Le vieil homme continua son discours en nous faisant un topo sur l'attaque.

[...]

Quand il en n'eut finit, celui-ci se redressa et partit sans rien dire jusqu'à la porte avant de laissé s'échapper deux mots.

Bonne chance..!

Nous restions là, tremblant d'impatience, attendant l'escorte qui nous présenterait aux troupes. Cependant, une vieille femme vint alors à notre rencontre. Elle me fixait avec des yeux d'ahuri. J'avais peur.

Hiiichichi, tu n'est pas comme les autres...je le ressens....
Elle changea brusquement de ton tout en me disant :

Suis moi !

Je me levais doucement de ma chaise tout en regardant Roy d'un air interrogatif. Son regard inspirait l'incompréhension, j'en conclus donc qu'il n'était au courant de rien.

Je suivis donc cette vieille dame dans la pièce annexe de la bibliothèque et y restai un petit moment.

[...]

Après une dizaine de minutes passé à l'intérieur, je revins tout penaud, les yeux dans le vague. Mon compagnon me regarda brièvement avant de dire :

Que ce passe t-il Hanran ?! Ca va ?

Oui, je viens d'apprendre, que la corbeille de fruits m'ayant sauvé la vie il y a de cela quelques jours, contenait une chose se prénommant : « Fruit du démon » ! Kirita, ici même, l'a ressentit et à fait un test. Elle est formelle ! La seule chose qui me reste à faire est de découvrir ce que cette malédiction me procure.

Kirita se dressant à côté de moi, le dos courbé, vint alors à prendre la parole.

A vrai dire, un vieux manuscrit, caché ici même, indique les pouvoirs procurés par ces fruits. Si tu me le décrit je saurais peut-être t'expliquer la chose que tu maîtrise à présent.

Je la dévisageai longuement, apeuré par ce qu'il m'arrivait. Je ne pensais plus à rien, et sans réfléchir, m'exclamai :

Allez-y !

A ces mots, la vieille femme demanda à mon compagnon d'aller le chercher. Celui-ci s'exécuta et chercha le livre en suivant attentivement les directives de Kirita.

Trouvé ! dit-il

Il le jeta sur la table avant de redescendre de l'escabeau. Pendant ce temps, kirita ne perdit pas de temps ; elle avait ouvert le livre.

Saurais-tu me décrire le fruit le plus immonde que tu ais mangé dans ce panier si avenant ?

La question me parut très facile puisque l'un des fruits en question m'avait laissé un goût amer dans la bouche depuis ce jour. Je lui décris donc le fruit en question avant de contempler sa réaction.
Kirita avait trouvé !

Mon cher Hanran, je suis heureuse de te dire, que le fruit du démon que tu à mangé est le Dokuta Dokuta no mie, plus communément appelé le fruit du cercle. Attends un peu, je te lis ce qu'il y a d'écrit... « Ce fruit du démon a un pouvoir inconnu à ce jour, cependant, quelques informations on été récolté durant la formation de la légende. Il paraitrait que le pouvoir procurer par ce fruit permette à son détenteur de découper les gens ou différents matériaux, quel qu'il soit, sans occasionné de dégâts. C'est le seul effet connu du monde humain » Voilà ! Maintenant tu sais à quoi t'attendre. Sur ce, je me retire dans mes quartiers avant le débuts de la bataille. Bonne chance Hanran. Roy...

Résumé des épisodes précédents : Hanran et Roy viennent d'arriver sur l'île. Là-bas, une mission les attends. Les deux compères feront alors escale dans un bâtiment à premières vues débraillé, avant d'y dormir. Le lendemain, Hanran découvrit qu'une malédiction s'est emparée de lui. Mais sans plus attendre, la suite...:

Épisode 3 : Rencontre avec les troupes, Briefing pour tout le monde !
La nouvelle que je venais d'apprendre me laissais, pardonnez moi l'expression, sur le cul. Un fruit du démon ? Je ne savais rien sur ces choses, mais cet aspect si étrange de la situation, passerait au second plan. En effet, notre préoccupation à Roy et moi, était avant tout de rencontrer les troupes, afin de les encourager.

Nous avions attendus l'escorte censée nous mener à eux, en compagnie de la vieille dame. A présent seuls, nous entamâmes une brève discussion, avant d'être interrompu par les hommes en questions.

« Hanran, Roy, suivez nous !», dirent-ils d'un ton enthousiaste.

Sans broncher, je me levais tranquillement avant de finir face à eux. Mon regard les fit frissonner un instant, laissant des goutes de sueur s'échapper vaillamment de leurs fronts ridés. Un silence fut.

« On vous suit » dis-je avec aplomb.

Les gardes, encore figés, se reprirent en mains et partirent en direction d'une salle à l'autre bout de l'immeuble. Là-bas, siégeaient une centaine de soldats. Des révolutionnaires de bas étage, près à donner leur vie pour la cause.

Nous rentrâmes alors dans cet amphithéâtre, et nous installâmes Roy et moi dans deux fauteuils très douillets, installés en face de l'auditoire. Toutes ces têtes étaient fixées sur nous. Je pris alors la parole en allant me placer devant le micro.

« Révos !!!! »

« HANRANNN » crièrent-ils en cœur.

« Dans quelques semaines je serai loin d'ici, sur la mer, notre mère à tous. Imaginez où vous voudriez être. Et vous y serezzz. Si vous vous retrouvez tout seul courant dans de verts pâturages avec le soleil sur le visage ! N'en soyez pas troublé ! Car vous être aux champ éliséum, et vous êtes déjà MORT ! »

« Hahahahahahahahaha »

« Ce que l'on fait dans sa vie. Résonne dans l'éternité »

Tout en disant ces mots, je levais le poing au ciel, accompagné par les troupes en face de moi. Je ne m'attendais pas à tant d'enthousiasme. Et contre toute attente, ils se mirent à hurler.

« HANRAN, HANRAN, HANRAN ! »

Roy se leva et me glissa quelques mots à l'oreille.

« On dirait que ton discours à fait son effet »

Ses paroles étaient couvertes par les cris émanant de la foule. Mais l'essentiel avait été compris.
Je levai alors le bras au ciel en guise de silence. L'intention fut comprise et les hommes se turent.

« A présent, une marche vers le quartier général de votre île est nécessaire ! Nécessaire pour VOTRE liberté ! Avancez ! Pour la gloire de l'Empire !!!! »

«IKEEEEEE !!! »

Épisode 4 : Handicape inattendu, la bataille fait rage !

Les troupes sont dehors à présent, prêtes à combattre.

Nous étions enfin sortis du bâtiment en compagnie de tous les rebelles armés jusqu'aux dents. Leur enthousiasme me faisais frissonner de plaisir, le combat était proche.

Les troupes dont nous disposions étaient constituées d'une centaine de paysans. Je décidai donc de partager en deux celles-ci pour plus de fluidité.

« 50 hommes viennent avec moi, les autres allez avec Roy ! Bonne chance tout le monde !!! »

Sur ce, les hommes s'exécutèrent, se divisant en deux groupes bien distinct. Je partis donc à l'assaut du QG quand j'aperçus une armada de marines devant celui-ci.

« Qu..qu...qué ??? Quelqu'un les a prévenu ???! Rha, tant pis ! Allez !!! »

Devant nous se trouvaient une trentaine de matelots armés de canon et armes en tout genre.

« En joue !!! » crièrent alors les hommes nous faisant face.

Ces paroles firent tiltes dans la tête de tout les autoritaires. A présent, la surprise n'était plus notre avantage, mais bien le leur.

« Feuuuu ! »

A ces mots, les coups de feu se firent entendre, un brouhaha général fut alors. Nos hommes tombaient les uns après les autres. Six révolutionnaires venaient de perdre la vie. Cependant notre surnombre pouvait combler notre handicape...Nous étions à présent à quelques mètres d'eux, armes en mains.

Spoiler:

[ Pendant ce temps : A l'intérieur du bâtiment !

« Ici le QG de Kakyonuki ! Comme prévu nous sommes attaqué ! Celui à la tête de cette attaque est Hanran Bushi, un rooki !!!...bipppppppppppppppppppppppppppppppp, Allo !??? Allooo?! »

« khkhkhkhkhkhkhkhkhhkk........ » ]

[ Équipe de Roy, Extérieur !

Roy me contactait par denden :

« Coupure des relais dendenmuchique ! Les marines n'ont plus de moyens de communications ! Je répète, les marines n'ont plus de moyens de communication ! » ]

Équipe d'Hanran, front de la bataille :

Je venais à peine de recevoir un appel de Roy, je lui répondis donc :

« Bien reçut ! Essayez de détruire le QG !! Allez ! » dis-je tout en coupant la gorge à un marine.

La bataille faisait rage en ses lieux à présent si obscures ! Mes hommes se battaient avec entrain contre des marines préparés à ce genre de situation. Nous tombions un à un...

Cinq marines vinrent à ce même moment devant moi, me pointant de leur épées. Chacun leur tour, ils vinrent s'empaler sur ma lame. Le premier accourut comme un lapin jusqu'à moi pour finir par perdre sa tête, au sens propre ! Le second fit de même. Les trois autres chargèrent alors ensemble sabres en mains. Les coups furent synchros. Cependant, mon épée, longue de deux mètres, vint parer les tranchant de chacune de ces lames. Je repoussais donc les trois marines d'un appui du pied et les tranchai en deux.

Nos adversaires étaient de moins en moins. En effet, seulement treize marines restaient encore, pour environ trente cinq révolutionnaires.

« Canonnier ! Préparez les canons ! »

Mes combattants faisaient des merveilles, il ne restait plus que quelques soldats de la marine face à nous. Tous les révolutionnaires se retirèrent alors pour ne laissé que ces saligauds à tendance sadomaso sur le champ de bataille. Je m'avançai donc pendant que mes hommes mettaient les canons en place.

« Oy, c'est partit ! » criai-je

Je fonçai à toute allure vers mes ennemis, épée à la main, prêt à bondir. Cependant, mes assaillants n'étaient pas la pour rigoler. Ils enchainèrent alors les coups me visant, avec férocité.
J'en tuai deux sur six, laissant les quatre autres se plonger dans le désespoir.

J'accourus vers les quatre derniers résistants et les coupai en deux. Je venais d'exécuter une quadruple découpe momentanée ( x) ) avec effet spéciaux, accompagnée de mon impact dial implanter dans ma lame. Cette technique déchiqueta les corps après leur section.

Un blanc horriblement silencieux se fit alors « entendre ». Le vent ne soufflait pas, la mer avait arrêtée de gigotée, les hommes de crier, les oiseaux de chanter. Plus aucun bruit... Quand tout à coup !

Bam Boum Bam...

...
« HANRAN !!! »

Épisode 5 : Hanran dévoile l'étendue de ses nouveaux pouvoirs !

Trois boulets de canons vinrent exploser auprès d'Hanran, le laissant pour mort, au mieux blessé. Ses alliés se turent alors un instant avant de crier son nom de toutes leurs forces. Celui-ci était-il mort ?...

Je venais de me prendre quasi de plein fouet une vague d'explosifs. Mon front était en sang, ma jambe gauche égratignée. Toutes ces blessures n'étaient que superficielles et indolores.

« Vous ne m'aurez pas comme ça. MARINE ! »

Mes nakamas eurent alors une larme à l'œil, un soupire, de soulagement

« Pfiou »

La fumée se dissipa et d'autres boulet de canons vinrent à moi. Cette fois-ci, pas trois, pas quatre, mais bien quatorze [willy woller two thousand six x) ] boulets de canon. En les voyant arriver, un soupçon, une énorme vague, de colèreme submergea.

« WOUUUUUUUHHHHHHAAAAAAAA »

C'est alors qu'un sphère bleu se dressa autour de moi. Je compris bien assez tôt que le fruit du démon y était pour quelque chose. Je sectionnai alors les quatorze projectiles d'un seul coup.

“ Sugeeeee” s'exclama alors un de mes compagnons.

Après les avoir découpés, sans m'en rendre compte, mes mains avaient assemblées tout les morceaux des différentes sphères explosives et en avaient fait, un boulet géant.

* Alors c'est ça ? C'est parti*

J'accourus jusqu'à l'obus et le pris de mes mains. Il ne pesait que quelques tonnes, je pris alors de l'élan et l'envoyai en plein dans la façade du quartier général de la marine.

Boum

Un vacarme monstrueux se fit alors entendre. Le quartier général venait de se prendre de plein fouet ma création. Les pierres constituant le frontispice se sont évaporées. Laissant la devanture libre de tout acte. Voyant le carnage que je venais de faire, je m'exclamai :

« VOUS TOUS ! La voie est libre ! Allez-y ! »

A ces mots, les trente cinq soldats se mirent en marche vers le centre du QG.

[...]

Nous courrions à toute allure pour ne pas perdre de temps, mais en arrivant, une cinquantaine de marines étaient là, prêt à combattre. Cependant, nous n'étions pas seul. En effet, la cohorte de Roy venait de nous rejoindre. Cet escadron n'avait connu aucune pertes durant son périple. Pourtant, son cortège avait attaqué cinquante marines et posez quelques fulminants. Quel talent *ironie* !

Roy vint alors me voir histoire de me faire le topo de la situation. Il m'affirma que le QG allait être détruit dés lors que nous déclencherions les charges de dynamites apposées par sa personne. Nos insurgés étaient fous. Tous les marines n'arrivait pas à endiguer quatre vingt cinq hommes. C'était évident. Le combat restait pourtant rude. Ces hommes entrainé au combat gagnait beaucoup de duels. Roy partit aidé les anarchistes suivit de ma personne.

En plein champ de bataille, un marine se tint devant moi, sabre en mains. Il n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit. En effet, je le tranchai en deux, laissant ses boyaux visités le sol. Après quelques secondes, celui-ci succomba. Rien n'était fini. Au loin, un gradé de la marine, commodore apparemment, d'après l'appellation d'un de ses subordonnés. Il déglinguait tous les rebelles se dressant sur son passage, tout comme moi. J'avais donc l'obligation de lui régler son compte.

Épisode 6 : La voie que j'ai choisie ! Hanran vs. Commodore Yuko !

SLASHH

« Arghh »

« Un de moins »

La bataille faisait rage. Les marines tombés sous ma féroce lame se comptaient à présent par dizaines. Trente sept à vrai dire. Environ cinquante révolutionnaires restaient encore, pour deux douzaines d'autoritaires. L'affrontement tournait en notre faveur. Quel soulagement. Je disais donc...Un commodore se tenait à l'autre bout de la place. Je me devais de lui faire manger la poussière car aucun combattant ici présent n'était apte à le combattre.

Il y avaient environ huit hommes se dressant devant moi, m'empêchant de mener à bien mon projet. Je devais donc, comme tu peut t'en douter Public , m'en occuper.

« A vous messieurs » dis-je alors...

Je me retrouvai face à trois d'entre eux, deux secondes plus tard, ma lame vint heurter leur nuque, coupant toutes cellules moléculaire se trouvant au passage. Les trois têtes volèrent alors, accompagnées des jets de sang provenant des encolures. Devant moi, véridique hein ! Se trouvait une, enfin non, Trois fontaines personnelles. Certes quelque peu « gore », mais tout de même. Enfin bon, le temps du spectacle n'avait été que d'une poignée de secondes en vu des litres de sang que contenait les corps. Comme je disais huit bonshommes me bloquaient le passage. Huit moins trois égale cinq ! Sisi !

Donc, encore cinq personne à tuer. Un de ces cinq bipède se croyait à la hauteur. C'est tout à son honneur direz-vous, et bien, je vous l'accorde. Mais le réalisme et le rêve son deux choses bien distinctes, vous en conviendrez n'est-ce pas ? Bien. Alors vous comprenez où je veux en v'nir...? Oui ?! Dans ce cas, continuons

Le bougre étant toujours face à moi, je lui plantai Kizamu Enko (mon épée hein ^^) dans le thorax et remontai violemment celle-ci vers le haut, déchiquetant le haut de son buste.

« Arghhhh »

Un de moins, plus que quatre. Cette fois-ci les quatre types vinrent en même temps, décidant sans doute de mettre un terme à ma vie.Haha ! Blague ?! Je les tranchai en vol, aspergeant les corps des combattants encore debout, à présent immaculés de sang.

« Uta uta uta uta ta ta ta » [Je rigole là x)]

Je m'avançais un petit peu. Le froid nous frigorifiait tous, il fallait que je me réchauffe. Et rien de mieux qu'un petit combat pour stimuler mes muscles.

« Oy, Commodore ! Quel honneur ! »

« Hanran Bushi, tu es l'auteur de tout cela n'est-ce pas ?! »

« A ce qu'il paraît oui ! Enfin assez de blabla, bat toi ! »

Alors que ma phrase était à peine achever, le commodore « Yuko » commençait son assaut. Sabre en mains, il m'assena un coup des plus violent au niveau de la tête, que je parai avec difficulté. Quand il eut finit son action, celui-ci prit appuis sur le sol pour passer à ma gauche.

* rapide *

La pointe de sa lame, qui venait tout droit vers mes côtes, fut dévié par un de mes agissements. En effet, mon gant me permettait, grâce à un dial, de repousser ou d'attirer toutes sortes de métaux. J'évinçai donc l'embout de sa lame vers le sol. Celle-ci s'enfonça violemment dans le terroir et y restait bloquée.

« Conoyaru ! » s'exclama alors Yuko

Dans le feu de l'action, je perdis l'équilibre. Mais alors que ma chute était proche, je plantai ma lame au fin fond de la terre et assenai un monstrueux coup de pied qui fit valser mon adversaire quelques mètres plus loin.

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, j'accourus à toute vitesse vers mon assaillant, épée à la main. Le coup que je lui portai était destiné à le couper en deux, mais au moment fatidique, le bougre esquiva mon coup. Mais, mon attaque ne fut pas veine. En effet, une méchante entaille était à déplorer sur le haut de sa cuisse. Cependant, Yuko n'était pas douillait, car, après son esquive, il avait eut le temps de récupérer son sabre fétiche.

« Tu ne m'aura pas si facilement ! Baka ! »

Hanran : * Sourire *

Yuko agissait bizarrement, en effet, il tenait son katana d'un manière inhabituelle. La pointe à terre, l'homme s'élança et dit :

« Heavenly notches »

Sur ce, la marine disparut, laissant mes sens les plus développer agir à leur guise. Cependant, son attaque arriva bien assez vite. Mon adversaire sautait partout me tailladant de tous les côtés. Épaules, bras, jambes, dos. Ce n'étaient que de légères entailles mais inéluctablement douloureuses. Le coup soit disant “de grâce”, fut exécuté avec finesse. La lame de mon agresseur, passa doucement de long de mon vente, ouvrant celui-ci qui pissait à présent le sang.

« Arghh » * crache du sang *

« Enfoirer, tu va me la payer !»

Sans plus attendre, je passai à la seconde phase : L'attaque !

Je commençait à courir vers lui et tranchait l'air horizontalement de droite à gauche. Je me doutais bien qu'un commodore pourrait esquiver ce coup si simpliste. Mon plan était d'ailleurs basé sur cette esquive. Enfin, si il ne l'avait pas évité, il serait mort. Mais passons...

Ma lame se trouvait à présent à sa droite et ma main droite à sa gauche. Compliqué hein ? x) Vous imaginez la scène ?! Bien ...! Grâce à mon gant spécial, j'attirai ma propre épée pour qu'elle se plante un peu dans l'épaule de mon assaillant. Et je peut vous jurer que ça marche.

Mon ennemi gémissait, son bras ne tenait plus qu'à un fils. Je pris alors sa tête de ma main droite et exécutai un impacto shot ayant emmagasiné le coup de poing d'un géant.

« AAAHHHHH !! »

« Douloureux n'est-ce pas ? »

Je devais le tuer, pour vivre, continuez ma route.

« Navrez. Je suis tout simplement la voie que j'ai choisie. Adieu »

A ces mots, je le pris par les cheveux, tirai vers le haut et lui tranchai la tête. De mon deux mètres et des poussières, je tendis sa tête en l'air, tel un trophée gagné à un quelconque concours.

« Coupez la tête de tous les marines avachi sur le champ de bataille. Plantez des piques au sol et plantez leur tête dessus. Gloire à l'empire ! »

La bataille était à présent finie. Un carnage monstre avait eut lieu. Le nombre des pertes ennemis s'élevaient à environ 150 hommes. J'en tuai 46 durant ce combat. Nos pertes, elles s'élevaient à 57 hommes. Un miracle avait eut lieu. Amen !

Après la bataille, Hanran et le reste des rebelles plantèrent les têtes de chaque marines sur un piquet, eux même plantés au sol. Le paysage n'était plus que sang et cadavre congelés. Un cimetière qui avait en guise de croix, la tête de ses mort au bout de piques. Le commodore, lui fut pendu par les pied en guise de vengeance sur le cliché “potence aux rebelles et forbans”. D'ailleurs quelques temps plus tard, l'île fut connu sous le nom de “Cimetière Rouge”. Après avoir déclenché l'explosion et donc stopper la dictature sur l'île, Hanran partit en laissant le soin aux habitants de tout mettre sur son dos, histoire d'éviter un génocide. Et c'est ainsi que s'acheva ce chapitre...

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