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 Salem, la sorcière

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Salem
Espoir Révolutionnaire
Espoir Révolutionnaire
Salem


Profil Psy : True Neutral
Nombre de messages : 4
Fruit du Démon : Fruit vaudou

[Feuille de personnage]
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MessageSujet: Salem, la sorcière   Salem, la sorcière EmptyLun 6 Jan 2014 - 23:14

(Vrai) Second compte de Taron.

• Prénom & Nom : Salem (nom inconnu)

• Surnom : La Grande Sorcière

• Age : 30 ans

• Race : Humain

• Camp : Révolutionnaire

• Orientation psychologique :  True Neutral. Ni anarchiste, ni partisan d'un ordre absolu, il ne croit pas non plus ni au bien ni au mal. Il prône l'équilibre à tout niveau, et est à la recherche de l'harmonie.

• Métier/Spécialité :  Il s'est découvert des talents de cuisiner chez les okamas.

• Pouvoir demandé : Vaud Vaud No Mie : Permet de prendre la forme d'une poupée vaudou et attaquer avec d'énormes clous son adversaire. ainsi que de créer des poupées vaudous pouvant être lier à des personnes.
Il maîtrise en complément les bases des arts martiaux okamas.
Utilisant le fruit vaudou pour déboussoler et affaiblir son adversaire, avant de lui porter les coups finaux au corps à corps par le biais de techniques "finishers".

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Créer un monde harmonieux, et devenir la reine des okamas.

Description Physique :

Les yeux doux:

Salem est un okama. Ah, ça en dit déjà beaucoup. Il porte grande attention à son apparence, il veut être beau, même en combat. Il sait que la beauté physique n'est pas la seule chose qui compte dans la vie, mais il la considère essentielle pour quelqu'un qui prétend vouloir créer un monde harmonieux. Être beau à l'extérieur et à l'intérieur, cela pourrait être sa devise.

Ses vêtements féminins et ses ornements esthétiques, tels que ses boucles d'oreilles, ses noeuds, ses longs cheveux rouges et soyeux, donnent au personnage un look extrêmement androgyne. Difficile de dire du premier coup d'oeil que Salem est un mec. Et cette situation lui plaît. Il préfère qu'on le traite comme une dame de toute façon.

Sa paire de lunettes est essentiellement décorative, il trouve qu'elle lui donne un air intelligent. Sa vue est un tantinet déficiente, mais normalement pas de là à porter une mouture. C'est donc presque uniquement pour le style qu'il les porte. Il trouve aussi que les petites têtes de mort sur les chaînes de la paire lui donnent un air badass. Sous ses lunettes, ses yeux verts sont passés maîtres dans l'art de jeter des regards insistants.

Très souvent souriant, il donne beaucoup l'occasion à ses interlocuteurs d'admirer sa dentition particulière...

Au niveau des vêtements. Une veste blanche, une chemise noire sans manche par dessus et un manteau rouge pour compléter le tout. Manteau qu'il aime laisser traîner, à la manière d'une cape, en ne le hissant pas jusqu'à ses épaules. Encore une fois, cela dans le but de compléter son style. En combat sérieux, il le remonte pour ne pas être gêné. En combat pas trop sérieux, il le laisse tel quel.

Dans l'ensemble ? Son style vestimentaire est... particulier. On va dire ça. On aime ou on aime pas. En tout cas, on ne peut pas nier qu'il ressort du paysage.

Sa démarche est exagérément féminine. Ses mouvements de hanche, de bras, sa façon de marcher, de calculer ses pas, il fait tout pour marcher "comme une femme", au point que cela vire presque au stéréotype. Lorsqu'on est pas sûr de son sexe, cela peut faire pencher la balance pour le considérer femme. Mais lorsqu'on sait que c'est un mâle, cela peut paraître franchement ridicule.

Finissons par ses capacités physiques. Contrairement aux apparences, Salem est plutôt bien taillé. Bonne force physique, bonne agilité, vitesse de course élevée (quand il ne marche pas sur son manteau qui traîne par terre), il est bien taillé pour se servir correctement des arts martiaux okamas. Son endurance et sa résistance à la douleur laissent à désirer, mais pour ce point son fruit du démon compense bien.

Caractère & morale :

Comme tout okama, Salem est quelqu'un d'excentrique...

Sa façon de parler. Il parle de lui systématiquement au féminin, c'est depuis longtemps devenu un réflexe linguistique. Tout document administratif ou toute annonce est aussi fait au féminin, ce qui peut porter à confusion. Quant à ses interlocteurs, il a l'habitude de les qualifier davantage par un sobriquet que par leur vrai nom, surtout s'ils lui sont familiers.

Plutôt imbu de lui même. Très fier de sa voix, il pense que sa tonalité devrait inspirer le monde harmonieux qu'il veut créer. Elle est plutôt fluette, ce qui contraste avec le reste du bonhomme. Néanmoins elle est toute sauf harmonieuse, puisqu'elle oscille perpetuellement entre les tons. Il se décrit comme étant "une brute au coeur d'or". Persuadé qu'il deviendra un rouage clé de ce monde, il cultive son sens de la mise en scène jour après jour. Il sait impressionner, émouvoir, faire rire, surprendre... Le travesti est naturellement bon comédien, et il le sait. Inévitablement, il passe rarement inaperçu où qu'il accoste. Entre son physique et son exhubérance, la sorcière de l'harmonie ne peut pas se vanter d'être discrète...

Il aime les punchlines. Il aime les citations percutantes. Il aime parler de manière mystique. Il aime se mettre en scène, tout simplement, tout comme il aime faire réfléchir ses interlocteurs en leur parlant par énigmes.

Obsédé par l'équilibre, l'harmonie, et la justice. Supporte très mal les inégalités, peu importe leur nature, ce qui en fait un bon révolutionnaire plutôt passionné. Son rêve est d'assister à l'avènement d'un monde utopique, où toutes les créatures vivraient en harmonie entre elles, se complétant, s'entraidant et ainsi compensant leurs faiblesses individuelles, pour former une société nouvelle sans rapports de force et sans pouvoirs puissants faisant pencher la balance. Il y a du boulot, et il le sait.

Il a un rapport à l'autorité plutôt compliqué : s'il apprécie et respecte son supérieur, pas de problèmes, il se pliera à ses ordres sans discuter. Mais si c'est un inconnu ou quelqu'un qu'il ne respecte pas qui lui donne des ordres, il aura tendance à se montrer très immature, jusqu'à faire le contraire de ce qu'on lui demande par provocation.

Très pragmatique. Salem est réaliste, et sait que le jour où toutes les créatures vivront en harmonie n'est pas encore arrivé. En attendant, il faut faire preuve de réalisme et de mesure pour prendre les meilleures décisions possibles au meilleur moment. Cela peut parfois le faire passer pour quelqu'un de dur. Selon la situation, il se montre plus ou moins sociable. La plupart du temps il est un très bon camarade, hormis sa tendance à parler par énigmes qui peut irriter, mais dans les situations graves il aime s'isoler pour mettre de l'ordre dans ses idées. De la même façon, il prend régulièrement des moments de solitude pour méditer et faire le bilan sur ses activités, prendre du recul dessus et en prévoir les conséquences.

L'okama est un ancien chef de gang local. Si ce temps est révolu, il a quand même laissé des traces dans la personnalité du révolutionnaire : direct, il n'hésite pas à avoir recours à la force lorsque c'est nécessaire. Il est quelqu'un de très efficace, qui ne se perd que peu en discours et en palabres. Quand une situation ne peut se débloquer que par l'usage de la force, il le sent et fonce. On le prendra peut-être pour quelqu'un qui rentre dans le tas sans réfléchir, mais Salem préfère tout simplement gagner du temps. A quoi bon négocier avec des soldats bornés ? Pourquoi devrait-il discuter avec un chasseur de primes qui veut lui prendre la tête, littéralement ?

Est-ce que notre okama est un homme d'honneur ? Difficile à dire. Non pas qu'il n'ait pas d'honneur, mais il considère l'excès de fierté comme une tare et la vie trop précieuse pour être sacrifiée sur l'autel d'une valeur aussi subjective que l'honneur. Il est tout de même très fidèle à ses compagnons et ne rompt jamais ses promesses, à moins que la situation de l'exige. A l'inverse, il ne fait pas de promesses à la légère, et prend soin de ne pas donner de fausses illusions à ses amis. Cela rejoint son côté pragmatique.

Parlons  de baston maintenant ! La future reine des okamas a un sens aigu de la mise en scène, comme précisé précedemment, et cela se ressent jusque dans ses pugilats. La beauté et l'harmonie jouent un rôle clé dans sa perception de ses affrontements. Il ne veut pas se battre, il veut danser ! Combinant les arts martiaux okamas, gracieux par nature, à un fruit du démon à la fois retors et étrange, il aime quand il parvient à inspirer désarroi et admiration à ses ennemis.


Histoire :

Il était une fois, dans le misérable royaume de Tounak...

Une capitale à l'image du royaume nommée Tounakan, vieille ville crasseuse, usée, qui ne s'était que trop longtemps enfoncé dans la paresse politique et les satisfactions égoïstes. Sortez du centre-ville qui sauve avec peine les apparences, et vous ne découvriez à perte de vue que des quartiers fantômes misérables conquis par les gangs.

Livrés à eux-mêmes, les enfants ayant eu la malchance de voir le jour dans ces ruelles sombres n'ont d'autres choix pour subsister que de se rallier à l'un des nombreux gangs, qui faisaient maintenant la loi dans plus des 3/4 de la cité. Une multitude de gang aux moeurs très différentes, certains se rapprochaient même davantage de milice cherchant à restaurer un semblant d'ordre dans les quartiers difficiles. D'autres encore, comparables à des mafias, rackettaient les petits commerces en les obligeant à souscrire un "abonnement" mensuel pour leur protection... Aussi immoraux que puissent être les pires gangs de cette ville malfamée, aucun néanmoins ne dépassaient la bande sur laquelle nous allons nous pencher en terme de cruauté et d'horreur,

On appellait ce gang "la tribu". Ils avaient la réputation d'être féroces, sauvages, bestiaux. De s'accaparer les maigres ressources des exclus de ces quartiers pourris, et de s'adonner à des raids sanglants face à la vieille noblesse du centre-ville. Leur leader, surnommé "L'épouvantail" par ses hommes, était une créature d'une vingtaine d'années. Rude, impitoyable, belliqueux, il s'était forgé la réputation d'un homme duquel il faut se tenir loin, très loin. Connu pour être un pratiquant de magie noire, il faisait trembler les nombreux malheureux supersticieux de la cité seulement par l'évocation de son surnom. Hormis ses hommes de main les plus proches, nul ne connaissait son vrai visage, camouflé derrière un masque de paille tribal effrayant. Nul, à ce jour, n'avait eu l'occasion de contempler les yeux de glace qui se cachaient derrière le masque vaudou.

Qui se cachait derrière cette figure monstrueuse ? Contre toute attente, c'était un humain. Un jeune homme prénommé Salem. Une naissance anonyme, qui du faire dès le plus jeune âge des choses horribles pour survivre. Et qui y prit goût. Difficile de donner plus de détails, tout simplement car son histoire est aussi celle de milliers autres gamins des mauvais quartiers. Enfant abandonné à la naissance, récupéré et élevé par un des gangs locaux, il sut néanmoins se tracer son propre chemin pour construire sa propre bande, ce qui est particulièrement rare. La plupart des chefs de gangs étaient des vétérans, des leaders avec de l'expérience et une étoffe, soit de meneur, soit de manipulateur. Des pirates, des révolutionnaires, des hors-la-loi voire d'anciens chasseurs de primes.

On comptait certes quelques gangs de gamins, mais la plupart se faisaient rapidement écraser. Mais pas l'épouvantail. Quand il enrôla ses premiers alliés, il n'avait que 10 ans. Aujourd'hui, il avait 20 ans. Son gang était de ceux qui terrorisaient le plus la ville. Pas bien puissant, mais très secret. Leur repère était le sous-sol d'une vieil usine désaffectée. Un endroit à la structure fragile, grouillant de rats et d'odeurs putréfiantes. Personne n'irait chercher un boss de gang là dedans... Quelle ascension ! Le fruit du démon qu'avait dévoré tout jeune Salem y était surement pour quelque chose. Il y a tellement d'objets dangereux qui circulent dans les bas-fonds... On y croise parfois un fruit du démon.

Dans cette ville, Salem avait toujours eu la sensation de ne pas être à sa place. Mais à la tête d'un gang, il avait l'impression d'être le roi. Inspirer la terreur à ses ennemis, cela le faisait frissoner. L'impression de réussir dans une ville où il était pourtant disposé à échouer. Il avait des alliés et amis fidèles, dont il pleurait la mort en silence lorsque des drames survenaient. Personne ne connaissait le côté sensible du monstre. A part pour ses amis proches, qui le suivaient dans ses conquêtes depuis le début, il était pour tout le monde un monstre impitoyable. Et en apparence, il l'était effectivement. Tuer ne lui faisait pas peur, tant que ça lui apportait la force dont il avait besoin pour mettre la main sur davantage de territoire. Son objectif final était de contrôler toute la ville. Il avait encore beaucoup de chemin à faire et de rivaux puissants à affronter... Mais c'était là son seul rêve, et il déployait tous les moyens imaginable pour y arriver. Néanmoins, jamais nous ne saurons s'il en était capable...

Car une matinée d'hiver, une horde de révolutionnaires se déversèrent dans les quartiers de la ville. Leur plan était de s'emparer de la capitale, afin de conquérir par la même occasion la totalité de ce vieux royaume miteux et malade. Oubliée depuis longtemps par le gouvernement mondial, les révolutionnaires roulèrent sur les maigres défenses de la ville. Bien mieux équipés et expérimentés, ils firent aussi rapidement le ménage dans les quartiers contrôlés par les gangs, parfois avec quelques difficultés néanmoins. Bien sûr, ils prenaient soin de limiter les dommages infligés aux gangs de gamins, allant jusqu'à leur proposer de participer à la révolution à leur côté. La "tribu" fut de ceux-là, à la surprise de la population qui voyait ses anciens persécuteurs participer à leur libération.

C'est Salem lui-même qui avait fait le premier pas en allant "se rendre" aux révolutionnaires lorsque ceux-ci passaient à proximité du QG souterrain du gang. Sachant qu'ils invitaient certains gangs à renforcer leurs rangs, il espérait qu'en proposant son aide, il puisse conquérir "sa" ville plus rapidement que prévu. Un joli concours de circonstances, en somme. Néanmoins, les révolutionnaires, très nombreux et très organisés, ne laissèrent finalement aucune chance à Salem de grappiller quoique ce soit puisqu'ils placèrent aussitôt après la déposition de la noblesse de la capitale, un nouveau dirigeant et des ministres sélectionnés par leurs soins pour redresser le royaume.

Les jours suivants, la situation s'améliora pas mal dans la capitale. Les révolutionnaires organisaient des "soupes populaires" et des recrutements en masse dans toutes les sections de leur armée pour fournir nourriture et travail à une population qui avait maintenant une lueur d'espoir. Ce n'était pas parfait, mais ce n'était aussi que le début. On pouvait espérer que le nouveau "président" choisi par les révolutionnaires soit assez compétent et moral pour reprendre en main tout le pays.
Quant à Salem, il était resté, avec son gang, au côté des révolutionnaires. Le masque terrifiant tombé, bien peu de monde était capable de dire qu'hier, ce jeune homme qui sert des patates aux sans-abris commettait indirectement des atrocités dans le coin. La plupart des hommes de l'ex-chef de gang s'était vite dispersés, seuls restaient autour de Salem ses camarades les plus intimes. Ils avaient dans l'idée de s'enrôler dans l'armée révolutionnaire pour continuer la croisade. Pour libérer d'autres populations du joug de tyrans, oui, mais aussi dans l'optique de devenir plus forts et d'obtenir de grandes gratifications. Et bien entendu, d'enfin quitter cette foutue ville ! Une occasion en or pour Salem qui, rappellons le, ne s'était jamais senti à sa place ici.

Et ce fut fait. Il embarqua avec les troupes révolutionnaires une semaine plus tard, avec ses camarades. Direction un des centres d'entraînement secrets des jeunes recrues. En se renseignant sur la destination sur le navire, Salem eut vent de la réputation bien étrange du centre vers lequel ils se dirigeaient : les hommes qui y entraient ressortaient parfois "transformés" en femmes, et les femmes parfois en hommes. Salem et ses fidèles amis, qu'il connaissait depuis tant de temps, ne prêtèrent pas plus attention à ses rumeurs. Une fois débarqués, ils commencèrent leur formation en combat.

Ils se révelèrent, de par leurs passés de gamins des rues, de solides combattants, plutôt prometteurs. Mais c'est avec l'arrivée d'excentriques travestis que Salem allait connaître sa première véritable révélation... lorsqu'une troupe de ces allumés se mit en tête de voir à quel point Salem serait mignon déguisé en fille. Plongeant ses compagnons dans un fou rire... jusqu'à ce qu'ils y passent à leur tour. Impossible de lutter, la bande de travestis utilisaient des techniques de combat au corps à corps très perfectionnées, parvenant à les immobiliser complètement sans même les blesser. Même s'il ne l'avoua pas dans un premier temps et eut honte, Salem se trouva séduisant déguisé en fille lorsqu'un des okamas lui présenta un miroir. Au point qu'il proposa, timidement, à ses amis de se rallier aux travestis pour essayer d'apprendre un peu les arts martiaux okamas. Et ses amis... acceptèrent, tout en se forçant à rechigner. Eux aussi devaient apprécier de laisser s'exprimer leur part de féminité. De par leur passé, ils n'en n'ont jamais eu l'occasion...

Les travestis acceptèrent, à condition qu'ils s'intègrent à leur groupe. C'est à dire, qu'ils restent mignons tout plein avec leurs fringues féminins. Les anciens bad boys acceptèrent, et, avec l'autorisation des révolutionnaires qui étaient de toute façon apparemment lié à la troupe d'okama, embarquèrent pour une île voisine, dont la forêt presque vierge était colonisée par un grand village peuplé d'okamas. Ambiance festive quasiment permanente.

Il considéra son séjour chez les okamas comme une renaissance, dans tous les sens du termes. Pour la première fois, il fut immergé dans un univers de bons sentiments, de pitié, d'amour, de gloire, de tolérance, de liberté. Ces 8 ans que Salem passa chez ses nouveaux frères et soeurs okamas le changèrent du tout pour le tout. Son caractère bien trempé resista à la transformation, mais sa vision du monde, sa façon de voir les gens, et bien entendu ses manières vestimentaires... Il était résolu à devenir un homme meilleur.
Il fut formé, comme prévu, aux arts martiaux okamas, puisqu'il était désormais l'un d'eux. Egalement, il s'entraîna avec son fruit du démon. Heureux d'en mettre plein la vue à ses copines avec ses tours de magie noire, il se fit surnommer par le groupe d'allumés "Notre grande sorcière". I
l fit aussi quelques petits boulots dans leur communauté, telle que de la cuisine, dans laquelle il revèla un talent surprenant. Faisant toujours partie des révolutionnaires, il ne manquait pas de participer à quelques unes de leur opérations mineures dans la région. Et enfin, et bien entendu, il cultiva son style vestimentaire.

Au cours de ces 8 années, ses potes d'enfance, transformés eux aussi, partirent en mer pour vivre des aventures de leur côté. Des adieux déchirants, mais selon Salem, nécessaires : quand il les retrouvera, ils auront tous de leur côté rendu ce monde un peu plus beau et pourront se conter leurs péripéties.

Et maintenant, l'ex-chef de gang, aujourd'hui travesti souriant, quitte le nid douillet des okamas pour voler de ses propres ailes. C'est l'heure d'appliquer tout ce qu'il a appris !
______
Gnn, depuis le temps que je voulais jouer un trav.
Promis, c'est le vrai de vrai second compte.
Si je dois améliorer des choses pour prétendre au FDD je le ferai.
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Sid Langren
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MessageSujet: Re: Salem, la sorcière   Salem, la sorcière EmptyLun 6 Jan 2014 - 23:59

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je valide

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Seruma
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MessageSujet: Re: Salem, la sorcière   Salem, la sorcière EmptyJeu 9 Jan 2014 - 12:02

Je valide aussi. =)
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