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 Seiryuu no Kibachiyo [Terminé]

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Seiryuu no Kibachiyo
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Seiryuu no Kibachiyo


Profil Psy : Fier, honorable, vantard, téméraire
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Age : 31

[Feuille de personnage]
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• Wanted: 0
• Grade dans la Marine: /

Seiryuu no Kibachiyo [Terminé] Empty
MessageSujet: Seiryuu no Kibachiyo [Terminé]   Seiryuu no Kibachiyo [Terminé] EmptyDim 28 Sep 2014 - 17:28

- Présentation du personnage -


• Nom & Prenom : Seiryuu no Kibachiyo

• Surnom : Kiba

• Age : 21 ans

• Race : Homme-dragon

• Camp : Révolutionnaire

•Prime : Aucune, j'aime aussi commencer en bas de l'échelle, mais libre à vous de voir ce que je vaux o/

• Orientation psychologique : Neutre

• Métier/Spécialité : Aucun

• Pouvoir demandé : Ryuu Ryuu no mi

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Aucun pour le moment

• Code présentation [OBLIGATOIRE] à mettre entre les balises

◘ Caractère & morale : Tu te réveilles au milieu d'un village, il fait une nuit sans lune, de celles qui font régner les ténèbres autour de toi. Tu t'aperçois que tu es seul, pas âme qui vive à des kilomètres, si ce n'est nulle part sur toute l'île. Tu ne connais pas cet endroit, tu n'y es jamais venu, mais l'endroit ressemble à un lieu que tu as déjà vu, cependant tu es incapable de te le rappeler. Tu te poses de nombreuses questions, par exemple pourquoi es-tu seul ? Pourquoi tu as l'horrible sensation qu'un buster call va s'abattre sur le village d'une seconde à l'autre ? Comment en es-tu à te retrouver au milieu de la route en toute inconscience ? Bien entendu personne dans le personnel qui travaille dans ton cerveau ne peut te fournir de réponse valable et une angoisse t'envahit. Tu ressens de la peur, si injustifiée et soudaine que tu te mets à marcher pour quitter la ville, mais une boucle spatiale te ramène sans cesse au même endroit. Il ne fait aucun doute que tu aimerais te cacher et te terrer dans un coin pour ne pas te faire voir, mais tu es contraint d'errer au milieu de la voie, tout le monde peut te voir, le moindre passant éventuel. Tu vois que tu es habillé comme d'habitude mais sans ta veste à capuche de révolutionnaire, ton identité physique est dévoilée au grand jour. Tu prends peur et essayes de trouver de quoi te cacher, un tonneau, une caisse, mais soudain les ruelles s'écartent et un énorme projecteur s'allume et t'éclaire. Tu essayes de le fuir mais il te suit à la trace, tu représentes désormais la seule personne visible. Soudain des silhouettes apparaissent et te montrent du doigt, tes pires ennemis qui annoncent à la nuit son nom et prénom ainsi que sa fonction. Le déni semble être ce qui cause cette si grande peur, tu as beaucoup de choses à te reprocher mais tu ne veux rien entendre et tu persistes à te croire blanc comme neige. Cependant le gouvernement veut ta peau et tu as peur de te faire rattraper par les agents du Cipher Pol et ton passé. Malheureusement tu ne regrettes rien et c'est ce qui fait de toi une personne méprisable, car de nombreux civils veulent ta mort, mais toi tu les rejettes et continue ta route sans regarder en arrière. Un de tes plus grands défauts.



Malgré tout, tu restes quand même courageux comme tout homme digne de ce nom et tu sèmes finalement le projecteur dans une taverne. Le seul endroit où tu te sens en sécurité car tu sais que tes amis y sont et qu'il vont t'accueillir avec le sourire, qu'arbore déjà ton visage à cette idée. Malheureusement la lumière s'éteint et ceux qui te sont cher disparaissent en fumée comme des cendres sur lesquelles on souffle. Tu entends alors le piano jouer, le barman exactement, vu sa tenue. Il ne sourit pas en te voyant, et sa mélodie est plutôt agressive, mais soudain il gèle le dernier accord en maintenant le son avec la pédale. Le barman se lève alors te jette le journal du jour dans les mains. Surpris, tu regardes la première page et tu commences à lire l'article principal au sommet de la gazette. Un braquage de banque qui tourne à l'hécatombe à cause d'un jeune homme. Tu as du mal à comprendre, la photo est floue et tu ne sais même pas si elle montre un humain ou un porte-manteau plein. Cependant tu continues à lire et tu constates que cet homme a voulu jouer les héros et avait battu à mort un pirate avant de prendre la fuite. Malheureusement par vengeance, ses complices tuent tous les otages et le bienfaiteur est à présent perçu comme un lâche doublé d'un inconscient. Il aurait suffi de leur donner l'argent et de les coincer au bout de la rue mais il a choisi la violence et l'héroïsme inassumé qui représente la révolution. Tu vois le cliché devenir bien plus net et tu te reconnais en train de prendre la fuite. Tu ne comprends pas comment tu as pu te faire prendre sur le fait alors que tu avais pris soin de disparaitre comme le héros inconnu que tu voulais être. Cependant tout le monde t'a vu et peut à présent mettre un nom sur cette silhouette, Seiryuu no Kibachiyo, et tu te rends compte que si tu étais moins téméraire, tu aurais élaboré une stratégie. Maintenant tu entends la voix de proches des victimes pleurer tout en maudissant ce soi-disant héros qui avait voulu faire un accroc à ses idéaux en aidant un peu la marine à faire correctement son job. Malheureusement tu as tout fait de travers et les civils commencent à voir en toi une menace pour la société. À l'époque tu n'avais même pas encore rejoint la révolution, mais ce fut un des évènements qui t'avait poussé à combattre cette justice incompétente, même pas capable d'empêcher ce genre de méfaits.

De rage tu jette le journal par terre et tu le piétines sauvagement avant de sortir et de voir une foule de silhouettes noires brandir leurs armes vers toi et te frapper. Heureusement tu es un Zoan et tu résistes assez bien, cependant tu leur annonces que tu ne regrettes rien, que tu aimes foncer dans le tas, mais que par-dessus tout tu ne frapperas jamais des civils. Cette attention semble émouvoir tes agresseurs et ils diminuent la fréquence des coups, comme rongés par le remord. Tu sembles avoir un honneur très fort et ne pas vouloir de mal à la communauté, contrairement à l'opinion générale. En y réfléchissant, ils ne le voient dans aucune situation en train de poser le main sur un civil pour lui vouloir du mal, juste des petites tapes amicales ou un coup sur la tête pour aider à désaouler ses amis quand ils ne contrôlent plus leur bouche. Ils se rendent compte que tu n'es pas un danger et cessent de te frapper, après tout tu n'avais pas le pouvoir de regarder à travers les murs ni de lire l'avenir. Personne n'aurait pu deviner les complices en train de vider le coffre-fort, et il a agi par instinct en attaquant le premier homme armé venu. Tu ne pouvais pas savoir ce qui allait se passer.

Les ombres s'évanouissent alors et tu te relèves assez facilement, mais tu te sens toujours mal à l'aise. Tu entres alors dans un hall d’hôtel et tu prends une clé de chambre sur un des crochets du mur. Malheureusement une fois monté au bon étage, tu vois qu'aucune des portes n'indique un numéro, et quand tu tentes de revenir sur tes pas, tu te retrouves en face d'un cul-de-sac. La première indique "Orgueil", tu décides d'y entrer sans vraiment comprendre à quoi rime cette farce. Dedans tu découvres un monde où tu es noir, une aura obscure émane de toi, et tu es en train de te servir de ton autorité pour abaisser tous tes amis à tes pieds. Un rire maléfique s'échappe alors te la bouche de cette illusion qui te ressemble, tandis qu'elle leur marche dessus et se frotte les pieds sur leur dos comme de vulgaires paillassons. Tu ne te reconnais plus, tu vois un vrai monstre qui écrase son entourage par son orgueil et son égocentrisme, tu te vois bien être le meilleur et avoir détrôné tous tes supérieurs parce qu'ils sont faibles. Pourtant tu renies ce futur d'orgueil tyrannique et tu refermes la porte.

Tu vois que la seconde porte affiche "Témérité", tu l'ouvres alors en t'attendant au pire. Les bras et jambes en sang, tu te vois mutilé sur un échafaud d'exécution publique. Tu t'entends alors dire en riant que tu n'aurais peut-être pas dû t'attaquer à un ennemi aussi imposant et que ce poisson était visiblement trop gros pour lui et son orgueil. Deux gardes te coupent la tête dans ce monde fictif, tu mets alors la main sur ta bouche en voyant cette horreur et tu refermes vite la porte. Cependant tu ne veux pas croire que tu es aussi faible que pour te faire capturer, et tu hausses les épaules, largement assez confiant pour ne jamais penser vivre ça.

Tu avances alors vers la troisième porte qui indique "Honneur", mais tu ne l'ouvres pas, tu sais déjà que tu vas y voir des combats épiques que tu gagnes sans te rabaisser à frapper dans le dos ou un ennemi au sol, un combat purement réglementaire, et une victoire écrasante comme toujours. Tu bombes alors le torse en souriant, cette pensée venant flatter ton égo déjà assez énorme, et tu te diriges vers la porte suivante, une facette de toi que tu ignorais.

Sur le bois figurait "Déni" et "Peur", tu te rends compte alors que ces portes te montrent clairement chaque trait de ta personnalité, même si tu avais pu les apercevoir depuis longtemps. Tu t'aperçois que c'est un voyage dans sa conscience de plus en plus clair et tu ouvres cette porte. Derrière, tu vois des personnes blessées par ta faute dans le passé, elles t'enfilent des chaines et tu te sens devenir de plus en plus lourd. Ces silhouettes te demandent, visiblement une parmi de nombreuses autres précédentes, de te pardonner, mais tu refuses. Elles disent qu'elles ne t'en veulent plus, mais tu refuses de les entendre et tu essayes de te relever avec toutes ces entraves sur ton corps. Tu n'es pas du genre à regarder en arrière dans le passé, plutôt dans l'avenir et le présent, mais tu repousses cette peur que ton esprit fait germer en toi, et chaque jour tu améliores ta vie pour distancer ces erreurs passées. Les silhouettes continuent alors à t'enchainer et à entraver, tu t'entends alors dire que tu ne peux plus continuer longtemps à ignorer ce qui pèse sur toi, mais tu ne possèdes pas la clé de ces chaines. Tu voudrais bien oublier le passé et te délivrer, mais tous les jours tu sens cette étrange sensation qu'il va te rattraper, comme un voleur qui aurait peur de se faire coincer avec son butin en main alors qu'il se cache dans la rue. Pourtant tu persistes à repousser ton passé au lieu de faire la paix avec, car au final tu regrettes certaines choses, mais tu ne veux pas l'avouer. Un jour tu sens que tu devras rendre des comptes, mais tu ne veux rien savoir et tu continues à subir cette peur reniée, cette épée de Damoclès qui se rapproche de ta tête. Ton orgueil refuse cependant de la laisser s'abattre sur toi, et tu t'entends dire que tu vis très bien avec ça, même si ton corps souffre et qu'il vient de dire le contraire il y a une seconde à peine à travers ta bouche. Tu refermes alors la porte rapidement et tu te tiens le crâne pour oublier ce passé, mais la migraine te rappelle qu'il n'est jamais loin de toi et qu'un jour il te rattrapera.

La porte suivante affiche de nombreux mots, notamment "Amusement", "Dévouement", "Camaraderie" et "Joie". Sans hésiter tu ouvres la porte et tu tombes à genoux en voyant tes amis et toi-même en train de trinquer à un évènement ou un autre. Tu ressens une telle joie dans ton cœur que tu en oublies la peur, la culpabilité, et le poids du passé. Certes pas définitivement, mais tu sembles transfiguré, comme au paradis, en train de boire un verre avec tes amis. Tu te courbes alors et te laisses retomber sur tes mains plates en versant un torrent de larmes. De joie et de tristesse à la fois, car tu sais très bien que tu devrais expier tes crimes, et faire face à ton fardeau, mais qu'à la place de t'en soucier tu fais la fête avec tes amis. Tu vois que ce n'est qu'une façade pour montrer le pouvoir de ton orgueil, celui d'écraser toutes tes difficultés et tes fautes commises en profitant deux fois plus de la vie. Et quelle meilleure façon que de s'amuser avec ses camarades ? Tu adores cette sensation euphorique de joie partagée mais tu hais celle qui te rappelles que tu es méprisable et que tu ne mérites pas d'avoir des amis ni de faire la fête en toute liberté.

Sur la porte adjacente qui marque la fin du couloir, tu vois "Vie" accroché sur elle. En y voyant le contenu de la pièce, tu te vois combattre la marine avec tes amis dans une ambiance de rivalité sans la moindre haine envers l'autre camp. Ensuite durant ce long plan-séquence tu te regardes élaborer des plans ambitieux avec tes camarades, délivrer en secret des détenus, t'infiltrer dans des bases de la marine, payer des pirates pour tuer des témoins gênants, tendre des embuscades audacieuses, couler des navires de la marine, intercepter des informations confidentielles, et bien d'autres missions révolutionnaires. Au final tu refermes la porte et tu te dis que ces traits de caractère sont simplement ta vie et que tu ne l'échangerais pour rien au monde. Certes tu as fait beaucoup de mal, tu es trop impulsif, trop orgueilleux et vantard, mais au fond tu es satisfait de l'existence que tu mènes. Après tout que serait-elle sans un peu de stimulation ? Le héros parfait n'existe pas, Kibachiyo est juste lui, une personne méprisable au premier abord, mais tant qu'il fera son job de révolutionnaire efficacement, alors il n'aura rien à regretter de sa vie, absolument rien.

◘ Description Physique :Cette fois tu n’es plus en pleine rue mais dans une cellule de prison de la marine, mais étrangement tu sais que ce n’est pas en tant que prisonnier, car tu es incapturable, c'est bien connu. Pour commencer tu remarques qu’un courant d’air passe entre tes jambes, et que tu es nu comme un ver, certainement un mauvais tour. Tu comprends alors qu’il s’est produit une mutinerie car la base est dévastée de toutes parts. Plusieurs gardes sont étendus au sol, visiblement assommés avec une sauvagerie étonnante par des criminels avides de liberté. Jamais tu n’aurais cru qu’un jour tu te ferais emprisonner et que tu retrouverais la clé des champs de cette façon, mais tu décides d’en profiter. La rébellion n’a pas l’air d’avoir commencé il y a longtemps car des pirates et bandits en tous genres qui se baladent à la recherche de butin à piller. Tu n’es clairement pas intéressé par ces choses, bien que pour le moment tu sois à sec à ce niveau, on t’a clairement dépouillé de tout, sauf peut-être ta dignité toujours orgueilleusement intacte même avec un niveau de pudeur à zéro. Une âme charitable semble cependant avoir laissé un petit quelque chose pour toi, ta ceinture composée de quatre plaques de tissu rigide vertes aux bords jaune or, le tout relié par une bande solide de couleur rouge bordée de gris argent. Tu revêts alors ce seul morceau de look qui forme ton apparence sans rien de plus, juste ça et ta peau bleue de dragon. Bizarrement cela ne te gêne pas du tout de rester nu, un homme ne devrait pas rougir de si peu, surtout avec un corps aussi bien entretenu, selon toi.

Tu te relèves alors et commences une série d’étirements dans tous les sens afin de te préparer à rosser du pirate pour retrouver les pièces du puzzle de ton look. Heureusement tu sais que peu de pirates ont quitté la base, et pour ceux qui auraient détalé, en voyant par la fenêtre, tu constates qu’ils n’ont rien qui soit à toi. Tu soupires alors de soulagement et pars à la conquête du reste de tes vêtements et accessoires qui constituent ton apparence extérieure. Bien entendu tu n’as rien contre ces pirates, mais ils n’avaient pas à voler un de leurs semblables criminels, il y a des choses que tu ne peux tout simplement pas permettre. Le regard sévère et la marche lente mais décidée, tu sors du local des cellules sans même accorder un regard aux marines blessés, retrouver tes habits est quand même plus important. Tu reconnais alors quelque chose qui t’appartient dans les mains d’un des pirates cherchant ses armes, ou plutôt sur ses mains, car il ne s’agit pas moins que de tes gants. D’une couleur bleu indigo un peu "sale", ils sont débutés par deux bandes noires aux reflets blancs, ce qui leur donne une apparence unique et reconnaissable parmi des centaines. Sans plus attendre tu le prend par la gorge et tu l’envoies traverser une cloison en pierre, avant de reprendre délicatement ta paire de gants en prenant bien soin laisser l’homme bien inconscient. Tu n’es pas du genre à tuer, surtout qu’une personne comme toi a besoin des pirates pour exécuter les tâches ingrates de la révolution ou servir de sacrifice, alors tu te contentes de l’amocher comme il faut et de laisser Morphée faire le reste. Il n’a même pas eu le temps de te toucher qu’il se voyait déjà démolir un mur avec son dos, mais tu ne regretteras rien, tant que c’est dans ton intérêt.

Sans transition, tu scrutes les alentours à la recherche des accessoires censés compléter ta tenue, tu te dis que tu ne devrais pas avoir trop de mal vu tout ce que tu arrives à énumérer dans ta tête, parmi ce qu’il te manque. Tu vois alors un autre pirate se balader avec ta combinaison bleu marine à bandes blanches sur les flancs, sans doute est-il fier d’avoir dépouillé un pauvre Zoan. Tu prends alors une pierre sur le sol et tu la fracasses sur sa tête, avant d’insister jusqu’à l’assommer, quitte à lui ouvrir la tête par zèle. Tu lui reprends alors ta combinaison tout aussi délicatement et tu t’empresses de la revêtir sans plus tarder en resserrant ta ceinture afin qu’elle tienne bien. Tu te sens alors beaucoup plus à l’aise, tes mouvements se font de plus en plus rapides quand tu essayes de frapper le vide pour te réadapter. Derrière tes gants tu sens enfin tes bons vieux poings pulvérisants et tu en profites pour chercher la salle d’entreposage des armes, car il te manque bien la tienne, à n’en point douter. Tu sais que tu ne serais quasi rien sans ta hallebarde, ce pourquoi tu voudrais bien la récupérer le plus vite possible afin de pouvoir te montrer encore plus efficace. Malheureusement tu t’y perds dans ces dédales de pierre que sont cette base, et au lieu d’ouvrir sur cette salle, tu prends sur le fait un bandit en train de fouiller la chambre d’un marine.

Bien entendu il aurait très bien pu continuer de le voler, si ce pirate d’eau douce ne portait pas aux poignets et à la taille tes protections rigides de couleur jaune bordées de rouge. Tu le prends alors par surprise et tu lui enfonces la tête dans l’oreiller du lit présent pas loin. Lui coupant la respiration, tu l’étouffes petit à petit en repoussant ses assauts vains et désespérés, jusqu’à ce qu’il s’évanouisse par manque d’oxygène. Tu détaches tes protections de ses bras, le laissant retomber sur le sol de tout son poids, et tu les enfiles à tes jambes et à ton épaule gauche, te permettant alors de démolir tout ce que tu veux sans même endommager tes rotules ni ton épaule et bras gauche, sans pour autant restreindre tes mouvements. Fier d’avoir retrouvé autant de parties de ton look en si peu de temps, tu commences à retrouver ton aise habituelle et ta fureur de détermination caractéristique. Tu te dis qu’il ne te reste plus grand-chose à récupérer, mais ton arme n’est pas la moindre de ces choses, ce qui fait que tu ne peux pas te permettre de l’oublier dans une base de la marine. Malheureusement tu ne sais par où chercher, mais tu gardes espoir que par élimination tu finisses par tomber dessus.

Tu continues alors ta route en direction des responsables du dépouillage, jusqu’à ce que tu reconnaisses curieusement le dernier accessoire qu’il te manque. Tu suis alors le porteur de tes jambières noires et amples et tu te contentes de lui sauter à la figure afin de le rosser efficacement. Une fois ton voleur au sol pour un bon moment, tu reprends ton dû et tu respires un grand coup, sentant que rien ne manque parmi les pièces de son look, et tu soupires de soulagement. Mais il te reste encore le plus important à retrouver, et il te faut bien admettre que tu ne sais pas du tout comment t’y prendre pour trouver cette porte cruciale qui mène à ton petit bijou. Cependant tu peux enfin te transformer en ta forme hybride afin de passer aux choses sérieuses, si jamais quelqu’un garde la pièce qui abrite ton hallebarde. Une longue queue illuminée sort alors d’entre tes omoplates et descend légèrement en pente le long de ta colonne vertébrale tout en s’éloignant de ton corps au fur et à mesure que le bout se fait voir. Une touffe de poils surgit alors que la progression de la taille de ta queue animale arrivait à son terme. Soudain la lumière qui l’enveloppait se disperse dans l’atmosphère et laisse apparaitre une queue écailleuse et de couleur bleu, avec une crête de pointes rouges recourbées vers l’arrière, et une touffe brillante de longs poils rouge vif. Ta tête se transforme alors, tes cheveux rouge carmin se replient vers l’arrière, tes oreilles se mêlent à la morphologie draconique de ton crâne pour faire apparaitre un museau, deux cornes en éclair repliées en arrière, et des oreilles plus éloignées et allongées. Tes doigts deviennent plus griffus et plus solides, tandis que tes pieds s’agrandissent pour ne laisser que trois doigts de pied apparaitre, deux à l’avant et un à l’arrière, comme des serres de rapace.

Tu te sens enfin prêt pour la bataille, mais tu réalises que certains pirates ont retrouvé leurs armes et que le local doit être vide. Tu cherches alors ta hallebarde des yeux et heureusement tu la retrouves vite, de son apparence très peu commune et imposante. Sans hésiter, tu t’approches furtivement de lui et tu lui reprends violemment ton dû, n’ayant pas d’autre choix que d’attirer son attention. Cependant tu as l’avantage et tu t’apprêtes à le poignarder, quand il plaque ses deux mains contre la lame et la stoppe. Tu as beau avoir un torse fier en muscles et des bras bien taillés pour le combat violent, tu ne fais pas le poids devant cette brute épaisse. Heureusement tu as prévu plus d’un tour dans ton sac et tu as l’intention de lui faire payer coûte que coûte, même si tu dois perdre un peu de temps ou te blesser. Tu diriges alors les mains du bandit vers le sol et tu utilises la pointe de ta hallebarde afin de prendre appui et lui décrocher un splendide coup de pied en pleine figure, ce qui le déboussole. Sans attendre qu’il reprenne ses esprits, tu lui entailles un bon coup le torse en diagonale afin de l’affaiblir et tu le termines par un violent coup de garde à l’arrière du crâne, ce qui l’assomme pour de bon.

Ainsi tu récupères la dernière pièce du puzzle et tu peux enfin sortir de cette maudite base où on semble t’avoir retenu contre ton gré, bien que te dire ça dans ta tête sonne quand même peu réaliste. Après tout, aucune prison ne peut te retenir, selon toi, tu es tout simplement impossible à capturer et à vaincre, bien que tu ne puisses pas prétendre vaincre la Terre entière pour autant. Finalement c’est de ton rêve que tu ressors, en sueur et le cœur qui bat à tout rompre. Tu passes alors tes mains sur tout ton corps afin de sentir les différents habits que tu portes, sans oublier de vérifier de vérifier la présence de tes protections sur ta table de chevet. Ta hallebarde t’attend évidemment sous ton lit, tu la prends alors et l’admires avec plus d’attention que jamais, comme si tu avais soudain peur de l’avoir perdue pour de bon. Tu caresses alors le manche irrégulier comme du corail, de couleur noir tirant vers le gris, tandis que tes mains remontent toucher le symbole du Yin et du Yang au centre de l’arme. Tu sens les deux cornes sur les flancs qui ont déjà beaucoup poignardé, et au final tu les fais glisser sur le plat de la large lame jaune sur laquelle est écrit en noir son nom, Gekiringa. Tu es heureux d’avoir vécu tout ça en rêve au lieu d’en réalité, et tu te rendors alors paisiblement en souriant, sans même te douter de ce qui pourrait t’attendre encore dans ta tête avant ton réveil du matin…

◘ Histoire :

Chapitre un : Ambition, planification, malédiction

Parfois les gens tombent sur des ennuis dans la vie, par malchance ou parce qu’ils ne se sentent pas en confiance, mais Kibachiyo n’avait rien de tout ça en lui. Il choisissait délibérément d’exécuter les actions qui pourraient mener à la catastrophe en parfaite connaissance de cause. On peut parler de malheur, mais il a toujours estimé que c’était le destin qui avait choisi de mettre ces obstacles dans son chemin. Ainsi il ne regrettait rien, pas même les pires actes qu’il pouvait commettre dans sa vie, même si jusque là il n’avait encore rien fait d’aussi grave. Cependant ça ne le pardonnait pas pour tout ce qu’il faisait, et il n’en avait pas conscience, ou repoussait cette redevance au quotidien.

Comme beaucoup de gens, il a grandi dans un milieu aisé, ni pauvre ni riche, une famille normale sans histoire qui enfanta un fils unique comme tous les autres. Kibachiyo se montrait vite insouciant et nonchalant, il avait aussi une bonne estime de ses compétences générales ; quand il s’agissait de dessin, il le brandissait bien vers ses parents, même si cela laissait beaucoup à désirer dans pas mal de cas, vu son jeune âge. Aussi, quand il s’amusait avec ses amis d’autres familles dehors, il prenait toujours les rôles important, capitaine de l’équipe si possible, ou un personnage qui guide ses compagnons vers la victoire, et il avait même travaillé ses poses de victoire. Ses parents ne s’inquiétaient aucunement de tout ça, après tout il n’y avait aucun mal à avoir faim de responsabilités, mais ils ne comptaient pas lui laisser gérer le portefeuille familial pour autant. Au moins Kibachiyo montrait un leadership clairement supérieur à la norme chez les enfants de son âge, mais cela n’attirait pas vraiment le regard des parents proches de ses amis, ceux-ci étaient même contents d’avoir un chef à suivre, même si il était parfois un peu trop fier de lui. Néanmoins dans son orgueil il savait faire de la place pour ses amis en bas de page, bien qu’il ne les estimait jamais vraiment à son égal. Il n’aimait pas beaucoup la violence, mais n’hésitait pas à l’utiliser si nécessaire, quand des voyous voulaient leur voler leurs biens comestibles. Kibachiyo se retrouvait souvent blessé à cause de ça, mais ses parents trouvaient ça à peine dérangeant et le soignaient volontiers à chaque fois ; après tout tant qu’il ne revenait pas avec un œil en moins, des os saillants et des membres tordus, il n’y avait pas de quoi s’inquiéter. Ses parents n’avaient pas l’âme confortante, ils voyaient surtout que le monde n’allait pas lui faire de cadeaux une fois qu’il aura choisi sa propre voie dans la marine ou la piraterie, il fallait bien qu’il se fasse les mains un jour ou l’autre.

De nombreuses personnes pensent qu’un enfant ne change jamais, même avec l’éducation la plus stricte, une fois qu’il s’est découvert une vraie personnalité, plus aucun moyen n’existe pour le modifier. C’était on ne peut plus vrai pour Kibachiyo, car atteint l’âge de l’adolescence, il menait toujours sa petite bande vers des sommets toujours plus hauts dans l’importance dans la ville de Big Town. Les voyous avaient beau les rosser une première fois, ils se faisaient toujours inévitablement vaincre à la fin, que ce soit du premier ou du deuxième coup. Selon lui, se faire écraser au premier round était une bonne chose car il se serait arrangé pour forces ses adversaires à dévoiler leurs compétences avant la défaite, et ainsi il aurait assuré facilement la seconde fois. Bien entendu il avait loin d’avoir la stratégie infuse, mais il se débrouillait bien et ça lui réussissait, la tactique du rentre-dedans fonctionnait toujours, car la moindre hésitation pouvait conduire à la défaite. L’air de rien il se conduisait déjà comme un petit chef intimidant et savait rendre les combats épiques dans beaucoup de cas rien qu’en travaillant son entrée et en établissant des stratégies bizarres comme laisser un joker de côté afin qu’il leur apporte un soutien de dernier recours. Etrangement il aimait bien se battre, surtout contre des adversaires plus nombreux ou plus imposants, et ses compagnons le suivaient dans tous les cas, surtout si ils pouvaient devenir plus forts grâce à ça. Avec Kibachiyo ils se sentaient protégés par un bastion infranchissable, ou couverts par une bouée de sauvetage gonflée à bloc en cas de chute à la mer, même si il n’avait rien de particulier. Il avait cependant beaucoup réfléchi à son avenir et ce qui le rendait charismatique était ce fait précis, il savait exactement ce qu’il allait faire, dans une heure, un jour, une semaine, un an, ou une décennie.

Pas seulement ses muscles, mais sa locution se faisait de plus en plus théâtrale et ses adversaires se voyaient obligés de reconnaitre qu’il avait une grande puissance de persuasion et savait de mieux en mieux mentir. Ses parents trouvaient ça mignon de l’entendre parler de captures de pirates primés de dizaines de millions de berrys, de braquage de banque entravé, ou encore d’infiltration dans un gang qui trafiquent des armes. Ils savaient bien entendu que c’était faux, mais voir une telle envie de vivre faisait chaud au cœur, et ils l’encourageaient à aller de l’avant. C’était évident qu’il deviendrait vite une grande personne influente dans une dizaine d’années, mais pour le moment il n’était encore qu’au début de sa vie et il avait encore du chemin à faire avant d’arriver ne serait-ce qu’au pied de la montagne de sa vie. Pour y parvenir, ses parents économisaient beaucoup d’argent afin de lui offrir la possibilité de franchir le premier échelon et ainsi prendre son envol dans son existence. C’est ainsi qu’à l’âge de ses vingt ans qu’ils décidèrent de lui donner ce cadeau aussi précieux et unique au monde, quelque chose qui allait le propulser très haut. Cependant il était accompagné d’un dilemme cornélien dans lequel Kibachiyo devait trancher. Ils avaient économisé pour acheter un fruit du démon à une base de la marine sur une île voisine, un Zoan selon les marines, ce qui devait lui donner un fameux atout en force.

Visiblement troublé et touché par l’offre de ses parents, il ne savait plus vraiment comment réagir au final, si il devait se lancer ou refuser le cadeau. Il était déjà devenu un beau morceau, musclé à point avec ses entrainements et assez influent pour mener une bande d’inconnus vers la popularité et la notoriété. Certes ça lui avait pris des années, mais il avait bien en lui cette âme de conquérant qui faisait de lui bien plus qu’un adolescent ambitieux. Il se sentait prêt à s’offrir au monde, mais il redoutait de ne pas pouvoir être de taille face à la malédiction du fruit du démon. Finalement il choisit de mordre dedans en se disant que chaque fruit devait être exploitable et qu’il trouverait bien de quoi faire ressortir quelque chose de lui. Il ne lui restait plus qu’une seule chose à faire, maitriser son pouvoir à la perfection afin de s’imposer dans ce monde hostile, mais avant, le découvrir et savoir quoi faire d’un tel pouvoir. Avec le cadeau, ses parents avaient trouvé un livre qui parlait de ces fruits, ce qui lui servit beaucoup. Il apprit par exemple qu’il n’existait pas deux fruits identiques par génération, qu’une fois une personne morte, le pouvoir se réincarnait en un autre aliment naturel comme une pomme, le rendant lui-même maudit. Mais il découvrit alors les particularités de chaque classe, comme quoi les Paramécia rendaient l’utilisateur surhumain dont les capacités dépassaient l’imagination, les Zoan étaient liés à un animal qui conférait sa puissance à la personne, et pour finir les Logia qui donnaient un pouvoir élémentaire au mangeur. Tout ça avait l’air intéressant, mais pour le moment il avait un autre projet dans sa tête, juste avant la découverte de son fruit. Kibachiyo voulait se lancer dans une voie bien précise, la voie du ninja, dont la discrétion et l’efficacité ne faisaient aucun doute. Ainsi il pourrait facilement accomplir son rêve, jusqu’alors caché au monde : devenir révolutionnaire et renverser le gouvernement.

Chapitre deux : Les flammes de la rage

C’est ainsi que Kibachiyo partit à la découverte de son pouvoir dans la nature afin d’exploiter au mieux son nouveau pouvoir et ainsi être apte à tenir tête aux plus grands révolutionnaires. Il voulait non pas attirer l’attention de potentiels examinateurs, il voulait les terrasser sans même la moindre pitié, leur prouver qu’il a déjà la force pour résister à d’autres détenteurs de pouvoir. Cependant ce n’était pas suffisant, il fallait commencer par s’accoutumer au monde sauvage, et pour un jeune homme de vingt ans comme lui qui n’a jamais vécu que dans une maison de ville urbaino-campagnarde, c’était difficile. Cependant il se disait qu’en tant que Zoan cette habitude pourrait être prise plus vite que la normale, surtout en s’attaquant à des animaux sauvages. Malheureusement ça ne lui suffisait pas comme arme, son corps se faisait constamment repousser par les plus balèzes et il ne pouvait que fuir pour ne pas se faire tuer. Il décida alors d’utiliser toutes ses économies afin de demander au forgeron de sa ville de lui fabriquer une arme afin de se défendre. Pas une simple lame, quelque chose de solide et d’efficace, comme une hallebarde à double tranchant. Il en avait fait un dessin plutôt précis sur une feuille, et d’un air déterminé il se présenta devant l’artisan en lui montrant une liasse de billets capable de faire baver n’importe lequel de ses collègues. Cependant pour ne pas se faire entuber, il garda l’argent et s’assit en tailleur devant sa boutique afin qu’il ait confiance que le client ne s’enfuie pas en le laissant travailler gratuitement. Le feu brûlait dans la cheminée, le métal rougissait, le marteau sonnait contre le métal, la fumée s’échappait du bac rempli d’eau, cette combinaison se répétait régulièrement. Meublé tel de l’argile, sa hallebarde se formait entre ses mains de plus en plus, la garde irrégulière s’allongeait de plus en plus et on pouvait remarquer le côté tranchant naitre petit à petit. Ce n’est qu’une fois la nuit venue qu’il finit son travail, donnant alors au jeune homme l’arme dont il avait besoin, parfaitement argentée et dépourvue de la moindre couleur. Cependant les formes y étaient comme sur le dessin, le relief et tout ce qui allait avec.

Visiblement fier de sa nouvelle acquisition, Kibachiyo remit la liasse de berrys dans les mains de l’artisan et tourna les talons. Le métal était encore chaud et semblait pouvoir se plier au moindre mouvement, mais ce n’était qu’une illusion, car le test de solidité se montrait très concluant, il avait fait une bonne affaire. Il repassa alors chez ses parents comme tous les soirs afin de peindre sa nouvelle arme, mais ceux-ci ne lui en laissèrent pas l’occasion et l’incitèrent à aller dormir, apparemment inquiets de ne pas le voir rentrer. Un petit sourire aux lèvres, le jeune homme monta dans sa chambre et déposa sa hallebarde couchée sur le sol, avant que son corps ne fasse de même sur son lit. Il était vraiment ravi d’avoir reçu un nouveau compagnon de voyage et s’impatientait déjà de pouvoir le tester en temps réel dans la forêt. Il avait surtout hâte de le montrer à ses amis afin qu’ils se sentent encore plus en sécurité auprès de leur chef, ce qui était important pour eux, et pour lui aussi.

Le soleil s’était à peine levé, le lendemain, que Kibachiyo commençait déjà à peindre son arme avec la peinture à l’huile que gardaient ses parents pour les garnitures décoratives. Un joli Yin Yang était dessiné sur le centre de l’arme, alors que le plate de la lame bénéficiait d’ornements tels que son nom, Gekiringa. Le tout avec un manche de couleur sombre entre le mauve et le noir, la hallebarde était prête à l’utilisation et elle n’attendait sûrement qu’à ce que son propriétaire la stimule au mieux. Il la laissa alors sécher à l’air libre dans sa chambre et alla retrouver ses amis comme à son habitude depuis des années. Cette fois ils avaient pour mission de s’occuper d’une intimidation chez un groupe de voyous qui sévissait dans le coin, leur coin. Chacun tenait en main du produit inflammable à utilisation nettoyante afin de commencer leur petite intimidation en mettant le feu à leur local pendant que la bande était partie, et ainsi les mettre devant le fait accompli et devant leur impuissance flagrante. Malheureusement certains semblaient hésiter à employer de telles méthodes rien que pour prouver leur supériorité, ils pensaient clairement qu’ils risquaient de devenir comme ceux qu’ils méprisent et reculaient de plus en plus, entrainant d’autres camarades avec eux. Kibachiyo devait alors continuer avec le peu qu’il lui restait à disposition pour mettre le feu à leur planque. Heureusement elle se trouvait en pleine forêt et donc personne n’irait remarquer un petit feu de camp, même de la taille d’une cabane. Cela lui faisait penser d’ailleurs qu’ils devaient aussi posséder un local de réunion, mais pour le moment il préférait établir sa priorité principale.

Lui et ses amis commencèrent alors à entourer la maison avec autant de produit suffisant afin de ne laisser aucune chance au bois de réchapper au brasier. Un bruit d’allumette à silex retentit alors, avant qu’une flamme ne fasse le tour du bâtiment et ne commence à monter vers le toit. Malheureusement il sembla que le timing n’était pas bon et il vit bientôt des personnes sortir de la maison en torches vivantes en essayant de cesser la consumation, mais en vain. Tout ce qu’ils faisaient c’était mettre le feu à des arbres, rendant le brasier de plus en plus grand sans le vouloir. Leur petite mission prenait de trop grandes proportions, il ne devait pas y avoir de victimes et en plus le petit feu de joie devenait un véritable incendie qui touchait de plus en plus d’arbres. Alors que Kibachiyo s’enfuyait avec ses comparses pour éviter de se faire reconnaitre par les éventuels témoins ou survivants. Malheureusement pour lui, la marine de l’île s’en mêla et l’affaire devenait d’un ressort tout autre, car toute l’île allait découvrir son œuvre. Les flèches se tourneraient alors toutes vers Kibachiyo et ses complices, il avait largement le mobile pour commettre une telle chose, personne de neutre ne pouvait confirmer sa présence ailleurs lors du méfait, et il était le chef d’une bande de gamins marginaux.

Il ne tarda pas à faire la une des journaux locaux, une fois que la marine eut fait le lien avec lui, alors que le coupable prenait toute la responsabilité sur lui par défaut. Ses complices ne savaient pas trop comment réagir, mais ils se souvenaient que c’était leur chef et qu’à lui seul il pouvait endosser cette responsabilité sans pour autant se faire enfermer facilement. Il se vit alors contraint de s’exiler du village et de ses alentours et d’aller se réfugier en forêt avec comme seul compagnon sa hallebarde. Au moins maintenant il n’avait plus besoin de cette bande d’adolescents peureux et hésitants, il pouvait mener sa propre vie à partir de maintenant, et ça lui plaisait beaucoup. Il se mit alors à l’entrainement comme tout bon combattant qui se respecte, d’abord en exerçant sa force sur des troncs d’arbres rembourrés avec de la mousse végétale attachée avec du lierre. C’est en se rappelant à quel point la marine était fouineuse que sa rage augmenta jusqu’à des proportions inimaginées, et qu’il se transforma pour la première fois en créature mi-humaine mi-dragonne. Une longue queue était apparue depuis l’interstice entre ses omoplates, et la morphologie de ses mains et pieds avait changé, sans compter que sa tête était carrément tout sauf humaine, à part son menton et sa bouche. Il était donc devenu un dragon humain, cette fameuse sorte de Zoan qui allait lui conférer la puissance nécessaire pour virer ce gouvernement afin de trôner sur le monde, lui et ses compagnons fidèles et courageux, sans la moindre peur de voir trop grand. Malheureusement pour le moment il n’arrivait à se transformer que quand sa rage atteignait son paroxysme, mais il comptait bien maitriser cette bête qui dormait en lui.

Chapitre trois : La voie du ninja

Avec le temps, ses entrainements devenaient de plus en plus aisés et il arrivait à se mouvoir plus facilement dans la forêt. Au début il avait du mal à bondir avec son arme dans le dos, mais à force d’endurance il apprit très vite à supporter le poids constant sur ses épaules, pas seulement celui de son arme. Kibachiyo devenait de plus en plus rapide et agile à force de slalomer entre les arbres, comme si il les dribblait, au prix de quelques muscles cependant. Mais au moins sa vitesse devenait de plus en plus grande et il pouvait facilement bouger avec sa hallebarde accrochée dans le dos. C’était le minimum qu’il pouvait faire pour devenir un vrai ninja, augmenter ses compétences physiques. Il ne s’était jamais senti aussi bien, le grand air lui donnait du cœur à l’ouvrage et jamais il ne se sentait flemmard quand il s’agissait de courir afin d’entrainer son endurance. Il était certes du genre à foncer dans le tas, mais il se rendait compte de plus en plus que si il voulait se cacher de la marine, il devait aussi savoir se camoufler et surtout maitriser les attaques furtives. Plus il devenait rapide et plus il se sentait comme un vrai ninja aussi vif que le vent et aussi habile qu’une balle de caoutchouc rebondissant entre des parois d’une grande boite. Parfois il laissait voir ses attributs de dragon quand il sautait d’une branche à l’autre, mais personne ne se trouvait là pour l’admirer en plein entrainement, à son grand malheur. Il aurait voulu rencontrer un maitre dans l’art qu’il désirait perfectionner, mais il redoutait de retourner dans son village natal, il ne tenait pas à se faire rouer de coups, lapider par les villageois en colère d’avoir perdu leurs enfants et leurs arbres. Même si l’incendie avait été maitrisé et éteint, il n’en demeurait pas moins intense dans le cœur de ceux dont il avait brisé la vie en assassinant de sang froid leurs proches. Il se disait au fond de lui que même ses parents pourraient vouloir son emprisonnement pour ce qu’il a fait, mais pour le moment il n’avait plus besoin d’eux.

À défaut de trouver un sensei pour lui apprendre la voie du ninja, il se contentait de simplement augmenter ses réflexes, sa vitesse de pointe, son agilité, et son endurance, tout ça en courant et en utilisant les troncs comme appui. Petit à petit, son instinct prenait forme et son côté animal se réveillait tout aussi lentement, rendant ses transformations de plus en plus longues. Ainsi avec ses griffes de dragon il pouvait plus facilement accrocher l’écorce des arbres et s’y cramponner comme à un mur d’escalade. Mais il ne se sentait toujours pas satisfait et il sentait comme un manque toujours présent. Pourtant il passait toutes ses journées à s’entrainer sans relâche, à décupler ses aptitudes en vitesse et en agilité, il apprenait même à manier sa hallebarde, mais pourtant ce manque ne disparaissait pas. Il fallait qu’il trouve une méthode pour se camoufler dans tous les décors possible, mais il ne savait pas du tout comment faire. Ce pourquoi il reprit son petit entrainement et y ajouta une tentative de technique à ses objectifs. Bien entendu courir sans cesse pour augmenter encore et toujours son endurance et sa vitesse, sauter sur les arbres pour son agilité, et manipuler son arme pendant des heures, tout cela était très stimulant et il se retrouvait souvent au sol en train de haleter d’épuisement, incapable de faire le moindre mouvement. Cependant il devait se cacher de la marine et beaucoup mieux que simplement se planquer dans l’ombre et surgir quand il faut.

Au fil des jours, Kibachiyo se perfectionnait en matière de compétences de ninja, mais ne voulait pas encore aborder les révolutionnaires car le moment n’était pas venu, mais un jour il savait que ce serait la fin de son entrainement et là il se lancerait sans hésiter.

Chapitre quatre : Le dragon et le pirate

Tout d’abord, le jeune homme devait prouver sa valeur pour rejoindre la révolution qui venait de prendre le pouvoir sur l’île en détrônant la marine. Pendant cette année d’exil le gouvernement avait emprisonné toute la population des villages et au final elle trouva la force de se soulever grâce à la révolution à qui elle a insufflé une puissance incroyable. Kibachiyo devait lui aussi faire partie de l’histoire, et bien qu’il ignorât tout des évènements derniers, il avait envie de jouer au héros, juste une dernière fois. Et il n’y avait rien de tel que rosser quelques pirates à l’œuvre en train de commettre un délit, même si c’était risqué. Cependant la chance finit par lui sourire lorsqu’une attaque à main armée éclata dans une banque, par une après-midi grise de nuages. Apparemment c’était pour lui la chance de se faire pardonner pour l’incendie volontaire auprès de son village, et il comptait bien la saisir à pleines mains. Il se faufila alors dans le bâtiment par la sortie de derrière et vit le pirate en question tenir en joue une foule d’employés et de clients, sans doute un simple hold-up. Sous sa forme hybride, il vola littéralement au secours des otages en transperçant de sa lame le torse du pirate, une élimination claire et sans accroc. Il reprit alors sa forme humaine et clama haut et fort qu’il n’avait pas un mauvais fond et qu’il ne voulait pas tuer ces voyous un an plus tôt, avant de s’enfuir furtivement par le même chemin sans le moindre bruit, comme une ombre de la mort planant sur la criminalité. Malheureusement deux complices revinrent peu après, les bras chargés de billets de banque dans plusieurs sacs, et virent leur chef assassiné par un héros. Comme personne ne se désignait comme coupable, ils n’eurent aucun scrupule à abattre de sang froid les otages un par un, alors que leur sauveur était parti avant d’avoir fini le boulot.

Ce n’est que le lendemain qu’il vit son nom en première page, ainsi que la tragédie dans la banque qui avait fait de nombreux morts parmi les villageois. Après ça, plus personne ne pouvait le laisser en vie, il devait s’enfuir pour de bon dans un village qui n’a guère connaissance de ces évènements locaux et regrettables. Il pourrait peut-être en profiter pour corser ses entrainements quotidiens tout en cherchant à rejoindre la révolution, à présent la seule entité apte à l’accepter tel qu’il est sans l’enfermer en prison pour le restant de ses jours. Il ne pouvait plus compter sur la marine, celle qui n’était même pas capable d’emprisonner les pirates et d’empêcher ce genre de crimes de se produire. La révolution devait terminer le boulot une fois de plus face à cette marine incapable qui laissait l’anarchie derrière elle. Maintenant qu’il avait terminé de maitriser sa forme hybride et qu’il était capable de permuter quand il le voulait, il ne restait plus qu’à montrer ses talents de ninja aux grands bonnets de la révolution et avec de la chance faire partie des commandants les plus influents sans passer par les petits rangs insignifiants. Dans sa petite barque à rame, il mettait les voiles vers une contrée bien plus lointaine, une autre île du nom de Jingle World.

• Exemple de post RP : La pluie tombait avec force sur le sol, les gens partaient rapidement s’abriter, les nuages gris menaçaient le ciel de Logue Town. L’eau coulait à flot dans les rigoles du trottoir jusque dans les égouts, alors que Kibachiyo marchait dans les rues sous sa forme humaine par défaut pour passe inaperçu. Aucun vent ne soufflait dans les environs, alors que les trombes d’eau coulaient en masse, frisant l’inondation de la ville. Mais cette fois, le jeune homme n’allait pas s’abriter, il aimait recevoir ce genre de fraicheur sur le dos et le crâne, ça le forçait à marcher plus lourdement, même si il n’aimait pas trop cette sensation d’humidité. Il estimait évidemment que trop s’attacher à l’eau lui serait vite fatal, surtout en mer, mais il se disait que dans un climat aussi humide, il aurait une faible impression de ce que ça fait de pouvoir se baigner en entier sans devoir se débattre. Gekiringa en travers du dos, Kibachiyo attirait beaucoup l’attention, même si la population était partie s’abriter chez elle bien paisiblement. Ils pourraient vite croire que c’est un vagabond chasseur de primes, et c’était en effet le cas aujourd’hui. Il n’avait plus de quoi se payer à manger depuis longtemps et il avait besoin de revenus, cependant il ne pouvait pas se présenter à la marine ainsi et dévoiler son identité. Ce pourquoi il avait besoin de trouver une solution, et quoi de mieux que d’écumer les tavernes à la recherche d’un petit équipage primé ?

Visiblement il y en avait beaucoup dans le coin, mais peu de pirates osaient sortir à cause de la réputation de Logue Town, alors ils se terraient dans des cachettes difficiles à trouver pour la marine. Cependant Kibachiyo n’eut pas à chercher longtemps pour dénicher une tête mise à prix, selon ce qui figurait sur les avis de recherche qu’il avait ramassés un peu partout. Il entra alors dans la taverne en question afin d’aller directement trouver ce criminel et le livrer à la justice afin de se payer un bon repas. En pénétrant dans l’établissement, le barman lui ordonna de sortir pour ne pas transformer son bar en piscine, vu le taux d’humidité qui régnait sur ses vêtements. D’un froncement de sourcils, le jeune homme dégaina sa hallebarde et la pointa sur la tête du barman avant de retirer son t-shirt avec l’autre et de l’essorer à une main en la tendant dehors, avant de le remettre et de ranger son arme comme si de rien n’était. Il n’avait pas envie de plaisanter, surtout pas avec l’argent, il fut d’ailleurs étonné que l’homme refuse un client dans sa taverne sous prétexte qu’il aura la flemme de tout nettoyer, ou autre chose. Une fois sa cible repérée, il s’assit derrière les membres de l’équipage en question afin de les surveiller. Son entrée avait fait tourner beaucoup de regards, mais ceux-ci revinrent dans leur précédente position une fois sa hallebarde pointée vers la tête du barman. Comme si ils voulaient vérifier que ce n’était pas un marine banalisé et qu’il s’agissait bien d’un pirate ou au moins d’une personne avec une bonne paire de roubignoles. Sans attendre plus longtemps, il se leva pour rejoindre le groupe dont la cible faisait partie, se faisant évidemment remarquer. Il avait conscience que dans ce genre d’endroits les bagarres éclataient facilement, et il comptait bien sur ça.


-Tu nous veux quoi, étranger ? Tu sais qui on est ?

-Capitaine de l’équipage des Billion Buffalo, prime de…trois millions de berrys. Ton comparse a une prime de cinq-cents-mille berrys, ce qui fait en tout une belle somme. De quoi faire peur à des petites filles de campagne.

-Exact, je vois que tu ne manques pas de cran pour nous parler comme ça ! Et quoi tu veux nous rejoindre ? Nous capturer ? Nous servir de figure de proue ?

-Tu as mis dans le mille pour la seconde option, je suis venu pour vous capturer, tout bêtement. Si vous pouviez me rejoindre dehors pour combattre, inutile de gâcher du bon rhum. Pas vrai ?

-C’est clair que t’es pas un marine pour sûr ! On exaucera ton souhait, mais en échange tu nous combats tous en même temps, mwé ha ha !

-Je doute être en mesure de tous vous vaincre en même temps, mais qui ne risque rien n’a rien, pas vrai ?

Dans un rire général de l’équipage, tous sortirent en compagnie du supposé chasseur de primes qui sortit lentement son arme de derrière son dos afin de se préparer au combat. Les pirates avaient sorti sabres et pistolets à silex, largement de quoi le transformer en passoire et le hacher menu, cependant lui aussi possédait un atout conséquent, Gekiringa. Sans plus attendre, la bande encercla alors leur ennemi commun afin de le tuer d’un seul assaut. Kibachiyo bondit alors d’une rapidité surprenante dans les airs, alors que les pirates se tiraient dessus eux-mêmes, mais sans se toucher heureusement. Une fois à court de munitions, les pirates prirent leur sabre respectif et le tendirent dans les airs pour l’embrocher à l’atterrissage, mais c’était sans compter sur Gekiringa. Kibachiyo planta alors sa hallebarde dans le sol  afin de disperser les pirates afin de créer une ouverture, avant de prendre appui de la pointe de son pied sur le bout de la garde et ainsi descendre au sol sans risque. Visiblement frustrés de ne pas arriver à prendre le dessus, tous se jetèrent sur lui sans lui laisser le temps de reprendre sa lame en main. Un rictus aux lèvres, Kibachiyo repoussa les pirates avant de jeter sa hallebarde haut dans les airs, avant de passer à l’attaque, comme si il n’en avait pas besoin pour les vaincre. Quand le premier coup de sabre fut porté vers lui, le jeune homme se pencha en avant et lui tourna le dos afin que son bras atterrisse sur son épaule, il le souleva alors en empoignant ce même poignet armé et le projeta sur quelques autres pirates afin de bénéficier d’un moment de répit. Un second arriva alors la lame en avant afin de l’embrocher, mais Kibachiyo exécuta une petite pirouette afin d’esquiver habilement, et au moment de cesser de tourner, il abattit son coude dans la figure du même homme. Sans même prendre leurs armes, le jeune homme fonça vers les autres pirates afin de les neutraliser, enfonçant sans douceur son poing dans leur estomac pendant que d’autres essayaient de lui percer la tête par-dessus la tête de leur compagnon. Il esquiva de nouveau habilement les assauts, quand une trace rouge apparut sous son œil, sans doute un coup porté plus près que prévu.

Apparemment dépassé par les attaques, Kibachiyo se pressa de récupérer sa hallebarde une fois retombée sur le sol non loin du groupe, avec laquelle la victoire ne faisait plus aucun doute pour lui. Sans plus attendre, il se mit à trancher le torse de tous ceux qui s’approchaient de lui avec force, afin qu’ils ne se relèvent plus. Parfois il se montrait contraint de les tuer, mais au final il ne restait plus que le capitaine et son bras droit, les deux seuls primés qui restaient bien en retrait pour fatiguer leur adversaire. Une balle de pistolet à silex s’abattit alors dans son épaule alors qu’il achevait un de leurs compagnons, lui arrachant un cri de douleur. Malheureusement il n’avait pas l’intention de perdre et il utilisa rapidement une des cornes métalliques de sa hallebarde afin d’extraire le projectile rond. Il ne devait pas rester dans leur portée, au risque de se prendre de nouveau une balle du capitaine ricanant, alors il bondit de nouveau dans les airs en brandissant la lame de sa hallebarde vers le ciel, pendant qu’il se transformait petit à petit en sa forme hybride. Comme un paratonnerre, son arme conduisit un éclair vers elle, frappant le métal et Kibachiyo dans le même temps. D’un hurlement de douleur, le dragon humain lança Gekiringa vers les deux individus avec la force et la vitesse de l’éclair en question, comme redirigé vers la terre. La foudre s’abattit alors sur la zone en question et provoqua une violente explosion de poussière qui projeta les deux pirates contre un des murs de la taverne. Kibachiyo retomba alors sur le sol avec force et constata les dégâts. Ses mains se parcouraient encore d’électricité et sa peau était devenue brûlée gravement sous ses gants bleus, le faisant gémir de douleur. Heureusement son statut de Zoan et sa résistance physique avait atténué l’impact de la foudre, mais ce n’était jamais sans risque. Au moins les pirates étaient parfaitement évanouis et il ne lui restait plus qu’à les cueillir au passage, mais avec autre chose que ses mains.

Une fois le duo regroupé par la force de ses coups de pied, Kibachiyo revint vers le barman et lui présenta douloureusement les deux bandits dehors. Il attendait de lui qu’il les livre à la marine et lui rapporter l’argent de la récompense en toute honnêteté. Voyant ses mains fumer et visiblement carbonisées, il eut pitié de son état et il accepta sans rechigner. Il prit alors de la corde dans son débarras et ligota solidement les deux pirates avant de confier la boutique à un de ses collègues pendant qu’il allait livrer les bandits à la marine. Finalement Kibachiyo avait trouvé le moyen d’éviter de s’y rendre sans pour autant dévoiler la noirceur de son casier judiciaire, même si il aurait pu trouver un joli bobard à lui faire gober. Une fois le barman revenu avec un bon gros sac de berrys, le jeune homme l’empoigna non sans douleur, et s’en alla directement, conscient que si la marine enquêtait sur lui, elle pourrait lui causer des soucis. Il pensait que l’argent n’avait pas d’odeur, mais cette fois il sentait le roussi, mais au moins Kibachiyo avait de quoi manger, même si ses mains ne lui permettraient sans doute pas de tenir la fourchette bien longtemps. Triste ironie de la vie.


Dernière édition par Seiryuu no Kibachiyo le Sam 4 Oct 2014 - 19:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Seiryuu no Kibachiyo [Terminé]   Seiryuu no Kibachiyo [Terminé] EmptyVen 3 Oct 2014 - 17:24

Je UP ma prez pour annoncer qu'elle est terminée pour de bon.
Concernant la forme humaine, j'ai pas su où l'insérer alors voilà, elle ressemble plus ou moins à ça :
Seiryuu no Kibachiyo [Terminé] 1412349543046380100, il porte cette tenue quand c'est pour se montrer sous son apparence humaine, mais en cas de mission demandant ses capacités de Zoan, il enfile sa tenue sur l'avatar. Pour la limitation de la taille en forme animale complète, je propose 2m50 de haut sur 1m40 de large et 4m30 de long en comptant la queue.
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MessageSujet: Re: Seiryuu no Kibachiyo [Terminé]   Seiryuu no Kibachiyo [Terminé] EmptySam 4 Oct 2014 - 17:49

Voili voilà ! J'ai lu la présentation, et pour le moment je ne vois pas d'intérêt de refuser le fruit. Par contre, j'ai du mal à comprendre ce qui est de l'illusion, et ta manière de la projeter, tu ne fais que bouger l'air autour de toi alors qu'il y a une grosse chaleur, non ? C'est dans le désert ?

Voili voilà, si les réponses sont logiques, je dirai du troisième rang, et que je suis d'accord pour le fruit.

Tes parents sont vachement inconscients et irresponsables quand même !
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MessageSujet: Re: Seiryuu no Kibachiyo [Terminé]   Seiryuu no Kibachiyo [Terminé] EmptySam 4 Oct 2014 - 18:24

En fait je manipule une couche de chaleur afin de distordre la vue et ainsi créer un mirage supérieur, un peu comme Nami, sauf que je serai non pas derrière l'ennemi, mais un peu plus loin. Ainsi il croira halluciner et il partira ailleurs, ce serait comme fouiller un tiroir deux fois alors qu'il n'y a rien dedans, ce serait stupide. Mais ce n'est faisable que dehors, dans un bâtiment y a l'air conditionné, cependant ce n'est qu'une technique brouillon, j'ai l'intention d'en apprendre une plus aboutie dans le futur, c'est juste pour avoir une base quoi. Donc j'y compterai pas beaucoup dans mes RP, sauf pour semer des marines dans la rue, mais rien de bien utile en duel, rassure-toi.

Et puis dans Pokémon on laisse bien les gamins dresser de pitbulls dans les caves le soir et dormir à la belle étoile, parler à des inconnus et tout, alors ce sont des parents de ce genre. D'ailleurs on est dans One Piece, pas dans les bisounours, envoyer ses enfants s'amuser dans la jungle à défoncer des rochers et des animaux sauvages, c'est normal !

Sinon, merci beaucoup pour le fruit, j'ai conscience de son importance et je promets solennellement de m'en servir avec autant de fair-play et de cohérence possible !
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MessageSujet: Re: Seiryuu no Kibachiyo [Terminé]   Seiryuu no Kibachiyo [Terminé] EmptySam 4 Oct 2014 - 18:43

D'accord. Pour l'illusion, est-ce que tu pourrais l'enlever pour le moment ? Avec le fruit, ça ferait trop dès la validation. Merci !
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MessageSujet: Re: Seiryuu no Kibachiyo [Terminé]   Seiryuu no Kibachiyo [Terminé] EmptySam 4 Oct 2014 - 19:42

Voilà, j'ai retiré toute la fin du troisième chapitre qui parlait de la technique de camouflage, je verrai pour en trouver durant mon aventure plus tard, c'est pas grave.
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MessageSujet: Re: Seiryuu no Kibachiyo [Terminé]   Seiryuu no Kibachiyo [Terminé] EmptySam 4 Oct 2014 - 20:05

Merci Smile Bon ben, une première validation, rang 3 et fruit, à voir avec l'autre qui va donner son avis.
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Sid Langren
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