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 Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux.

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Slim
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MessageSujet: Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux.   Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux. EmptyJeu 29 Oct 2009 - 19:12

Ding Ding !



    Ah ! C’est l’heure !
    Deux Heures du matin, et l’agitation recommençai sur le navire. L’on pouvait entendre le bruit sourd des pas des quelques marines de gardes. Alors que certains dormaient, les autres étaient déjà dans la grande salle des fêtes en attendant la personne qui organisait un tel agitement dés le matin. Tous se plaignaient de ce rituel quotidien, ils ne s’empêchaient de ragoter sur leur tortionnaire qui ne cessait de leur rendre la vie dur au gré de ses caprices. Alors que les mots d’oiseau fusaient et qu’un vent de révolution commençait à se lever dans le réfectoire personnel de leur capitaine, de lourd bruit de pas se firent entendre derrière la porte, lointain, mais pourtant si perceptible. Aussitôt, le silence retomba peu à peu et les soldats finirent la préparation, après avoir tout vérifié, ils se mirant de chaque coté de l’entré formant une sorte de chemin vers le centre de la salle. Au garde à vous ils attendaient la personne phare de cette cérémonie. C’est étonnant le nombre de chose qu’affecte la peur. Ces soldats sont devenu lâche et hypocrite parce qu’ils ont peur. Peur de cette personne qui tourne la poignée de la porte. Peur de la personne qui ouvra la porte avec fracas d’un coup de pied. Peur de moi, le Gros BideBang !
    Tous au garde à vous, une dizaine de soldats se tenait de chaque coté et me faisait presque une haie d’honneur. Je la traversai lentement, les obligeant à rester au garde à vous. Tous esquivait mon regard et restait aussi immobile que possible pour ne pas subir ma colère. J’étais leur capitaine et il devait me respecter. Et quoi de mieux que la peur pour faire obéir les hommes ? Je m’assis à la grave table où le couvert avait déjà été dressé rien que pour moi. Je levai mes bras en l’air et tout le monde retint son souffle. Ils attendaient mon avis, mon jugement. S’il était négatif, ils savaient ce qui les attendait. Puis je frappai deux fois dans mes mains et j’entendis quelque s expirations de soulagement. Mais pas le temps de souffler pour eux, ils s’activèrent aussitôt et me posèrent un plat sous cloche en face de moi. Un soldat attendit mon approbation et il souleva la cloche. Le premier petit-déjeuner peut commencer.

    J’arrachai une cuisse à mon poulet rôtis à la broche et mordit vulgairement dedans. Je ne pris à peine le temps de mâcher que je mordis une deuxième fois dans la cuisse avant de la jeter au dessus de mon épaule. Ce petit poulet était bien maigre, en deux bouché j’en avais finis avec sa cuisse. Mais qu’importe, je m’attaquai à la deuxième cuisse en complètent avec les accompagnements qu’il y avait autour. Les nouveaux de mon équipage semblait choqués voir terrorisé de voir à la vitesse à laquelle je finis le poulet rôtis et demanda le plat suivant. Mais je pense que le plus surprenant pour lui était qu’il n’était que deux heures du matin et que ce que j’appelai le premier petit déjeuner de la journée suivant e dernier dîné de seulement trois heures et que bien sur entre temps je n’avais cessé de manger différentes cochonneries. Mais il s’y habituerait bien, comme tous ici. Quoi que, les autres étaient tout aussi choqués. Mais pour une raison différentes, eux ils étaient choqués car mon premier repas n’était qu’à deux heures du matin. J’avais changé mes habitudes à cause de mon régime, mais qu’importe, jetant un dernier os au dessus de moi, mon quatrième et dernier plat arriva. C’était d’ailleurs mon préféré, une bonne assiette de homards.
    Mais une silhouette, viens me gâcher la fin de mon repas. Un homme qui marchait d’une démarche prétentieuse. Droit, le torse vers le soleil ses bras faisait de bref va et viens. Un document à la main, il était vêtu d’un smoking aux couleurs du Gouvernement Mondial. Lorsqu’il arriva sur le seuil de la porte, il s’arrêta de marcher et moi de manger et l’on se regarda une minute. Il n’avait pas changé, cet enfoiré de maigrichons de messager. Nos rapports ont toujours été rustres. Ce mec est trop droit, trop strict, trop poli. Lui et moi nous sommes les deux contraires d’une pièce. Et bien que j’aime les pièces, ce type est une horreur à vivre. Je crachai un bout de pince sur ses beaux souliers bien cirés et repris mon repas.



    - Bien le bonjour Commodore Goodler, je vois que vos manières sont toujours aussi… rustiques.



    Je ne préférai pas réponde et je continuai à vidé les pattes des homards de leur jus. Le repas était quelque chose de sacré pour moi et je n’allais pas laisser cet enfoiré me le gâcher en partant dans un échange d’insultes inutiles. L’homme marcha d’un pas lent vers ma table, je sentis le regard de mes soldats passé de l’homme à moi, ils ne savaient pas quoi faire, d’habitude celui qui m’aurait interrompu pendant un repas aurais quitté la pièce bien rapidement. Mais pour lui c’était autre chose, il avait beau s’avancé, je ne faisais rien, ou plutôt je ne pouvais rien faire. Il avait les pleins pouvoirs en tant que représentant du Gouvernement Mondial. C’est d’ailleurs pour cela qu’il avait le cran de m’appeler par mon nom, Goodler. Seuls mes supérieurs peuvent m’appeler ainsi sans risquer une humiliation. Il s’arrêta à coté de moi et décala légèrement mon plat pour y poser ses dossiers. Je reconnu sur les images l’Archipel de Shabondy avec ses Grands arbres numérotés. Plus précisément l’image désignait le Marché aux esclaves, je le reconnus facilement étant donné que moi-même j’y ai participé plus d’une fois. Ensuite sur les photos l’on voyait des personnes discutés discrètement entre elles, j’y reconnus un pirate primé. Ce même pirate avait en sa possession deux valises sur la photo suivante.
    Je regardais tout en mangeant envoyant quelques fois des gouttes sur les documents, mais comme à mon habitude je n’en avais rien à foutre.



    - File moi ma mission et casse-toi.
    - J’y venais, j’y venais. Comme vous le savez, l’Archipel de Shabondy est le paradis du Commerce d’Esclaves, les Dragons Célestes étant les principaux clients nous étions forcés de fermée les yeux sur ce genre démarché. Mais récemment nous avons découvert que le propriétaire de ce commerce était un pirate hautement primé. Il pourrait s’en prendre aux Dragons Célestes, nous devons donc nous en occupés discrètement sans interrompre le commerce.
    - Et cette personne c’est moi.
    - Même si d’après moi vous n’êtes pas capable de faire les choses discrètement je vous ai déconseillé, mais avec le Buster Call récemment terminé, nous n’avions pas vraiment le choix.



    Il me tendit l’ordre de mission à signer, pour confirmer que j’avais bien accepté la mission, je lui arrachai des mains le tachant de la graisse et de la sauce que j’avais sur les doigts, je signai rapidement et lui jeta vulgairement. Il vérifia que je l’avais bien signa et me fit un signe de tête pour clore notre discutions puis il tourna les talons. Mais je l’attrapasse brutalement parla manche. Il fut surpris et me jeta un regard noir, l’ignorant je m’essuyai la bouche et la moustache avec sa manche. Bien sur il essayait de se débattre, mais j’étais bien plus fort que lui et il récupéra l’usage de son bras lorsque je le lâchai. Il était rouge de colère, mais il ne me disait rien, sans doute savait il que j’en avais rien à foutre. Il se dirigea rapidement vers la sortie. Il se retourna une dernière fois et je rotai bruyamment. Ceci était une insulte, mais rien de punissable. Ceci était de trop pour lui il lâcha un juron que je ne relevai pas et il partit. J’étais fière de moi, je l’avais fait craquer.
    Je me levai et interpella un des soldats.



    - Cap sur Shabondy !
    - Bien monsieur.



    Le Marine repartit immédiatement transmettre l’ordre. J’avais bien mangé, bien qu’interrompus par un abruti de premier ordre. Mais sur un point il avait raison, je ne risquai pas d’effectuer sa mission aussi discrètement qu’il l’aurait espérer. Au moins j’avais une mission et cela me suffisait, je pourrais me défouler et cela faisait pas mal de temps que je n’en avais pas eu l’occasion. Tout en essayant de me rappeler la dernière fois que je n’avais pas fracasser une tête, je sortis de la pièce pour retourner dans ma chambre. Je traversai un long couloir jetant quelques coups d’œil dans les cabines avoisinantes, rien que des Marines endormis ou en pleine partie de cartes. Je m’apprêtai à rentrer dans ma chambre quand des bruits de pas se firent entendre dans les escaliers menant au pont.

    - Commodore, nous seront sur l’Archipel de Shabondy d’ici trois heures.
    - Disons d’ici une heure et demie.
    - Mais…
    - Dans trois heures ce sera mon deuxième repas de la journée, et je compte bien en terminer avant, alors réveillez tout le monde et sortez les rames.



    Ignorant les protestations de mon subordonnés, je lui tournis le Dos et retourna dans ma cabine bien plus spacieuse que celle des soldats.
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Mitsuko
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MessageSujet: Re: Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux.   Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux. EmptyVen 30 Oct 2009 - 23:11

Mitsuko dormait toujours quand un rayon lumineux, provenant du reflet d'une lampe sur une casserole accrochée sur le mur; vint se placer sur ses yeux fermés, c'est yeux s'ouvrirent comme des bourgeons en train d'éclore, doucement mais l'attente n'est là que pour vous préparez au ravissant spectacle que vous offre ses yeux encore mi-ouvert qui laissent plus d'un homme songeur. En se levant elle aperçu que ses habits avaient été plié, et posé sur une chaise aucun pli ne semblait gâché cette magnifique confection, cela faisait plusieurs jours que Mitsuko subissait ce genre de bonne intentions enfin subir est un grand mot et profiter conviens mieux à cet situation. Mitsuko était debout en petite tenue quand un marine arriva pour la prier de se presser. Il tenta de regarder de plus près la tenue de Mitsuko mais elle ferma la porte d'un grand coup. Enfilant ses affaires elle était prête à partir même si elle n'allait pas vraiment aller bien loin, faire 50 mètre aller dans les cuisines et faire à manger. D'ailleurs c'est ce qu'elle fit, quand elle fut prête, elle sorti de sa chambre et aperçu un marine qui se cachait derrière la porte surement en train d'essayer de la voir s'habiller. Après l'avoir giflé elle se dirigea vers les cuisines qui étaient remplies, des dizaines de personnes courraient dans tout les sens, on apercevait des dizaines de chapeau blanc bouger. Tous se pressaient comme à leurs habitudes pour préparer le repas de la capitaine pas si adoré que sa.

Mitsuko heureusement savait cuisiné, sans quoi elle n'aurait pas grand chose à faire sur ce navire. D'ailleurs que fait-elle ici ? Mieux vaudrais que j'explique ce point sombre pour la plupart d'entre vous. Pour commencer Mitsuko était à Jungle Town et dormait sur un arbre, elle avait le sommeil profond tellement profond que quand elle se réveilla et se trouvait dans une cage. Des braconniers l'avaient prise pour une panthère ordinaire sans penser une seule seconde qu'elle puisse posséder un fruit du démon. Elle était enfermée comme un animal mais avait toujours des ressources car les braconniers ne semblaient pas être bien riche et que les barreaux de cette cage ne supporteraient pas les griffes de Milly longtemps. D'ailleurs elle les fit se rompirent. Elle put s'échapper mais à sa surprise en sortant de la pièce où la cage se trouvait elle ne vit aucun arbre à l'horizon mais bien une ville. Elle ne connaissait pas son nom mais elle était bien grande. C'est là qu'elle croisa BideBang, un imposant marine qui avait semble-t-il un post important, tout de suite Mitsuko avait su repérée le potentiel d'argent de l'individu car si il mange beaucoup il a beaucoup d'argent et sa, sa intéressait Mitsuko. Il l'avait emmenée sur son bateau et elle devait servir là de femme à tout faire telle une servante.

Donc revenons en au cuisine, elle se trouvait sur son lieu de travail favoris. Prenant une casserole, elle commença à mélanger son contenu, c'était une bon paquets d'oignons fris qui allaient accompagné la poulet. Un animal engraissé dans les cales du navires pour satisfaire le palet délicat de ce chef avec un appétit égal à son tour de taille, énorme. Le repas était presque fini quand deux marins entrèrent en trombe dans la cuisine. Ils suaient et essayait de faire passer un message mais leur course les avaient rendus pour ainsi dire muet. Leur souffle repris ils annoncèrent le levé du chef. Tous se pressèrent alors, ils enfilèrent leurs uniforme de Marines.

Leurs pas résonnaient sur le plancher du navire avec une intensité, on aurait dit que le bateau ce préparait à la guerre tellement l'agitation y était présente. Soudain le calme complait, seul un pas lourd vint troublé le silence, le capitaine descendait. Tous se mirent en ligne pour lui faire une haie d'honneur. Tous ? Non une seule personne était restée sur en cuisine, la jeune Mitsuko était restée en cuisine et observait la scène à travers un hublot de celle-ci. Le capitaine la voulait rien que pour lui et la voir là exposer au milieu de tout ses marines étaient pour lui une sorte de refus de coopérer avec lui.

Mitsuko parti en courant vers sa chambre où elle retourna dormir avant le voyage, après une heure, la porte s'ouvrit avec fracas et un homme corpulent rentra. Son surnom : Le mètre cube est vraiment bien attribué car c'est plus une boite que autre chose. Après le repas et donc souvent cet homme tire une tête asse joyeuse mais ici quelque chose avait du troubler son repas car sa mine était plus sérieuse que jamais.
Mitsuko qui avait sursauté quand la porte s'ouvrit s'adressa à lui avec un air de semblant d'être juste réveillée.

-Alors quoi de neuf aujourd'hui ?

Mitsuko l'avait dit que le ton le plus détendu possible car mettre le capitaine en colère n'est pas chose conseillée à qui veut vivre assez longtemps, sa force est réputée pour être phénoménale et il paraitrait que soulever son propre poids ne le fait même pas suer, dans ces conditions comprenez bien que plus il est calme mieux le monde se porte.
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MessageSujet: Re: Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux.   Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux. EmptySam 31 Oct 2009 - 23:33

Un Bordel monstre, Dutch l'avait sentis des le début. Depuis sa promotion il avait été affecter au PitBang, le navire du Commodore Goodler, qui refusait d'ailleurs qu'on le nomme ainsi. Profitant du petit matin, Dutch enfila son uniforme et pris ses armes, dans le corridor il noua son foulard bleu, la cuisine au dessus des dortoirs de la piétaille faisait un boucan de tout les diables, Dut' passa donc par le ponts des rameurs du flanc droit pour rejoindre le pont. La grande pièce déserte raisonnait sourdement du boucan matinal de la cuisine pour se gros tas de capitaine, mais Dut' voyait déjà plus loin que sa. Il partit dans le passer en pensant a la guerre qui avait foutu Kage Berg en état de dépotoir, puis il passa au futur, ou il se dit qu'une fois le fric réunis pour sa mère, il quitterais la marine pour épouser sa petite amie. Dans une belle église blanche construite a ses frais, comme tout le quartier autour de l'église. Il arriva enfin sur le pont, balayer par la brise fraiche du matin bleu. A part deux ou trois patrouilleur au cernes noires, le pont était vide, un lieu parfait pour Dutch, peut amateur des coins ou les gens s'amassait. Il tira sa lame et se mit a faire des passes avec le mat central, puis il tenta de faire le coup anti blocage que le bretteur de Skavo avait utiliser sur lui. Il imita donc un blocage de la par du mat et voulut faire le retournement de prise mais a la place il lâcha sa lame qu'il évita de justesse avec son pied, quand celle si se ficha dans le pont. Retirant la lame du pont il regarda autour de lui et une fois sur d'être seul il tanqua la lame dans le mat et s'entraina au mouvement de poignet, lentement, puis de plus en plus vite. Finalement alors que le ciel virait a l'orage rouge, il prit sa lame bien en main et imita un blocage, il retourna maladroitement sa prise et comme si il avait un poignard a la main il fit un tour sur lui même et entailla légèrement le mat comme si il s'agissait du bras porteur. Fier de son résulta il dénoua son foulard et s'essuya le front. La séance d'entrainement était finie il pourrait surement rejoindre la cafet' en fait il ne savait rien il n'avait pas de montre il lui en fallait une.

Prenant la route de l'armurerie pour récupérer un Kit d'entretien d'arme neuf, il se dit qu'il tenterais un passage en cantine. Les couloirs se faisait de plus en plus peupler, il poussa la porte de l'armurerie et enregistra son nom pour un kit et des munitions. Puis le chemin de la cantine s'offrit a lui, en chemin il croisa son capitaine face a un cabine ouverte, il refit vite son nœud et remit sa casquette en place, sans ciller il passa et salua avec indifférence son capitaine, ni chaud ni froid, puis il poussa la porte de la cantine, prit un plateau et alla vers la grosse cantinière :

"Se sera quoi pour toi ?"

"La mélasse du matin avec le reste des merdes qu'on bouffe parce que le capitaine garde le meilleur."

"Tu devrait pas parler comme sa soldat, c'est pas sur pour ta santé."

*Pas grand chose a foutre...* "ouai ouai."

Sur ce il prit son plateau et alla manger le plus loin possible des groupes former sur la table la plus vide qu'il put trouver, donc celle au fond de la cantine, ou personne ne va jamais. Ainsi il se mit a manger en pensant a son avenir qui semblait de toute façon très sombre dans la marine. Toujours tres inconstant, Dutch Zeyner était un paradoxe humain perdu entre pessimisme et optimisme.
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MessageSujet: Re: Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux.   Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux. EmptyMer 4 Nov 2009 - 14:43

Sluuuurp…


    A chaque fois elle me faisait cet effet.
    A cause de quelques imprévus qui avaient souillé mon repas, j’avais oublié cette tapineuse. Allongée dans mon lit, même si il semblait qu’elle émergeait de son sommeil, elle tenait une pose provocante, allongé de tout son long, un bras étendu sur l’oreiller, sa tête déposé dessus gracieusement, avec l’autre main sur la taille. Sa beauté rayonnante fit réapparaitre un sourire malsain sur mon visage. Les cheveux ébouriffés, elle me fixait indolemment, apparemment elle remarqua mon agacement et emprunta un ton calme et neutre. Elle m’interrogea sur mon début de journée, même si d’après moi cela ne l’intéressait pas vraiment et je ne pris pas la peine de répondre. Je marchai vers mon lit, un lit extraordinairement large. Pouvant contenir une demi-dizaine de personnes fines comme cette créature du démon actuellement sous mes draps. Mais avec une corpulence comme la mienne je ne sais pas si deux personnes rentrent. Je me laissai tomber dans celui-ci avec ma grâce habituel, j’en sentis une légèrement rebondir sur le matelas. Une fois les ressorts stabilisés, je sentis des mains se glisser sous ma combinaison. De petites mains agiles et douces qui me déshabillèrent rapidement, mais je l’arrêtai dans sa lancé et je restai ventre nu.

    La petite racoleuse se mit à caresser gentiment l’énorme bosse qui était clairement distinctement visible la couette rabattu. Mon ventre rondouillet gonflait l’épais drap qui m’enveloppait moi et ma groupie. Carrément folle de ce que j’ai dans mes poches, elle s’empressa d’y mettre la main. Elle trouva son bonheur très rapidement, je la sentie s’attarder sur l’objet de sa convoitise. Les yeux de cette parcimonieuse pétillait de d’excitation, elle était en train de me soulager. Après avoir passé quelques secondes plongées dans ses occupations, elle sortit sa main de ma poche et je me sentais léger. Sortant sa main de la couette elle avait une poignée de billet en main. Il y avait à peu près une centaine de milliers de Berrys. Sa ne m’étonnait pas que je me sentais aussi léger, avec autant de billets en moins… M’enfin, je n’étais pas du genre à thésauriser et pour une aussi séduisante démone, cela ne me dérangeait nullement. Rajoutant un billet pour le plus grand plaisir de la jeune femme, nous quittâmes le lit et elle m’installa sur un fauteuil adapté à ma corpulence, comme tout dans cette pièce.
    Ensuite elle entreprit un assortiment de danse sensuelle et de caresses charnelles. Se déhanchant lentement si près de moi eu un effet immédiat, je sombrai peu à peu dans l’extase. Elle se rapprochait peu à peu de moi recommençant son jeu de caresses si plaisant. Une fois cambré au dessus de moi je laissai trainer mes mais sur une de ses cuisses faisant des va et viens avec mes doigts, caressant sa peau si douce. Elle ne repoussait pas mes cajolement et je continuai donc en glissant mon autre mais sur son dos, trouvant rapidement une ficelle sur laquelle je tirai frénétiquement, avant de sentir glisser son haut. Elle me chevaucha et laissa nos deux corps s’entremêlé.

    Dehors, l’agitation reprenait discrètement. Malgré les efforts mis en œuvre pour rester silencieux se léger tremblement ne pouvait rester inaperçu. Les rames sorties, le bateau augmentait considérablement sa vitesse de croisière. Un autre bruit était la cause de l’agitation du bateau, une rumeur qui se dispersa très rapidement entre tous les soldats. L’homme le plus répugnant de ce monde avait une femme à la beauté ravageuse dans son lit. Certains étaient choqués, d’autres étaient jaloux, mais tous émettait des hypothèses, c’était sa femme, son esclave, sa bonne, mais y’a-t-il une différence entre ces trois mots ? En face de la porte du bureau, l’on pouvait entendre le souffle suffoquant d’une femme, et les grognements féroces qui d’un homme aux manières primitives. Les soldats tendaient l’oreille guettant chaque détails, mais au bout de quelques secondes une nouvelle rumeur traversa la foule et un nouvel attroupement se fit près d’une fenêtre, le fusil en mains, les soldats se préparaient à l’assaut. La sueur coulait du front de la jeune tapineuse alors que l’excitation montait chez les soldats.


    - Nous sommes arrivés sur Shabondy !


    Le charme fut rompus, fusil en main, les soldats quittèrent la fenêtre et sautèrent sur la terre ferme, tandis que l’on entendait du bruit dans la chambre du capitaine. Des meubles se renversai ou était brutalement déplacé, puis je sortis. Marchant jusqu’au pont, je regardai mes hommes rangés, l’arme en mains.


- Encerclés le marché aux esclaves et bloquer les portes.





[Désolé, c'est de la Merde. Mitsu, décide de la conclusion de nos rapport dans la chambre comme tu le sens. Mais oublie pas, 150'000 Berrys pas plus.]
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MessageSujet: Re: Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux.   Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux. EmptyJeu 5 Nov 2009 - 16:03

La phrase de Mitsuko avait pour ainsi dire été inutile car le capitaine n'avait pas ou du moins avait ignoré sa question. Comme à son habitude Mitsuko se trouvait au milieu de l'énorme lit du marine. Sa main parcourant sa taille avec une sensualité grandissante. Ses longs cheveux bruns en éventails sur l'oreiller lui donnait l'air de quelqu'un sortant du sommeil et encore inconsciente. D'un pas sur il avança vers le lit, pour Mitsuko se début de journée allait s'annoncer mouvementé mais riche en profit. A l'approche de l'homme elle se blottit dans les draps pour que son riche ami vienne se blottir aussi près d'elle. Mais comme si le lit était en fait un ballon il fit rebondir Mitsuko quand l'homme se coucha. Pauvre lit, subir chaque jour le supplice de soutenir le poids monstrueux de BideBang, heureusement pour lui la gentil mais avide Mitsuko s'occupait à chaque fois de le rendre plus léger.

Tel un alpiniste voulant franchir une montagne, Mistusko se lança à l'attaque de l'immense masse dépassant du lit, avec ses mains d'expertes elle se faufila sous ses vêtements provoquant chez lui un frisson car Mitsuko a beau être une gentille dame en chaleur cela ne l'empêche pas d'avoir les mains froides pour faire frissonnez les heureux élus de son cœur ou de son porte-feuille. Elle allait arriver au point G de n'importe quel mâle quand elle sentit les mains de son otarie chéri. Changeant directement de plan Mitsuko se dirigea vers la poche arrière de son pantalon visant son porte-feuille pour y retirer une liasse de billet, les yeux de Milly pétillèrent en voyant celui-ci bien rempli ils brillaient désormais de mille feux car l'argent était bien au rendez-vous. Elle rangea cette liasse dans une doublure de son jeans puis repris son travail, à son plus grand plaisir l'homme rajouta un billet, avec ses yeux d'expertes elle évalua que la somme tournait autour de 150.000 Berrys.

C'est non sans peine que l'homme se releva il en avait peu être assez des caresses et voulait passer à quelque chose de plus excitant. Ce que habituellement Mitsuko attendais avec patience mais cet homme ne produisait chez elle qu'un mince plaisir, si l'argent ne coulait pas à flot il est clair que la jeune Mitsuko ne serait restée une minute de plus sur ce navire dégoutant.

Malgré tout elle entama une danse sensuelle devant le capitaine qui se trouvait à présent sur sa chaise, elle déhanchait son corps au rythme de la musique qui trottait dans sa tête ( Franky Razz ). La distance entre elle et lui était si mince qu'elle se sentait effleurer le corps du marine. La sensualité de Mitsuko grandissait tant et si bien que elle se retourna pour avoir le visage du marine en face espérant lui retirer plus d'argent en étant la plus sexy possible. D'un seul coup elle sentit son haut tombé mais en même temps que son haut tombait sur le sol un murmure se rependit puis le murmure devint un chuchotement puis de fil en aiguille la rumeur se propageait, le capitaine pourtant si affreux était en compagnie de la plus belle personne qu'ils leur avaient permis de rencontrer. Mais après cette rumeur en vint une autre, celle annonciatrice d'une terre, l'archipel Shabondy se profilait à l'horizon et les l'on pouvait distinctement le bruit des armes se rechargeant. Mitsuko avait enfin une excuse pour foncer compagnie à son ami fortuné. Elle se rhabilla pouvant ainsi échapper au désir de l'homme tout en ayant ramassé le plus d'argent possible. En sortant Mitsuko vit comprendre aux marines restés là qu'elle n'y avait pris qu'un plaisir mince par sa tête dégoutée. Il en faut peu pour être heureux certes mais la soif de Mitsuko pour les Berrys ne pouvait être étanchée. Même si le diction dit : "L'argent ne fait pas le bonheur", mais sa seul les riches peuvent le savoir pour le malheur de la jeune fille.

Les marines étant un peu soulagé de voir que la jeune demoiselle ne prenait pas le plaisir qu'elle laissait paraitre au yeux du chef. Elle alla directement sur le pont pour apercevoir la terre ferme qu'elle n'avait plus vue de puis le début du voyage. Se penchant au bastingage pour observer les poissons réputés pour être délicieux dans cette partie de l'océan. Le bateau venait d'arrivé sur l'archipel, à ce moment précis tout le navire s'ébranla car la voix du capitaine se fit entendre.

Encerclés le marcher au esclave !

Les ordres du capitaine étaient clairs et dès le dernier mot achevé les marines se lancèrent sur l'archipel pour exécuter l'ordre de leur chef qu'ils n'adorent pas temps que sa.



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MessageSujet: Re: Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux.   Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux. EmptyJeu 5 Nov 2009 - 19:54

"Encerclés le marcher au esclave !"

Shabondy en vue, surement, Dutch ne pris par le temps de finir son plateau et le laissa sur le table comme dans toutes les urgences, prenant ses armes il se rua dehors pour rejoindre son groupe et vérifia ses hommes. Tous la. Le ponton percuta le sol et la marrée de soldats se mit en marche avec leur ordres de missions, Dutch prit sa fiche d'ordre et quitta le bateau. Lisant sa fiche il vit la porte d'on il devait tenir la sortie avant que l'assaut ne soit donner, une petite porte arrière. Alors qu'il maudissait les boulots de filet marin tout en brulant ses ordres de missions avec un briquet comme l'indiquait le règlement, une fille avec des petites lunettes rondes et un ensemble orange et blanc peut aux couleurs marines vint a la rencontre d'un Dutch pestant et lui dit :

"Caporal Dutch Zeyner ?"


La regardant en pivotant simplement les yeux pendant qu'il époussetais ses habits, Dutch dit :


"Ouai, c'est pour ?"

"Caporal Rhau Vardorid, je suis votre nouveau partenaire."

"Nouveau ? Je n'en ait jamais eu auparavant. Bref... Suivez moi on va prendre nos positions."


Dutch suivit de son groupe et de la "recrue" du groupe qui semblait avoir plus d'expérience de la marine que le caporal récemment promut qu'il était. Ils prirent tous place autour de la porte prêt a prendre par surprise tout fuyard, il tira sa lame et tenta d'ouvrir la porte pour jeter un œil, celle ci semblait bloquée de l'intérieur, il saisit son DenDen Mushi de chef de groupe pour signaler qu'il était en place au chef des gardes, qui lui signalerait au chef des groupes, qui le ferait signaler au capitaine, Bref... Dutch etait en place, mais sa recrue ne tenait pas en place elle monta sur les épaules d'un marine pour pouvoir monter sur un échafaudage suspendu, en effet le bâtiment était récent et non achever, car le précédent avait été détruit par un révolutionnaire, ces révolutionnaires de malheur qui avait réduit en miettes la ville ou vivait Dutch par le passer. Une fois sur l'échafaudage elle entra dans une aération Dutch lui s'écria le moins fort possible a la jeune fille qui ressorti la tête :

"Ou vous allez ? on doit attendre les ordre !"


"Je vais juste jeter un œil, si on attend les ordres on a le temps de mourir de vieillesse six fois."

"Non ! revenez pas de gestes inutiles."

Et pour seule réponse elle se tourna avant de disparaitre a nouveau dans la grille, Dutch sortis son DenDen Mushi et se tourna vers l'un de ses soldats et lui dit :

"Si il se passe quoi que se soit je vous transmettrais les ordres, restez a l'écoute ! Bon dieu de merde pourquoi on m'a donner sa comme équipière, elle va nous faire faire bouffer par le capitaine pour son repas."

Un pouffement de rire général eu lieu, Dutch sourit même de sa blague avant de monter sur un soldat pour se jeter sur l'échafaudage pour prendre la suite du Caporal Vardorid qui avançait dans le conduit, Dutch commença alors a pester, mais elle lui fit signe de se taire. En effets ils n'étais pas seuls, un gros groupe semblait se trouver dans la pièce du dessous. Dutch tira son Den Den Mushi et se permit une folie poussée par Rhau a poursuivre, il appela directement l'équipe du capitaine violant les protocoles et dit :


"Caporal Zeyner, du groupe de blocage Six, je suis dans le bâtiment, cacher avec le Caporal Vardorid et je suis parfaitement placer pour faire une attaque éclair, bien que j'estime l'ennemie total dans la pièce a plus d'une cinquantaines et que des mouvements perpétuels réduisent mes calculs grossièrement. Que faire ? a vous !"


Dutch était pessimiste sur la réussite du "plan" mais sentais venir les punitions ainsi il n'avait pas omis de mouiller Vardorid qui venait de le mettre dans une grosse galère, il attendit sagement une réponse.
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MessageSujet: Re: Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux.   Tuer c'est bien, Remplacer c'est mieux. EmptySam 14 Nov 2009 - 21:20

La réponse ne se fit pas attendre, une personne arracha le DenDen Mushi des mains de l'opérateur, et une grosse voie se fit entendre, Dutch du boucher la sortie pour ne pas se faire démasquer par les bandits dans le bâtiment. Soudain un grand fracas suivit de coup de feux se fit entendre, Dut' rangea l'escargophone et vit Rhau tirer sa lame avant de lui prendre la sienne aussi pour lui mettre dans la main et trancher la gaine d'aération. Elle, se réceptionna parfaitement sur ses pieds, lui, se vautra lamentablement sous la surprise, mais d'une roulade pendant que Rhau fonçait en avant tranchant a travers la masse de monde, le caporal se remit sur ses pieds et d'une glissade du pied droit il planta un type avec un geste d'estoc. La bataille s'engagea plus durement lorsque la masse le repéra, Dutch trancha un mec au niveau du ventre et sauta en arrière pour éviter un assaut frontal, il tourna sur lui même en tenant sa lame comme un poignard pour trancher un gars qui tentais de le prendre par derrière. Par sa droite, un mec avec une hache voulut le fendre en deux, mais Dutch utilisa la technique de blocage de hache que Stark lui avait enseignée a Island Sea, Il bloqua donc la hache mais a cause de la force du coup il préféra se déplacer en laissant la hache glisser sur sa lame pour pouvoir asséner un coup définitif dans le dos du hacheur et dans un enchainement le premier attaquant fut mis a terre. Tout le monde quitta la pièce alors Dut' suivit la foule, d'une sorte de dépôt il rejoint une salle de spectacle ou les rails des sièges était tous justes en place et la une masse de gens affluait et tentais de se battre contre une grosse chose jaune, Dutch comprit un peut après qu'il s'agissait de son capitaine et fondit alors dans la masse tranchant avec le plus d'agilité possible de la droite a la gauche et de la gauche a la droite pour finalement rejoindre le capitaine. Capitaine qui fit jouer l'agilité de Dutch avec férocité, en effet celui ayant engager un balayage de sa batte d'acier faillit envoyer son Officier bouler... Quand celui vit Dutch approcher il lui dit :

"Ah ! salut gamin, c'est toi qui a quitter son poste pour faire le con dans l'aération ?"

"Oui mon capitaine ! excusez moi je vous pries c'est a caus..."

"Bien jouer petiot ! l'initiative et l'instinct ! Rien de mieux.'

"Ah, Attention !"

Dutch se jeta en avant et coupa la tête d'un petit malin qui voulut prendre le gros BideBang par derrière. De son coter le capitaine envoyât par la bouche comme de la gerbe un graisse épaisse sur les ennemis face a lui, Dutch finit en se jetant dans la masse et en utilisant sa lame a l'envers par des mouvements de poignet les sept hommes face a lui, éprouvant plus de facilitée a tenir sa lame a l'envers il se dit qu'il faudrait s'appuyer sur le développement de cette façon de se battre quand le gros capitaine lui demanda son revolver, Dutch lui lança et se rua sur le dernier homme, celui ci tentais de fuir, mais Dutch le rattrapas sans pitié, les ordre étais de stopper tout les esclavagistes, un combat noble selon lui. Étonnant même de la part de l'organisation a laquelle il appartenait... Soudain une lueur orangeatre illumina la pièce au murs sombres et Dutch vit que son capitaine faisait flamber la graisse au sol d'ailleurs... Les gens empêtrer dedans hurlait de bruler aussi, revenu a coter de son capitaine, le caporal voulut se tourner pour ne pas voir sa et finir la bataille mais BideBang le retint prétextant le caractère, mais Dutch, lui ne voyait pas plus loin que la bête cruauté. Au bout d'un moment surement lassé de se qu'il voyait Bang dit :

"Aller fiston, bouge ta graisse, on doit finir se combat que je prenne mon nouveau bureau a la tête de se commerce !"

"Quoi ?!?"

Dutch était outré, le combat visait juste a prendre le contrôle du commerce et non le stopper... Mais en tant que simple soldat Dutch risquerais gros a suivre ses convictions Dutch se mit a courir pour rejoindre son capitaine, en fait plutôt le dépasser et l'oublier l'espace de quelques instants dans la bataille. Mais celui ci le choppa par l'épaule et gronda :

"Hep la minot on passe après le capitaine quand on est polit !"

a peine eut il finit sa phrase que l'un des survivant étaler parmi les mort entourant l'escouade d'assaut qui était au repos dans la salle principale lui colla trois balles dans le torse, la masse tomba en vibrant le sol, oubliant tout se qu'il avait vu de désagréable le peut de temps qu'il avait eu une "affinité" avec le capitaine Dutch se mit a genoux a coter du capitaine et lui dit :

"Capitaine sa va ? Enfin avec trois balle dans le lard je me doute que sa va pas, mais je veut dire, vous tenez le coup ? je peut appeler des soin, HEY LA BAS APPELEZ UN MÉDECIN AU PAS DE COURSE !"


"Pti con... heuf heuf, parle pas de mon gras comme sa, et demande un poulet ou deux aussi pour me remettre de mes émotions... Keuf KEuf... Petit !"

"Oui ?"

"T'a déja baiser ?"

"Je vois pas le rapport, mais oui j'ai déja eu des rapports avec ma petite amie."

"Okay... Keuf keuf . Prend le commandement du PitBang et ramène le au moins au musée de la marine pour garder un symbole du meilleurs élément de la marine."

Sur cette phrase il lacha son dernier souffle et Dutch lui lacha la main, il se leva et tenant mollement sa lame il quitta la pièce la casquette baissée sur le visage. Rhau arriva guillerette et allait parler quand elle vit la mine sombre de Dut' et le gros étendus derrière. Suivant du regard Dutch elle se mit finalement a le rejoindre quand celui ci rejoignit finalement la jetée pour s'asseoir sur le bord du Grove. Une sale journée parmi tant d'autre a la marine et même le pire des ses membre peut avoir quelqu'un qui a de la peine pour lui quand il crève.
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