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__ Ardent Caïd ~.–.~ Cruel Despote __
.°oO La cruauté de l’homme n’a d’égal que son imagination, jusqu’où ira la sienne ? Oo°.

Appellation : Par son nom, il fait frissonner les ardents, frémir les faibles, à chacun de ses pas, il tombe des larmes sanglantes. On l’appelle couramment Dieu, mais sa conscience pertinemment disgracieuse le fait redescendre sur terre, on nomme l’auteur de ces crimes « ‘Killer’ Ginzō », le seul homme qui défie les cieux, la terre et l’espace. Bâtissant un empire olympien à sa seule pensée bienveillante.

Symbole : Les avares ont pour habitudes de connaître cet homme sous le nom du « Tueur enchaîné ». Cet homonyme souvent apprécié par son porteur le fait grimper, parfois dégringoler tout dépend du point de vue, dans l’estime de certaines populations malsaines. Il faut dire qu’en question d’idéologie criminelle, il n’y va, pour le moins, pas de main morte. A vrai dire, il est considéré dans les milieux de noblesse comme un Dragon céleste, pacha flâneur et irascible, dans un coté obscur.

Âge : Quant à son âge, inconnue chez les créanciers pourtant avides de quelquonque informations sur son identité nébuleuse, Il n’aime pas en parler quitte à ôter la vie à l’inconscient qui parlerait trop vite. On reconnaît notamment une certaine trame de l’âge chez lui, un sillage long qu’il a sûrement tracé avec du sang humain, animal ou même, divin. Rébarbative fût l’expression du visage nouveau qui naquît lorsque l’on eu découvert parmi son ancien équipage l’âge qu’il possédait. L’un, le plus hautain de la bande ceci dit, lui exposa « Ginzō, on le sait, tu as 30 ans, pas besoin d’occulter ceci puisqu’à présent tout l’équipage le sait ». La réaction qu’il eu, fut quelque peu excessive puisqu’il tua tout l’équipage sans laisser une seule personne en vie.

Appartenance raciale : Grâce à sa taille, avec la grandeur démesurée dont il est ainsi nanti, il a des similarités ostensibles avec la race des Semi-Géant. Il est de rigueur de tenir compte que c’est un don apparent de Dieu s’il réussit à être aussi charismatique, non, il appartient bel et bien aux humains, cette race inférieur qui a réussit à prendre les devants par sa malice décadente.

Armada : Sur sa caravelle personnelle siège exactement neufs armes blanches et trois armes à poudre. Celles-ci lustrées et briquées avec le soin le plus sérieux de ses esclaves, ce despote renouvelle à chaque fois leur travail en y ajoutant une sèvre pourpre à chaque affrontement. Ne laissant jamais la même arme se tâchée. On peut notifier qu’il possède des épées, haches, lances, faux et j’en passe. L’élégie doucereuse que provoque le bruit titillant du fer brisant les vertèbres est toujours une aussi belle mélodie de quiétude à son oreille charnue.

Equipe : Suite à de copieuses disputes s’induisant de sang vers une proximité de fin, il est considérablement obligatoire qu’il navigue solitairement. Son âge aidant, il a vécut en tant que renégat chez les pirates, une soi-disant terreur. Il serait important d’y rajouter que sa renommée tacite le mène aussi à un rang de terroriste. Il est d’honneur que certains « autres » enfouiraient une phobie des énergumènes tel que Ginzō, qui n’hésite pas à tuer pour obtenir un résultat bénéfique à son égo.

Faction : Il se range présentement dans aucune des grandes rangées de la guerre. Point révolutionnaire, guère marine et vaguement pirate. On pourrait au contraire le qualifié de criminel, ennemi, voir, terroriste. Actuellement, il s’enrichit dans la vente illégale d’esclaves et de spécimens rares.

Akuma no Mi : Il faut dire qu'il n'a pas vraiment déblatérer sur ce sujet. Il est pour ainsi dire inconnu au bataillon.

Aspiration : Quitter cette spirale infernale qui l’interne depuis déjà 20 ans, il aspire à vivre dès ses 60 ans dans une petite masure sur une île où la vue donne sur un océan azuré, être paisiblement installé à longueur de journée et avoir des petits-enfants. Synonyme flagrant de quiétude. En attendant, il concrétise son deuxième rêve, devenir éperdument riche. Après tout, il y a une certaine connotation intérieur-caché puisque pour vivre dans ce genre d’endroit utopique, il faut avoir une certaine bourgeoisie matériel ou moral, en l’occurrence, la noblesse morale, il ne l’aura jamais alors autant s’adonner à l’autre moyen de vivre là-bas.

Physiologie : Le moins que l’on puisse dire c’est que son physique est concordant à son psyché : épouvantablement effrayant. Son charme n’est pas vraiment le point culminant dans ses centres d’intérêt, bien qu’implicitement, il est lié à un certains cultes pour Narcisse si ce n’est pas son corps qui l’intéresse le plus et auquel il tient le plus d’attention. Préserver une musculature opulente comme présente si bien le grand garçon est de son ressort et compte parmi les sujets les plus chers à son cœur. La tare récurrente de son apparence reste justement le trop de muscle dont il bénéficie, à force de chercher à atteindre le paroxysme de la beauté virile, il en est devenu un être qui de par son physique nous inspire à un être bestiale et dénué d’humanité, comme quoi. Arrivé à cette apogée corporelle maintenant stigmate de déchéance, il ne peut plus reculer dans l’avancée musculeuse qu’il a tracée avec tant de vigueur et d’ardeur. Si le buste de l’homme à la carrure ineffable est rocailleux, sa musculature abdominale l’est tout autant. Versé dans des traits divins, il se forme ainsi de multiples tatouages et de cicatrices sur ce corps aussi divin. Sa célérité n’est point affecté par le poids des muscles pesant qu’il porte en constance, il est capable donc de porter de lourdes choses tout cela, n’affectant point sa vitesse considérable. Bien qu’il ne tienne pas une prestance de coureur, un corps taillé de la sorte sent l’acharnement et le travail en soit ! Deux mètres soixante-dix circonscrivent la taille démesurée du titanesque tyran. Vulgairement, on pourrait qualifier Ginzō d’armoire à glace. Sa stature hautement bâtie lui permet d’imposer une volonté de fer et ainsi qu’un mutisme significatif permettant à son porteur d’exprimer taciturnement ses impressions violement, de le faire acquiescer, voir obéir. Le moins qu'on puisse dire est qu'il dégage naturellement une prestance ahurissante. Il faut dire qu’il a été gâté par les gênes transmis de ses géniteurs qui composent actuellement son être. Frauduleusement aidé, il avoue s’être facilité sa quête de prestige physique avec l’humble axillaire que l’on appelle drogue, aidant de par leur propension à former des chaires de les parties faites à effet pour les biceps, triceps et autres parties musculeuses du corps humain. Comme palabrer précédemment, il est donc nanti d'un corps agréablement dessiné et plaisant à la vue, travaillé avec le plus grand soin pour lui conférer une force brute plus que conséquente ainsi qu'une aisance de mouvement large, de même qu'une souplesse et une agilité d'envergure. De sa vie entière, il n’a eu de cesse que de trimer sur son anthropométrie, bien que moult autres activités ont turlupinés la vie du hâve démiurge. Il est indubitablement une des plus grosses bêtes du milieu, fût-ce dans son allure; l'animalité qu'exhale son être et qui étincelle perpétuellement dans son regard ne fait qu'affirmer avec virulence son statut de Tigre Blanc. En résumé, dans la globalité de son aspect, il émane de lui une hardiesse théâtrale, atteignant un niveau tel qu'elle peut même être suffisante à inspirer un épouvantement fantomatique à quiconque vient à le discerner. La massivité de la carcasse du Dieu ne manque pas de surprendre et de déstabiliser tant elle est époustouflante; il n'est pas rare que quelqu'un ait le souffle coupé à la seule vision du gabarit de notre énergumène. Tout son individu suscite instinctivement une sorte d'appréhension à son égard, de même qu'une certaine forme de respect pour son auguste dégaine. Spontanément, il respire la bestialité, et cela ne fait qu'accentuer sa virilité déjà amplement satisfaisante; c'est un homme, un vrai, et un seul regard sur lui suffit à le discerner sans équivoque.