Oyama Kai-man Piégeur
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[Feuille de personnage] • Renommée: 150 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Alexander Blake Ven 23 Oct 2009 - 15:45 | |
| BEHIND THE COMPUTER Prénom: Tony Age: 19 Sexe: Où il faut. Comment avez-vous connu le forum? Google Combien d'heure vous vous connectez par jour? Minimum une heure, après ça peut être bien plus. Tes mangas préférés: Berserk, 21th Century Boy, One Piece bien sûr et une tonne d'autres que je ne citerai pas. Ton pirate préféré dans One Piece: Ton pirate préféré. Hobbys: Batterie, manger, dormir... Autre: LET ME INTRODUCE MYSELF Nom & Prénom: Alexander Blake Age: 24 ans Race: Humain Occupation: Humain Grade: Commodore, si possible. Rêve/but: Être l'homme le plus influent du monde, avoir le pouvoir tout simplement.MORPHOLOGIE Ai je le physique parfait ? Tout homme se pose la question un jour, et sait très bien qu'il ne l'a pas. Comme tout à chacun je me suis également posé cette question et ai trouvé la même réponse que les autres. Pourtant j'ai quelques atouts, et pas des moindres. Plutôt musclé, sans l'être abusivement, la testostérone à outrance n'est pas très joli. Je suis donc dessiné, j'ai des abdos, des biceps et autres quadriceps mais les traits sont fins et mes muscles ne forment de grosses boules disgracieuses pleines de veines. Il parraitrait aussi que j'ai un magnifique regard, je n'en suis pas certain. Certes il est inhabituel, les yeux rouges n'étant pas très répandu. Mais, les même pupilles, en bleux rendrait mon regard quelconque, peut-on donc définir cela comme beau ? Bref, ce n'est pas le plus important le regard, enfin si, mais il y a une autre partie du visage toute aussi importante: le sourire. Un sourire radieux donne une impression de réconfort et de bonheur, ce qui rassure l'interlocuteur. Mais mon sourire n'est pas de ce genre. Il est parait-il, moqueur, voir mesquin pour certains. Je ne sais pas comment ils peuvent déduire cela d'un simple sourire mais bon, j'imagine que je leur rappelle leur belle-mère. Celles-ci ayant toujours un de ces sale sourire qui cache bien des pensées mauvaise à votre égard. Des pensées noires et obscures comme cheveux. Tient, en parlant d'eux je dois avouer que je les aime bien. Noires, avec une bonne matière, pas le genre qui frise à la moindre goutte de pluie ou rèche comme une botte de foin. Bref des cheveux quasi parfait, même si, comme toujours je n'en suis pas entièrement satisfait. Si ils luiraient plus, ce serait bien mieux. Mes mains aussi sont particulièrement agréables, douces comme la peau d'un enfant et d'une taille et symétrie à en laisser plus d'une envieuse. Et oui, j'ai pratiquement des mains de femmes, sans les grands ongles et cette apparente fragilité... quoi que. Ce sont des petits bijoux, j'en prend donc grand soin. Que ferait-on sans ses mains ? La vue, ça se perd, l'ouie, le goût mais franchement, sans ses mains, on vaut plus rien. Je dispose également d'un tatouage, dans un endroit secret et au motif secret, mine de rien je suis assez pudique!
Passons maintenant à mon accoutrement, chose très importante. Dans la vie il faut avoir un certain style, c'est ce qui donne un avis positif à la personne en face de soi lors de la première rencontre. Bien plus que le physique en lui même. On a beau être un beau gosse naturel sans les vêtements adéquates, on ressemble plus au sac à patate qu'à une perle de la maroquinerie.Je m'habille donc toujours avec un certain style, en plus dans la marine mieux vaut en imposer. Avec une certaine prestance point besoin d'utiliser la force, la population se calme d'elle même. Souvent serti d'un costume 3 pièces je dois cependant souvent me coltiner un des affreux uniformes de la marine. Heureusement pour moi, depuis que je suis officier, le manteau suffit lors des rencontres officielles. Comme je le disais, je prend soin de mon apparence, préférant la chemise au gros pull qui gratte offert une fois de plus par la marine. Vraiment aucun style dans cette institution. Des millions pour produire des navires de guerre, former du personnel pour le combat mais pas un centime pour un styliste. Je demande pas un truc ultra chic mais quelque chose de pratique et sympa à mettre sur le dos.
Passons à l'apparence du plus bel animal que cette terre ait foulé. Mon petit Loki tout mignon. Ayant une maladie qui l'emêche de grandir cette pauvre bête possède encore son apparence de jeune louveteau. D'un très beau pellage blanc il aime venir se blottir contre moi avec son petit regard très touchant. Je fond en larme à chaque fois qu'il le fait. Il est tellement mignon ce petit ange. Il possède des peintures sur son corps, que je ne peux expliquer, il les a depuis toujours et ça ne part pas au lavage. Certainement la couleur naturel, ou un sortilège. Il est tellement beau qu'une sorcière aurait parfaitement pû être jalouse. Bref il est la perfection incarnée, cette beauté dans ce regard, cette majestueuse démarche, ce succulent museau, ce pellage si doux et chaud... Loki quoi.
PSYCHOLOGIE Je hais parler de moi, ça me fait toujours penser à une visite chez le psychiatre, il n'y a que les fous et les incompétents qui doivent se rabaisser à une telle pratique. Et surtout, des charlatants pour exploiter les faiblesses de ceux-ci. Le pire, c'est que le diagnostique est toujours le même quelque soit le problème que l'on rencontre. Toute action est induit par le comportement et actions du père ou de la mère durant notre jeunesse. Si on est une enflure, si on viole des pigeons ou si on regarde par le trou des serrures, ce n'est jamais de notre faute, mais celle des autres. Bravo l'exemple, une doctrine où le fautif n'est jamais dans la pièce, un élément extérieur facilement attaquable. Bref. Nous ne sommes pas là pour parler des ces vendeurs de tapis.
Par où commencer, peut-être par un des traits important de ma personnalité. L'appréciation des bonnes choses à leur juste valeur. Le bon vin et la bonne bouffe, deux des pêchés que je veux bien m'accorder. Surtout l'alcool, issu d'une famille de vigneron il ne pouvait en être autrement. La musique est aussi une chose que j'adore, j'aime m'évader au travers de quelques notes de piano. Revenons à mes mauvais côtés. Oui car à côté de la gourmandise, j'ai aussi un penchant pour la luxure comme pour chaque homme enfuit en nous. Je ne pense pas qu'à ça, mais imaginer les femmes sous mes ordres en petite tenue n'est pas à exclure. Il en faut beaucoup pour m'énerver, ce n'est pas dans ma nature, je suis souvent calme voir trop d'après certains supérieurs me traitant de déchet nonchalant. C'est supérieur donc ça se croit tout permit !
Parraitrait que je suis également quelqu'un de gentil, pourtant je ne fais quasi jamais d'acte désintéressé, espérant toujours une compensation en retour. Mais bon, certainement mes décisions me permettent de plaire au plus grnd nombre et de parraitre bon. Je recherche certainement à être aimé de certaines personnes, savoir bien se positionner dans la hiérarchie sociale est important. En tout cas, c'est ce que disait ma mère: «fais ton trou». Un psychologue serait ravi d'entendre ça en y pensant. Enfin, il retournerait la situation, il dirait que ma quête d'ascenssion me ronge de l'intérieur et que cela est dû à une non reconnaissance de ma mère durant mon enfance qui m'a poussé à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour lui plaire. Alors que, je m'entend parfaitement avec. Elle m'aime parfaitement bien également. Tout va pour le mieux.
Une autre sale manie, si on peut appeler ça de cette manière est mon obsession à vouloir que le travail soit bien fait. Jusqu'à laver vêtements des morts d'un Buster Call, enfin j'exagère peut-être un peu sur ce coup là. On fini son travail ou on le laisse à un autre si l'on a pas les compétences pour l'effectuer. C'est aussi simple que ça.
Un mot revient souvent dans mes phrases, le «pouvoir». Sous toutes ces formes, autant par la force que dans le mensonge ou la corruption. Tous les moyens sont bons pour être au sommet de l'échelle et manger les autres. Du haut de la pyramide les bases sont parfaitement visibles et le jugement est éclairé. Seul les meilleurs survivent, c'est ce qu'on appele la selection naturelle. Rien de mauvais à dire cela, c'est la stricte vérité.
FRUIT DU DEMON & TECHNIQUE Je ne possède pas de fruit du démon, j'ai déjà bien assez de mes démons intérieurs pour me coltiner d'autres. Puis bon nager dans la mer bleue est un tel plaisir qu'en avoir un serait plus handicapant qu'autre chose. Je me bat donc à l'aide de mes bras et jambes, dans un style de combat inventé par moi même et plagié sur tout ce que j'ai pû voir ou entendre. Je possède également quelque techniques d'épée même si, je ne les utilise pas souvent. En effet sortir de mes quartiers avec une telle horreur que celle qui nous est "grâcieusement" offerte par le gouvernement est une honte. Je me sers également de Loki contre les plus faibles, histoire de les faire souffrir et nourrir mon tendre et bel animal avec des rognons de très grande qualité.
STORY
Le commencement de la vie, moment si beau et si incroyable... mais personnellement je n'en sais rien. Je ne me souviens pas de cet instant, au plus loin que je me souvienne je devais avoir dans les environs de 2 ans. Un objet, dont je ne me souviens plus, m'obnubilait sur la table de la salle à manger. Je voulais l'attraper par tous les moyens bien qu'étant trop petit, encore, pour le faire. Ce fût une obsession pendant au moins deux bonnes heures, j'essaya de grimper sur une chaise, m'aider du coffre à jouet, sauter, demander à mon ami invisible mais rien n'y faisait. Seul l'échec est encore gravé dans mon esprit, je n'ai aucun souvenir d'avoir eu l'objet en question. Même si me connaissant j'ai dû y arriver par un moyen ou autre. Malgré ma position de fils de bonne famille j'ai toujours été débrouillard. A essayer de trouver une solution sans passer automatiquement par la position de mes géniteurs.
Parlons en, de mes parents. Ils sont, enfin étaient de grands propriétaires terriens, possédant des milliers d'héctares de plantation. Principalement positionné dans le secteur des alcools et dans le blé. Quand on possède l'origine de la vie on ne connait jamais la crise me disait mon père. Le peuple a toujours besoin de se nourrir, quoi qu'il arrive. Enfin, le peuple, c'est vite dit, depuis au moins un siècle c'était la marine qui achetait la plupart de nos récoltes. Des milliers de clients et des centaines de tonnes de produit vendus continuellement. C'est une valeur sûre. Pour rapporter ça rapporte, je n'ai jamais eu besoin de me plaindre du manque de quoi que ce soit. Mais étrangement, je n'ai jamais eu envie de prendre leur relève. L'air de la campagne n'étant pas ma panacée. Cela date de ma plus tendre enfance. Lorsque je devais avoir 4 ou 6 ans. Je me trouvais en visite dans une des nombreuses possessions de ma famille. La grandeur du terrain m'avait émerveillé à l'époque. C'était d'une telle beauté, une telle liberté pour moi souvent enfermé dans la demeure familliale. La vision de ces enfants s'amusant m'avait particulièrement frustré à l'époque, j'avais vraiment envie d'aller m'amuser avec eux mais il était inconcevable pour le fils du propriétaire de s'amuser avec des personnes du peuple bien entendu. Des prolétaires de bas étage.
Pendant de longues années différents professeur m'octroyèrent une bonne éducation. Des mathématiques, en passant pas la géographie et la philosophie. L'art également me fut enseigné, mère tena absolument à ce que j'apprenne le piano, comme Piero un de nos esclaves qui jouait une douce mélodie, si éclatante pour quelqu'un d'enfermer dans une vie qu'il ne voulait pas. Il s'échappait en quelque sorte à travers ces quelques moments de musique. Et surtout elle lui permettait d'avoir els faveurs de mère. Malheureusement lors de mes 15 ans la fameuse guerre contre le fameux Luffy éclata m'obligeant à aller au combat loin du faste que j'avais connu. Malgré toutes les tentatives de mon père pour empêcher cela, de son réseau d'influence à sa corruption de certains membres de la marine. Mais toutes ces tentatives n'avait plus aucune importance, la loi martiale accorda tellement de pouvoir entre les mains du gouvernement que si il s'était mit en travers de leur chemin il aurait tout simplement perdu toutes ses possesions à la faveur d'une personne plus apte à obéir.
C'est alors que je partit sur les mers en tant que jeune bleu. Je ne m'étais jamais servi d'une arme auparavant mais déjà je devais tuer. Et bien. Heureusement pour moi j'étais plutôt apprécié par mes supérieurs malgré mon ancien statut social, certainement grâce à mes connaissances de l'épée. En effet j'avais suivi quelques cours au près du maitre d'arme de notre famille. Un grand homme, assurément. Cependant, au près des autres bleus je me trouva dans la position de bête noire. L'homme à abbatre, à qui il faut faire des crasses, constamment. Être issu d'une bonne famille et en plus être doué n'étant pas du tout acceptable pour le peuple. Les brimades se firent donc lourdes au cours de mon ascension dans la marine.
J'avais décidé,en effet, de faire carrière parmis ce corps. Le meilleur endroit sur terre étant actuellement la marine. Les pirates se faisant chasser et les civils étant sous la direction du gouvernement. Etant marine je pouvais avoir un certain contrôle sur mon destin contrairement à d'autres métiers. Je ne fit donc pas attention à mes coéquipiers, mon seul objectif était de gravir les échellons, à la fin j'aurais le dernier mot après tout. Malgré leurs moqueries et leur bassesse à la fin ce serait moi qui leur donnerai des odres et toute déviation les enverrait droit vers la mort. Une affectation dans un lieu très dangereux pour une période indéterminée et je pouvais lui dire au revoir à l'idiot qui avait osé ou oserait se croire plus malin que moi. Aujourd'hui, je me rend compte que je n'ai pas fait le mauvais choix. Je suis un gradé et ces imbéciles sont soit retournés sur leur île ou sont encore des ignorants qu'on envoie à la boucherie.
C'est malheureux à dire mais mes parents ont perdu leur exploitation, ne possédant plus que quelques terres, une richesse divisée par 20. Mes ancêtres se retourneraient dans leur tombe en voyant l'état du patrimoine qu'ils ont amassé au cours de leur vie. Dur de s'en remettre. Ma mère a changé depuis, elle n'est plus du tout la même. Avant elle était tout de même bien plus douce, et autaine avec le peuple. Maintenant elle l'est toujours, loin de moi l'idée de vouloir la descendre mais étant plus proche du statut de simple paysan elle s'est assagie et surtout, elle est devenue un peu aigri de la vie. J'ai l'impression qu'elle attend la mort, que le seigneur le rappelle à lui. Sa vie d'avant lui manquant, ce faste d'un siècle sous lequel notre famille a bercé est définitivement éteint pour elle.
Pour moi, pas du tout, bien au contraire. Il n'est qu'en mutation. L'avenir je le trace aujourd'hui même. L'agriculture ne rapportant plus et étant bien trop aléatoire la richesse se trouve du côté du gouvernement. Au millieu du sang, de la fumée de l'odeur est érigé un petit autel fait d'or. Il ne me reste qu'à y aller avec ma pioche et repartir aussi tôt avec le butin.
La route fut longue et difficile pour arriver où j'en suis comme je l'ai dit auparavent. Tuer des gens de sang froid, des enfants ou des vieillards n'étant pas ce qu'il y a de plus facile à faire quand on a un minimum de morale. Mais à vrai dire, au bout d'un moment on s'y habitue, je ne dis pas qu'on y prend du plaisir mais faire respecter la loi quelque soit les modalités de ce jugement est parfaitement faisable. Rien ne me choque plus à vrai dire. Si, peut-être détruire des oeuvres jugées calomineuse vis-à-vis du gouvernement mondial. Je suis un fervent croyant dans la liberté d'expression. Mais bon quand à la clef se trouve une belle récompense je n'en suis plus si géné que ça. C'est un peu comme le mensonge, peu de personens aime le pratiquer mais tout le monde l'utilise à différentes fins, c'est juste plus facile.
En conclusion, la marine m'offre une opportunité extraordinaire que je ne risque pas de rater. Même si en route quelques pirates et autres rêveurs doivent passer sur l'échaffaud. L'histoire ne se souvient que des vainqueurs. Post RP:(il provient d'un autre forum One Piece où j'écris à la troisième personne) - Spoiler:
La ville dans laquelle avait attérri Oyama était une de ces bourgades paisibles si nombreuses dans West Blue. Un grand ciel bleu parsemé de nuages se trouvait au dessus de lui. Au milieu des tâches blanches volait un condor à la recherche d'une proie, le regard vif et l'oeil perçant il scrutait le sol jonché de plantations. Dans celles-ci vagabondaient de nombreux paysans munis de serpes et de sacs, certainement la saison des récoltes en déduisait le loup. Le port se trouvait à un bon kilomètre du village, cette architecture était assez étrange mais compréhensible. Elle prémunisait les habitants face à l'arrivée de pirates. Cette séparation permettait à la population d'augmenter ses chances de fuite en cas d'attaque. Oyama décida d'aller faire un tour au village, afin d'y séjourner quelques jours, le temps de trouver un autre navire pouvant l'embarquer. Le chemin entre les deux infrastructures était un petit chemin de terre longé par des rembardes , de chaque côté de celle-ci se situait des champs rempli de nombreux animaux. Assez exotiques pour la plupart mais truffé également de vaches, de brebis et autres bêtes courrantes.
Le loup se trouvait dorénavant à la lisière du village, il y distingua de nombreux bâtiments à toit de chaume se tenant sur deux lignes parralèles. Au bout de l'allée centrale se dressait un château, de construction moderne, à l'italienne avec deux ailes avançant et trois perrons. Au bas, se déployait un immense pelouse parsemée de bouquets de grands arbres espacés derrière une barrière de terre sèche et de brique et d'un immense portail se finissant en pointe sur le haut. Une si grande demeure dans un si petit village composé d'artisans et de paysans était assez étrange et dénotait dans le paysages. Mais Oyama n'y fit pas attention et partit vers l'auberge afin d'y prendre une chambre.
L'aubergiste était un homme plutôt rustre, d'une cinquantaine d'année connaissant du premier coup d'oeil à qui il avait à faire. En 50 ans de vie, il avait eu l'occasion de croiser tout type de personne. Du plus diabolique, au simplet se faisant avoir par un enfant de 5 ans lui promettant monts et merveilles contre 5000 berrys. Sa femme, elle était une de ces vieilles mégères toujours négative partisante du « c'était mieux avant ». Une de ces personnes, irritable au possible. Ils n'avaient ni femme ni enfant, certainement partit loin de cette cambrousse, vers un avenir meilleur dans une belle ville. L'auberge ne comprenait que 4 chambres assez vétustes. L'île n'étant pas un modèle de fréquentation pour les voyageurs de tout poil. Tout de même, sur les 4 chambres 3 étaient occupées en comptant celle du loup. En face de la chambre d'Oyama se trouvait celle occupée par un représentant commercial. Venu négocier avec les différents exploitants et aritsants de l'île les prix de leurs biens. Dans celle d'à côté se trouvait une femme, dont Oyama n'apprena pas grand chose. Elle était là depuis un bon moment mais ne parlait que très peu, hormis avec Zack, un des domestiques du château se trouvant sur l'île. Toutes ces infos furent grapillées rapidement, la première leçon est de toujours savoir qui nous entour.
Deux jours après son arrivée, au petit matin, Oyama trouva une lettre qui avait été glissée sous sa porte durant la soirée.Elle stipulait que le loup devait exterminer tous les habitants de l'île sans exeption, même femmes et enfants sinon celui-ci verrait la fin de ses jours arrivée très prochainement. Très étrange comme demande. Oyama s'interroga sur qui lui envoya la lettre en premier lieu. Pour ce faire il prit plusieurs axes de reflexion. Tout d'abord il réflechi aux personnes qu'il avait cotoyé depuis son arrivée. Peu d'individus en somme, et tous banals. Cela ne pouvait être eux. La personne qui lui avait envoyé la lettre ne pouvait être que quelqu'un connaissant les capacités du loup. Tuer tout un village sans laisser de survivant n'étant pas à la portée de tous. Et surtout elle connaissait le côté duquel était le loup, pour être certain qu'il n'en informerait pas les autorités. Même si, arriver avec une telle histoire chez les marines ferait passer n'importe qui pour un fou.Pour finir Oyama se posa une dernière question: à qui profiterait la destruction du village ?
Il mena alors l'enquête, il intérrogea quelques exploitants, pour savoir avec qui ils commerçaient et si ils avaient reçus d'autres propositions. Apparemment, il n'y avait rien pouvant entrainer une telle haine envers l'île de ce côté là. Le problème, avec une telle investigation est qu'il fallait rester discret et de ne pas s'adresser à n'importe qui. Sous peine, d'être découvert par les instigateurs de la lettre. Le luxurieux château tronant au milieu des habitations plutôt modestes intriguait toujours Oyama. Quels pouvaient-être les revenus des propriétaires et surtout de quellles pratiques provenaient-elles. Ils ne pouvaient-être les intermédiaires entre les compagnies et la main d'oeuvre de l'îlot vu que les commerciaux s'adressaient directement à la population. Et d'après eux, les taxes n'étaient pas si élevées que cela. D'après Zack, avec qui j'ouvrit la discussion alors qu'il était en route vers la chambre de la fameuse dame au bout du couloir. Les personnes résidant au château étaient des membres de la famille à un marine haut gradé. D'où leur habitation luxuriante, et leur possession de plus du quart de l'île. Cette information titilla l'esprit brumeux d'Oyama, il fallait creuser par là.
Dernière édition par Alexander Blake le Dim 25 Oct 2009 - 11:49, édité 1 fois | |
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