Une chienlit Ridculéènne

Sujet: Une chienlit Ridculéènne Mer 4 Nov 2009 - 14:28

Hidao Ridcull, le seul fonctionnaire du monde à voir ses collègues lui proposer de prendre congé sur leurs propres heures à eux (allez savoir pourquoi, personne ne voyait d'un bon oeil la compagnie de Ridcull au bureau) était un autocondimenteur éhonté (Le convive qui ne manque pas de verser du sel voir du poivre sur tout ce qu'on lui sert, quel que soit le plat, même s'il était déjà assaisonné, sans soucis de son gout. Les psychiatres spécialistes du comportement, engagés par des établissements de restauration rapide dans l'univers, après avoir remarqué le phénomène, ont fait économiser des milliards de devises locales à leurs employeurs en leur conseillant de ne rien assaisonner au préalable. Ce n'est pas une blague). A chaque repas, il avait son service à condiments personnel devant lui. Un service qui regroupait du sel, trois sortes de poivre, quatre de moutarde, quatre de vinaigne, quinze de chutney et son pêché mignon : la sauce wow-wow, mélange de frottis, de concombres au vinaigre, de câpres, de moutarde, de mangues, de figues, de youplà râpée, d'extrait d'anchois, d'assa-foetida et, très important, de soufre et de salpêtre, histoire de relever le tout. Ridcull avait hérité la formule de son oncle qui, un beau soir après avoir arrosé un gros repas d'une demi-pinte de sauce, avait prit un biscuit au charbon de bois pour se soulager l'estomac, puis allumé sa pipe et disparu dans des circonstances mystérieuses (on avait cependant retrouvé ses chaussures sur le toit l'été suivant). Il y avait du mouton froid au déjeuné chez Ridcull ce matin là. Ridcull en avait copieusement engloutit la première moitié la vieille au soir au diner et s'était réveillé le matin avec un creux. Le mouton accompagnait bien la sauce wow-wow; le soir de la mort de Ridcull senior par exemple, il l'avait accompagnée sur au moins cinq kilomètres.

Hidao se noua la serviette autours du cou, se frotta les paumes et tendit la mains.

Une paire de pouce opposables, c'était un sacré atout à bien y regarder. Qu'on demande à un Crocodile, toute machine de guerre qu'il était, d'empoigner un récipient en verre sans, disons, y creuser des trous ou tout simplement troncher tout le mobilier avoisinant la scène. Techniquement d'ailleurs, c'était impossible puisque le terme empoigner supposait un poing. Dans le cas du crocodile, et aux vue des pattes, le terme empatté s'accordait bien mieux. A ceci près qu'à bien y regarder, Destruction était en fait le seul terme apposable a toute action mettant en scène une patte de crocodile, et le terme empaté lui, referait, tout compte fait, bien plus au crocodile dans son ensemble. Au lapin aussi selon Hidao qui aimait par dessus tout le lapin en paté.
Que de reflexion en une demi-seconde. Quoi que pas grand chose, remarquez, en comparaison de tout se qu'y s'y passa pendant cette seconde, coupée, la pauvre, dans son élan. Une demi seconde disons nous donc pour passer
de ca

à ca

Si on voulait faire simple, on aurait évoqué une proximité mal calculée entre un Baril de sauce wow-wow et une flamme de quoi qu'ce soit. Au final, et au bout de quelques minutes, les ravages de l'explosion etaient tels que tous les badauds attroupés autours de la maison du vieux Ridcull envisageait la mort du concerné avec cette tristesse qui était la votre lors de l'enterrement de la vieille et horrible tante josephine, éternel sac en fourure sous le poignet, caniche dedans et qui vous reprennait tout le temps quand vous vous mettiez les doigts dans le nez d'une tappe incommodante sur la main, vous ejectant le bout de l'index au niveau du lob pariétal. Bref, tout le monde feintait la tristesse avec brio et heureusement car quelle aurait été la reaction de Ridcull qui, degageant un canapé de sur sa tête en jurant, se serait trouvé face à une foule dansant la jigue devant ce qui aurait été le tombeau de n'importe qui d'autre en de pareille circonstances ?

"Putain d'sauce ! Eructa le vieux en s'eppoussetant les vêtements d'un revers de main alors qu'il filait sous le regard interpellé des badauds. Bien sur ce ne fut qu'une fois à quelques dizaines de metres qu'il leur cria a grand renforts de signes de la main

"J'vous conseil de dégager ! J'ai entreposé trois barils de sauce à la cave et m'est avis qu'ils ont pas encore pêté !!"
La réaction ne se fit pas attendre. La foule suhintait de flot de cris composé a moitiés d'insultes à l'adresse du vieux, à moitié de menaces de mort rejoignant l'avis de la premiere moitié quand à sa cible. Du même coup, il était impossible de deviner si les gens couraient vers le vieux pour l'étripper ou s'ils fuyaient la potencielle source d'explosion. Dans les deux cas, ils semblaient pressés d'atteindre leurs but. Mais la seconde explosion qui intervint sembla leur faire perdre toute envie de parachever la quête de dézinguage de Ridcull, lequel, apres avoir allumé sa cigarette avec un copeau de sa table à manger qui avait atterie à ses pieds, examina la foule exhègue.

" Bin arrêtez d’me regarder comme ca ! On m’envoit de force sur votr’archipel et vous z’etes pas foutu d’vous bouger l’cul 3 secondes pour me r’mettre ma baraque de vacance en état ? Mais j’vais vous raser cette ile de baltringues qui sert a d’la couille !"

Et ce fut à ce moment précis, entre deux insultes de masses où les concernés pensaient être témoins de la crème de la grossièreté , sans demi mesure ; à ce moment précis donc, qu’une pinte de bière, initialement pleine, vint se vider sur le veston ciré de RIdcull. Celui-ci examina silencieusement l’ampleur des dégats quelques secondes puis leva les yeux vers la foule dont il ne faisait aucun doute qu’elle abritait en son sein l’auteur de ce méfait.

"Le couillon qui croyait amuser la galerie en gachant d’la bonne (constat mitigé) bière sur ma poire, commença ridcull d’un air mauvais, se verra responsable de la disparition de quelqu’un d’autre toutes les 3 mnutes à partir de maintenant. "

Sur ce, Ridcull empoigna par le colbak’un gus portant un strupide déguisement d’ourson, ces salle bêtes qu’il n’arrivait jamais à chasser. Bien sur, l’effet supposé intimidant du ‘je te prends par le col pour te faire pisser dans l’froc’ ne fut que très limité sur la tête d’ours qui, bien que toujours aggripé par Ridcull, devait se plier en 4 pour se mettre au niveau du vieillard.

"Toi, tu va êtr’ le premier, la peluche !"

Invité

Par je ne sais quel hasard, le navire volé par Kuma & Nora avait dérivés au point de s’échouer pitoyablement sur l’archipel Shabondy, au grand malheur de tous ceux qui les accueillerait, bien malgré eux… A peine Kuma eut-il mit un pied à terre, que le navire explosa à cause du feu qu’avait laissé Kuma dans la casserole (Oui, c’est bien dans ce sens…) et qui était tombé, lors du naufrage du navire, sur les barils de rhum placé non loin. La réaction ne se fit pas attendre du coté de notre héro marginal. Ni une, ni deux il baissa son pantalon et entreprit l’action de pisser sur les flammes dans l’espoir de les éteindre… ou tout simplement de soulager une envie pressente. Une demi-minute plus tard le voici parti en direction de la ville accompagné de son acolyte « humain-normal » qui lui servait de capitaine et de son pantalon qu’il portait fièrement sur la tête.

De grands pas et d’ample mouvement de bras accompagné sa marche, sans se soucier des piétons qu’il frappait au passage. La nonchalance de Kuma, ne semblait avoir d’égal que sa bêtise. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, voilà que nos deux compères s’étaient attiré les foudres d’une meute de chien de rues. La tête en mousse de Kuma semblait si appétissante, et aux yeux de ces animaux, Kuma n’était rien de plus qu’un jouet à mordiller.

La cruauté de ces monstres à pattes était sans limite, voilà qu’Eichi était affalé sur le sol, la bouche béante et laissant, comme à son habitude, s’échapper un large filet de bave, tandis que les chiens lui mordillaient le crâne et lui déchirait le peu de vêtement qu’il lui restait… Le calvaire de Kuma ne semblait pas être terminé, alors qu’il se releva difficilement après s’être fait pisser dessus et torturés par ses chiens, un vieillard l’attrapa par le col et se mis à déblatérais des conneries que Kuma ne prit même pas la peine d’écouter. Seulement ce qui semblait être un geste de cruauté à nos yeux, Kuma, lui, l’interprétait comme une tentative de réconfort de la part de ce vieillard sénile et puant. Alors que le vieil homme le tenait par le col, Eichi l’enlaça et le serra fort contre lui et se mit à pleurer comme le grand enfant qu’il est. Bavant au passage sur le vieillard, alors qu’il suçait son crâne, qu’il avait pris pour une sucette. Le geste d’Eichi semblait à la fois répugné la foule et l’attendrir. Un ours en peluche qui pleure… c’est si mignon… Mais ciel, qu’il était moche !

Quelques minutes plus tard, Eichi se releva fièrement, lâchant alors cet homme si bon qui avait su trouver les gestes pour le réconforter. Il témoignait sa fascination pour cet homme en se mettant à mettre en vers quelques rimes de son propre cru. Seulement sa chanson avait davantage pour effet de faire fuir la foule, que s’attirer les fleurs et les applaudissements de cette dernière.

[En manque d’inspi… Et j’suis over-occupé, désolé de la médiocrité, j’fais ça pour débloquer le RP ^^ au prochain je me rattrape !]

Sujet: Re: Une chienlit Ridculéènne Dim 8 Nov 2009 - 16:58

C'est toujours un événement en soi, que de subir les conneries de son second; mais quand celui-ci est un autiste avec une tête d'ours en peluche bien significative, on ne s'en sort plus... Seulement cela devient carrément extraordinaire quand le capitaine ne vaut pas mieux que le bras droit en question, ainsi on ne parle plus d'un équipage en quête de notoriété, mais des anecdotes de deux tocards. Tocard, premier du nom avait usé de ses pouvoirs permettant la création spontanée de vortex pour rejoindre plus vite une destination hasardeuse, on savait encore moins où on foutait les pieds mais au moins on les foutait plus vite. Question de point vue après tout, et n'ayant personne d'assez raisonné, en somme même pas un bambin, pour arrêter notre capitaine adoré; on ne pouvait qu'espérer que ses vortex jettent pas sur une base marine. Ils avaient ainsi traversé une bonne partie de la mer en a peine quelques secondes et deux vomissements, la faute au voyage rapide toujours nauséeux pour les non initiés... Et même pour l'initié... C'est donc dans un melting-pot de crevette, viande et spaghetti décomposés que nos héros posèrent le pied, enfin c'est bien ce qu'ils auraient voulu faire seulement ce n'est pas pour rien que j'ai commencé sur les débilités qu'engendre Kuma... Il avait laissé une casserole sur le feu, c'était étrange pensé Nora « Depuis quand on avait du feu dans le navire ? »; mais il n'eut pas le temps de répondre à ses interrogations qu'il volait déjà au loin en bien triste compagnie qu'offrait toujours la même aberration de la nature.

C'était malchanceux que de commencer par perdre son navire, instrument pourtant indispensable aux pirates se respectant... Ce qui n'est bien sur pas le cas de nos compères tombant quelques centaines de mètres plus loin, pas trop éloignée d'une seconde explosion bien similaire à la première. Ne remarquant rien, faisant ni vu ni connu, Nora et son animal de compagnie se mirent à marcher au hasard, laissant leur instinct décider de ce qu'il ferait, comme d'habitude ils frôlèrent la mort quelques fois. Alors que Kuma enchainait ses péripéties, notamment canine cette fois-ci comme on eut enchainer des inspirations, Nora lui offrait un sourire béat à ce qu'il allait prendre comme premier point de chute, plus communément appelé QG ou base secrète. Il semblait que le harem de nos héros allaient réquisitionner un archipel d'îlots, plus ou moins gros, plus ou moins importants. Alors que le capitaine allait imposer son autorité face aux bourreaux du second, a savoir trois clébards dont un unijambiste, et un autre démuni d'yeux; ce fut l'autorité d'un autre zigoto qui vint raviver l'ours en piteux état. Allez savoir pourquoi le vieux qui gueulait gueuler, et pourquoi c'était personne d'autre que Myoshi qui allait subir le courroux, valant ce qu'il vaut, du vieillard sentant plus ou moins la bibine. Il était temps pour Nora de se rendre compte qu'une foule s'était amassée juste à coté du reste de l'équation chimique maison, sauce ridcull, bibine. Mais était-ce un vieux comme les autres ?!

La leçon du jour, s'il fallait en donner une, serait l'égalité sociale. Des dizaines de glandus avec un certain pourcentage de force et de charisme voyait la flagellation d'un pauvre petit ours en peluche au caractère enfantin; il était en train de sucer la tête dégarnie de son persécuteur, signe de réconciliation. Et l'auteur de ce crime -vu comme cela par Nora, alors qu'il empoignait juste son copain- n'était d'autre qu'un des cinq doyens, figure emblématique de la marine, et superpuissance mondiale. Il avait sans aucun doute le pouvoir de tuer tout le monde ici présent, serait-ce par ses dons ou ceux d'un autre qu'il commandait; il était dans tous les cas quelqu'un d'aussi important que puissant: les deux adjectifs allant bien ensemble. Ainsi notre demi-dieu pouvait s'accorder ce qu'il voulait, autant insulter les passants que chopper le second de mon héros qui, pour le coup, ne vit pas cela d'un très bon œil. En quelques secondes, le capitaine créa deux fins vortex devant lui servant sans doute de point de chute aux bras les traversant. Alors que un venait corriger Kuma en sortant le poing gauche sur ta tête d'ahuri, l'autre tapait dans le bras de celui dont personne n'ignorait le nom : Hidao. La surprise alliée a la vieillesse firent tomber l'ours sans trop de mal, et pour une fois Nora parlait sans bafouiller, pour ne pas dire que des conneries.

« On ne traite pas les héros ainsi ».

Dix minutes plus tard, Nora, Kuma et le doyen s'étaient retrouvés complètement bourrés à la taverne la plus proche, on s'était facilement raccommoder autour d'une bonne bibine et déjà notre homme avait parler du projet d'harem au vieux dans la plus festive ambiance qu'il soit eut donné de voir sur Shabondy. Surtout entre haute instance marine et petits malfrats voulant devenir grands. Mais soudain se déclenchait l'événement qui bouleverserait l'archipel et même les mers entières. Il fut rapporté qu'un haut gradé de la marine débarquait pour attraper une peluche vivante et un homme vortex, ainsi les survivants de l'île détruite avaient le bras long... Et ce fut au même moment, qu'on apprit la visite inopiné d'un pirate primé dans les centaines de millions venant exécuter l'un des doyens. Nora en cassa sa bouteille... Ca aller chier sur Shabondy.

[Hrp : J'ai fais une fin bizarre XD Je savais pas quoi inventer mais je voulais inventer un truc, j'aimerais bien être connu a la fin de la péripétie avec quand même un des doyens, que je me suis permis de contrôler (désolé...) En gros j'ai fais que de la merde... Si jamais l'un de vous avait une meilleur idée de raison pour se foutre sur la gueule de façon épique, je serais preneur.]

[HRP : désolé. Je sais que pour une telle attente, c'est pas folichon comme réponse mais je suis clairement en manque d'inspiration ces derniers temps. Sa va m'revenir.]

Spoiler:

La nouvelle se répandit comme une trainée de poudre au sein de l'archipel si bien qu' immanquablement, elle finit par atterrir dans la taverne où les métaphoriques bacs de dynamites qu'étaient Ridcull, Nora et la Peluche vidaient consciencieusement la réserve de bière du gérant. La métaphore sus-mentionnée (poudre et dynamite donc) ne pouvant pas mieux tomber, les 3 protagonistes explosèrent : premièrement de surprise, ensuite de colère et enfin le goulot de leurs bouteille contre le bar. Ridcull, le plus hargneux du tas comme en font fis les rumeurs, entama les hostilité par l'une de ses célèbre joute verbale, retrouvant par là même cet aplomb dont on peux déplorer la perte en cas d'ivresse.

"Vous ? Des pirates ? Une p'luche et un gosse pas plus âgé qu'mes pantoufles ? (véridiques. leur couleur en atteste) Z'avez pas encore d'poil à la quequette que vous rêvez déjà d'piller les braves gens ?! Mais j'm'offusque ! Z'allez prendr' cher les mômes. J'vais vous filler les torgnoles qu'vos parents auraient dus vous mettre quand vous z-êtiez pas plus haut qu'ça, conclua-t-il en désignant maladroitement l'une des choppes vides affalées le long du bar. D'ailleurs, patron, enchaina-t-il en s'adressant, cette fois, au barman recroquevillé derrière son comptoir, vos verres là, sont un peu p'tits nan ?
Cette apostrophe hors-propos fut acceuillie par un couinement plaintifdu gérant qui s'affaissa encore plus entre deux tonneaux vides.
"Bref ... Balanca le vieillard, le doigt pointé plus où moins précisément vers les deux pirates. Vous, mes gaillards ... vous avez tirés le gros-lot. Parsque vous allez prendre ... Une courgette !"

Cette fois, l'exclamation encourageante de Ridcull n'eut pour seul écho qu'un second couinement interrogatif.
Ridcull, toujours souriant, la main hasardeusement tournée tantôt vers la Peluche, tantôt vers le Gamin, récitait avec précaution une contine, passant de l'un à l'autre des deux pirates à chaque syllabe.

"A-la-sou-pe,sou-pe, sou-pe
Au-bou-illon, yon, yon
La-sou-pa-lo-gnon
C'est-pour-les-gar-çons
La-sou-po-len-tilles,
C'est-pour-les-p'tites-FILLES !!"

Sur ce, la main de Ridcull commença à gonfler odieusement pour, après quelques secondes d'attentes gênées, expulser à une vitesse hallucinante une forme conique aux dégradés verdâtres. L'objet en question traversa la pièce en sifflant, frôlant au passage l'oreille gauche de l'ours pour finalement aller s'écraser lourdement dans un pan de mur, y laissant un cratère fumant entouré d'un liquide pâteux aux couleurs oscillant entre le marron et le vert.

"Merde ! Balança le vieillard en se tâtant la main, laquelle avait reprit sa taille normale. J'y aurait fait des trous dans ton joli masque, continua-il en grommelant à l'adresse de Kuma. La prochaine fois j'vous loup'rai pas bande de branleurs ! Ces sal'tés me fillent une chiasse horribl' à chaque fois qu'j'les utilise. S'agit d'pas les gastiller, hein.

Sur ce, il prit une grande inspiration. Son torse se mit à gonfler copieusement. Au terme du même temps de latence, une chose qu'on aurait pu qualifier de tomate si seulement il n'atteignait pas le plafond de par sa taille émergea du torse duvêtut du viellard en un 'plop' singulier. L'objet tomba au sol, révélant sa nature bloblotante à l'atterissage. La terrible vérité vint s'imposer aux témoins de cette étrange scène. Il s'agissait bien d'une tomate.

"AU BOU-ILLON YON YON LES MARIOLLES!!!" Vociféra Ridcull, que l'on ne distinguait même plus de derrière son légume pachydermique.
Vu son état, Ridcull était partit pour distribuer des Patates et des Marrons à tour de bras à quiconque viendrait s'intercaller entre lui et ces deux zigotos. Certqins disent de Ridcull qu'il est un peux soupe au lait. C'est faux ! Il est 100% Légume vert !

[HRP : l'intervention de la tomate geante n'est d' aucune utilité en terme de combat. C'est juste pour mettre l'ambiance.]