~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~
Prénom: Flavian
Age: 19
Sexe: Garçon
Comment avez vous connu le forum? De la pub sur un forum où je suis déjà =)
Combien d'heures vous vous connectez par jour? Tout dépend, assez souvent pour être sur plusieurs rp en même temps =)
Tes Mangas préférés: One piece \o/, Fairy Tail, GTO, Dreamland
Ton pirate préféré dans one piece : Nico Robin et Chopper (complètement opposés
certes mais c’est pour ça que j’aime les deux =) )
Hobbys: Les grosses fiesta, Batterie, Manga, console, voyager dans toute la France
Autre: Moi dans le vie je suis plutôt comme ça => \o.
~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~
Nom & Prenom : My Eva
Pseudonyme : Le bourrin
Age : 24 ans
Race : Ange
Occupation : Pirate
Métier : Capitaine
Physique : Bien que paraissant peu épais, il possède une très bonne musculature, on va dire que c’est une boule de muscle en puissance. Il mesure un mètre quatre-vingt cinq pour un poids de quatre-vingt kilos tout rond. En permanence habillé d’un pantalon et d’une paire de chaussures noires toutes simples, il collectionne les chemises sans manches, un vêtement qu’il à tout particulièrement apprécié en arrivant sur les mers d’en bas. Des cheveux brin toujours en bataille et des yeux marron, il porte en permanence une paire de lunette transparente, plus esthétique qu’utile. Bien que physiquement il ne soit pas particulier, il à une façon d’être et une prestance bien à lui qui font qu’on le remarque souvent très vite.
Caractère & morale : Ce mec est un gros fêtard, toujours de bonne humeur, toujours optimiste et cherchant toujours à découvrir de nouvelles choses, une curiosité très développé qui lui apporte parfois quelques problèmes. Il est amical avec tout le monde et ne cherchera jamais la baston en premier (sauf si un morceau de l’histoire n’a pas été compris par son cerveau). Mais c’est aussi un gros pro de la baston, un bourrin à l’Etat pur qui à seulement développé sa force, sa résistance et sa vitesse, chercher à s’entrainer à d’autres choses plus compliqués seraient futiles pour lui, pourquoi se galérer quand on à des facilités pour certaines choses ?
En tout cas je dois aussi avouer qu'il à pris goût à une chose qu'il y avait moins sur les iles célestes c'est la luxure, qu'il à d'ailleurs vraiment apprécié même si il n'est pas du genre dragueur.
Et Sinon paresse et gourmandise sont toujours de mise.
Et malgré tout cela, il à l'étoffe d'un bon capitaine, toujours à aider ses camarades, toujours à prendre les risques pour les personnes qu'il apprécie.
Il ne se laisse jamais déconcentrer ni décourager dans toutes les situations possibles et inimaginables!
Techniques Spéciales : Aucune pour l'instant
Histoire :
Une plaine de nuage complètement blanche, un calme plat, bas un bruit, rien… Une absence totale d’animaux célestes qui ne faisaient en plus que réussir à diminuer des bruits déjà inexistants.
L’avantage lorsque l’on marche sur des nuages, c’est que le seul bruit que nous pouvons produire en marchant est un léger « pouf », mais avec un minimum d’entrainement, ces petites plaintes que laissent ces petits moutons de vapeur d’eau condensés lorsqu’on leurs marchent dessus peuvent se réduire à néant pour ne devenir qu’un fantôme avançant en flottant dans se paradis d’un blanc éblouissant malgré le fait qu’il faisait nuit et seul la lumière offert par la lune permettant de discerner sans peine toutes les irrégularités et les obstacles de ce paysage sans fin.
Une personne se trouvait au beau milieu de tout ça, observant les étoiles avec un attrait rêveur, mais un individu allait interrompre, voir gâcher tout cela.
Avançant comme un spectre, Eva s’approchait de son frère qui ne semblait pas l’avoir remarqué, un sourire se dessinant sur son visage, il était persuadé que son action allait le surprendre, se cachant de nuage en nuage il se rapprochait de plus en plus. Puis décidant qu’il se trouvait assez près, il bondit pour une attaque amicale.
Surprise radicalement loupée, une esquive de la part de son adversaire qui avait un impact dial dans la main, un pas sur le coté pour l’esquiver et les deux frangins commencèrent à se battre assez méchamment dans la puissance des coups certes mais pas vraiment pour blesser l’autre, un combat où l’un avait l’avantage de la force et la vitesse, et l’autre celui de l’intelligence et de la tactique. Un combat qui paraissait ne pas avoir de vainqueur, les deux challengers étaient vraiment concentrés sur se qu’ils faisaient.
Foutu trou…
Un ridicule petit trou…
Un imperceptible petit trou…
Petit certes…
Mais suffisant pour faire passer deux personnes…
Et ce fut partit pour une chute de trois milles mètres…Rêve / But : Devenir la plus puissante, la plus respectée, le plus riche des personnes de ce globe et pirate est un statut parfait pour faire ceci. Avec en plus un désir de n’avoir ni loi, ni règles. De pouvoir s’amuser, découvrir le monde, de nouvelles personnes sur cette mer si vaste et pleine de surprises.
Post RP : Voici un post Rp d’un forum où j’ai adoré être, où je fais l’histoire d’un de mes personnages =)
(Je m'excuse mais je n'ai pas remis les balises)
Yami (ténèbres/obscurité) Makai (enfer) est issue d’une famille qui à fait très longtemps parler d’elle et encore aujourd’hui, même si ce n’est que très peu, en effet, la grande famille des Makai avait créé une secte, louant les enfers, profitant des malheur des autres et dieu sais qu’en certains temps, guerres ou épidémies, le mal être, l’envie de mourir ou tout autres dépressions son monnaie courante et de la monnaie, ils en gagnaient.
Enfin bon, tout ça pour dire, que dès sa naissance, elle pu vivre dans la luxe sans manquer de rien, et se genre de petite fille pourrie gâtée, surprotégée car enfant unique et vivant avec le genre d’éducation qu’elle à reçut, n’a pas fait d’elle une femme sympathique et agréable, mais qu’importe, ceci n’est pas la chose la plus importante de l’histoire.
Ce pourquoi elle est si importante aux yeux de ces parent sont les conditions de sa naissance, car pour cette secte, le fait de venir au monde dans le sang est preuve que le nouveau né est directement envoyé par les enfers et c’est se qui c’est passé, la mère deYami, faillit mourir d’une hémorragie, les différents tissu ou muscles ne s’étant pas assez élargies pour faire passer le bébé qui fut que se dernier fut directement recouvert de sang, liquide de la vie mais dans certaines conditions, c’est le contraire…
Cette naissance, mena une bonne partie de sa vie, car pour ses parents, la petite était plus prédisposé à certaines choses, était-ce vrai ? Ca je ne peux pas vous le dire, mais je pense très franchement que c’est les habitudes que ses parents lui on faite prendre qui l’a poussé à faire certaines choses et voici donc la première.
Le meurtre… Chose assez spéciale, qui est ressentit, comme une émotion, assez différemment pour chaque individu, mais si on montre dès le plus jeune age que c’est une chose normale, amusante et excitante, donnera un plaisir tout le long de sa vie à le personne le pratiquant, mais il existes des milliers de façon de ressentir cela.
Il est quasiment minuit, un jardin immense autour d’un incroyable manoir, alors que le brouillard s’épaissit de plus en plus, une ombre encapuchonnée longe un mur, le cœur battant à tout rompre, il regarde une direction, essayant avec peine de percer la purée de pois qui l’entour.
Un bruit sur sa gauche, il tourne sa tête, mais la vision ne lui permet pas de voir assez loin, il tremble, mélange de peur, frisson due au froid, gouttelettes de sueur et d’eau certaines ruisselant sur son visage. Le bruit qu’il venait d’entendre s’avérait être un oiseau, mais cela ne le rassurait pas pour autant.
Faisant revenir son regard dans la direction précédente, il aperçut enfin se qu’il voulait alors que le brouillard c’était atténué pendant quelques instant, l’entrée du cimetière, une grande et épaisse entrée en marbre, ou commençait de chaque coté, de longue rangées de différents arbres.
Respirant une dernière fois, il courut en avant et arriva à coté de l’entrée, se replaquant contre le mur il tenta une nouvelle fois d’observer les environs, en vain.
Il mit sa main sur son cœur et levant la tête vers le ciel, ici inexistant.
Tu avais raison, je suis faible….
Et j’aurai dû t’écouter, je t’aimerai toujours…
Il retint sa respiration quelques secondes, se retenant ainsi de pleurer, même si une larme coula.
Il n’était plus très loin de la sortie, il devait à présent longer l’extérieur du cimetière, en faisant bien attention de ne pas s’éloigner du la haie.
Courant comme un dingue, il ne faisait plus tellement attention à se qui l’entourait, sauf à un moment, il réussit à apercevoir une ombre quelques mètres sur le coté, et bien qu’il était parvenu à garder son calme jusque là, il ne pu s’empêché de céder à la panique.
Non! Non! Non! Nooooooon !!!!!!
Et ce ne fut pas l’ombre qui l’attaqua, mais une main sortie de la haie qui planta une aiguille au niveau de son cou, l’homme perdit connaissance.
Lorsqu’il revint à lui, il était à genou, mains et pieds liés, il n’avait rien subit pendant qu’il était inconscient.
Il se trouvait dans une pièce de petite taille, éclairé par des bougies, mais les personnes présentes, le fit revenir vraiment à lui en quelques instant, la petite Yami était là, âgée de presque six ans et accompagnée de ses deux parents, le père commença à parler d’une voie froide et de la quel la seul émotion en ressortait, était de la colère.
Tu étais un bon précepteur pourtant, c’est fort dommage
Tu à de la chance, normalement la torture et la mort sont réservé aux traîtres, tu n’aura le droit qu’a la mort et par chance tu continuera ton rôle jusqu’au bout puisque tu sera le premier meurtre de notre fille.
Il s’approcha du prisonnier dans un regard de mort, ce premier respirait très vite, dégoulinant de sueur, le père lui prit les cheveux et lui leva la tête.
Pendant ce temps, la mère de Yami lui avait donné un couteau, elle lui murmura une chose à l’oreille, la jeune fille acquiesça tout en observant le couteau qu’elle faisait tourner pour l’observer, dans un mouvement, elle se piqua l’index avec la pointe de l’arme, une petite goutte de sang perla sur son doigt, la regardant elle mit son doigt dans la bouche pour enlever le liquide, puis prenant le couteau de sa main droite, elle s’approcha du prisonnier qu’elle regarda le regard vide même si elle ne comprenais pas vraiment se qu’elle allait faire.
Elle tendit le bras et posa le tranchant sur le coté du cou du prisonnier qui parla une dernière fois.
Ma mission a échouée…
Et au moment même où il finit sa phrase, la petite Yami venait d’accomplir son premier meurtre…
Mais se qui nous intéresse le plus ici c’est la suite des évènements, alors que les deux carotides venaient d’être tranchées et, sous le coup, la pression du sang causée par les battements du cœur encore en activité, se déversa sur la jeune fille qui se contenta juste de fermer les yeux et de se reculer, la vue du sang, elle en avait l’habitude.
S’essuyant les yeux, sous un regard de fierté de ses parents, malheureusement… La jeune fille s’approcha du corps inerte, elle lâcha le couteau et se pencha sur la personne qui avait été son précepteur pendant plus de deux ans.
La simple vu du cadavre et des images qu’elle avait déjà pu observé, lui fit comprendre se qu’elle venait de faire, une larme perla et elle commença à pleurer tout se qu’elle pouvait, sous les yeux affolés de ses parents qui n’attendaient pas cette réaction.
Personnellement, je pense que sa mission avait belle et bien réussit…
Petit épisode désastreux pour les parents de la petite Yami, mais ceux-ci avaient bien comprit grâce à d’autres test, pourquoi elle c’était mise dans cet état, elle était absolument incapable de tuer quelqu’un qu’elle appréciait, sauf si cet personne lui avait fait un coup pourrit qui ne datait pas de longtemps, c’est donc sur ça que ses parents, s’occupant maintenant de son éducation, s’attelèrent à effacer cette petite partie qu’ils nommaient « faiblesse »
Selon ses choix, Yami étudia la médecine, dans le bon et le mauvais sens car en gros c’était, soigner les siens, tuer les autres… et pas de la façon la plus douce qui soit, et malgré son jeune age elle était adulé de tous.
Mais qu’importe, si la jeune fille est toujours vivante à l’heure qu’il est, c’est grâce à une coïncidence, deux choses qui se sont passé en même temps pour sa plus grande chance, même si à se moment là, on n’aurait pas pu vraiment parler de chance.
Yami était alors âgé de 9ans.
La jeune fille était assise dans une salle de classe installée sur l’unique bureau de l’endroit, un tas de feuilles et de livrés y étaient posés, elle était en train d’écrire sur l’une des pages d’un des bouquin, ajoutant quelques notes sur le texte déjà écrit.
En face d’elle, un professeur écrivant des notes sur un schéma grossièrement dessiné sur un tableau.
A sa gauche, son père, assit sur une chaise et observant en silence.
Donc voila ! Notre cours sur les points sensibles du corps humain est fini, je vous fais confiance madame, que vous saurez tout cela demain, mais vu vos progrès je n’en doute pas, à demain!
L’enseignant s’inclina en face de la jeune fille, s’avança vers la porte, s’inclina une nouvelle fois envers le père ponctué d’une « maître » quasi inaudible, il sortit.
Le père se leva et alla à coté de sa fille qui rangeait toutes ses affaires dans un sac en tissu gris/noir, elle leva la tête, pour le regarder sans sourire, le regard sévère, son père quant à lui, sourit.
Je suis vraiment très fière de toi! Tu est une petite fille très doué et qui fait de vrais efforts, c’est pour cela j’aimerai te montrer quelque chose qui te plaira.
La jeune Yami eut un regard interrogateur, sans se presser plus que ça, elle finit de tout ranger et se leva, emboîtant le pas de son père elle le suivit dans les long couloirs de l’immense demeure qui surplombait le cœur de tout l’endroit, des centaines de personnes grouillant dehors observées sans intérêt par Yami.
Durant le trajet, n’importe quel personne qu’ils croisaient, s’abaissaient deux fois, mais la deuxième fois était toujours plus basse que pour le père.
Enfin ils arrivèrent devant une porte qui se trouvait être le bureau du père, ce dernier clancha la porte et l’ouvrit en lançant une dernière phrase à un des domestiques qui se trouvait là.
Je ne veux être dérangé sous aucun prétexte
Bien monsieur…
Le père et sa fille rentrèrent dans la pièce, prenant bien soin à fermer la porte à clef.
La jeune fille ne connaissait toujours pas la raison pour laquelle elle avait été amenée ici, bien qu’elle ne tarda pas à le savoir…
Avant qu’elle n’ait eut le temps de se retourner son père s’était jeté sur elle, lui avait passé un bout de tissu sur la bouche et l’avait plaqué contre le mur, la jeune fille essayait de se dégager mais sans succès, il lui murmura quelques mots à l’oreille
Ho ma douce fille, toi qui est idolâtré de tous, toi la perfection, toi l’envoyée des enfers, toi dont mon corps, à ta seul vue, à du mal à se retenir, mais je vais enfin pouvoir le satisfaire…
Yami paniqua encore plus à ses mots, son père ne l’avait pas lâché et commençais à lui lécher le lobe de l’oreille tout en commençant à passer sa main sous sa jupe.
Sans ménagement, il la déplaça et la lança quasiment sur le bureau dont plusieurs choses tombèrent à terre, il se laissa tombé sur elle, l’écrasant de tout son poids, elle commençait à suffoquer.
Continuant son œuvre, il avait déchiré une partie de la jupe de la jeune fille, se retrouvant une partie de la poitrine non caché, le bas du vêtement relevé, bien qu’elle essayait de se dégager, se débattant de toute ses forces, la jeune fille commençais à comprendre qu’il allait bientôt parvenir à ses fins.
Réfléchir, elle réfléchissant, comme elle le pouvait
Et enfin, une opportunité… la main de son père passant devant sa bouche, elle le mordit de toute ses forces, mais pas d’une façon qui ne laisserai que de petits trous de sang et une grosse marque de dent, non bien au contraire, elle lui arracha littéralement une partie de chair, son père fit un bon en arrière, criant de douleur, se tenant la main de laquelle une grosse quantité de sang coulait.
On va voir si tu vas encore réussir à résister
Le père bondit une nouvelle fois sur sa fille, qui esquiva, se jetant à plat vente sur le sol, elle rampa assez vite sous le bureau et attrapa son sac, d’où elle sortit un petit couteau auquel résidait une petite tache de sang sec sur la pointe.
Vous allez me dire, comme par hasard elle à un couteau dans son sac, et je vous répond que non! Mais nous reviendrons sur cela plus tard si vous le voulez bien.
Une nouvelle fois la jeune file se roula, ressortant de sous le bureau et se remettant debout, faisant face un son père, de la haine sortant de ses yeux, brandissant l’arme elle attaqua maladroitement de front son père, celui-ci l’esquiva et lui envoya un revers du poing sur la tête qui l’envoya sur une étagère, elle se retrouva à terre à moitié sonné, des objets plus ou moins dur lui tombant dessus, elle n’eut pas le temps de se ressaisir qu’un nouveau coup la renvoya de l’autre coté de la pièce, se cognant directement contre un mur.
Elle ne fut pas plus sonnée que précédemment, allongée sur le sol, elle entrouvrit les yeux, voyant les jambes de son père approché, elle se mit à réfléchir de toutes ses forces couteau toujours en main et enfin elle tenta.
Alors que son père se baissait pour lui l’attraper, elle se roula une nouvelle fois sur le coté, elle fit plusieurs tour sur elle même avant de s’arrêter et d’aller trancher, chaussure comprise, l’arrière du pied de son père, sectionnant au passage le tendon qui soutient la jambe et le pied.
Le père tomba à moitié, se retrouvant accroupi, se retenant de hurler de douleur.
La petite Yami se relevant avec mal, planta à plusieurs reprises le dos son père, frappant à des endroits précis, il tomba en avant, toujours vivant mais respirant avec difficulté, recrachant du sang par la bouche.
A genoux, elle s’approcha et libera tout se qu’elle avait subit pendant ses longues minutes avec son père, un mélange de tristesse, de peur et de rage.
Et sans s’arrêter, pleurant toutes les larmes de son corps, et poignardant encore et encore le cadavre de son père pendant de longues minutes.
A bout de force, elle s’arrêta et s’écroula sur le sol, couverte de sang, la respiration haletante, n’ayant pas lâché son couteau.
Le bazar qui avait eut lieu dans le bureau, avait complètement coupé les deux individu du reste du monde et il s’en était passé des choses dans la demeure durant ce temps, la porte du bureau vola en éclat et un homme apparut…
Dix-sept minutes plus tôt…
Un groupe de vingt-six personnes, onze femmes et quinze hommes, en tenu de combat, discrets, longeaient un mur.
Ils ne communiquaient souvent par des signes de main, la personne qui était le chef menait donc son équipe, un plan à la main.
Il donna donc ses ordres à tout le monde, puis de nouveau le calme, il observa les alentours, faisant attention à chaque personne qui était présente dehors, puis s’assurant que tout était bien comme il l’avait prévus, il tendit la main en avant et fit un compte à rebord avec sa main et au moment où son dernier doigt se referma tout le monde se sépara.
Nous suivront le parcourt d’une des dames du groupe, Myatsu Ashi, appelée la dame aux poisons, vous pouvez donc bien imaginé quel pouvait être son style de combat.
Equipé d’un gantelet duquel dépassaient des aiguilles sur les extrémités, sur la paume et l’arrière, elle se sépara du groupe initial, accompagnée de deux autres personnes, à eux trois ils devaient rentrer dans la demeure les premier, s’avançant dans un premier temps, ils attendirent que le passage ai été libéré.
Tout se passa dans la plus grande discrétion, les autres groupes endormissaient, assommaient, paralysaient toute personne qui pouvaient les gêner, ou tuer pour les fervents partisans de la secte dont un liste avait été faite avant la mission.
C’est bon! C’était le moment d’y aller, avançant avec vitesse et silence tout trois entrèrent dans l’immense bâtiment par une petit porte sur le coté, juste après deux personnes étaient en train de discuter, un valet et un homme assez âgé très bien habillé, ce dernier étant sur la liste des personnes à tuer, il finirent, les trois ninjas bondirent, Myatsu en première, elle colla une petite claque sur la joue du vieux, les petites pointes de sa paume rentrèrent dans la chair, ne laissant aucune trace, en un tour complet de sang, sans qu’il n’ait pu dire quelque chose, il se raidit et tomba à terre,se dépêchant, elle planta l’aiguille au bout de son auriculaire qui lui contenait un poison mortel, sauf que celui-ci n’agissait qu’en une trentaine de seconde au contraire de son poison paralysant qui lui agissait dans la seconde.
Alors qu’ils s’apprêtaient à continuer, de long cris et bruits leurs firent comprendre qu’ils avaient été repéré, le discrétion n’était donc plus de rigueur.
Bondissant en avant, elle sortie une lame arrondie de vingt centimètres, et ne fit plus de quartier, un coup de lame pour les gens qu’elle reconnaissait un coup de manche pour ceux dont le visage ne disait rien.
Elle regarda un de ses camarades avec un regard interlocuteur, celui-ci comprit de suite et lui indique la direction à suivre, il fallait arriver tout en haut car c’est là que résidait la famille Makaï.
Arrivant dans les derniers étages, ils commencèrent à enfoncer les portes une par une, enfin c’est l’une des personnes accompagnant Myatsu qui trouva se qu’ils étaient en train de chercher, mais l’image qu’ils s’étaient fait de la scène qui allait arrivé en ouvrant cette porte était tout autre.
Il ne pu s’empêcher de s’arrêter quelques secondes et de regarder bouche bé, l’image d’une petite fille dans une quasi obscurité, quasiment à terre, devant un cadavre, couverte de sang, un couteau ensanglanté dans la main, le visage rouge faisant ressortir des yeux le fixant, imbibés d’eau, dans lesquels était regroupé toute la peine du monde.
J’ai… J’ai trouvé le père et la fille Makaï, mais vous devriez venir voir!
Tout en disant cela, il ne l’avait pas lâché du regard, la jeune fille essaya tant bien que mal de se reculer, mais ses muscles ne lui obéirent pas.
Les deux autres arrivèrent et regardèrent la pièce, eux aussi, maquèrent un temps où ils ne dire rien, l’un deux rentra dans la pièce s’avançant doucement vers la fillette, dans un dernier effort elle essaya de s’enfuir, elle était dans un sale état et son corps n’en pouvait plus, elle s’évanouit.
Nouveau moment de silence où l’homme le plus proche alla voir la fille, regardant si elle était toujours vivante.
Son cœur bat encore et elle respire toujours, qu’est ce qu’on fait d’elle?
L’autre homme répondit au tac au tac, le ton froid et sec
Nous avons pour ordre de la tuer, donc faisons notre boulot
Myatsu passa devant l’homme, pour aller à coté de la petite fille toujours inerte sur le sol
Je ne suis pas d’accord avec cela, il est vrai que c’est notre mission, mais d’après se que je peut observer, elle vient de tuer son père, se qui change toute les choses, de plus, ma curiosité est en éveil et j’aimerai comprendre quelques petites choses si nous arrivons à l’interroger, je pense que vous pourrez me comprendre
Les deux homme acquiescèrent, l’un deux porta Yami, la scène suivant se déroule dans l’hôpital de Hikyouchuu…
La jeune fille se réveilla, attaché à un lit médical, elle essaya de bouger, mais ses muscles étaient encor faible, se qui ne lui permit même pas de forcer sur ses liens.
Ouvrant les yeux petit à petit, elle vit trois personnes dans la pièce, Myatsu, un des hommes qui l’accompagnait pendant leur mission et un infimier.
Myatsu s’approcha de la fillette et commença à lui parler tendrement.
N’ai pas peur… Nous ne te voulons aucun mal, tu es juste attaché par précaution, si tu me promets de ne pas bouger, je vais te détacher.
Ne comprenant toujours pas tout, Yami lui fit un signe de tête en remplacement d’un oui.
La femme s’exécuta et la fillette ne bougea pas, sous les yeux des deux autres personnes prêtes à intervenir si tout ne se passait pas bien.
Une fois détaché, elle se redressa, pour prendre une position assise, se maintenant légèrement avec ses main appuyées sur le lit.
Je vais directement, en venir au principal…
D’après nos informations, mon mari a été assassiné par une des personnes de la secte de tes parents, il s’agissait de ton précepteur et j’aimerai sav…
Yami l’avait écouté avec attention, ne cherchant même pas à réfléchir ou autre, écoutant juste et avec l’envie de répondre franchement aux questions posées, seulement, au moment même où Myatsu prononça le mot précepteur, ses yeux s’emplirent, de nombreuses larmes se mirent à couler et la petite commença à pleurer bruyamment.
Complètement désemparée, Myatsu s’avança et serra les bras de la jeune fille, cette dernière, toujours pleurante, bégaya dans un premier temps mais lançant tout d’un seul coup à une vitesse folle.
C’est …C’est… C’est moi mais j’voulais paaaaas!!!!!! J’suis désolé!!!
Surprise complète pour toutes les personnes présentes, Myatsu eut le cœur qui bondit à l’annonce de la nouvelle, la première pensée qui lui vint à l’esprit fut de la faire souffrir le plus qu’elle pouvait, mais les pleurs qui retentissaient à se moment là, étaient des larmes sincères, et une intuition lui dit que cette petite fille n’était pas vraiment se qu’elle paraissait être, un instinct maternel, des restes de son mari encrés en cet jeune fille, je ne pourrais vous dire, mais en tout cas, Yami Makaï trouva une deuxième maison et une vraie mère…
La nouvelle de la mort de sa mère ne l’affecta pas plus qui si elle avait perdu un jouet sans importance et se qui restait surtout encré dans sa mémoire, c’était son père, un homme dont elle n’aurait jamais pu imaginer se qu’il avait voulut lui faire, c’est surtout cela qui ne s’effaça pas de suite.
La suite des choses se passa sans grandes histoires importantes, Yami Makai devint la fille adoptive de Myatsu Ashi, cet dernière essaya de faire changer la jeune fille, essayant autant que possible de faire ressortir cette petite partie qu’avait créé son mari et partie ayant été décelée facilement.
La jeune fille resta pourtant très froide dans toutes les occasions, elle s’amusait très rarement et avait gardé cette étrange habitude de se piquer le doigt de temps en temps avec un petit couteau qu’elle gardait sur elle, pour en sucer la petite goutte de sang qui en sortait.
Elle continua ses études de médecine, cours additionné par ceux de sa belle mère sur les poisons, dont les connaissances de la jeune fille facilitaient l’apprentissage.
Elle orienta son choix principalement vers la médecine légiste, et ceci en partie à cause d’une sorte de manque assez étrange, elle avait un besoin quasi vital de voir du sang.
Elle évolua d’une très bonne façon, devenant respecté et reconnue de tous, malgré le fait qu’elle soit très distante, froide et que la personne la plus importante à ses yeux était elle-même.
Mais c’est la suite qui nous intéresse le plus, elle avait 19 ans.
Un soir, alors qu’elle était en mission dans un village de montagne, gelée par le froid, elle s’engouffra dans une auberge nommée: « Auberge du Cerf Fringuant »…
Oui oui! Je viens bien de vous faire le coup de la fin foireuse, mais pour continuer, il nous faut débord connaître une autre histoire, celle du père, Eva. Mais vous serez cette partie là une prochaine fois =)
Sujet: My Eva o/ 
