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| Sujet: L'ombre Mary Lun 15 Mar 2010 - 0:02 | |
| ► Information Physique :
• Drummon D. Mary
Les petites villes de nos jours ont pour la plus part un petit journal local ou une petite gazette relatant les faits et gestes de leur petite bourgade. C'est grâce à ces même petits journaux que je vais vous présenter la ravissante demoiselle qu'est Mary.
Un petit village bordant une ile de Grand Line abritait une maison d'édition qui publiait un journal du nom de «Faits et Gestes». Dans cette même petite ville à la sortie du premier exemplaire un homme d'une cinquantaine d'année l'acheta et feuilleta les pages une à une. Cet homme n'était personne d'autre que le maire et dirigeant de la gazette, il faisait son inspection quotidienne de ses exemplaires. Ses mains glissaient sur les pages neuves et encore lisse de ce premier numéro, ses petits yeux s'agitaient rapidement recherchant une information invalide ou mal traité par ses machines d'impression. Aucune erreur comme à son habitude, il était fier de lui et pouvait l'être. Sa gazette ne présentait aucunes fautes de frappe et tous les récits et articles publié étaient authentiques. Il prit donc une pose comme tout bon chef se doit de faire et commença à lire un article nommé: «L'ombre de l'île», un nom plutôt accrocheur qui venait chatouiller la curiosité de cet homme. Effectivement c'est dans cet article que Drummon D. Mary est l'héroïne, ou plutôt l'intrigue.
Une photo d'une jeune fille fluette et simple servait de chapeau à l'article. A première vue elle semblait simple mis à part une étrange tenue vestimentaire et un style assez excentrique. Le vieillard semblait vouloir connaître ce qu'il se tramait autour de cette jeune femme, il déposa ses yeux sur les premiers mots de l'auteur et commença à lire pour lui même l'article. Les mots coulait des ses lèvres, ils décrivaient la femme comme unique et ravissante. Il était vrai que même avec ses cheveux couleur de nuit et ses yeux au regard vide reflétant les couleurs d'une lune rousse. Des petites mèches se trouvait un peu rebelles et tentaient de se déposer sur son visage pale et lisse, mais un serre-tête les retenait leur intimant de rester en place. Son visage dégager par ce petit objet astucieux restait impassible malgré la photo prise par un inconnu. Il était finement taillé et arborait les petits yeux de la jeune fille ainsi que sa bouche aux fines lèvres. Les petites lèvres recouvertes de rouge lèvres mauves qu'étaient les siennes se sentaient surplombé par un petit nez à l'affut des moindres odeurs qu'elles soient douces ou amer pour ses douces petites narines.
L'homme n'en revenait pas, une jeune femme aussi jeune et déjà en première page de sa gazette. Il replongea dans les entrailles de son propre journal et continua sa lecture frénétique de la présentation de cette inconnue de tous. Autre des yeux rougeoyant, un teint clair et des cheveux aussi sombre qu'une nuit sans étoile elle se démarquait par le simple fait que sa tenue n'était qu'une nuisette un peu plus épaisse que celle qui lui servaient pour se laisser emporter par Morphée. Le tissu se fondait avec la couleur de ses cheveux, l'être et les vêtements ne faisait semble t-il qu'un. L'auteur de l'article insistait sur le fait qu'il l'avait croisé et observé durant plusieurs heures, qu'il ne l'avait jamais vu courir ni même sauter. Mary, comme elle se nommait, déambulait dans les rue de la ville avec une allure non chalante et une souplesse impressionnante. Elle semblait doté d'un sixième sens lui permettant de se fondre dans la masse et de ne choquer aucune personne ni d'importuner le premier venu.
Le paragraphe qui suivait fit rougir le vieillard, non parce qu'il racontait des histoires érotiques au propos de la jeune demoiselle mais tout simplement car l'homme qui s'était chargé de relater les fait décrivait quelques parties du corps d'une femme qui fait rougir n'importe quel des hommes normalement constitué. Comme dit dans l'article «Elle se perchait sur des jambes athlétiques et tellement fines et ravissante que les fées pouvaient lui envier sa beauté», une simple phrase décrivant la douce peau qui se voyait refléter le soleil et la lune en même temps quand sa maitresse leurs permettait. Il fallait bien qu'elle cache ces atouts aux yeux du monde, ce qu'elle faisait avec deux cuissardes de tissus mauve prolongeant la nuisette qui couvrait le haut de son corps. La douceur incarnée muni de petits pieds couverts de joyeuses petites ballerines noires.
Le vieil homme toussa un peu quand il finit de lire ce petit paragraphe qui laissait paraître un trait de caractère prochainement expliqué. L'auteur laissait en suspens ses lecteurs le temps qu'ils tournent la page en finissant sur quelques mots: «Nous avons là une ombre vêtu d'un petit ensemble de nuit (Cuissardes, nuisette, et petit collier de tissu) qui se fait connaître dans notre petit ville»
► Information Psychologiques : L'homme tenant le journal à la main partit en direction de son antre douillette pour y finir son petit délice de nouvelles à propos de cette femme. Ce jour la le vielle homme marchait rapidement, il voulait en connaître plus, surtout l’article qui décrivait cette femme complètement inconnue à ses yeux. Arrivant devant chez lui il poussa la porte se prépara un petit breuvage et reprit sa lecture. Il tournait les pages rapidement à l’aide de sa main droite, surtout son index, à la recherche de l’article de la jeune Mary. Ses pupilles rétrécirent du à sa concentration sur les pages du journal. Un sourire se dessina sur le visage du maire de la petite ville où ce journal était distribué. Il venait de trouver la page de l’article de la jeune femme, reprenant la suite de ce qu’il avait déjà lu, il découvrit une suite rocambolesque décrivant l’esprit ainsi que le caractère de notre petite femme.
L'esprit est ce qui définie au mieux une personne, ce qui explique ses actes, qui donne un sens à toutes choses... Extraverti, introverti, maladroit, doué, tous ces traits caractéristiques font d'une personne ce qu'elle est, chacun se cherche puis se découvre... Telle est l'obligation pour vivre. Voilà l’introduction de l’article que le vieil homme était en train de lire attentivement, elle le faisait sourire, et incitait le dirigeant de la gazette à en savoir plus sur Mary.
De la sueur dégoulinait sur le front du vieux lecteur, cette sueur était due à une totale concentration psychologique de la personne lisant ce texte. les yeux du maire faisaient des allez retour de haut en bas, il allait commencer le paragraphe le plus intéressant, le plus alléchant de cet article. Puis à ce moment la un léger bâillement s’échappa de sa bouche, il se précipita aussi tôt à mettre sa main devant cette dernière. Drummon D. Mary, est un mystère en elle-même. Un personnage obscur, sombre, plutôt difficile à cerner mais très intelligent. Psychologiquement cette jeune femme est très calme et tranquille, mais en réalité elle cache très bien son jeu, la jeune Mary qu’on pourrait caser dans la catégorie des « non problématiques » est en réalité une personne redoutable rien que par son caractère... L'auteur de cet article parle bien de sa force d'esprit, de son courage, de sa détermination et de son mental d'acier. A ce moment même, le vielle homme commença à fatiguer, ses yeux commençaient à se courber sous le poids de Morphée. Il prit un ticket pour voyager tout droit vers le pays des rêves, un monde où les fous sont roi et les riches sont pauvres, un monde que seul vous et vous seul choisissez la fin. Soudain il sursauta, ses pupilles grossirent d’un coup. Il empoigna le journal puis reprit sa lecture à l’endroit où il l’avait laissé. La jeune femme étant décrite comme une sans cœur par l'auteur, une femme n'éprouvant aucun remords à détruire un endroit dans lequel elle a grandi, comme sa ville natale, ou un endroit où elle a vécu de nombreuses années. Âpres une question indiscrète de la part de l'écrivain qui reçut un regard malicieux et une réponse simple et précise lui révélant qu'elle tuerait de sang-froid quiconque s'oppose à elle ou bien à ses idées. C’est une sadique, elle aime faire souffrir ses victimes jusqu'à que mort s'en suive déclare l'homme. Cependant, elle croit en ses désirs, même s'ils sont un peu trop égoïstes et qu'elle ira probablement jusqu'au bout pour les accomplir. La fin de ce chapitre fit frissonner le maire, il souriait ce chapitre était le moment clef de la gazette…
Il tourna la page laissant place aux gouts de la jeune femme. Cet article était intitulé : Les gouts et les sentiments de l’ombre du village, ce titre plaisait particulièrement au maire, selon lui ce titre attirerai les clients…Maintenant passons à l’article. La jeune Mary aimait particulièrement la gastronomie, elle adore plus que tous les petits plats fais maison. D'après les informations recueilli par l'homme auprès des habitants du village elle à un don dans le milieu culinaire, ce don qu’elle possède est envié par plusieurs cuisinier de Grand Line. Mais la jeune femme ne cuisine que très rarement, à cause de son insociabilité envers le reste du village. La mystérieuse Mary pratique la gymnastique, elle est très svelte et très souple ce qui lui sert pour la vie de tous les jours… Après ce paragraphe le journaliste préféra parler des choses qui répugnent la jeune Mary. Cela serrait plus intéressant de parler des choses qu’elle n’aime pas il y en a tellement…Donc le sénior lisait attentivement le passage suivant, le journaliste ne voulait pas tourner autours du pot, il alla droit au but, les dégouts de notre jeune héroïne. Mary est très difficile, elle n’aime pas les fleurs, pour elle la flore est synonyme d’amour, un amour qu'elle n'a pas encore connu, allez savoir pourquoi? Elle est dégouté par toutes ces personnes célèbres qu’on entend à longueur de journée à la boite noire qui sert de télévision, vous voyez la boite la…Cette boite où des images défile très rapidement obligé que vous connaissez chère lecteurs! Enfin…Le Vieil homme qui représentant la ville qui publiait ce journal rigola, à vrai dire une jeune femme qui n’aime pas la télévision ce n’es pas très courant à notre époque…
L’homme s’allongea sur le canapé pour se mettre à l’aise, puis il reprit sa lecture en lisant le paragraphe juste en dessous des gouts pour passer aux sentiments qu’éprouvait la jeune femme. Ce petite bout de femme était très spécial, elle ne ressemblait aucunement aux autres filles de son âge pourquoi? Surement du à une enfance difficile perte d’un être chère, ou mal traitance…L’amour, Mary ne connait pas ce sentiment qu’est l’amour, elle n’est pas du tous sentimentale, du moins elle essaye de démontrer que les sentiments ne servent strictement à rien mis à part causer sa propre perte. C’est une jeune femme déboussolé, à part la mort elle ne connait rien d’autre. La peur est un sentiment que bien des gens essaient de refouler ou de cacher au plus profond d'eux même, Mary quant à elle, n'en éprouve plus du tout depuis ses dix bougies allez savoir pourquoi ?...Après avoir lu ce paragraphe le maire posa son journal sur le canapé, il se leva pour allez en direction de la cuisine, il prit une bouteille d’eau minéral et retourna s’assoir, il ouvrit le bouchon en plastique de la bouteille puis il se mit à boire, l’eau descendit à une allure impressionnante. Il devait sans doute être très assoiffé autant de connaissance que de ce breuvage qui le désaltérait.
Mary, en dehors des combats et des conflits est une tout autre personne, elle change littéralement de comportement. Passionnée par le chant, l'écriture et la lecture elle rêve d’écrire un livre où toutes ses aventures serraient répertoriées, de raconter son périple mais aussi ses mésaventures, car il n'y a pas de périple sans embuches. Ce livre deviendra un trésor inestimable qu'elle se devrait de cacher aux yeux des personnes malveillantes mais qu'elle laisserait avec plaisir aux poètes aventuriers comme elle. Depuis, la jeune femme tient pratiquement toujours un carnet de bord pour ne rien perdre de ses épiques aventures, de cette façon elle peut se remémorer certains moments de sa douce et paisible vie.
Cependant quand elle rencontrera une certaine personne (que je ne citerais pas maintenant ^^) Son caractère se mettra à changer petit à petit, grâce à cette rencontre, l’amour et l’amitié ce créera une petite place dans le cœur de notre héroïne, ces quelques sentiments qu’elle ne connaissait pas à l’époque grandiront lentement au fur et à mesure de son aventure ce qui changera le caractère de Mary. Elle passera de la fille sans émotion, qui tue sans réfléchir à la fille remplis de joie et d'amour, où l’amitié et la passion seront ses qualités. Elle tombera amoureuse d’un homme de la même façon qu’une jeune femme tombe amoureuse de son professeur de math ( xD ). ★ Fruit du Démon : ★ ► Kage Kage No Mie :
(Paramécia des ombres) Ce fruit extrêmement puissant permet de capturer et manipuler les ombres. Son utilisateur peut animer et contrôler son ombre ou celles qu'il a capturées, et s'en servir pour attaquer ou se défendre à distance. Il peut aussi ingérer une ombre capturée, et acquérir la puissance et les techniques de son ancien propriétaire. Il peut même en dévorer plusieurs pour multiplier sa force. Toutefois, il doit être en mesure de contrôler autant d'énergie. Le nombre d'ombres qu'il peut assimiler dépend donc de son énergie propre. ★ Histoire : ★
- Certaine île de Grand Line se différencie de la population par une générosité, une gentillesse et une hospitalité hors du commun. Le seul ennui c'est que ces îles sont de plus en plus rare et propice au massacre. Des îles comme celle si se cachent des forbans répugnants et insatiable de gloire et de combat que sont les hommes vivant sur les voies de cet antre dégénéré qu'est la magnifique mer de tous les dangers. L'île où se déroule cette histoire est tout simplement aux antipodes de ces petites îles paradisiaques précédemment présenté.
Une île qui fait office de repère pirate, de lieu de beuverie, d'assassinat, de rencontre de mauvaise augure et surtout de combat perpétuelle entre pirate de différent bords ressemble tout bonnement à un lieu connu de tous situer sur Grand Line: Nothing Island. L'île de tous les misérables rebuts d’un air révolu, une île infestée de membre de la piraterie plus fou les uns que les autres. L'île étant depuis plusieurs années un champ de ruine muni de deux énormes canons pointant l'horizon on y trouve qu'un certain nombre de cadavres et de déchets jonchant le moindre recoin des rues.
L'histoire qui va suivre est celle d'une jeune femme qui semble au premier abord inoffensive et tellement attirante qu'on se demande comment un dieu, si tenté qu'il existe, puisse octroyer le droit à la nature de la laisser vivre dans ce lieux aussi insalubre. Des cadavres jonchaient le sol, on peut voir des morceaux de cervelles et de tripes tapisser certain mur signe d'un assassinat ou d'une petite accroche aillant mal tourné pour la personne dont les effets trainent sur le sol de Nothing island. Les pierres jonchent le sol en permanence, les hommes vivant sur cette ile ne semble pas connaître la civilisation, depuis un Buster Call aillant réduit en cendre la beauté d'un paradis menant les hommes à la folie ils se comportaient comme des animaux. De vrais bêtes de foire, ils ne ressemblent plus à des hommes, se battant, tuant pour survivre, assistant au conseil ou plutôt au zouk qui sert de lieu de rendez vous et de décision pour régir l'ile qui se trouve maintenant sous le joug de la piraterie de Grand Line.
C'est dans ce monde là que la jeune Mary à commencé sa douce et difficile petite vie. L’histoire ou plutôt le mariage de la famille « Drummon D. » remonte à 18 ans la naissance de notre héroïne. Un jour où la fureur et les larmes des dieux tombaient en abondance sur Grand Line, un mariage allait débuter sur une petite ile paisible du nom d’Umi town. Cette ile pacifique où tous est paisible, une ile où il n’y a pas de place pour la guerre, Umi town est une île paradisiaque une des plus belles îles du monde avec ses plages de sable fin et son eau bleu turquoise. Elle abrite quelques criques bien camouflées et un climat très humide et fleurie. Drummon D. William ainsi que Comac Anne, un couple tout à fait banal allait se marier sous la pluie causé par les dieux en personnes, un moment inoubliable pour toutes les personnes présente si tenté y en avait il. Cette célébration où il n’y avait aucun témoin, juste l’homme qui allait célébrer ce mariage, un prêtre d'une cinquantaine d'année remplit de bonté et d'honneur à l'idée de marier ces deux âmes et d'empocher un petit butin. L’homme de foie était en plein récital de la sainte bible. Le temps semblait long aux deux amant quand au bout d’une bonne quinzaine de minutes le prêtre passa au moment clef de tout bon mariage, la phrase culte qui met un terme au moment sacré d’un mariage, qui soude deux personnes ensemble pour l'éternité et devant l'être supérieur qu'est le dieux. En s’adressant à Drummon D. William, il reprit son souffle et lui laissa le plaisir d'entendre la douceur phrase que tout marié redoute à quelques secondes du oui artificiel: «Veux-tu prendre cette femme pour épouse légitime, et vivre avec elle selon la loi de Dieu, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, la consoleras-tu, l'honoreras-tu, dans la maladie, comme dans la santé, et renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort?» Voila ce qui sortait de la bouche de la personne qui dévouait sa propre vie à dieux son père, puis d’un ton très gêné, timide, William laissa échapper un petit oui de sa bouche. A ce moment même les petites et magnifiques joues de Comac Anne prirent un teint rougeâtre, elle aussi était gêné et confuse heureuse que son homme ai répondu favorablement. Le prêtre pencha sa tête en direction de l’heureuse élue citant un autre petit paragraphe de sa bible, «Consens-tu à prendre cet homme pour époux légitime, à vivre avec lui selon la loi de Dieu, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, le consoleras-tu, l'honoreras-tu, le garderas-tu, dans la maladie comme dans la santé, et, renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort?» La jeune femme ce mit à sourire bêtement puis elle regarda son mari droit dans les yeux en disant ce oui que tout le monde connait mais obligatoire pour seller sa vie avec son être aimé, «Oui je le veux…» Le couple s’échangea les bagues, ainsi le prêtre continua de réciter la bible les yeux et les bras vers le ciel, «dieux éternel, créateur et conservateur de toute l'humanité, dispensateur de toute grâce spirituelle, auteur même de la vie éternelle, bénis tes serviteurs, cet homme et cette femme que nous bénissons en ton nom; qu'ils puissent, sans défaillance, accomplir et garder le vœu et l'engagement qu'ils viennent d'échanger mutuellement et dont cet anneau, donné et accepté, est le symbole et le gage, qu'ils demeurent toujours ensemble, dans la paix et l'amour, parfaits, et qu'ils vivent selon tes lois. Amen». Temps de parole pour unir deux personnes et leurs souhaiter de vivre heureux et de s'en sortir, pourquoi les gens croient en ces choses là? Personne ne serait le dire mais tout ceci fait tenir l'humanité. La pluie continuait de s’abattre sur l’île paradisiaque où le mariage se déroulait, mais ce moment magique entre l’époux et l’épouse allait prendre fin, le jeune homme et la jeune femme ce rapprochaient l'un de l'autre. Leurs cœur battait une douce mélodie, une mélodie liant le plaisir et la passion, ils s’enlacèrent collant leurs douces lèvres les unes contre les autres. Un long et magnifique baiser qui signifiait leur amour clôtura ce mariage, la pluie dégoulinait le long de leurs corps rendant ce moment beaucoup plus magique pour ce couple qui venait de s’unir pour toujours. Le baiser finit ils s'enfuirent mains dans la mains loin de ce lieu en direction de leur maison où ils pourraient passer un moment très intime…Arrivé chez eux William attrapa sa femme par les jambes puis il la porta, il montait les escaliers, puis marchait dans un long couloir pour se rendre dans la chambre. La maison était chaude et sentait bon, on pouvait sentir tellement de bonne humeur qu'on pourrait se laisser tenter et s'endormir sur le sol. Arrivé dans la chambre, il jeta sa femme sur son lit puis quelque seconde plus tard alla la rejoindre…Il frôla le corps de sa femme avec sa main sensuellement, déposant ses lèvres sur le cou d'Anne pour lui faire de petit bisous tendrement et la faire frissonner de ce plaisir intense de la première nuit. Part la suite il l’embrassa langoureusement, Anne se laissait faire elle aimait plus que tout que son homme fasse tout le travail…Tout cela ne dura pas longtemps, la nuit commencé à tomber dru en ce soir de pleine lune rendant de plus en plus romantique cette nuit plutôt mouvementée pour ce couple. William voulait passer aux choses sérieuse, par contre Anne n’était pas prête elle ne se sentait pas du tout prête, comme tout homme en ce temps il força un peu la chose l'obligeant à laisser son corps à son mari. William fit l’amour à sa femme toute la nuit, la jeune femme s’endormit au côté de son homme qui lui aussi en fit de même.
Le lendemain un rayon de soleil traversa la pièce, atterrissant en plein sur le couple qui dormait causa le réveil de Madame Drummon D. Anne, oui après le mariage cette jeune femme venait de perdre son nom de jeune fille…A peine réveillé elle décida de descendre à la cuisine préparer le petit déjeuné pour son mari. Elle arriva dans la cuisine, ouvrit le frigo d'un geste vif et pressé, attrapa du lait puis referma le frigo pour ensuite prendre un bol qui se trouvait dans un des placards au dessus de sa tête. Elle versa tendrement le lait dans le bol, puis elle posa le bol sur la table. Elle préparait le petit déjeuner de façon à ce que le premier petit déjeuné avec son homme soit parfait. William se réveilla 10 minutes après sa femme, il se leva du lit en caleçon puis il descendit l’escalier pour se rendre dans la même pièce que sa bien aimée. Arrivé dans la cuisine il fit un câlin matinal à sa femme puis déjeuna. Après le petit déjeuné William parti sans dire un mot à sa femme, il se rendit au quai d’Umi Town où un bateau l’attendait, plus précisément un navire pirate. Ce navire pirate avait accosté sur cette île pour une seule raison, le capitaine de ce navire n’était autre que Drummon D. William. La jeune marier ne savait pas encore que son mari n’allait plus jamais revenir chez elle…Cela faisait déjà un jour qu’il n’était pas revenu, Drummon D. Anne commençait à s’inquiéter, mais elle ne le montrait pas…Puis une semaine défila sans son mari, la elle commençait à s’inquiéter surtout qu’il ne l’avait jamais laissé seule, la jeune Anne ce rendait au village d’Umi Town pour demander à tous les villageois s’ils n’avaient pas aperçus William, mais les villageois n’avaient aucune réponse positifs à lui donner, la jeune femme qui se trouvait en plein milieux d’une ruelle tomba sur ses genoux en larme. Elle ne pouvait pas s’imaginer que son mari l’avait abandonné peu de temps après leur mariage, cela ne pouvait pas être possible pour elle de s’imaginer une telle hypothèse qui était pourtant bien réelle. Une vielle femme qui passait par là0 s’approcha d’Anne pour voir ce qui n’allait pas chez la jeune marié. La belle et habituellement douce Anne la refoula, elle ne voulait aucune aide, elle n’arrivait pas à voir la réalité en face. Mais cette senior se sentait plus que mal à l’aise, elle attrapa Anne à l’aide de ses petits bras fébriles et la colla contre sa poitrine. Anne pleurait toutes les larmes de son corps. Toute cette histoire dura une bonne demi heure, la vielle dame qui se nommait Jeanne décida de ramener la marié déchut chez elle pour l’aider à ce remettre en forme suite au départ de l'homme de la maison. Arrivé chez elle Jeanne prépara le repas du soir pendant qu'Anne profita du moment pour dévoiler tous ce qu’elle avait sur le cœur, dévoiler la haine qu’elle éprouvait en vers cet homme qui venait de l’abandonner sans même un mot…Jeanne écoutait attentivement tous ce que la pauvre femme lui narrait, elle ne lui répondait pas, elle laissait la jeune femme tout dévoiler ce qui lui brisait le cœur. Les jours passèrent, les semaines aussi, Anne restait vivre chez la vielle Jeanne, il y avait une relation très familiale entre ces deux femmes, comme une relation mère et fille. Jusqu’aux jours où le ventre d’Anne commencé a grossir… Oui…Le soir où ce Diable de William fit l’amour à notre jeune mère n'était pas sans but… Il l'avait fait pour assouvir ses envies mais aussi pour perpétuer sa ligné. En effet Anne était tombé enceinte, lui apportant joie et bonheur que toute femme rêve d’avoir une fois dans a vie. Le moment d’Anne était arrivé, elle allait accoucher! Un seul problème subsistait, dans un petit village les médecins se font rare…La vieille femme l'aida comme elle put pour mettre au monde sa progéniture. Après de longues heure de cris et de douleurs, un enfant naquis, Jeanne annonça à la mère que c’était une petite fille. Sur le visage d’Anne un sourire se dessina, difficilement elle épela un prénom, M.A.R.Y. Voila comment la jeune fille allait s’appeler…Le temps de contempler sa fille lui permit de remplir son cœur de joie avant de laisser Hadès l'emporter et ne plus jamais la rendre au monde des vivants.
Après qu'Anne se soit rendu dans un autre monde qui ce nome le « Paradis » Jeanne attrapa Mary et la déposa sur son lit qui se trouvait à l’étage. Cinq ans étaient passé depuis la mort d’Anne et l’abandon de William, le corps d’Anne fut enterré dans le cimetière du village à côté de la chapelle où ironiquement elle s'était marié. Jeanne y déposait des fleures tous les matins…Maintenant que nous connaissons la triste fin de la mère passons un peu du côté de Drummon D. Mary, cette jeune fille avait maintenant 5 ans, petite fille portant des vêtements de la même couleur qu’on pouvait cataloguer mentalement cette fillette de sombre, obscure, NOIRE. Elle portait toujours une petite nuisette de couleur mauve qui couvrait le haut de son corps, nuisette reflétant parfaitement son esprit fragile et perturbé. C’était un Lundi ou peut être un mardi, un jour de rentré de classe, la jeune Mary qui rangeait toutes ses affaires dans son petit cartable rectangulaire de couleur marron empoignait son sac et prenait le chemin qui l’amenait à sa petite école. Le chemin où la chaussé était toute déformé par la pluie s’était transformé en un tas de boue encore toute fraiche, Mary essayait d’esquiver en sautillant toute cette boue que les autres enfants de son âge se donnaient à cœur joie pour y sauter dedans, quoi de plus normal pour un enfant de 5 ans…Mary n’était pas comme les autres, toujours un bouquin à la main, elle lisait tout le long du trajet, toujours en train de lire, ses yeux rivé sur son livre qui portait sur l’archéologie basique de ce monde, elle trébucha, s’écrasant sur le sol. Se relevant sans même pleurer elle attrapa son précieux livre qu’elle rangea aussi tôt dans son cartable, sur son visage une stupeur, une surprise se fendit, on pouvait voir qu’elle n'était pas comme à son habitude, mais pourquoi ? La raison était simple, il y avait un petit chien la devant ses yeux, un chiot d’une race inconnue mais de couleur noire, la couleur préféré de notre héroïne ce qui fit fondre notre jeune Mary, c’était une première pour elle, une sensation de plaisir l'envahit, elle découvrait le bonheur. C’était une drôle de sensation, elle ressentait de l’amour en vers ce chiot, chose qu’elle n’avait jamais ressentit. Elle décida de prendre le chiot dans ses bras et d'aller en cours avec, en souriant elle arrivait devant la salle de cours le chiot dans les bras elle était heureuse pour une fois ! Mais toute bonne chose à une fin malheureusement…La professeur demanda à plusieurs reprise de laisser le chiot dehors mais Mary n’était pas de cet avis elle ne lâchait pas l’affaire, puis la ce fut la goutte qui fit déborder le vase, l'institutrice se nommant Madame Heisenberg, fit une chose dont elle regrettera jusqu'à la fin de ses jours, elle donna une gifle à Mary. La jeune fille toujours le chiot dans les bras se retourna et claqua la porte de toute ses forces, elle se mit alors à courir le plus rapidement possible le chiot toujours dans les bras, elle le serrait contre sa petite poitrine. Le chiot lui était heureux, sa langue pendait il n’aboyait pas, il était aux anges lui qui n'avait connu que misère et brimade de la part des autres élèves… La petite Drummon D. Mary ne savait pas où se rendre, elle n’avait pas vraiment d’ami(e)s avec qui parler…Donc elle se rendit sur la plage paradisiaque d’Umi Town, cette plage ou les grains de sables sont si fin que le sable est douillet, quand on s’allonge sur la plage nous avons l’impression d’être allongé sur les nuages de skypia…
Arrivé la bas Mary déposa le chiot par terre et alla s’allonger sur la plage. Le chiot s’approcha de notre héroïne pour lécher le visage de la jeune fille qui était en osmose avec l’animal. Elle venait de trouver son ami en qui elle pouvait avoir totalement confiance, cet ami elle l’avait cherché pendant 4 ans…Les deux amis s’amusaient ensemble pendant une bonne petite heure, un magnifique couché de soleil se reflétait sur la mer bleue turquoise et s'offrit au «couple». La jeune Mary s’arrêta de s’amuser pour admirer ce couché de soleil, mais quelque chose perturba son admiration envers cet être divin qui chauffait le monde de sa puissance solaire. Deux navires étaient en train de ce tirer dessus, des boulets de canon s’écrasaient sur chaque navires, ils explosaient les un après les autres ce qui faisait un bruit étrange encore inconnue de notre petite mouflette lui procurant des sensations nouvelles. Les yeux de notre jeune Mary étaient maintenant rivé sur les deux navires qui se faisaient la vengeance, cela n’avait pas trop l’impression de la déranger, à vrais dire elle avait plutôt l’air d’aimer cela…Au bout d’une heure d’admiration sur ces deux , un des deux coula ce qui fit un gros 'PLOUF' , il raisonna dans toute l’ile, même les villageois encore en train de travailler dans les champs pouvaient entendre ce bruit. Mary restait là regardant les débris du navire se répandre de partout dans la mer, mais mystérieusement un débris du navire ou plutôt un coffre s’échoua sur la plage, un coffre de couleur marron avec les coins en or massif.
Mary curieuse et enfantine s’approcha du coffre le sourire aux lèvres pensant qu’il serrait remplis de pièces d’or, elle ouvrit le coffre et la dégouté elle le referma aussi tôt…Ce coffre contenait un Fruit, un simple fruit noire…Répugné par sa découverte Mary s’allongea sur le sable fin qui la portait doucement, au bout de 5 minutes de réflexion elle se rappela d’un livre qu’elle avait lue au par avant, un livre qui parlait de ces mystérieux fruit démoniaque, des fruits qui une fois mangé par un être humain donnait un pouvoir hors du commun à cette même personne. Rapidement la jeune Mary se leva et elle rouvrit le coffre contenant pour le coup un trésor inestimable après mure réflexion. Mary attrapa le fruit démoniaque que le coffre contenait, elle le secoua dans tous les sens pour voir ce qu’il y a de si sur naturel dans ce genre de fruit légendaire. Mais à première vue les fruits dis «démoniaque» n’ont pas grand-chose de différent avec les fruits comme les pommes et j’en passe. Elle regarda le chiot et d’un coup croqua le fruit du démon, au moment où elle prit la première bouchée sur son visage on pouvait voir du dégout profond comme une enfant goutant pour la première fois à des endives cuites. Le fruit était très amère voilà pourquoi elle était dégouté… Après avoir mangé tout le fruit elle donna un coup de pied dans le coffre qui valdingua plus loin et se mit à chercher ce qu’il avait bien pu changer en elle…
Une heure de recherche intensive plus tard après moult tentatives, moult questions elle n’avait pas encore trouvé la chose qui la rendez unique…Encore plus dégouté du fait que pour elle la légende des fruit du démon était complètement erroné, elle attrapa le chiot et décida de rentrer chez elle…Ou plutôt de rentrer chez la vielle Jeanne…Mary considérait Jeanne comme sa grand-mère, n’ayant pas connue sa mère ni son lâche de père, sur le trajet Mary n’arrêtait pas de ce poser de nombreuses question au sujet du fruit démoniaque qu’elle avait mangé plus tôt dans la soirée. Plus tard, disons une heure après avoir mangé le fruit démoniaque, la jeune fillette arriva enfin devant la maison de la vielle personne qui s’occupait d’elle. Elle se trouvait maintenant devant la grand porte noire qui servait de porte d’entrée du logement de Jeanne. Arrivé devant cette dernière Mary la poussa avec l’aide de son pied droit, la porte claqua contre un mur laissant place à la fillette qui continua sa course en direction de sa chambre. Une fois arrivé dans sa chambre elle déposa le chiot sous son lit puis elle s’allongea sur celui ci. La vielle dame qui servait de grand-mère à Mary se précipita dans la chambre de la fillette pour lui poser des questions. Les questions que toute personne un peu intentionné se posait quand une petite fille disparaissait plusieurs heure était en rapport avec ce qui c’était passé en cours la journée, Mary ne répondait pas elle ne voulait pas parler, et ce qu'elle avait bien put faire…Elle voulait juste s’amuser avec son chiot son seul véritable ami...trente minutes plus tard après la gueulante de la vieille Jeanne, Mary attrapa le chien de sous son lit pour jouer avec, le lit se transforma en terrain de jeux, elle se sentait à l'aise avec le petit chiot. Mais ce fut l’heure de dormir le lendemain matin elle devait allez en classe, retourner voir ses soit disant camarades…Elle trouva le sommeil rapidement, la noirceur de la nuit laissa place à la lumière du soleil.
Mary se leva pour s’habiller et faire son cartable, malgré son age elle trouvait que sa vie était d'un banal à mourir et d'une tristesse épatante, voilà ce qu’elle se disait tous les matins, les journées étaient répétitifs…Toujours faire son cartable allez à l’école rentrer manger dormir et rebelote…Mais ce jour la allait être différent, elle santait que quelque chose allez se produire en elle, quelque chose d’inattendu. En ce jour là Mary laissa le chiot chez elle, prit le même chemin boueux et déformé que d’habitude,et arriva à l’école. Elle y déposa son cartable et participa au cours, la journée débutait comme toutes les autres, mais arrivé au milieux de la mâtiné à la pause, elle alla se caler dans un coin toute seule à faire de la corde à sauter. Soudain un petit garçon lui demanda sa corde, elle lui répondit négativement, les petits enfants sont bien connu pour leur violence et leur méchanceté et il la poussa. Elle tomba sur le solen se blessant au genou, son agresseur suppliait une personne et Mary entendit un bruit de coup de poing, elle essayait de se relever tous en demandant le nom de son sauveur, la personne qui venait de la sauver ne rétorqua pas c’est ainsi que Mary découvrit que son ombre, sans ajouter un mot, se mit à lui sourire comme Mary lui souriait. Notre petite héroïne garda son calme, elle n’avait pas peur mais elle ne comprenait pas trop ce qui ce passait. Ce n’est qu’après moult réflexions qu’elle comprit que c’était l’effet de son fruit du démon. La composition de la tache sombre qui venait de mettre une correction au jeune restait totalement floue à la petite qui ne se posa pas plus de question acceptant son sort.
Elle profita que son ombre pouvait bouger pour s’amuser avec elle, jouer à la corde avec elle puis jouer à cache cache malgré le fait qu'elle perde à chaque fois. Voila ce qu’elle faisait pendant toute les récréation qui lui était offerte. Une idée des plus sadique venait de traverser l’esprit de Mary, grâce au pouvoir qu’elle venait d'acquérir elle voulait se venger de toutes sa classe, de bien sombre pensées pour une enfant de son age. Pendant que Mary était assise dans la cour, son ombre alla attaquer tous les camarades de classe de la fillette les laissant dans un piteuse état. L'ombre qui était contrôle par Mary en personne tua sans pitié et avec une telle haine l'institutrice qui l'avait giflé qu'elle en prit un malin plaisir à faire semblant d'essuyer ses propres mains.. Pendant ce temps on pouvait entendre des bruits de tire…L’ile était envahi par des pirates, des pirates étaient venu pour dépouiller tous les villageois, en commençant par la maison de Jeanne. Ils causèrent la mort de pratiquement la moitié des villageois, ils eurent rumeur d’une petite fille de 5 ans qui venait de décimer toute sa classe grâce à un pouvoir étrange. Le capitaine ordonna de trouver la fillette et de l'emmener, ils semblaient très intéressé par cette petite demoiselle , ils partirent donc à sa recherche. Mary était restée dans la cour en train de jouer avec son ombre, les pirates venaient de la trouver, le capitaine pirate n’avait jamais entendu parler d’un fruit capable de jouer avec son ombre... Il décida de passer inaperçu et d’assommer notre fillette par derrière…Le capitaine pirate attrapa la petit Mary et l’emmena sur son bâtiment avec toutes les richesses du village…Il venait de kidnapper une petite fille sans défense…Le navire leva l’ancre et prit la mer en direction de Nothing Island, une ile réputé pour être un champ de ruine.
Cette île enfin ce qu’il en reste sont les ruines d'un Buster Call. Mary se réveilla difficilement suite au choc que le capitaine pirate lui avait infligé au niveau de la nuque, elle perdit tous ses repères, elle était déboussolé elle ne savait plus du tous où elle se trouvait…Elle était enchainé dans une cage en plein milieux du pont du navire, tous les pirates la regardaient en la dévisageant. Le capitaine s’avança pour ouvrir cette cage et dire à Mary toute la vérité, tout ce qui c’était passé…Elle n’était pas plus choqué que ça, en faite elle n’en avait rien à faire de ce qu'il s'était passé, le capitaine éclata de rire il aimait le caractère de sa petite prisonnière et décida donc de l’aider à s’entrainer. Il voulait qu’elle soit son arme ultime. Les années défilaient, notre héroïnes avant maintenant 18 ans l’âge de la majorité, elle pouvait maintenant voter et s'exprimer librement ainsi que demander la liberté…Bref, elle avait acquis de nombreuses techniques de combat, elle savait à peu prêt utiliser son fruit du démon. Elle ne savait pas l’utilisé entièrement mais assez pour se défendre et réduire le moindre des pirates qui lui tiendrait tête ou tenterait quoi que ce soit sur elle. Le navire avait passé 13 ans sur Grand Line pour enfin arriver sur Nothing Island, Drummon D. Mary était devenu une femme maintenant, son caractère n’avait pas changé pour autant…Toujours froide, à peine arrivé sur l’ile squatté par tous pleins de pirate de n’importe qu’elle recoin de Grand Line, elle décida de tuer tous l’équipage où elle avait passé la moitié de son enfance, elle les décima tous sans exception, elle n'épargna même pas la vie de son ravisseur protecteur…L’entrainement avec porté ses fruits…Après ce bain de sang elle voulu vivre toute seule sur Nothing Island jusqu’au jour où peut être elle changerait d’avis…Peut être une rencontre qui lui permettra de vivre réellement…
Donc voilà je voudrais ajouter que Sandy va bientôt mourir, pour cause que je n'aime pas la jouer...Puis Deborah n'a jamais existé(parlé avec Jack etc) J'en est parlé à pratiquement tous le monde, cette prez je boss dessus depuis vendredi 9h34 du matin ouii... Enfin voilà Merci ! d'avoir lue !
Dernière édition par Drummon D. Mary le Lun 15 Mar 2010 - 0:12, édité 1 fois |
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