Léa Mundis [Completed]

Prénom: Alex
Age: 21
Sexe: ♀
Comment avez vous connu le forum? Annuaire de forum actif
Combien d'heures vous vous connectez par jour? Un certain temps lol ça dépends des jours entre autre
Tes Mangas préférés: rofl, il y en a tellement
Ton pirate préféré dans one piece : Boa et Sanji parce qu’il est bôô
Hobbys: tout un tas de chose lol
Autre: c’est toi l’autre =D


Nom: Mundis
Prénom : Léa

Age : aucune idée

Race : Humaine

Occupation : Pirate
Rang Spécial : Blind Fairy

Métier : Vigie ! lol, la mauvaise blague, enfin, vous comprendrez … C’est en fait une glandeuse pro, elle sait se battre et c’est déjà pas mal

Physique :
Disons-le tout de suite, la chose qui marque chez cette demoiselle, c’est son gout pour les lunettes de soleil ! Pourvue qu’elles soient grosses et sombres. Elle préfèrera d’ailleurs bander ses yeux que de les montrer. Pas évident pour y voir clair, pensez-vous ? Vaut mieux ça pour ses vis-à-vis que la profonde cicatrice qui lui sert de regard …
Enfin, passons, la demoiselle est suffisamment belle pour que l’on ne remarque pas son handicap. Une chevelure blonde courte, mais souple et doux comme de la soie, pour encadrer son visage. Un petit nez tout mignon et une belle bouche fine qui sourit toujours, ou presque (parce que des fois, elle dort et ce n’est pas évident de sourire en même temps)
A part ce visage d’ange, balafré donc, Léa aurait presque une plastique de top model. (Ouais, bon, je dis « plastique » mais c’est cent pour cent naturel, qu’on se comprenne bien, namého !). Haute d’un mètre soixante cinq (d’où le « presque ») et ne pesant pas plus de soixante kilogramme, elle a la peau légèrement teintée par le soleil chaud qui régnait au dessus de son île. Sa silhouette est fine et gracieuse comme les collines, vallées et plaines que dame nature sait parfaitement sculpter. Pas une proportion ne dépareille avec la suivante pour donner l’équilibre nécessaire à un corps sain, et désiré, avouons le.
La jeune fille est graciée de membres longs et fins. Elle magnifie ceci de gestes amples et distingués, tel une princesse, elle a aussi le don d’une certaine retenue et d’une grande grâce. Ses doigts également sont faits du même bois lui offrant une dextérité et une sensibilité rare. Si la plupart des aveugles sublime leurs ouïs ou leurs odorats, la belle à sut se servir de son toucher. Le poids et la texture de n’importe quel objet lui indique presque instantanément quelle est cette objet et comment il est fait.
Petits traits particulier qui lui vaut la réputation de fée (en plus de sa grande beauté) sont ces ailes de papillons qui ornent entièrement son dos.

Caractère & morale :
Bon, la belle au regard sanglant, vous l’aurez compris, je l’espère au moins, vis très bien son handicap. Elle serait presque la première à blaguer sur le sujet. Tout le monde fait des erreurs, le tout est de savoir les assumer ou de les corriger si possible. La faute à une lame trop bien aiguisée, les yeux se percent et la vie continue.
Bref, ne vous attendez pas à la voir pleurer … humour ! Il faut voir la vie du bon côté et c’est sans doute ce qu’elle sait faire de mieux. La bonne humeur ferait presque partie de ses gênes, léguées par ses parents.
Au contraire du cerveau. Si ses parents n’étaient pas des lumières, elle était du genre curieux et intéressé. Cela lui vaut bien une belle culture. Son quotient intellectuel et loin d’être négligeable également. Il ne lui faut pas bien longtemps pour comprendre une situation et réagir en conséquence dans la seconde, en se trompant rarement, ce qui est le plus dur à faire. Dieu lui a sans doute donné le don de déchiffrer les ponéglyphe, mais maintenant qu’elle ne peut plus les lire, c’est peine perdu.
Elle est naturellement généreuse et amicale. Elle aime être entourée. Offrira son or au nécessiteux et son pain aux affamés mais ne payeras jamais quelqu’un pour être son amis, l’amitié ne s’achète pas ! N’allez pas non plus la croire naïve, elle sait discerner le bien du mal et n’aidera personne qui irait lui faire du tord par la suite. La trahir, c’est suspendre soit même une épée de Damoclès au dessus de la tête et si elle attrape le manche, la lame n’entamera pas son voyage dans votre corps par le crâne, si vous voyez ce que je veux dire.
D’ailleurs, d’humeur parfois lunatique, l’odeur si particulière du sang à souvent de quoi la rendre euphorique … Elle cherche la joie partout … et le trouve bien trop souvent …

Fruit du démon : Aucun

Histoire :

NorthBlue, Louli Island, Loula town. Une toute petite ville qui s’est construite sur la plage, entre deux falaises qui servent de guet aux marines, fortifié pour accueillir les pirates en bonne et dût forme. Les grosses villes et la central de la marine sont de l’autre côté de l’île. Les gens qui vivent ici sont pour la plupart des retraités qui cherche un peu de repos et de calme loin du brouhaha et parfois même de l’insécurité de la cité. En périphérie, on trouve aussi pas mal de cultivateurs qui usent des terres fertiles tout autour. Parmi eux, un couple de benêts qui décidèrent de se lancer dans la culture de banane. A eux deux, ils surent enfanter une magnifique petite fille qu’ils prénommèrent Léa.
Et à partir de ces quelques lignes … ben on résume un peu tout la vie de la petite fille. Elle avait tout juste cinq amis, les seuls jeune du village d’ailleurs. Leurs vie était faite de baignade dans la mer et des habituels jeux de pirates contre marine. Aucune péripétie fascinante ou touchante, le plat complet pendant prés de onze ans. Après ce jour là, c’est une autre histoire.

La gamine qui fut toujours choyer par ses parents dût alors faire sans. Sans quoi ? Sans tout ce qui faisait sa vie. Ses parents comme ceux de ses amis durent partir en service obligatoire pour la marine. Elle fut placée aux soins des vieux du village. Léa, elle, fut recueillit par un bonhomme aigris qui ne souriait jamais, un vieil amis de son père. La petite devait lui faire à manger et s’occuper de la maison alors que lui n’avait de cesse de ronchonner sur sa terrasse en regardant la mer. Elle était tellement exploitée par « grincheux », comme elle l’appeler, qu’elle n’avait plus le temps de jouer avec ses amis. Pourtant, elle ne se plaignait pas. Elle avait un toit et à manger, il étant temps pour la jeune fille de travailler elle aussi.
Un jour, prise de son habituel curiosité que son tuteur ne sut ni même ne voulut assouvir, elle prit l’initiative de ranger le grenier. Sous la lueur d’une petite bougie, ses yeux s’illuminèrent à la vue de vraies armes, authentiques et dangereuses, tout ce qu’il ne fait pas mettre à la porter des enfants. Léa, qui n’avait jamais connue que ses épées de bois, elle était fascinée par toutes ces lances, katanas, tonfas et autre canons, boulets et pistolets. Il y en avait de tellement de sorte, de forme étrange, des couleurs inquiétante, mais toujours ces reflets magnifiques de l’acier.
Ce fut malheureusement la dernière chose qu’elle puisse voir.
Derrière elle, la toux du vieux monsieur se fit entendre. Puis le bruit d’une lame que l’on sort de son fourreau et le coup partit à l’horizontal, entaillant tour à tour chacun des deux grand yeux de la gamine. La pauvre petite fille en tomba sur les fesses, bouche ouverte et muette, elle était comme entrée dans une transe. Elle ne bougeait plus, ne parlait plus, respirait lentement. A ses yeux, il n’y aurait plus à présent qu’un noir profond fendu en son centre par une magnifique lumière envoutante. Sur le coup, elle n’entendit plus rien, ne sentait pas plus le sol sous elle que la douleur de sa plaie grande ouverte. Doucement, ses sens se réveillèrent. La sensation de ce liquide chaud qui coule le long de son nez, ses joues, ses lèvres. Puis l’odeur forte de ce qu’elle n’avait jamais sentit auparavant, cette odeur particulière du sang chaud qu’elle reconnue pourtant. Son sens, coulant dans sa bouche, le gout de ce même liquide écarlate coulant de ses propres yeux, le gout de l’hémoglobine qui parcourt sa langue. Elle n’avait jamais connu d’aussi forte sensation et ne se douter pas que tout serait aussi fort à présent. En compensation de sa vue, son corps réagissait étonnement vite à donné de soudaine faculté si puissante.
Le bruit d’un pas glissant vers elle bourdonna dans ses oreilles la faisant penser que ce vieil aigri avait toujours autant de mal à lever les pieds. Il posa alors un bandeau sur les yeux meurtris de la petite. Pendant qu’il le nouer derrière sa tête, Léa le sentait tremblait et de sa voix roque et désolé, il n’avait de cesse de répéter « Qu’ai-je fait ? Qu’ai-je fait ? ». La gamine, n’ayant pas compris tout ce qui s’était, ne voulant peut être même pas le savoir, prit ces mains toute fripé dans les siennes pour le rassurer et le consoler. Son pauvre petit visage ensanglanté souriait malgré le drame qui venait d’avoir lieu.
L’ancien aida la fillette à se relever puis la guida un peu plus loin, puis à travers des escaliers. Son nez puait encore le sang, mais elle sentait toute les nuances autours d’elle. Du vieux bois vermoulu du grenier à l’air frais et la sensation des courants d’air du couloir puis enfin les odeurs de savon de la salle de bain. On lui retira son bandeau et la pencha en arrière. La froideur de l’eau sur son visage la surpris soudain. Le vieux bonhomme tenté maladroitement de laver la plaie avec une vieille éponge. Finalement, la petite décida de prendre elle-même l’éponge pour se laver. Elle ne saurait expliquer comment, mais elle pouvait passer ses doigts au plus profond de sa plaie sans sentir de douleur, juste une sensation désagréable. Cependant, le sang coulait toujours abondement. Le vieux tuteur revint pour appliquer du coton et mettre un large bandage.

« Racontes moi ton histoire ! » lança soudainement la gamine. Le vieux balbutia quelque mot incompréhensible avant de souffler un grand coup avant de commencer nerveusement son récit. Il y a bien longtemps, il était pirate, le capitaine de son navire. Une légende sur tout Northblue d’après lui. Malheureusement, la petite n’avait pas eut droit à beaucoup d’histoire de la part de ses parents car ces dernier ne savait pas lire. Pour le vieillard, son grenier était tout ce qui lui restait de ses bonnes années à parcourir les océans. Chaque arme représentait une aventure différente, un ennemie vaincu, un compagnon mort, une île conquise … DeathBee qu’on l’appeler. Un surnom qu’il avait eut car il se servait d’une lance de joute comme d’une rapière. Le vieux loup de mer en rigolait encore. Il avait parcourut grand line un temps, mais lorsque son équipage fut décimé, il « arrêta les conneries » et rebroussa chemin. De retour dans sa mer natal, il n’avait plus le cœur et prétexter l’âge pour éviter de repartir à zéro. Il regrette aujourd’hui et chaque jour un peu plus cette « décision de con » selon ses mots.
La petite fille était émerveillée de toute cette histoire. Elle savait que l’armada dans le grenier n’était pas anodine, mais elle ne pensait pas avoir à faire à un capitaine pirate ! Léa s’écria qu’elle voulait être pirate elle aussi, mais le viellard lui rappela qu’elle était aveugle à présent. Cependant, elle s’en fichait, pour elle, il y avait pire comme handicap. Pire encore, elle voulut apprendre à se battre auprès du vétéran, « Tu me dois bien ça ! » lui lança-t-elle. Choquer, le pirate eut un temps de réflexion avant d’exploser de rire, ne sachant quoi faire d’autre. Il n’eut alors d’autre choix que d’accepter, mais pour ce soir, il fallait aller dormir lui indiqua-t-il. Elle avait bien sentit la température baisser de quelques degrés hélas.
Cette nuit là, et celle qui suivrait d’ailleurs, elle ne pourra pas trouver le repos. De rien pouvoir voir la rendait anxieuse. Se levant du lit dans laquelle elle était couchée, Léa décida de faire un tour dehors par elle-même. Partant du principe qu’elle était dans sa chambre, il lui semblait connaitre suffisamment bien les couloirs pour s’y déplacer les yeux fermés. Elle traversa alors la chambre d’un pas ferme et décidé jusqu’à ce qu’elle se cogne dans la fenêtre, la porte était à l’opposé … Pas défaitiste, elle tâtonna pour trouver la poignée et ouvrir laissant entré une bouffée d’air fraiche. Elle respira, heureuse de sentir ses cheveux voleté derrière sa tête. Elle sentait sur son visage comme la chaleur de la lumière et tourna instinctivement son nez vers la lune, pleine ce soir. Elle caressa ensuite les montants de l’ouverture et l’extérieur pour savoir où poser les pieds. Elle savait qu’elle pouvait rejoindre le toit en se débrouillant bien. Au passage, elle bouscula un pot de fleurs dont la longue chute lui rappela qu’elle n’était pas au rez-de-chaussée. Sans la moindre peur, puisqu’elle ne pouvait plus voir le vide, elle monta sur le rebord de la fenêtre et se trouva assez haute pour attraper la gouttière du bout des bras. Usant de toutes ses forces, elle put monter son petit poids jusque sur les tuiles.
Là haut, guidé par le vent et l’odeur de l’eau salée, elle fit face à la mer. Les bras écarté, elle respira pendant toute la nuit la bonne brise marine. Elle se sentait ivre de vie, pleine d’énergie et avide de liberté. Sans son regard, il lui semblait voir par delà les horizons et voulait plus que jamais aller y poser les pieds, connaitre plein de gens, se faire tant d’amis, bien plus ceux qu’elle connaissait déjà. Tant de chose à faire hors de ce village qui lui paraissait maintenant dérisoire face au monde. Elle sentit alors doucement la chaleur des rayons du soleil qui se levait lui réchauffant la peau. Elle pouvait regarder le soleil « droit dans les yeux » en se disant qu’elle était la seul à pouvoir le faire sans protection.
La voix de son tuteur retentit alors. Il l’appelait pour le déjeuner. D’un pas peu rassuré, elle se dirigeât vers la provenance de la voix jusqu’à trouver le bord de la toiture. Il était en face d’elle, quelque mètre en dessous. Elle recula alors de trois pas et s’élança sans plus réfléchir, certaine que le vieillard la rattraperai. Heureusement, il réussit, mais elle se fit gronder sévèrement tout de même alors qu’elle riait à gorge déployé.

Les mois et les années qui suivirent était une routine peu commune. Elle s’entrainait à se repéré sans la vue, puis au combats réel avec diverse arme. Elle développé une certaine aisance à reconnaitre tout ce qu’elle toucher et apprendre à le manier assez rapidement. Elle deviner en un clin d’œil où était le centre de gravité d’une arme et comment le poids était répartit. Bien vite, elle put deviner la forme d’une épée en se contentant de tenir le manche. En aiguisant ses sens, et son corps devenant de plus en plus mature, elle devina que son professeur abusait un peu d’elle en l’habillant parfois comme une prostituer. Un peu pervers, mais pas méchant, le vieux bonhomme perdit vite l’estime et le respect de la jeune fille se faisant souvent traiter de tout le nom. Au fond, pourtant, elle l’aimait bien et se fichait de ce qu’il pouvait lui faire puisque de toute façon, c’est encore lui qui la nourrissait, la loger, et l’entrainer.
C’est aussi à cette période qu’elle cessa de fêter son anniversaire puisqu’elle ne pouvait plus voir le calendrier lol. Finalement, elle finit par vivre comme n’importe qui malgré son handicap et se battre comme une vraie guerrière digne de ce nom. Elle avait également choisit ses armes : deux grandes lances légère. L’une était ornée d’une tête de phœnix alors que l’autre avait une tête de tortue. Elle aimait se battre avec ces longues armes en même temps, une dans chaque main, elle pouvait ratisser large et deviner précisément ce qui l’entourait. Elle aimait aussi beaucoup se balader pieds nue pour savoir ce qui se passait sous elle.

Un jour, elle parvint à battre son maitre en duel. Se jour là, elle se vengea (amicalement ou presque) de toute les crasses qu’il lui avait faite. Le pauvre en prit pour son grade, mais l’âge ne l’aidait, lui qui pourtant avait sut tenir la longueur jusque là. Bref, les mouvements du vent caressant sa peau, l’odeur de l’adversaire suant sous la fureur du combat, le bruit même de chacun de ses déplacement, de l’herbe sous ses pieds jusqu’au froissement de ses vêtements, tout autant de petit détail qui dessine chaque seconde sa victoire, elle en a apprit tellement qu’elle parvient toujours à en desceller au moins un pour réagir en conséquence.

Bref, elle était fin prête à partir vers de nouveaux horizons, seule. Sortir enfin de sa petite île, son petit village qui l'étouffé maintenant plus qu'autre chose. C'était son tour d'écrire ses aventures, plus rocambolesque encore que ceux de son vieux tuteur qui lui donna jusqu'à sa dernière carte pour s'échapper de cette petite prison : un petit bateau remplit de vivre !


Rêve / But : Vivre ivre ! heu … Libre !

Post RP :

Aujourd’hui, c’est les quatre ans de petite Léa ! Un chapeau pointu sur sa petite tête blonde et ronde, ses grands yeux vert fusillant instantanément tout ceux qui bougent et son sourire étiré jusqu’aux oreilles, la fête peut commencer !
Voilà enfin que maman apporte le traditionnel gâteau aux carottes dont tout le monde raffolent avec quatre bougies plantées au milieu. C’est plein ! Presque autant que le nombre de doigts sur une seule main ! L’assiette à peine posé au milieu des six gamins que la petite princesse du jour à déjà les joues toute gonflées, prête à exploser. Mais maman veille au bon déroulement de la cérémonie. Elle pose sa main sur la bouche de son enfant pour l’empêcher de souffler. Léa fronça soudain les sourcils en regardant sa mère droit dans les yeux, il faut pas l’arrêter en plein élan voyons ! Heureusement l’adulte eut tôt fait de lui rappeler qu’il faut faire un vœu avant de souffler ses bougies. La petite prit alors une seconde de réflexion durant laquelle elle bleuit du manque d’air, mais avant qu’elle ne s’asphyxie, Léa lâchât la tempête qui ne fit qu’une bouché des flammes.
Avec un an de plus, la petite fille, fière d’elle, recevait fièrement les acclamations de son public en les remerciant d’une révérence distingué. Mais pas trop longtemps quand même. Papa eut juste le temps de couper le gâteau et de le servir que celui-ci était déjà au fond des estomacs, la petite bande de morfales avait gobé leur part. Le gâteau à la carotte restera la spécialité méconnue de cette petite bourgade et n’aura de cesse de satisfaire les enfants.
« Mais, c’est déjà l’heure des cadeaux ! » s’écria la reine impatiente du jour. Il ne fallait pas attendre plus longtemps avant qu’elle ne se jette sur la petite pile qui lui était réservé. Elle ouvra chaque présent les uns après les autres ne prenant le temps de s’extasier qu’une dizaine de secondes devant celui là avant de passer au prochain. Cette année, elle avait eut droit à : une tasse avec son nom écrit dessus, des perles pour les cheveux, un pendentif en plastique, des feutres à paillette et une petite poupée de bois. Le meilleurs rester à venir car ses parents lui offrir un dernier cadeau : un maillot tout neuf ! Les enfants du coin adoraient allez se baignait à la plage et jouer aux pirates. En quelques minutes, tout le monde s’était changer et courait en toute enjambé vers le terrain de jeu ultime.
La petite bande avait ses habitudes, toujours les même en pirate et toujours les même en marines. Chaque équipe partit dans son coin pour déterrer leurs trésors principalement constitué de coquillage et d’épée en bois. Du côté hors la loi, il y avait toujours dépend pour savoir qui serait le capitaine et porterait le vieux chapeau pirate qu’ils avaient trouvé quelques années plus tôt sur la plage. Aujourd’hui, aucune discussion possible : le capitaine, ce serait Léa !
La prochaine étape, c’était la construction du fort ! Pour une bonne guerre, il faut une bonne défense. La petite princesse menait ses hommes à la baguette pour qu’ils fassent un beau bateau pirate avec le sable, ou quelque chose qui y ressemblait. Aussitôt finit, aussitôt l’abordage du bastion marine était lancé ! A grand coup d’épée en bois, rare était ceux qui s’en sortaient sans un bleu. Toute l’après midi durant, la bataille fit rage et aujourd’hui encore, le fort des marine s’écroula sous les assauts hargneux des pirates. C’était sans rancune évidemment puisque le jeu finit, ils s’écroulèrent tous de fatigue en rigolant. Les yeux rivés sur le ciel, se rendant compte que le soleil se couché déjà. Papa et maman débarquèrent en bon bénévole de la croix rouge pour ramasser les blesser et ramener tout ce beau monde à « l’hopital » pour une bonne nuit de repos.
Dans cette belle insouciance, la bande de gamin s’endormit tous dans la chambre de Léa pour finir se jour exceptionnel.

Bikku bikku no mie : (le fruit surprise-surprise)
Lorsqu’il en a besoin, le possesseur peut faire apparaitre de nulle part une arme, n’importe laquelle, de la baguette de fée en plastique à la réplique d’un sabre légendaire en passant par le canon dernière génération et tout un tas d’idées saugrenues qui peut passer par sa tête.
L’inconvénient ? bah, c’est pas lui qui choisit … et forcément et on se retrouve plus souvent avec une casserole en terre cuite qu’une lance imbibé de poison à mort fulgurante.
Il faut attendre cinq heures pour voir l’arme disparaitre et pouvoir retenter sa chance.
-L’important, ce ne sont pas les cartes, c’est ce qu’on en fait- Patrick Bruel

2 problèmes

1) Le sabre apparait dans le corps ennemi "oups".
2) Un fruit ne sait pas ce c'est un sabre, c'est trop complexe pour lui.

1) l'arme apparait dans la main du possesseur du FDD, j'ai oublié de le préciser. Je voyait ça comme les portes de blueno ou les fantômes de perona (enfin, vaguement lol) L'arme pourrait aussi "sortir" de la paume de la main du possesseur pour enlever toute ambiguité

2) Le fruit ne sait peut être pas, mais le possesseur, lui, sait. Le fruit, lui, connait le concept d'arme comme certain connaissent le concept d'élastique, d'éclosion ou de lumière par exemple.

Enfin, je résout juste les problèmes que vous posez lol

Après réflexion, je trouve que le plus gros problème est la ressemblance avec ce fruit

Sumisu Sumisu No Mie : (Paramécia du forgeron) Permet de faire des objets ou armes en frappant de ses poings en utilisant la matière environnante (Gaz, liquide ou solide). La matière frappée composera la futur arme/objet et les caractéristiques dépendront directement de la matière utilisée. L'avantage d'utiliser des gaz ou des liquides est sa légèreté ainsi que sa visibilité réduite pour l'ennemi malheureusement, sa durée de vie est réduite et sa puissance également. Dans le cas des solides, delà dépend des matériaux utilisés mais sont généralement mieux façonnés et ont plus de puissance.[Kasuke]

C'est apparaître des armes dans un sens aussi

Oui, en effet, la finalité est la même : avoir une arme; mais le concept et la manière est différent.
Lui fait l'arme qu'il veut avec des éléments qu'il a à porté.
Moi je n'ai pas l'arme que je veut, et c'est même rarement une arme efficace et j'avais l'intention d'en profiter pour m'amuser et amuser mes lecteurs avec des armes improbables. (je parle de casserole et baguette en plastique par exmple)

Il y a une truc que je comprends pas, tu dis que l'arme vient car tu le penses et ensuite, que l'arme vient de manière aléatoire, c'est très contradictoire. Je suis pas partisan de "pouf, je vais venir des truc comme par magie". Il faut vraiment trouver un concept foireux pour le rendre opicien.

il y a pas de contradiction. "il me faut une arme" pouf j'en ai une. "il me faut un sabre" pouf, j'ai une arme, une chance sur mille d'avoir un sabre lol

Pouf, ace faisait une flamme, pouf, blueno faisait une porte transdimentionnelle, pouf, robin faisait apparaitre des mains et des pieds ... je voit pas trop ce qu'il y a de gênant lol

EDIT : j'abonne le fruit

Ce qu'il ya de gênant c'est que Ace il sait qu'il va devenir du feu, Blueno sait quelle porte il va créer, Robin décide quel membre va apparaitre. Alors que toi c'est le fruit du démon qui est sensé savoir ce qui est une arme ou n'en est pas une, ce n'est pas toi qui choisit quelle arme va apparaitre.

Et ce genre de fruit est ingérable InRP, le hasard n'en est pas vraiment dans un RP, finalement c'est toujours le joueur qui décide.

Premier fruit de la liste des disponible : paramécia de la malchance, donc au niveau de l'ingérable ...

La chance dans la vie, ça devient un peu du fairplay inRP et c'est pas moins gérable que le système de combat que ce forum adopte.

Mais enfin, si mon fruit vous ennuie autant, je l'abandonne, ça me dérange pas. Au contraire, je suis pas là pour vous déranger lol

Moi c'est même pas le hasard qui me gène car le fruit casino le fait MAIS, c'est que le domaine des armes est immense. Je cite en exemple, Percevale qui apprend au roi à se battre avec un fenouil dans Kamellott. Partant de là, une arme peut être tout et n'importe quoi. Donc, si on soumet la théorie que objet = arme, tu as maintenant 1 chance sur un milliard de voir une arme dans les mains. Oui, car qui te dit que tu as pas une lampe de chevet, un saucisson de Provence ou alors un Louis d'or ?

Après, il y a le problème de la dimension. Ensuite, un objet aussi détaillé doit exister non ? Car, on parle pas d'élément comme les logia mais d'objets, ce qui est différent. Bref, trop d'interrogation et il manque aussi le côté fantaisie.


Très proche de ce fruit, il y a le paramécia des poches qui permet de stocker une quantité illimité d'objet dans son corps et même quand l'objet est plus grand que la poche par un phénomène de rétrécissement.

bah oui, un objet = une arme. C'est ce qui est dit dans la description : c'est rare d'avoir une arme efficace.
et puis, j'ai du mal à comprendre tes phrase, excuses moi.

Citation :

Après, il y a le problème de la dimension. Ensuite, un objet aussi détaillé doit exister non ? Car, on parle pas d'élément comme les logia mais d'objets, ce qui est différent. Bref, trop d'interrogation et il manque aussi le côté fantaisie.

quel problème de dimension ? Quel objet aussi détaillé ? c'est quoi le problème des objet ?
Pour la fantaisie ... heu, moi je le trouve bien fantaisiste et plutôt loufoque. Car on perd vite le côté humoristique dans le fruit. (je le sais, je me suis intéressé à la liste des fruits disponible.

et puis, je vois pas le rapport avec le fruit des poches. (si tu tiens à parler du fruit des poches, commençons par le comparer à celui du chateau-fort de capone ... )

Enfin, désolé, je devrait plus batailler, je sais que je suis bête et têtue xD

Bon, ayer, moi y'en a tout finit la fiche !

Pour la dimension, je parle du volume de l'objet que tu appelles car théoriquement, je vois pas pourquoi un mammouth viendrait pas dans ta main.

Le fruit des poches est un fruit caché visible dans /!\ Spoil

Spoiler:

Donc il existe. A part certaine exception, l'esprit détail veut dire tout et n'importe quoi. C'est pas seulement difficile à gérer mais contient également une grande quantité problème de manière pratique. Peut-être est-ce simplement un manque de précision mais si on arrive pas à te suivre, il faut batailler sur une définition obselète. Il faut changer la définition pour le rendre crédible car c'est la définition qu'on juge à la fin.

PS: Si tu veux aucun fruit, on doit le préciser en présentation.

Sinon je valide sans fruit.

Peut importe d'où viens le fruit, le fait est qu'ils sont sensiblement identique.
Aprés, comme tu dis, c'est sans doute un problème de description, mais j'induis beaucoup de logic et de fairplay. Evidement que je vait pas sortir ni un mammouth ni une maison ou un paquebot, pas plus que je sortirait un truc qui tue sans instantanément sans rien demander.


Enfin voilà, merci pour la validation ^^

Sans fruit et avec le rang 3

marchi beaucoup !