Matt' N. Balthimore Nouveau
Profil Psy : Trop gentil Nombre de messages : 38 Age : 27
[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: P...p...p... PARANOÏA ?! [100% à valider] Mer 28 Juil 2010 - 22:45 | |
| Le serviteur de Dieu, un homme malchanceux, une malédiction.
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♦ Nom & Prenom : Matthew Nathan Peter Balthimore ou plutôt Matt'
♦ Surnom : Kanashii [Triste, affligé], on l'appel très souvent ainsi ou bien, l'parano...
♦ Age : Inconnu
♦ Race : Humain souffrant.
♦ Camp : Marine (Matt' rêve de devenir lieutenant, voir plus. Fiction ou réalité ?)
♦ Orientation psychologique : Jamais,je ne me suis posé cette question. Pour moi cela est futile et sans intêret.
♦ Métier/Spécialité : Conservateur des archives de la marines.
♦ Pouvoir demandé : Fukō Fukō no mie (unlucky unlucky no mie) Toutes les personnes étant autour de ce fruit deviennent malchanceux quand ils sont dans le rayon d’action. (Cela touche aussi l'utilisateur). Si une personne entre dans le périmètre et qu'un couteau attaché a une vielle corde pourri se trouve au dessus de sa tête il est presque sur que la corde cèdera. Malheureusement les arme suspendues ne courent pas les rues. Le fruit marche en permanance maudissant son utilisateur plus que tout le monde. Matt' ne peut le désactiver. [lvl 1]
♦ Rêve(s)/But(s) du personnage :Mon but est celui de servir jusqu'à la mort mon puissant Dieu... S'ajoute a ceci tout un tas de banalité comme obtenir les ouvrages les plus précieux des blues...
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Pourquoi je suis un homme simple...
Dire qu’avant de devenir une créature de laboratoire soumise a des essaie constant chaque jour je ne ressemblais pas a ça... je peux bien vous décrire qu’elle était mon ancienne apparence. Des cheveux très long descendant jusqu’au épaule d’une couleur indéfinissable planant entre un gris sable et un ocre très clair. Ils ondulaient lorsque le temps se faisait humide et donner une impression sereine de moi. Désormais, ma masse capillaire ne ressemble plus qu’a un entrelacs de cheveux rouge cuivre courts et rêches dont la moitié cache mes yeux. A l’époque il était d’un beau vert émeraude comme la peau des reptile mais il ne sont maintenant plus que deux petites ouvertures jaunâtres sur le petit monde qui m’ entoure. Tout mon corps a changé lui aussi. Je possédait une musculature importante et une carrure impressionnante mais je ne suis plus qu’un minable gringalet bon a porter des sacs de thé en provenance des îles tropicales des blues. Et se nom... Matthew Nathan Peter Balthimore. Le premier est mon identité principal le second est le nom de mon aîné, mon grand frère. Le troisième,lui, et celui d’un parrain que je n’ai jamais connu mais qui aurait soit disant braver les mers et les océans a la recherche d’une pierre rare et pour finir mon nom de famille même si désormais je suis ma seule famille.
Je ne cherche pas a paraître beau dans mes habits seulement a me protéger des regard noir des autres. Lunettes de pilote aux reflet orangé sur les yeux, T shirt toujours a rayure sur le dos, jeans délavé et troué et blouson sans manche bien chaud grâce a des longs poils sur la doublure. J’ajoute car j’en ai besoin des bottes arrivant jusqu’au bas de mes genoux et je peux être sur que personne ne verra qui je suis. Mains dans les poches, démarche hésitante et mécanique je suis toujours seul dans les couloirs... On m’évite, on change de chemin, on m’ignore on réalise des messe basses a mon sujet et l’on spécule la date de ma mort. Car j’ai réchappé à la main des scientifique qui se sont d’ailleurs bien amusés sur moi. Entre nouveau médicaments, remède anti-cancer, nettoyant vaisselle et autres horreur sortie du placard de la femme de ménage du coin j’ai tout subit. Je n’avais pas le choix a part avalé. Enchaîné comme je l’étais ma seul issu fut de boire, gober et manger se qu’on m’offrait. Ma santé en a été énormément affecté mais aussi mon mental. Cela sera relaté plus tard pour de pas te troubler, cher lecteur. Les remèdes ont affecté mon physique en créant des crises étrange qui me font perdrent la mobilité de mes jambes pendant environs cinq heure. J’ai aussi des quintes toux qui me déchire la gorge, des bouffés de chaleur brûlantes et des frissons glaciaux. Ma vue peut aussi se troubler, la vie peut me paraître soudainement moins belle et surtout une forte déprime sur mon futur car selon les analyses réalisés a la marine ma vie est raccourcie de moitié. Désormais mon but est d’en profiter au maximum.
Je ne suis jamais vraiment seul et tranquille car j’ai l’obligation d’ emmener ‘Zaru avec moi. Il ressemble étrangement à un lémurien croisé avec une chauve souris. Il a aussi de gigantesque oreilles beaucoup plus grandes que sa tête. Il est blanc crème comme la neige et ses membres sont d’un brun ébène remarquable. Ses yeux de la taille de deux petite mandarines sont d’un vert aussi tendre que l’herbe fraîche au printemps. Il se plante souvent sur ma tête ou mon épaule et me transmet se que font les gens autour de moi pour que j’évite de me les prendre en pleine poire. Je ne suis pas aveugle seulement je n’ai jamais réussi à regarder droit devant moi quand je marche. Il est l’un des rare à résister à la malédiction qui repose sur moi. Il est aussi l’un des seul a supporter ma voix de jeune enfant. Jamais elle n’a mué a cause des produit utilisé sur mon corps. Elle est tout de même plus grave que l’a voix d’un gosse de huit ans mais ne changera plus jamais. Pour me battre je ne possède pratiquement rien et mon pouvoir ne met pas d’une grande utilité. J’avais acquis il y a longtemps une arme dite des cinquante plus belles mais malheureusement elle m’a été dérobé. J’utilise des armes peut courantes. Les pièces d’échec. Projeté avec force et précision ses morceaux de bois peuvent facilement toucher es points sensible du corps Humains. Et encore plus lorsqu’elles sont en métal. La pièce qui fait le plus de dégât est bien évidemment la reine avec sa couronne pointu. Le roi lui est bien lourd a envoyer, la tour vise droit, le fou rebondit grâce au caoutchouc qui l’entoure, le cheval est très léger et peu donc partir en l’air avant de toucher sa cible quand au pion il ne sont que des banal arme de jet. Mais outre les pièce de jeu j’ai comme un don avec les objet du quotidien qui me permet entre autre de me battre avec ma très chère montre gousset, de simple crayon ou bien même une planche a repasser. Même si il faut rester dans la limite du raisonnable car ce n’est pas tout les jour que l’on soulève une machine à laver pour le foutre sur la tête d’un adversaire. Les console de jeu sont aussi très résistant. La game&watch plus particulièrement. Et encore plus précis avec le jeu ou un petit chien doit attraper les balles que sont maître lui envoie. Arrière violet-mauve et devant métal jaunâtre rien de mieux pour crever les yeux.
Je n’ai pas été épargné par les avancé technologiques de la marine qui me laisse me servir en paix de mes lunettes pour le moins spéciales. A premières vues elles ressembles a des grosses lunettes d’aviateur dont le verre est teint en orange. Mais lorsqu’on les porte beaucoup de choses changent. Tout d’abord elle règles ma vue car je suis par dessus tout astygmate. Ensuite elle me permettent de voir dans le noir. Je ne vois pas nette mais les formes sont un peu moins troubles. D’une seule pression sur le côté elles peuvent se teinté dans un rouge très foncé qui voile mon regard et me permet de me mieux me concentrer ou de pioncé en douce lors des réunions.
...detruit par les scientifiques ?Je ne ferais pas de description psychologique. C’est au dessus de mes forces de raconter quelque chose que je ne maîtrise pas. Il est bien trop complexe pour un simple humain de décrire quelque chose d’aléatoire presque intangible. Je vais tout de même, essayer de faire effort pour vous qui souhaitez me comprendre sans me voir. Il faut d’abord citer, j’en conviens c’est plutôt barbant, ma peur. La peur que je ressentais lorsque la grille de ma cellule exiguë s’ouvrait pour laisser apparaître un homme chargé de produit et d’objet étrange pour m’écarteler la bouche et me faire ingurgiter de gré ou de force des produit que même une personne au porte de la mort ne souhaiterez pas toucher. J’ai eu la chance que mes compagnon d’infortune n’ont pas eu, la chance de survivre. Ceci ne vous éclair pas sur ma pensée et pourtant c’est primordial pour ce que je vais ensuite expliquer. Car au bout de ses nombreux traitement une sortie a vu le jour, un sauveur, un dieu. Mais mon esprit garda pour toujours les sacrifice qu’il a du accomplir pour me conserver en vie. Je suis aussi indécis qu’un enfant devant une glace vanille chocolat et une autre chocolat vanille. Ne réussissant a choisir entre le bien et le mal, l’obscurité et la lumière, le noir et le blanc. Pour moi la vie n’est qu’une immensité grisâtre. J’essaye par tout les moyen de faire ressurgir les souvenir de mon enfance, en vain. J’ai pourtant un amour immense qui ne demande qu’une clef pour s’exprimer. Je haïs les marine qui se permettre du haut de leur grade de traiter les civils comme des chiens bon à leur lécher les pattes. Dans un sens les révolutionnaires sont une facette de mon esprit que je garde toujours éveillé. Tout comme la piraterie. En fait je crois être l’intrus du gouvernement. La peur La souffrance Les remords La paranoïa. Voila mon quotidien. La peur de mourir a chaque seconde, de ne pas pouvoirs profiter de la vie qui pourtant s’avère plus courte que les autres. La souffrance que me font mes jambes et mon esprit, les vision de mort, de torture que vie mon cerveau. Les remords sur des vies fictives que je n’ai pas pu sauvé que je sauverais jamais. La paranoïa, l’angoisse de voir surgir un assassin de n’importe quel coin de ma chambre, de voir ma lampe de chevet prendre feu pour me transformer en tas de cendre. Tout cela par la cupidité et l’avidité des hommes. Je n’aime pas les injustices mais rare sont ceux qui les supporte. Je vous donne l’impression d’être un gentil petit enfant de choeur n’est ce pas ? Mais je déteste les trahison c’est la pire des chose qui puisse m’arriver Si cela se produit je ferais tout pour tuer le félon en question, ma tension frôle l’impossible, mes doigt tremble et mon esprit ne voit plus que le carnage et le sang de ce monstre se répandre sur le sol créant une marre a moitié coagulé. Mais cet était n’est pas le mien, il ne reflète pas mon caractère simple. Partager le savoir, la ponctualité a mon équipage c’est tout ce qui compte. Ma mémoire a assimilé tellement d’information que transporter les archives sur le bateau est presque inutile. Etrangement, personne ne viens me consulter pour obtenir une quelconque information. Mais le poids de la culpabilité et de l’histoire qu pèse sur moi me tasse de plus en plus et me recroqueville sur un minuscule monde qu’est ma bulle d’espace vital que m’offre le fruit de la malchance. Un fruit qui m’empêche de rester concentrer quelques minutes puisque n’importe où, n’importe quand, n’importe qui peu mourir tuer par son malheur,mon malheur, ma malédiction. Je ne peux en dire plus, vous comprendrez en me côtoyant et votre vision attendrit de se pauvre “moi” changera du tout au tout. Sur ce je crois devoir vous racontez mon histoire ou d moins les fragments qu’il m’en reste...
- Derrière l'écran:
Prénom : P.... j'lai déjà dit ! è_é Age : 13 ans Homme/Femme/Okama : Femme Comment avez vous connu le forum : grâce a Evans... Combien d'heures vous vous connectez par jour : en vacances 6-8 heures par jour sur l'ordinateur. Tes Mangas préférés : Plein, plein ! Allez voir la fiche d'Izu ! Ton pirate préféré dans One Piece : Sanji il a two la classe.. Ce qui t'as motivé à venir : hum... C'était le rêve de pouvoir jouer le fruit du roi Midas et puis maintenant c'est de jouer Matt' ! \o/ Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : J'rp depuis janvier dernier... J'ai commencé sur naruto pour maintenat m'installer ici et sur bleach, votre partenaire. Hobbys : plein plein de chose comme dormir, manger, dessiner, rire.... allez voir la fiche d'Izu è_é Autre(s) :Vive le Leerdammer ! \o/
Un homme marqué au fer rouge, à la vie limité et à l'esprit tourmenté.
Le passé appartient au passé et n’est bon a relaté que dans les livres. Malheureusement certains mélancoliques apprécient se vanter de leurs exploits d’antan mais cela est bien futile. Je n’aime pas raconter ceci mais il faut bien un jour l’avouer. Je suis quelqu’un de malchanceux, de maudit. Depuis ma pseudo enfance je suis maltraité. Ceci est peut être d’une banalité affligeante car la plupart des personne dans ce monde sont aussi victime d’une jeunesse difficile mais moi c’est beaucoup plus simple je ‘en ai pas eu. Je ne connais ni mes parents, ni mon nom d’origine, ni même mon âge. Les scientifiques d’aujourd’hui on affirmé que je suis âgé d’une vingtaine d’année. Invérifiable. Mais, encore une fois, passons.
La première fois ou les yeux on vu la lumière c’était il y a très longtemps. On venait de détacher un bandeau de mes yeux pour m’attacher sur une table d’opération. Poings et chevilles liés a la planche de métal glacial je n’avais ni la force ni l’envie de bouger. Je savais d’avance que me débatte ne ferait qu’empirer la situation dans laquelle je me suis enfoncé. Seringues, cachets, liquides colorés, perfusion, armes à feu, armes blanches j’ai goûté a tout. Enfermé dans une minuscule cellule on s’amusais a ouvrir et fermé la porte en déposant un peu de nourriture bourré de remèdes expérimentaux. La seule chose dont j’arrivais a me souvenirs était le code brodé sur la loque qui me servait d’habit. 1NF1N1 013 6M74 63258. En y réfléchissant chaque chose avait un sens d’abord le mot infini puis 13 qui est pour certains un porte bonheur et pour d’autres un porte malheur. Six pour 666 chiffre du diable et “M” comme malheur, malchance, mauvais, malfaisant,maudit. La suite de nombre en se composant sur un pavé numérique permet d’obtenir le sigle de l’infini l’espace symbolisant le 5 sur lequel on repasse. Je suis paranoïaque cela est sur. Mais... passons. Cela est cours pour raconter plus de la moitié de ma vie mais tout les jours se ressemblais et heure après heure, minute après minute les chance d’un sauvetage diminuèrent pour finalement atteindre le nul. Alors vous comprendrez que vous résumer ça doit être cour. Même si... l’ espèce de fruit qu’on m’a fait ingurgiter m’a littéralement fait vomir mes tripes et tout ce que mon corps contenait. Il a transformer mes joli cheveux en un pot de confiture fraise renversé sur mon crâne. Je ne parle pas de ma miopatie qui s’est déclenché sur le coup de la malchance et de la souffrance. Bizarre pour un fruit qu devait être celui de l’immortalité. D’ailleurs ce n’est pas pour rien que les monstres de biologistes on marqué au fer rouge sur la paume de mon pieds une sorte de signe qui ressemble a un un élastique tordu pour faire une boucle. Finalement ma vie a été réduite de moitié qu’elle ironie. Que je vive jusqu’a cent ans ou a quarante je n’en vivrais que la moitié cela est l’un des nombreux point négatif de cet “artefacte de puissance”. J’avais beau cherché et observer il n’y avait aucune issue dans le grand couloir qui mener a la salle d’opération idem pour ma cellule. L’air était filtrer par une ouverture dans le plafond bloqué par une épaisse grille.Rien a faire, j’étais voué a mourir ici mais le pire dans ce désespoir c’est de ne même pas connaître son passé.A cet époque cela était d’une importance capitale pour moi je voulais me souvenir, me rappeler, revivre dans mon esprit les moment heureux et moins heureux de mon enfance. Peut être que cela aurait était douloureux mais peu m’importer je voulais la Connaissance.
Une année passa, peut être deux... A moins que je ne soit resté qu’un mois. Car oui, aujourd’hui je peux vous parler grâce a la mains de dieu. Rien n’est parfait dans ce monde et chaque mensonge, cachotterie, trahison est découverte un jour ou l’autre. Que ce soit des siècle après ou simple cinq minutes tout se sait, les scientifiques révolutionnaires n’échappent pas à la règle. Un ancien laboratoire désaffecté comme planque, des enfant de quelques ans comme cobaye, deux trois plante trouvé a même le sol et nous voila dans un horreur sans nom. Ou plutôt si, il y avait un nom a cet expérimentation. Le projet “INFINI” ainsi appelé pour son but, l’immortalité.Mais arrêtons de ressasser et parlons de ce qui s’est réellement produit.
Il faisait froid dans ma cellule,des bruits étranges en provenance du couloir se faisaient entendre ... Des explosions, des tirs, des coups. On essaya de forcer ma porte, sans succès. Je tremblais dans un coins de ma pièce. Les yeux rivé sur la plaque de métal qui finit par tomber au sol. Un homme armé d’un drôle de bout de plastique chercha une présence humaine. Il me saisi sous le bras son autre bras tenait le corps inerte d’un jeune enfant d’une dizaine d’année... A moins que ce ne soit plus. Il faisait si sombre et la fumée remplissait mes poumons me faisant cracher un peu de sang. Puis soudain, la lumière. Mon sauveur inconnu réalisa un saut et s’écrasa sur un bateau. Je ne voyais pas véritablement ce qui se passait à moitié caché sous le manteau en cuir de l’homme. Puis le vide tout disparut, mes forces m’ont quitté trop faible pour tenir sous le soleil.
_Ils sont sauvés mais certains sont mort, une vingtaine. Quels pertes... Qu’allons nous faire d’eux désormais ? _Ils doivent être a moitié mort aucune chance d’en tirer quelque chose. _Esclaves ? _Ce serait un peu trop méchant tout de même... _Envoyons les à l’académie, ils verront ce qu’est la vie laba.. _Pas sur qu’ils tiennent le coup mais bon... Nous verrons avec le chef. _Eh....... _Il s’est réveillé !
C’est la seule onomatopée que j’ai pu produire pour attirer l’attention. Mon teint blafard signe de mon isolement dans l’ombre commençait, seconde par seconde a remonter dans les rosâtres... J’était sur un lit de fortune plutôt instable. Des rangés entières de couchages superposés emplissaient la pièce, une vraie ruche. Des corps était entassé par dizaine, la plupart ne bougeais pas les autres avaient une respiration irrégulière. Je tremblais comme une feuille, me recroquevillant sur moi même.
_Bon, lui à l’air plus dégourdis qu’les autres... Quoi que ?
Je m’étais déjà rendormis mon réveille se fit une nouvelle fois dans un endroit inconnu. Une petite chambre agréable à la tapisserie bleu dévalé et au lit assez confortable. Mon esprit à ce moment hésitez constamment entre la réjouissance d’être libre et la peur de ce monde nouveau.Je suis resté isolé de tout pendant quelques jours, voir quelques semaines. Seul un jeune homme m’apportait ma pitance qui, il faut l’avouer, était bien plus goûteuse que le pain rassis et infecte qu’on me servait jadis. D’abord il était des plus froid et faisait tout pour m’éviter. Et puis, au fil des jour il commença au fur et a mesure a me conter le monde extérieur. Il me raconta toute les découverte incroyable que les marines ont réaliser et au but d’un certain temps il devint un ami cher, un confident. Il résistait a la malédiction qui m’entourait, il m’offrit des vêtement digne de ce nom et une montre gousset en or. Il m’accompagna pour mes premières sorties. Il m’aider lorsque mes jambes flanchaient, lorsque je ne comprenais pas un terme ou bien même lorsque je devais parler à des personnes importantes. Mais il parti dans une branche très différente de la base où je me trouvais et je due me débrouiller seul. Je perdis toute ma confiance, mais ma franchise, ma mémoire d’éléphant, et mes conviction quand a mon avenir de rat de bibliothèque eux, n’avaient pas bougé. Et au bout de plusieurs mois de lecture intensive aux archives j’acquis des connaissance que peu de monde possédais. Mon sauveur, qui n’était autre que l’un des quatre amiraux ne me rencontra qu’une seule fois après mon arrivé. Et je peux vous dire franchement que mes seul souvenirs de cette entretien était son aura de puissance et son visage plutôt aimable. Malgré tout cela il reste désormais mon seul et unique Dieu en qui je crois et à qui, si il le faut, je pourrais donner ma vie.
C’est beau la liberté. C’est presque irréel dans ce monde un peu trop sérieux. Et pourtant, les pirates eux le sont. Mais pour rien au monde je ne trahirais la marine, pour RIEN ! Les médecins ont été franc et exact, je possédais un fruit du démon de type paramécia, je ne pouvais pas nager, mon espérance de vie était réduite de moitié, je devais essayer de me reposer le plus possible, je devais prendre garde à mes crises (paranoïa, violence, peur, dépression) et surtout je devais faire attention à mes jambes car je risquais de ne plus jamais les utiliser. Ils me préscrirent aussi quelques calmant anti-douleur mais j’avais beaucoup mieux. Des cigarettes spéciales, aromatisées à l’orange et la menthe. Leurs fumées sont très dense mais elles calme mon petit coeur et mon cerveau et puis, pourquoi ne pas se faire plaisir alors que je ne vivrais pas ma vie entière. Il y a aussi ma bonne vielle console qui me calme et l’heure. La satisfaction d’être le plus ponctuel, de ne jamais être en retard. Mais pour quel rendez vous ? Aucun, je m’en invente. Et c’est après une année de réflexion et de lecture que l’on me nomma conservateur en chef des archives. Mais, la mer qui me narguait commençait a peser de plus en plus sur moi. Prenant mon courage a deux mains je fis une demande express. Transvaser les archives sur un navires solide pour pouvoir amassé la plus grande connaissance des blues. Et après mon nombre discutions on me permis de réaliser mon rêve. Je pris soin de classer chaque livre, chaque document, chaque magazine. La cale était devenu une bibliothèque géante. Sur le fond les papiers officiels, la documentation sur les pirates connus, les marines de l’histoire, les plus grand chasseur de primes, les révolutionnaires les moins soumis. Dans une grande vitrine se trouvait les manuscrit ancien qui, s’il il n’était pas dans une atmosphère parfaite, tomberais en poussière. Sur la mezzanine est entreposé tout les registres et les journaux des blues. Du premier numéro jusqu’au tome collector double édition l’on peut tout trouver. Sans parler d’un nombre incommensurable de partition, recette de cuisine, plan, guide, enregistrement sonore inutiles, livre pour enfant, revue pornographiques,roman a l’eau de rose et autres nouvelles des plus banales. Mais tout cela fait de cette collection un joyaux unique et précieux dont je suis le protecteur. Chaque ouvrage inconnu qui parait ou apparaît passe entre mes mains avant d’être classé par genre et ordre alphabétique dans les archives. Je les connais par coeur bien que je n’en ai pas lu tout le contenu.A pars ça... Je me suis mis dans le recrutement de gardien, enfin de membre d’équipage. Il y a peu j’ai fait la connaissance d’un gentil cuisinier gothique. Sans le savoir, j’avais en face de moi mon ami de plateau repas, celui qui a été muté dans une autre branche. A l’instant ou le croisait il venait d’être viré de son poste à la cantine de la marine. Ses plats étaient, au goût des autres, infectes. Moi, je les adorais. Et c’est ainsi que le navire s’est doté d’un cuisto’ raté qui s’est améliorer grâce au livre de cuisine et d’un pianiste sur orgue de renom. Zaku s’est bien plus sur son nouveau terrain de jeu et m’a lâché un peu plus les basket enfin, les bottes. Il joue d’ailleurs très bien le rôle du chien de garde devant les porte des archives. C’est son unique fonction et il y met vraiment du coeur même si le résultat peut parfois être catastrophique (armoire renversés, lustres décrochés, livre dérangés, déclassés). L’équipage pour le moins restreint va désormais faire son premier saut dans le gigantesque bain qu’est les blues sans un véritable navigateur et un docteur pour s’occuper de moi je ne sais pas bien où aller. Mais ce qui est sur, c’est qu’on y va !
Dernière édition par Matt' N. Balthimore le Dim 12 Sep 2010 - 13:37, édité 34 fois | |
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Cyanure Pirate légendaire
Profil Psy : Mauvaise jusqu'à l'os! Nombre de messages : 2460 Fruit du Démon : Toro Toro no mi
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| Sujet: Re: P...p...p... PARANOÏA ?! [100% à valider] Lun 13 Sep 2010 - 18:10 | |
| bah, forcement, il y a des choses que tu ne sais pas. Par exemple, tout ce qui touche à la Grande Guerre contre Luffy, le siècle perdu, le projet Prométhée et Sélénée... bref... tu sais pas mal de choses mais il y a des sujets sensibles même au sein du gvt.
Disons qu'au vu de ton grade tu sais bien plus que tu ne dois en savoir. | |
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Oro Kenpachi Pirate confirmé
Profil Psy : loyal/neutre Nombre de messages : 2688 Age : 32 Fruit du Démon : speed speed no mie
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| Sujet: Re: P...p...p... PARANOÏA ?! [100% à valider] Lun 13 Sep 2010 - 18:33 | |
| Alors au risque de paraitre chiant, il ne faut pas de dialogue dans l'histoire, je te demanderais donc d'arranger ca, ensuite le bateau etant donné que tu es au gouvernement t'es naturellement fournit selon ton grade, et même je pense pas dire de bêtises en disant que passé le rang de caporal tu possède un navire a ta disposition même petit... | |
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