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 Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]

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Elya Tose
Trappeur
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Elya Tose


Nombre de messages : 543
Age : 31
Fruit du Démon : Hebi Hebi No Mie (modèle Anaconda) : Fouet

[Feuille de personnage]
• Renommée: 2300
• Wanted: 0
• Grade dans la Marine: /

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MessageSujet: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptySam 7 Aoû 2010 - 20:54

- Présentation du joueur IRL -

Prénom : Loïc
Age : 17 ans
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : C'est mon premier compte
Combien d'heures vous vous connectez par jour : On va voir !
Tes Mangas préférés : One piece, Fairy tail, Bleach, même si ce dernier part un peu en...
Ton pirate préféré dans One Piece : Toooooooooooooooous !
Ce qui t'as motivé à venir : Ben, l'existence elle même du forum
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : 3-4 ans
Hobbys : Rp, sport, amis, lecture, écriture
Autre(s) : Je vous nems tous !

- Présentation du personnage -



• Nom & Prenom : Tose & Elya

• Surnom (facultatif) : Elie

• Age : 17 ans

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Chasseuse de primes.

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Bon, un peu masochiste.

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Médecine

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : Je réfléchis... Nan, je crois pas que j'vais en prendre. Mais je demande le fruit Hebi Hebi No mi modèle Anaconda pour mon fouet <3
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Se balader un peu partout, et trouver l'argent nécessaire pour survivre.



Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] Angel_10
◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes] Une hauteur de 1 m 56, c'est petit pour un être humain. Enfin, pour un homme. Mais tout ce qui est inférieur à soi est petit, n'est ce pas ? On s'amuse à dire aux petits qu'on ne les voyaient pas parce qu'ils le sont, trop petits. Pourtant certaines personnes, être petit est être minuscule. Mais ne serait-ce pas l'homme le géant dans l'affaire ? Elya l'est pour ceux là, ceux qui sont super beaux, costauds et qui se battent. Une fille faible et qui doit être défendue en cas de provocation. Mais elle est énorme pour les insectes, qui ont peur d'elle et la fuient comme la peste. Pourtant, elle n'est pas vraiment effrayante, pour une humaine.
Le poids est un chose existentielle pour l'être humain, surtout pour les jeunes filles, qui veulent tenir leur ligne, et être bien de leur peau, ni trop grosse, ni trop maigre. C'est ainsi que naissent les anorexiques. Euh... Non, n'allez pas imaginer qu'Elya est anorexique ! Parce qu'elle ne pense vraiment à ceci. Mais voilà comment on peut écraser une fourmi avec son pied, ou bien être soulevée de terre par quelqu'un qui peut vous porter. Le poids caractérise un peu l'allure du personnage. Savoir s'il est maigre, normal, gros, ou bien Gros bill. D'ailleurs, c'est horrible d'être Gros Bill. Parce que quand on l'est trop, on se fait bannir... C'est pour ça qu'Elya fait 47 kilogrammes tous ronds, bon, 46 kilogrammes et 945 grammes... C'est pas ça qui va la tuer.
Inventaire à présent. On vous dévoile à quoi Elya ressemble au niveau vestimentaire, il faut être heureux, non ? Elle n'a qu'un style pour le moment. Souvent dénudée au niveau des jambes, elle utilise une jupe légère, de couleur beige, rouge ou bien encore bleue, ce qui va avec son haut, haut que l'on pourrait appeler un soutient-gorge sous un autre soutient-gorge. Le premier peut être qualifié de foulard, se portant autour de la nuque, descendant jusqu'à sa poitrine, la recouvrant partiellement. C'est pour cela qu'elle porte un soutient-gorge assorti à sa jupe, ou encore à sa culotte. Ce qui paraît normal au niveau des sous-vêtements, tout va ensemble ! Bah quoi ? On vend bien des maillots de bain deux pièces.
Il y a trois autres catégories de deux pièces. Le première nous permet de marcher sur des endroits trop brûlants pour nos pies, ou bien pour se sentir confortablement installé et au chaud lorsqu'il fait trop froid...Oui, matière des fois caoutchouteuse, des fois en cuir, d'autres plastiques. Et oui ! Des chaussures ! Des truc que l'on met aux pieds tous les jours. Elya porte des sortes de sandales avec un style brillant, et avec un système à trois retenues. Les première se croisent, alors que la troisième est faite pour séparer le pouce des autre orteils. Je ne veux pas y passer plus de temps.
Donc nous allons passer un peu plus de temps sur les oreilles. Quoi de plus... mignon et de plus beau chez une femme ? Tout comme le nez, mais ceci est autre chose. Une oreille est souvent cachée pour une femme, mais elle aime se les triturer, se malaxer celles ci. Car une oreille permet de se décorer un peu plus. Elya le sait bien, car elle porte constamment des boucles d'oreilles. Enfin, sauf pour dormir et se battre. Mais en temps normaux, elle adore porter ces petits bijoux, ceux ci sont en or, et situé en dessous de ses oreilles. Ne voulant pas se les percer, Elya à trouver un simple moyen de les laisser tenir, puis de les enlever sans problèmes. Chaque boucle d'oreille contient trois sortes de sommets assez pointus, Il s'agit en fait d'une arme de jet. C'est peut-être pourquoi elle ne les porte pas en combat.
La troisième chose est moins utilisée, beaucoup moins même. Mais ceci se voit très bien. Souvent habillée en blanc, Elya porte des sortes de brassards au niveau des jambes Celles ce sont remplies de symboles dont elle ne connaît pas la signification. Et elle s'en moque, juste que ceci était avec sa tenue, et qu'elle les porte depuis toujours. Ces symboles sont dorés.
Tatouages... Voilà comment l'on désigna quelque chose que l'on faisait sur la peau de quelqu'un, et qui était incrusté pour toujours dans la peau (celle ci est clair, luisante, mais un peu bronzée) de celui ou celle qui l'avait. Elya en a deux, les deux mêmes. En fait, ce ne sont pas vraiment elle qui les a voulu, car elle les a depuis sa naissance. Ses parents avaient fait ça avant de mourir. On ne sait pas non plus ce que cela veut dire. Peut-être n'était-ce que pour faire beau ? Y laisser un message caché ? Ou bien encore pour graver un souvenir permanent. Mais ces tatouages grandirent en même temps que la jeune fille, ne perdant jamais en éclat, en gagnant même de jour en jour. Comme si le noir pouvait en avoir, de la lumière...
A présent, la pilosité, c'est quelque chose de bien intéressant, n'est ce pas ? On préfère une femme aux jambes lisses qu'une femme poilue. Alors qu'il est le contraire pour les homme. On les recherche pas trop poilus, mais quand même. Elya n'est pas poilue, elle n'a que des poils fins et très peu visibles. Pas besoin de s'épiler dans ces cas là... Elle n'a jamais e de problèmes avec ça, et n'en aura jamais même. Vous vous endormez ? Parce que nous allons passer à un autre côté de sa pilosité à présent.
Longs, soyeux, châtains clair, voici comment sont les cheveux d'Elya. Pour ne pas s'attarder dessus, il y a différentes façon de les coiffer. Mais la jeune fille les coiffe souvent de la même façon : Elle les laisse flotter au vent. Mais déteste ne pas les coiffer, sinon ils deviennent collants et gras, ou gras et collants. C'est la même chose. Ses cheveux retombent jusqu'à ses fesses et ne se bouclent pas en temps humides, ne portent pas de poux, et permet à Elya de se les toucher, malaxer, tourner autour du doigt, à longueur de journée.
Mais ! Mais ! Que sont ces choses qui bougent ! Disparaissent, réapparaissent et redisparaissent ? Sont-ce des diamants magiques ? Que seuls les élus peuvent voir ? Non, tout le monde peut les voir, et ce ne sont pas des Diamants, car ils sont de couleur marron. Cette couleur est très réputée pour représenter le bois, le sable ou plutôt a boue, les choses naturelles. Ce marron ressemble à de l'ébène. Un arbre très solide. Mais cet ébène serait brillant, unique. La plupart des gens ont ce regard là, surtout dans les mangas, mais ça , c'est autre chose. Les yeux sont la première chose que regarde un homme non pervers. La beauté du regard, la recherche de celui ci. Mais cette fille n'est pas qu'à admirer... Certains la trouveront laide, avec ses boucles d'oreille. D'autres s'en ficheront complètement... ce n'est pas la beauté extérieure qui fait le tout, il y a aussi la beauté intérieure. Celle ci est plus souvent refoulée. Ceci met en valeur son visage ovale, mignon, sortant de l'enfance, entrant dans l'âge adulte. Encore arrondis, il le restera longtemps, ou non.
Deux choses qui sont superbes, qui nous permettent de humer, ou de goûter les odeurs. Oui, i s'agit du nez et de la bouche. Ce premier, chez Elya, est magnifiquement petit et rond, tout mignon. Légèrement remonté, ce que l'on ne voit pas, le nez d'Elya est souvent débouché, et nettoyé. Par contre, il ne sert pas à grand chose, à part repérer de la nourriture. La bouche de la jeune fille est à peu près pareille. Très forte au niveau goût, elle lui permet de parler d'une voix douce et agréable, voire presque timide à certain moments. Mais ! Cette bouche est fine et délicate. Enfin... Elle résiste quand même aux coups de poing, mais il ne faut pas en abuser. Es deux organes les plus importants pour une personne, mis à part le coeur, les poumons et le cerveau, et tout le bidouillage, étant faits, nous allons continuer à présent sur...
Les bras et les jambes sont faites pour marcher, attraper, frapper, lancer, et plein d'autres choses... Ce sont des membres tout aussi importants que le nez et la bouche chez un être humain. Assez petite, Elya sait qu'elle est tout de même très forte avec ces membres là, surtout lorsqu'il s'agit de fouetter.
D'ailleurs, le fouet est l'arme fétiche de cette jeune fille, qui n'hésite pas à faire mal à ses adversaires lorsqu'ils l'embêtent. Cette arme est verte avec quelques tâches moins foncées sur certains endroits, ressemblant à du jaune, faisant penser à une peau d'anaconda, et est située au niveau de ses hanches, placée en sorte de ceinture autour de sa jupe. Étant quelque peu trop grand pour le vêtement, la fin du fouet ressort sur les côtés, et pendouille donc jusqu'aux genoux de notre Héroïne. Ce qui dévoile son état mental, que nous allons vous montrer à présent.
Plus sérieusement, il lui arrive quand même de porter des pantalons et des maillots normaux avec les chaussures qui vont avec. Elle a souvent même envie de se changer. Elle n'a pas vraiment de goûts pour ce style d'habits.

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◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]
Bienvenue dans ce journal ! Aujourd'hui, nous allons parler des descriptions morales de notre Princesse adorée ! Mmmmmh... Comment décrire Elya d'après ce qu'elle a vécu et à travers son monde personnel qui ne lui appartient qu'à elle ? Très bien. Nous allons commencer par ses connaissance. La Princesse ne connait que très peu le vaste monde, et vient de comprendre la façon de penser d'un citoyen. Enfin, lorsque l'on vit non loin de ceux là et que l'on communique avec eux. Niveau compréhension, elle est assez forte et peut faire office de traductrice. Si seulement il y avait des étrangers dans ce monde... Ces connaissances auraient pu l'aider.
Le calme, c'est quelque chose que tout le monde demande, que tout le monde a en soit, au moins une fois dans sa vie. C'est comme celui qui n'a jamais été seul, au même nombre. Mais ce proverbe est fait pour les Loups-Garou. Tout cela ne rentre pas dans ce style ? Ah, mince... Elya est calme, à part quand elle a peur. Cette peur qui vous paralyse, vous empêche de bouger. Comme quand Bambi la faon va se faire tirer dessus par un chasseur. Près d'un rocher. Cette peur ne vient pas des chasseurs pour la Princesse, ni même des faons. Elle a peur des coffres... Pourquoi ?Parce qu'on ne sait jamais ce qu'il y a dedans. Elya ne pourra jamais ouvrir un coffre toute seule, comme une grande. Il lui faudra souvent de l'aide pour le faire. Ou encore, elle préfère s'éloigner, au cas où...
Ensuite, la colère... Le contraire du calme est aussi la colère. La colère de voir quoi ? Ou d'entendre quoi ? La colère de voir des Révolutionnaires et d'en entendre parler. Elya ne les supporte pas après ce qu'ils ont fait à son ancien pays. Et à ses amis, ses parents. Elle déteste même voir ce mot, et cela la rend folle de rage. Ce qui renvoie à une nouvelle peur. La peur de faire des cauchemars, la peur de faire ces cauchemars qui vont la hanter. Elle arrivera peut-être à pardonner ces personnes là. Mais il est clair que pour elle, les révolutionnaires sont tous comme ceux du Royaume. Fourbes et manipulateurs. La jeune fille n'est pas comme ça. Elle essaye de se faire comprendre, et de comprendre les autres, même si son calme n'est pas légendaire, ainsi que sa patience. Bref, elle s'énerve souvent si elle n'a pas ce qu'elle veut.
Comment décrire ce sentiment ? Comment décrire quelque chose qui vous fait rire et plaisanter. Cette chose, qui, en solitaire, n'existe pas. Cette chose, on peut la partager en groupe ou a deux. Avec un animal ou avec un autre être humain. Certaines personnes font ce lien avec un de ses objet. Ce sentiment, cette chose, il s'agit de l'amitié. Elya recherche cela. Perdue et solitaire pour le moment, la Princesse essaye de se faire des amis parmi les autres îles, les autres Royaumes. Elle ne veut plus être toute seule. D'ailleurs, comme nous parlons de quelque chose qu'elle déteste, comme vivre sans quelqu'un avec qui parler, Elya déteste être manipulée. Elle déteste que l'on choisisse pour elle. A part si elle est d'accord avec cela. Il sera difficile de lui donner un ordre alors qu'elle pense que le contraire serait mieux. Un âne avancerait dans le chemin choisi avant la jeune fille à certains moments. Mais elle craque assez facilement certaines fois. Surtout lorsqu'il s'agit d'aller manger quelque chose qui la répugne. D'ailleurs, voilà les aliments qu'elle ne supporte pas, j'en ai profité pour mettre des plats que moi même je déteste. Allez, non, on ne va en mettre que le top trois.
En premier lieu, les carottes, surtout râpées. Ces petites choses qui semblent tellement oranges qu'en mettre sur ses fesses pourrait bien vous déguiser en babouin. Les choses qui rendent aimables. Mon cul ouai ! J'en ai goûté, ça me fout toujours en rogne contre ceux qui m'ont obligée à manger tout cela. La sauce des carottes râpées n'est pas appréciée par mes papilles gustative.
Ce qui renvoie au troisième lieu à présent. Nous avons bien parlé des carottes et de sa sauce hein ? Ça nous fait déjà deux choses détestées. La dernière est... Surprise ! Le caca. Mais ça, personne n'aime ça ! Non, plus sérieusement. Elle hait les endives. Ces feuilles qui ressemblent à de la salade, ou encore à un poireau. Confondez ça avec une endive, et vous serez très vite aux toilettes pour vomir. Bref, Elle ne peut pas avaler une seule feuille de cette chose dégueulasse et amère.
Comme nous parlons du Top trois des plats les plus détestés, nous allons passé au top 3 des plus aimés. Pour faire un petit... changement.
En premier point, les ramens. Elya ne sait pas qui a crée ses nouilles si longues qui peut porter plusieurs sauces toujours plus délicieuses et variées les une que les autres. Ses petits spaghettis qui nous met l'eau à la bouche avant d'avoir ouvert le paquet. Ce mot qui fait gronder votre estomac, qui en demande jusqu'à exploser. Puis qui se calme et qui râle lorsqu'il n'y en a plus.
En second point, tous les fruits. Il n'y a pas un seul de ces produits sucrés que déteste la Princesse. Ces choses juteuses qui sont légers et bons pour la santé. Qui n'en voudrait pas ? Fruits rouges, pommes, poires, bananes, pastèques, melons, agrumes, fruits exotiques, et autres...
En troisième et dernier point, nous avons les cuisses de poulet et le magret de canard, qui sont à égalité. On ne peut pas dire que ces viandes là sont dégoutantes, loin de là même. Encore le blanc de poulet est très sec, ces deux choses sont succulentes, avec ou sans jus par dessus. Faites attentions aux os par contre, donnez bien celui du chicken au chien, qu'il ne se sente pas renié de son Royaume. S'il n'a pas à manger, il se vengera sur votre jambe.
Comme nous parlons de ce qu'aime notre petite Princesse, nous allons partir à présent sur ses goûts au niveau de la vie. Qu'adore-t-elle ? Tout le monde se le demande. Très bien, Elya aime les amis, elle aime son fouet. Elle aime s'amuser, rire, ou bien encore être avec des gens amusants. Comme je l'ai dit, il lui faut de l'amitié pour qu'elle se sente bien. De l'amitié et de l'amour.
Aimer est une qualité. Mais un être humains a d'autres qualités. Par exemple, Elya n'aime pas se battre contre se gré, elle n'aime pas la violence. Pourtant, cela ne l'empêche pas de l'utiliser lorsqu'il faut faire parler quelqu'un, ou bien lorsqu'un combat se présente. Elle préfère tout de même courir en arrière ou bien discuter, sauf si la mission donnée est : tuez les tous, et qu'en fasse, il y a des Révolutionnaires. Mais ces parties ont été censurées par le jury de films d'horreur. C'est encore plus horrible que ceux ci. On n'a pas peur à la fin, on se suicide juste, ou bien on vomi et cauchemarde durant toute sa vie. A vous de choisir !
Bref, voilà que nous n'avons plus l'antenne. Merci d'avoir lu nos petites descriptions pour le personnage d'Elya Tose, et à bientôt sur la chaîne !


Dernière édition par Elya Tose le Sam 21 Aoû 2010 - 18:13, édité 28 fois
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MessageSujet: Re: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptyVen 13 Aoû 2010 - 0:47

Où en est cette présentation ?
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MessageSujet: Re: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptyVen 13 Aoû 2010 - 0:55

En cours, en cours. J'en suis à 176 mots pour l'Histoire, mais ça vient, ça vient Razz

J'vais avoir le truc (nombre d'édition : 34 )maintenant ><
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Godwrath D. Alexander
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MessageSujet: Re: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptyVen 13 Aoû 2010 - 1:03

Ca marche, préviens quand tu auras terminé. Bon courage Wink
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MessageSujet: Re: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptySam 21 Aoû 2010 - 2:32

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◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]

Chapitre I : Naissance


Quelque part sur Grand Line, sur une île chaude, autre qu'Alabasta, vivaient des hommes et des femmes qui ne demandaient que la saison des pluies pour vivre. Le Roi savait bien cela, et il donnait tout son cœur pour aider ce monde appauvri et leur donnait de l'argent. Cependant cela ne suffisait pas. Les citoyens demandaient de plus en plus de nourriture, il y avait de plus en plus d'habitants. Tellement qu'il fallut monter les taxes au niveau des impôts pour pouvoir remplir ces caisses qui se vidaient petit à petit. Ce fut le premier acte que réprimèrent les citoyens. Et ils le firent le jour de la naissance d'Elya, la fille unique de la famille. Otonashi, son père et le souverain du Royaume, était déçu. Il s'était attendu à avoir un fils pour pouvoir continuer à régner après sa mort, ou bien lorsqu'il en aurait marre. Avoir une fille ne lui déplaisait pas, mais il s'inquiétait sur sa succession. Mais sa femme était heureuse, et c'était ce qui comptait le plus à ses yeux. C'était l'Histoire de la vie d'un cycle éternel. Le fou du Royaume la portait du balcon du palais pour montrer le bébé au peuple, peuple qui s'inclina devant les pleurs de celui ci. Qu'il était beau ! C'est le conseiller qui lui avait trouvé ce nom. C'est ce nom qui la rendit incroyablement adorée de ses parents. Ceux ci lui firent deux tatouages, mais ne moururent pas. Vous avez cru à cette erreur dans les descriptions physiques ? C'était... Une erreur voilà tout ! Je l'avoue ! Ce tatouage, lui avait dit son père, était là pour qu'elle garde un souvenir de la faille. Il en était le symbole même, le beau petit symbole, qui ne voulait rien dire en fait. Juste quelque chose de beau et qui hypnotisait un peu tout le monde. Elya allait faire des Merveilles, et aussi en faire de ce Royaume. On l'appellera plus tard, Elya au pays des merveilles. Un livre parut pour les hommes du peuple. La garde fut agrandie, parce qu'il y allait sûrement y avoir des assassins, prêts à tuer celle qui allait prendre le pouvoir. Ou bien des cambrioleur, pour demander une rançon. Voilà comment les choses assez mauvaises commencèrent. Menant le bébé vers une phase détestable de son existence. Le dirigeant vers un monde abominable qui allait faire de la future jeune fille une psychopathe. Mais ce n'était que le départ... Pour le moment.

Voilà tout comment se passa l'organisation de la naissance de la princesse lors de ses premiers jours. Installée dans la chambre construite exclusivement pour elle, Elya avait tout un tas de jouets, des choses plus étranges les unes que les autres. C'est d'ailleurs avec l'un de ces jouets qu'elle faillit assommer un de ses garde du corps. Celui ci avait glissé sur un train en bois et l'avait cassé. Le bébé avait pleuré, et l'homme fut arrêté pour tentative d'assassinat. Le reste n'est pas à savoir. Ce n'est pas pour vous en tout cas. Il y a du sang, et c'était censuré. Pas de quoi rire, non ? Là, le peuple en apprit beaucoup sur cette famille. Les habitants du palais se refermaient de plus en plus sur eux même depuis cette naissance. Le Roi et la Reine étaient paranoïaques, et ne voulait plus que quelqu'un entre dans le bâtiment sans autorisation spéciale. Beaucoup de gens passèrent au cachot à cause de cela, une nouvelle fois. Ceux qui les traitaient de mauvais parents finissaient souvent pendus. Ceux qui en demandaient trop sur le bébé avaient la langue coupée. Et les parents, complètements fous à liés, le firent petit à petit juste sous les yeux du bébé. Et Elya grandit avec.


Chapitre 2 : Enfance

L'enfance est un moyen de rester tranquille. Mais c'est aussi le passage de la découverte, de la naissance de l'amour, des émotions. Mais toute cette histoire lors des premières leçons pour la jeune fille. Les parents n'achetaient même pas un seul professeur pour lui donner des cours, pensant qu'il serait plus sage d'apprendre à Elya tout par eux mêmes. C'est dire s'ils étaient un peu paranos. C'est peut-être pour ça que la petite fille pensait que ses parents étaient les meilleurs au monde. Plus les jours passèrent, et plus Elya pensait la même chose, jusqu'à ce qu'elle prenne des cours de combat, d'auto-défense. Très bonne à mains nues, elle n'arrivait pas à maîtriser une épée, quoique l'on fasse d'elle. Pour la première fois de sa vie, La Princesse eut une formation de la part du meilleurs professeur dans le maniement des armes. Il n'était pas doux, plutôt colérique, et venait du peuple. Ainsi, il n'était pas comme ses parents, qui s'étaient montrés affectifs, amoureux. Pas comme ce mec à l'épée, qui s'énervait pour rien parce qu'elle n'arrivait à rien avec ces choses là. Elles étaient trop lourdes, trop inutiles. Rien n'était vraiment superbe. Le premier jour avait été le plus heureux. Il paraissait gentil, tranquille, et même appréciable. A présent il était horrible, il faisait mal, et l'obligeait à faire des entraînement. « Les Hommes du Peuple sont mesquins, ils feront tout pour tuer. Mais ils te feront souffrir avant de le faire. Alors fait attention. » lui avait dit son père. Cette phrase avait résonné dans la tête d'Elya lors d'un entraînement, juste avant d'avoir une jambe qui se dérobait, la faisant tomber au sol une nouvelle fois, pour qu'une quantité de sable entre dans sa bouche. Mais le problème était tout autre avec cet homme : il la traitait d'incapable, dans la plupart de ces épisodes, la petite fille commençait à pleurer et partait dans sa chambre. Ses parents, qui auraient du être doux avec elle, se mettaient en colère eux aussi. Et elle n'y comprenait rien. Pourtant, la Princesse avait inventé n'importe quelle faribole pour ce débarrasser de cet homme du peuple, qui ne cessait de la mettre en rogne. Elle ne savait pas comment faire pour le faire renvoyer du palais, le faire passer par la case cachot avant qu'il ne reparte libre et soumis. Ce soir, il y eut un nouveau exécuté sous ses yeux. Elya ne s'en souciait plus trop de cela. En fait, elle se moquait de ce qu'il avait fait, et sentait que les yeux des traitres se moquaient impudemment d'elle. Ce n'était pas tolérable ! Pourtant, ils ne témoignaient que de la demande de pitié, de la tristesse. Mais elle ne voyait rien de tout cela. Les lettres de menaces ne venaient jamais jusqu'à la petite fille, qui commençait à s'ennuyer dans le palais. Elle commença à rêver de sortir de cet endroit assez discrètement, de faire des choses tranquillement. Mais ses parents et son entraîneur l'en empêchaient. Il fallait qu'elle fasse quelque chose pour ce dernier en tout cas. Tout se passa très vite pour cet homme en fait. Elya avait pris un fouet qu'elle avait trouvé quelque part. Un fouet assez vieux, que son entraîneur lui avait demandé d'apporter. Un fouet qui allait changer toute une vie. Son coach lui avait demandé de prendre ce fouet. Il voulait voir quelque chose. Comme le sabre ne marchait pas, le bâton non plus, mais qu'elle arrivait à fouetter avec ses mains très aisément, il lui avait obligé la présence d'un fouet. L'entraînement pouvait commencer. Première séance : les pantins. Le but était de tous les toucher alors qu'un mécanisme les faisait avancer jusqu'à la jeune fille. Le but était qu'elle ne se fasse pas toucher. A onze ans, à onze ans elle comprit que le fouet était son arme de prédilection. Mr Kazaki l'avait remarqué aussi, lorsqu'il avait perdu lors de la dernière séance. Un combat contre son professeur. Un combat qui ressemblait à un Duel à mort à la fin. Pour faire enfermer son maître, elle prit la lame de celui ci et se l'enfonça dans le ventre après avoir crié. Elle n'aurait jamais du... Ses parents avaient tout vu, son entraîneur les avait prévenus, pour qu'ils voient ses progrès. Parents qui commencèrent à penser qu'il fallait mettre un lien entre Elya et le peuple. Parents qui commençaient à se dire qu'ils avaient fait une grosse conneries depuis onze ans. Parents qui commençaient à avoir des remords. En quelques secondes, on envoya un médecin pour soigner l'énorme plaie du ventre de la jeune fille. Les soin furent intenses, mais il ne resta aucune trace de cet incident. Mr Kazaki fut promu chef de la garde, pour sa loyauté, et de nouvelles personnes entrèrent dans le palais. Les portes étaient de nouveau ouvertes. Lors du réveil d'Elya, ses parents ne sautèrent pas jusqu'à elle de bonheur. Elle ne savait pas qu'ils avaient tout vu. Mais elle l'apprit bien vite après s'être faite crier dessus. Mr Kazaki vint lui rendre visite aussi, plusieurs fois même. Il avait l'air d'être le plus heureux, mais aussi le plus déçu de tous ceux qu'elle avait vu. Dans sa main, il avait quelque chose qu'elle avait déjà vu. Mais jamais de cette taille, ni même de cette couleur là : Un fouet. Certes, un fouet, mais il était spécial. La petite fille sourit lorsque ce présent lui fut remit entre ses petites mains.


Chapitre 3 : Le Fouet et le Fruit, la rencontre avec Elya


Spécial, voilà comment était ce fouet. Mr Kazaki, à présent qu'Elya appelait cet homme To' san, de son prénom Toyaku. C'était une preuve d'affection qu'elle montrait à son égard. Il était le confident de la jeune fille, qui s'était excusée juste après avoir reçu son présent, sa récompense. Finalement, cet homme était gentil, il ne ressemblait en rien à la description qu'on lui avait faite d'un habitant du Royaume. Il devait être unique, cet homme. Le fouet était de couleur verte et semblait être fait à partir de peau de serpent. Brillant, en écailles, il semblait être très précieux aux yeux du Capitaine de la Garde, qui lui demanda de bien le garder, et de ne l'utiliser que lorsqu'elle en aura vraiment besoin. Ne pas faire 'elle une arme meurtrière. Cette arme, avait un air maléfique. Mais ce n'était qu'un fouet, non ? Cependant il semblait véritablement vivant. C'est bien ça. Lorsqu'elle le prit dans ses mains, Elya sentit la chose se tortiller, et ce n'était plus un fouet qu'elle avait dans les mains, mais un immense serpent, plus grand que la moyenne. Alors qu'elle criait de peur, et que le serpent, lui, sifflait de détresse, To' san riait avec ses parents. Ils n'avaient pas du tout peur de ce fouet. Enfin, de ce serpent. Otonashi lui expliqua qu'il s'agissait d'une chose tout à fait normale. Un fouet, qui avait mangé un Fruit du Démon. Ce présent avait été fait il y a assez longtemps, avant qu'elle ne naisse. La famille n'avait jamais su quoi en faire. Mais à présent, elle savait, et venait de passer un précieux objet à leur fille de douze ans à partir de ce jour là. Ce fut son plus bel anniversaire de sa vie. Si beau que la Princesse ne sortit plus sas lui. Elle s'amusait à faire des blagues à ses parents en le cachant dans le lit de ses parents sous forme animale. Mais elle continuait de le redouter un peu. L'Anaconda, le nom du serpent, était connu pour être le plus grand serpent du monde. Ne créant pas de venin, il possédait cependant une force extraordinaire au niveau de la constriction. On s'en servait autrefois pour chasser les souris et les rats. Mais à présent, les chats s'en occupaient. Pour le nourrir, il suffisait juste de lui passer des morceaux de viande assez grands pour qu'il se taise pendant un bon mois. Et puis, il n'avait pas très faim, un objet a rarement envie de manger, c'était dans la logique du possible. Les jugements se firent moins nombreux après l'incident de l'épée. Et certaines peines étaient de se faire fouetter par la princesse elle même. Celle ci pensait bien faire en humiliant les Criminels devant le peuple. Elle voulait bien faire à présent. Elle voulait faire plaisir à ses parents, à To' san, au Royaume même ! La jeune fille se voyait acclamée parce qu'elle avait puni une personne. Cette dernière était relâchée telle une créature du Diable, et détestée par tout le monde, la gloire commençait à monter. Mais une envie de vengeance montait en la voix du peuple. Une envie de savoir. Après un moment, on accorda les plaintes directs au Roi, qui prenait les bons choix, même s'il n'y était plus habitué, à faire cela. Ensuite, à la demande d'Elya, on autorisa la Princesse à avoir une autorisation de discuter avec des gens du peuple dans le palais. Puis on l'autorisa à sortir du bâtiment pour faire des tours en ville. D'abord par véhicule, puis, lorsqu'elle demanda de nouveau, elle put partir à pieds, accompagnée d'une escorte. Cependant, les gardes l'empêchaient de voir ce qu'il y avait dans le village. Personne n'osait regarder dehors. Si on l'acclamait, les gens étaient violentés. Elya ne voulait pas ça. C'est pourquoi elle partit toute seule, et ce fut le plus tragique accident qu'elle ait pu faire. La Princesse ne pouvait pas sortir sans escorte. Même si elle pleurer ou bien menaçait de se tuer, Ses parents avaient toujours ce « non » à la bouche. Ce non qu'ils avaient toujours changé en oui n'arrivait pas à céder cette fois ci. Après une violente confrontation entre elle et sa mère, Elya fut envoyée dans sa chambre, comme une gamine qui avait fait une bêtise. Enervée, elle avait crié qu'elle les détestait, qu'elle ne voulait plus les voir. Une porte claqua, il y eut un mouvement de clef. Puis des bruits de sanglots. To' san frappa à la chambre de la Princesse, qui ouvrit tout de suite. Elle lui expliqua tout de suite la situation, sans qu'il n'ait pu dire quelque chose. Le chef de la garde la serra dans ses bras. Il savait ce qu'il fallait faire. Il sortit après avoir pris la jeune fille sous sa tunique, qui ressemblait à une robe. Elya était accrochée à sa jambe, tremblante de peur de se faire remarquer. Mais elle avait confiance en cet homme, qui sortit à l'air libre, ayant comme excuse qu'il avait envie de prendre des nouvelles. Ce qu'il faisait tous les jours à n'importe quelle heure. Cela ne surprit aucunement les gardes, qui laissèrent leur Chef s'en aller. Une fois dans la ville, Toyaku laissa Elya toute seule. Mais celle ci se sentit, à treize ans, minuscule. Et demanda à son ami de l'accompagner. Celui ci ne refusa pas. Comme ça, elle allait connaître certaines personnes. Comme ça, elle se rapprocherait du peuple. Ce fut sa première erreur que de ne pas respecter les ordres de ses parents.


Chapitre 4 : Une Adolescente sadique, le peuple commence à subir


La première fois qu'elle sortait seule, enfin... Accompagnée d'un personne. Elya en avait profité pour découvrir ce monde qu'elle ne connaissait pas. Toyaku allait souvent dans les mêmes maisons, avait-il dit. Il y avait toujours des personnes dans le besoin. Ce qui tracassait un peu la jeune fille. Dans le besoin de quoi ? D'argent ? Elles allaient peut-être l'enlever. Mais non, To'san était là, ils ne pouvaient rien faire... Rien faire du tout. Tant qu'elle resterait avec cet homme, elle serait tranquille. Ils pénétrèrent dans la première maison, où vivait une personne assez jeune. Elle avait dans la vingtaine à peu près, et semblait souffrir du dos. Déjà ? Enfin, Elya le devina à sa façon de se comporter. Cette personne lui rappelait quelqu'un, mais la Princesse n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Un air de famille ? Sûrement, elle ressemblait beaucoup à sa mère sur les vieilles photos. Même si cette dernière n'avait pas eu de problèmes de dos à cet âge là. La jeune fille était cachée derrière le chef de la Garde lorsque la femme se retourna d'un air heureux. Il se trouva qu'elle le connaissait depuis peu, mais qu'il l'aidait à se remettre de ses états. Mais de quels états ? Elle avait subit un terrible crime ? La pauvre, si seulement elle pouvait l'aider. Elya ne savait pas quoi faire. Cette personne semblait gentille, sauf qu'elle ne pouvait rien faire pour l'aider. Rien du tout. A part regarder, elle ne pouvait rien faire dans ce cas présent. Toyaku lui demanda des nouvelles. Elle se portait de mieux en mieux, disait-elle. Après deux ans de calvaires, les plaies avaient enfin décidées à se refermer, doucement mais sûrement. Sajea, la blessée, avait donc été victime d'un accident à ses dix huit ans... Le regard de celle ci descendit sur la Princesse, qui rougit lorsqu'elle demanda qui était cette petite. To'san expliqua qu'il s'agissait d'une pauvre petite fille qui s'était perdue en ville, et qu'elle ne venait pas d'ici. Il était vrai que le commerce extérieur, ainsi que les touristes, étaient revenus. D'ailleurs, Sajea expliqua qu'il y avait des personnes étranges en dehors de la ville principale. Mais on la rassura en disant qu'il y avait toujours des fous quelque part... Toujours des fous, et que le Roi et la Reine allaient s'en occuper. Enfin, c'est ce que dit Elya... Ce n'était pas de l'avis de la jeune femme blessée.

Pfeuh ! Comme si les deux allaient bouger le moindre petit doigt ! Ils n'avaient cessé de faire des bêtises depuis qu'elle était là. On l'avait même virée de chez elle parce qu'elle cachait des traitres chez elle, alors qu'il s'agissait d'un grand et pur mensonge. Ils ne valaient rien... Et leur fille. Cette fille qui l'avait fouettée. Cette fille dont elle n'avait pas vu le visage. Petite peste qui n'a que le pouvoir en tête, et qui en devient aveugle à cause de cela. Cette petite peste appelée Elya, et qui, pour Sajea, ne mérite pas de vivre. Toyaku lui demanda de se calmer, mais la femme en rajouta une couche, ce qui eut pour don d'augmenter la colère et l'incompréhension qui trainaient dans sa tête. Elle pleurait, elle voulait dire pourquoi, elle voulait s'excuser, mais cette personne était trop énervée pour s'arrêter et constater les dégâts qu'elle avait occasionnée. On la traitait d'enfant pourri gâté, d’incompétente, d'un Démon, d'une créature de terreur. Tout le monde était horrifié de voir autant de violence. Il est vrai qu'Elya ne s'était jamais demandé pourquoi elle devait porter un costume sur tout son corps avant de se montrer en public. A présent, elle comprit en même temps que se poser la question. D'une voix faible et tremblotante, elle exprima sa détresse. D'un coup, la Princesse avait envie de rentrer, non. Elle avait envie de s'enfuir loin de chez elle.

« Alors... Pendant tout ce temps, on m'a.. on m'a manipulée ? »

Sajea ne comprit pas le sens de la phrase, ou du moins, le fit, mais d'une autre façon. Elle continua ses phrases fortes et puissantes. On lui dit que ce qu'elle avait appris comme quoi le pays était tranquille n'est que pur mensonge. Un pur mensonge. Personne n'allait bien, seul le chef de la garde se montrait clément. Seul lui comprenait, et essayait d'aider le peuple. « N'est ce pas, Toyaku-san ? Même si vous le niez, je vous dis que vous êtes la marionnette de ce petit démon. ». Voilà ce qu'elle avait dit. Pleurant toujours, Elya oublia les paroles de son père, oublia les leçons d'Histoire de sa famille, de politique, d'Economie. Rien de tout cela n'était réel. Personne ne l'aimait ici, et elle venait de le découvrir comme si on l'avait poignardée. Ses pleurs stoppèrent, et le teint de la jeune adolescente devint blême. Sajae s'inquiéta sur son état, puis on frappa à la porte. La garde Royale venait. Mais que voulait-elle ? La Princesse réagit au quart de tour et déambula dans les escalier, tout en murmurant qu'elle ne voulait pas y retourner. Pas y retourner... Ces mots choquèrent Sajea lorsqu'elle les entendit. Elle se posa alors des questions. Pourquoi elle ne voulait pas ? Et comment ? Les voix se firent entendre. Toyaku ouvrit la porte, et une dizaine de gardes haussèrent un sourcil, étonnés de le voir ici. Ils cherchaient la Princesse Elya, qui s'était faite enlevée pour quelqu'un, et la Chef de la Garde était introuvable lui aussi, faisant son tour de ville. To'san leur expliqua qu'il n'y avait personne ici, et les hommes partirent d'un seul salut. Il était simple de se faire croire lorsque l'on est supérieur. C'était plaisant pour éviter certains ennuis, comme partir seul avec la Princesse, alors qu'elle ne pouvait pas le faire normalement. Quelques secondes de silence passèrent alors, puis Sajea prit la parole, demandant à Elya de descendre, elle venait de l'appeler par son prénom... Elle avait compris. La Princesse frissonna de peur. Elle avait vraiment envie de partir du pays... Terriblement. Mais on ne la laisserait pas faire. Une main la saisit à la gorge. Une main puissante et ferme, qui se resserrait petit à petit, la privant d'air au bout d'un moment. Le visage de Sajea était empli de haine pour elle. Un regard meurtrier, effrayant. Pourtant, elle avait vu plein de morts dans sa vie. Elle ne devrait pas avoir peur de cela. Mais c'était plutôt le regard criant vengeance qui poussait la femme à faire ça. Un regard fou face à un regard suppliant et effrayé, le combat allait être rapide. Elya vit une ombre derrière la blessée, et la frappa dans le dos. Un coup sec, sans la moindre émotion. Sajea tomba au sol, tout en lui faisant lâcher la Princesse. Celle ci sanglotait, tout en reprenant sa respiration. Toyaku lui demanda de partir d'ici, et vite. Elle n'entendit qu'une voix féminine qui était celle d'une personne en furie, celle d'une bête sauvage.

« Tu es venue ici pour me finir hein ? Démon ! Tu aimes tant faire souffrir les gens ? Disparaît de là ! Dégage ! Meurs même ! Personne ne s'en souciera ! »

Elya, le visage défiguré par sa tristesse et ses larmes qui continuaient de couler, s'enfonça dans la foule, pour revenir au Palais. Elle n'était pas folle... Elle n'était pas folle... Pas au point d'en devenir Sadique !



Chapitre 5 : Arrivée des Révolutionnaires, le Royaume est en danger !


Quatorze, c'est un bel âge, n'est ce pas ? Surtout pour une jeune fille comme Elya, qui rêve d'aventures et de belles choses. Non, il ne faut pas rire avec cela. Surtout qu'elle pleure pour le moment. Pleure tout en courant dans tous les sens. Elle ne savait même pas où elle allait, même pas où elle était. Mais ce qui comptait était qu'elle avait toujours le coeur qui battait. La jeune fille avait bien cru mourir dans cette maison. Encore une fois, Toyaku l'avait sauvée d'une bien terrible sanction. Une sanction qu'elle 'avait jamais reçue. Elle tomba sur un endroit perdu du village. Un endroit vers la mer. Et où un navire était échoué. Une main la saisit a niveau de la bouche. Une main douce, mais ferme. Quelque chose qui ne témoignait rien de bon. Un jeune garçon lui demanda ce qu'elle faisait ici, à pleurer. Que cet endroit ne pouvait être divulgué. Lorsque la Princesse demanda le nom des personnes, celles ci ne le firent pas, mais avouèrent qu'ils étaient Révolutionnaires. Étrange, comme chose... Il demanda à l'adolescente de partir au plus vite, et de ne rien dire... Surtout de ne rien dire. Elya partit à toute allure vers la population, vers la ville. Elle fut poursuivie par des gardes. Gardes qui lui demandaient de s'arrêter de courir. Mais la Princesse n'arrivait pas à le faire, s'arrêter... Elle se sentait épiée par cette voix, par sa haine. Où qu'elle aille. Il y eut un moment de calme, et elle toucha sa gorge, comme attaquée par un serpent. Mais ce fut au niveau des jambes que la queue du serpent, ayant senti la détresse de sa maîtresse, s'enroula. L'effet fut immédiat. La Princesse tomba de tout son long sur le sol plein de sables, laissant la possibilité aux gardes de la prendre. Ses parents décidèrent de mettre ce cas comme une tentative de fugue de la jeune fille, qui fut une nouvelle fois enfermée dans sa chambre. Elle nia avoir vu Toyaku, mais elle n'arrivait pas à se retenir lorsqu'il s'agissait des Révolutionnaires. Elle parlait d'eux, mais personne ne voulait la croire à présent. Personne, ne pouvait plus la croire, sauf son confident. Plus tard, on apprit qu'une femme avait violemment agressé celui ci. To'san n'avait pas résisté, mais la bloquait juste, jusqu'à ce que des renforts ne viennent. Elle était devenue folle, et allait être fouettée par la Princesse elle même, pour avoir attaqué son meilleurs ami. Elya avait beau dire qu'elle ne voulait pas, sa mère la mit dans la salle de rechange, avec un homme armoire à glace. Il lui demanda d'abord d'enfiler ses vêtements, ce qu'elle ne voulut pas faire. Fâché, il essaya de lui mettre la masque de force, mais il n'y arriva pas. A chaque fois la petite se faufilait dans un recoin. Puis l'anaconda le fit tomber. Sa tête percuta un bord et il tomba, assommé. Lorsqu'elle sortit, Elya avait décidé de tout porter finalement. Tout porter, pour faire plaisir à sa mère. Cette deuxième peau la démangeait, et la Princesse ne se sentait pas à l'aise. Si seulement quelqu'un pouvait la croire pour ce qui concerne les Révolutionnaires. La jeune fille entra dans la cour, faite pour la torture, et fixa avec tristesse celle qu'elle allait fouetter. Mais avant toute chose, sa main se posa sur son cou, comme si elle ressentait toujours la main contre sa gorge fragile. Puis elle retira son masque. Enfin, tenta de le faire en premier lieu. Sa mère, paniquée, lui sauta dessus, les deux mains sur la tête, tout en disant que ce n'était rien. Mais elle avait déjà perdu la bataille de toute façon. Emportée par son élan, Mme Tose continua sa course, et sentit la cagoule en cuir d'Elya s'en venir vers elle. Le secret du visage caché de la Princesse prit fin à se moment. Mère complètement folle, elle partit en hurlant en dehors de la cour. Mais tout le peuple était stupéfait de voir cette personne sans rien sur la tête. Même Sajea fut surprise de voir cela. Personne ne bougea lorsque la Princesse, au lieu de fouetter cette femme, lâcha son fouet, non celui anaconda, mais un autre, et sortit de la salle en pleurant. Une fois sortie de prison, Sajea fut traitée en héroïne, comme celle qui avait terrifié toute la Famille Royale. Ceci dura un petit moment. Et les Révolutionnaires commençaient à faire parler d'eux. Mais il était trop tard pour faire quoi que ce soit contre eux, Elya le savait désespérément. Ses parents n'avaient pas compris l'ampleur de la menace, et elle non plus. Mais elle sentait le danger approcher petit à petit. Au bout de deux ans dans le doute, il n'y eut plus de coups de fouet. On disait que la Princesse se vengeait sur ses servantes, qu'elles étaient tellement déformées qu'elles n'osaient plus sortir. Cependant, Toyaku continuait de la voir. Le chef de la garde commençait à devenir une menace pour le peuple. Plus terrible que n'importe quoi. Mais une plus grande nouvelle s'abattit sur le Royaume tout entier. Une nouvelle qui allait pousser les Révolutionnaires à accélérer le mouvement. Une chose qui faisait pleurer Elya à présent. Le Roi était malade, et allait bientôt mourir.


Chapitre 6 : Le Roi est gravement malade, ses derniers mots sont pour sa fille

Le Roi ? Malade ? Au départ, on avait pensé à un empoisonnement, surtout sa femme, qui n'arrivait pas à le croire. Le premier docteur qui avait dit ça était à présent en prison, pour avoir tenté d'assassiner le Roi. Le second joua avec cela pour se sortir de ce pétrain, avouant qu'il était bel et bien empoisonné, et qu'il allait tout faire pour le soigner. Tout faire... Le Roi était atteint d'une maladie incurable. Les précédents gouvernants en étaient morts eux aussi. Quelque chose d'héréditaire, disaient les spécialistes. Quelque chose qui frappait toujours au même moment. Et cette fois ci, il n'y avait pas d'héritier légitime. A part Elya. Les femmes n'étaient jamais touchées (je vous rassure hein ? Elya ne va pas mourir de cette maladie). On emmena la petite fille vers son paternel, qui commençait à avoir du mal à respirer, ainsi que de violentes quintes de toux. Il était pâle, très pâle. Son âge peu avancé lui donnait tout de même de la force dans sa posture. Le Roi allait bientôt mourir, on le lui avait dit que la maladie rongeait son être très rapidement. En une semaine, il était passé de l'état frais comme un gardon à celui de mou comme une limace. Voici ce que l'Homme dit à sa fille. Sa voix était puissante, et résonnait dans toute la pièce, ainsi que dans les oreilles d'Elya, qui avait déjà un visage marué par la tristesse et l'impuissance.

« Ecoute... Ma fille. Ceci sera la première fois, je pense, que je te parle en seul à seul hors des cours. C'est bête, non ? Non, ne parle pas, laisse moi t'expliquer. Il faut que je le fasse. J'ai été idiot de faire tout cela, on a tous deux, ta mère et moi, d'avoir fait une chose comme celle ci. Toute ta vie, tu as ignoré ce qu'était la vie réelle. Nous t'avons montré des cadavres très tôt. Plus je repense à ça, plus je me dis qu'on était devenus fous à ta naissance. Devenus fous sur le fait qu'on risquait de te perdre. Mais à ton âge, nous gambadions gaiement dans les ruelles en souriant à tout le monde. C'est ainsi que j'ai connu ta mère, un professeur dans la meilleure école du Royaume. C'est comme ça que j'ai découvert l'amour. Tu n'as rien connu de tout cela, non ? Tu as connu les rires, la joie d'être avec des gens, mais avec avec le contact extérieur. J'ai commencé à le comprendre lorsque tu avais demandé de... Non s'il te plaît, ne pleure surtout pas, je n'aime pas te voir pleurer. Sois fière de moi et de qui tu es. Tu n'es pas n'importe qui ! Tu es la seule à présent à pouvoir nous sauver. Te souviens-tu de ces révolutionnaires dont tu nous avais indiqué la présence ? Oui, bien sûr. Et bien, je te crois. Il est trop tard pour cela. Mais au départ, tout cela me semblait absurde. Je pensais que tu délirais, comme lorsque tu as refusé de fouetter cette femme qui avait violenté Toyaku. Comment l'appelles-tu déjà ? To'san ? C'est ça ? J'écoutais parfois vos conversations. Je sais ce qu'il s'est passé lors de ta fuite du Palais. Tu l'avais déjà fouettée, cette femme. C'était ton premier véritable contact avec un membre du peuple, et la haine qu'ils avaient accumulé était déjà intense chez certains. Donc... voilà. Je suis désolé, ma fille, désolée de t'avoir donné un titre de monstre alors que tu n'en es pas un, je suis désolé parce que je ne me suis pas comporté comme un vrai père, désolé parce que je ne peux le constater que maintenant. Je suis désolé de ne pas l'avoir compris plus tôt, que je puisse t'aider un peu mieux. Je suis désolé pour toute ta vie, Elya. Mais pourras-tu un jour me pardonner ? Je ne le crois pas. Pour t'aider, j'ai autorisé les gardes à te laisser sortir. Je suis sûr qu'il t'aidera. Je suis sûre que tout ira mieux pour toi, je te le promets ! A présent, laisse moi dormir s'il te plaît, j'ai sommeil. »

Ce furent les derniers mots du dernier Roi de ce Royaume. Elya pleurait de tout son être. Elle ne comprenait pas pourquoi lui... Elle ne cessait de se répéter « Crétin ! Crétin ! » tout en tant du poing sur le lit du malade/mort. Les yeux de son père regardaient à présent le ciel à l'infini, épanouit, et éteint. La Princesse cria comme jamais. Elle fut tirée de là, alors qu'elle se débattait pour rester près de son père, pour l'être pour toujours. Mais son cri était aussi un signal d'assaut. En quelques secondes, Elya comprit la situation sans vraiment savoir comment. La main de l'un des garde se posa sur sa bouche pour l'empêcher de parler plus, puis on la tira en arrière. Certaines personnes étaient encore là, ligotées comme des moins que rien. Mais il n'y avait pas To'san. Pas de confident. Seulement sa mère... Et tous les autres membres du Palais. Mais que se passait-il ? Quelqu'un laa ligota fermement à un panneau, il tenait un fouet.

« C'est terminé pour vous, petite Princesse. »

Cette voix, elle la reconnaissait. Si féminine, son dos allait mieux on dirait, Sajea. De sa bouche ouverte, mais qui ne pouvait plus faire sortir un mot convenable, Elya ne put pas dire celui qu'elle voulait. Pourquoi ?


Chapitre 7 : Révolution : Le Royaume s'écroule. Elya et la Reine vont en prison

Sajea faisait doucement claquer son fouet devant le visage d'Elya. Elle voulait sa revanche, c'était sûr. La gorge sèche, la Princesse voulut s'enfuirde nouveau à toutes jambes. Mais elle ne pouvait pas, elle n'y arrivait pas, ce qui était logique sur tous point de vue. C'était terminé, avait dit la femme qu'elle avait refusé de fouetter. A côté d'elle, le Révolutionnaire qu'elle avait rencontré. Il souriait tranquillement, mais ne disait rien, comme impatient de voir la suite. Elya baissa la tête de désespoir, et vit sa mère. On l'avait déplacée. A présent, elle était vers le lieu où avaient lieux les coups de fouet. L'endroit que la jeune fille voulait oublier. Mais, il n'avait pas été détruit.

« Et bien... Je suis sûre que tout le monde va apprécier le spectacle que l'on va offrir. Le Démon se fait avoir à son propre jeu... Comme ça sonne bien ! Tu ne trouves pas ? Je suis le chef de la révolution dans le Pays. Mais le véritable chef est l'homme à côté de moi... Tu l'as déjà vu, non ? Il paraît que vous vous êtes rencontré par erreur, alors que tu essayais de fuir comme un lâche. Tu n'as pas osé me fouetter... Je me demande bien pourquoi... Tu as peur, n'est ce pas ? Très bien, on va tout installer ! »

Non... Elle ne pouvait pas faire ça... Pas ici ni maintenant ! C'était pas possible ! De nouvelles larmes coulèrent sur les joues d'Elya. Mais elle elle n'ouvrit pas la bouche cette fois ci. Du moins, pas pour le moment. Grimaçant de peur face à ces nouveaux venus, qui disaient que le plan s'était déroulé à merveille, la Princesse fut trainée jusqu'à l'extérieur. Dehors, on entendait des cris d'impatience, des cris d'envie. Le peuple voulaient tellement la voir souffrir, la contempler mourir.

« C'est pas possible... »

« Oh oui, c'est possible, Démon Elya... Tout simplement possible... Tu vas connaître l'humiliation à présent. Voire plus, tu vas être fouettée par tout le monde dans ce Royaume, alors résiste un peu s'il te plaît. D'ailleurs ! Je vais être la première à inaugurer cet événement. C'est si bon d'avoir le pouvoir, tu ne trouves pas ? Dis moi, petite Elya Tose, dernière de la famille, j'espère que tu imploreras de la pitié, car tout le monde en demande de ta part, mais je ne sais pas si tout le monde en a. Dommage, non ? »

On attacha les poignets d'Elya à un poteau, le dos mis à découvert. Le principe était simple... Chaque personne pouvait la fouetter jusqu'à ce qu'elle se lasse de cela. La journée allait être longue pour Elya, qui n'allait sûrement pas souffrir qu'une seule journée d'ailleurs. Sajea semblait avoir envie de se venger au maximum. Prendre le plus de plaisir possible. On entendit un claquement derrière la Princesse. Un fouet. Retournant sa tête, la jeune fille vit la première concourante s'amuser à tester cette arme de torture. Complètement déboussolée et effrayée, Elya tira sur ses liens, mais rien ne se produit. Le nœud était bien serré. Elle tira avec son bras droit une nouvelle fois, se débattit tant qu'elle le put. Elle ne voulait pas subir ! Elle ne voulait pas !

« S'il te plaît ! Ne faites pas ça ! Vous tous ! Arrêtez ! Arrêtez s'il vous plaît ! Je ne veux pas ! Laissez moi tranquille ! Je suis désolée pour tout ce qu'il s'est passé ! Je ne pensais pas que... Oh mon Dieu, To'san, viens me sauver s'il te plaît... J'ai besoin d'aide... Je ne veux pas être fouettée... »

« Oh ! Tu demandes déjà de l'aide ? Je ne pensais pas que tu serais si... Effrayée, petite Princesse. Qui va t'aider ? Mmmmh ? Personne je crois. Ton cher Toyaku est... Mort, ainsi que tous les gardes. C'est bête non ? D'ailleurs, on aurait du l'amener, tu ne penses pas ? Mais je pense qu'il e mérite pas cela. Il m'a aidé au moins... Il ne voulait pas que l'on m'arrête. Non, tu as de la chance, tu ne trouves pas ? Mais bon, tu fais une seule erreur, ta mère pourrait en subir les conséquences. Perdre ses deux parents le même jour, ce serait triste, non ? Elle a fait la même chose avec les miens... Je devrai me venger, tu ne trouves pas ? Quoi de mieux que de le faire avec toi ! Tu as eu peur lorsque je t'ai agrippée à la gorge ? A mon avis oui... Tellement peur que tu as du partir à pleine vitesse. Tellement peur... Que tu le ressentais encore lorsque tu es allée me fouetter. Cette peut qui t'a empêchée de me faire du mal. Tu crois que je ne l'ai pas vu ?! »

Un coup de fouet retentit, touchant la chaire d'Elya, qui hurla sous l'impact. La suite fut horrible. Chaque coup était puissant, et ils pouvaient arriver n'importe quand. Mais la Princesse subissait la vengeance du peuple en fermant les yeux. Elle avait beau prier n'importe qui, elle n'allait pas être aidée... Son dos lui faisait atrocement mal. Elle ne voulait plus de coups de fouet... Plus de ça.

« S'il vous plaît... arrêtez ! J'ai mal... Je ne veux plus. C'est tout ce que vous avez trouvé à faire ? Répondre par la violence ? Finalement, vous ne valez pas mieux que n'importe qui dans la famille. »

Tout s'arrêta. Sajea était énervée, mais venait de se faire toucher par ces mots. On entendit un claquement de mains. En face d'Elya se tenait un homme. Enfin, le Capitaine des Révolutionnaires. Il souriait tranquillement, comme s'il était fier de ce qu'il venait d'entendre.

« Bien ! Je ne savais pas que tu allais dire ça... Mais, si on fait comme tu le dis, personne ne sera content, tu ne penses pas ? C'est horrible la vie je crois. Tu paraissais gentille lorsque l'on s'est rencontré. Gentille et innocente. Je ne pensais même pas que tu étais celle que tout le monde craignait. Vraiment... Quoi ?! »

Elya venait de cracher un mollard. Un mollard rouge sang, qui alla se poser sur le visage du Chef, qui recula sous l'impact. Un rictus de rage pouvait se lire sur le visage de la jeune fille, qui tirer comme une bête sur ses liens.

« TA GUEULE ! NE DIS PLUS JAMAIS ÇA ! TU NE ME CONNAIS PAS ! ET LE PEUPLE ME CONNAIT TOUT COMME JE LE CONNAIS ! POURQUOI ? PARCE QUE MES PARENTS M'ONT PRIVEE DE MES LIBERTES ! PARCE QUE JE NE POUVAIS VOIR PERSONNE D'AUTRE QUE LES GENS DU PALAIS ! »

Sa voix perdit en force, mais les mots étaient toujours là, ainsi que l'émotion. Sa mère, de l'autre côté, essayait de se libérer, tout en regardant sa fille avec des yeux fous. Des yeux meurtriers. Elle voulait qu'elle se taise.

« Durant toute ses années, je pensais faire le bien. Durant toutes ces années, je vivais dans le mensonge. Je pensais même que l'on m'acclamait lorsque je punissais un soi disant Criminel. Vous me traitez de Démon ? Mais vous ai-je menacé de vous exécuter ? Vous ai-je dénoncer auprès des gardes ? »

« C'est simple, tu m'as dénoncée moi... »

Elya tira de nouveau sur ses liens.

« NON ! Je n'ai rie fait ! J'avais... J'avais trop peur pour le faire. Peur que To'san perde une amie, et trop peur de voir vos yeux fous. Mais il a fallu que vous veniez avec d'autres moyens... J'avais peur d'être découverte en dehors du Palais. Je n'ai vu que haine envers moi lorsque j'ai vu le peuple de mes propres yeux. De la haine pure. Ce n'est pas toi, qui m'a incitée à arrêter les châtiments. Ce n'est pas toi qui m'a effrayée le plus dans cette affaire. C'est ce monstre que tu tiens dans tes mains. Ce monstre qui a mordu nos chairs, à toi tout comme à moi. Maintenant, peux-tu me dire ce qui nous différencie ? Tes deux parents morts ? Je n'y peux rien, je ne les ai pas connus, je ne les ai sûrement jamais vus. Vous me traitez de Démon, mais vous ne me connaissez pas, vous ne savez rien de moi. Suis-je idiote ? Gentille ? Votre jugement ne porte que sur ce que je fais une fois dans ma journée. Cette graine de haine qui a germé en vous. Cette graine qu'ont dressé ces Révolutionnaires. Je savais que vous prepariez quelque chose. Personne n'a voulu me croire. Personne, à part Toyaku... Il avait entendu parler de ceux là, grâce à toi. Pas grâce à moi, mais à toi. Il disait que tu avais peur d'eux. Encore plus que moi. Es tu donc si lâche que tu préfères me frapper encore et encore ? Le Pouvoir, je vous le laisse volontiers. Je n'en veux pas. Je ne veux plus de rien, si ce n'est comprendre pourquoi... Savoir ce qu'il se passe, vivre avec les autres. Je voudrai tellement faire un retour en arrière pour pouvoir réparer mes erreurs. Mais c'est impossible. Ma mort ne fera pas revenir tes parents. Mais me fouetter vous amènera vers la folie. »

Il y eut un silence morne, puis Sajea prit la parole. Sa voix n'était plus aussi assurée qu'auparavant, et les spectateurs commencèrent à partir doucement. Elya soupira. Enfin, elle allait pouvoir être tranquille. Enfin, elle allait se sentir libre. Alors que le Princesse sentait qu'on la libérait, une voix s'éleva au dessus des autres.

« Très beau discours ! Donc ce beau Palais est à nous ? Nous allons donc le brûler ! Le pouvoir appartient au peuple. Et le peuple, a décidé de vous faire prisonnière. Bon séjour dans votre nouvelle maison : la prison ! »


Chapitre 8 : Discours en Prison, évasion mère/fille

La prison, c'était horrible. L'espace était assez vaste, et elle avait été mise dans la même salle que sa mère, qui n'avait pas hésité à lui mettre une bonne gifle. Lui demandant si elle n'avait pas honte de dire tant de bêtise. Elle ne fut même pas capable de dire un seul merci. Un seul mot qui soit assez gentil pour réconforter sa fille. Mme Tose était devenue complètement folle.

« Elya ? C'est vous ? »

La concernée tourna sa tête à la joue gauche endolorie pour y apercevoir une silhouette d'homme. Il s'était endormi dans un coin, et venait de se faire réveiller par le claquement de la baffe de la Reine sur sa fille. Il faisait nuit, mais la lumière des torches éclairait très bien la pièce, et la chauffait. L'homme s'avança doucement vers Elya... Il lui manquait quelque chose... Mais la jeune fille ne savait pas trop quoi. Quelque chose qui lui disait que Toyaku n'était plus le même. Ce fut lorsqu'elle fixa ses mains qu'elle comprit avec horreur ce qu'il s'était passé. Il avait perdu des doigts. D'un air horrifié, la Princesse se précipita dans les bras de son Prince Charmant.

« Oh ! To' san ! Que s'est il passé ? Pourquoi ? Que t'ont-ils fait ? On m'a dit qu'il ne t'était rien arrivé pourtant ! On m'a dit que tu étais juste en prison ! Alors pourquoi as-tu des doigts coupés ?! »

« Je ne sais pas... J'allais acheter un cadeau pour ton anniversaire. Tu sais, je voulais te donner un parfum, ou bien une rose. C'est beau et ça sent bon, une rose. Pourtant, ça ne se laisse pas faire avec ses épines. Tout comme toi. Je voulais que tu sois tranquille pour ton anniversaire. Même si ton père était malade, il ne fallait pas que tu perdes ton joli petit sourire... »

« TOI ! »

Mme Tose avait hurlé, surprenant tout le monde dans les différentes cellules. Les gardes se rapprochèrent de l'endroit où se situait la discussion.

« Oui ! Toyaku ! C'est à toi que je parle ! Comment as-tu osé faire sortir ma fille de la ville ! C'est intolérable ! Les gens là bas sont fous ! Ils veulent faire tomber le pouvoir ! Ils n'attendaient que ta sortie avec l'héritière ! Tu l'as laissée sortir ! Tu n'es qu'un traitre ! Moi qui avait confiance en toi ! Tout ce que nous avons fait pour notre fille, pour qu'elle soit aimée, respectée. Tout cela est tombé à l'eau par ta faute ! »

Folle... Voilà comment décrire la Reine de ce Royaume qui venait de tomber bien bas au niveau mental et hiérarchique. Elle avait trouvé quelqu'un sur qui remettre toute la faute. Mais Elya n'allait pas se laisser faire. Et elle allait lui montrer, à sa manière.

« Tais toi ! J'en ai marre de tes accusations qui ne riment à rien ! La plupart de ceux que j'ai fouetté n'ont rien fait ! Et tu continues de rester ainsi ! Tu continues de te dire que le danger rode partout autour de nous. Mais celle qui a tout fait tomber à l'eau dans ton plan, c'est toi ! Et puis, il était perdu d'avance. En allant là bas, j'ai pu comprendre que le peuple ne m'aimait pas. J'ai pu percer à jour le mensonge dans lequel on m'avait enfermée. J'ai enfin pu voir les gens du peuples tels qu'ils étaient. En colère contre la Famille Royale. D'ailleurs, tu n'es plus aussi gentille qu'avant. Que s'est-il passé ? Je n'en sais rien ! Mais je ne veux plus être ta marionnette, celle sur qui arrivent toutes les plaintes. Tu voulais qu'on me haïsse, non ? Ne me dis pas que tu voulais que je sois respectée ! Je ne l'étais pas ! On a failli me tuer par ta faute ! On a failli mourir par ta faute ! Oh Mère... tu me fais pitié en ce moment. Ta folie n'arrange en rien ton état. »

La mère hurla de rage et se jeta vers sa fille, une pierre à la main. Mais elle ne put rien faire. Un poing la frappa au creux de l'estomac, et la femme s'effondra au sol sous la douleur. Elle voulut se relever, mais elle n'arrivait plus à coordonner ses jambes et ses bras. Comment pouvait-elle devenir aussi pitoyable à ce point, Elya en eut un haut le coeur. Ses yeux se détournèrent de l'atroce spectacle de sa mère qui se roulait par terre en hurlant. Et lorsque les Révolutionnaire vinrent pour l'assommer, Elya en profita pour prendre le corps de la Reine qui avait cessé de bouger, et s'enfuit à toutes jambes. Ils n'avaient pas fermé la porte, et la Princesse n'était pas loin de la sortie... L'évasion pouvait commencer.

« Je suis désolée, mais je n'ai pas envie de rester là... »

Son dos lui faisait mal, et Toyaku ne l'avait pas suivie. Mais Elya ne voulait plus être tenue comme une marionnette, elle voulait faire ses propres choix. Elle n'avait jamais eu d'amis, à part To'san. Elle se demandait si des gens lui ressemblaient, que ce soit autant au niveau physique qu'au niveau mental. On sonna l'alerte et des Révolutionnaires coupèrent rapidement la route des deux femmes de sang Royal. On ne s'enfuit pas aussi facilement, n'est ce pas ?


Chapitre 9 : Une mort insoutenable, Elya fuit seule

Bloquée... Elya était bloquée. Entourée par les Révolutionnaires, la jeune fille savait ce qu'il allait se passer à présent : elle allait mourir. Plus tôt que prévu, mais elle allait mourir quand même. Elle le sentait très fort. Trop fort même. Sa mère sur les épaules, la Princesse se sentait petite par rapport au nombre d'adversaires, qui semblaient être heureux d'avoir une évasion. Il fallait dire que l'ennui était présent dans cet endroit. C'est pas vraiment drôle de surveiller des gens qui ne se rebellent pas, à part cette fille. Les sabres sortis, il avançaient petit à petit vers la jeune, qui fonça dans le tas. L'effet fut immédiat. Personne ne s'attendait à ça, mais la Princesse était puissante. Elle réussit à passer, le corps de sa mère sur les épaules. Descendant les escaliers quatre par quatre, elle se fit courser par tous les Révolutionnaires qui la voyaient. C'était un gros problème que cela. Mais très vite la porte de sortie se fit voir. Déverrouillée, elle était facile à ouvrir, et munie d'un système de poignée ronde, à tourner vers la gauche. Celle ci explosa lorsqu'Elya y mit un coup de pied. On ne fait pas dans la dentelle avec elle. Elle courut encore, encore, jusqu'à la plage; Elle courut pour sa survie. La Princesse entendit un coup de feu, et le corps de sa mère se détendit, inerte. D'un geste de désespoir, elle se jeta en avant une nouvelle fois, mais elle fut plaquée au sol , le corps sans tête de la Reine roula le long du terrain, qui était une plage de sale fin. Se débattant comme une lionne, elle réussit à en assommer un, et mettre un coquard au second.

« Allons allons, calmez vous Princesse. Vous n'avez pas de sentiments pour votre mère ? Curieux pour une fille qui a fait un si beau discours... Vous me paraissez bien étrange, demoiselle. Vous préfériez votre chambre ? C'est dommage, elle n'existe plus ! Comment vas-tu faire pour t'en sortir ma petite ? Tu as épuisé ta dernière chance... Tu vas mourir ! Feu ! »

Aucun bruit, rien... Ce qui surprit le chef des Révolutionnaire. Pourtant, il avait bel et bien donner l'ordre de tirer... Une ombre se forma derrière lui, et Toyaku apparut, une vilaine plaie au niveau de l'abdomen. Elya sentit les larmes couler le long de ses joues. To'san ne pouvait pas être blessé, il est immortel ! Tiens, il sourit même. Il va bien, c'est ça, juste une trace de ketchup sur son torse musclé.

« Désolée Princesse, j'ai fait de mon mieux pour t'aider... Mais tu aurais pu me prévenir quand même... »

Elya sentit le désespoir l'envahir. Non ! C'était pas possible ! Il assomma le chef d'un geste, puis s'agenouilla devant la jeune fille pour la contempler.

« Tu ne peux pas perdre comme ça ! Tu vas survivre ! Dis moi que tu vas survivre s'il te plaît ! Je suis sortie toute seule parce que je ne voulais pas te voir souffrir, ou bien essayer de me défendre. Je voulais me débrouiller seule, pour une fois, je voulais m'enfuir le plus loin possible du Royaume. J'ai peur To'san ! Peur de perdre une autre personne telle que mon père. Peur de perdre la seule personne en qui j'ai confiance. »

« Ne t'inquiètes pas Princesse... Je serai toujours là pour toi. Tu te souviens quand on s'est rencontré ? Tu me traitais d'Homme du Peuple, et tu avais tout fait pour me mettre en prison, parce que tu me trouvais trop dur. Ta mère était d'accord pour le faire, mais Otonashi avait toujours le dernier mot sur elle. A part dans certains cas. Elle était folle depuis le début. Tu l'as découvert trop tard, hélas. Bien... Je ne peux rien faire à présent. Pars si tu veux. Il y a des barques sur la rive, tu pourras t'échapper avec l'une d'entre elle. Mais finalement, j'ai réussi à te sauver, non ? C'est une bonne chose pour toi comme pour moi. »

Il soupira un long moment, puis reprit avec une voix gaie, et une regard heureux. Puis l'armoire à glace s'écroula pour la première fois sous les yeux remplis de larmes de la Princesse.

« Allez... Je vais dormir maintenant. »

« Non ! Ne t'endors pas s'il te plaît To'san ! S'il te plaît ne me laisse pas seule ! Je ne veux pas te perdre ! To'san ! Réponds moi s'il te plaît ! Relève toi maintenant ! Je te l'ordonne ! Allez To'san, c'est pas drôle ! TO'SAN ! TO'SAN ! »

Blanche... La couleur de la peau de Toyaku. Mouillé, le visage d'Elya. Un cri déchira le silence de mort.

Elya se releva et prit le col du chef Révolutionnaire par le col. Celui ci fut réveillé d'un coup, et regarda la Princesse avec un air amusé, comme si elle n'était qu'un vulgaire insecte.

« Tiens tiens... Une nouvelle mort ? Je suis si... »

« TOI ! TU VAS CREVER ! »

Le bras droit de la jeune fille fit un mouvement violent vers ce même côté, et le corps de l'homme partie à pleine vitesse contre un mur. Sonné, il ne pouvait plus rien dire, mais garder toujours son air narquois. Ce petit air de supériorité qui augmentait la rage de la Princesse.

« C'est étrange, venant de la par... »

Elle le saisit à la gorge et le souleva en l'air. Elle avait de la force la petite.

« TA GUEULE ! COMMENT AS TU OSE FAIRE ÇA ! TOI ET TON EQUIPAGE ! POURQUOI !? »

Ne pouvant plus parler ni respirer, le chef des Révolutionnaires rougit jusqu'à en devenir violet, puis s'évanouit. Ceci fait, Elya le jeta au loin, pour qu'il ne revienne plus jamais. Elle le jeta par dessus une falaise, dans l'océan. Dans un endroit à donner en pâture aux monstres marins. La Princesse déchue tomba à genoux au sol, pleurant toutes les larmes de son corps. Elle était seule à présent... Toute seule ! Minuit sonna... Bon anniversaire Elya !

« Ne bouge plus Princesse ! Tu es morte maintenant ! Tout le monde va oublier la famille Royale Tose. Personne ne va connaître ton nom, petite ! »

Un survivant... Il y en avait même dix. Dix hommes et femmes avec des épées. Et Elya était exténuée. Regardant avec dégout tous ses ennemis, elle fut surprise de voir une ombre frapper tout le monde avec ce que l'on pourrait qualifier de bâton. Mais cette silhouette humaine fut rapidement maîtrisée par les dix personnes expérimentées. Enfin, c'est ce qu'on pourrait croire. Alors qu'ils allaient exécuter ce traître, ou ce sauveur masqué par le noir, trois hommes tombèrent au sols, puis quatre, puis dix. Elya décida de se rapprocher des cadavres en titubant. Elle n'y croyait pas ses yeux. Un serpent immense, un Anaconda, s'enroula autour de ses jambes et se transforma de nouveau en fouet. Mais... Quand avait-il disparu ? C'est étrange...

« Alors, c'est pour ça que vous achetiez autant de viande ? Je pensais que c'était toi qui les mangeais... J'ai eu tort... J'en suis désolée. Mais j'ai pris cette décision trop tard pour toi. Pas pour le pays. D'ailleurs, les villageois m'ont nommée nouvelle chef du Royaume. Mais je ne veux pas d'un titre comme Reine ou autre chose... Donc j'ai décidé de créer une Assemblée. Tout le monde te refuses dans le pays, à part moi. Tu ne peux pas en faire partie, désolée. »

Elya émit un petit rire, un rire sincère malgré tant de tristesse et de colère. Elle sourit à son sauveur et se rapprocha de lui. Enfin, elle.

« Ça tombe bien... Je pars prendre la mer. Si des Révolutionnaires mettent une telle pagaille dans le monde, il vaudrait mieux les arrêter. Mais j'aurai quand même refusé, hein ? Sajea ? Et je dois l'avouer..; Les coups de fouet, ça fait mal. Offre une belle tombe à To'san, il la mérite. On m'a dit que mes parents étaient de bons dirigeants avant ma naissance... Je n'apporte peut-être que la folie dans ce pays... La folie alors que je deviens humaine. »

La Princesse partit en direction des barques. Dans le noir, elle pouvait voir l'océan briller de mille feu. Son coeur battait la chamade, et elle accentua son sourire. To'san avait encore raison. Elle n'était pas seule du tout. La Princesse fixa le sol, son ancienne Terre, qui était toujours sienne, puis elle tourna la tête vers Sajea, qui regardait le ciel. Elya en fit de même. Deux étoiles filantes passèrent, l'un à côté de l'autre et en parallèle.

« Vous êtes toujours là... »
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Elya Tose
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MessageSujet: Re: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptySam 21 Aoû 2010 - 18:13

Bon, je up ! J'ai terminé !
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Jaag Akanawa
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MessageSujet: Re: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptyLun 23 Aoû 2010 - 19:25

Validé ! =) attends une seconde validation ^^
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Kurogane Shinobu
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MessageSujet: Re: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptyLun 23 Aoû 2010 - 20:03

Kuro valide. Mais avant de classer la fiche Kuro aimerait savoir si Elya san veut un fruit ou pas.
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Elya Tose
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MessageSujet: Re: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptyLun 23 Aoû 2010 - 20:10

Oui oui, enfin, pas mon perso, mon fouet, le Hebi Hebi No mi modèle Anaconda
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Cyanure
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MessageSujet: Re: Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!]   Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] EmptyLun 23 Aoû 2010 - 20:16

Euh... Une chasseuse de prime se présente, Elya Tose.[Terminée !!!] Valida10

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