Le croque-mitaine se présente [Nouille ! Ici ! Validation !]

NOM : Arhiman

PRENOM : Baal Faust

AGE : 36 ans

RACE : Humain

CAMP : Pirate

SURNOM : Le croque-mitaine

AMBITION : Détruire le monde et le reconstruire à son image

PSYCHOLOGIE : Chaos mauvais

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Son Travail

Depuis des années notre détestable Baal exerce le difficile métier de chimiste. Comment utilise-t-il ses compétences? C'est assez simple. Il invente des drogues aux effets diverses servant aussi bien à gagner de l'argent qu'à augmenter les capacités d'un individu lors d'un combat. Il crée de nouvelles poudres aux capacités parfois incroyables, permettant de modifier grandement le potentiel des armes modernes. Ce petit savant fou fabrique aussi divers produits parfois instables, aussi bien pour faire des bombes que pour boire un petit coup. Pour finir il essaie depuis des années de mettre au point une arme chimique très puissante et efficace... Il N'est pas prêt de réussir...

Sa façon de tuer

Suite à certaines circonstances que l'on va dire douteuses... Baal a avalé un fruit du démon. Ce qui a eu pour conséquence de le changer profondément. En effet le Doku Doku no Mie lui permet de créer à volonté des poisons terrifiants à condition de se nourrir de façon correcte. Il ne faut jamais oublier de bien manger ses cinq poisons et acides par jour.

Suite à ses pérégrinations Baal a aussi réussit à fabriquer des armes à feux assez avancées dans leurs genres qu'ils utilisent afin d'éviter d'ébruiter ses pouvoirs.

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Le croque-mitaine se présente [Nouille ! Ici ! Validation !] Jackalhandgun

NOM : Jealous

TYPE : Semi-automatique

CALIBRE : 15 Mm

MAGASIN : 15 balles

LONGUEUR : 39 Cm

POIDS : 25 Kg

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Le croque-mitaine se présente [Nouille ! Ici ! Validation !] 454casullzd3

NOM : EX-Wife

TYPE : Semi-automatique

CALIBRE : 13 Mm

MAGASIN : 23 balles

LONGUEUR : 37 Cm

POIDS : 27 Kg

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Son Corps

Si la mer des âmes existe et que l'éternelle réincarnation est la loi absolue de ce monde... Alors cet être pourrait-être la nouvelle existence d'un monstre. Sa façon de se mouvoir, sa façon de regarder... Notre instinct nous dicte qu'il est dangereux, qu'il dégage une aura de prédateur à l'affût comme perpétuellement poursuivit. Son regard froid vous inspire et vous fascine comme si vous étiez attiré par la sombre lumière qu'il dégage, de par son cœur si humain, de par son manque de moral certain et de par sa froide logique. Tout se concentre dans son regard. Oui son regard... Son regard si unique et changeant, même si il semble inhumain, il en incarne au contraire l'essence même de par sa volonté si visible. C'est aussi par son regard que l'on ressent son âme lorsqu'elle se déchire, ou qu'il remet en question tout ce qui est. Dans ces moments là ses yeux prennent une teinte brillante, son visage souffre et implore, car une étrange folie le dévore, devant cette œuvre si imparfaite, qu'est son monde. Et lorsqu'une étrange tristesse, ou lorsque le désir l'habite, ses iris rouges prennent une teinte glacé et scintillante, la profondeur de la tristesse et du désespoir qu'il ressent, noie dans une mer d'incompréhension ceux qui ont l'étrange malheur de croiser sa route. Ce regard si beau et si intense dépend aussi de la magnifique couleur de ses yeux. Parfois il peut se faire tentateur, ou bien juste étrange épicurien aux vices inconnus, et alors ses yeux rougeoient. Son aura devient étrangement malsaine, alors que ses pupilles brillent d'une lumière démoniaque. Il devient semblable au serpent, oui au serpent qui était juste un démon en vérité. Après tout c'est un être profondément dépravé par son nihilisme.

Pourtant cet homme possède quelque chose de noble, une sorte de grâce presque démoniaque, et une sorte d'infinie sagesse l'aidant à vaincre, ce qui combinait à son sens d'analyse, et à ses connaissances en font un adversaire terrifiant dans sa façon d'agir; Il est froid et méticuleux, chacun de ses mouvements est calculé afin de porter le maximum de blessures à son adversaire. Pourtant cela semble aberrant tant il aime la souffrance et la peur, tant il cherche à tout détruire, tant il semble emporté par le combat.... Cependant, la chose la plus grandiose chez lui, apparaît en ajoutant son regard à ses yeux, on peut sentir quelque chose de fort habiter cet homme. C'était comme si, il était un fier et puissant roi, un de ces despotes éclairés puis déchus par la folie du pacte avec le diable, autant adulés que craints durant des générations et des générations. Ses traits si souvent figés, dans une expression entre le stoïcisme et l'ironie, lui donnent un visage fier, un visage vraiment digne des grands empereur passés. Ses hautes et fière pommettes, ses joues émaciés, et son visage quelques peu étroit, lui donne un air de noble supérieur, et son nez presque aquilin un air d'aigle, le maître des cieux. Il possède aussi de délicats sourcils, qui donne à ses expressions un air presque divin, oui car c'est cette accumulation de petit détails qui donne cette étrange impression de beauté, de to kalon comme le dirait si bien Voltaire. Après tout il existe une infinité de beautés, mais il donne l'impression d'être différent, plus sauvage. Ses cheveux qui ne sont jamais coiffés, sont pourtant étrangement lisses et soyeux, épais et doux, tandis que leur odeur est toujours agréable. Ses oreilles, ne sont ni trop grandes, ni trop petites.

Ainsi est-il de visage, un être aussi angélique que déchu, une créature dont la folle beauté ensorcelle et dont la sublime âme a un corps à son image. Le reste de son corps marque un certain contraste avec son visage. Cette partie de lui-même, froide à l'allure ouvertement mauvaise, est en opposition avec la subtilité de la malignité de son visage. Son corps est maigre et son teint laiteux presque maladif. On dirait presque qu'il ressemble à un vautour, de par son allure, de par sa présence... Sans pour autant paraître irrésistible, il possède son propre charisme, et c'est ce visage si viril, tout autant qu'ingénu et si différent, qui lui donne presque autant de prestance, que cette impression si puissante de puissance qu'il dégage, si incroyable qu'elle nous force le respect. Son nez aquilin renforce ses expressions, c'est comme si tout son être devait vous intimider, vous repousser, mais quelque part la nature a vraiment bien fait les choses. Ses cheveux en bataille de couleur ténèbres ne sont là, que, comme pour tout le reste, renforcer les impressions dégagées de ce grand seigneur méchant homme, cette crinière lui donne un air étrange quelque part, un air de fou maître de lui-même. Après tout il a toujours vécu en se battant contre la mort, car après tout il devait sauver son existence afin de porter un jugement sur l'humanité, c'était son but, son objectif durant sa course à la richesse... Au pouvoir. Son histoire est très jeune, mais durant des millénaires rien n'a vraiment changé pour lui. L'humanité semble être restée aussi stupide et des créatures aux pouvoirs surnaturelles s'affrontent. Le sens de sa quête a donc disparu d'elle-même au bout d'un certain temps, même si il a continué à vouloir exister comme une erreur de l'existence. Son esprit est donc mystérieux et imprévisible quelque part... Mais mauvais jusqu'aux fibres de son être.

Son Esprit

C'est un être complexe. Ce qu'il est est réellement et ce qu'il semble jouer sont deux choses aussi proches qu'éloignées. Après tout la vie n'est-elle pas une vaste pièce, où chacun interprète un rôle? Baal adapte donc son personage selon les situations et ce afin de satisfaire aussi bien sa fierté que d'assumer son rang. Il faut bien le dire, il est des plus étranges... Il ne sourit presque jamais de façon « normale » on dirait plutôt une grimace ou l'expression d'une terrible joie macabre. A chaque instant de sa vie on a l'impression qu'il ne cesse de rester mauvais... Comment fait-il pour tenir, il semble presque être une de ces statues de monstre qui respire un vice contagieux. Cela ne le gêne pourtant pas pour mentir et manipuler les autres, après tout Il sait quand faire semblant d'esquisser une attitude normale pour tromper les hommes. Il connait la nature humaine, il se connait lui-même et sait se contrôler un tant soit peu malgré ses pensés et les apparences. C'est un meneur d'hommes, rien de plus rien de moins. Ce n'est pas bien extraordinaire de savoir d'instinct ce qu'il faut dire ou faire. Si cela va de pair avec quelques capacités et une certaine intelligence, alors on peut appeler une personne ayant tout cela un chef.

En vérité il est solitaire et désabusé. Telle est la première phrase qui me vint à l'esprit pour décrire cet être qui est si extraordinaire. Pour lui le temps passe très différemment du notre, il est lent, terriblement lent, horriblement lent. Chaque heure, chaque minute, chaque seconde sont pour lui une jouissance sans fin. Normalement on penserait que le temps passerait terriblement vite, mais ce n'est pas le cas. Imaginez-vous à sa place, il a tout perdu, vraiment tout perdu jusqu'à ses faibles illusions. Que lui restait-il pour se construire? Rien si ce n'est ses pensés sombres et ses caprices. Il a décidé depuis longtemps de vivre comme il le souhaitait sans pour autant tenir compte d'autrui. Comment-a-t-il fait seul? Ce serait véritablement horrible pour la plupart d'entre nous. Pourtant Baal a résisté et s'est mis a aimé cette solitude forcée, il s'est mit à se complaire dans sa vie de misanthrope où il médita longuement sur les hommes. Il est pour lui impossible d'oublier son passé, étrangement il reste profondément ancré en lui, comme une tache indélébile lui rappelant le s vérités cachées d'autrefois, le faisant encore plus réfléchir sur ce monde. Ce qui en découla est un certain mépris pour une humanité hypocrite qui risque à chaque instant de s'auto-détruire. Face à ce fléau il est devenu un être indifférent aux multiples facettes, un être dangereux qui vit égoïstement. Il n'est guidé que par ses désirs étranges Toute son existence est tournée vers cet objectif... Le plaisir... Peut-être n'est-ce qu'un simple caprice, qui sait? Dans tout les cas il possède une froide intelligence dont il se sert pour son profit personnel. C'est comme si tout lui indifféré à part son bien-être, il n'a aucuns scrupules, car quelque soit son choix il l'assumera pleinement, et ne cherchera pas le pardon. Il sait que ce qui est fait est fait, que le pardon est une sorte d'excuse, une auto-justification, un moyen sale et dégoûtant de fuir son passé. C'est pourquoi, il ressent la haine sans pour autant la laisser le dominer, car même si il assouvira ce besoin de vengeance, cela ne le détruira pas, car il y aura un après pour lui. C'est tout. C'est un être qui ne cherche que la concupiscence, un être dont l'existence est voué à son plus grand vice, le pouvoir. Mais pourquoi cette ambition? Probablement à cause de ses réflexions nés de son intelligence. Il cherchait la logique du monde, et tenta par la vision des hommes d'interpréter le pourquoi de la vie, puis il le fit avec ses yeux. Il se rendit compte de l'aveuglement, de la vanité et de la peur des hommes. Le libre-arbitre n'était dicté que par l'aléatoire, la mort était la fin de tout et rien ne restait comme témoin de notre existence... C'est triste, mais le monde prend donc fin avec toi... Va de l'avant et profite de ta seule existence. N'oublie jamais "memento mori"

C'est pourquoi il se suffit à lui-même, il ne se complait que dans les vices terrestres, et dans la douce violence, parmi les hommes, ces singes stupide qui bafouent le monde. Malgré toute son intelligence et son amoralité, il reste humain. C'est pourquoi sa curiosité maladive est sans contestes son plus grand défaut, il est pourtant avide de nouvelles expériences, de nouveaux plaisirs et de nouvelles connaissances. Il est peut-être gourmand, trop gourmand, ce qui pourra un jour lui jouer des tours. Mais bon, sa froide intelligence et son comportement impitoyable, font de lui, un être qui est avant tout réfléchi et rationnel. Il semble cumulé les défauts, n'est-ce pas? Et des pires d'entre eux, il pourrait presque représenter les 7 péchés capitaux à lui tout seul, si il n'était pas le pire des affronts fait à Dieu, la curiosité et l'ambition d'être plus. Il incarne une sorte d'espoir, celle d'une vie meilleure, d'un avenir radieux, d'un chagrin qui n'a plus lieu d'être. Ce qui l'amuse le plus, c'est l'habileté qu'ont les humains à se mentir et de mentir aux autres, oui ils ont construit leur monde sur l'hypocrisie. Tout le monde dit qu'il faut-être gentil, qu'il faut s'aider, mais combien d'entre eux applique cela? Peu, trop peu, ce monde est corrompu, non pas à cause du savoir ou du pouvoir ou bien encore du mal, mais à cause des hommes. Ils ne savent pas voir au-de-là de leur intérêt à court terme. C'est terrifiant, mais en même temps tellement banal. Ainsi, à cause cette défaillance inhérente même à sa personne, notre cher héros s'est mit à penser étrangement. face à ce nihilisme oppressant, il compte créer un monde parfait, un monde où l'homme utiliserait toute sa force afin de vivre comme il le désire. Lui, il trônerait fièrement prenant ce qu'il désire, violant et tuant sans cesses. Quelque soit la manière de créer ce monde ou son fonctionnement, il s'en fiche royalement. Ce qui l'intéresse c'est sa réalisation. Voyons voir ce qu'il pense et ce que nous pensons de lui. Généralement on le prend pour un déviant, un homme sans foi, ni lois... C'est tout à fait vrai. Si on lisait son esprit on y verrait un amalgame de pensés tout aussi inutiles que folles et un chaos permanent. Pourtant de ce chaos peut naître le génie. La preuve en est avec cette description psychologique très complète... Ou tout du moins permettant d'apréhender le personnage... J'espère...

Changeons de sujet et parlons un peu de ses qualités, si bien caché au fond de lui, il n'est pas franc c'est une certitude, c'est tout le contraire, il a l'habitude de créer une toile de demi-vérités de demi-mensonges pour piéger ses victimes. L'un de ses très rares qualités, est le fait qu'il s'assume pleinement, il ne pleure pas pour rien. Et je pense qu'il aussi l'un des rares êtres à ne pas être une marionnette du péché ou du passé, il est libre et ressent toute la gamme d'émotion des humains. Ce qui est triste en lui c'est ce demi-défaut demi-qualité nommé pragmatisme et qui est accompagné des adjectifs désabusé et cynique. Sincèrement je vous plains, oui je plains ceux qui seront confronté à cette personne, dont la pauvreté de qualité et son sombre cœur font qu'il est impitoyable. Il ne reste pas un seul espoir. Le pire reste encore cette humour à moitié noir à moitié stupide, et ce visage doux qu'il a l'habitude de prendre avec les gens pour les tromper... Oui finalement, avec le temps il s'est totalement déshumanisé.

Son Histoire

Vous voulez connaître mon histoire? Tsss! Encore des gêneurs à tuer. Je me sens d'humeur magnanime ce soir, je vais vous raconter mon histoire avant de vous exécuter sommairement. Mon histoire commence sur un royaume si petit que l'on ne le mettait sur aucunes cartes. C'est pas glorieux, mais bon voilà. Ne me demandez pas pourquoi, mais il était extrêmement riche. Vous voulez de vraies explications? Bruit de détonation. Vous les aurez enfin pour les survivants. Cette île était située vers le centre de North Blue et s'était rapidement spécialisée dans le commerce. Ainsi, ce pays avait très rapidement prospéré. Vous êtes content? Tant mieux, j'ai pas besoin de vous faire un second trou de balle tout de suite. Donc, donc... Voilà, je suis né là-bas. Rien d'original jusque là, sauf que j'étais né dans les bas-quartiers de la ville. Je peux vous dire c'était un endroit vraiment sympa puant le cadavre et l'urine. Je n'ai jamais connu mes parents. Fait semblant de verser une larme. Ce devait-être un honorable membre d'un gang local qui s'était payé du bon temps avec une prostitué junkie. Des gens bien sans doutes. Fait à nouveau semblant de verser une larme. Quoiqu'il en soit on me laissa à la porte d'un quartier riche. Un homme obèse au regard vicieux qui passait par là décida de me prendre pour fils... C'était bien ma veine... Ce qui se passa ensuite est bien barbant à raconter. Le vieux m'éleva et m'envoya à l'école, ce qui est une sorte de prison pour mômes, où j'ai bien faillit devenir plus d'une fois fou. Quoiqu'il en soit j'en ressortis avec un diplôme et tout le tralala habituel. J'espère que vous comprenez le pourquoi de cette ellipse. Vous la comprenez, n'est-ce pas? Je n'allais tout de même pas narrer de telles inepties. Même si j'ai quelques bons souvenirs, comme la fois où j'ai arraché l'oreille du gros Jack. Je m'e, souviens comme si c'était il y a moins de vingt ans.

Le gros Jack était la brute de l'école, pas très intelligente, mais aussi large qu'une catcheuse du nouveau monde nourrie aux anabolisants. Pourquoi cette comparaison? Disons que le gros Jack était une fille, enfin plutôt un homme. Ce ne peut pas être possible de faire près d'un mètre quatre-vingt dix-huit, pour près d'un mètre cinquante de large et de dire encore, que l'on est une femme. Elle me piquait tout le temps mon flan à la cantine, s'asseyait sur moi en cours, me fracassait régulièrement le crâne et elle à même essayé de me violer... Deux fois... Et puis une troisième... C'était dans un coin sombre et sale de l'établissement. Un lieu où les cafards avaient prospéré en grand nombre... Un lieu ignoble qui n'avait pas été nettoyé depuis les fondations... Ce lieu terrifiant se nommait W.C. Autrement dit: Waterloo Catastrophique. Elle m'y avait coincé. Je tentais vainement de la fuir. Je courais aussi vite que je pouvais. Il y eut alors un coup bas. Près de la moitié des élèves me poussèrent vers elle. Elle m'attrapa et ce fut presque la fin pour moi. Elle me prit violemment et m'emmena en enfer. Une fois là-bas elle tenta de m'embrasser. Je sentais ma fin arrivé et, tel un animal blessé à mort, je fis un geste désespéré. Je m'emparais de son oreille avec mes dents et l'arrachai violemment. C'est pourquoi elle ne peut plus porter de lunettes encore aujourd'hui. Le point positif c'est qu'elle me relâcha. Je pus m'enfuir et prendre mon diplôme. Oui c'était le jour de la remise des diplômes, c'est pourquoi on ne me renvoya pas de l'établissement, j'étais partis bien avant. Pourquoi on ne m'a pas punit? Disons que le gros Jack fut tellement horrifiée, qu'elle n'osa jamais plus de me nuire. C'était le bon temps. Même si j'aurais préféré éviter les multiples traumatismes que j'ai subit. Après on s'étonne que je sois cinglé, non mais je vous jure.

Qu'est-ce que je fis ensuite déjà? C'est vrai, le petit gros qui m'élevait me forma à la chimie. Que ce soit fabriquer des bombes ou des drogues, j'ai tout apprit de lui et de ses bouquins. C'était bien plus amusant et utile que l'école, il aurait put commencer par là. Vous comprenez enfin que si il était riche et avait pleins de servantes esclaves sexys, c'était à cause du fait qu'il était l'un des plus grands cerveaux criminels de l'île. Il avait besoin d'un assistant vraiment fiable. C'est pourquoi il éleva durement durant seize ans un gosse. Cependant depuis quelques années la marine était disons... Collante... Après la guerre civile où nous la royaume n'avait rien fait. Lle gouvernement mondial s'était mis en tête de faire disparaître nos petits commerces traditionnels. Comme le marchand de grenades, ou le livreur de boulettes sans licence. Quoiqu'il en soit un jour, alors que j'allais sur une autre île pour une livraison spéciale, j'ai en effet été une mule à une époque, la marine a débarqué et a tué le vieux. Résultat, à moins de vingt ans je me retrouvais avec des millions de berrys, des dizaines d'esclaves et plusieurs résidences. Jusqu'à ce que ces sales pourris viennent piquer tout mon pognon. Ils disaient que c'était illégal. Tout aussi illégal que de voler l'argent d'un citoyen honnête! Au final, je me retrouvai dans un trois pièces dans le coin le moins riche de la ville. En gros je louais une maison avec jardin dans un bidonville. C'était la déchéance totale. Heureusement je pus négocier avec la faune locale. En effet je rejoignis un gang comme n'importe lequel des gars de mon âge de ce quartier. On se faisait la guerre de façon stupide et inefficace depuis des années. Il était temps de changer ces échanges de coups de feux en véritable bain de sang. Pour cela, rien de bien compliqué, il fallait de l'argent. Je réussis à convaincre les gars de me trouver du matériel pour faire un peu de ma drogue spéciale qui est très efficace. Les gens y deviennent très vite dépendants et les effets secondaires sont disons... Tolérables... Grâce à ce marché nous pûmes entrer dans la compétition. Nous achetâmes de nouveaux membres, des armes et des policiers. Après quelques mois le bidonville était enfin à nous. Il faut bien le dire en grande partie grâce à moi. C'est pourquoi la pègre locale m'engagea. Je remplaçai le vieux, je comptais donc m'en mettre plein les poches. Le mieux dans ce travail était que je ne pouvais pas être exposé au danger. Moi on me cachait et on me payait royalement. Après qu'ils inondent le marché de North Blue avec mes produit, j'en avais rien à faire. En effet j'avais enfin mes esclaves sexys et tout ce que je voulais. Une fois que j'aurais eu assez d'argent, je comptais adopter un môme, le mettre à la place et me tirer vite fait... Ce qui n'est pas arrivé à cause de ces salops. La marine s'est rappliquée a tout dézingué et j'ai du m'enfuir. Cette fois-ci j'ai encore été un peu court, mais rien a carré. Je n'aime pas raconter la routine, c'est ennuyeux à mourir, regardez. Nouvelle détonation. Vous voyez? Acquiescement général

Il n'y a rien de plus terrible que l'ennuie, si ce n'est les ennuis. Je me suis retrouvé avec des dizaines de marine aux fesses. Il n'y avait pas d'autre solutions que de partir très loin, dans un endroit où je ne pourrais pas être reconnu. Je n'avais pas le choix... Je partis pour un lieu glacial... Le royaume de Bulgemore, qui est un lieu réputé pour ses avancés scientifiques. Pourquoi aller là-bas? Je n'allais tout de même pas ne rien faire durant les quelques années, où je devrais me terrer. Pour me venger du monde, je devais déjà m'améliorer. Je comptais bien développer une puissante arme de destruction massive pour détruire les marines, parce que je les aime pas. A ces fins, je réussis à partir avec une bonne partie de ma fortune sur cette île de légende. Une fois là-bas je me fis faire des faux-papiers et je m'achetai une demeure avec des domestiques. Après quoi je me mis à lire, à lire et à lire. Oui, je devais combler mon retard en matière de connaissances... Je n'avais pas le choix. C'est seulement en faisant cela que je pus réfléchir à comment me venger. Les marines étaient plus forts, plus riches et plus nombreux. Je savais ce qu'il me fallait; une arme! Rire dans l'assistance à cause de l'étrange façon de parler lors de la dernière phrase... Suivit d'un hurlement de souffrance et d'un craquement sinistre. Quelqu'un d'autre a envie de rigoler? Très bien. Pour arriver à créer une arme correcte je dus longtemps réfléchir à ce que je devrais faire. J'ai trouvé une réponse dans les arts martiaux. Cependant je ne les appris pas tout de suite. Il me fallait d'abord développer un nouveau système d'arme de poing. Actuellement, on utilisait généralement de la poudre et des balles que l'on introduisait dans le canon. Le résultat étant que l'on ne pouvait tirer qu'un seul coup avant de devoir recharger péniblement. Je méditai longuement la question et j'eus une révélation en mangeant une boîte d'haricots à la sauce tomate. Ce jour là mes esclaves étaient en congé avortement. Donc je dus me nourrir seul... Avec des boîtes de conserves... Alors que je mangeais avec une cuillère à soupe, je me demandais pourquoi on conservait ainsi la nourriture. Elles étaient prêtes à l'emploie dès l'ouverture... Le saint-esprit me révéla la marche à suivre. Si on avait du mal à recharger le poudre et les balles, le plus simple était de combiner les deux. En plus cela réduisait largement les problèmes d'obstruction liés à la poudre. Pour cela il fallait imaginer quelque chose d'efficace pour les contenir et tirer. Je regardai alors mes conserves. Je pris donc une forme cylindrique pour faire des munitions. Après quoi je réussis à créer un système prenant appuie sur le recule qu'apportait le tir pour éjecter la culasse vide. Après quoi je mis au point des magasins simples d'utilisation. Il ne manquait plus qu'une poudre suffisamment puissante et des métaux assez résistants. J'avais besoin de composants... Je pris donc mes boîtes de conserves vides en aluminium pour créer un alliage avec d'autre métaux. Je réussis à créer des pistolets assez lourds tout de même, malgré la contradiction de l'aluminium. C'était parfait, j'adorais cette sensation de toute puissance en tenant ces porteurs de mort... Même si j'arrivais pas tellement à les porter. Nouveau rire mal retenu et nouveau meurtre avec un Baal recouvert de sang

DONC! Il fallait que je trouve un moyen pour perfectionner mon corps. Au début je tentais des expériences sur moi-même... Il n'y eut rien de concluant et presque aucunes séquelles. Je ne trouvai pourtant pas de quoi me perfectionner. Malgré mes séances de musculation, je n'arrivais pas encore à pouvoir tirer longuement avec ces fers à repasser. C'est alors que. Bruit de sirène et d'un Den Den Mushi. J'entendis la fameuse phrase: « Rendez-vous! Vous êtes cernés! » Il n'y avait rien de bien original. Cependant ces salops me forçaient à tout perdre à nouveau. Je réunis tout mon argent et mes recherches dans une malle. Je mis ma tenue spéciale grand nord et mes skis. Après quoi je descendis la piste comme un professionnel surentrainé. Je slalomais entre les marines qui ne pouvaient pas me viser. J'avais une furieuse envi de les flinguer, mais le recul m'aurait trop ralentie à mon goût. Quoi?! Il me poursuivaient en motoneige? Je n'avais aucunes chances, à moins que... Une forêt, c'était trop beau pour être vrai. Je fonçais dedans. Ce fut alors la course du siècle Patrick. L'otage nommé Patrick ne sait pas quoi répondre. Alors que je dévalais avec grâce et élégance un hors-piste extrêmement difficile, les motoneiges grondaient derrière moi. C'est alors que moi, le wonderful man, sortis un pistolet de ma veste et laissai tomber ses bâtons. Il y avait un ennemi sur la gauche, je le descendis en manquant de me prendre un arbre situé non loin sur le coté. Il y en avait d'autres... La seule solution était que je tire de deux cotés en même temps. C'est ainsi que le beautiful sportmen, que je suis, se mit à tirer de façon frénétique entre les arbres une salve de vingt balles et cela messieurs dames c'est du grand art. A vous les studios Patrick. Mort de PPDA Après cette course d'anthologie, je pus partir de l'île en direction d'une autre où j'avais déjà des réservations pour devenir un vrai homme. C'était... L'île du Karaté! Nouvel accent foireux dans le style japonais cette fois... Attention suite à d'étranges traitements reçus de mes maîtres je ne parlerai d'eux que durant cette histoire et d'une façon sérieuse, sans tuer personnes. Soulagement général.

Je ne souhaitais qu'apprendre à devenir plus fort. . Je pris donc pied dans le lieu le plus extraordinaire pour devenir un maître en art martiaux. On m'accepta là-bas, et au vu de mon potentiel cinq maîtres voulurent m'enseigner. J'acceptai avec humilité cet incroyable destiné. Ils me dirent où je devais me rendre, avant de disparaître. Des serviteurs de ces maîtres m'amenèrent sans autres bagages qu'un simple kimono devant un gigantesque escalier. Il était alors au pied de la montagne, et ces marches innombrables allaient me conduire à futurs mes maîtres. Je me mis donc à marcher... Une à une, je montai les hautes marches grises d'un lieu à l'apparence millénaire. La pente était raide, il n'y avait nullement de rambardes et peu de lieux plats. Si je tombais, je ne mourrais pas. Pourtant dans mon esprit d'homme enfant, je m'inquiétai quelques peu pour ce que je risquais de subir là-haut. Je grimpai ces marches avec une lenteur appliquée et ne me décourageai pas, même trois heures après. Je n'étais pourtant même pas à la moitié... Ce chemin me conduisait vers le sommet de monts lointains, c'était en soit une épreuve des maîtres des lieux. Cela importait peu pour moi, qui ne souhaitais qu'une chose réussir et gagner en puissance. Je gardais courage, et n'atteignis enfin la fin que lorsque la nuit tombait. Mes jambes étaient de plombs, mes yeux n'étaient plus que des braises dans ses orbites et mon esprit qu'un miasme de confusion. Pourtant, malgré ma vision trouble, je pus voir quatre fières silhouettes dans le lointain, avant d'enfin m'écrouler de fatigue. Je me réveillais sur une paillasse dure dans une pièce couverte de tatamis et entourée de portes coulissantes. J'entendais les bruits d'une nature sauvage et hostile. Une odeur me pris immédiatement au nez. C'était celle du riz que l'on avait finit de cuire. Je me levai donc, et frappai à l'un des portes avec politesse, avant de sortir de la pièce. Je tombai sur un immense couloir au parquet poussiéreux. Je marchai avec lenteur et difficulté à cause des courbatures qui me faisait souffrir. J'arrivai finalement sur la court d'un temple, et me rendis compte que l'odeur avait disparu, ce n'était donc pas le bon endroit. C'est alors que surgit dans l'ombre un vieil homme honorable à l'étrange barbe argenté. Celui-ci avait l'œil particulièrement dur et sévère et il me prit par le bras pour m'amener manger dans une salle sombre. Il s'assit en compagnie des trois autres hommes à l'âge incertain. Le jeune homme que j'étais; fut comme pétrifié face à la stature de ces anciens. On discernait sans difficulté la musculature sèche de chacun d'entre eux, et leurs regards avaient quelque chose d'indéfinissable. Une réplique acerbe me réveilla et me fit manger silencieusement et poliment.

Après quoi, on le laissa avec le vieil homme à la barbe d'argent. Il me demanda de redescendre et de remonter ces marches. Je ne bronchai pas et m'exécutai. Je mis des heures pour arriver à mon point de départ et à remonter avec difficulté chez ceux qui allait faire mon éducation guerrière. Lorsque je fus de retour dans un état d'anéantissement aussi grand qu'hier, si ce n'est plus. Le vieil homme se saisit de moi, et me jeta de l'eau froide. Malgré la souffrance, j'obéis et me changeai pour dîner. Après quoi, je ne pus dormir tellement la souffrance et la sensation d'être brûlant me dévoraient. Le lendemain bien heureusement, on ne me demanda que de nettoyer les parquets poussiéreux de tout la maison. Je découvris alors que c'était un immense temple, et que je devait travailler durant bien des jours avant de le rendre propre à nouveau. Après quoi, on continua de me donner des tâches sans grands intérêts, si ce n'est de m'épuiser. Puis, on m'ordonna de recommencer à monter et descendre les escaliers qui menaient eu temple. J'étais tout autant épuisé, mais j'avais aussi mis beaucoup moins de temps cette fois-ci, et je compris que ma confiance en mes maîtres était récompensée. Je continuai de m'entraîner de cette étrange façon durant une année. Ils ne souhaitaient pas stopper la croissance de mon potentiel en me musclant de manière intensive, ils comptaient juste améliorer mon endurance et mes autres capacité petit à petit. En même temps, les maîtres me faisait lire de nombreux ouvrages dans des langues étrangères et m'enseignaient ce que tout à chacun devrait savoir, c'est à dire à respirer pleinement, à méditer ou encore à éclaircir ses pensés. Quoiqu'il en soit, les conséquences de cet entraînement, autre qu'une totale rénovation du temple, des quelques centaines de milliers de marches ou du jardin bien entretenu, furent la création d'un jeune guerrier a la musculature sèche et à la grand endurance. Il était temps pour moi de véritablement apprendre. Chaque maître avait son élément, sa force et sa technique. Le premier était d'acier et avait cette étrange barbe argentée, il était maître de kenjutsu. Le second était d'eau et avait cet étrange regard perçant, il était maître de ninjutsu. Le troisième était de bois et avait cet étrange force inébranlable, il était maître du bujutsu ancien qui se pratiquait sans armes. Le dernier était de feu et avait cet étrange rictus, il était maître des armes à feu.

Il fallait en premier lieu que je choisisse parmi ces quatre hommes celui qui serait son principal maître. J'avais peu à peu apprit à les connaître eux et leurs arts. C'est pourquoi, je choisis la voie du feu, j'y étais prêt. j'allai donc habiter dans la chambre de mon maître. Il s'en suivit d'un terrible entraînement. Le tout premier fut le plus incroyable. Mon maître me fit voir un mouvement parfaitement exécuté, et m'ordonna de le refaire une centaine de fois correctement. A chaque erreur, je me prenais un coup et devais tout recommencer. Au début ce fut un exercice très ardu, je ne positionnais pas bien les épaules ou bien j'étais trop tendu. Je recommençai encore et encore. Au bout d'un temps, je réussis à satisfaire mon maître, je me relâchai et recommençai alors. C'est ainsi, que du début du matin à la fin du soir je m'exerçai. J'avais l'habitude maintenant de ce genre d'entraînement des temps passés. Certes, ils étaient vieux et inutiles sur de nombreux points, mais à la fin de cette journée le mouvement était parfait. Le lendemain, je devais lever une fois de plus ma force vers les cieux, mais cette fois-ci entravé par un poids, j'échouai... Les jours suivants, je recommençai, mais à chaque fois le poids semblait rester le même, et le résultat le même. Finalement après sept jours lamentables, je réussis. Ainsi se passa mon premier entraînement. La suite fut toute aussi épuisante. Chaque jour se devait d'apporter un élément de réponse à la voie poursuivie. Que ce soit par l'apprentissage des armes ou de divers arts martiaux ou bien l'entraînement au tir. Chaque chose avait un but, une action sur le diamant à tailler. L'esprit se fait à l'image du corps, et le corps à l'image de l'esprit. En poussant ainsi ce jeune disciple chaque jour un peu plus dans ses retranchements, mon âme se mit à évoluer comme elle se le devait. De chaque chose j'appris les qualités et les défauts et forgeant en mon corps un style unique, je sentis que le temps était venu de voir le dernier maître.

Il était au sommet de la montagne, dans une caverne taillé par l'homme. Malgré les apparences sa solide bâtisse avait comme entrée une sorte de maison. L'air y était sec, ni trop chaud, ni trop froid, somme toute c'était le lieu idéal des méditations. Lorsque je le rencontrai, je fus immédiatement subjugué par ce sage. Oui, ce squelette souriant respirait une santé spirituelle incroyable. C'était un maître moine du zen, et il avait pour tâche d'aiguiser la lame forgée par une dizaine d'années d'apprentissage. Pour cela, il revint aux bases. Il réapprit à méditer à ce fier guerrier, ce qui m'agaça profondément dans un premier temps. Cependant la patience est l'une des six qualités bouddhiques, et je l'avais apprise tout au long de ces années, tout cela pour plus tard parvenir à mes fins. Après un temps, je compris le pourquoi de tout ceci. Il fallait que j'apprenne à domestiquer un corps durci par la douleur et la difficulté. Il fallait que je réapprenne à me connaître, à marche et à sentir. Pour arriver à cette fin, je me mis à imiter ce maître. Je ne me nourrissais que du nécessaire. J'allais chasser le lièvre-serpent dans la montagne et cueillais des baies. De cette vie frugale j'appris le grand cycle de la vie. Non pas de la réincarnation, mais de la vie. L'univers était unité, une immense masse d'énergie. Toute la matière n'était qu'une représentation de cette énergie cosmique, il était donc normal de tuer avec raison, mais il était inadmissible de tuer par envie. Il fallait mépriser la mort, mais pas l'ignorer. C'est ainsi que compris l'un des enseignements de l'existence. Mon cœur m'avait apprit l'honneur, mes maîtres m'avaient permis de me connaître et de m'améliorer, pour finir la nature m'avait enseigné les vraies lois. Pourtant, ce n'était pas suffisant. Le vieux mystique passa à un niveau supérieur, le fait d'ignorer la réalité, afin de mieux se concentrer. Il fallait pour cela s'oublier de vivre, il fallait fermer tout ses chakras de façon symbolique. Oui, rien ne devait rester, pas même la trompeuse souffrance. C'est seulement ainsi que l'on peut réellement-être lucide. Les émotions doivent alors disparaître devant la raison de l'individu, et l'individu disparaître devant le néant fécond d'où jaillit toutes inspirations. Après ces quelques mois passés dans ces lieux ascétique, j'étais prêt à retrouver mon ancienne vie. J'agis avec respect et déférence avec mes maîtres lors du départ, je les remerciai pour ces quelques années passées avec eux. Puis je redescendis ces nostalgiques marches pour arriver bien plus tard tout en bas, où m'attendait un homme de mon auquel j'avais envoyé un message par escargophone quelques jours avant mon départ de ce lieu inoubliable.

Non, mais vous croyez vraiment que j'ai appris quoique ce soit à part comment trucider? Ben même si c'est écrit c'est totalement faux. En fait, cette partie n'est pas de moi. Je l'avoue ce sont mes maîtres qui l'ont écrite à ma place. Je ne pouvais pas refuser deux pages comme cela, où je n'avais rien à faire. Et puis je montre que je peux soit-disant faire varier mon style. Bon je reprends, le gars qui était venu me chercher était un taxi qui me mena à un bateau pour retourner dans les océans. Vous ne me croyez pas? Seule la marine à le pouvoir de le faire par le Calm Belt? Vous avez raison et cela m'énerve. Mort d'une énième personne... Il y avait beaucoup d'otages vous ne trouvez pas? Au final qu'allais-je pouvoir bien foutre de ma vie? Je n'avais plus rien, non plus rien. Il n'y avait donc pas d'autres alternatives que de me venger de la marine, que dis-je? Du monde! Avant toutes choses, je réussi à corrompre un navire du gouvernement, avec tout mon argent. Vrais pleurs. N'ayant plus rien une fois arrivé en East Blue, je n'eus d'autre choix que de voler une boîte d'haricots à la tomate... Sanglote...

Bon quoiqu'il en soit ce fut une bonne chose. On m'attrapa et on me jeta en cellule avec toutes mes affaires. Ils ne se rendaient pas vraiment compte de ce que j'étais. Là-bas je rencontrais un gars nommé Saikyou Raijin. On a pas mal discuter tout les deux et on s'est mis d'accord sur un point: On en avait marre de rester dans un si mauvais hôtel, même si il était gratuit. La prison je lui mets moins une étoile à cause des haricots à la tomate. Bon, en gros je sortis mes flingues et je défonçais la porte. Après quoi on latta les gardes et on passa en clandestin sur un rafiot. Une fois sur une autre île on s'est rapproché d'une jeune fille nommée Josiane je crois. Enfin bon, on a réussit à la corrompre assez pour qu'elle nous aide à massacrer son équipage, à voler son navire et à rendre esclaves les autres. Tout est bien qui finit bien. Même si je n'ai plus d'argent, plus de maisons au bord d'un lagon, ni d'esclaves sexys... Et pis merde! Non tout se finit mal, je suis obligé de devenir pirate pour aller me venger du monde. Tiens pour la peine je vais créer une organisation puissante pour aller conquérir le monde... Ouais cela sonne trop bien franchement! Bon maintenant faîtes de beaux rêves les gars. Désolé si c'est votre navire, mais maintenant il faut faire de beaux cauchemars à cause du Croque-mitaine. Tout le monde meurt et Baal rit

PRENOM : Hadrien

ÂGE : Dix-sept ans

EXPERIENCE RP : Quatre à cinq ans de rôle-play et donc une certaine expérience

AVIS SUR LE FORUM : Il m'a l'air intéressant et amusant

COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : Je suis venu avec d'autres suite à certaines circonstances

CODE :

Dernière édition par Arhiman F. Baal le Dim 21 Nov 2010 - 19:18, édité 8 fois

Test Rp:

Pourquoi je suis là moi déjà? Ah, oui je me souviens. Nous sommes arrivés sur une île c'est original... Puis j'ai entendu dire qu'il y avait des bandits dans la forêt c'est toujours une histoire particulièrement originale... Ils avaient selon la rumeur réussit à voler un fruit du démon, là on est toujours dans l'original il faut bien le dire... Quoiqu'il en soit je suis en train de marcher d'un pas tranquille vers la forêt dans mon manteau en cuir rouge foncé, avec un chapeau en cuir rouge foncé et des lunettes en cuir rouge foncé. Je viens de dire une grosse connerie, on oublie ce que je viens de dire. Bon quoiqu'il en soit je suis très discret. Il faut bien le dire tout le monde me regarde avec un air ahuri. Tiens, je vais sourire à ce gosse de toutes mes dents pointues. Il se met à chialer?! Je vais le tabasser, non remarque, pas tout de suite, plus tard. En effet j'ai encore beaucoup de travail devant moi. Je me demande par où je dois aller. C'est une île je trouverai bien au bout d'un moment. Je marche en ligne droite. Je quitte la ville, je suis le sentier. C'est long et chiant, mais bon c'est comme ça. Là-bas. Il y a un bois, enfin je commençais a en avoir assez de parler pour ne rien dire. J'entre dans la forêt. C'était une belle phrase, je devrais la noter quelque part tellement elle est merdique. Putain, pourquoi j'ai choisit de faire la narration au présent? Il y a l'autre en face de l'écran qui arrête pas de se foutre de ma gueule. Je vous jure, bon j'entre dans la forêt... Je l'ai déjà dit pas vrai? Fait chier! Vous me demandez le pourquoi de ma vulgarité? Je vais vous expliquer. Après tout je vais pas décrire les feuilles des arbres pendant que je marche, ce serait vraiment minable. Donc qu'ai-je à dire? Rien à part mes pensés et là je m'emmerde. Je croyais que j'allais tuer du bouseux et manger un fruit du démon afin de devenir surpuissant. Au lieu de ça je fais une promenade champêtre. Génial... C'est alors que j'entends un son peu anodin. On aurait dit un craquement de plusieurs branches fait par un gros animal. Méfiance, il y a des bandits ici. Je prends mon pistolet Jealous en main. Puis avec une lenteur calculée je me tourne dans la direction suspecte et tout d'un coup je tire. La détonation retentit dans le lointain. J'entends le bruit de quelque chose qui chute. Je m'approche avec mon allure habituelle... C'est alors que je pousse une injure de soulagement à voix haute. C'était une simple bestiole. Pas de chance pour elle. Je viens d'avoir une idée. Je vais me faire un bon feu de forêt et un barbec. Pour cela je ramasse du bois sec et des grosses branches dans la forêt. Puis je construis rapidement un foyer. Je prépare la viande avec un petit couteau et la met à cuire. C'est très bien ce petit repas improvisé, mais j'ai autre chose à faire. Je vais grimper à l'arbre là-bas, il m'a l'air bien touffu et il est juste au-dessus du feu.

Je vais maintenant attendre un peu. Ils ne devraient pas tarder à mon avis. Je vais essayer de voir comment faire une attaque classe. J'attends... J'attends toujours... J'attends maintenant depuis une demie-heure, la carcasse va être trop cuite si ça continue. Ils viennent enfin c'est pas trop tôt! Non, mais j'allais les tuer sinon... Je vais les tuer de toutes façons, donc qu'est-ce que je dis? Hé! Pas touche! C'est ma barbac. Il faut que j'entre en scène. Tata yoyo! J'ai inversé des mots pardon. Tayo tayo! Je descend donc de ma branche mes deux fidèles armes en main. Je tire sur les deux malheureux qui ont tenté de s'approcher de ma nourriture. Une mort trop rapide à mon goût, cependant j'ai encore du travail avant de m'amuser. Ils sont là tout autour cachés dans les bois. Je les entends et ils sont vraiment pas discrets. Même un troupeau de gnous en chaleur seraient plus discrets que. C'est pourquoi tu vas te prendre un coup de mon ex dans la tête. Oui, je parle mentalement au gros lourdaud là-bas tu vois? Tu l'as vu? Maintenant tu le vois plus, une bonne balle dans la tête il n'y a rien de mieux pour faire disparaître quelqu'un. Bon, ils commencent à paniquer. Il faut dire que lorsque tu vois quelqu'un comme moi avec des dents pointus, un costume rouge et un regard pas gentil qu'en plus il a descendu facilement tes potes. Je pense que tu es en droit de te pisser dessus. Je suis encore vulgaire? Pas de chance pour cette histoire je serais vulgaire point.... de suspension... Je me couche vite à terre, ils ont tiré presque en même temps. J'entends des hurlements de douleur, une balle perdue sans doutes. Si il hurle encore c'est qu'il va pas mourir tout de suite, tant mieux j'ai quelques questions à lui poser. Avant cela j'ai quelques personnes à tuer. Pour cela, je me mets à rire de façon sardonique et à toiser tout ce qui m'entourait. Je n'ai pas peur d'eux... Mais eux on peur de moi... Ce qui va être délicieux à savourer. Je me mets à courir vers celui qui me semble le plus proche. J'avais raison. Il tente en vain de recharger son fusil, mais ses mains tremblotantes n'ont aucunes chances. Je lui souris à ma façon. Mes dents forment avec mon visage une grimace carnassière qui force ma proie à n'être plus que spectateur de sa propre mort. Ce moment là est le plus excitant, lorsque la dernière flamme d'espoir s'éteint et que la victime mort-vivante ne ressent plus que de la terreur. Je vois ses yeux figés devant ma vision, figés à jamais, car c'est avec froideur que je l'achève. J'oublie déjà ce plaisir et j'en redemande encore, car rien ne semble pouvoir les sauver de la mort que je leur apporte. Je sens une nouvelle proie. Cette fois-ci je vais la tuer plus lentement. Je m'approche doucement, je suis dans son angle mort et j'en profite. C'est avec mon petit couteau que je lui tranche ses artères et que je fixe dans ces yeux la surprise et la terreur d'une mort inconnue.

Je contemple ce spectacle et cette couleur. Tout cela exhale en moi les pires vices forçant ma pensé à s'ordonner telle une froide mécanique, au lieu de laisser le tumultueux chaos habituel. Mon sourire et mon rire déforment la scène qui devient irréel. Le ciel fait de même, le soleil se couche les ombres s'allongent, le monde sombre petit à petit dans les ténèbres alors qu'un ciel rouge comme le sang accueille mes méfaits. Je lève durant un bref instant mon regard pour admirer ce chef-d'œuvre qui reflète ma réalité. Cela dura que peu, car je vole de nouveau aider la mort dans ses bienfaits. Un autre bandit meurt et finalement au bout d'une dizaine d'agneaux égorgés, je vais d'un pas leste vers celui qui m'apportera ce que je désire le plus: l'emplacement du trésor du démon. Il n'arrive pas à parler tellement la vue du sang de ses compagnons sur mon corps le choque. Je lui assène un violent coup et le force à parler. C'est alors que la crainte se met à remplacer le zèle. Il m'indique tout dans les moindres détails, alors que ses yeux implorent la pitié qu'il ne recevra pas. Finalement je me retourne et m'en vais. J'entends le soulagement de ma victime. C'est alors que sans me retourner je l'achève. Je vais voir cet ultime cadavre que la forêt ensevelira. Ma pensé se trouble à nouveau, alors que je contemple ce beau cadavre. Ainsi la faucheuse a une fois de plus fait son travail et a embellit cet homme médiocre pour en faire un chef d'œuvre morbide. Il est donc temps de partir à la chasse au trésor. Ces pitoyables hommes de mains ne faisaient que servir un plus gros poisson, mais il est sans doutes du même acabit. Quelle corvée. Je souhaiterais bien une petite escort girl pour me réconforter le long de ce chemin. Ce serait tellement agréable de la prendre juste ici, ou encore là. Si ce n'est pas une putain, je souhaiterais tout du moins une bonne bouteille de Calvados. Rien ne vaut ce nectar pour se rincer la gorge après une bataille pareille. Elle a été si merdique, que je n'ai ni transpiré, ni même été essoufflé. Si le boss est un mi-boss il mourra pas facilement, je vous le garantie. Je vais m'amuser avec lui. Je vais commencer par ses doigts de pieds, puis lentement remonter jusqu'à l'entrejambe et... Le reste a été censuré pour cause de détails exhaustifs sur l'art de torturer les gens. Encore un coup de CSA famille de France.

Quoiqu'il en soit, il existe dans la forêt une petite bâtisse qui sert de repaires aux brigands. Je me dirige donc vers elle. Après une longue marche, encore une fois... Et un casse-croute, il ne fallait pas gaspiller de la nourriture. J'arrive enfin devant ce truc. C'est une vieille bâtisse faite avec des rondins de bois de façon très grossière. Je pense que dormir dehors devait faire le même effet que d'habiter cette chose. Après ce n'est pas chez moi, donc je m'en fiche. Bon n'oublie pas, sourire aux lèvres, un air décontracté et tu fais une entré classe. Pour cela rien de plus simple que de s'approcher lentement et discrètement, comme ça. De mettre un de ses pieds sur la serrure, le lever et... Démolir cette saleté de porte! Tout en ayant le sourire aux lèvres. C'est ça qui fait toute la différence. La porte tombe en avant, elle doit vraiment être de très mauvaise qualité, mais c'est tant mieux. J'apparais avec le soleil rougeoyant dans mon dos. J'ai une belle tête avec une beau sourire démoniaque et mes deux pistolets aux lèvres. Au passage je suis aussi recouvert de sang, mais bon ce n'aura qu'un rôle mineur dans ce qui va se passer. Tout d'un coup le chef des bandits et sa garde se mettent à hurler... Il me casse trop les oreilles, je tire et il ne reste plus que le chef qui hurle. Là c'est supportable. Bon, maintenant je vais me charger de faire de ce baryton un beau soprano avant de mourir. Pour cela, tout d'abord le ligoter comme un saucisson, tout en ayant quelques notions de SM. Bien heureusement ils ont une grosse corde pleine d'échardes. Je peux donc tranquillement le ligoter. Après quoi je prend mon petit couteau et je fais ****** ses ongles, puis j'******* ses doigts. J'******* ses muscles et j'******* ses os. Je recommence cette opération sur tout le corps, sauf sur l'entrejambe. A la place je fais chauffer une barre en métal et je la ***** sur la partie sensible. Finalement après quelques heures à le torturer gratuitement je m'arrête, car il est mort. Il faut dire qu'il reste plus grand chose de son corps, je peux dire que je l'ai épluché au sens littéral du terme. Je crois que j'ai oublié un truc... Ah! Merde! J'ai oublié de lui demander où se trouvait le fruit du démon. Je suis vraiment con parfois il faut bien le dire. La seule chose à faire c'est fouiller ce lieu crasseux. J'ai une pointe d'anxiété pour le moment où je devrais manger le fruit, il faudra bien que je l'épluche comme l'autre truc sanguinolent. Quel bordel cette planque, en plus elle pue le rat mort... Je sais pourquoi. Ils en ont fait des réserves pour l'hiver à venir... Que vois-je? Ne serait-ce point là mes haricots à la sauce tomate dans une boîte de conserve fermée hermétiquement? Miracle! Miracle! Bon ben miracle! Que je suis joyeux, j'ai une furieuse envi de les dévorer. Il n'y a pas d'ouvre-boîte? Je vais aller me défouler un petite instant je vous prie. Bruit de détonations répétées et de coups violents. Retour avec un Baal zen et surtout recouvert de sang coagulé en plus de celui qu'il avait déjà. Faudrait penser au pressing un de ces jours. Je reprends mes recherches. J'ai tout fouillé et il ne reste plus d'un endroit. Le bac à linge salle. Pourquoi il devaient le cacher dans un endroit pareil? A moins de l'avoir enterré, il n'y avait pas d'autres possibilités. Je pleure intérieurement d'avance. Bon, je tire le tisonnier ardent de la purée que j'ai faite tout à l'heure et c'est avec une lenteur calculée que j'enlève petit à petit les tissus nauséabonds. Finalement je vois enfin émerger le coffre. Je casse la serrure et l'ouvre sans même y toucher, de peur d'une quelconque contamination. Enfin le fruit tant convoité est là et c'est... Une noix? C'est quoi cette embrouille?! Bon pas le choix. J'éclate la noix à l'aide de mes pistolets, car évidement ils n'ont pas de casse-noix. Je manger le contenu et c'est vraiment dégueulasse.

On aurait dit de la merde, même si j'ai jamais goutté ce doit-être proche à mon avis. Vite, avant que je meurs, il me faut mes haricots à la sauce tomate! Comme Popeille avec ses épinard dégoûtants, mes haricot vont me redonner du courage. Je n'ai pas le choix, je dois en sacrifier une partie. Je pose la boîte devant moi et c'est avec des doigts tremblotant que je tire. Une grande partie du contenu s'éparpille, alors que je saute manger ce qu'il en reste. Je me sens mieux, le goût à enfin disparut et... Je me sens toujours super mal. C'est comme si j'ai vraiment faim. Pas une faim ordinaire, c'est quelque chose de plus sombre et mauvais. J'ai faim...Je ne sens pas ma nourriture. Pourtant il y a un appel. Allo? Quoi?! Un survivant?! Je dois raccrocher! Il y en a un encore en vie et il a peur. Je le sens, il a peur. Il a peur, il a peur, il a peur! C'est trop bon! J'en veux encore plus. Je vais te faire bien plus peur. Tu fais le mort, mais tu ne peux pas m'échapper! Tu paniques, tu pleures et tu défèques ta peur! Moi je me rapproche pour te bouffer. Tu n'as pas d'issues de secours et ni hommes, ni dieux ne peuvent te défendre. Alors tu vas me craindre et me laisser me nourrir. J'en ai un grand besoin. Je vais te faire peur encore. Je prends mon arme et je vise juste à coté de moi. Tu es muet parce que tu n'arrives plus à hurler tellement de cris veulent se former dans ta gorge sèche. Tu me regardes suppliant... j'aime ça! Continue! Encore plus! Tu ne peux pas? Tant pis alors... Je vais t'achever et me régaler de la terreur de la mort que rencontre tout les hommes. Là tu vas voir, j'attends un peu pour terminer de goûter à cette tension ambiante. C'est ta fin tu crèves! C'est trop bon. Oh! Oui! Que vais-je faire? Je dois me calmer un peu, même si je suis cinglé je ne le suis pas comme ça d'habitude... Ce doit-être ce fruit. Même si c'est pas du tout ça Il m'a donné une bien étrange malédiction que je dois apprendre à maîtriser. Pour cela, je dois retourner en ville. Une fois là-bas je réfléchirai à tout ce qui s'est passé. Je sors de cette demeure crasseuse et ce que je vois c'est une belle lune rouge. Ainsi même la lune rend hommage à mes exploits d'aujourd'hui? Belle nuit en tout cas. Je rentre à mon navire. Alors que dans la sombre nuit éclairée par une lune rouge un individu écarlate et recouvert de sang marche, c'est alors le signe du changement. Ce genre de nuit où les démons sortent avant l'heure et où les esprits les plus torturés viennent faire souffrir les vivant. Vous pourrez rencontrer par un de ces nuits le terrible Croque-Mitaine qui vous dévorera. Enfant ou adulte rien n'est ni trop beau, ni trop mauvais. Il s'accommode de tout tant que la peur et le mauvais esprit sont là. Alors ne croisez jamais la route du Croque-Mitaine et ne vous attirez pas ces foudres ou vous finirez comme ceux de ce soir; mort. Bonne nuit et faites de beaux cauchemars.

Up; j'aimerais émettre le souhait d'être validé rang 3 ou 4 avec un fruit de Lv8 ou 9. Cependant si ce n'est pas le cas, j'aimerais améliorer cette présentation pour convenir à vos exigences.

Bienvenue. Tout d'abord, je dois avouer que franchement ... Cette présentation ... M'a fait kiffé Cool

Ca faisait longtemps que j'en avais pas lu une aussi ... bizarre x) et j'ai adoré =D le rp' à la première personne et au présent, vraiment très sympa =) Juste que souvent je vois des problèmes de ponctuation. Enfin, une ponctuation qui casse un peu le fil de la lecture plutôt. Et je trouve ça vraiment dommage :/ Quelques fautes par-ci par-là, mais sinon je serai tenté de validé au rang 3 (qui est le rang maximum que l'on donne à la présentation je le rappel). Par contre, j'aimerai que tu détails plus le pouvoir de ton fruit parce que je n'ai, dans ma sombre ignorance, rien compris du tout xD

Voili voilou =) explique mieux le fruit et tu auras très certainement ma validation ^^

Je vais simplifier

kyoufu kyoufu no mi:

-Capacité à matérialiser la peur de son adversaire
-Capacité de mémoriser une peur et de s'en resservir avec environ 5 à 10 fois moins de puissance
-Capacité à faire naître naturellement la peur et à réveiller les souvenirs pénibles
-Capacité de fusionner plus ou moins avec cette peur et/ou de l'utiliser
-Capacité à déterminer la peur des adversaires
-Capacité de pistage des personnes apeurées
-Augmentation des capacités physiques et mentales proportionnellement au renom

Il y a des fautes d'orthographe, des lourdeurs, et des problèmes de ponctuation. Dans le reste, c'est sympa, même si j'accroche pas le style littéraire. Le rang trois est envisageable donc, ce qui, je le rappelle, est le maximum que l'on puisse obtenir à la validation. Pour le fruit, idem, ça me va.

Ensuite, pour le fruit, c'est simplement pas validable pour moi. La peur est, pas définition, une réaction de l'esprit face à un danger. J'ai du mal à imaginer comment tu peux la matérialiser. Certaines personnes n'auront pas de peur précise. Ensuite, la capacité à éveiller la peur, ça me rappelle brièvement le Haki des Rois, tiens. Et l'idée d'évoquer des souvenirs douloureux est redondante avec le fruit de la connaissance, puisque ce fruit est essentiellement utilisé pour connaître le passé de l’adversaire, entre autre. Idem pour l'idée de connaitre la peur. Enfin, je ne vois pas en quoi le renom peut augmenter les capacités d'un personnage.

Bref, le fruit, c'est non pour moi.

Bonne continuation Razz

C'est juste pour argumenter, mais pour moi l'univers de Op n'est pas à ça près. Entre les fameux ramolo photon et le logia de la lumière, je dirais qu'il y a des choses plus insensées. Après tout la peur est un sentiment que toutes les créatures éprouvent, on le qualifie aussi d'instinct de survie, je pense que l'on peut donc le quantifier au même titre que les névroses. Par ailleurs on peut aussi le voir comme un pouvoir psychique qui matérialise le subconscient collectif. Même si le fruit permet de connaître la peur, elle ne permet néanmoins pas de connaître la personne et il n'y a pas de peur totalement imprécise, pour moi le haki du roi provoque la peur de soit. Après si il le faut je changerai pour un autre fruit.

Je reste sur ma position ; non pour se servir de la peur des autres en matérialisant, et en la contrôlant. Un fruit psychiques, éveillant la peur serait bien plus intéressant.

Dans le cas où le Fdd que j'ai proposé soit définitivement abrogé, je vais en tenter un autre:

Suppai suppai no mi :Rend le corps de son possesseur acide et lui permet de générer de l'acide à volonté. Le liquide en question est souvent de couleur noirâtre. L'utilisateur peut gérer le niveau d'acidité du liquide, lui permettant de produire quelque chose proche de l'eau ou pouvant dissoudre rapidement tout ce qui entre en contact avec. Il est aussi possible de manipuler la pression du l'acide que l'on expulse, ou même à l'intérieur du corps de l'utilisateur. Ce dernier dispose également de la capacité d'augmenter ou diminuer la densité du liquide. L'acide n'est pas comme le poison, à son contraire, l'acide dissout tout enfin pas tout mais beaucoup de choses.

Redondant avec le Doku Doku no Mie, libre (Partie News, "Libération des fruits de Novembre".). Comme je t'ais dis, j'aimerais que tu enrichisse un peu le vocabulaire, et que tu corriges un peu les quelques lourdeurs.

Suite à une longue bataille juridique j'ai reporté mon attention sur le fruit du poison.

Yop !

Il y a quelques problèmes de fluidité au niveau des phrases (C'est dû à la ponctuation, je penses). Corriges-moi cela, s'îl-te-plait. Ensuite, je pense que ce sera bon pour moi.

Est-ce suffisant? Oui dois-je encore recorriger?

Il y a encore des problèmes de ponctuation. Certaines virgules manquent, et donnent un ton assez désagréable au texte et, au contraire, d'autres virgules gênent la fluidité du texte.

Validé, rang 3, Doku².

Je valide également, y'a encore quelques petits soucis, mais rien de bien important. J'ai apprécié la narration et la mise en valeur des sons et autres éléments externes au récit proprement dit. Bienvenue sur les flots du RP amuses toi bien.

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