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 Kuruzamî Satsukô

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MessageSujet: Kuruzamî Satsukô   Kuruzamî Satsukô EmptyLun 29 Nov 2010 - 13:55

Prénom : R.
Age : Je suis majeur.
Homme
Comment avez vous connu le forum : Google.
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Ça dépend.
Tes Mangas préférés : One Piece, Naruto.
Ton personnage préféré dans One Piece : Zoro, Luffy et Mihawk
Ce qui t'as motivé à venir : /
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : 2 ans.
Hobbys : Foot.
Autre(s) :

- Présentation du personnage -


• Nom & Prenom : Kuruzamî Satsukô
• Surnom: Le tigre.
• Age : 24ans
• Race : Humain
• Camp : Marine
• Orientation psychologique : /
• Métier/Spécialité : Politicien
• Pouvoir demandé : Fuwa Fuwa no Mie. Fruit de Niveau 10.


Physique:

Un air désinvolte, nonchalance extrême alliée à cette impression intense qui vous saisit à la gorge, celle que peux ressentir un animal en présence d’un prédateur. A chacun de ses gestes, le sinueux dessin de sa musculature semble comme fluer, se tendre et se détendre, semblable à la fascinante souplesse d’un félin à la vie de chasseur. Le jeu de la contraction et de la décontraction, l’occupation de l’espace, on se retrouve face à une menace, un sentiment presque ancré dans l’inconscient humain, remontant aux années millénaires d’état à demi-animal, subissant le cruel joug de la loi du plus fort. Tant par la présence tangible que par l’aura électrisante, le sentiment se met en exergue, s’épanouit comme une plante vénéneuse, infiltrant ses cirres jusqu’aux tréfonds du mental, allumant une à une les alarmes stridulantes de la prise en compte des facteurs de danger, de menace, d’infiltration sur la sphère personnelle de l’espace vital, ce terrain qu’on s’approprie et que l’on aime à croire le sien. L’animal fait homme. Le chasseur parmi les brebis. Certains le prendront façon bravache, cachant leur terreur de l’affrontement sous un gravas d’expressions convenues et d’attitudes fantoches, proches du courage suicidaire, et d’autres s’abaisseront, se faneront, tels de bien mauvaises herbes sentant le couperet venir, le déracinement à leur monde connu. Toujours est il que tout cela ne peut laisser indifférent, apathique ou encore dubitatif, puisque le but recherché est bien sûr l’agression pure et simple, même si celle-ci n’est au final que fortuite, causée par un train de vie à en faire pâlir les grands-mères au coin du feu. Un homme, vous avez dit un homme ? Peut être bien, même si la limite est mince, le voile de l’humanité semblant bien fin face à cet avatar du feu, de la lave bouillante brûlant aux tréfonds d’une terre insensible aux ravages répétés qui la parcourent.

Prenons un homme donc, passons outre les signaux envoyés par l’intellect et le cœur, et vérifions objectivement ce que nos yeux perçoivent, mais refusent d’approuver. Une stature, un faciès caractéristique, sorte de représentation de chair et de sang des gardiens faits eux de marbres, de calcaire ou tout simplement de granite. Vivante image d’un corps affuté comme une arme, gonflé d’énergie débordante, celle d’en découdre avec chaque particule de vie présente dans les alentours. Un ensemble fait de muscles travaillés, peaufinés de la même manière que la Terre érige ses collines, fait pousser ses montagnes ; de tendons souples comme des fouets, solides comme des câbles d’acier, pièces maitresses assurant le maintient de cet édifice simple mais pourtant titanesque qu’est l’assemblage humain. S’ajoutent à cela une peau burinée, tannée à certains endroits, tantôt dure tantôt douce, hommage au travail du vent dans les plaines, façonnant roche et bois, les caressant sans relâche, dans un lissage continuel. Et sur cette carte faite de bonds et de rebonds, de creux et de monts, une multitude faillée vient s’ajouter, constellant le paysage de ravins, ouvertures sur le monde d’en dessous, d’en dedans, preuves de triomphes et de défaites, cicatrices laissées par la vie. De ces marqueurs indélébiles sur le papier organique, on en déduit au premier coup d’œil le cadre de vie, le mode de pensée, les péripéties et pour finir l’arrivée, étapes successives d’une existence suivant le fil rouge de la hargne et de la pugnacité, de la lutte perpétuelle pour une montée en puissance, un ascendant sur tout un chacun. Aussi, emballage adapté à la marchandise proposée, des vêtements d’une coupe simple, assez scolaire pour le coup, héritage d’une période depuis longtemps révolue, celle des derniers restes d’obéissance envers un pouvoir subit et maintenant oublié, jetés aux orties en même temps que sa pseudo innocence…

Pour finir le tour de cet assemblage organico-spirituel, le centre nerveux, l’origine de tout cet effet tant physique que psycho-sensitif. Et pour cette boîte crânienne, siège de l’activité incessante de son porteur, le faciès remarquable à première vue est porté par l’étendard désinvolte d’une chevelure ma foi très peu entretenue, plus proche du buisson que de la coupe parfaitement faite, quoique le seul barrage à cet assaut capillaire en présence soit porté par la monture de lunettes d’aviateurs sises ici par simple goût esthétique, l’utilité n’étant plus trop d’actualité en ces lieux et en ce temps. Autre fait frappant, la blancheur de ces cheveux, celle tant saisissante qu’hypnotisante d’une fraiche neige de début d’hiver, captant les sens, et forçant presque l’observateur à tendre la main pour vérifier de la consistance de ce panache quasi spectral, avant d’être stoppé dans cette pulsion enfantine par l’intense pression d’une paire d’yeux vindicatifs, clouant tout bonnement sur place comme le ferait un éclair, si d’aventure on serait assez fou pour courir les plaines, un kunai dressé vers les cieux, attendant l’impact. Suicidaire. De ces yeux, on peut tout comprendre, tout englober, si l’on est assez courageux pour tenter l’expérience, oser le grand frisson de celui qui transgresse les signaux d’alerte, passe les barrières et se jette dans les flammes. En même temps, ce tableau est bien onirique, n’est il pas ? A savoir maintenant qui de la vérité, ou du mensonge, est venu s’infiltrer dans cette mise en peinture de cet homme. Le tout est bien sûr de se faire un avis sur la question, en tentant la rencontre, même si l’effet sera bien différent selon les personnes, les situations, les comportements.


Mentale:

Là les choses se corsent un peu plus. Le physique, c’est bien beau, mais si on pousse le stade de l’introspection un peu plus loin, se mettre à nu, c’est franchement pas facile. Comment faire ? Tenter de faire le vide, d’examiner ses pensées, son comportement. Prendre son mental, et faire miroiter la multitude de facettes qu’il contient. La vie est une pièce de théâtre, m’a-t-on dit un jour, où chaque acte voit son jeu d’acteur se changer. Alors, comment décrire ce qui était, ce qui sera, et ce qui est présentement ? Puisque, de toute manière, je ne suis plus le même qu’il y a dix ans, quoique certains traits tenaces restent ancrés… Tiens, prenons en un, et examinons le. Les philosophes appelleraient ça de la réflexion, moi je dirai plutôt du tripotage de cerveau. Alors fixons nous sur un trait de caractère, façon « première approche ». La rage. Bon, pour un premier, c’est déjà un gros poisson. Surtout pour le sentiment de toute une vie, le bois de chauffage, que dis-je, la vapeur de la locomotive. Peut-on juger d’un tel sentiment, lorsqu’il sert de véhicule à toute la passion égrenée dans le seul but de survivre, à proprement parler ? Non pas que je me fais l’avocat du diable, en l’occurrence ma propre personne, mais savoir les relations de causalités à toute chose est essentiel, ne serait ce que pour débrouiller le vrai du faux, avoir une opinion objective sur toute chose. A quoi nous servirait le peu de cervelle que nous utilisons, si toute pensée n’était pas froidement analysée avant de sombrer dans les concepts de l’émotion ? Et c’est moi qui dis ça…surtout à la vue du sentiment que je vous présente, l’un de mes traits de caractères dominants. Quoique, appeler ça de la rage, c’est peut être limiter la chose à ses côtés négatifs. Oui, passion reste le terme le plus approprié, avec tout le bagage qu’il comporte. Je suis un type au sang chaud, pour parler franchement. On pourrait alors croire que cela me limite continuellement, faisant alors de moi une semi-bête dirigée par ses instincts, mais ce serait passer à côté de la chose. Le nez sur le caillou, on a tendance à louper la montagne.

C’est ainsi que je peux effrayer, repousser, mais qu’importe ! La faiblesse tant de corps que d’esprit ne m’intéresse pas, au contraire je la méprise. S’embarrasser de lâches ou de faibles, très peu pour moi. Toute ma vie a été vouée à l’excellence, du moins le surpassement de mes capacités pour espérer voir le lendemain. Alors, pourquoi irais-je m’alourdir avec le fardeau d’un boulet qui ne cherche pas à s’en sortir ? Mais là encore, ma passion m’emporte. C’est l’avantage, avec ce panel infini de sentiments exagérés. On aurait tendance à me stigmatiser, me prendre pour l’engeance du démon…Même si, à vrai dire, je m’en tamponne royalement. Je ne suis pas du genre à écouter ce que l’on dit de moi, et encore moins à en prendre la mesure. Les mots ne sont rien, comparés à ma volonté, et c’est pourquoi toute personne voulant me mettre des bâtons dans les roues s’expose à voir son obstacle broyé face à la machine que j’oppose. Pourquoi m’appuyer sur des avis, des personnes, puisque de toute manière je me considère comme étant des plus apte à faire les tâches que je me fixe ? Et puis, ce n’était pas comme si j’étais un monstre, un meurtrier sans honneur. Je vis pour mon village, pour permettre à ceux qui le veulent de s’élever. Car il n’y a de place à mes côtés que pour ceux dont la ténacité et la force tant physique que de caractère permet d’évoluer, et non de stagner comme de vulgaires mollusques. Ceux-là, je les laisse pour les chiens, qu’ils en fassent leur repas. Et oui, croyez pas que j’allai la jouer gars poli jusqu’au bout, non ? Je suis ce que je suis, avec toutes les âneries que peuvent comporter cette expression complètement désuète. Je suis bon avec mes amis, cruel avec mes ennemis, tendant la main sans pour autant oublier de me tenir prêt à fermer le poing. Car oui, je peux aussi être capable de compassion, et même d’amour. Je suis le feu, et le feu détruit aussi bien qu’il caresse, réchauffe. Mais pour cet épisode, on repassera. Non pas que je sois gêné, ou encore novice dans l’art complexe de l’amour, mais tout cela s’apparente pour moi à un concours d’exception, et regarder les personnes gravir les échelons de mon cœur m’ennuie tout à fait. Je ne suis pas une tour imprenable, juste que comme toute chose sur laquelle je porte mon attention, l’excellence est de mise.

Et pour ce qui est de ce que je n’apprécie pas, comment dire ? Tout doit disparaître, voilà le topo. Aucune pitié face à l’ennemi. Et encore, la mort n’est qu’un doux prix par rapport à ce que je pourrai faire par colère. Disons que je ne suis pas effrayé par la fin de ma propre existence, ce qui a tendance à me laisser dépasser le seuil limite de mon courage et de ma pugnacité. D’autant plus si la purge qui me sert d’adversaire s’amuse à me titiller un tantinet. Oui, je suis sanguin, mais ce n’est pas un défaut pour moi, bien au contraire. Il n’y a que la colère du juste qui est appropriée, et qui permet au final de triompher. Car face au jugement d’un homme avisé, alliant l’exécution froide de l’esprit et le brasier du cœur, qui peut se permettre de se tenir fièrement, et répondre au courroux de cet homme ? Enfin, je dis ça, mais je sais pertinemment que la plupart de mes actions sont jugées par le cœur et non le mental. Moi, je n’y arrive pas, la jugeote, ça dépasse mes capacités. Une fois la limite franchie, impossible de revenir sur mes pas, le chemin qui s’offre à moi est comme une rampe glissante où je n’ai d’autre choix que de me lancer la tête en avant, espérant qu’à l’atterrissage les dégâts seront minimisés, et surtout axés selon un point précis.

Je ne pense pas qu’en dire plus sur moi-même serait pertinent, ou informatif. Je vous ai présenté mes émotions motrices, la passion qui m’anime, les choses qui me sont chères et pour lesquelles je me bats. Le reste, momentané, ou déjà appartenant au passé, est inutile. Après, je pense que seul mes proches pourraient parler de moi mieux que je ne le fais, alors pour toutes informations, adressez vous à eux, tient.


Dernière édition par Kuruzamî Satsukô le Lun 29 Nov 2010 - 19:35, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Kuruzamî Satsukô   Kuruzamî Satsukô EmptyLun 29 Nov 2010 - 13:57



Histoire:

Par où commencer. La naissance ? C’est vraiment trop usité, comme truc, dans le genre ordre chronologique, des premiers pas à la dernière baffe. Alors commençons par le début, enfin la fin, puisque je veux faire dans l’original.

Visualisez la scène. Le ciel teinté de gris, comme une annonce céleste de la déliquescence d’une communauté aussi déchirée que les filaments de nuages parcourant le firmament. Et, sur un promontoire situé au dessus de ce spectacle, avec une vue panoramique imprenable, moi, moi seul, regardant de haut ce qui se présente déjà comme une des futures histoires dont on parlera pendant longtemps, avec appréhension, et dont je suis l’instigateur. Certains pourraient trouver que l’image qui se présente à mes yeux est horrible, voire insupportable, mais moi je reste froid, observant avant tout le paysage, qui est le seul intérêt, au final. Ouais, je sais, la mélancolie, la contemplation, tout ça, ça ne colle certes pas avec l’image que l’on a de moi, et que j’ai de moi, surtout, mais il faut s’adapter à la situation, même si je sais que ma voie reste inchangée. Né pour servir, je suis destiné à faire ce pourquoi je suis le meilleur… J’hume l’air un instant, laissant mon odorat se gorger des senteurs d’essences d’arbres aussi variées que subtiles, mêlées à d’autres fumets, eux plus alarmant. De la cendre, de la suie, et du sang, peut être, quoique l’odeur métallique soit caractéristique du liquide carmin que j’ai tant vu couler au cours de ma courte vie. Ces odeurs, elles semblent contenir mon passé, mon présent, mon avenir aussi, s’entremêlant dans un maelström d’informations aussi lointaines que présentes, pressantes. De cette vue, de cet environnement, je me sens comme gagné d’une nostalgie qui ne m’est guère coutumière. Il faut dire que j’ai toujours aimé contempler des paysages, ceux-là restant encore les seules choses qui m’impressionnent encore. Il n’y a que dans des cadres comme ceux-ci que je peux me sentir au complet, petit grain de sable perdu dans l’immensité effrayante de la nature toute entière, à jouir pleinement de cette mise au contact de l’ensemble de la création. C’est aussi cela, l’autre facette de mon cœur, moi qui ne suis que sentiments, émotions. Et bien que les hommes soient tombés en disgrâce auprès de mon cœur, je dois admettre que je garde mon âme d’enfant face aux forces de la Terre. Et, même si le spectacle s’offrant à moi pourrait remplir d’horreur tout natif de ce village, avec un tant soit peu d’attache à cette patrie, je me laisse d’abord, quant à moi, gagner par la douce euphorie de ce retour aux sens…peut-être un moyen d’ériger une barrière, de poser des œillères sur mon visage buriné par les événements ? Je ne sais pas, je n’ai même pas cherché à réfléchir à cet état de chose. Je crois surtout que je me fiche pas mal des événements qui se sont déroulés auparavant, puisque je vois cela comme un cycle que je suis venu briser, remettre à neuf. Autant se raconter ce genre de choses, si l’on veut rester honnête avec soi-même…sinon les morts ne servent qu’à s’accumuler sur la chape qui pèse déjà sur nos épaules. Enfin, toute mort est juste, et contribue à peser dans ce qu’on pourrait nommer la balance cosmique, si l’on veut jouer dans le mystique. Moi je pense surtout que mes missions ne sont pas données par hasard, même si celui qui tire les ficelles me fait plus l’effet d’un gamin destructeur que d’un décisionnaire avisé. Mais les règles sont les règles, et je me dois de montrer l’exemple, quitte à donner de ma personne. Et puis, à tout bien réfléchir, celui qui est le plus lésé dans l’histoire l’avait bien cherché. Ce n’est pas comme si je m’en étais pris à des innocents. Ça non.
L’histoire se termine, du moins pour celui qui avait eu la mauvaise idée de se prendre pour un type puissant. Ainsi va la vie. Quand on se prend pour un soleil, on brûle. Quant à moi, je n’avais plus qu’à rentrer au village. Good game.

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Une pièce sombre. Sombre pour tout le monde. Non. Comme un couperet séparant le soldat du reste du monde, un puits de lumière venait juste illuminer le type qui attendait patiemment ses instructions. J’avais eu des ordres clairs, et le type savait faire son boulot. Une bonne entente en somme. Dans peu de temps, nous aurions nos infos, qu’importe le prix. C’était la routine, quand on appartenait à la plus grande nation en terme géographique. Vu la taille du pays, si les services de renseignements n’étaient pas assez développés, le nid d’aigle aurait tôt fait de trouver des vautours en son sein. C’est pourquoi notre unité était connue de façon assez morbide, je dois dire, comme étant la plus performante en termes d’infiltration, et, chose assez connexe, mais tout aussi difficile pour nous et pour le reste du monde, mais pas pour les mêmes raisons. Vous devez vous demander ce que je foutais là, à donner les ordres à un type qui semblait bien plus vieux et bien plus expérimenté que moi, un vrai ténor de l’espionnage, un type qui avait sûrement beaucoup plus de métier et de savoir-faire ? Ben là était toute l’ironie de la chose. Lui, il avait l’air d’un espion, un type d’élite. Moi, j’avais l’air d’un jeune con. Peut être étais-je meilleur espion que lui, après tout. CQFD, hein ? Et voilà tout le génie de la chose ! Un jeune, commandant ce qui se faisait de mieux dans cette région. C’était un peu comme dans les histoires, sauf que je ne devais pas ma place à un quelconque vieil ermite qui s’était décidé à me sortir d’une campagne profonde à coup de pieds dans le derrière. J’étais là où j’en étais pour une bonne raison, et rien que d’y penser j’en avais la gerbe, et une importante envie de me défouler sur les responsables. Ingrat ? Peut être. Pédant ? Non, je dirais plus fier. D’une fierté qui n’accepte pas de devenir un parvenu. Je connaissais mes capacités, au moins autant que faire se pouvait, et je savais pertinemment que mon âge aurait été la seule cause de mon refus en tant que chef de Vice Amiral. West Blue, la ville des prodiges…bah ! Il fallait bien que la roue tourne, de temps en temps. Il y avait bien eu North Blue dans le temps. Aujourd’hui, c’était notre jeunesse qui était au premier plan, assurant une solide association de bouclier et d’épée contre n’importe quel ennemi. Ça, je devais l’admettre. Mais de là à ne pas en vouloir à cette famille de manipulateurs sans scrupules…ah ! C’est bien pour cela que je ne pouvais m’empêcher de passer mes nerfs sur celui qui me donnait des ordres – le seul qui pouvait se le permettre, en fait. Par pure vengeance mesquine. Mais il le valait bien, lui et ses semblables. Sinon, ça aurait été trop beau pour sa pomme.

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C’est bizarre tout de même, comme une simple déclaration peut chambouler tant de choses. Enfin, une déclaration, une nomination, plutôt. Et pas des moindres, du genre à bouleverser tout un système aussi ancestral que ceux qui s’en octroient le bon fonctionnement. Au début, bien sûr, les mêmes vieillards qui avaient ce pouvoir refusèrent de le partager avec un jeune, presque un embryon, par rapport à leur âge, et à leurs responsabilités. On m’a même argué que je sortais tout juste du pantalon de mon père…pas très subtil dans un milieu qui s’apparentait à quelque chose d’ultra politique, je vous l’accorde, mais il fallait de tout en terme d’intelligence, et puis cela servait uniquement à me déstabiliser, prouver que je n’étais pas apte à avoir de telles fonctions. Foutre un bourre-pif au premier venu qui me contredisait n’aurait pas fait avancer les choses, et j’en étais conscient. Et puis, pour tout avouer, ces persifflages se faisaient sous le manteau, personne ne voulant ouvertement aller à l’encontre du chef du village, qui offrait tout de même la succession du pose de son ancien Lieutenant et ami. De toute façon, le fait était là : promu comme bras-droit d'un village tout aussi puissant qui puis ai à la solde d'un ancien marine, et surtout à un âge déjà bien précoce, il était logique qu’avec ma formation, mes capacités d’analyse et d’actions sur le terrain, et surtout ma conscience aigüe des réalités de ce monde occulte, je devienne un haut placé dans les fonctions de la branche active du village. De fait, je n’en étais pas à ma première activité décisionnaire, ni à mes premiers coups d’éclats. Les missions s’étaient déjà succédées pour moi, et j’avais roulé ma bosse en tant que chasseur de primes, risquant plus d’une fois ma vie, et la donnant presque pour le village un bon nombre d’autres fois.
Je m’étais du reste vite fait aux nouvelles opportunités et responsabilités que l’accession à ce poste me permettait d’avoir, et très vite j’apprenais à me familiariser avec la trame complexe que représentait la structure interne de la Marine. En comprenant guère ce qui m'arrivait, la mort précipité d'un de mes proches, m'avait poussé à revoir mes objectifs. Il était clair que servir la justice devenait une priorité. J’avais eu de bons professeurs, qui m’avaient bien formé sur les préceptes de stratégie et autres atouts indispensables au soldat lambda officiant dans la zone, et il ne me restait qu’à appréhender dans son ensemble la politique, encore que là, au point de vue familial, j’avais eu mon compte.

Tout aurait été comme sur des roulettes pour moi si je n’avais eu la confirmation d’une chose qui me mortifia. J’acquérais une information interne d’importance, lors d’une journée banale de travail. Bien sûr, quand je dis banale, j’entends cela pour la vie du responsable de la cellule d’espionnage et de contre-espionnage la plus importante des territoires du continent.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

La pluie. La pluie et le vent. Le froid aussi. On avait vraiment gagné à la loterie cette fois-ci, et je crois que si je pouvais encore user de mon énergie, j’aurai été proprement entouré d’un bon nuage de vapeur, tant l’agacement m’avait pris. Il faut dire que dans l’histoire, je n’y avais pas été de main morte avec ces types, usant de tout ce que j’avais, encore une fois. Heureusement pour moi que mes équipiers veillaient au grain. Je ne compte plus le nombre de fois où j’aurais pu y passer sans eux. Ces fois où, dans un élan incontrôlable de mes pulsions, je donnais tout ce que mes tripes, mon cœur et mon âme possédaient, jusqu’à devenir aussi creux et sec qu’une éponge rejetée par la mer, à cuire sous le soleil. Il ne me restait maintenant que ma volonté pour me faire tenir, en plus du peu de force physique que mon corps avait encore en réserve. Et cette pluie battante tentait en vain de contenir le feu qui menaçait de me consumer, encore et toujours. Je n’avais jamais aimé la pluie, considérant ce rideau liquide à une tentative fourbe de me cacher l’entièreté de ce que la nature me réservait, offrait à mes sens. C’était comme si les démons du ciel s’étaient amusés à me pisser dessus, tentant de me faire retomber au sol, telle de la poussière en suspension, captée par les gouttes. Je ne comprenais pas la fascination que pouvaient avoir les gens pour cette manifestation de la morgue céleste, véritable acte de détresse des cieux qui tentait vainement d’attirer l’attention du monde sur ses déboires…toujours est-il que le résultat tombait toujours sur les hommes, leur infligeant la commune sensation de n’être qu’un idiot, trempé et minimisé par l’incident climatique. Comme si chaque larme que relâchaient les nuages n’avait comme but que d’emporter leur cible dans la tombe, véritables kamikazes au service du ridicule qui peut tuer…ce n’était définitivement pas mon environnement, à moi l’enfant du soleil, âme de la lumière, craignant instinctivement les ombres, et ce malgré le temps, la maturité et le courage.

Qui pourrait nier cet état de fait, qui est commun à tout être humain, comme étant la somme de peurs primaires issues de notre révulsion pour l’inconnu, l’incontrôlable ? Je m’égare, je m’égare…on pourrait croire que mes paroles sont d’un autre, tant elles s’éloignent de ce que l’on peut ressentir en me voyant dans le feu de l’action. En même temps, la force brute ne comptait pas seulement, il fallait à mon sens de la sensibilité, des sentiments, pour justement les mettre de côté, et devenir impitoyable. Et impitoyable, je l’avais été. L’inconvénient avec mes capacités, c’était qu’au final, passé l’effet de surprise, elles devenaient affreusement voyantes. C’était tout moi, ça, une fois que ça partait, bah on le savait. Et puis, je me gênais pas d’atomiser, si le besoin s’en faisait sentir. Mon potentiel ne devait pas être gaché, d’autant plus que j’avais la chance de me retrouver dans cette unité, à mon âge. Bon, j’avais pas non plus la puberté, hein, j’en étais sorti, mais je pouvais paraître jeune, bien que le fait d’être toujours au taquet et surtout en colère devait me vieillir un peu. Marrant ça. Un type m’avait dit un jour que la colère n’apportait rien de bon, qu’elle finirait par me consumer ou me rendre inattentif, à la portée d’un mauvais coup, d’une riposte qui verrait se finir mon cycle désastreux de passion mal tournée. Le pire dans tout ça, c’est que ça me permettait de tenir, surtout dans les moments comme celui-là, où il ne me restait rien. D’ailleurs, à sec, je l’étais peut-être, mais j’avais encore des ressources. Et le type qu’on avait du traquer pendant cette longue semaine, et qui avait déjoué tous nos tours de passe-passe, toutes nos stratégie, il n’avait rien vu venir. Je le tenais. Viens, viens me voir que je te montre ce qui me reste dans le bide !

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Tiens, il est 5h du matin, et je viens de naitre. Drôle de coïncidence, pour un petit homme, d’arriver en même temps que le soleil…d’autant que la nuit avait été terrible, à ce qu’on m’a raconté, ma mère ayant manqué d’y passer, tant j’étais dur à pondre. Il parait même que je m’en suis pris au médecin, à ma naissance, les petits poings serrés tandis que je braillais comme un cochon de lait qu’on égorge ! Issus de l’union entre une famille de fonctionnaires et de restaurateurs, la perspective de devenir Marine n’aurait pas du être à l’ordre du jour. En même temps, cela m’avait permis de conserver un cadre familial complet, ce que ne pouvaient pas se targuer bon nombre de combattants de mon âge, qui avaient vu leurs parent périr au cours de la Grande Guerre…Mais bon, que sait on de la destinée ? Pensées philosophiques à la gomme ! On avait bien vu, tout petit, que j’étais fait pour ce truc, d’autant que je courrais partout et que je cassais à peu près tout ce qui se trouvait sur mon chemin, comme une tornade qui se rend pas compte qu’elle dévaste le paysage. Et puis, le fait que mon père soit proche de la haute hiérarchie, ça a aussi joué. Un fils combattant dur comme fer, bah ça joue dans la balance ! Et s’il veut le devenir, tant mieux ! De toute manière, je crois bien que ça se serait mal passé, si d’aventure on s’était soucié de me barrer le chemin. Mieux vaut pas me foutre en colère…

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MessageSujet: Re: Kuruzamî Satsukô   Kuruzamî Satsukô EmptyLun 29 Nov 2010 - 13:59

Test RP : (désolé pour la taille, j'ai préferé miser sur la qualité, mais s'il faut absolument mettre la quantité, je le ferais.

Satsukô venait de quitter sa petite île natale afin de changer d'horizon, il avait fait le tour de toutes les choses intéressantes qu'il aurait pu trouver. Il était maintenant temps pour lui de prendre le cours de son existence en main, même si cela ne l'enthousiasmait pas plus que ça. Pour ses convictions les plus profondes, il devait respecter la promesse faite, il y a de cela quelques années déjà. Mais ce jeune homme étant une personne tellement difficile à cerner dans ses réelles convictions, que l'on ne sait pas toujours ce qu'il pense, lui non plus d'ailleurs. La journée était magnifique, le soleil était au zénith et quelques oiseaux se querellaient afin de s'octroyer le meilleur poisson du jour. Satsukô quant à lui, se trouvait allongé comme à son habitude sur le bois humide de sa barque, rien de bien gênant qui pourrait troubler son sommeil. Son navire, qui n'en était pas vraiment pas, ne respirait pas vraiment la sécurité. On aurait dit une vieille barque construite à partir des bois les plus miséreux possible. La simplicité avant tout, comme le sabre du Kuruzamî, qui se trouvait d'ailleurs sagement aux côtés de son propriétaire. Cela faisait maintenant quelques heures que le Kuruzamî voguait sur cette mer calme d'East Blue, pas un monstre à l'horizon, des conditions de navigation idéales. Coup de pouce du destin ? Peut-être bien, depuis peu Satsukô était en veine dans tout ce qu'il entreprenait. Mais malheureusement pour lui, ce moment si empreint de légèreté ne dura pas longtemps. En effet, son ventre affamé rappela le jeune chasseur de primes imprudent qui oublia de quoi se nourrir . Erreur fatale en pleine mer. Il regarda autours de lui afin de chercher une solution à ce problème trop récurrent à son goût.

« J'ai faiiiiiiim ... Y'a rien à se faire cuire par ici, j'aurai du prendre à manger au lieu de m'embarrasser de ce stupide bois. Je pourrai en faire une canne à pêche, mais j'ai pas de fil. Fait chier ... J'en ai marre. Tiens une île, je pense que je devrai aller y faire un tour. »


Brillante déduction de Satsukô car il n'y avait que cette île à l'horizon. Il n'avait donc d'autre choix que de se rendre là-bas. Le jeune affamé s'activa finalement pour changer de direction, l'appel d'un bon repas chaud ne pouvait plus attendre, il fallait qu'il subvienne à ses besoins. C'est ainsi que Sat' se plaça sur son ventre avant de plonger ses bras dans l'eau tiède de la mer d'East Blue. Et d'une motivation qu'on ne lui connaissait pas, se hâta à rejoindre la rive. Après quelques minutes d'efforts intensifs, celui-ci arriva finalement à destination et sortit de son embarcation qui commençait petit à petit à prendre l'eau. L'île était bien plus grande qu'il pouvait espérer, un grand port où des dizaines de bateaux étaient accostés lui était visible. Kuruzamî effectua les mêmes gestes qu'à l'accoutumée, un grand bâillement suivit d'un soupir de mécontentement. Le Marine commença à s'avancer jusqu'à atteindre la route principale, une rue marchande où il pourra sans problème trouver son bonheur, un délicieux repas. Lui qui avait déjà oublié quelle était la raison de sa venue ici, farfouilla dans ses poches en quête de quelques malheureux berries. Sa bonne étoile semblait l'avoir quitté. En effet, plus aucune pièce d'or à l'horizon, même pas de quoi se payer une croute de pain, Sat' allait de nouveau user de ses talents d'escrimeur pour se sortir de cette impasse. Heureusement pour lui qu'il n'oublia pas d'accrocher son fidèle ami à sa ceinture, je pense que sinon, la situation aurait été vraiment critique, voire désespérée. Quoi qu'il en soit, c'est armé de son sabre, qu'il se rendit en direction des bars les plus côtés de cette ville maritime. Enfin, il ne chercha pas vraiment de façon acharnée durant des heures, non le premier bar qui s'offrirait à lui sera le bon. Après quelques mètres de marche, il tomba sur un bar à l'allure plutôt sympathique et conviviale. Il allait surement pouvoir trouver une prime à la hauteur de ses espérances.

« Et bien je pense qu'ici je devrai pouvoir me plaire, trouver une petite prime bien facile pour s'en mettre plein le ventre. »

« Ho-hisse-ho ! Pavillon noir !
Ho-hisse-ho ! Pavillon haut !
Tant que le vent pousse la frégate,
'y a du bon temps pour les pirates. »



« Pas de doute possible, je suis bel et bien arrivé dans un bar de pirates. Je vais essayer de passer incognito pour pas provoquer de bagarre, dans mon état ça serait encore plus épuisant. »

Il se dirigea d'un pas sûr vers le tableau des primes où quelques affiches y étaient attachées. Même s'il n'y avait qu'un seul mètre le séparant de son but ultime, rien n'est jamais acquis d'avance et un faux pas peut très vite arriver. En effet, dans ses déboires, un pirate agita violemment ses bras vers l'arrière et toucha Kuruzamî qui était bien trop concentré par autre chose que pour éviter l'impact. Malheureusement pour l'ivrogne, tout l'alcool se trouvant dans son verre se retourna contre lui, de quoi sortir de ses gongs cet homme à l'allure de barbare des mers. Son honneur bafoué, il se leva afin de donner une bonne leçon à ce jeune freluquet qui n'avait bien entendu rien suivi de l'action, qu'importe. Le pirate arma son poing gauche dans l'intention de décocher une frappe qui restera dans les annales de la piraterie. Mais au moment de l'impact, celui-ci passa littéralement à travers Satsukô qui se trouvait être à quelques mètres plus loin. Le pirate trébucha dans des tonneaux de vin sans vraiment comprendre ce qu'il venait de se passer. Comment Sat' avait-il bien pu éviter le coup ? Le jeune marine ne se retourna même pas malgré le brouhaha causé par cette chute plus que ridicule. Il attrapa une affiche qui semblait convenir à ses espérances, un petit boulot pas trop difficile qui allait lui permettre de gagner un bon repas, rien de plus.

Il se retourna finalement afin d'aller régler cette affaire au plus vite. Malheureusement pour lui, les choses n'allaient pas être aussi facile que prévu. En effet, tous les pirates encore présents dans le bar venaient de se lever et tenaient tous, ou presque, de quoi poutrer le pauvre Sat'. Ils n'avaient franchement pas l'air très amicaux et le jeune homme se demandait si cela lui était destiné, peut-être se disait-il. Car manque de chance, il venait de mettre un capitaine assez modeste au tapis, la réaction de ses fidèles compagnons ne pouvait-être que celle-là. Le Kuruzamî qui n'avait pas vraiment envie d'en débattre aujourd'hui, allait devoir se bouger un peu pour se sortir de là, quelle bande d'emmerdeurs. Il soupira à nouveau avant de s'armer de son sabre en bois, ce qui provoqua une certaine hilarité chez les pirates habitués à battre le fer.

« Comment ? Tu comptes vraiment venir à bout d'une bande de pirates rien qu'avec un bout de bois ? Tu nous sous-estime petit, on va te montrer de quoi on est capable ! Allez, on y va les gars, on va se le faire rapidement ! »


« Doozo, soyez un peu respectueux de mon fidèle ami. Vous ne méritez même pas qu'il vous touche. »


*Coupure momentanée des évènements se passant à cet instant. La violence de ceux-ci nous oblige d'arrêter les passionnantes aventures du puissant Sat'. A la place, nous vous proposons un documentaire sur la construction des navires par des charpentier de tout premier choix. Veuillez nous excuser de la gène occasionnée.*


Le Kuruzamî sortit finalement du bar, il jeta un dernier coup d'œil derrière lui. Tous les pirates étaient allongés par terre, dans les vapes comme leur capitaine, ils n'étaient vraiment pas de taille à affronter le puissant Sat'. Même s'il faut bien avouer comme le niveau de ces combattants n'était vraiment pas brillant. Quoi qu'il en soit, le marine n'usa pas de tous ses talents dans la bagarre et il lui restait encore assez de forces pour empocher la précieuse récompense. Le malfrat recherché ne se trouvait pas bien loin de sa position, mais personne n'avait jamais osé l'affronter tant on dit que sa force défie toute concurrence, à vérifier donc. Sur le chemin, et signe d'un mal-être, Sat' pensait à beaucoup de choses, au pourquoi de ce voyage sur les mers. Peut-être pour découvrir un monde contenant tant de richesses. La découverte semble être la principale raison de son départ, il était toujours friand de nouveaux horizons, il ne pouvait pas vraiment rester en place quoi qu'il en dise. Il allait devenir le meilleur combattant du monde et son nom allait raisonner sur toutes les mers, pour tenir sa promesse envers son père, mort bien trop jeune. Le passé de Sat" est aussi sombre qu'une nuit d'hiver, peu de choses sont d'ailleurs connues à ce sujet. Son passé fait partie de son être même si Sat" semble avoir fait une croix dessus. Malgré cela, il ne sera pas étonnant d'en apprendre un peu plus à son sujet, à chaque étape de sa vie, à chaque nouvelle prime empochée, à chaque île découverte. Toutes les choses qui arriveront au chasseur de primes, nous permettront d'apprécier un peu plus le vrai Kuruzamî. Les questions que l'on peut se poser sur sa vie antérieure seront dévoilées au grand jour, l'avenir et les aventures du Marine s'annoncent des plus passionnantes.

« Bon, il est où celui-là. J'ai faim ... »
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MessageSujet: Re: Kuruzamî Satsukô   Kuruzamî Satsukô EmptyLun 29 Nov 2010 - 19:05

Yop ! Bienvenu !

Avant toute chose, je n'ai pas trouvé le Nikyu² dans la liste des disponibles/libérations. Est-ce normal ? (merci de mettre le niveau du fruit, la prochaine fois ^^)
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MessageSujet: Re: Kuruzamî Satsukô   Kuruzamî Satsukô EmptyLun 29 Nov 2010 - 19:39

Autant pour moi. Merci pour l'accueil. Désolé pour l'erreur, sinon j'ai remplacé le Nikyu Nikyu par le Fuwa Fuwa, le fruit de la gravité. D'après la news de Novembre, il serait libre.

Bonne soirée.
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MessageSujet: Re: Kuruzamî Satsukô   Kuruzamî Satsukô EmptyLun 29 Nov 2010 - 19:57

Yop

Au vu de la fiche, je donnerais un niveau 7 maximum. Or, le Fuwa est niveau 10. Il y a un gros problème de fluidité, ainsi que des fautes en tout genre.

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MessageSujet: Re: Kuruzamî Satsukô   Kuruzamî Satsukô Empty

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