One piece Rpg Bienvenue sur les mers du Rp, Invité |
|
| Césare, l'empereur. [uc] | |
| | Auteur | Message |
---|
Césare Nouveau
Nombre de messages : 16 Fruit du Démon : Dans l'ombre.
| Sujet: Césare, l'empereur. [uc] Mer 1 Déc 2010 - 13:35 | |
| Prénom : Césare Auditore. Surnom : Emperor, l'Empereur. Age : 24 ans Race : Humaine. Camp : Pirate Orientation Psychologique : Chaotique neutre, d'autre dirait fou a lier. Métier/spécialité : Second de Léo Crow, sa vous suffira ? Pouvoir demandé :Moku² No Mie. Rêve / but du personnage : Pouvoir et richesse, redorer le blason des Auditore, en montrant à la marine l'erreur qu'ils ont commit.. Celle de s'attaquer à un clan comme le sien, celle d'avoir détruit amis, famille, serviteurs, et d'avoir cru éradiquer les Auditore de la carte. Erreur fatale, les survivants les décimeraient. Description physique :
Deux gouttes d'eau. Un miroir. La première fois que l'on rencontre Cesare, c'est avec une impression de déjà vu fort déplaisante. Copie exacte de son frère, le jeune homme dégage pourtant quelque chose de diffèrent, et même si leur démarche est identique, la retenue qu'il arbore le sépare de son jumeau. Réellement, lorsque l'on rencontre le jeune homme, c'est la déception qui prime. Moins d'éclat , il paraît peu intéressant, dès lors que l'on regarde de près sa façon de paraître. Attitude pleine de retrait et de frustration. Ce n'est pas tant qu'il change, ni qu'il est diffèrent, c'est juste qu'en lui on germé les germes de l'obsession, de la rancœur. Allons à la rencontre d'une personne les connaissant tout deux, leur nourrice, la seule qui est survécut avec leur mère, et qui transcenda même la mort de sa maitresse pour élever seul les rejetons... Couché par écrit, ses impressions, ses désirs, dans un sombre journal tombé à la mer, oublié de tous, un manuscrit décortiqué pour vous.
Dès la naissance de ces deux là, j'ai su tout de suite, que malgré leurs ressemblances, ils ne seraient jamais les même à l'intérieur, tant bien même qu'ils se comprendraient tout deux, d'une telle force que le lien ne sera jamais brisé... Jamais. C'est sur un bateau s'échappant de l'île Auditore que je vis pour la première fois les deux enfants. L'un avait le feu de dieu, la fureur dans le regard, ce charisme et cette prestance que l'on ne donne qu'au plus grand... Il aurait pu éclipser totalement le deuxième enfant, si l'on n'avait pu observer ses yeux rien qu'un instant. Sincèrement, rien ne semblait normal dans ce regard là. Un calme, comme un jour de mer sans vent. Un calme, qui condamne aussi surement que l'absence de courants en mer. Une profondeur infinie... Ses yeux là semblaient pareille à l'océan. Le regard d'un grand à coup sur.
Ce passage là nous permet de les distinguer. L'un de feu, l'autre de glace. Mais le regard impassible de l'un fait mouche à chaque fois, tandis que l'emportement de l'autre ne fait qu'attiser les fureurs. Vingt quatre ans plus tard, ce constat n'a pas changé... Cependant, il ne nous est plus en mesure de le confirmer.
Un mètre quatre vingt de muscle, c'est quelque chose qui les rassemble. Tout comme cette cape qui cache leurs traits les plus reconnaissable, pour ne laisser qu'un prémisse de lèvre et un menton rongé par une barbe naissante. Menton peu agressif, malgré son caractère géométrique, mais qui laisse présager du reste, car aucune graisse ne vient gâcher le profil. Autre point commun, et vous me le direz, assez normal. Un teint de peau mat, presque bronzé, met en valeur, lorsque l'on réussit à le capter, un regard d'un bleu presque foncé, couleur océan, rajoutant à ce regard d'un vide effrayant un semblant de crédibilité. Car même si le jeune homme peut foudroyer du regard, c'est lorsque plus aucune intention hostile s'en dégage que l'on prend peur, car on sait alors qu'a ses yeux, plus rien d'autre n'existe. Sa chevelure, lui tombant près de la nuque lorsqu'il lui rend la liberté, est souvent emprisonnée dans un catogan sévèrement noué. Il serait facile de reprendre point par point chacune des particularités de sa moitié, cependant, ici ne vous sera dit que le nécessaire... Qu'on ne peut les distinguer en surface, et que sa tenue est pareille à la sienne.
Ainsi, s'en est terminé de la description de l'Empereur. Terminons sur un point centrale, une maxime, ou plutôt, une citation... C'est dans ce que l'on ne peut voir que tient l'essentiel... Prenez garde, Dio vi benedica, Césare.
Je n'ai rarement vu personne comme lui. Enfin, j'ai rencontré son jumeau, une fois, Rafaelo. Et même si, j'en suis persuadé, sous cette capuche, ce cache le même fasciés, on peut les reconnaître sans mal lorsque l'on possède un œil aguerri, et un peu de sensibilité. C'est dans la lecture de l'âme et dans le ressenti que la différence frappe. Comme un coup de poing, et cela fait mal, si l'on a été mal avisé de les confondre. C'est sous cette capuche de lin que ce trouve une différence essentiel, vitale. Les yeux tout d'abords. Les fenêtres vers l'âme, à un jour écrit un grand auteur. Dans ceux de Césare, on rencontre la grandeur, la magnificence, celle des grands, de ceux qui ne s'encombrent pas des détails insignifiants du peuple... Des yeux qui pourraient seulement paraître arrogants et fiers, hautains même. Seulement, oui, il y a cette déconsidération de l'humain, ce dégout permanent, mais pas pour les raisons auquel on pense, c'est par une blessure ancienne, remontant à sa naissance, par une nostalgie assorti d'une imagination trop grande. Celle de voir sa vie changée s'ils étaient toujours en vie. Revenons à ce regard profond, qui ne semble voir qu'une chose lointaine... Ce détachement que l'on ne voit que chez les stratèges les plus fins, ou bien les rois les plus doués... L'empereur ne voit rien, jusqu'à ce qu'on lui fasse remarquer les obstacles qu'il ignore... Et généralement, là, la solution vient d'elle même, il la donne, et s'en va. Tout simplement. Ensuite, c'est dans sa démarche que l'on voit que son frère et lui ne sont pas semblable. A rare moment, il adopte cette même façon de se mouvoir, à rare moment, on le confond même lorsque l'on sait regarder. Mais quand celle de Rafaelo semble fat, la sienne paraît seulement assurée et confiante. Et c'est là que tout change, lorsque l'analyse pousse jusqu'à la lecture de l'âme, ou plutôt, quand on fait attention à son « aura », cette chose que l'on ressent près de lui. Loin d'être celle d'un fauve en cage, c'est plutôt celle d'un aigle, d'un animal majestueux qui vole au delà de ce que l'on ne peut voir, croire et entreprendre. Lors d'une bataille, on croirait voir une statue, indéfectible, qui veille a ce que tout se passe comme il le prévoit.
L'Empereur n'a pas que le nom, il a aussi la prestance, l'assurance, Césare n'est pas un patronyme, mais une réalité. Description Psychologique : Calculateur
Son talent pour la stratégie ainsi que son grand son froid l'on rendu célèbre pour son art de la guerre. Durant celle-ci, rien ne lui échappe, et il aime à tout avoir sous son contrôle. Césare n'a jamais de plan définit à l'avance, malgré le fait que le pirate semble en avoir un, ce n'est qu'improvisation mêla à un semblant de génie. Savoir quand faire son devoir, quand ne pas respecter les directive, ou placer tel pion, pour contrecarrer l'avancer de l'autre, voilà son savoir faire, acquis par on ne sait quel génétique... Pour lui, les plans, et tout ce bazar, n'est utile qu'a la tribù, les gens normaux, sans une once de talent. Alors ne venez jamais lui parler de phase d'un obscur calcul guerrier. Enfin, si vous ne voulez pas qu'il vous rit au nez.
Stoïque
Ce n'est pas tant qu'il ne ressent rien. C'est qu'il a le panache des grands hommes, qui savent rester de glace devant la plus horrible de scène. Certains le cataloguerait en une obscure catégorie psychiatrique, cependant, ce n'est pas du tout cela qui cause cette absence de réaction. Cela vient tout d'abords de son manque d'intérêt pour le genre humain, qui l'a grandement déçu, secundo, c'est un entrainement de tout les instants, et qui même maitrisé, demande un perfectionnement. On peut donc comparer cela à un obscur mélange de problème psychologique, à un talent, ainsi qu'a ce don de savoir ce qui peut vous faire parvenir en haut de la pyramide. Car Césare voit le monde comme une pyramide qu'il doit escalader, et pour parvenir à son sommet, il devra toujours écraser quelqu'un. Se faisant à cette idée, le jeune homme se prépare déjà à cette phase, bien qu'il sait que jamais il ne pourra trahir son sang.
I diritti umani semplicemente...
Seulement, le confondre avec une machine est une monumentale erreur. Aussi stoïque, calculateur, orateur, négociateur qu'il soit, le Auditore n'en reste pas moins homme. Ainsi, ses réactions peuvent parfois être brutale, illogique, totalement imprévisible. Et même s'il s'abstient de le révéler , autant qu'il essaye de le cacher, l'empereur ressent des émotions... Qu'il tente, désespérément parfois, de noyer au plus profond de son être. Bien que le jeune homme ne le souhaite pas, lui aussi est arrogant, remplit d'ego et de fierté, tout comme son jumeau, la deuxième moitié de son âme. Il recherche tout autant le profit que la gloire, et n'a de cesse de vouloir la perfection.
Voilà la genre d'homme qu'est Césare. Veni, Vidi, Vici Histoire : 1- Au commencement était... Auditore est un nom proscrit. Toute personne le portant est condamné a mourir, être seul, ou bien à entrer dans une spirale de violence infinie. On appel cela le destin. La main invisible qui guide une vie, jusqu'à sa magnificence, pour ensuite lui rappeler sa basse extraction... Celle d'être un humain soumis à des lois bien supérieures que celles de la physique. Elle te mènera de toute manière jusqu'à ta perte. La mort. La dernière défaite que l'on peut subir. Même si certains contrediront ce fait, on ne peut le réfuter... Car rien, dans la mort, n'est beau ou encore glorificateur. Il n'y a que le noir, le néant, la déchéance. Les pires Nécromants ou encore les meilleurs adeptes de la faucheuses meurent un jour. Pour quelqu'un manipuler la mort, n'est-ce pas là la pire défaite envisageable ? Perdre la vie... Pourtant, une certaine logique s'en démarque, car ils se sont détournée de toutes les joies, car la plus basique qui existe est la réjouissance que l'on éprouve envers la vie. Toutes personnes, même se cachant sous un masque de fossoyeur, envie le bambin qui vient de naître, et non le putride cadavre d'un adulte ayant vécut dans le pêché, mort avec des regrets.
Je vais vous compter une histoire. Pour dramatique, elle l'est, seulement, n'allez pas prendre cela à la légère, ne commencez pas tout de suite par vous dire que c'est le genre de récit déjà mille fois entendu. Pourquoi ? Simplement car les hommes sont uniques, tout comme leurs actions, leurs réactions et leurs sentiments... Alors jamais une histoire ne sera semblable à une autre. C'est lorsque vous arriverez à comprendre tout les tenants et aboutissements de cette chronique, qu'enfin, vous concevrez la dimension de cette histoire. Ce fût comme un coup de massue. La mère morte, que pouvait-elle bien faire ? S'occuper de ces enfants avec qui elle n'avait aucun lien, qu'il soit affectif ou bien encore sanguin ? C'était un dilemme que la jeune femme avait du mal à résoudre, car la décision était importante, capitale même. Elle déterminerait de sa vie futur. Bien souvent, l'humain, dans ce genre de cas, est aidé de sa mémoire et de sa condescendance, et comme bien souvent, cela se matérialisa par la forme d'un flash, ectoplasme nostalgique de sa vie passée... Se revoyant enfant, la jeune domestique de la maison Auditore fût submergée. Elle avait neuve ans, lorsqu'elle fût abandonnée sur une île tropicale, au climat capricieux. Au début de cette sorte d'aventure qu'est la survie, elle fût rigoureusement seule, jusqu'à ces douze ans, ou les amazones la découvrirent dans la foret près du temple de leurs divinités. A sa majorité, elle émit le souhait de partir, pour découvrir ses origines... Mais le monde n'était pas telle qu'elle l'avait imaginée. Remplit d'égoïstes, de voleurs, de menteurs. Une société rongées par les pêché et les immondices. Personne ne voulait d'elle, avec son côté sauvageonne et ses muscles saillants, elle n'imposait guère confiance. Mais un couple riche avait décidé de croire en elle. Les Auditore. Après tout, elle leur devait bien cela. Honorer leurs mémoires, aider leurs fils, jusqu'à ce qu'ils puissent se débrouiller seuls, et enfin, leur dévoiler la vérité. Car jamais ils ne devraient grandir dans la haine, c'était la pire des choses à faire... l'âge de raison, ou l'on découvre les sentiments, ne doit pas être parasité par une colère que l'on ne créer pas sois même. C'était le pire des poisons, qui corromprait leurs esprits, les boufferaient jusqu'à la moelle. Le capitaine du bateau, en se raclant la gorge, la fit sortir de sa rêverie. Se retournant en sursautant, elle lui fit les gros yeux. « Vous m'avez fait peur ! » « Il faut vous décider ma petite dame, les abandonner, ou les prendre avec vous, dans les deux cas, nous vous débarquerons sur l'île la plus proche. Que souhaitez vous faire du cadavre ? »En précipitant les choses, le marin l'avait aider dans son choix. Ils vivraient. Pour de vrais, et pas en tant que boulets chez les révolutionnaires, non, ils seraient choyés, entourés, aimés. Elle décida de faire enterré son ancienne maîtresse... Non, amie, sur l'île, ou elle pourrait lui montrer ses fils grandir de l'au delà. Una storia a volte può essere banale.
Ma ha ancora un carattere diverso da un ambiente premium. L'île de Portios, disséminé parmi un petit archipel, une minuscule -si l'on peut dire cela d'un bout de terre abritant 30 habitants, terre promise pour deux enfants naissants et leurs nourrice. La pauvreté était présente, mais aucune inégalité ne touchait cette peuplade de South Blue. Le premier contact fût difficile. Les sédentaires de ce petit bout de terre étaient méfiants à l'égard des étrangers, de surcroît si ces étrangers débarquaient d'un bateau sans pavillon. Steeve à l'époque, était un peu le chef de la sécurité de l'île, même si l'homme d'une quarantaine d'année n'en avait pas le titre, ni la paie. Simple forgeron, c'était un ancien chasseur de prime, qui c'était installé sur la terre de ses ancêtres afin de retrouver la paix. L'ex-chasseur de tête avait alors trouvé cette terre en bien mauvais état, exploité par un magnat des industries d'arme à feu, intéressé par cet archipel a cause de ses minerais si spécifique. Des années durant, il s'était battu pour faire de son village une communauté soudée et indépendante, malgré l'exploitation qu'elle avait connue. Des année durant il avait travaillé afin de faire de ce petit bout de terre en mer, un paradis pour lui et ses nouveaux frères. A force de courage, de bonne parole, et d'action radicale, l'homme avait réussit, non s'en fierté. Le village exportait maintenant des minerais, vivait de la pêche et de la chasse, une milice officieuse, dont il avait la garde, était là ou cas ou des évènements comme ceux de son arrivé ne se reproduise. C'est paniqué, le regard fiévreux et le souffle court qu'un habitant de l'île ouvrit la porte de sa boutique en trombe, criant. « Mr Steeve, Mr Steeve ! »Se retournant, délaissant alors sa forge, l'interppelé, répondit d'un ton calme. « Allons, Allons, Victkor, calme toi, assis toi, je t'ecoute attentivement »Acceptant le tabouret avec plaisir, le jeune homme d'une vingtaine d'année, qui semblait pourtant s'être calmé, reprit, le regard presque fou. « Steeve, une barque... Elle se dirige vers nous ! Débarquée d'un bateau sans pavillon! »La gravité de la situation n'échappa pas à l'homme, qui enleva de suite son tablier, enfilant son manteau, cherchant quelque chose dans son établis, il demanda au messager de cette bien triste nouvelle. « Combien de temps nous reste-il ? Ils sont loins ? Qui en sont les passagers ? »Trouvant enfin ce qu'il cherchait, une petites clefs triangulaire au bords droit, celui qui s'apparentait le plus au chef du village reporta son regard sur son « invité ». « Je ne sais pas, dès que Lou à vu cela, elle m'a demandée de venir vous chercher ! »Lou, s'il était le père de cette communauté, elle en était sans doute la mère. Réconfort pour les jeunes et les moins jeunes, ce petit bout de femme, âgée de 65 ans, le surprenait encore. Sortant et pressant le pas, Steeve rassembla une dizaine d'homme sur le volet, allant à un petit baraquement se trouvant sur le chemin depuis le village pour aller sur le petit port de pêche. Entrant dans la bâtisse, il en ressortit, armé d'un fusil, ordonnant à tout les hommes d'en prendre un, le « papa » de l'île, les pressa jusqu'à la plage, et les fît même courir lorsque le bruit d'une bagarre se fit entendre. Des cris, de douloureux ou de haine, s'élevait en contrebat de leur direction. Arrivant paniqué, il découvrit cinq villageois, au prise avec une femme à l'allure féroce, bronzée et fine, elle ne payait pas de mine. A ses pieds, deux paniers en osiers semblant contenir quelque chose de précieux était déposée. La jeune femme semblait protégée cela comme d'un trésor. Ce qui intrigua le chef officieux de l'île. Cependant, pour le moment, il devait s'assurer d'une chose, que personne ne soit blessé et d'interrogé l'étrangère. Lorsqu'il arriva, plusieurs des hommes étaient à terre, tandis que la métèque vociférait à plein poumon. « Le premier qui s'approche finira comme les trois premier ! A terre ! Ne m'approchez pas ! »Il ne fallait jamais mettre une Amazone en colère. Jamais. 2 - Les germes poussent. Quand la villa du maître était au proie des flammes et que la mort empestait l'air, je senti alors tout espoir me quitter. Une sensation pareil à un pic enfoncé dans mon ventre, et à un poison s'enfonçant à mon esprit. L'être humain n'était-il bon qu'a se déchirer, se battre, mourir, tout cela pour des questions futiles ? Je le croyais. Puis j'ai pris la décision de m'occuper des enfants de la femme m'aillant recueillis quelques années plus tôt. Les hommes sont comme les plantes. On les regarde s'épanouir, et si l'on sait se réjouir de la vie, on y voit la un miracle que l'on jalouse. Rafaelo et Césare. Deux petits garçons faisant partit d'un tout plus grand. Je le sens. Jamais ils ne connaitront la solitude, il y aura toujours une épaule vers qui ce tourner pour ces jumeaux. Ils ne sont pas semblable, mais se comprennent mieux que quiconque. Rafaelo, à six ans, parle déjà mieux que tout les enfants du village, et possède un tempérament enflammé, teinté d'un égo incroyable qui en devient une force. Son frère est différent, et même moi j'ai du mal à lire en lui. Il est le calme, l'eau, quand son frère est la tempête, le feu. Et son regard me fait peur. Césare était jeune la première fois qu'il apprit que sa mère ne l'était pas vraiment. Âgé d'approximativement sept ans, tous disaient du bien de lui... Sans le connaître visiblement. On lui accordait une intelligence hors paire, un sang froid sans pareille, et une grande bonté. Tout cela était faux, car à la place de l'intellect, lui voyait en lui un esprit pratique et pragmatique. Quand l'institutrice avec dis de lui qu'il était un enfant bon et calme, lui ne voyait là qu'une façon de vivre, et un moyen d'obtenir. Adultes idiots, qui, pour la plus part, lui donnait la chaire de poule... Le traitant comme un bébé qui ne connait pas la valeurs des choses, les mots, et les valeurs morales qu'ils se targuaient d'avoir... Tout cela pour les différencier des vulgaires bêtes de somme... Pourtant, Césare ne trouvait pas beaucoup de différences évidents. Idiots, suivant les ordres, vraiment bon qu'a accomplir leurs fardeaux. Ennuyeux. Sans envergures. Non, il n'éprouvait vraiment aucun intérêt pour ces humains. Très mature, l'enfant vint très rapidement à se poser des questions sur les différences flagrantes entre lui et sa « mère ». Alors, il poussa l'investigation, posa des questions, même si il essuyait des refus la plupart du temps. Au final, lorsque vint le moment du bilan, l'enfant n'eut qu'un constat. Ce n'était pas sa mère. Du moins, biologique. Le mouvement n'est qu'un reflet de l'esprit. Le cerveau ordonne, le corps exécute, avec plus ou moins d'exactitude. Il faut savoir qu'en ce monde, rien n'est définit, rien n'est immuable. La terre, comme les cœurs. Les royaumes, tout comme les principes moraux. Il ne s'agit que d'impulsion... D 'élan. Un petit événement, qui en provoque un autre, et finalement, l'engrenage. C'est souvent comme cela que la vie perd de son sens, que l'on se sens perdu, tel un noyé en mer, condamné. Sauf que le flots n'est pas composé d'eau, mais de pensée. Un pincement au cœur, et un appel sec tire l'enfant de sa torpeur. Il n'avait finalement pas résisté à la fenêtre, et à ses promesses d'évasion... Césare était ainsi... Parfois pensif, souvent indifférent. N'ayant pas le cœur à jouer avec les autres enfants, ils préféraient apprendre, car au fond de lui, il sentait que cela lui servirait plus que de jouer au pirate et au marine, ou encore à cache cache. Dans son cœur, avait germés les graines qui poussent aujourd'hui, autant de lianes qui le retiennent à terre. Celle de la vendetta. Comment ? Personne ne le sait, peut-être qu'il avait toujours su, qui peut se targuer de connaître les mystères de la naissance et de la procréation ?
Dernière édition par Césare le Mer 15 Déc 2010 - 2:19, édité 9 fois | |
| | | Jaag Akanawa Pirate légendaire
Nombre de messages : 1404 Age : 32 Fruit du Démon : Eikyuu Eikyuu no Mie
[Feuille de personnage] • Renommée: 4600 • Wanted: 620.000.000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Ven 3 Déc 2010 - 21:41 | |
| Salut et bienvenue ^^
Cet avatar est déjà pris, merci d'en changer =)
Bonne continuation =D | |
| | | Aoi Shinihime Pirate confirmé
Nombre de messages : 215 Age : 39 Fruit du Démon : Neko Neko no Mi (modèle Tigre)
[Feuille de personnage] • Renommée: 310 • Wanted: 20.000.000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Ven 3 Déc 2010 - 23:38 | |
| Bonjour à toi!
Ton FDD est dans les fruits indisponibles car il est détenu par Akira Kuukyo. Regarde la liste des FDD disponibles ou invente le tiens. (les logias inventés sont refusés)
Merci. | |
| | | Kazuki Contre-Amiral
Profil Psy : Manipulatrice sympathique & vénale Nombre de messages : 2391 Age : 35 Fruit du Démon : South Blue
[Feuille de personnage] • Renommée: 2300 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Sam 4 Déc 2010 - 11:07 | |
| Pour l'avatar, je signale que les deux joueurs sont Jumeaux, et que j'ai donc autorisé le même avatar. | |
| | | Césare Nouveau
Nombre de messages : 16 Fruit du Démon : Dans l'ombre.
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Lun 6 Déc 2010 - 23:57 | |
| Bonsoir =) Comme l'a souligné Kazuki, je suis le jumeau de Rafaelo, je pense donc que cela ne posera pas de problème ^^. Ensuite, pour le fruit, je demande à obtenir le Moku moku no mie, si cela m'est accessible, ma fiche viendra dans la semaine à venir je pense. Bonne soir, merci. | |
| | | Kazuki Contre-Amiral
Profil Psy : Manipulatrice sympathique & vénale Nombre de messages : 2391 Age : 35 Fruit du Démon : South Blue
[Feuille de personnage] • Renommée: 2300 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Mar 7 Déc 2010 - 17:12 | |
| Le Moku² n'est malheureusement plus disponible | |
| | | Césare Nouveau
Nombre de messages : 16 Fruit du Démon : Dans l'ombre.
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Mar 7 Déc 2010 - 21:13 | |
| Après avoir parlé avec Léo, il m'a dis que le Moku Moku était repartie chez son propriétaire. Cela veut-il donc dire que le fruit qu'il avait avant : Le Hie Hie est libre ? Si oui, y-a-t-il possibilité que je le demande ? | |
| | | Kazuki Contre-Amiral
Profil Psy : Manipulatrice sympathique & vénale Nombre de messages : 2391 Age : 35 Fruit du Démon : South Blue
[Feuille de personnage] • Renommée: 2300 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Mer 8 Déc 2010 - 18:42 | |
| Yop !
Y'a eu une petite confusion dans les fruits (beaucoup de changements et de rechangements en même temps). Donc c'est le Hie Hie qui a été échangé contre le Moku². Ce qui fait donc que ce dernier est libre.
Ensuite, je donnerais environs un niveau 7 à ta fiche. Quelques fautes traînent et y'a des lourdeurs. Mais le niveau 8 est envisageable ^^ | |
| | | Césare Nouveau
Nombre de messages : 16 Fruit du Démon : Dans l'ombre.
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Ven 10 Déc 2010 - 1:00 | |
| Ok, donc c'était bien le Moku si j'ai bien tout compris ? x) Pour la fiche, il me reste la suite de l'histoire à écrire, et donc, à relire et corriger =) Je pense finir ça dans la semaine qui vient ^^. Merci Kazuki Very Happy
[Edit : Bon, bon, bon. D'un coté, on m'dit que le Moku est prit, de l'autre, qu'il est libre. je pourrais avoir un avis définitif s'il vous plait ? Car entre les contradictions, le fait que l'ex possesseur à le Hie Hie marqué dans son profil, le moku marqué dans la liste des disponible, aucune demande d'inversement du changement, je comprends plus rien ! ._. Merci.] | |
| | | Kazuki Contre-Amiral
Profil Psy : Manipulatrice sympathique & vénale Nombre de messages : 2391 Age : 35 Fruit du Démon : South Blue
[Feuille de personnage] • Renommée: 2300 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Ven 10 Déc 2010 - 19:16 | |
| Je le dis, et que tout le monde le sache : Kemuri Seigi a échangé le Moku² contre le Hie². Le Moku² est libre, à moins d'avoir été validé depuis hier, et ceci est une réponse officielle. | |
| | | Césare Nouveau
Nombre de messages : 16 Fruit du Démon : Dans l'ombre.
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] Ven 10 Déc 2010 - 21:26 | |
| Merci beaucoup Kazuki, je suis encore une fois désolé de t'avoir embêté pour ça ^^' | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Césare, l'empereur. [uc] | |
| |
| | | | Césare, l'empereur. [uc] | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|