Kaf, un Marine pas comme les autres. [[Bientot fini]]

- Présentation du personnage -

Spoiler:

Kaf est toujours habillé de son uniforme marine, reflétant ça personnalité assez carré. Le visage de l’épéiste est jeune, et ne laisse aucunes ridules apparaitre, d’ailleurs quotidiennement il soigne son apparence. Des petits gestes simples comme redresser son chapeau à l’aide de ses grandes mains puissantes et ses longs doigts fins et habile. Son corps est long et fin, il ne veut en aucun cas ressembler à un gros lard ou à une bête musclé, pour lui un bon épéiste se doit d’être rapide et agile, il est donc mieux d’être léger. Sa chevelure est longue, et il prend soin de cette tignasse noir foncé chaque matin avant le grand rassemblement. S’il devait emporter une seul chose avec lui lors d’un voyage, et bien cette chose se trouve caché dans son fourreau posé sur sa cuisse droite et se nomme C1d9. Son visage est tout se qu’il y a de plus banal, les yeux marrons, nez fin, petite bouche, oreilles discrètes, l’ensemble s’accorde plutôt bien et attire beaucoup la gente féminine. Le corps droit dans chacun de ses déplacements Kaf à la posture d’un amiral en chef. Son corps ne comporte ni tatouage ni piercing, il n’est pas assez excentrique pour en faire, et il souhaite que chacun de ses combats laissent une cicatrice elles seront dit-il preuves de combativité et il espère aussi, de victoire. Kaf est physiquement tout se qu’il y a de plus banal, il n’aime de toute façon pas attirer l’attention.

La première facette de sa personnalité est bloquée au fond de son cerveau depuis que le jeune homme est devenu un marine. Comment dire, la hiérarchie fait qu’il doit se taire et exécuter les ordres donnés par ses supérieurs. Se faire dicter le moindre de ses fais et gestes est pour lui une chose difficile à accepter psychologiquement, cela s’explique simplement. Kaf était le cadet de la famille, privé de la présence de son père, il devait diriger ses frères et sœurs et parfois même sa mère, il donnait aussi des cours de maniement du sabre, enfin bref Kaf est un meneur dans l’âme et être le sous fifre des gradé ne l’enchante pas du tout. La deuxième facette l’aide à se calmer lorsque son colonel lui gueule dessus parce que son lit n’est pas au carré, ou qu’il ne marche pas au pas, il a la tète sur les épaules. Le jeune marine sait qu’il doit réussir que c’est la seul chance pour lui de pouvoir manger correctement, alors il tient bon et ne lâche pas, étant amoureux de sa petite famille le première classe compte bien en être la fierté. L’ancien maitre bretteur ne connait pas encore grand chose dans le nouveau monde où il vit mais il persévère, et il manie très bien la lame, il est jeune bête et n’hésitera pas à faire par de ses idées même devant un Amiral de toute façon il n’a pas encore conscience de la gravité de certains de ses actes. Il aimerait se faire des amis, pour combler le manque qu’il éprouve dans les moments nostalgique lorsqu’il repense à sa famille. Justement la seul chose pouvant réellement le rendre colérique sont les insulte en égard de sa famille, son histoire sera vous faire comprendre pourquoi. Se n’est pas que qu’il soit un méchant garçon mais c’est juste qu’il a prit gout à tuer des pirates ou autre hors la loi, pour lui cela semble normal car si il y a des lois elles doivent êtres respectées autrement le monde partirait en vrille. Rien est trop gore pour effrayer Kaf, Bizarrement il est plus déstabilisé lorsqu’une jeune fille lu fait des avances que quand il voit un corps ouvert de l’épaule jusqu’au péroné gisant dans un bain de sang. Les camarades de Kaf diront qu’il est lunatique car il passe du mode rieur à dépressif voir même assassin. L’épéiste ne connait pas de juste milieu, on pourrait dire que pour lui c’est soit chauve ou alors trois perruques. C’est sure Kaf est un première classe pas comme les autres.

Au petit matin, alors que le soleil se lève, les habitant d’un petit village caché sur l’ile de Comictown s’affaire à de diverse activités, laver le linge au bord de la rivière par exemple, ou couper du bois pour les pères de famille. L’activité principale restait la chasse, en foret bien sur mais aussi la chasse au poisson, qui consiste à tuer les êtres écaillé à l’aide d’une mini lance en bois solide. La terre était fertile aux alentours du village, les fleurs étaient toutes plus jolis les unes que les autres, les abeilles butinaient le miel sous un soleil radieux dans un ciel immense et les bambins rigolaient tous comme si leurs vies en dépendaient. Chacun avaient leurs rôles et ce petit regroupement d’habitation pouvait être considéré comme une petite tribu sédentaire. La famille Malbar était reconnu, car à cette époque la naissance de leurs premier enfant était attendu, cela faisait déjà 9 mois que Katy Malbar portait l’être attendu dans son ventre. Les autres habitant s’afféraient à rendre la vie des Malbar Plus faciles, on pourrait dire qu’ils étaient aux petits soins.
A l’extérieur de la cabane familiale une vingtaine de personne tournaient en rond, Katy allait accoucher. La nouvelle s’était rependue dans la tribu, une cinquantaine de bouquets de fleurs étaient posé en guise d’offrande devant l’escalier en bois en face de la porte d’entrée. A l’intérieur, la mère était allongée sur une table médicale portable qu’avait transportée avec lui le médecin familiale, qui était réputé pour ses opérations chirurgicales parfaites. Le médecin bougeait la tête de gauche à droite en regardant le père du nourrisson, comme si quelques choses n’allaient pas. Le nourrisson était sortit par les pieds, le père n’eut pu supporter la vision de son fils, allongé entre les jambes de sa femme dans une flac de sang tous les deux en pleur, bien que les cris du nourrisson couvraient largement ceux de la maman. Le Docteur eut détecté une anomalie sur le bébé, la peau de ses mains ne s’étaient pas développé, il fallait mener une opération chirurgical. Le père était déjà sous le choc, mais après qu’il eut appris cette nouvelle il s’évanouit, sa tempe frappa contre le rebord du fauteuil en bois, c’est se qu’on appel une mort bête. Le docteur n’avait pas le temps de s’occuper du père, il endormi le bébé, afin de mener une opération hors du commun, du jamais vue pour lui auparavant. Personne n’a assisté à l’opération mais ceux qui attendaient dehors avaient pu voir l’assistant du docteur partir et revenir avec du matériels médicale, et des plaques de métaux fins.
Le docteur avait simplement endormit le bébé qui avait été nommé Kaf par sa mère, et disposé de fines couche de métal, sur les bras et les mains de celui-ci. Le métal était si fin, qu’il épousé parfaitement les bras, avant bras et surtout les mains du nourrisson. Kaf pouvait utiliser ses articulations comme un être humain normal, cette fine couche de métal servait en fait de gant pour remplacer la peau qui n’avait pas eut le temps de se développer, sur le bras et les mains du bébé. Se métal résiste à la chaleur, et le Médecin était assez fière de son opération.


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Où en est cette présentation ?

pareil qu'au dessus

Pas de nouvelles -> corbeille.