- Présentation du joueur IRL -
Prénom :/
Age : 22 ans
Homme/Femme/Okama : ♀
Comment avez vous connu le forum : Par le partenaire Rise of Shinobi
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Cela va varier en fonction de mes journées mais en moyenne, deux ou trois heures par jours.
Tes Mangas préférés : Ceux de Clamp et de Kaori Yuki.
Ton personnage préféré dans One Piece : /
Ce qui t'as motivé à venir : J’avais envie de changée d’univers et vu qu’un ami voulait faire un équipage, me voilà.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : J’ai été admin pendant un an de Naruto Ultimate. Je fais du rp depuis maintenant 5 ans, dans des univers divers et variés.
Hobbys : Le rp, lire&écrire, regarder des documentaires
Autre(s) : - Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Von Beliefeld Cecilia
• Surnom : Lady C.C ou le Kaiman Blanc
• Age : 20 ans
• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humaine
• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate
• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Bonne
• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Medecin-Vétérinaire et éleveuse de reptile
• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) :
• Rêve(s)/But(s) du personnage :
• Code présentation [OBLIGATOIRE] à mettre entre les balises
Code:
(Vous trouverez ce code très facilement si vous lisez toutes les règles du forum, où il se cache) :
◘ Description Physique : Quand on aperçoit pour la première fois la jeune femme, la chose qui saute aux yeux est sans nul doute, la couleur de ses cheveux. D’un vert clair pouvant viré parfois au vert-citron selon la luminosité qui sont capturé dans ceux-ci. Elle possède de longs cheveux lui arrivant au bas du dos, qu’elle préfère laisser pendre au grès du vent, même s’il lui arrive des les attachées en une queue lâche à l’aide d’un ruban. La coupe est très standard, sans aucun dégradé ni autre effet, puisqu’elle laisse simplement des mèches recouvrir son front qui descende jusque dans son visage, sans pour autant caché les yeux de la demoiselle. Ceux-ci sont d’ailleurs en amande et possède une couleur qu’on pourrait presque qualifiée de dorée. Pourtant ils ne sont qu’un mélange de vert et de brun. Sous certaine lumière ont voit clairement que les prunelles sont verte mais sous un autre éclairage que c’est un brun très clair. Cet étrange phénomène est du à ce que le dessus de la pupille est de couleur verte et le bas brun, le milieu semble légèrement m’odoré. Plusieurs peintre ont essayé de capturer l’essence de ses yeux mais sans aucun succès.
Un qualificatif qu’on pourrait donner à Cecilia est mignon. Sans pour autant être une très belle femme, elle n’est pas laide. Elle a un visage au trait fin, au teint rosée qui pourrait être une preuve de bonne santé. Un nez un peu trop long au goût de la demoiselle qui va pourtant avec l’harmonie du reste de son visage sans aucune cicatrice ni bouton. Des lèvres fines dont la plupart du temps est munie d’un sourire. La jeune femme ne porte que très rarement du maquillage mais quand elle le fait, elle se contente d’un peu de rouge à lèvre et du phare à paupière. Un cou fin qui serai idéal pour les colliers diverse et varier que possède la demoiselle et qu’elle aime harmoniser avec ses tenues.
La jeune adulte semble un peu fluette, vu qu’elle n’est pas très épaisse. Il est vrai que celle-ci ne fait que 1m60 sans les talons de ses bottes qui lui permette de gagné entre 5 et 10cm et qu’elle ne pèse pas plus de 50kg. Pourtant elle est capable de soulever des charges plus ou moins lourdes et faire des travaux assez éprouvants. Ses longs doigts qu’on pourrait croire fait pour le piano ou la harpe, sont fermes et solide. Sa force d’ailleurs réside dans ses mains et particulièrement dans ses doigts.
Passons à la garde de robe de Cecilia. Celle-ci possède plusieurs robes au coloris variées, comme mauve, rouge ou encore noire. Cependant même si celle-ci est assez impressionnantes pour leur diversité. La demoiselle porte quand même une tenue plus classique la plupart du temps. Comme le long manteau noire qui débute au début de son cou et laisse dénudé ses épaules pour descendre jusqu'à ses cheville mais s’échancre à partir de ses cuisses. Parfois elle ajoute un pantalon blanc, d’autres fois non mais elle porte celui-ci dans ce cas avec un mini short. Dans les deux cas, elle met de longues bottes blanches qui remontent jusqu'à ses genoux. Quand elle prend son rôle de médecin, elle enfile par-dessus sa tunique, une sorte de combinaison blanche munie de plusieurs ceintures. Elle a parfois cet attirail en dessous du long manteau, cela dépend si la jeune femme reste à terre ou non.
◘ Caractère & morale : Cecilia contrairement à beaucoup de noble n’est pas hautaine, c’est même tous le contraire. De part son éducation, elle connait bien le monde des aristocrates et possède de bonne manière mais c’est bien tous ce qu’elle à en commun avec le ‘’grand monde’’. Car, elle est particulièrement sensible aux problèmes des autres, elle est toujours là pour donner un petit coup de main si nécessaire. Elle ne supporte pas les gens arrogants, qui n’hésite pas à blessé autrui parce qu’il les estime inférieur. Les gens qui se comporte de manière violente, grossière et qui font leur propre lois, sans se souciée de celle déjà établi. D’une nature douce, elle aime prendre soin des autres et sans pour autant imposée sa façon de pensée, elle fait en sorte que celle-ci soit respectée. La verte n’est pas de nature dépensière mais ce n’est pas pour autant qu’elle regarde se qu’elle dépense, comme toute les jeunes filles de bonne famille, elle peut se trouver très capricieuse. Ce que veut la jeune femme, elle doit l’avoir, quitte à faire faire un détour pour cela. Heureusement, elle n’est pas trop exigeante mais vu qu’elle est très têtue, il lui est difficile d’ôté une idée de la tête.
Aventureuse, elle a toujours soif de nouvelle découverte et possède une personnalité plutôt vivante. Ce n’est pas du genre à vérifier si l’eau est assez profonde avant de sauter, sans pour autant être imprudente, elle ne fait pas vraiment attention à ce genre de chose. Toujours souriante, il lui arrive tout de même de se mettre en colère et là, il ne vaut mieux pas être dans les parages. Cecilia peut très bien se mettre dans une colère noire dans la seconde, alors qu’il n’y avait aucune prémisse avant mais quand cela arrive, la demoiselle se transforme en furie. Elle attaque aussi bien verbalement que physiquement. Cependant, la jeune femme ne se met rarement en colère pour elle-même, si cela arrive, ses crises sont bien moins grande que pour autrui.
◘ Histoire :
Notre histoire commence dans une petite îles parmi tant d'autre dans le South Blue. Dans un pays prospère, plus spécialement, dans une des grandes villas du royaume. Des bruits de pas martelaient le sol pour s’éteindre quand la botte entrait sur le tapis mais ce n’était que de courte durée avant de retourner sur le dallage. Une silhouette faisait les cent pas devant une porte en chêne, son pouce sur ses lèvres, rongée par l’inquiétude. Tandis que sur le fauteuil rouge en velours un petit garçon de cinq ans était assis suivant du regard les allées et venue de l’adulte.
Mettant fin à cette attente pesante, un grand cri retentit dans le couleur, faisant sursauter l’enfant qui riva rapidement son regard vers la porte alors que l’homme venait de s’immobilisée au milieu de couloir. Le cri perçant fit peu à peu place à des pleurs et la porte fermée s’ouvrit à la volée. Une femme en sorti avec un grand sourire sur les lèvres, elle portait dans ses bras un petit paquet blanc, qu’elle apporta au maître des lieux.
-« Félicitation Duc Von Beliefeld, c’est une petite fille. »L’homme se contenta de sourire, prenant avec une certaine gène le petit corps contre lui. Regardant le nouvel membre de sa famille. Le petit garçon avait sauté au bas du fauteuil pour s’avancer vers son père, intriguée par ce qu’il tenait avec autant de délicatesse. Le noble jeta un coup d’œil à son fils et se dirigea vers une des chaises à côté de la porte et s’empressa de s’y installé. Le petit bonhomme s’approcha presque en courant, curieux.
-« C’est quoi ca, Père ? »
-« Ta petite sœur. Cecilia Von Beliefeld » Répondit fièrement l’homme en écartant un peu le drap blanc pour que son fils puisse voir la petite frimousse qui était déjà endormie.
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Ce fut la seule fois que le propriétaire des lieux prit dans ses bras sa fille. Il était beaucoup trop occupé dans les affaires du pays et surtout à satisfaire les caprices de la famille royale pour pouvoir être au petit soin avec la sienne. Sa femme, Lady Suzanne, avait toujours été de faible constitution et avec les années cela s’aggravait, elle fut même hospitalisée pendant de longues semaines, l’année des cinq ans de sa fille. Elle ne put revenir au manoir qu’avec la promesse qu’elle devait avoir toujours un médecin auprès d’elle.
La gouvernante essayait de donnée une bonne éducation à la petite demoiselle mais celle-ci n’était pas toujours facile. Débordant d’énergie, elle courrait d’un coin à l’autre de la maison. Plus d’une fois elle s’était écorchée mais elle ne perdait pas pour autant son sourire. Parce à peine avait-elle touchée le sol que son grand-frère venait pour s’empressée de la consolée. Celui-ci était très protecteur vis-à-vis d’elle, l’amenant discrètement auprès de la chambre de sa mère, alors que normalement on ne pouvait pas y entrer, ou encore à ses cours d’escrime. L’enfant passait plus de temps avec les domestiques de leur demeure qu’avec les enfants de la haute société, qu’elle n’appréciait pas beaucoup d’ailleurs.
La petite fille aimait prendre soin de sa mère et le médecin tous au long de son enfance lui apprenait les gestes. La complimenta plus d’une fois dans son rôle d’assistante. Ce qui faisait très plaisir à la gamine. Quand elle ne passait pas son temps près de la femme chargée de la santé de sa mère, elle le passait avec le garçon d’écurie ou à regarder les cours d’escrime de son frère. La jeune lady ne se voyait pas sortir en dehors de sa propriété, elle aimait la bulle dans lequel elle vivait même si parfois, elle était déçue de ne pas voir un peu plus son père.
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Cécilia vécu comme cela partagée entre le monde des riches et plus modeste, comblée et très heureuse jusqu'à se qu’elle eut quinze ans. A partir de cette année, sa vie avait basculée. La demoiselle avait vu les choses d’enchainée l’une après l’autre, sans rien ne pouvoir y faire et en définitive, son monde s’était écroulé.
Tous avait commencée avec la mort de sa mère, celle-ci était au plus mal depuis plusieurs mois et elle fini par rendre son dernier souffle. Il y avait longtemps qu’elle n’était plus capable de se déplacée par elle-même mais elle avait demandée à son fils de la conduire dans les jardins. D’après se qu’elle avait compris, ils avaient tous deux eut, une très longue conversation puis elle lui avait demandée de la laissée seule, histoire qu’elle profite du paysage. Elle était morte un sourire aux lèvres en même temps que le soleil disparaissait à l’horizon.
Peu de temps après cette tragédie, ce fut avec un nœud à l’estomac, qu’elle apprit que son frère devait quitter le pays. Elle n’avait pas bien compris pourquoi celui-ci devait partir et elle avait même essayé de le retenir. Celui-ci avait toujours fait en sorte que personne n’approche de trop près sa petite sœur, surtout la gente masculine, plus qu’un frère, elle perdait un ami, un confident. Ce n’est que plusieurs semaines plus tard, qu’elle apprit que c’était une décision de son père. Celui-ci avait décidé de reprendre sa famille en main, après de longues années d’absence. Il pensait bon pour l’éducation de son fils que celui-ci s’engage dans la Marine. Il ne lui avait laissé guerre le choix, c’était une des nombreuses conditions pour qu’il ne soit pas déshérité. Cependant, l’adolescente savait qu’il y avait bien plus que cela en jeu sans pour autant en connaître les règles.
Son père se mit en tête de refaire également son éducation, elle dut oublier les quelques amis qu’elle avait au village, le maître des lieux ne trouvant pas convenable que quelqu’un de son rang, fréquente des gens du peuple. Elle dut également oubliée tout les travaux qui s’apparentaient à la vie domestique, elle ne pouvait plus aider le garçon d’écurie à prendre soin des chevaux ni même le jardinier dans l’entretien de la propriété. Encore moins les soins divers et variées aussi bien pour les domestiques que les gens du village. Il avait d’ailleurs réprimandé et renvoyer la gouvernante car il estimait que celle-ci lui avait donnée beaucoup trop de liberté.
Le sourire de la jeune Cecilia s’éteignit peu à peu pour ne plus devenir qu’une pâle copie, juste un rictus de circonstance et de paraître. Sa personnalité vivante et débordante fut petit à petit contenue. Elle devient en quelques années, une jeune femme du monde. Devant se rendre à d’innombrable réception, chose qu’elle avait appris à évité avec soin, juste une présence avant de partir mais là, elle devait restée. La jeune adulte rentrait dans le moule, comme n’importe quel noble, sans pour autant ressentir le plaisir de parler avec ceux-ci. Parce que même si elle aimait les vêtements, elle ne voulait pas parler pendant des heures de cet unique sujet ou même faire des paris avec les autres demoiselles sur son futur époux. Dans toutes ses conversations vides de sens, elle avait l’impression que c’était de son essence qu’on la vidait. De plus, elle n’avait put revoir son frère que lors de rare événement et elle pouvait constater que lui aussi son univers l’avait marquée.
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Cecilia se tenait devant un grand miroir à pied et elle retenait un soupir dans sa gorge alors qu’elle contemplait son reflet. Ses longs cheveux verts qui lui arrivait jusqu’au bas du dos avait fait place à des nattes serrée retenue au sommet de son crâne par une couronne en argent incrustée de pierre rouge. Elle portait une longue robe blanche sans bretelle avec un gros nœud dans son dos qui camouflait les ballerines de la même couleur. De long gant noire qui montait jusqu’au coude achevait la panoplie. La demoiselle monta ses doigts gantée jusqu'à la surface glacée, passant ceux-ci sur son image. Un autre soupir franchit ses lèvres alors qu’elle resserrait ses doigts pour en former presque un poing.
La fille du Duc c’était pliée à ses volontés depuis à présent quatre années. Elle avait du enfermer sa personnalité, ses rêves, son existence à double tour dans son cœur pour en arrivé là. Un mariage sans aucun amour et qui si son frère n’était pas constamment tenu à l’écart, aurait certainement refusé. Bien qu’elle en doutait un peu, celui-ci avait tellement changé, qu’elle ne savait plus, si elle aurait pu compter sur lui dans ce dur instant. Son père avait donnée sa main à une famille d’un autre pays dont les tensions étaient quelques peu tendue avec le leur. Les princesses étant toute mariée et que le Duc Von Beliefeld était connu comme un de ses plus fidèles hommes, un accord avait été signé.
La verte entendit plusieurs coup se faire contre la porte et elle contempla le voile qu’elle devait ajouter, comme si elle avait un revolver sur la nuque. Si elle avait eut son mot à dire, elle aurait refusé, parce que même si elle devait se taire depuis trop longtemps, cela restait quand même un humain et pas juste du bétail. Il serait mentir de dire qu’elle ne savait pas qu’elle ferait un mariage d’intérêt mais elle avait au moins espérée que ce serai avec un homme qu’elle connaissait et qu’elle aurait appris à connaître pendant leur fiançailles. Alors qu’ici, la première fois qu’elle allait voir son futur époux, c’était devant l’autel.
Au fur et à mesure qu’elle avançait sur le tapis, elle revoyait sa vie défilée devant ses yeux. Ses doux moments auprès de sa mère, des disputes avec les pestes de la coure, des séances d’escrime et autres leçon que son frère lui donnait. Voir le visage souriant des gens qu’elle aimait alors qu’elle montait pour la première fois à cheval, sa première chute et les regards inquiet de ceux-ci. Peu à peu, elle sentait tous se qu’elle avait enfermée en elle, poussée la porte afin de crochetée la serrure et quand elle fut devant l’autel. Les prunelles qui avaient été si souvent vide, reprenait vie, son sourire qui n’était que façade, fut plus lumineux.
D’un coup, Cécilia jeta son bouquet de fleur sur le sol. Les cris horrifiés ne tardèrent pas à s’élevée alors qu’elle avait pu voir du coin de l’œil, chacun sursauté. Sans attendre que les gens alentour reprennent leur esprit, elle s’encourut vers la porte de sortie. Elle sortait enfin de la torpeur dans lequel elle s’était plongée, elle sentait peu à peu la liberté reprendre ses droits. Sans plus un regard en arrière, elle se dépêcha de courir vers la ville. Elle savait que bientôt des recherche serai organisée pour récupérée la mariée mais elle était désavantagée vu qu’elle ne connaissait pas du tout ce pays et encore moins cette ville. Epuisée par toute ses émotions ainsi que cette course effrénée, elle alla se cachée près du port. Il fallait qu’elle se faufile dans le premier bateau qu’elle verrait afin de prendre sa vie en main.
Elle allait atteindre un navire, quand elle entendit les soldats se rapprocher, ceux-ci avait apparemment la même idée, qui n’était pas très originale, il fallait le dire. La verte se précipita vers le premier homme qu’elle voyait, le seul aussi dans les alentour et attrapa la cape qui volait au vent.
-« Aidez-moi » Murmura-t-elle en se cachant derrière lui alors que les gardes apparaissait dans la lumière de la lune.
Sous les yeux effarée de la jeune femme, elle vit celui-ci se débarrassée avec une certaine facilité des cinq hommes qui était à ses trousses. Cependant, elle se doutait qui bientôt d’autre viendrait et elle ne devait pas être la seule arrivée à cette conclusion vu que l’homme lui saisit le poignet pour qu’ils se mettent à courir.
Ce fut ainsi que la vie de Cecilia Von Beliefeld prit un autre tournant, une existence qu’elle n’aurait jamais soupçonnée dans son manoir. Un futur qu’on ne lui aurait jamais prédit le jour de sa naissance. Le jour où, elle rencontre le Capitaine Fubukitsu Sho