Présentation de la main de Râ [Terminé]

Prénom : Romain
Age : 17 ans
Homme/Femme/Okama : homme
Comment avez vous connu le forum : grâce à Stark Lawcoe
Combien d'heures vous vous connectez par jour : au moins deux heures
Tes Mangas préférés : Naruto, One Piece, D-Grey-Man, Monster
Ton personnage préféré dans One Piece : Ace!!
Ce qui t'as motivé à venir : c'est un forum actif et sérieux.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : J'ai RP un peut il y a un an
Hobbys : musique, anime, amies et RP bien sûr
Autre(s) : /

- Présentation du personnage -

• Nom & Prenom : Illapa

• Surnom : /

• Age : 18ans

•Race : humain

• Camp : Marine

• Orientation psychologique : Pieux

• Métier/Spécialité : Cuisto

• Pouvoir demandé : J’aimerais une lame des 50. Celle-ci aurait la particularité de prendre une couleur bien précise après que mon personnage donne le premier coup à son adversaire. La lame est blanche si l’adversaire du jeune homme et une âme pure, grise si il a déjà tué mais avec modération et noir si son ennemi est un tueur en série qui prend du plaisir dans ses méfaits. Plus l’adversaire est mauvais, plus la lame est tranchante, une fois noire elle tranche l'ennemie comme on coupe un morceau de beurre. Par contre si son adversaire a une âme pure, alors la lame le caressera comme une plume. A ajouter que les lames son enduites par Illapa, de poison qui entrainent une forte fièvre à celui dont elle tranche la peau, une seul égratignure peut suffire. La lame des cinquante et la plus grande des deux lames qu’Illapa utilise, la deuxième est juste recouverte de poison ayant le même effet que son homologue .

• Rêve(s)/But(s) du personnage : tuer les pécheurs

• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] à mettre entre balises [/hide][hide]

◘ Description Physique :

Aux premiers abords Illapa n’est pas un sabreur redoutable, du haut de ses un mètres soixante-dix, il est facile de le surclasser dans ce domaine. Accompagné de ses dix-huit printemps le jeune homme n’a rien à envier aux Shanks ou Ace dans le domaine de la musculation, en effet ses muscle saillant sont un bon motif de dissuasion pour quiconque voudrait se battre. Sa peau mate est couverte de tatouages, ceux-ci sont la marque la plus visible de sa foie, sur son dos on voit la terre, celle-ci est porté par deux mains. Ses mains soutiennent par le bas la terre, elles appartiennent à deux personnes différentes. Ces deux personnes que l’on voit de profil ne sont autre que les représentations de Râ et de Catequic. Les deux dieux se regardent avec une lance dans leur autre main. Au niveau du dos le début d’un capuchon qui recouvre toute sa nuque et qui continut jusqu’à la couronne en or du jeun homme. Celle-ci a plusieurs significations, tout d’abord elle représente le soleil qui brille sur la terre et donc Ra, mais elle va encore plus loin, la couronne qui est généralement destinée aux rois veut dire qu’une fois mort il régnera sur un bout du royaume de Râ. Il, porte deux gros bracelets en or, ceux-ci servent à cacher les mutilations qu’il se fait après chaque mort qu’il engrange. L’autre bracelet qu’il a à son bras droit, plus haut que le premier, il l’a eu lors de son baptême, il représente son animal gardien, le serpent.

Pour en finir avec toute cette bling-bling récurrente, son collier qu’il porte fièrement représente un diplôme, son diplôme de vengeur. Cette manière de porter l’or n’est pas une façon de se la péter, mais c’est une façon de montrer la puissance de son dieux grâce à des objets en matière précieuse. A part son capuchon noir brodé d’or il a pour seul vêtements un pantalon de soit noir, celui-ci est parcouru par de longues bottes noires de cuire qui lui arrivent jusqu’au bas des genoux. Le jeun guerrier porte deux dagues, elles ont chacune une poignet dont l’extrémité représente une tête de serpent. Ces poignets sont en or, cette paire de dague est plutôt redoutable, un seul coup et c’est une bonne fièvre garantit. Les deux armes sont rangées dans deux fourreaux que l’épéiste cache dans son capuchon, plutôt original non ? Enfin bon, ne nous dissipons pas, maintenant il est plus que temps de présenter le visage du héros ! Commençons par ses yeux, ils sont gris comme son familier, de plus ils sont très perçant et peuvent servir à intimider l’adversaire. Ses sourcil sont bien souvent plissés, du genre « Il a quoi lui ?! ». Malgré cette expression peut sympathique il n’a pas d’expression dominante sur son visage. Oh, j’ai faillit oublier son magnifique(ou pas) serpent, celui-ci a le ventre couvert d’écailles grises et le dos couvert d’écailles verte. Ses croc son acérés et il suffit bien souvent qu’il les montre pour dissuader tous agresseurs potentiel. Pour finir, lui et son maître ont les yeux identiques.

◘ Caractère & morale :

Par ou commencer ?...Ses goûts…Ok, vous verrez que Illapa est un garçon plutôt…Religieux ! En effet étant un disciple d’une confrérie vénérant Râ, le dieux du soleil et Catequic le dieux de la foudre celui-ci à comme principal passe-temps la prière, c’est vrai que pour beaucoup rester les mains jointes collées au torse, à parler à un dieux que l’on ne voit pas, peut paraître inutile et dénué de tous sens, mais ne vous permettez pas de le critiquer, sinon, vous risqueriez de le vexer et là… En effet pour lui la prière n’est pas une obligation, mais un vrai plaisir, à chacun de ses temps libres il liera un versé de son livre sacré. Bien sur le jeune homme n’est pas toujours la tête dans sa religion et au risque d’en étonner certain sa deuxième passion c’est les armes, quoi, un belligérant pieux ?! Oui, dans sa religion il est obligatoire de tuer, mais pas n’importe qui, tuer les tueurs, ceux qui tuent sans scrupules pour leur propre compte. Il se considère comme un assassin envoyé par son dieu pour punir les pécheurs. C’est avec une application hors du commun que celui-ci bichonne ses deux dagues. En plus de ses deux dagues le jeun homme a un serpent de compagnie, enfin si on veut. En effet celui-ci est venimeux ce qui ne plait pas toujours aux invités de Illapa, mais qui fait de Plaga (hey oui, il a un nom) une arme redoutable. C’est avec ce reptile rusé que le jeun homme aime jouer de la flûte de pan, une passion plutôt bizarre pour un jeun tueur fanatique, non ? De surcroît, le marin a le chic pour tomber dans les défis les plus loufoque, mais ce n’est pas de sa faute s’il est un grand challenger ?

Passons ensemble(enfin je l’espère) à ce qui a le mérite de répugner notre ami, les lieux sans végétations, en effet ces lieux vont à l’encontre des idéaux d’ Illapa, lui qui est un fervent adepte du culte des Huacas, qui consiste à vénérer des lieux comme des forêts ou des cascades, c’est un vrai blasphème. Comment peut on détruire la présence des dieux ?! Se dit-il outragé par ses affronts. Il déteste les blasphémateurs, les sataniques et les tueurs, il doit tous les éradiquer de ce monde, il est l’exécuteur de la voie divine de Râ et ne peut donc pas tolérer de tel affronts.
Cet homme est plutôt spécial et ne comprend pas certaine chose dans la société qui l’entoure, tout d’abord les femmes, non sérieux certaine d’entre elles sont bizarres non ?! Par exemple, celle qui veulent maigrir absolument et celle qui veulent avoir une poitrine plus importante, sa rime à quoi ? Il ne comprend pas, elle devrait se contenter de prier les dieux et de faire des enfants au lieu de gaver tout le monde avec leurs formes. Leur coupe de cheveux, elles passent une heure pour les rendre lisse, ou bien frisé et on ne parlera pas du maquillage ! Enfin bon vous aurez compris que pour lui une femme en plus de faire comme tous les hommes doivent avoir comme principales préoccupations de faire un enfant, c’est dit dans son livre religieux ! En parlant de son livre qu’il tient comme dicteur absolu de comment il doit se comporter, il se demande pourquoi un homme peut en arriver à tuer, quel est son objectif ? Il est bien dit par son dieux que si quelqu’un tut, il est pêcheur et n’aura pas le droit de se réincarner en animal ! Alors pourquoi ? Une dernière chose, il reste une dernière chose que notre héros ne comprend pas, pourquoi parle-t-on du coup de foudre entre deux personnes alors que l’humain n’est là que pour procréer et que des intempéries comme la foudre ou les ouragans sont là pour exprimer la colère des dieux ? Enfin bon il y a certaine chose qu’il ne cherche plus à comprendre.

Il y a pour Illapa trois règles de conduites qu’il se doit de suivre, la première est de respecter les personnes plus âgées que lui, la seconde est de respecter les autres pratiques religieuses et la dernière est de partager son savoir et sa religion avec n’importe quelle personne qui n’a pas les mains pleines de sang. Son objectif prioritaire est de rentrer dans une flotte de la Marin, pour cela il peut compter sur son écoute, sa franchise et sa persseverance à toute épreuve. C’est en effet un homme droit et juste avec son prochain. Malheureusement pour lui vue sous le regard d’une personne ordinaire, il parait bien souvent trop extrémiste dans sa pratique de la religion et son goût pour les animaux domestiques ne plait pas à tout le monde, mais après tous se n’est qu’un serpent. Finissons cette description moral avec une particularité plus ou moins étrange que possède Illapa, en effet son humeur varie selon le temps qu’il fait dehors, quand il fait beau le jeune homme est joyeux et actif, sans doute à cause de se que le soleil représente pour lui. Passons maintenant à un temps qui a la caractéristique de le blaser complètement, celui où le soleil est caché par des nuages gris d’ennuie. L’orage quand à lui le plonge dans une série de prière, il exprime sa foie aux premiers éclaires, qu’il interprète comme la colère de ses dieux. Pour finir la pluie le rend dragueur à la limite de la perversion, bizarre non ?!

◘ Histoire :

1-Un jeun rêveur !

Je m’en souviens comme si c’était hier, mon île natale, je ne l’ai jamais vraiment quitté, un fragment de moi-même y demeurera toujours. Je me remémore souvent le bon vieux temps et cette époque reste celle qui m’a la plus apprise sur les plaisirs simples qui s’offrent à l’homme mais qu’il ne prend pas souvent la peine de savourer. J’étais jeun, comme tous les enfants je rêvais d’aventures passionnantes dont j'étais le héros charismatique et courageux qui plaisait à toutes les filles et qui finissait toujours par goûter aux joies du triomphe. A cette époque je voulais sauter les étapes, passer du petit garçon qui est soumis à l’autorité parental au jeun homme qui ne devait pas répondre de ses actes et surtout qui avait enfin fini les cours ! Hey oui, étant petit je rêvais de devenir un venger, de parcourir sous la bénédiction du puissant dieu Râ et avec l’épée de Catequic des îles où je pourrais écrire mon histoire, celle du héros sans peurs. Moi qui me perdais tout le temps dans l’île, une fois lors d’un défi que m’avais lancé un ami et qui consistait à trouver un fruit de Râ ou plus couramment appelé fruit du démon chez vous, je m’étais aventuré dans une caverne et avait été obligé d’y passer la nuit à cause de mon sens de l’orientation médiocre. Je peux vous dire que ça ne m’avait pas servi de leçon, bien au contraire j’étais fière d’y avoir passé la nuit et je remettais ça sur le tapis à chaque fois qu’un pote voulait avoir un instant de gloire. Enfin bon quand je vous dis que j’en avais marre de l’école, il ne faut pas croire que j’étais un pitre ou même un mauvais élève blasé, non j’avais de bonne note, mais moi ce qui m’intéressait c’était le cours de lutte. J’aimais beaucoup me battre, pour la gloire à l’école, puis aussi et surtout pour avoir un niveau suffisant pour prétendre au rang de futur vengeur. Je n’étais pas le meilleur, mais je me débrouillais, par contre malgré mon acharnement je n'étais médiocre en combat à l’épée, c’était trop lourd et moi j’étais pas un de ses gars super gros avec une force de buffle ni même de ses grands qui pouvaient couvrir de grands périmètres avec leurs longs bras. Moi j’étais plus le petit gars rapide et agile que l’on déstabilisait avec un coups dans les pattes. Une fois que ma journée d’école se finissait je me presser de rejoindre ma mère au temple, en effet c’est elle qui s’occupait des sacrifices et de l’entretien de celui-ci. J’aimais beaucoup y aller car dans le petit bateau qui nous conduisait sur l’île de notre temple, il y avait souvent des guerriers et bien sûr des vengeurs. Pourquoi y avait-il des guerriers et y des vengeurs dans un bateau qui conduit à un lieu de temple me demanderez-vous ; en fait la société de Panaho à une organisation bien précise, en haut de l’échelle sociale on trouve les prêtres, ils sont chargé de s’occuper du temple, mais aussi de se battre en cas d’attaque. Ce sont donc nos guerriers qui vénèrent nos dieux, un peu plus bas on trouve le reste de la population comme les marchands, les cueilleurs, les médecins etc… Dans le bateau le calme régnait, j’avais pour habitude de regarder mon île au loin et à chaque fois je tombais sous le charme de celle-ci. Ce petit bout de terre, ou plutôt de sable, ou le vert dominait, vraiment ses arbres, sa plage, ses oiseaux aux mille couleurs, c’était vraiment magnifique ! J’imaginais mon père en pleine cueillette qui essuyait la sueur de son front et regardait au loin l’embarcation, qui devait maintenant n’être pour lui qu’un petit point noir dans un vaste horizon bleu. L’île où je m’apprêtais à embarquer était, elle, déserte, aucune fleur ni même ruisseaux, pas un seul animal, à part peut-être quelque reptile.

2-Le paradis en enfer !

Cela faisait maintenant plusieurs longues minutes que l’embarcation avait quittée son port d’attache, le soleil martelait la peau des voyageurs, les mouettes avec leurs cris persans tournaient dans le ciel d’un bleu incroyablement claire. Certain dormaient pendant que d’autre chantaient, d’autre comme moi se contentaient de regarder au loin. Soudain un homme attira mon intention, il jouait d’une drôle de flûte, vous savez celle qui est faite de différent petits tubes attaché dans lequel on souffle et selon leur longueur le son est plus ou moins grave. La flûte de ….PPAANNN ! Voilà c’est une flûte de pan, cet étrange instrument dont la mélodie caressait les doux tympans de l’enfant. Il était fasciné par ce qu’il entendait, il dévisageait le guerrier à l’instrument envouteur, peut être trop, car celui-ci le fixait et s’arrêta brusquement de jouer. Il lui fit un signe de main qui lui demandait de s’approchait, je m’approchâmes de lui en silence. Une fois à ses côtés il se mit à souffler dans un des tuyaux, il me tendit ensuite l’instrument, je fis comme il venait de me montrer, il souffla ensuite dans un autre des tuyaux, je repettit apprêt lui et ainsi de suite jusqu’à ce que je sache jouer un petit air sympatoche. Le temps était passé si vite, je fus surpris par la secousse qui accompagna l’amarrage du bateau, on touchait terre. On était déjà arrivé, dommage j’aurais bien profité du savoir de mon nouvel ami. Il m’invita à le suivre sur le chemin du temple, lors de la route Il m’expliqua comment fabriquer ma propre flûte et je dois dire que j’avais vraiment hâte de m’y mettre. Il m’expliqua qu’il était de garde et que je pourrais le trouver devant le temple, à partir de dix-huit heures. C’était génial d’avoir un ami prêtre, il devint sans que je m’en rende vraiment compte mon modèle. Une fois arrivé en haut des marches du temple je le quitta avec déjà un peu de peine. Je rejoignis ma mère qui était en train de prier, je me souviens de la première fois que j’étais venu, je l’avais dérangé en pleine prière et m’étais pris un sacré tourniole. Maintenant quand cela arrive je m’assois à ses côtés et pris avec elle, c’est plutôt cool de parler au dieu du soleil et à celui de la foudre. On dit du temple qu’il a été fait dans la roche, car c’est ici qu’un violent éclaire sépara la montagne en deux et que Râ vexé de l’affront de Catequic transformât cette île de végétation en île désertique. Le temple est donc fondé sur un Huacas. Une fois la prière finit le jeune garçon par voir les prêtre s’entrainer, c’est toujours génial, surtout les un contre un à l’épée, ça lui rappel qu’il a du boulot, mais c’est vraiment génial. Je peux vous dire que la sueur perle à grosses gouttes sur le front des valeureux combattent qui se donne corps et rames pour prouver leur valeur aux dieux ! C’est un beau spectacle et j’essayais toujours d’apprendre quelques astuces, une fois l’un des reproducteurs favori de ma mère m’avait laissé essayer son armure, génial non ! J’étais comblé de joie, mais une fois qu’il avait tous lâché je me suis retrouvé par terre étouffé par le poids de l’armure et devinez quoi, ces cons c’étaient marrés au lieu de m’aider ! Depuis ce jour je me suis obligé de faire une heure de musculation par jour et figurez-vous que ça marche plutôt pas mal. J’ai gagné pas mal de masse musculaire depuis ce jour et je ne compte pas m’arrêter là. Cette île est idéale pour former ses guerriers au pire combats, c’est quand même un désert et en tant que tel les prêtres doivent passer des épreuves de survies plutôt difficiles. Bientôt se sera moi le valeureux combattant, je serais prêtre et j’exécuterais la volonté de Râ et de Catequic !

3- Un ouragan!

Cela faisait maintenant plusieurs années que j’avais quitté l’école, le jeun garçon faible que j’ai été, ne se perdait plus dans la forêt, j’étais devenu un vengeur, un guerrier hors pair qui ne connaissait ni la peur ni la lâcheté, je n’étais plus vraiment humain. Durant de longues années j’avais été confronté à la souffrance, d’abord torturé puis ensuite bourreau, j’avais appris à dompter la douleur et à la transmettre. Je connaissais tous mes textes sacrés sur le bout des doigts, j’étais Illapa, vengeurs spécialisé dans le crime et la torture, j’étais une sorte de croisé qui punissait les pécheurs et tuait les infidèles. Je représentais le côté noir de ma religion, ce que l’on préférait oublier, mais aussi ceux à qui on n’hésite pas à donner le sale boulot. Nous représentions le fanatisme, la violence , la bêtise humaine, mais sans nous il n’y avait pas de paix. La première chose que l’on apprend c’est que sans violence il n’y a pas de peur, et sans peur il n’y a pas de loi. On nous appelait plus les vengeurs, mais les obumbrata hominis, autrement dit les hommes de l’ombre. Les premières journées son rythmé par des entraînements que seul l’élite ou les fous peuvent supporter. Puis on se shoot avec du venin puissant, ça fait mal mais c’est le seul moyen pour que notre corps s’habitue aux effets dévastateur de certains poisons. Nos armes bien souvent enduites de poison ne sont plus un danger après cela, mais seul le peut d’hommes qui survivent voiyent à quel prix on paille cette gloire qui nous sera rendue dans l’au-delà. Nous formons donc une certaine élite, mais à part la résistance à la douleur nous apprenons tous sur notre religion. Des affaires confidentielles dont nous avons la charge et qui sont parfois de vraix tueries comme bruler un orphelinat, on en arrive vite à se demander ce que nous sommes vraiment, des guerriers au non des dieux ou de simple tueurs que l’on exploite grâce à une propagande ? Mais quoi que l’on dise, c’est bien souvent notre instinct grégaire qui nous pousse à commettre de telles atrocités. Aujourd’hui était un grand jour, c’était le jour où tous les obumbrata hominis avaient quartier libre. Les villageois nous respectaient, ou plutôt nous craignaient, mais à qui la faute, aux tueurs sanguinaire que nous étions où à la population que nous terrorisions ? Certain en profitaient pour choisir leurs compagnes de reproduction alors que d’autre s’autorisaient des soldes, mais où allait le monde ? C’est aux femmes de choisirent leurs compagnons et aux commerçant de choisir leur prix, mais que pouvait-on vraiment faire, rien. C’est lors de cette période que je vis combien un homme pouvait-être égoïste et mauvais. Tous les guerriers avaient un animal gardien, plus ou moins utile, plus ou moins puissant, moi c’est un serpent, pas facile de dire aux compagnes potentielles « Tient tu veux le caresser ? ». Mais bon, il était fidèle et dévoué et ça, c’est plus importent que tous, à mon gout bien sûr. Dans ce petit village de l’île je connaissais bien les paysans et les cueilleuses, j’allais à leur rencontre quand tous d’un coup un coup de cor se fit entendre, je reconnus le son, c’était celui du temple, il fallait vite les aider ! Nous nous séparèrent en deux groupes, le premier restait pour veiller sur les habitants de l’île et le second allait prêter main forte aux prêtres, je fis partit du second. Nous partîmes avec hâte, il n’y avait pas une seconde à perdre. Une fois arrivée sur l’île nous ne trouvèrent que des cadavres, je n’avais que seize ans, mais cela ne me choqua pas, normal ? Je ne pense pas, mais encore une fois l’homme est champion pour ce faire du mal, mais moins pour s’aider. Nous vires un bateau qui avait l’air de se diriger vers notre île, il fallait y aller au plus vite. Une fois arrivée prêt de notre embarcation le navire qui avait un pavillon de pirate crachat un boulet de canon qui fit gicler notre embarcation en mille morceaux, nous étions là, impuissant à assister au massacre de nos propre famille des cris s’élevaient au loin. Pour une fois que l’on avait besoin de nous pour quelque chose de bien nous étions impuissant, l’élite du grotesque. Mes compagnons et moi restons sur cette île longtemps, je dirais deux bonnes semaines puis les pirates revinrent nous chercher, nous étions faibles, ils trièrent, les plus faibles ils les tuèrent de sang-froid et les autres ils les prirent en esclavages, ils nous disaient : « Les primates comme vous seront excellents pour travailler à la construction de notre fort. ». Certain leur crachaient aux visages d’autre comme moi ne leur répondaient même pas. Une fois là-bas nous travaillèrent comme des chiens, sans nourriture, ils s’amusaient avec nos animaux gardiens, beaucoup accablaient les dieux, mais moi je gardais fois en Râ et Catequic, il fallait bien s’attacher à quelque chose. Un jour le Marine les extermina et nous libéra, depuis ce jour je me suis promis de les rejoindre.
Illapa se relevât, salua le jeun homme et partit.

• Exemple de post RP :

Il faisait beau ce matin, Panaho avait un invité d’honneur, un beau soleil ! Il était quatorze heures aujourd’hui alors que Illapa c’était soumis à un petit exercice de musculation. Des milliers de gouttes de sueurs lui perlaient sur le tout le front. Il adorait faire de l’exercice avec ce temps, dans sa maison de bois il était à l’ombre et bénéficiait d’une fraicheure qui ne lui déplaisait pas. Alors qu’il comptait ses pompes dans sa tête des bruits de pas attirèrent son attention, car ceux-ci contournaient sa maison. Il c’était arrêté de pomper, il suivait des yeux les bruits de pas qui s’approchaient de sa maison. Sa porte était ouverte est trois hommes se présentèrent à lui, l’un avait des yeux vert perçant, il était vêtue d’une longue robe de soie noire, il les présenta d’un ton autoritaire. C’était enfaîte le conseiller du roi et il était venu avec deux gardes, quelle offense, un obumbrata hominis pouvait essaiment se défaire de deux gardes, même royal, c’était sans doute une façon pour le tirent qui était au pouvoir de montrer aux habitants qu’il était puissant. Ils avaient tous deux une armure en or et un casque en forme de tête d’aigle, ils ne parlaient pas, ils se contentaient de fixer Illapa. Le jeune homme se releva, puis fit signe aux invités surprise de le laisser se préparer, il prit une serviette et se dirigea vers un cuve remplie d’eau fraiche et se mit partout sur la figure, il s’essuya avec la serviette puis il enfila son costume militaire composé essentiellement de bijoux. En partant il n’oublia pas de prendre ses deux lames et de laisser à son serpent sa main pour que celui-ci s’enroule délicatement autour. Il rejoignit le petit groupe qui l’attendait à l’extérieur de sa maison.

Le groupe se mit en chemin pour le palais royal, ses compagnons étaient trop calme, pas un mot, il prit l’initiative et leur en demandât un peu plus sur la raison qui les avait poussées à venir le déranger, mais rien. Il commençait à perdre patience, il se contenta vite de les suivre sans rien dire, les rues étaient bombées de monde, avec un temps pareil. On entendait les marchant crier leur prix, les passants négocier, les enfants jouer, que c’était beau. Ils arrivèrent vite au palais, il était très impressionnant avec ses grandes colonnes et ses interminables marches. Ils suivirent un long couloir ou les servantes et servants se pressaient de tous les sens, c’était un bordel monstre ! Le groupe arriva enfin prêt de la porte de la salle du trône, le messager du roi lui fit signe de rentrer, il s’exécuta. La salle était grande, d’une clarté impressionnante, un nombre impressionnant de fruit, viande séché et autre gourmandises étaient représentées sur une grande table. Au bout de la table il y avait un homme, sans doute le roi, il était bien portant, ses joues était rondelettes et son ventre nous donnait l’impression qu’il allait d’un moment à l’autre exploser. Le roi pris la parole, d’un ton autoritaire il expliqua à Illapa qu’il l’avait fait venir pour une mission de la plus haute importance, il n’avait pas reçu les impôts d’un temple à plusieurs kilomètres de son palais et il voulait que des combattants aguerris ailles voir la raison d’une telle offense. Il faisait des pauses entre chaques paroles pour se goinfrer de viande et quand il parlait en même temps ce n’était pas beau à voir. Il finit par appeler un homme, plutôt grand, avec une magnifique robe à capuchon rouge, celui-ci donnât une bourse à Illapa, c’était pour que notre jeune héros recrute des compagnons et il avait déjà une petite idée de ceux qu’il allait prendre pour venir à ses côtés ; il s’inclina devant le roi et quittât le palais avec un sourire satisfait sur ses lèvres.

Illapa partit en direction de la meilleure auberge du village, il savait que là-bas il trouverait les compagnons d’armes dont il avait besoin pour mener à bien sa mission. La nuit était tombée et les rues étaient devenus désertes, le jeune homme arriva devant la porte de l’établissement, on pouvait entendre des rire d’ivrognes et voir la lumière qui éclairait les alentours. Illapa rentra, un silence se fit entendre, le temps de s’accoutumer à sa présence et la machine repartait, il s’approchât d’une table où trois personnes jouaient aux cartes en silence. Les le reconnurent tout de suite, il se mit à enchaîner les poignées de mains amical, il les connaissait depuis sa tendre enfance et ils avaient beaucoup travaillé ensemble par le passé. Il leur expliqua la raison de sa venue et il leur montra l’argent, ils sortirent tous ensemble de la taverne, direction le temple de Stall ! Les aventuriers rentrairent dans la forêt de l’île, la végétation y était dense et cela rendait leur progression plus difficile. Ils entendaient le bruit des oiseaux, le craquement mystérieux et les bougonnements de Illapa qui s’énervait tous seul. C’est dans une plaine que nos quatre amies établirent leur camps pour la nuit, Illapa répartit les rôles, lui et Tran s’occupaient de construire la cabane, Pika quant à elle ramassait du bois et c’est à lit que la chasse incombait. Une fois le camp monté les compagnons installèrent un ordre de passage pour la garde de cette nuit qui allait être longue. C’est Tran qui réveilla Illapa, il devait monter la garde jusqu’à l’aube, après son premier quart d’heure de garde il se mit à pleuvoir sur toute la forêt. C’est bien ma veine se dit le mal chanceux, il se mit à penser à Pika, c’est vrai qu’elle était belle, c’était un garçon manqué quand ils étaient ados, mais elle avait bien changé depuis, il se demandait si elle n’aurait pas besoin d’un partenaire pour lui tenir chaud ? Il tergiversa pendant plusieurs heures, jusqu’à l’aube même ! Il alla réveiller les fainéants, sa nuit avait été un calvaire, il était trempé de la tête aux pieds et comme si sa ne suffisait pas il était gelé. Après un court déjeuné, ils reprirent leur route pour le temple.

Quand ils arrivèrent enfin à sortir de cette forêt dont ils ne voyaient plus le bout ils se retrouvèrent sur la côte, la pluie avait cessé, laissant place à des nuages, quelle journée pourrit, vivement que l’on en est fini de cette mission se disait Illapa. Après une heure de marche les compagnons étaient secs et ils apercevaient le temple de Stall, enfin ! Ils mirent une bonne heure à l’attendre, entre notre héros qui se plaignait, il voulait faire des pauses et le sable qui leur rentrait dans les chaussures, enfin bon, ils allaient enfin pouvoir tirer un trait sur cette affaire et rentré chez eux. Le temple se trouvait tous prêt de la cote, et s’engouffrait dans une autre foret, les amies frappèrent à la porte, mais après plusieurs minutes personne ne vint leur ouvrir ils forcèrent donc la porte et le spectacle qui s’offrait à eux était affreux ils en eurent le sang glacé. Des corps de moines gisaient partout, des femmes nues et attachés étaient égorgés, des enfants avaient les tripes à l’air. Comment pouvait-on faire cela à un lieu sacré ? La rage envieillissait peu à peu le corps de nos quatre témoins impuissant, Illapa donnât l’ordre de tous fouiller, s'il restait un seul de ces mécréants il les tuait de ses propres mains. Les quatre guerriers se séparèrent pour trouver des preuves, notre héros lui alla prêt de la statuette de Catequic, prier pour les âmes de ses pauvres fidèles mort dans d’atroces souffrances et aussi pour que les pirates paillent leurs affront. Tran criât, il venait de découvrir un drapeau, un drapeau de pirate. Illapa fixa l’horizon et il les maudit, de tous son cœur il les maudissait. Les quatre aventuriers encore sous le choc, après avoir prié pour chacune des victimes partirent avec un rapport bien funeste pour leur roi, un massacre.

Voilà c'est bon, ma fiche est en attente de validation par un admin =)

Il serait mieux de ne faire qu'un seul post de ton personnage, et non 2. Il est bien marqué l'exemple d'un post Rp que tu pourrais faire.

Pour la lame, peut-être modérer sur le mot "frôler pour découper la partie en question", mais plutôt, couper comme dans du beurre, alors qu'un personne pure ne ressentira qu'un ballon de mousse voire un câlin de la part de ton personnage.

Et change la police pour ton histoire, j'arrive pas à la lire, ce qui rend les choses difficiles pour savoir si c'est bon ou non. Merci !

Elya Tose a écrit:

Il serait mieux de ne faire qu'un seul post de ton personnage, et non 2. Il est bien marqué l'exemple d'un post Rp que tu pourrais faire.

Pour la lame, peut-être modérer sur le mot "frôler pour découper la partie en question", mais plutôt, couper comme dans du beurre, alors qu'un personne pure ne ressentira qu'un ballon de mousse voire un câlin de la part de ton personnage.

Et change la police pour ton histoire, j'arrive pas à la lire, ce qui rend les choses difficiles pour savoir si c'est bon ou non. Merci !

Post RP: fini
Description de ma lame: fini
police: fini, j'ai fait du Comic Sans MS et mis en taille normal.

Je signal que les améliorations sont fini.

Hum, beaucoup trop de fautes d'orthographe/accord.

Peux-tu corriger ça?

Ensuite si tu veux avoir une lame des 50 il faut que ce soit une arme. Si ce sont des dagues, je pinaille, mais ça fait deux armes. De plus, je pense que tu devrais dissocier le caractère changement de couleur en fonction de la personnalisé de l'ennemi de celui du poison. En effet si ton arme à deux pouvoir distincts, c'est invalidable. Par contre rien n'empêche ton personnage d'enduire son arme de poison. Enfin, je pense aussi que le changement de couleur devrait se faire au premier coup donné à l'adversaire. Histoire de dire que ton arme "reconnait" qui est ton adversaire.

Voilà, j’ai corrigé le reste de mes fautes et j’ai modifié ce que tu me reprochais à propos de mes armes.

UP

Salut salut !

Je suis désolé, mais je trouve que cette présentation n'est pas assez bonne pour demander un sabre classé. Un sabre avec un pouvoir est forcément dans les 21 (et c'est un minimum).
Il y a de nombreuses lourdeurs dans ton texte, surtout du à une ponctuation un peu anarchique, des répétitions à foison et des fautes d'orthographes. Je ne validerai donc pas cette présentation tant que ces points n'auront pas été amélioré, si tu demande toujours ta lame classé.

Et si je remplace ma lame par ceci: chalk chalk no mie (fruit de la craie). Ce fruit permet la production et le contrôle de la craie en poudre, mais aussi en solide.

UP

Au rang 2.

Merci Cyan-chan! Plus que un avi si j'ai bien compris

validé rang 2.