Aoba Sanada

Prénom : /
Age : 22 pour quelques mois encore.
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : Je vous ais vus dans les partenariats de Rise of Shinobis.
Combien d'heures vous vous connectez par jour : 3-4 en période scolaire.
Tes Mangas préférés : One piece, Air Gear, Tenjo tenge, Deadman wonderland en ce moment mais j’en lis pas mal.
Ton personnage préféré dans One Piece : Buggy, Bon Clay, Brook,… (j’ai un faible pour les perso décalé, avec OP je suis servis XD)
Ce qui t'as motivé à venir : De nombreux membres, un BG solide, pas mal de possibilités d’évolution.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Je suis sur ROS depuis 1 an et demi de manière intensive et j’ai 3-4 ans dans les jambes irrégulièrement.
Hobbys : Séries (énormément), ciné, manga, bouquin, pas mal de sport également.
Autre(s) : YOHOHOHOHO =D

- Présentation du personnage -

• Nom & Prenom : Sanada Aoba.

• Surnom (facultatif) : Murasakino Same (Requin violet )

• Age : 22

• Race : Humain

• Camp : Pirate

• Orientation psychologique : gris ! (Neutre/ Neutre). Le bien, le mal,… tout ceci dépend de l’humeur du moment. C‘est encore le meilleur moyen de survivre dans la vie.

• Métier/Spécialité : Harponneur (ou tirailleur, canonnier)

• Pouvoir demandé : Aucun.

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Retrouver ses parents (je sais ça fait cloche >_<)

• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!]

:


[b]◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]

Aoba n’est pas ce qu’on peut appeler quelqu’un d’avenant. Sa tête de mercenaire, gamin des rues, à tendance à faire peur au passant lambda. Quand on aperçoit ses cicatrices sur son flanc, cette impression se confirme. Il est un déchet de la société, tout juste bon à mourir dans les geôles d’une prison. Un sourire de requin, un prédateur renforcé par un seul œil mais au regard durs, cruel. En effet, il a perdus l’œil gauche durant l’adolescence ce qui l’oblige à porter un cache-œil lui servant également de bandeau autour du crâne. Ce dernier lui permet de maintenir ses cheveux rebelles vers l’arrière sans qu’il ne tombe devant son seul œil valide. Ces derniers sont d’un gris métallique qui contraste grandement avec le reste de ses couleurs habituels. C’est simple, il n’en aime qu’une seule : Le violet. Tout est ensuite une déclinaison de cette dernière.
Il porte une veste à peine porté sur les épaules de cet acabit qui va avec une jupe de la même couleur. Cette dernière est tenue par une série de ceinture en soie rose, orangé,… Enfin, parmi tout son attirail, existe de nombreuses protections, symbole de son caractère bagarreur. Sur les bras d’abord, légère cotte de mail et brassières avec là encore des touches de violets et sur les jambes. On peut y percevoir des plaques de protection rappelant ceux des samouraïs. Celles-ci sont complétés avec des jambières lourdes et solides qui se termine…et bien qui se termine par rien. En effet Aoba préfère de pas porter de chaussure, une histoire de sensation atténué selon lui…
Enfin, lorsqu’on le rencontre, outre son apparence très violacé et sa tête de tueur, c’est surtout l’énorme arme trônant dans son dos. Un gigantesque harpon long des deux mètres du Sanada qui sont tenus par une longue chaine tout autour du corps de ce dernier. Non, définitivement, Aoba n’est pas quelqu’un à qui vous venez vous confier, ni même adresser la parole. C’est particulièrement renforcé lorsqu’il se décide à changer parfois sa couleur violette pour un noir profond…

◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]

Pourtant il n’est pas méchant dans le fond. Juste que la vie lui a apprise que le regard des gens ne comptais pas et s’il voulait survivre dans cette choses cruelle qu’est « La rue », il fallait se montrer entreprenant et savoir prendre ce qui vous revenait de droit… et même ce qui ne vous revenait pas.
Aoba est donc quelqu’un qui pense d’abord à lui. Ce qu’il cherche, son but, c’est de vivre tout simplement. Pour ça, il va de-ci, de-là, acceptant tout ce que la vie peut lui apporter : Boisson, sexe, bouffe, joie,… tout est bon à prendre. Chaque jour ou presque, il continue d’aller vers l’avant, chaque lever de soleil marquant tout simplement un nouveau chapitre de son existence.
Le souci étant que ça l’oblige à se moquer ouvertement des gens qui l’entoure. Vivant sur une autre planète pour lui, il ne peut comprendre comment certains se satisfassent de vendre du pain. Ce genre d’attitude un brin je m’en fout-iste, un brin provocante n’est pas le meilleur moyen de passer inaperçus, surtout quand on a un harpon de deux mètres de long avec soi. Résultats, il se retrouve régulièrement pris dans des nœuds de problème pas possible. Le pire c’est que cela ne le dérange même pas, juste un aspect habituel de « Son » train-train quotidien.
Pour autant, dans le fond, il s‘agit de quelqu’un de bien. Il ne va pas non plus chercher à humilier le commerçant du coin ou voler le collier de la bourgeoise d’à côté. Enfin, ça c’est ce qu’il se disait au début… Il essaye tant bien que mal, surtout mal de se tenir à ce credo mais il se rend de plus en plus souvent compte qu’en faisant ainsi, il ne s’en sortait pas. Aujourd’hui, s’il ne pas allez cambrioler la demeure de la même bourgeoise, il ne va pas retenir sa main si cette dernière fait tomber le dit-collier ou si elle lui rentre dedans. Ceci résume bien son état d’esprit. Tant qu’il peut, il essaiera de rester dans le « droit chemin » mais n’hésiteras pas s’il a besoin de passer outre les lois pour survivre.



◘ Histoire :

Rarement les familles de pirates existent. Le plus souvent, ils font une brassé de gamin à lors d’escales sans jamais regarder en arrière. Certains avec plus de conscience, quittent la vie d’hors-la-loi pour s’installer à terre et fonder un foyer. Aoba fait partie de la troisième catégorie. Sa mère et son père, tout deux membres de l’équipage des poissons-volants mirent au monde il y a maintenant vingt-deux ans un petit bambin dans le bonheur et la joie. Contrairement aux idées macho qu’on peut avoir, c’est sa mère qui était la bourrine du couple. Capitaine du navire, elle rêvait de vivre la grande vie, de parcourir les mères, combattre au sabre dans des tempêtes et découvrir des trésors fabuleux. Son père plus posé, était un simple médecin d’un village paumé. Lors d’une escale les deux se rencontrèrent et au moment du départ, décidèrent de prendre la mer ensemble.

Ainsi, l’enfance du gamin fut de parcourir le pont pied nus, sentir les vagues salées lui asperger le village, jongler avec des pièces comme parcourir le mat et les cordes. Le dit équipage étai ce qu’on peut appeler de « bon pirate ». Il ne cherchait pas le vol, le pillage et autres meurtres d’innocent. Malgré tout, il commençait à développer une petite réputation dans leurs coins d’étendue bleu. Le jeune Aoba, même pas huit ans possédait déjà une constitution en avance sur son âge. Petit chouchou de tout l’équipage, il était généralement chargé de faire le ménage comme tout matelot de base, aller pécher et autres tâches peu compliqué. Devant leurs renommées grandissantes, les « Poissons-volants » attirèrent bien entendus l’attention de la marine. Pour autant cette dernière les laissa tranquille un moment. Faut dire qu’entre des violeurs en séries, sale, édentés, tout droits sortis du cul de l’enfer et un équipage plus ou moins fraudeur d’impôt, le danger n’est pas le même.

Le Sanada grandit donc dans cette univers peuplé de créatures légendaire, de combat spectaculaire même s’il ne les vivait pas. Les légendes racontées au coin de la chaufferie envahirent rapidement son imagination et il n’était pas rare de le voir jouer avec un bout de bois au grand Luffy, Barbe Blanche ou Roger. Lorsqu’il eu à peine plus de dix ans, son style commença à évoluer, à s’affiner. Encore une fois, sa constitution hors-norme était son meilleur avantage. Trouvant le maniement trop restrictif et surtout demandant une trop grande maitrise de soi, il se dirigea vers les armes à deux mains : Hache, bâton, lance,…

À quinze ans, il décida de partir à l’aventure, seul. Comprimés sur le navire familial, en quête d’excitation, de danger, le seul moyen auquel il pensa fut de tourner le dos, au moins pour un temps à ses parents. Malgré le déchirement de voir leurs enfant partir, ceux-ci se décidèrent à le laisser aller. Ils lui proposèrent de l’aider, via connaissance et finance mais le petit requin qu’était Aoba déclara alors que l’aventure ne valait pas la peine d’être vécu si on trichait dès le début. ». Plutôt courageux comme déclaration, surtout con. En effet, sans un sou et dépose sur une petite ile de West Blue où il ne connaissait personne, sa carrière de « Grand Pirate » se résumait…et bah à rien.

Pour lui, être pirate c’était le frisson de l’existence, la liberté totale. Choisir si on voulait obéir à tel loi, tel homme ou au contraire aller à contre-courant du monde. Malheureusement pour lui, il se retrouva à la place coincé sur un petit caillou. Après quelques semaines d’errements, il dut se rendre à l’évidence, la vie n’était pas facile, surtout pour un adolescent avec des rêves naïf plein la tête. Finalement, il arriva à monnayer ses besoins en travaillant sur un chalutier du village. Avec sa force et son expérience au maniement du harpon géant, il se découvrit de nouvelle qualité. Il ne s’agissait pas d’un travail facile, les horaires étaient irrégulier, ses muscles criaient de douleur bien avant la fin de son service mais bon an, mal an, il s’en sortait.

Au fur et à mesure de sa carrière, il alla d’un navire à l’autre, d’une petite île à une plus grande, d’un salaire de misère à une paye plus confortable. Ceci dura quelques années où il grandit, forçat. Arriva ses dix-huit ans et ses rêves de gloire et de liberté avait été placé au placard depuis bien longtemps. Ceux-ci se rappelèrent à son bon souvenir lors d’une escale sur une île marchande particulièrement florissante. Tandis qu’il buvait tous son salaire en rhum de plus ou moins bonne qualité, une voix perça le nuage d’alcool qui emplissait son univers proche. Un vieil homme dont la barbe blanche jurait avec son crâne chauve. Le Sanada mit de longues minutes avant de le remettre. La dernière fois qu’il l’avais vu, ce dernier avait beaucoup moins de ventre, plus de cheveux, énormément plus de cheveux. Cinq ans plus tôt, il possédait une magnifique coupe afro quand il était le timonier des Poissons-volants.

Passant toute la soirée à discuter, le vieux rappela au requin ses rêves oubliés, son goût de l’aventure, bref, une innocence oublié derrière les traquas quotidiens. Bien vite ils rebondirent sur les légendes que le jeune homme entendait tout petit. Celle qui le terrifiait, celle qui l’émerveillait. Aoba le questionna par la suite sur ses parents, coupé du monde de la piraterie, il n’avait plus eu de nouvelles depuis son départ. Malheureusement, la tête que fit le vieillard l’effraya dans l’instant. Les mots qui suivirent resserrèrent graver à jamais dans la mémoire du jeune homme. Deux ans après son départ, le navire n’avait plus donné aucun signe de vie. Ni méfaits, ni lettres. Purement et simplement disparus. Étaient-ils morts ? Le navire coulé au fond des flots ? Personne n’en savait rien. Tremblant, effaré de la situation, il coupa court à la discussion, remerciant son ancien camarade. Le lendemain, il dépensait toutes ses économies et prenait le large dans un minuscule bateau. À partir de maintenant, il vivrait la vie d’aventurier de ses parents, il redevenait un pirate comme eux, espérant les retrouver en suivant de nouveau leurs traces…




• Exemple de post RP :


Autour de la petite lanterne, les quatre pirates regarde leurs cartes. Un roi par-ci, un valet par-là, elles ont depuis longtemps perdus leurs couleurs. Parmi eux, un jeune homme, à peine sortis de l’enfance. Il est assis sur plusieurs caisses pour lui permette de dépasser le tonneau faisant office de table de jeu. Dans la pénombre chacun essaye tant bien que mal de deviner els attentions adverses. Au milieu repose quelques pièces, des bijoux et des bibelots. Rien de très affriolant mais assez pour rendre cette partie intéressante. Finalement, le premier joueur, pose se cartes à découvert, légèrement tendus au vu du pari qu’il tente. Le second explose de rire à cette vue, abattant les siennes, prenant ainsi la main. Il semble près de l’emporter jusqu’au jeune homme qui tout sourire dévoile les siennes une par une.

[i]-Couleur à l’As.

Il rayonne de joie comme de fierté. Lui, du haut de ses quatorze ans vient de battre de vieux loups de mers habitués aux joutes de carte. Ses mains se tendent pour ramasser son butin qui dépasse de partout. Il se décide à enlever sa chemise pour tout y fourrer et referme-le tout comme dans un sac. Torse nu, il se dirige vers sa cabine, sifflotant de bonheur. La petite comptine pour enfant emplit la nuit et le pont sous les étoiles. Voila plusieurs nuits d’affilé qu’Aoba joue au poker avec ses camarades, depuis que sa mère lui ais appris les règles en fait.

Ayant grandis toute sa vie sur le navire, le jeune Sanada connais chaque homme par son prénom, ses tics, ses forces comme ses faiblesses que ça soit dans le jeu, en tant que matelot ou simplement être humain. Ce soir est un soir comme les autres, calme, en pleine mer, le navire glissant sur la surface de l’eau d’un rythme calme à la lumière de la lune. Pourtant, il ne s’agit pas réellement d’un soir comme les autres. Depuis quelques semaines, ils sont pourchassés par un autre navire. Lors d’une escale, la mère du moussaillon a humilié un autre capitaine pirate à un jeu de lancer de couteau. Faut dire qu’elle ne fait pas dans la dentelle et qu’elle prend chaque défi en donnant tout ce qu’elle a. Si en tant normal, la victoire ou la défaite, règle tout désaccord préalable, cette fois-ci, elle est tombée sur un adversaire particulièrement orgueilleux. Déjà furieux d’avoir perdus, le fait de l’avoir fait contre une femme qui s’en vantait par la suite, ce fut plus qu’il n’en pus supporté.

Silencieusement, à distance, le navire de ce dernier a donc suivis l’équipage des Poissons-volants. Ils ont profité du temps exécrable ses deux dernière semaines : pluie, brouillard,… et lorsqu’ils étaient en vue, la mère d’Aoba en riait les invectivant même à venir, sûrs de sa victoire. Malheureusement, ce soir, quasiment tout le monde dort, rassuré par le temps clair. On peut en effet voir à des kilomètres à la ronde mais l’équipage rival en a profité également. Sur de multiples barques, se mouvant à la rame en contournant largement leurs cibles, ils entourent assez facilement le navire de la famille du Sanada.

D’un coup de nombreuses torches s’allument à la surface de la mer. Le timonier se réveille en sursaut quand une le frôle. Il a à peine le temps de donner l’alerte que déjà des ennemis arrivent à monter à bords. C’est le branle-bas de combat. La cloche est sonnée pour réveiller le navire mais tout le monde a un temps de retard. Seuls quelques membres ne dormant pas au moment de l’attaque monte à l’assaut, Aoba parmi eux. Le jeune homme, possède déjà un physique impressionnant pour son âge, il en fait facilement quatre de plus et possède une force appréciable. Il sort de sa cabine affolé, hache et harpon en main. Faut dire que son style est assez particulier. Bourrin mais également combattant à distance, il excelle dans les armes lourdes tels que… les ancres de navire. Des petits navires bien entendus mais des ancres quand même.

À peine sur le pont qu’un de ses harpons vint se figer dans un ennemis qui passe non loin. Le malheureux repasse par-dessus bord dans un gargouillement étouffé. Un second lancé puis un troisième et déjà le jeune homme est à court de munitions. Son hache à la main, il fonce tout simplement dans le tas, profitant de l’absence des membres de son équipage pour frapper aussi fort que possible sans se soucier de qui épargner ou non.

Telle une toupie, tournicoti, tournicoton, il tranche là où son regard se pose. Malheureusement ça ne suffit pas. Un adversaire armé de griffes passe sous sa lame et frappe au niveau de ses flancs. Un cri s’échappe des lèvres de l’adolescent avant qu’il ne pose un genou au sol. Lorsqu’il se relève, ses compagnons ont rejoints la mêlé, sa mère deux sabres jumeaux aux mains, accourant à ses côtés. Protectrice envers son enfant, sanguinaire envers ses ennemis, elle révèle toute sa puissance sous le regard de la lune. Tournant sur elle-même, dansant et donnant la mort à ses ennemis, elle fait pleuvoir des litres de sang mais cela ne suffit pas.

Surtout qu’Aoba, tête brulé comme d’habitude l’accompagne dans un duo mortel. Seul soucis, il n’as pas la vivacité de sa mère et possède plusieurs temps de retard, écopant de nouvelles cicatrices sur son corps, rien de bien grave cependant. Après un coup de tranche, il écarte son adversaire du chemin d’un coup d’épaule, tout sourire devant sa force. Ce qu’il n’as pas prévus c’est le combattant suivant, prêt à surgir dès que l’occasion se présenteras, cette occasion. Sa lame trace une courbe parfaite sous les étoiles, renvoyant des effets argentés. Le Sanada se recule par réflexe mais cela ne suffit pas. Et une il sent le métal lui brulé la peau sur son œil gauche. La douleur le fait reculer et s’abattre lourdement sur le sol. Il ne peut retenir ses cris de douleurs, ni ses larmes. Alors qu’il est prosterné sur le pont, sa mère redouble de fureur, abattant sans pitié, ni mouvements en trop ses opposants. Petit à petit, elles et quelques matelots créés un passage tandis qu’un des leurs transporte l’adolescent dans les quartiers du capitaine, le mettant ainsi à l’abri. Son père appelé à la rescousse accourt quelques instants plus tard pour limiter les dégâts et l’infection.

L’équipage des poissons-Volants finira par s’imposer cette nuit. Pour autant, Aoba en gardera un souvenir cuisant. Pour la première fois, il avait gouté de si près au combat, au métal ennemi et non-loin à la mort. Il connaitra de nombreuses autres batailles par la suite, mais ce fut la première de toute et la plus mémorable. Sa cicatrice le brulant toujours par moment comme pour lui rappeler son passé et ses erreurs d’enfant naïf, bercé par des conte.


ps: l'avatar et le pseudo arriveront dans peu de temps ^^

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