→ Slim ..

Elle, elle a un prénom d'abord ! Je m'appelle Slim, alors tâche de tant souvenir, pauv' tache ! Parce que je suis ton ainé, à toi et à tout tes semblables, vivant sur la terre. Je suis un être divin et mon âge contient assez de zéro pour te faire un bracelet et oui douze zéros, ça fait beaucoup ! Je vous suis bien supérieur, rejetons de la race humaine. Malgré tout, je vous côtoie comme si de rien était. Dissimulée parmis les forces de la Marine. Et vous, bande d'ignorants, ni voyez que du feu. C'est évident en même temps je m'affiche comme un bon petit soldat, alors qu'en réalité, votre sort me laisse complètement indifférente. Ce que j'ai de plus que vous ? Je suis une déesse ! Quelle question.. Mes pouvoirs sont similaires au Toon Toon No Mi, mais ils sont bien plus divins que ce pauvre fruit de niveau 7. Vous ne voulez pas de moi ? Mais vous n'avez pas le choix. Pourquoi ? Parce que :

Spoiler:

Hein que je suis belle ! Mais oui, bien sûr que tu es belle avec ta petite gueule d'ange. Chaque partie de ton visage semble s'accorder à un trait de caractère. C'est plutôt amusant et surtout très pratique, pour qui sait regarder. Car Il suffit d'un sourire pour comprendre que tu sais à quel point la majorité te trouve mignonne. Et surtout que tu sais en jouer. Tes petites dents, que la jeunesse sauve de tout jaunissement, montre l'étendue de ta folie. Tes longues canines semblent lancer un appel à la chaire, au sang. Ta langue, vive et agile, rappel ta gourmandise sans faim. Tes grands yeux expriment ton incommensurable détermination. Leur couleur rouge, la brutalité dont tu es capable. Alors que ton regard semble être empli de tristesse, implorant presque la pitié. Ton petit nez retroussé nous empêche d'oublier, malgré tout, ton jeune âge. Et ton teint pâlichon nous berne sur ton innocence. Quant à tes cheveux en bataille, ils nous laissent imaginer ta joie de vivre. Cette chevelure blonde est le parfait reflet de ta bonté d'âme.


Slim, une nudiste. Non, je n'ai pas le droit. Mais j'aimerais bien. L'on dit qu'à mon âge, le mot pudeur ne veux rien dire. D'autre disent même que de toutes les façons, je n'ai rien à exhibissionner. Bien sûr que ça se dit, c'est un buveur de lait au bar qui me l'a dit, non c'était pas Yue. Il m'a même dit que la blancheur de ma robe allait parfaitement bien avec mon teint de peau, mais qu'à la place de mettre une culotte entièrement blanches, je devrais penser à essayer les raillées. C'est à ce moment que je me rendis compte que la robe à mi-cuisse était peut-être un peu limite. Mais je n'allais tout de même pas me changer pour lui et je lui écrasa ma tong en paille tressée sur le nez. J'aurais bien poursuivi avec un coup de casque, étant donné qu'il est assez dur pour briser un nez sans endommager mon crane fragile, mais cet ivrogne n'en valait pas la peine. Et puis il avait déjà bien assez de cicatrices comme ça, pas l'alcoolo'. Seul les lunettes d'aviatrice était intacte, ou presque. Il faut dire que je ne les mets pas souvent non plus.


Plus tard je serais mannequin ! Tu le pourras, mais tu ne feras pas rêver les hommes. Tu seras ce genre de mannequin avec une poitrine inexistante, il est vrai que tu es encore qu'une enfant, mais je doute qu'elle évoluera davantage. Tes hanches ne sont pas plus développées, donc ta robe enveloppe une planche. Une planche avec une grosse tête ronde. Deux bras tout fins traduisant une musculature tout aussi développées que tes atouts féminins. Et une longue paires de jambes, habitué à courir. Le tout dépourvu de toute trace de poils. En gros, t'es une gamine quoi ! Seules tes mains peuvent faire penser le contraire. Avec leurs longs doigts et les ongles manucurés qui vont avec, l'on dirait une vraie femme d'affaire. La poigne de fer qui avec, si tu rates tes études tu pourras faire secrétaire. Ah non même pas, j'avais oublié, t'as les dents longues.

Mon papa il va te casser ta gueule ! Avant d'entrer dans une description approfondie et pleines d'interruptions de son état psychologique, vous devez être au courant de certains détails. Slim dit être l'enfant de Dieu, ni plus, ni moins. Elle ne lui donne aucun nom -hormis papa - et ne fait que l'éloge de ses infinis pouvoirs divins. En aucun cas elle parle de religion particulière, son paternel est simplement le Dieu originel, celui qui a créé ce monde et qui a le pouvoir de le détruire. Elle est persuadée d'avoir grandi dans les cieux, observé les humains de là haut et d'en avoir torturé quelques-uns à coups d'éclairs. D'après ses dires, elle s'ennuyait de la vie d'immortelle elle a donc sauté de son nuage afin de s'écraser dans une vie de mortelle qui lui convient totalement. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle désire vivre dans la banalité totale. Elle clame à qui veut l'entendre qu'elle est la fille du tout-puissant et que personne ne peut rien contre elle. Ce qui lui a déjà causé bon nombre de problèmes, mais elle est toujours vivante. C'est pour elle la preuve de l'existence de ses origines célestes. De ce fait, elle vit sa vie comme une petite déesse, ignorant le danger et se moquant des croyants ignorants, en quête de retrouver ses pouvoirs. Insultez la de menteuse pour voir, sa colère sera bien plus que divine.


Slim, une enfant capricieuse. Même pas vrai d'abord ! C'est simplement que, si j'ai quitté mon trône céleste, ce n'est pas pour fouiller les poubelles. Je profite donc de ma vie de mortelle comme bon me semble. Et je ne priverais pas de ce que je désirs simplement parce qu'un autre me l'interdis. Les règles, les lois, les codes ; je suis bien au-dessus de tout cela. Je ne me prive donc pas de rappeler à ces êtres inférieurs, qui je suis. Qu'il me respecte ou me craigne ne m'intéresse nullement, je veux simplement pouvoir manger en liberté. Oui, j'ai bien dit : manger. Beignets, sucettes, macarons et toutes ces autres bonnes choses sucrés dont je ne soupçonnais même pas l'existence quand j'étais là haut. Les pâtissiers et boulangers sont mes héros que je ne peux m'empêcher d'idolâtrer. J'aimerais rencontrer le meilleur d'entre eux afin qu'il fasse de moi, son élève. Malheureusement beaucoup disent de moi que je ne sais rien faire de mes vingt doigts - même avec les pieds ! -. Mais qu'importe, j'essaye de toucher à tout comme on dit. Je veux tout essayer et tout connaitre de ce monde. Ma curiosité n'a aucune limite et de toutes façons les limites c'est pour les petits ! Et moi je suis une grande !


Boouuh t'es pas beau ! Aussi grande qu'elle puisse se prétendre, Slim ne fait la distinction entre le bien et le mal. Pour elle il y a simplement ce qui est beau et ce qui n'est pas beau. Et l'on parle là de la beauté sous toutes ses formes : visuelle, gustative, etc. En partant de cette vision du monde, la confiance et les peurs sont des choses ridicules. Car elle pourrait avoir peur d'un brocoli et faire confiance à quelqu'un comme Cyanure. L'amitié est tout autant à prendre à la légère. Le monde entier est son ami. A partir du moment où elle n'a pas de souvenirs négatifs de vous, vous êtes son ami. Tuez vos enfants et offrez lui une sucette et vous aurez toute sa confiance. Alors que vous aurez beau avoir sauvé le monde un nombre incalculable de fois, si vous avez le malheur de lui faire le moindre tord, elle vous haïra comme personne. Mais être à ses côtés n'est d'aucun intérêt. Jamais elle ne se sacrifiera pour un de ses « copain » et à tout moment elle peut retourner sa veste. N'attendez d'elle aucune reconnaissance et encore moins de la pitié. C'est là, la puissance de l'inconscience. Sa simple façon de penser lui permet de tout faire sans remords. Ce qui est passé, est passé. Maintenant, où sont les bonbons ?


Slim, une princesse. Mais une forte princesse ! Contrairement à tous les contes de fées, je n'ai pas besoin de preux chevalier. Aillant horreur que l'on se mêle de mes affaires, je ne laisserais personne prétendre m'aider. Et si quelqu'un aurait la prétention de m'assister, je lui ferais savoir que ce n'est pas une bonne idée et lui prierait de s'arrêter, à grands coups de casque ! Et oui, j'aime faire la bagarre, même si je n'y connais pas grand-chose. Disons que j'ai appris les base sur le tas. Par exemple : Mordre ça fait mal, taper entre les jambes c'est mal mais efficace et le nez ça fait pleurer. Et surtout, les armes qui font du bruit : cay le mal ! Je déteste les armes à feu, qu'elle qu'elle soit. Je les trouve trop modernes. Ce que j'aime dans ce monde des mortels, c'est que tout ce que l'on obtient se fait à la sueur de son front. Or, ce genre d'arme déroge totalement à cette règle. Alors que le principe de la bagarre est de donner et de recevoir. Si on ne prend pas quelques coups ce n'est pas marrant.


Moi je veux ça ! Non, nous n'allons pas parler du niveau d'éducation de Slim. Elle est mal polie, le sait et s'en fout. Donc n'allez pas lui dire, se serait une perte de temps. Se croyant bien au-dessus des politesse de convenance, lorsqu'elle veut quelque chose, elle se contente de le prendre et de courir bien vite ensuite. Voleuse ? Noon, elle se présente comme une collectionneuse. Collectionneuse de quoi, me direz vous. Et bien d'intégralement tout et d'absolument rien. Elle aimerait collectionner une chose en particulier, mais jusqu'à présent ce titre était simplement une excuse à ses vols étant donné qu'à chaque fois qu'elle commence une collection elle l'abandonne aussitôt pour quelque chose de plus beau, plus gros ou plus brillant. Car bien qu'elle puisse s'attacher à tout et n'importe qui en moins de temps qu'il faut pour le croire, cela est encore plus rapide pour qu'elle s'en lasse. Certain diront que c'est une enfant blazée, d'autres diront qu'elle a été pourrie gâtée. Mais la vérité c'est que Slim est une enfant perdue, à la recherche de repère. La pauvre.. Non j'déconne, elle est juste complétèment barrée, si vous la croisez, tirez lui les cheveux !


Slim, une subordonnée. Maieuuuuuh ! Personne n'est mon chef ! Ils pensent que si, mais non. Je n'ai pas de supérieur, juste un papa. Pas content que je quitte les nuages pour la dangereuse terre, il veut que je reste aux côtés des marines. " Pour mon bien" qu'il dit. Je n'ai pas besoin d'être parmi eux pour être en sécurité. J'ai besoin de personne, d'ailleurs. Mais c'est papa qui l'a dit, alors je ne peux qu'obéir. Qui n'obéit pas à son papa ? Je suis donc officiellement une marine. J'écoute les ordres imposés par le Gouvernement Mondial, sans les appliquer, je voyage à leur côté, j'accepte même les corvées de toilettes, des fois. Mais ils sont méchants et me grondent tout le temps. M'interdisant de m'échapper du bateau, comme je le fais tout le temps, de manger les provisions de l'équipage, et même de collectionner les objets personnels des matelots ! M'en fiche, un jour, je prouverai à papa que je suis forte !

Oh oui, une histoire ! J'adore les histoires !


Imagine-toi une jeune fille. Proche de la majorité, mais loin d'être indépendante. Elle trouve l'amour auprès d'une recrue de la marine. La différence d'âge la rassure. Ses sentiments ne font aucun doute pour elle, tandis que sa libido ne fait aucun doute pour lui. Amour et désir se réunir pour ne faire qu'un. Après un rapide tant de symbiose magnifique, elle remonte sa culotte rayée, tandis que lui remonte à bord de son navire. La laissant seule. Vous l'aurez compris, il s'agit d'Aurélie. Pour ses parents, ce ne fut pas la joie, d'autant plus que cette jeune demoiselle se disait prête à se faire appeler maman. Non mais on en aura entendu des conneries ! Outrée par la réaction de ses parents, les insultes volèrent. Elle décida de claquer la porte derrière elle lorsque son père lâcha : Félicitations tu vas mettre au monde un futur fils de pute ! Comme une ultime rébellion, elle accoucha d'une fille.
Bien sûr, entre temps, elle avait quitté la maison familiale, sans regret. Pourtant, il y a de quoi. Désormais sans métier, sans logement et sans personne pour élever sa portée, elle trouva refuge.. Nulle part. S'allongeant dans l'herbe encore humide, son enfant dans les bras, elle s'endormit, rêvant d'un lendemain meilleur. Elle rêva d'un lendemain sans sa fille, à qui elle n'avait même pas encore donné de prénom. D'un lendemain radieux, où ses parents l'obligeraient à suivre ses cours, où elle les bouderait bêtement. D'un lendemain banal, mais sans soucis. Mais lorsqu'elle rouvrit les yeux, notre jeune Aurélie, mère à tout prix, compris que ses journées banales ne reviendraient plus jamais et que l'être qui hurlait entre ses bras en était la cause. Elle comprit aussi que cette chose, si petite et si bruyante, était également la seule chose qui lui restait.


Elles vécurent dans la rue une éternité, vivant de larcins. La petite, n'aillant définitivement pas de nom, appris à faire ses premiers pas dans la boue sanguinolente du boucher du coin. Ses premiers mots furent : 50 berrys la totale, prononcés par l'un des soldats de la Marine qui arrêtaient sa mère pour vols. La seule école qu'elle connue fut " l'école de la rue ". Contrairement à ce que l'on pourrait croire, elles ne s'en sortaient pas si mal que ça. Notre Aurélie avait développé un réel talent pour détrousser les foules. Elle seule avait la technique pour subtiliser une bague en une simple caresse sur la main. Il était devenu banal de voir cette petite et sa fille couverte de bijoux tous plus clinquant les uns des autres.
La dernière fois que notre jeune maman avait vu ses parents ? Lorsqu'ils dormaient et qu'elles récupéraient tout ce qui brillait dans la maison qui était précédemment la sienne. Elle avait accumulé assez de larcins pour s'acheter un petit logement en dehors de la ville, mais elle préféra briser une fenêtre afin de prendre possession d'une maison abandonnée. Mais autant d'exactions ne pouvait passer inaperçu, même si les représentants de l'ordre fermaient les yeux en échanges de quelques faveurs. Un jour, ce fut les représentants du désordre qui vinrent réclamer leur part du butin. Et oui, dans toutes villes, il y a une vie souterraines, une mafia si vous préférez. N'aillant pas les armes, physiques comme psychologiques, pour tenir tête à ce genre de personnes, Aurélie se vit obliger de reverser un pourcentage de ses vols afin " qu'on ne la découpe pas en morceaux, avant de la donner à bouffer à sa fille ".


La vie continua, comme si de rien était, elle apprit à sa fille les " ficelles du métier ", ce qui leur permit de ne pas changer leur train de vie, malgré la cupidité grandissante de leurs oppressants. Sa petite avait désormais six ans. Elles avaient fêté son anniversaire autour d'un énorme gâteau. Et comme cadeau ? Une orange. Et ouai ça calme. Surtout quand on a six ans et qu'on veut un cheval rose et jaune. Mais ce n'était pas n'importe qu'elle orange. Cette orange faisait partie de ce qu'on appelait les Fruits Du Démon. Aurélie l'avait trouvée, il y a deux semaines de ça dans l'attaché case d'un homme richement vêtue. Elle connaissait ce que l'on disait sur ces fruits et l'idée d'avoir un grand pouvoir en sacrifiant sa capacité à nager, l'emballait très franchement. De toutes les façons elle ne savait pas nager.
Ne comprenant pas l'importance de ce que cela représentait, la gosse feinta le bonheur et ce força à manger l'entière moitié que sa mère lui avait coupé. La jeune maman s'empressa de manger l'autre moitié de ce fruit maudit et attendit de sentir les effets. Sa fille les sentit en premier. Des vertiges la prenèrent et elle ne tarda pas à prendre connaissance. Les effets étaient plus violents chez les enfants, comme pour les médicaments, se dit-elle. Les jours passèrent, puis les semaines et toujours rien. Sa fille elle, commençait déjà à apprivoiser ses dons. La nature de ses dons était fascinante. Il changeait totalement le physique et le mentale de sa fille et lui conférait une rapidité sans égal, sans oublier la multitude de passe-passe que sa fille faisait. Sa fille essaya de lui apprendre, en voyant l'enfant cela semblait vraiment facile, mais Aurélie ne semblait pas avoir le même don. Peut-être que la moitié qu'elle avait mangé ne permettait pas d'avoir les pouvoirs.

Et maintenant, le moment que tu attendais tant. La journée où tout changea !
Dans notre petite ville d'East Blue, l'apparition soudaine de don chez une petite fille, déjà connu pour de nombreux larcins, fut plus que remarqué. Aurélie trouvait ça marrant, au début. Une fois que tout le monde était au courant, ça la tua. C'était pourtant prévisible. Elle vivait dans l'illégalité, une organisation plus que sombre lui inventait des dettes et sa fille était dotée de dons incroyables. Avait-elle besoin de davantage de signes ? Il semblerait, car elle ne le comprit qu'au signe suivant. Quel était-il ? Sa porte vola en éclat. S'en suivit une armée de colosses, tous plus musclés les uns des autres. Ils saisirent la mère, la fille et leurs richesses, le tout, en un temps record. Une fois qu'ils annoncèrent : " On les a ", un maigrichon en costard fit son apparition et s'adressa à notre chère voleuse. Il expliqua son intérêt particulier pour sa fille, avec des mots qu'Aurélie ne comprenait même pas. N'aillant pas un langage aussi soutenue que son interlocuteur, elle se contenta de lui cracher au visage. La réponse ne se fit pas attendre, elle se prit une gifle dans la gueule, cash. Il aurait juré frapper ses dents, pourtant sa joue était belle et bien rouge. Mais lorsqu'elle releva la tête il comprit. C'est donc le sourire aux lèvres et sa montre entre les dents qu'elle se fit sauter le crane. La petite en resta muette. Ses chouinements cessèrent en même temps que la détonation. Ses petites mains se libérèrent de la poigne de son colosse, attrapa la première chose qu'elle eu sous la main, un casque et cogna. Le pingouin se plia en deux son teint vira au violet. Mais elle ne perdit pas plus de temps. Elle mit le casque sur sa tête et fonça droit devant, la tête la première. Elle courra ainsi, sans s'arrêter. Ne regardant même pas devant, n'écoutant même pas les vociférations de ses poursuivants. Faisant confiance à son instinct, elle se glissait là où seule elle pouvait se glisser. Mais ses poursuivants était coriace et la poursuite s'arrêta sur l'un des plus hauts toits de la ville. Des hommes en face d'elle, le vide dans son dos. Avec comme seule arme : un pouvoir qui lui permettait de faire des Barbies aquatiques et un casque. Son arsenal de guerre était davantage approprié au vide, elle sauta.


Waaah ! Elle était trop bien ton histoire ! Maintenant jte raconte la mienne si tuveux bien.
Je te passe toute mon enfance dans les nuages parce qu'elle n'est pas marrante, y'a pas d'actions. Donc ma véritable histoire commence le jour où j'ai annoncé à mon père que j'allais quitter la maison pour la terre. Je me souviens, il était pas content. Mais je lui souris et lui fit le coup du regard et il s'adoucit rapidement. Faut dire qu'il est trop gentil mon papa ! Il ne m'imposa qu'une seule conditions. Que je rejoigne la Marine. J'eue beau pleurer, me rouler par terre, il m'imposa cette unique condition. Je n'eue donc d'autre choix que d'accepter. Lorsque je fus prête, je m'avança au bord du nuage, me jeta de toutes mes forces, ignorant où j'arriverais.
Ma chute fut brève, incapable d'ouvrir les yeux, je ne pu la contempler. Le choc par contre, fut particulièrement rude, mais je ne ressentis aucune douleur. Rapidement je me remis sur pied et essaya de comprendre où j'étais tombé. J'étais dans un appartement, arrivé par le toit. Habité par un vieil homme soulevé de son sommeil et particulièrement pas content. Sans oublier, me menaçant d'une lame sous la gorge. Laissant ce détail de côté j'essayai de jauger mon nouveau corps de mortel. Je semblais essoufflée, mais ne comprenait pas pourquoi. Mes yeux était mouillés de larme, surement à cause de la chute. Et un casque trônait sur ma tête. Sacré papa, il avait dû me le mettre pendant ma chute, pour pas que je me fasse mal.

- D'ou tu sors gamine ?!
- Du ciel vieux crouton !
- Ton père t'as jamais apprit à parler correctement aux gens qui te mettent une lame sous la gorge ?
- Mon père c'est Dieu ! Et il va te casser la gueule !

Craignant la fureur divine de papa, derriere son rire moqueur, il m'offra un lait chaud. Après ça, je lui raconta ce que je viens de vous raconter et il m'intégra à ses recrues et par la même occasion, à la Marine. Son nom ? Stark Lawcoe, pourquoi ?

Ah oui mais non..

Cette fiche est toujours d'actualité - Oh miracle.. - et je ferais les modifications dés que je pourrais.
Pour le moment je suis en vacances, j'en avais informé Sid sur la CB.

C'est vrai que j'avais pas fait de poste en absence, mais vue que je passe de temps en temps jeter un oeil, via mon BabyPhone, je ne trouvais pas ça indispensable.

Te remerciant par avance de garder ma fiche en chaud.