- Présentation du joueur IRL -
Prénom : Clémence
Age : 18
Homme/Femme/Okama : femme
Comment avez vous connu le forum : en cherchant un forum sur One Piece
Combien d'heures vous vous connectez par jour : de 30’ à 2h
Tes Mangas préférés : One Piece, Debaser, Clothroad
Ton personnage préféré dans One Piece : Perona-sama
Ce qui t'as motivé à venir : une grande envie de me lancer dans le Rp
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : quelques forums de Rp et une année de Jdr (warhammer entre autre)
Hobbys : les mangas, séries, dessiner
Autre(s) :
- Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Simci Florentin
• Surnom : le choix aux autorités
• Age : 21 ans
• Race : humaine
• Camp : Civil
• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Bon (pour les femmes) ou indifférent (pour les hommes)
• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : sur Amazon Lilly elle était plutôt journaliste; maintenant elle se retrouve à faire petits boulots sur sur petit boulots (soit manuels, soit dans la vente)
Pouvoir demandé : la maitrise qu’ont les habitantes d’Amazon Lilly des serpents (utilisation d’un serpent en tant qu’arc/chaines/arme etc...)
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Retourner à Amazon Lilly pour devenir une super star grâce au récit de son voyage.
• Code présentation :
◘ Description Physique :
De loin elle ressemble à n’importe quelle fille au physique agréable, archétype même de la fille énergique : environ 1m70 pour 65kg, elle est plutôt élancée, mis à part sa poitrine assez imposante. Ses cheveux blancs sont assez marquants, ainsi que le sac impressionnant qu’elle porte comportant toutes ses affaires. Elle paraitrait tout à fait banale... Enfin si elle portait des vêtements!
Habituée depuis son enfance à porter un bikini en peau de panthère pour seul vêtement, elle a du mal à se faire aux vêtements couvrants et au concept de la pudeur, après plusieurs avertissement des agents de la lois, elle s’est quand même mise aux vêtements plus courants (enfin quand elle en a envie) : un débardeur très décolleté, un mini short, et une paire de rangers... Autant dire qu’il y a de la marge avant d’atteindre la bienséance.
Elle a un visage aux traits assez doux, le peau blanche comme la neige (malgré son exposition quasi quotidienne au soleil... Un mystère de la nature) avec de grands yeux lavande, encadré par les reflets argentés de ses cheveux au carré. Un petit air espiègle se dégage du tout, la faisant souvent passer pour un peu plus jeune qu’elle n’est.
De temps en temps, quand il ne dors pas, Guu (son serpent) sort de son sac à dos pour prendre l’air. Guu a les écailles du dos bleu azure et le ventre lavande. Il mesure un peu moins que Simci, soit 1m60 (mais c’est parce qu’il est encore en phase de croissance d’après Simci). Encore plus espiègle et joueur que Simci, il a un regard un peu défiant envers tout ceux qui l’approche de trop près. Comme Simci, Guu n’aime pas les hommes, qui sont apparemment beaucoup trop poilus pour lui... Car en effet comme tous les serpent, Guu a besoin de réchauffer son sang froid, et pour ce faire il adore se coller à Simci, souvent il s’enroule autour de sa taille ou de sa cuisse pour ne pas trop la gêner dans ses mouvements. Comme tous les serpents d’ Amazon Lilly il est très dur et résistant, et il peut prendre des formes différentes. Vu que Simci ne se passionne pas dans le combat ou le dressage de serpent, Guu connait uniquement les basiques : l’arc, la corde (quand il s’enroule autour de quelqu’un) et deux ou trois trucs quasi inutiles. Il mène une vie paisible de serpent de compagnie, bien qu’il ai toujours besoin de surveiller Simci qui a tendance à vite s’attirer des ennuis.
Pour résumer Simci pourrait avoir l’air d’une jolie fille normale, si elle n’était pas à moitié nue avec un serpent géant autour d’elle les 3/4 du temps.
◘ Caractère & morale :
Extrêmement curieuse elle a toujours envie de tout savoir, et à force de fouiner elle se retrouve parfois dans des situations un peu bancales, voir même carrément dangereuses.
Optimiste allant toujours de l’avant on ne peut pourtant pas la qualifier de jeune fille pure et innocente (loin de là). Fondamentalement rebelle et têtu, ferait quasiment n’importe quoi pour atteindre ses buts, tant que cela ne va pas contre sa morale/son éducation (peu commune).
Peu fana des compromis, il lui arrive quand même de céder parfois (souvent dans la perspective de gagner plus tard, mais bon ça reste un compromis). C’est ce qui lui permet de s’adapter un minimum au monde inconnu dans lequel elle est tombée.
Très expressive et téméraire elle va facilement vers les autres à la recherche d’information ou de petits boulots. Si une de ses amies rencontre un problème elle sera là pour aider, et si un homme a un problème... Il peut crever. Il faut enfin savoir qu’elle ne prendra personne en pitié, et qu’elle n’est pas du genre à se sacrifier pour les autres, mis à part ses concitoyennes d’Amazone Lilly et l'Impératrice.
Éduquée dans la tradition Kuja-ienne, elle a assimilé certaines logiques très particulières : ce qui est fort est beau (à l’instar de l’impératrice); les hommes sont faibles et moches ne méritant même pas un regard; l’impératrice a toujours raison, et sa parole est loi; l’instinct est une bonne façon de juger; etc... Autant dire des préceptes qui parfois peuvent s’opposer aux idées du monde extérieur.
Malgré tout cela il lui arrive souvent de remettre son jugement en question, majoritairement quand ses idéaux ne correspondent pas à la réalité, ou quand des arguments contre ses idées sont jugés valable : elle n’est pas totalement bouchée, mais il en faut quand même pour la faire changer d’avis ou de conduite.
◘ Histoire :
Simci est une jeune fille originaire d’Amazon Lilly. Élevée uniquement entre femme dans une tradition guerrière, elle a développée en grandissant une force et une endurance accrue, ainsi qu’une prédisposition à l’arc (enfin plutôt au serpent-arc).
À ses 15 ans elle a reçu son serpent, Guu. Au début tout petit (à peine 20 cm) ils ont grandi ensemble jusqu’à ce que tous deux puissent se proclamer des vrais habitants d’Amazon Lilly.
Extrêmement curieuse elle eu vite fait de faire le tour de l’île, et bien que les quelques ragots lui fournissait de quoi remplir sa page de la gazette, elle fut vite prise d’une grande envie de découverte et d’aventure : bref voyager hors de l’île (idée assez déplacée chez les amazones). Elle passa par la suite tout son temps libre à tanner sa mère puis sa grande soeur, commerçantes, pour les accompagner dans leurs (très rares) voyages hors de l’île.
À ses 18 ans elle eu enfin l’autorisation d’accompagner sa soeur dans un voyage vers une ile de Grand Line. Je préfère ne pas mentionner l’état d’excitation total qui suivi cette nouvelle. Simci passa le moi qui la séparait encore du voyage à préparer un sac à dos-kit de survie, ainsi que tout le matériel nécessaire à tenir un carnet de voyage à en faire pâlir Diderot.
Le départ du bateau arrivé enfin, accompagné des heures de recommandation de sa mère sur le monde extérieur. Au bout d’une semaine de voyage sur les mers immobiles de Calm Belt, elle compris que sa soeur n’avait aucunement l’intention de la laisser descendre sur l’île, et que au final elle ne pourrait jamais mettre pieds sur une autre terre qu’Amazon Lilly. Après une forte dispute avec son égoïste de soeur, elle pris la décision que rien ne l’empêcherai de découvrir le monde, puisque après tout rien ne lui interdisait. Une fois arrivée à bon port, sa soeur, comme prévu, la fit garder par une de ses amies pour être sûr qu’elle ne s’enfuie pas. Simci montra une conduite exemplaire pendant toute la journée, rassurant sa soeur qu’elle ne ferait rien pour descendre à quai Elle attendit donc la nuit, juste après le départ du bateau pour s’éclipser, empruntant le canot de sauvetage, accompagné de son fidèle Guu. Confiante dans son avenir de grande voyageuse, héroïne de son île natale ayant affronté le monde, racontant ses histoire dans des milliers de pages, acclamée par la foule...
Le rêve s’effondra très vite, quand par exemple elle rencontra pour la première foi un homme (quelle chose inutile, moins fort et beau qu’une femme, totalement idiot et pervers, encore pire que dans se contes d’enfant) ou avec un policier qui voulu lui enlever Guu, et enfin encore un autre homme qui tenta de lui arracher ses vêtements. Le pire entant qu’il n’y avait sur cette île qu’une ville moche et puante, loin de la perfection de la nature de son île d’origine. Ce voyage à travers le monde ne serait pas la partie de plaisir envisagée, mais plutôt une traversée de l’enfer puant et masculin.
Elle fut forcée de rester une semaine entière à l’écart de cette ville horrible, regrettant souvent d’être parti d’Amazon Lilly. Petit à petit, après de nombreuses observations elles commença à s’habituer à l’ambiance et à la culture diamétralement opposée à la sienne. Poussée par la faim et l’envie d’un bon bain, elle trouva un petit travail de livraison, puis de serveuse, puis de pécheur... À force de rencontrer de nouvelles personnes, souvent en voyage (puisqu’il s’avérait que l’île où elle se trouvait n’était qu’une île-escale pour les commerçants) elle eu envie de découvrir autre chose. Après avoir passé deux mois à amasser argent et connaissances, elle prit la décision de voyager d’île en île jusqu’à trouver un moyen de retourner à Amazon Lilly. Elle appris très vite à cacher ses origines amazones (parce qu’étrangement elle se transformait vite en phénomène de foire dès que quelqu’un était au courant) et à vivre en ville. C’est ainsi que depuis 3 ans passés loin de chez elle, Simci vogue d’île en île, de serveuse en moussaillon, tenant à jour une encyclopédie de voyage qui un jour le rendra célèbre auprès de ses amies amazones.
• Exemple de post RP :
Simci se retrouvait encore aujourd’hui seule dans cette grande ville. Il était assez tôt et seul quelques boutiques étaient ouvertes. Une délicieuse odeur se dégageait de la boulangerie du coin, une odeur de pain chaud juste sorti du four, à la fois croustillant et fondant... Non, elle ne devait pas se déconcentrer. Si elle s’était levée si tôt, ce n’était pas pour casser la croute! Et puis de toute façon elle n’avait plus un berry. Voilà la raison qui l’avait poussée à venir en ville : elle cherchait un emploi ! Ses derniers sous étant partis la veille dans le loyer de l’appartement miteux où elle s’était installée il y a de cela une semaine. Il était largement temps de chercher un petit boulot. Déambulant dans la rue, de boutiques fermées en petites échoppes, elle arriva face à un café. Assez grand sans non plus être gigantesque, la devanture était un peu abimée par le temps. Le bois s’était déteint, l’enseigne grinçait un peu au vent, gravée dans une veille écrire ronde du nom «L’espérance». Malgré l’heure très matinale, on pouvait apercevoir déjà quelques clients autours d’un café à travers les vitraux colorés des fenêtres. L’espérance avait l’air d’être le café du coin, presque aussi chaleureux que sa propre maison. C’était typiquement le genre d’endroit qui embauchait, et qui surtout lui permettrait d’apprendre beaucoup sur cette île. Une femme était justement en train d’installer la terrasse juste devant le café. Elle devait avoir 45 ans, des cheveux blancs apparaissaient en mèches dans son chignon bas. Le coin de ses yeux gris était marqué par quelques rides et pourtant elle dégageait une énergie impressionnante. Elle avait cet air autoritaire et dominant caractéristique d’une femme forte et indépendante : aucun doute elle devait être la patronne. Simci fit une dernière vérification, en effet depuis qu’elle était bloquée sur grand line elle avait appris quelques trucs pour faciliter son embauche : 1- cacher Guu, son serpent géant, car étrangement bien qu’il n’aurait jamais attaqué quelqu’un sans raison, certaine personnes en avait peur. 2- s’habiller, enfin mettre autre chose que son bikini habituel, car en général ça ne plaisait pas trop aux autres employées qu’elle porte quasi-rien... Aujourd’hui tout semblait au point : Guu était profondément endormis au fond de son sac à dos et Simci avait pensé ce matin à enfiler son short et un débardeur. Elle se décida donc à faire une approche. S'avançant vers la sans-doute-chef du café d’une démarche décidée, elle s’arrêta à quelques mètres pour ne pas la gêner et lança d’une voie claire :
Bonjour, excusez moi de vous déranger mais je cherche un emploi, et je peux tout faire !
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