Rin [end]

Code:

Prénom :Rin
Age : 22
Homme/Femme/Okama : Okama nécrophile pedobear
Comment avez vous connu le forum : google
Combien d'heures vous vous connectez par jour : pas beaucoup
Tes Mangas préférés : OP; zombie loan, saiyuki,dbz
Ton personnage préféré dans One Piece : chopper
Ce qui t'a motivé à venir : Le graph
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : euh quelques années
Hobbys : pas tes affaires è.é
Autre(s) : nothing

- Présentation du personnage -

• Nom & Prenom : Satô Rin

• Surnom : Dog

• Age : ?

• Race : Humain

• Camp : Je peux faire civil en attendant d'en trouver un ?

• Orientation psychologique : imprévisible / Fou

• Métier/Spécialité : Joue de l'ocarina

• Pouvoir demandé : Aucun

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Trouver sa propre personnalité en tant qu'être humain et ce venger

• Code présentation :

► Une blondeur surnaturelle et de grands yeux d’un bleu clair intense, voilà ce qu’on remarque en priorité lorsqu’on croise mon regard. Ensuite on observe un nez fin, une bouche légèrement disproportionné et trop grande sur un visage enfantin, efféminé, angélique ? Je hais ce visage si jeune et si « naïf ». Ma chevelure bouclée et mis longue cache des oreilles pointues dont j’ai honte tant elles me font penser à mon côté « animal ».

Un de mes plus gros problème, mon apparence, en effet, il m’est déjà arrivé de me faire draguer dans la rue par un obsédé ivre ou un vagabond, tout cela parce qu’on pourrait croire que je suis une fille si on me regarde de loin ou avec peu d’attention.

Tout ça parce que ma carrure n'est pas très impressionnante avec mes 1m54 et mes 50 kilos tous mouillés. De plus, j'ai été doté de longs membres fins. Je compense cette tare avec une vitesse et agilité hors du commun digne d'un félin. Cette allure fleurette de fillette, cet air innocent et fragile, c'est eux qui me l'on donné pour pouvoir m'infiltrer plus facilement et ainsi déstabiliser l'adversaire avant de frapper. Cette agilité et endurance quant à elles sont réservées pour l'attaque et la traque. Un corps trop musclé attire facilement l'attention, alors qu'un gamin aux allures de fillette donne plus confiance et moins de méfiance, enfin celons eux...

Mon accoutrement original et coloré parait excentrique aux yeux de la majorité. En effet, à la place d’un pantalon noir basique se tient un short à carreaux de diverses teintes orangés avec en bordures des bandes noires.
J’ai également une ceinture grise recouverte de diverses poches dans lesquelles je planque de la nourriture et accroche mes armes : deux petits poignards. J’ai également un katana dont je ne me sers que très rarement il a plus une valeure « sentimentale » qu’autre chose.
Ma chemise est dans les mêmes teintes que mon short.

Je porte une plaque militaire en acier autour du cou, on peut lire « Rin », c’est également un cadeau d’adieux que je garde précieusement et dont je ne pourrais jamais me séparer.

En parlant de cou, des cicatrises hideuses le parsème, en effet, avant de m'enfuir loin de leur sauvagerie, je portais une chaine, non en fait c'était plus un collier étrangleur pour chien avec des clous dirigés à l'intérieur pour qu'il se plante dans la chair à la moindre incartade. Il leur a fallu du temps avant de me « dresser » et m'obliger à « obéir » c'est pour cela que je dispose de nombreuses marques alors que certains de mes semblables n'en possédaient que très peu. Je cache cet aspect repoussant par un autre collier pour chienne en cuir orange j'en ai un similaire autour de chaque poignets. C'est con, mais ils étaient offerts avec gros lors de mon achat, alors au lieu de gaspiller autant en profiter. C'est idiot, mais j'ai du mal à me débarrasser ce « ces colliers d'animaux »alors que je le devrais, mais j'ai l'impression d'être nu sans lui c'est pour cela que je le porte au lieu de mettre un simple bandage pour cacher mes cicatrices.

Quant à mon corps ? Il est également parsemé de nombreuses blessures qui ne s'effaceront jamais, certaines crées par mes « maître » d'autre par des victimes qui se sont simplement défendus.
J'ai également un tatouage sous le poignet droit « Sujet 03 » mon nom de toutou dressé à obéir.

► Comment me décrire ? Je suis quelqu’un d’émotionnellement très instable. Malgré mon physique qui pourrait me faire penser à un être fragile et délicat. On m’a dressé comme un vulgaire animal de combat et appris de nombreuses techniques de torture. Ce passé n’est pas si lointain que cela et j’ai malheureusement gardé de profondes séquelles.

Je ne suis pas un saint loin de là… J’ai du sang sur les mains, des victimes innocentes, des salopards, des faibles et moins faibles
Parfois, lorsque je regarde mes mains, je vois ruisseler ce liquide rouge que j’ai tant fait verser. Cette hallucination est tellement réelle que je me mets à tout faire pour m’en débarrasser, mais rien n’y fait, ces marques indélébiles restent jours après jours sans que je ne puisse rien y faire. Mon pire cauchemar : la nuit, je les entends ciriers, implorer, pleurer, supplier, ce battre et je vois leurs sang encore et encore. Cette maudite couleur rouge à tendance à me mettre hors de moi. Ne dormant pas beaucoup à cause de ces « cauchemars sans fin » je suis parfois d’humeur très lunatique.
J’ai tué et aimé ça ! Maintenant ? Autant cela peut me révulser qu’attiser une joie intense.

Pourquoi ce raisonnement si illogique ? J'essaye de me racheter une conduite depuis mon départ de « l'élevage », mais des ordres et des mots sont encore ancré en moi comme un poison inguérissable, même si j'ai retiré mon collier, il suffit qu'un imbécile dise des phrases d'un ton sec comme « Tue le ! » «Go ! Attaque » « Stop !» « Torture » « Assis ! » etc. Pour que je retrouve mon état d'esclave et les exécute sans réfléchir. Une fois, il m'est arrivé d'attendre plus de 3 jours au même endroit à cause de ce problème. Suis-je devenu complètement fou ? Oui, surement, mais je tente de résister jour après jour ! Peut-être deviendrai-je assez fort pour échapper à cet instinct animal qui m'habite. Je le combats comme je peux, je viens même de commencer à appendre le langage humain sans me contenter des quelques phrases que les « Autres » mon inculqué. Tout cela dans le but de me rapprocher de l'homme lambda, j'ai encore un peu de mal avec certains mots, mais je me débrouille convenablement.
Ma plus grosse frayeur ? Que ces types me retrouve et me force à reprendre cette ancienne vie d'esclave.

Pour moi, la seule autre façon de combattre cet instinct animal est de devenir totalement son inverse, du moins en apparence, il ne sera donc pas rare de me voir sourire, plaisanter et avoir l’aspect d’un « bon vivant », ce n’est pas le véritable moi. Lui, je le cherche encore, mais ce masque me maintient en vie et m’empêche de sombrer davantage dans la folie. Après tout, je suis encore jeune, j’ai le temps devant moi avant de trouver ma véritable personnalité non ?
Le problème vient lorsqu’on essaye de m’attaquer ou à la vue du sang, cela suscite encore pas mal d’excitation en moi et je me lance éperdument dans tout combat sans réfléchir, et cela même s’ils sont perdus d’avance, j’adore me battre, sentir mon cœur s’accélérer et l’adrénaline m’envahir peu à peu. J’ai beaucoup de chance d’être encore en vie avec cette personnalité si déroutante.

Mon point de vue sur la marine, les pirates, révolutionnaires et j’en passe ? Aucune, je ne les déteste pas et ne les aiment pas ; je m’en fou tant qu’ils ne s’en prennent pas à moi. Ils peuvent faire ce qu’ils désirent et livrer leurs batailles et même s’entre tuer tant qu’ils veulent, je ne hais qu’une seule et unique sortes de personnes les « Autres » qu’autrefois je nommais « maîtres ».

►Une histoire invraisemblable, voilà ce à quoi se résume ma vie, peu de personnes, peut-être même aucune ne me croira, rien de plus normal qui croirait à une organisation secrète aux tendances étrange et perverses sans aucune preuve ? Pourtant, c’est la vérité, une terrible vérité.

Et si je commençais par le début ? Ma naissance. Je n’ai aucun souvenir de ma mère ou bien de mon père. Peut-être suis-je un bébé éprouvette née d’une expérience bizarre ? Ou alors ai-je été abandonnée dès la naissance ? A moins, qu’on ne m’est enlevé ?

Aussi loin que remonte mes souvenirs ; même si ce ne sont que des sortes de flashbacks mêlés avec de l'incompréhension. Je me retrouve là-bas avec « eux », ces êtres misérables qu'on me forçait à nommer « maîtres ».
Je n'étais pas le seul non loin de là, au début on pouvait en voir une dizaine, peut être même une vingtaine, à la fin nous n'étions plus que cinq, les survivants, les « dressés ». Les autres avaient été décimés soit par l'un d'entre nous, soit à cause de nos conditions de vie ou bien de nos « maîtres ». Il n'y en avait qu'un qui arrivait encore à leur tenir tête, le plus âgé d'entre, nous.
Si j'avais été doté de parole et possédais la connaissance de ce mot je l'aurais appelé « frère »
Même si aucun lien du sang ne nous reliait.

Ils avaient dû l'avoir plus tard, car il connaissait quelques mots, oui il savait parler. Enfin d'une façon primitive du moins.
Si j'ai survécu jusque là, c'était grâce à lui. Il c'est prit d'affection pour moi, peut-être parce que j'étais un des derniers à être brisé par ces bêtes ? Ou alors simplement parce que je lui rappelais une personne proche ? Quoiqu'il en soit, il me protégea de la meute à sa manière et m'appris comment survivre.

Après l'apprentissage qui consistait à obéir et même tuer les « nôtres »pour « leurs » faire plaisir et sans doute prouver notre puissance. « Ils » nous emmenaient en mission.
Lorsqu'il me lâchait je devenais encore plus sauvage et meurtrier qu'à la « meute ». Je me battais parfois à quatre pattes, d'autres fois avec des poignards qu'ils nous confiaient. Mon vocabulaire se limitait à « oui » et la compression des divers ordres qu'ils avaient immiscés dans nos têtes. Sinon on communiquait en grognant ou en montrant les dents.

J'ai été dressé dans la violence, on ne nous apprenait qu'une seule chose : comment tuer, traquer ou torturer. Je ne connaissais rien d'autre et avait du mal à assimiler les conséquences de mes actes ou bien même comprendre le monde extérieur.
J'ai hésité une fois à ma première mission il y avait des enfants. En récompense on m'a passé à tabac. La fois d'après, lorsque je réussis mon coup, j'ai eu droit à un formidable repas ! Du steak bien tendre ! Il va s'en dire que par la suite, j'ai tout fait pour ne plus échouer lorsqu'on m'envoyait faire le bourreau.
Notre « tanière », elle était sombre, humide et pleine de déchets en tout genre, de sorte qu'« ils » étaient obligés de nous laver et changer avant d'aller vers le monde extérieur. Je haïssais cet endroit tout comme « eux » ces soit disant « maîtres ».

Un jour, ils nous ont fait faire une mission en équipe, j'étais avec mon « frère », son « maître » et le mien. Jusque là rien de particulier étant donné que c'était déjà arrivé pour les attaques compliqués.

Lors que nous fûmes sur les lieux, nos maîtres nous lancèrent dans un bâtiment qui ce situait dans les montages, des hommes gardaient un fruit bizarre, quand on y repense c’était idiot, une telle boucherie pour de la nourriture ! Pour un fruit, un misérable petit fruit ! Enfin, on n’était pas là pour discuter des ordres. Je me lançais dans une course folle, suivis des maître et de sujet 0. J’avais l’impression d’être libre, pouvoir s’élancer sur le sol et courir à en perdre la raison. Cet état m’avait tant distrait que j’en oubliais mes camarades qui plus imposants avaient du mal à suivre, ce qui me valu un bon coup sur une longue chaîne reliée à mon collier que tenais mon maître.
Je dû l’attendre les autres à mis distance avant qu’on ne s’élance sur ces hommes avec des armes blanches pour seule protection, moi et mes deux poignards et mon « frère » avec son katana.

Ce fut un combat rude et difficile, ils étaient nombreux et nous avions subi énormément de blessures au fur et à mesure que les leurs tombaient. Si on s'en est tiré vivant, c'est grâce à mon frère qui m'appris à me battre en coopération. Au bout de plusieurs heures remplies de cris, d'excitation et de sang ; l'endroit était presque nettoyé, il ne restait qu'une femme implorant qu'on l'épargne. Nos maîtres c'étaient joint à nous et nous soutenais à l'arrière avec des gros tubes qui crachaient de la poudre et des flammes. Ils auraient pu se débarrasser de cette femme facilement, mais au lieu de ça j'entendis un « Sujet 0 » « Tue, Maintenant ! ». L'ordre était simple, du moins en principe, moi-même l'aurais exécuté sans problème, mais mon « frère » se retourna et montra les dents, puis il exprima un mot d'ont j'ignorais le sens à l'époque, mais qui restera à jamais dans ma mémoire « LIBERTE ». Avait-il fait semblant d'être docile pour les duper ? Avait-il attendu ce jour depuis si longtemps ? Cherchait-il l'opportunité de se rebeller dès le début ? Je ne sais pas et ne le saura jamais, j'avais simplement la conviction qu'il était le plus fort d'entre nous autant mentalement que physiquement. Je me mis à observer mon compagnon avec intensité, pourtant aujourd'hui j'ai encore du mal à me souvenir de ces traits, je me souviens surtout de sa stature imposante, de ses cheveux gris et de son sourire.

« Stop ! »

Je m’immobilisais la respiration haletante après l’effort fournis.
Lorsqu’ils se mirent à tirer sur une chaine reliée à son collier pour meurtrir son cou et ainsi le punir et le faire revenir « au pied ». Il la coupa avec son épée, et ne s’arrêta pas là, il en fit de même avec la mienne.
Ils ont fait une erreur, le sous-estimer, lui, le dernier, le seul à ne pas avoir été brisé ! Il arrivait à ne pas suivre les ordres ! Comment faisait-il après tout ce qu’ils nous ont fait subir ? À cet instant je lui vouais une sorte de fascination secrète mêlée à de l’envie.

« 03 Go ! Attaque ! »

Je fis un pas en avant puis le regarda, il baissa son arme. Cet enfoiré, il, il me souriait, prêt à mourir de ma main. Il se tourna ensuite et leva le bras tout en me regardant du coin de l'oeil. Avait-il tout prévu depuis le début ? Va savoir, mais alors que je voyais son visage, il m'était incapable de lever la main sur lui, une sorte d'aura l'enveloppait du charisme oui c'était ça, enfin je crois.
Je m'approchais vivement puis m'appuyais sur son dos en dévoilant mes armes aux « maîtres », comme il m'avait apprit en cas d'attaque de groupe. Leur visage montrait du dégout, de la haine et de la peur ! Pour la première fois, je me sentais vivre cela grâce à lui.





Je… C’était la première fois depuis des années que je désobéissais à un ordre. Allais-je mourir ici ? Nos maîtres commencèrent à lever leurs tuyaux pour nous tuer. Nous tuer maintenant ? Je commençais à avoir peur lors qu’ils crièrent « au pied ». Sujet 0 m’empoigna par l’épaule et me rassura d’un regard, ce seul geste dissipa tous mes doutes, il me fait un « cours » de sa part pour bouger, alors je m’exécutais en zigzague pour ne pas être touché par les projectiles des maîtres. Il était sur mes talons. Moi ? Je me contentais de courir sans me retourner, courir, toujours vers le nord le plus loin possible d’eux et de la tanière. Le combat m’avait épuisé, mais cette force que dégageait mon partenaire, elle me rendait mes forces, me poussant à avancer encore et encore.

Au bout de plusieurs heures, mon frère commença à crier pour stopper la course. C’est là que je me rendis compte qu’on avait semé les maîtres, on était « libre » ? Je n’étais plus obligé de retourner là-bas ? Je n’aurais plus à suivre les ordres ? Cette sensation que je ressentais, était-ce de la joie ? Quelque chose coulais sur mes joues, d’ habitude je le ressentais lorsque que j’avais mal, mais pas là, c’était tellement étrange. Cet état changea radicalement lorsque j’observais mon ami. Du rouge… Du rouge sur la poitrine, cette maudite couleur ruisselait, c’était-il prit un projectile pour me protéger ? Non ! Ça ne pouvait pas être possible ! Pas lui ! Pas à cause de moi ! Cette chose humide sur mon visage, elle ruissela davantage, cette sensation, j’avais mal, très mal, mais au fond de moi.

« 0… »

Hum j'avais parlé moi ? Pourquoi ma voix tremblait-elle autant ? Mon ami s'écroula au sol, il décrocha sa plaque militaire, son épée et mes les offrit avant de me faire signe de partir vers le nord. Il m'était impossible de le laisser là, il allait mourir je le savais, on nous ordonnait de laisser les blessés graves derrière nous, mais pas cette fois, non pas cette fois... Je l'attrapais par l'épaule et essaya tant bien que mal à le trainer, le forcer à avancer, mais la montée d'adrénaline et la force qui m'habitait jusque là c'était envolé avec la force vitale du sujet 0. Au bout d'un moment, je m'écroulais sous l'effort en même temps que lui. Je suis resté accolé à son dos jusqu'à la fin... Son visage était resté serein jusqu'au bout... Lorsque son cœur et sa respiration s'arrêta, je le laissai sur place et avança comme un fantôme vers le nord, j'étais recouverts de sang le mien, celui de mon frère et de nos agresseurs. Je ne me souviens plus combien de temps j'ai ainsi erré dans la montagne, mais cela semblait à une éternité...

Je suis tombé sur un petit village isolé, un gamin armé couvert de sang et de blessure ce fait assez vite remarquer, il faut dire que j'ai eus de la chance, un homme me trouva. Je ne me rappelle que de son visage puis le trou noir, je sombrais en m'écroulant au sol. Lorsque je me réveillais dans un sursaut, j'étais dans une sorte de chose bizarre étrangement chaude et confortable « un lit », je disposais également de nouveaux habits propres et de bandages. Pourquoi, et comment ce faisait-il qu'on m'a soigné et mis là ? Mes maîtres n'auraient jamais fait ça... Pourquoi tant de « gentillesse » ? Je pris peur et m'échappa de ce lieu si étrange une « maison ». J'étais déjà rentré quelquefois pour des missions, mais jamais assez longtemps pour me rendre compte que c'était chaleureux. Mais ça me faisait peur, il fallait que je m'éloigne de la tanière. Après quelques minutes de marche, je vis un bateau près de l'eau, j'en avais déjà pris un avec les maître, je savais que je pourrais partir loin d'ici avec lui, c'est ainsi que je me faufilais clandestinement à l'intérieur et me cacha dans la calle.

Une fois arrivé ailleurs, je fis semblant d'être normal et étudia les « humains » les « autres ». Il me fallu plus d'un an à les observer pour comprendre comment vivre et parler leur langue. Enfin parlé c'est vite dit je ne pouvais m'exprimer qu'avec des mots simples et saccadés, parfois je disais n'importe quoi en pensant qu'on me comprenait. Tout était dans le mimétisme, il me fallut beaucoup plus de temps pour assimiler la valeur de l'argent et comprendre comment s'en procurer pour manger. Par contre, je ne savais toujours pas écrire ni comprendre les écrits. Quand aux mots pirates, marines etc, là non plus je ne comprenais pas leurs sens, je savais juste que « marine » était des gens en uniforme et qu'il fallait leur « obéir ».

Mon comportement est sur un fil, je me cherche encore, je pourrais aussi bien redevenir la bête que j'étais qu'une personne admirable, ou même le juste milieu, seul le temps me le dira, mais je garde encore des séquelles de mon ancienne vie et de nombreux troubles comportementaux.

C'est ainsi que je pris le nom de Rin Satô et vivat un peu comme un clochard parmi les citadins. J'avais pris ce pseudonyme à cause de la plaque j'ai demandé à un homme de lire ma plaque, il m'avait dit qu'il était inscrit « Rin » Pour le Satô ? J'ai simplement pris un nom basique que j'avais entendu à de nombreuses reprises.

Ca fait déjà un moins que je me trouve en ce lieu, il va bientôt falloir partir, je ne veux pas courir le risque « ils » ne doivent pas me retrouver, jamais ! Alors que je déambulais dans la ville sous les yeux scrutateurs de certains curieux, j’entendis une voix puissante hurler un

« Stop ! Arrêtez-le s'il vous plait ! »

Je me mis à jurer puis resta immobile, les sens en éveil, j'étais incapable de bouger pendant que des hommes s'écartaient au passage d'un « voleur » où je ne sais quoi qui courrait pour échapper à un type avec un couteau de cuisine et un chapeau étrange de couleur blanche, peut-être un « cuisine ». C'est là que le « voleur » me percuta de plein fouet avec une force violente, je reculais de quelques pas un peu sonné tandis que le « cuisine » approcha pour attraper le « homme » qui m'avait « bousculer ».

« Arf…Moi…Pas problème…Partir…Cuisine… Revivre…euh…non… Revoir »

Ce maudit problème psychologique avait encore frappé... pourquoi faut-il que je m'arrête dès qu'on crit cet ordre idiot ? Le « cuisine » me regarda étrangement et me fit un « merci » avant de me donner une grosse chose ronde qu'il appelle « pomme ». Ensuite il se mit à crier je ne sais pas quoi pour appeler « marine ».
« Pomme » Pour me remercier ? C'est « gentil », vraiment. Je me sentais bizarre, c'est la première fois qu'on me donnait quelque chose comme ça alors que je n'avais fait qu'obéir. Les « hommes » ils sont vraiment étranges parfois. Je mis « Pomme » dans ma ceinture et continua à avancer en trottinant avec des airs d'enfant enjoué. Une fois sur la grande place je sorti « Ocarina » . Un « instrument ». Comment m'étais-je débrouillé pour avoir cette chose ? Lors de ma dernière escapade, je fus hypnotisé par un son mélodieux « musique », un vagabond tout comme moi en jouais avec rythme. C'était fabuleux, il eut sans doute pitié de moi, car je le regardais depuis des heures avec de grands yeux emplis de curiosité et m'en donna un. Il fut stupéfait lorsqu'il remarqua que j'arrivais à l'imiter. Il m'appris « musique » et me fit jouer avec lui pour avoir « argent » et ainsi « payer » « nourriture », il m'aida également à comprendre d'autres « mots ».
Un jour, on dû se séparer à cause de « marine » car faire « musique » pour « argent » sans « autorisation » est formellement « interdit ». C'est depuis ce jour que j'ai appris à éviter « marine » et « problème », je continue à jouer, mais si j'en vois un, je décampe aussitôt.

Je pris mon instrument et le porta à la bouche avant de jouer quelques notes, quelques passants s'arrêtèrent un instant, mais personne ne laissa le moindre Berry ! La Bande de charognard ! hum cette expression ? L'homme qui m'a appris « musique » la disait souvent. Au bout d'un moment je recevais quelques Berrys par-ci par-là.



Au bout d'un certain temps, je ramassais ma monnaie puis commença à ranger mon « instrument ».


C'est là qu'un type louche avec une bouteille de « rhum » s'avance vers moi, c'est « ivre » on m'en avait déjà montré des comme ça ! Ils ont du mal à marcher et sente mauvais ! Ce type passe son bras autour de mon cou alors que je me préparais à partir. Pourquoi il fait ça ? Je le regardais avec des yeux interrogateurs tout en penchant légèrement la tête sur le côté. Les humains, ils m'étonnent toujours et m'apprennent énormément de chose à une vitesse impressionnante. Les « ivre » non donc aucune retenu et n'hésite pas à aborder les gens comme ça ? Mais alors, comment font-ils ? Est-ce une « race » c'est naturel ? Où bien la faute de quelque chose ou quelqu'un ? Il me tendit la bouteille et me fis un « bois un coup mon pote ! ». Là encore, je me mis à maudire ces fameux « ordres » ancrés en moi, car je m'exécutais sans plus tarder, je me mis à tousser rageusement, c'était
chaud ! Si chaud ! Ça brulait la gorge au début, mais c'était tellement bon ! J'en pris une autre gorgée, puis encore et encore. Ma première « cuite » avec un « ivre » ! C'était si amusant ! Même lui rigolais en me voyant rougir. Ma vue, elle avait changée des choses bizarres, des distances, des formes et les « couleurs » n'étaient plus pareilles ! Mes pieds avançaient d'une façon grotesque et bruyante ! Peu à peu, une joie étrange m'envahissait alors que j'empoignais le « ivre » par l'épaule et chantonnais avec lui en le copiant !


« Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh, »

Sur la route on croisa un « ami» à lui qui se joignit à nous. Soudain, je m'immobilisais devant ce qui ressemblait à « éléphant rose » je me mis à le regarder avec intensité et curiosité.

« Rose ! Eléphant rose ! Existe ? »

Mes compagnons se mirent à éclater de rire, un, m'indiquait que c'était un arbre, un autre, affirmais que c'était une marmite. La vérité ? C'était « femme ». Je me mis à le toucher du bout des doigts en riant ! C'était « mou » ! C'est là que je sentis une gifle s'écraser sur mon visage et que je remarquais « femme pas content» à la place de « éléphant rose ». Mes « ivres » m'agrippèrent par le bras et m'aidèrent à courir, même si on tombait assez souvent dans de gros éclats de rire. Soudains « voix » résonna.

« Hé, vous n’avez pas honte de bourrer un pauvre gamin ? Il n’a même pas l’air d’avoir l’âge. »

C’est là que « ivre » s’enfuyaient me laissant seul avec une grosse baleine.

« Baleine quiqui parler ? Mondeuh bizarreuhh »

« Baleine » me regarda étrangement et souleva un sourcil. Elle s’approcha de moi, me pris par le coup, me traina et me jeta dans la mer alors que j’éclatais de rire. Le choque avec l’eau fus comme une décharge électrique, je me sentais un peu moins « ivre », mais j’avais encore du mal à réaliser ! Baleine pas baleine ! Baleine marine !!! Pensais-je avec étonnement. Le « marine » me regardant en rigolant puis me lança une tirade dont je ne compris pas tout, à part que je ne devais plus être « ivre ».
Il s’en alla me laissant là dans l’eau comme un imbécile. Je nageais jusqu’au port trempé jusqu’au os, puis demanda à un « homme » comment être « ivre ». Il me regarda étrangement puis répondit qu’il fallait boire de l’alcool. Alcool ? C’est ce que j’avais bu ? La chose chaude ! Oh ! C’est intéressant !

J'étais encore sous l'emprise du rhum lorsqu'un homme me bouscula violemment. C'était bizarre, je ne l'avais pas vu venir ni même pu bouger ! Était-ce à cause de « ivre » ? Il me regarda méchant puis me dit quelque chose du genre « tu m'as mouillé enfoiré ». Je ne compris que le mot « mouillé ». C'était quoi le problème ? C'est moi qui étais mouillé, pas lui ! Pourquoi il me le disait ça avec autant de haine ! Lorsqu'il leva la main, prêt à me frapper, je tombais à la renverse avant que le coup me touche, le pire c'est que ce n'était absolument pas calculé !

« Toi ! Méchant ! Pas euh... Pas beau ! Moi mouillé ! Alors, quoi ! Bande de charognard !"

En temps normal je l'aurais sans doute ignoré, mais je n'étais plus tout à fais moi-même. Le type me regarda avec étonnement, comme si je n'étais « pas normal » il leva la main, prêt à frapper. C'est là que je fis un truc étrange !

« Tain tain tain tain tain Yeah ! Pas frappé !"

Je m'avançais pour donner un coup de poing à l'homme, mais rata ma cible d'au moins un mètre, l'élan me fit tourner sur moi même et tout fière, comme si je venais de battre un géant d'un seul coup de poing, je m'en allais en riant.
Soudains je senti « danger » par derrière. Cette sensation éveilla mes instincts primaires et je me jetais sur le côté, je venais d'éviter une faire de chaussure qui volait dans ma direction ! Tout ça pour « chaussure » ! N'importe quoi ! Je me faufilais ensuite parmi la foule en titubant. L'homme ? Je ne l'avais pas vu ! Peut-être était-il en train de me chercher à moins que quelque chose l'ait empêché de me donner une bonne raclé ?
Quoi qu'il en soit, je me « réveille » le lendemain matin sur un arbre avec un « mal tête » épouvantable, je tombais de mon perchoir en m'étirant. Hein ? Comment j'avais fait pour monter là ? Bah, peu importe ! Dorénavant, je dois éviter de être « ivre » c'est trop dangereux et bizarre !

Il est temps de partir, je ramassais tout mon argent et alla vers « bateaux » avant de parler à « marchand »

« Rijour, Non.... Bonjour ! Combien...Partir...Ailleurs... merde euh mer »

L'homme me regarda tout d'abord étrangement puis me donna un chiffre raisonnable, je le payais et pris « mer » pour une autre aventure en quête d’apprentissage.

Je viens de finir(pour de bon cette fois).

Salut salut, je n'ai que rapidement zieuté la fiche pour l'instant ^^".

le post rp est vraiment un de tes post "typiques"?

Oui comme le perso ne sais pas vraiment parler vu qu'il n'a aucune culture et ne connais pas beaucoup le monde qui l'entoure j'ai pris un style particulier qui change un peu, ça relie la 1er personne et la mentalité de mon perso. Ça gène ? Je peux essayer de modifier si vous le voulez, même si j'aime bien l'originalité de ce style.

edit/*je pense le faire évoluer et apprendre le langage avec des rencontres rp, donc plus tard quand il pourra mieux s'exprimer le style va plus ressembler à celui de l'histoire. les : "mot" représentent son voca, je peux l'enlever si ça choque.

C'était pas tant le style (je suis pour qu'on retrouve un maximum de diversité sur le forum ^^.) Que la taille et la qualité soutenue dessus.

Ah bah là ça change on fonction des rp, si je me sent à l'aise avec les autres et que je prends du plaisir, ça sera dans doute mieux, sinon peut-être pire. Si c'est insuffisant, je peux éditer et me forcer à mieux faire, je l'ai fais un peu à la rache, car j'en avais marre de ma présentation Uu Désolé.

Non justement c'est que c'est assez long.

Comme c'est sensé representer un post typique, faut pas "gonfler" le test rp vu que ça doit montrer la moyenne (ou en dessous, on est jamais contre les bonnes surprises pour la suite). Et comme c'est selon les fiches qu'on accorde les Fruits du démon à la présentation, on a eu des cas de gens qui se faisaient des test rp très correctes pour ensuite poster bacler à la chaine sur le forum (certes il arrive qu'on se tape des pannes d'inspi ou qu'on rp à la va vite lorsqu'il s'agit de topics sans aucun gains à la fin, mais systématiquement...).

Bref, on te fait donc confiance pour le test rp ^^.

Hmmm y a aucune précision sur ze mystérious organisation of d00m qui a élevé ton perso...ça me dérange pas particulièrement mais si tu compte en faire quelque chose d'un minimum conséquent pour la suite de ton rp, parle en avec des membres du staff pour avoir des validations.

Je valide donc cette fiche rang 2 ou rang 3 (la 2nd validation donnera le verdict finale).

Merci, pour les post rp je m’engage à pas faire Nawak et tout bâcler (c'est juste ma parole je peux rien vous prouver, désolé).

L'orga, c'est juste parce que j'ai pas trouvé d'autres idées pour le coup, j'avoue que ça manque cruellement d'originalité et ça fait un peu d3rk kikoolol. Ca peut être sympa par rp, mais je m'en fou du moment que je rp hein (en fait, j'y avais même pas pensé à la base, je voulais juste me contenter de faire des allusiosn ou autre par ci par là), on peut faire comme si elle existe pas en dehors de la présentation ? Sinon je peux changer et trouver autre chose.

Validé en rang 3! Encore un fou!