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 Une quète pour un naufragé.

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Rafaelo Tortellini
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MessageSujet: Une quète pour un naufragé.   Une quète pour un naufragé. EmptyLun 28 Nov 2011 - 19:02

    Fiche Type de Quêtes

    Nom: Mon ventre rugit plus fort qu'un lion
    Lieu: West Blue, En mer.

    Rang: D ou C

    Classe: Pirate.

    Nombre de Personnage: 1-1

    Objectif:
    - S'infiltrer dans le bateau restaurant " A la bonne Frankette"
    - Manger à l’œil et s'enfuir avec des sacs pleins de vivres.
    - Battre la grosse Frankette la cuisinière maman poule.

    Scénario: Rafaelo est naufragé depuis quelques jours. Son gosier s'assèche et son ventre crie famine. Le soleil tape très fort sur la mer de West Blue. Il ne tiendras pas un jour de plus sans se remplir la panse. Soudain, une lueur d'espoir pour le jeune homme. Un bateau restaurant qui traversait la Blue, accueillant à bras ouvert tout ceux qui voudrait se rassasier. L'occasion rêver pour aller se rafraichir et s'alimenter.

    Pouvoirs du PNJ: Les 5 couteau d'argents ( 5 cuisinier maniant le couteau comme de vrai psychopathes) et la grosse Frankette une vraie maman poule qui n'aime pas qu'on touche à son personnel.

    Récompense:-Quelques sacs de vivres
    -Les couteaux d'argent du personnel et le hachoir d'or de la grosse Frankette. Estimation requise
    -La caisse du bateau : 1Million de berry


Voilà voilà je pense que la quête doit être validée au préalable donc j'espère ne pas m'être trompé et j’attends au plus vite une réponse pour que je puisse commencer le RP Smile


Dernière édition par Rafaelo Tortellini le Mar 29 Nov 2011 - 23:11, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Une quète pour un naufragé.   Une quète pour un naufragé. EmptyLun 28 Nov 2011 - 22:51

Je valide la quête en Rang C. La valeur des armes seront donnés après le RP, sachant que tu ne peux pas dépasser les 2'000'000 de berrys.

Bon RP! Wink
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Rafaelo Tortellini
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MessageSujet: Re: Une quète pour un naufragé.   Une quète pour un naufragé. EmptyMar 29 Nov 2011 - 22:15

Depuis son évasion de Liberty-City, le jeune homme n’avait pas arrêté de dériver sur West-Blue. Il ne savait plus depuis combien de temps il était là, allongé dans la petite barque. La technique qu’il avait utilisé pour faire avancer le bateau était plus fatigante que ce qu’il avait imaginé. Néanmoins, grâce a cela, il réussit à échapper au jeune homme dont la force était bestiale. Il n’en revenait pas qu’il l’avait lui-même provoqué en duel. Quelle honte pour le garçon… Il n’arrêtait pas d’y repenser. Les coups de son adversaire étaient bien trop puissants pour un homme normalement constitué. Rafaelo crû lorsque son adversaire avait porté son coup, qu’un ours gigantesque venait s’abattre sur lui. Une vision d’horreur qui l’avait marqué depuis son échappée. Il s’en voulait terriblement de s’être enfuit lors d’un duel honorable, mais il remercia Dieu pour avoir sauvé sa peau d’un destin funeste.

La solitude éprit Rafaelo et lui faisait ressasser les bons moments de son enfance. Ce qui lui manquait le plus sur l’embarcation c’était le rire de ses amis et de sa famille. Celui de sa mère… Mais le jeune homme se reprit, il n’avait promis à celle-ci qu’il ne ressentirait jamais la tristesse de son départ. Aussi il passa sa main sur le dernier cadeau quelle lui avait laissé. Cette marque qui lui avait causé un quasi cécité de l’œil droit et une mauvaise syntaxe de sa vue. Un sombre cadeau cachant une douce intention maternelle. Rafaelo ne jura jamais sur cela, cette marque était la seule chose qu’il avait gardée de sa mère. En décidant de suivre la voie de la piraterie, il avait accepté de tout abandonner derrière lui et de ne jamais regretter cet actes, pour ne pas être prisonnier du passé mais ouvert au présent et dessiner son futur.

Tandis qu’il rêvasser, ou du moins qu’il avait des visions de son enfance à cause de la chaleur ambiante. Une sirène de bateau se faisait entendre. De la musique se laissait porter jusqu’aux oreilles du jeune homme, qui s’était déshabitué du bruit… Une musique entraînante, tellement que le pied du jeune homme se mit à tapoter sur la coque de la barque avant même qu’il se rende compte qu’un bateau voguait au loin.

Soudain, une odeur venant du même bateau, qui avait décider de suivre la même trajectoire que le son qui se dissiper du bateau, vint chatouiller les narines du garçon.

-Bouffe.

Voici le premier mot qu’il avait prononcé en quelques jours, si on ne compte pas les : « Je suis une fougère » ou les « Si je lève la main suffisamment haut j’attraperais de la barbe à papa du ciel »

Puis d’un coup sec, il contracta ses abdominaux, força sur ses mollet et se retrouva debout face au gigantesque navire d’où s’échappait la bonne musique et les odeurs de met à l’odeur alléchante. Il fit appel à un troisième sens qui est la vue, celle-ci n’envoya pas l’image quelle captait au cerveau mais directement à l’estomac, car en effet, celui se mis à rugir aussi fort qu’un lion. Un filé de bave dégoulinait des lèvres du jeune homme, et des étoiles crépitaient dans ses pupilles, comme un feu d’artifice qui explosait.

Après avoir imaginer tout les plats qu’il allait déguster et surtout, après réflexion et débat sur le sujet :
« Est-ce un mirage », il opta pour la charge sur le navire restaurant. Il repris soudainement assez de forces pour réessayer sa technique « Motor », car c’était désormais le seul moyen de faire avancer l’embarcation, Rafaelo avait fait tomber les rames à l’eau lors de sa première tentative de la technique en question.

En quelques secondes il fût assez près de l’échelle de cordes pour grimper à bord. Après avoir posé pieds sur le pont, il fût tout de suite accueilli par deux majors d’homme fort bien sapés. Ceux-ci s’empressèrent de le saluer et d’aller remonter l’embarcation à l’aide d’un treuil d’élévation prévu à cet effet. Le jeune homme ne sachant pas comment rejoindre le hall, attendit que les deux pingouins le conduisent. Ceux-ci tentèrent de lui ôter ses lames lui expliquant que les armes étaient formellement interdites à l’intérieur du restaurant, mais celui-ci trouva la parade pour enfreindre la règle.

- Ce ne sont pas des armes mais un couteau a viandes doubles lames et un hachoir à salade car je n’aime pas les grosses feuilles.

Rafaelo lui-même doutait de la crédibilité de ses propos. Mais fort heureusement, les trois hommes croisèrent le gérant du restaurant qui avait l’air d’un homme plutôt souple est connaisseur en matière d’armes.

- Oh oh oh que vois-je, que vois-je t’es tu perdu mon enfant ? Ces petits couteaux risquent de te blesser.

Le jeune homme devint rouge de fureur ! Mais il se retint, son intuition le guidait.

- De petits couteaux mortels à qui savent s’en servir. Dit il en grimaçant.

- Oh oh oh, je dirais plutôt que la taille de l’arme convient à la taille du maître.

Encore une fois il se retînt et lança.

- Vos propos sont d’une offense ridicule, si on les mesurait à la taille de vos armes, inexistant.

Rafaelo prit cet échange comme un jeu qui lui rappeler son enfance. Ahhh cette bonne vieille époque… Tout à coup il sortit de ses souvenirs, il ne fallait pas qu’il retombe encore dedans. Soudain le vieil homme se mit à rire.

- Oh oh oh, je n’avais jamais vu de gamin avec autant de répartie, suis moi donc à ma table, nous discuterons autour d’une bonne assiette de soupe préparée par ma femme.

Sur ces mots, le jeune homme suivit le pas du gérant il le mena jusqu’à une trappe, dans laquelle il y avait des escaliers dissimulés. Il descendit et son entrain grandissait à mesure que la musique et l’odeur s’amplifiaient. Enfin, ils arrivèrent dans le hall. La décoration était très luxueuse, des sculptures ainsi que des tableaux enjolivait artistiquement la salle, une troupe de musicien était postée sur la scène, ils étaient entrain de jouer « Binks no sake », une chanson parmi les plus populaire dans le monde entier.

Après quelques secondes de contemplation, le jeune homme reprit ses esprits et se dirigea vers la table située au milieu du hall où attendait le vieil homme moqueur. Un major d’homme le fit s’asseoir et lui fit signe de se délester de ses armes. Rafaelo lui fit un autre signe du majeur en réponse au pingouin. Celui-ci adopta une figura offensée et se tourna vers le vieil homme, qui lui aussi venait de tendre son majeur vers lui. Le major d’homme frustré se dirigea vers les toilettes. Le vieil homme se mit à rire en tapant sur la table.

- Oh oh oh je n’ai pas autant ris depuis les jours heureux avant mon mariage. Tu es un bon farceur jeune homme. Je suis désolé de t’avoir taquiné tout a l’heure mais cela était plus fort que moi. Mange mon ami, mange.

Sur l’ordre du gérant il se mit à engloutir les mets qui avaient déjà était servi. Des miches de pains, des bols de riz par dizaines, de la viande par dizaines de kilos. Tout ce qu’il y avait sur la table fut englouti, même la corbeille de faux fruits. Le jeune homme expira et se tint le ventre, il avait mangé trop vite et son petit estomac n’appréciait pas le traitement après plusieurs jours de jeune.


- Yohohoho, quel gourmand vous faites pour un si petit gabarit. Au fait quel est ton nom ? Et d’où viens-tu pour être aussi mal en point.
- Je m’appelle Rafaelo, je suis originaire d’une petite île qui n’est pas inscrite sur les cartes de West Blue. La raison pour laquelle je me retrouve dans cet état est que j’ai dû m’enfuir précipitamment de la ville de Liberty-City, car… *je ne peux pas lui dire que je me suis enfuie d’un duel je dois enfouir ce secret* la marine me recherche. * et merde *.

Le vieil homme changea son regard, celui-ci fut plus perçant et sérieux. Seulement, après quelques instants, Rafaelo s’aperçut que le vieil homme n’était pas le seul à avoir changé de regard, c’est toute la salle qui le voyait sous un autre œil. En effet, la salle n’était composée que de nobles personnes, détail qu’il avait omit de faire attention. L’orchestre s’arrêta de jouer, le silence était total et surtout brutal. Ce qu’il a dit était encore pire que la vérité et il était trop tard pour le changer.

Le patron appuya sur un bouton qui fit sonner une alarme, un den den mushi haut parleur disait ces mots «Veuillez garder votre calme, ceci n’est pas un exercice, un danger est présent sur le navire, veuillez vous dirigez vers vos embarcations respectives. Gatcha ». Le gérant lui-même pris ses jambes à son cou et se dirigea non pas vers une embarcation mais vers la cuisine. Rafaelo était perdu, il se tourna dans tout les sens pour trouver une sortie, mais rien n’y fait, les issues avaient toutes étaient bloquées lors de l’alarme. La seule porte encore ouverte était celle de la cuisine. Le pirate n’avait pas le choix, il devait suivre le vieil homme dans son antre.

Tout à coup, la porte fût propulser vers le pirate, celui-ci, par réflexe, lança sa technique défensive
« Storm », et se protégea, de peu, de la grosse porte de bois, qui fut éclatée par les lames du bretteur. Il s’arrêta de tourner et eut un léger tournis. Quand cela fût finit, il se redressa et fit face au personnel. *HEIN, le personnel ?!* Six cuisiniers armés de couteaux d’argent et une grosse dame avec un énorme hachoir doré, lui faisaient face, et le gérant qui se cachait derrière. Moby dick lança.

- Comment ose tu manger la nourriture que nous préparons avec mes chéries d’amours, alors que tu n’es qu’un infâme pirate ?!

Sur ces mots, le jeune homme ne savait plus quoi dire et se trouvait en bien mauvaise posture. Il réfléchit longuement et opta pour une solution qui l’incommodé un peu mais qui était la seule valable avec « Implorer la pitié de ces gens » Hors de question, il préfèrerait largement la première solution qui était de… se farcir les sept combattant qui se dressaient en face de lui. Aussi il ne répondit pas et se mis en garde.

- Oh oh oh. Dis le gérant. Tu veux te battre contre mon équipe et ma... grosse bouille d’amour ?
Sur ces mots la grosse femme lui frappa violemment derrière la tête.
- Je t’ai dis de ne plus jamais m’appeler comme ça, BAKA.
- Oui ma colombe.

Soudain, la femme baleine fit signe à deux de ses « chéries d’amours » d’attaquer le jeune homme. Ceux-ci s’empressèrent de bondir sur lui, couteau d’argent à la main et tirant la langue comme des psychopathes avides de chair. Rafaelo qui était déjà en garde, exécuta sa technique « Helico Attack », il bondit avec ses armes en tournoyantes, vers les deux malades mentaux pour les laminer en l’air. Ceux-ci surpris et sans appuis pour s’échapper, ne purent esquiver l’attaque fulgurante et la prirent de plein fouet. Cependant par cela, le pirate venait de dévoiler son style de combat et il savait que les cinq autres combattants ne seraient pas aussi faciles que ceux-là à battre. Mais il gardait ses meilleurs atouts pour la fin.

Soudain, la grosse femme ordonna à deux autres de ses « choupinets d’amours » de l’attaquer. Ceux-ci se postèrent devant lui, l’un qui lançait son couteau d’argent en l’air pour tenter de l’impressionner et l’autre qui faisait tenir en équilibre son couteau sur son majeur, qu’il tenait aussi à la vertical comme un signe de provocation pour le jeune homme. Celui-ci très joueur, se prit au jeu et commença faire tournoyer ses lames en l’air en souriant. Les deux psychopathes du couteau continuèrent leurs jeux, quand soudain, l’un se trancha le doigt par inadvertance, ce qui fit bien rire le pirate. La cuisinière s’occupa son chérie en lui bandant le doigts, et pendant ce temps, Rafaelo qui s’était reprit, voulut finir rapidement le combat contre ces psychopathes qui le faisait pourtant bien rire. Il exécuta sa technique « X carré » et par cela dévoila son pouvoir démoniaque, mais qu’importe cela. Il dessina une courbe pour ses lames pour quelle prenne la forme d’un U à l’envers, suite à ça, il lança ses lames en tournoiement qui s’abattirent sur le groupe, provoquant un éclatement du plancher sur lequel ils se tenaient. Le souffle les projeta sur le côté sauf la grosse dame, son mari et le cuisinier quelle était entrain de soigner, qui eux descendirent d’un étage contre leurs grès.

Il ne restait que quatre des sept combattants sur le terrain. Rafaelo ne voulant plus perdre de temps avec des gaminerie car il était déterminé à atteindre son objectif sur ce bateau,s’élança sur ses adversaires en exécutant sa technique « Speed Lamination » et en une fraction de seconde il se retrouva au corps à corps. Il focalisa ses attaques sur un seul adversaire, le harcelant de coup, l’issue de la confrontation entre les deux combattants était fatale. Malgré cela il se défendait, le cuisinier maniait si bien le couteau que Rafaelo ne réussit à l’atteindre qu’au bout du 6ème coup. Mais ce coup là était fatal, il réussit à le blesser gravement au torse, un peu plus haut et il lui trancher la gorge et l’issue du combat aurait été la mort, mais le jeune homme ne cherchais pas cela.

Pas la temps de se reposer il en restait trois. Et ceux-ci l’avait comprit aussi, ils lui sautèrent tous en même temps dessus avec leurs couteau pointaient vers lui. Il ne perdit pas un instant pour se mettre en position défensive, il aurait été incapable de combattre les trois en même temps, il fallait les séparer pour mieux les achever. Il entama sa technique défensive « Storm », et se mit en tournoyer sur lui-même tout en faisant tourner ses lames créant une défense impénétrable pour de simple cuisinier comme eux. Grâce à cela, les cuisiniers furent projetés chacun d’un côté et lui au centre des trois. Un léger tournis le perturba mais il disparu aussitôt.

Très vite il manipula son pouvoir démoniaque pour exécuter sa technique « Sinusoid » et la plaça de telle façon que les trois se ferait laminer par les lames. Il lança ses griffes et elles atteignirent en quelques secondes leurs buts. Les trois cuisinier furent semi laminer car l’effet de sa technique n’est pas une ligne droit mais une vague, aussi il ne déchira que la moitié de corps de chacun. Mais cela suffisait amplement pour les mettre hors course.

Tout à coup, big mama percuta par le bas, le plancher sur lequel se tenait Rafaelo. Celui-ci prit un mauvais coup dans les jambes et fut propulser en l’air si violemment qu’il percuta le plafond et retomba à terre comme une feuille de papier. * Un autre coup comme ça et je deviendrais paraplégique, il faut à tout prix que je reste sur mes gardes la prochaine fois* pensa t-il.

Il se releva quand même, tel un valeureux guerrier. Les insolations et la carence de son naufrage faisaient toujours effet, sa force n’était pas aussi grande qu’à son état normal, aussi se contenterait t-il de dépenser le moins d’énergie possible pour vaincre son ennemi.

-COMMENT AS-TU OSER BLESSER MES PAUUUUUVRE PETITS CHÉRIE ???!!!
- Ton con de cuisinier m’a attaquer j’ai juste riposter, bon maintenant bat toi la baleine.

Sur ces mots, la grosse vache devint rouge de fureur. Elle dégaina son immense hachoir d’or et porta un coup vertical vers Rafaelo. Celui-ci qui avait prévu l’attaque après sa provocation, pu esquiver le coup sans problème et sans dépenser beaucoup d’énergie. Puis il riposta par un coup latéral qui lacéra les côtes de la grosse Frankette. Celle-ci grimaça sous la douleur mais ne plia pas un brin, elle était plutôt « forte ». Elle-même riposta par un coup de poing en direction de Rafaelo, il réussit à esquiver cette fois de peu, elle était assez habile de ses gros membres supérieurs. Il fallait qu’il la combatte à distance car cela lui serait impossible de rivaliser au corps à corps car il ne faisait pas le « poids ». Aussi il bondit en arrière et lança sa technique « Trap » en direction de la grosse cible. Le coup toucha au but sans aucun problème, l’esquive n’était certainement pas le point fort de son adversaire. Le côté droit de l’ennemi était gravement atteint après ce coup, elle plia sur ce côté à cause de la trop grande douleur. Cette même douleur quelle subissait se lisait sur son visage grimaçant et effrayant. Les griffes de Rafaelo revinrent à son possesseur qui les rattrapa avec une grande classe, en continuant de les faire tournoyer et en se remettant en garde. La grosse dame qui enrageait de plus en plus, dégagea le hachoir du sol, et s’élança sur le jeune homme, tel un taureau qui chargerait sa cible.

Elle le harassait de coups, ne lui laissant pas une seule chance de contre attaquer. Le jeune homme ne pouvait qu’esquiver tant bien que mal l’arme majestueuse. Soudain le pirate fut prit d’un vertige dû à la fatigue, une lumière blanche l’aveugla mentalement. Celui-ci avait quand même réussit à mémoriser la dernière position de son adversaire, et su placer ses lames de telle façon qu’il pourrait parer aveuglément le violent coup de l’ennemi. Un combat de force perdu d’avance pour le garçon fragile et déjà mal en point. Il ne résista qu’un instant, le temps de reprendre ses esprits, puis il roula en direction de cinq couteau d’argent que les cuisinier précédent avaient laissé tomber après leurs défaites. Il les attrapa tous et en se relevant, dessina pour toutes les armes qu’il avait en main une courbe directe dont la cible était la grosse Frankette. Celle-ci reçut dans l’abdomen, les cinq couteaux d’argent ainsi que les deux griffes qui appartenaient à Rafaelo. Elle se stoppa net, vomissant du sang comme l’on vomirait normalement après avoir bu deux tonneaux de saké.

Le combat était finit, la grosse baleine fut « harponnée » et celle-ci tomba à terre. Rafaelo la laissa en vie, la mort de l’équipage de ce navire n’était pas son objectif, il voulait seulement récupérer assez de vivres, et de quoi pouvoir payer l’auberge dans laquelle il ferait son séjour sur la prochaine île où il ferait escale.

Il se dirigea vers la caisse du bateau et la dévalisa à moitié, il ne voulait pas non plus mettre le gérant du bateau sur la paille. Il en récupéra 1 million de Berrys, une belle somme pour le porte-berrys peu rempli, du jeune homme.

Ensuite il repensa aux armes d’argent et d’or que détenaient le personnel de l’équipage, elles devaient avoir de la valeur, et pour le peu qu’ils savaient s’en servir, il n’eut pas de remord à les leurs voler. Le hachoir d’or était le plus lourd de toutes les armes présentes, Rafaelo estima son poids à une bonne cinquantaine de kilos, mais l’or dont le hachoir avait été fabriqué était très usé, la cuisinière n’en prenait certainement pas soin, quel gâchis… Néanmoins, il le transporta jusqu’à son embarcation avec les six armes qui jonchaient le sol du restaurant.

Cependant il ne trouva que six armes sur sept. En effet, un des cuisiniers se trouvait toujours à l’étage inférieur, son arme avec. Cet étage était en réalité la coque du bateau. En se penchant par le trou qu’il avait fais lors de son attaque
« X carré », il y aperçut le cuisinier au doigt coupé qui était toujours sonné après sa chute dans la coque du bateau. Ainsi que le gérant qui essayait d’escalader le mur pour remonter jusqu’au hall. Au moment où il posa sa main sur le plancher de l’étage supérieur, il scruta le hall discrètement et fut surpris de voir tout le personnel à terre et blessé. Soudain un visage effrayant fixa le gérant, Rafaelo voulut lui faire une farce, mais elle tourna mal et le patron fut autant effrayé qu’il lâcha prise et retomba dans la coque.

- Ça va ?
- Hyumph, qu’est-ce que tu as fait à mon bateau ?!
- Légitime défense.
- Mes fesses petit sot, tu ne sais pas à qui tu à a faire.
- Le patron d’un restaurant flottant.
- Touché…
- Envoie moi le couteau de ton collègue et je ne te tuerais pas * même si je n’en avais pas la moindre intention *
- OK… attrape.

Il lui lança le couteau avec tant de maladresse qu’il se planta en dessous du plancher. Il le délogea et s’en alla vers la cuisine.

- EHHHHH tu ne m’aides pas à remonter ?
- T’as réussi une fois tu réussiras encore j’ai confiance en toi.

Une fois dans la cuisine il vida entièrement le frigo dans cinq sacs, remplit quelques jarres d’eau et les transporta aussi jusqu'à sa barque. Celle-ci devenait plutôt lourde à force d’être remplie, la technique
« Motor » ne fonctionnerait peut être pas aussi bien qu’avant. Aussi il embarqua deux rames au cas où qu’il fixa bien pour ne pas les perdre comme les autres. Il attacha aussi une bâche sur la moitié du bateau pour ne pas faire son butin à l’eau.

Avant de repartir en mer, il se prit en photo avec l’appareil photo qui était dans une des cabines du gérant et la déposa sur le lit du patron, signée : Rafaelo Tortellini. Puis il partit précipitamment vers sa barque, sectionna les liens qui la retenait et repartit sur les flots, un bateau plein de vivre, d’armes de valeurs et de berry.



Technique utilisées :


Speed lamination :
Fonce sur son ennemi en faisant tourner ses lames de façon a atteindre son abdomen.

Helico Attack :
Lorsque l'adversaire est en l'air, Rafaelo se place sous son axe vertical puis en fonction de la hauteur, décidera de rester au sol ou de sauter jusqu'à lui en faisant tournoyer ses lames telles des hélices pour déchiqueter son adversaire ( cf : Même style que la technique de Hacci l'homme pieuvre)

Trap :
Dessine une grande courbe pour chacune de ses lames de telle façon quelles arriveront, en rotation, sur chaque flancs de l'adversaire.

Sinusoid :
Dessine une courbe sinusoïdale ( en simplifiant, dessine une courbe sous forme de vagues) pour ses lames.

X carré :
Dessine la courbe qui prendra la forme d'un U à l'endroit ou à l'envers pour aller se crasher sur l'ennemi.
Conséquence de la technique : Dégagement des lames du sol ( si esquive ) prend du temps.

Storm :
Tourne sur soi même et en même temps fais tourner ses lames pour crée une zone inapprochable ( ne dure qu'un court instant car tourne comme ça pendant 20 seconde ça donne le tournis )
Conséquence par rapport au bas rang : Tournis.

Motor :
Fais tourner ses lames a l'arrière de l'embarcation ( il pourra rendre cette technique automatique s'il y a un emplacement à cet effet à l'arrière du bateau sinon il devra lui même servir de support) pour crée un moteur artisanal.
Capacité utilisable uniquement sur de petites embarcation.


Récompense :


- 1 million de berry en petite coupure
- Un butin d'arme d'un valeur de 1 millions de berry ( car j'ai le droit à 2 millions max :p )
- 5 sacs de vivres et quelques jarre d'eau potable
- Je voulais savoir si j'avais le droit à des PR pour ça, j'ai regarder le tableau et il y à quelques point dont j'ai droit il me semble, enfin je voudrais l'avis d'un staffeuh Smile

J'espère que votre lecture à été agréable Smile.

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Sid Langren
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MessageSujet: Re: Une quète pour un naufragé.   Une quète pour un naufragé. EmptyMar 29 Nov 2011 - 22:55

Faudrait poster ça dans la zone RP west blue en mer en faite.

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MessageSujet: Re: Une quète pour un naufragé.   Une quète pour un naufragé. EmptyMar 29 Nov 2011 - 23:05

ah d'accord je déplace le tout Smile
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MessageSujet: Re: Une quète pour un naufragé.   Une quète pour un naufragé. Empty

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