One piece Rpg Bienvenue sur les mers du Rp, Invité |
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| Sadlig Lunard le soiffard | |
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Sadlig Lunard Pilier de la Marine
Profil Psy : Bon Nombre de messages : 470 Age : 37 Fruit du Démon : Arukō Arukō No Mie (logia des alcools)
[Feuille de personnage] • Renommée: 550 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: Vice-Amiral
| Sujet: Sadlig Lunard le soiffard Jeu 3 Sep 2009 - 22:41 | |
| Présentation du joueur - Citation :
- Prénom: Gildas
Age: 21 Sexe: Masculin Comment avez vous connu le forum? Google Combien d'heures vous vous connectez par jour? 4h Tes Mangas préférés: One piece, Naruto, Fairy tails, Hunter X hunter, Fma, etc.. Ton pirate préféré dans one piece : Tous ! Hobbys: Boire Présentation du personnage - Citation :
- Nom & Prénom : Lunard Sadlig
Pseudonyme : La terreur des Tavernes
Age : 21
Race : Humain
Occupation : Organiser des Cocktails
Grade : Lieutenant Physique : Sadlig est un jeune homme mince et assez grand. Toujours le sourire aux lèvres il s'habille comme l'exige le code de la marine mais dès qu'il peut opte pour une chemise à fleur, un shirt et un bob pour faire la fête. Ses cheveux sont noirs et ses yeux marron, cuivré comme le Rhum qui coule en lui telle une fontaine. Il n'est pas très musclé mais il manie avec une grande dextérité son sabre. Son corps n'a qu'une cicatrice, une balafre sur le bras droit provoqué par un tesson lors de son enfance. Les cheveux en bataille, laissé au grès du vent. Toujours en claquette à n'importe quelle saison de l'année. Il n'a pas vraiment de barbe ni de moustache, parfois il se laisse aller mais sans plus. Il n'a pas de tatouage sur son corps, pas encore tout du moins. Il n'a pas non plus d'anneau ou de piercing partout sur le corps. Caractère & morale : Toujours le mot pour rire, la plaisanterie facile, Sadlig est un bon vivant. Son fruit du démon en fait le garant d'une fête réussite. Alcool et bonne humeur à profusion. Il n'éprouve pas de haine envers les gens, il fait juste ça comme ça car il faut bien faire quelque chose de sa vie. Et si parfois les temps sont durs il faut se ressaisir pour garder le sourire. Malgré sa bonne humeur il est quelqu'un de calme et posé sérieux quand il faut mais pas trop longtemps. Il peut boire avec des pirates et se battre contre des Marines et vice versa sans problème, pour lui ce qui forgent les gens ce sont leurs actes et non leurs parties. Cependant il déteste que l'on mêle les innocents aux conflits et ça en général. Deux personnes qui se battent devraient se contenter de s'affronter et ne pas faire de dommage collatéraux. Assez pacifiste il préfère la parole à la manière forte. Mais si les mots et la boisson ne résolvent rien alors il faut trancher dans le vif du sujet afin d'éviter d'envenimer la situation. Fruit du Démon : Rhum Rhum No MieTechniques Spéciales : Rhumets ta tournée : Fait jaillir de n'importe quelle partie de son corps du Rhum de qualité.
Rhum Rhum Hot run : Imbibe un objet quelconque d'un Rhum de mauvaise qualité (faut pas gaspiller non plus) afin de s'en servir comme combustible.
Vapeur de Rhum : Il fait monter en température son corps afin de vaporiser le Rhum qui est en lui. Dégageant ainsi des vapeurs d'alcool pouvant étourdir ou assommer tout ceux les inhalant.
D'autres à venir !
Histoire :
Pour être franc avec vous, Sadlig ne connait pas vraiment son histoire, seulement des bribes. Tout ce dont il se souvient précisément c'est de s'être éveillé un matin dans une taverne, au milieu d'une trentaine de personnes complètement ivres. Certaines étaient dans des coma éthylique tandis que d'autres rendaient entrailles sur parquet. Il ne savait pas pourquoi il était le seul débout mais il riait, nerveusement, instinctivement, il riait au éclat. Le premier à émerger fut un vieux briscard qui semblait lui aussi rire. Il se redressa, frais comme un gardon, prêt à reprendre la mer. En sortant de la taverne il s'adressa au jeune homme d'à peine seize ans et lui confia qu'il n'était pas déçu par son choix de la veille. Qu'il était même plutôt fier et heureux d'avoir partagé une si bonne soirée, il pouvait désormais partir en paix. Le jeune homme au rire si communicatif ne comprit pas tout de suite mais bien des années plus tard il apprit que cet homme était un pirate recherché pour divers crimes sur toutes les mers du monde. L'homme lui avait cédé le fruit du démon du Rhum Rhum No Mie. Le jeune homme ne pourrait plus jamais nager comme un poisson alors qu'il adorait ça mais en contrepartie son corps lui donnerait à boire éternellement. Il avait acquis la faculté de transformer son corps en Rhum et d'en produire à volonté. Ce don l'aida tout d'abord à trouver du travail dans le même établissement où il avait mangé sans s'en souvenir ce fruit. Si il restait là c'est qu'il ne savait pas où aller, il ne connaissait que son nom car il l'avait donné à la patronne en arrivant le jour même en ville mais rien de plus. Il resta donc six mois à travailler comme serveur dans ce taverne assez fréquenté, remplissant les futs de Rhum quand ceux ci étaient à sec. Il devint rapidement la coqueluche de la taverne, servant des coups de Rhum en douce aux clients qu'il appréciaient (pour ainsi dire beaucoup de gens..) quand la patronne ne regardait pas. Celle ci lui louait la réserve pour une modique somme. Un soir, un navire de la marine fit escale sur l'île et le Colonel passa une bonne partie de la soirée à boire avec ces hommes. La Marines autant que les pirates étaient les bienvenues en cet endroit, ce qui comptait le plus pour la gérante était l'argent dans la caisse en fin de soirée plutôt que la fréquentation de son bar. Il se trouva que ce Colonel avait un sérieux penchant pour les boissons alcoolisés et voyant le don du jeune garçon ne put s'empêcher de lui faire une proposition. Habile en négociation l'homme de la Marine lui promit mont et merveilles. Convaincu qu'une grande carrière dans la Marine était possible grâce à son fruit le jeune homme s'enrôla dans la flottille contre l'avis de la gérante. Il passa plusieurs années au service de ce Colonel à remplir les cales de Rhum pour les Hommes. Malheureusement le capitaine se fit tuer lors d'une rixe dans un port après une soirée bien arrosée. Il avait eu le malheur de défier un équipage de pirate seul et complètement ivre. Le soir l'équipage de la Marine pleura son capitaine adoré et en son honneur lui offrirent une fête de tout les diables ! Devant tant de débauche l'équipage fut disloqué et éparpillé aux quatre vents de la flotte. Le jeune Sadlig après avoir dut dévoiler son pouvoir qu'avait jalousement gardé feu son capitaine fut envoyé sur un nouveau bâtiment de la Marine. Aussitôt embarqué le nouveau capitaine de Sadlig venait de recevoir un ordre de Mission.
La mission était périlleuse, le QG de la Marine voulait mettre fin à la piraterie aux abords d'une île. Celle ci regroupait en son sein, enfouit sous la roche un tas de crapules et mécréants en tout genre. Ces navires pirates coupaient les lignes commerciales et pillaient de nombreux transport de marchandise. La marine par deux fois avait déjà lancé des attaques contre le regroupement de vermines mais bien à l'abri dans leurs grottes les pirates repoussaient leurs assaillants. Par la suite la Marine avait tenté d'infiltrer l'île mais tout les hommes envoyés là-bas n'étaient jamais revenus. C'est alors qu'on chargea la jeune recrue Lunard d'infiltrer cette île grâce à son fruit du Démon. La marine avait reconverti un de leur vieux bateau pour le transformer en navire marchand. Ils avaient rempli les cales de futs de Rhum. Caché sous forme liquide dans son fut Sadlig devait ne pas se faire prendre et trouver une brèche dans la défense des vauriens. Le navire marchand fraichement repeint passa étrangement près de l'île, les pirates comme l'avait imaginé le capitaine attaquèrent le navire. L'équipage avait abandonné le navire dès que des voiles noires étaient apparues à la vigie. Fier de leur prise les pirates ramenèrent le navire et sa cargaison sous la roche et comme à leurs habitudes ils fêtèrent ça dignement, arrosant bien le pont. Les futs furent transbordés dans la réserve pour éviter d'être pillé trop rapidement. Sadlig espérait ne pas tomber sur un colosse à sa sorti. Son but était de se fondre dans la masse et d'inspecter de l'intérieur l'île. La musique, les cris et les coups semblaient pleuvoir dans cette grotte ou régnait une ambiance de dingue. Quand le pinardier vint chercher un nouveau fut pour arroser ses hommes il fut surprit de voir émerger du Rhum une silhouette d'homme. Il pensa tout d'abord que le Rhum était frelaté et qu'il provoquait des visions mais lorsque le coup de poing s'écrasa sur son nez il changea vite d'avis. Pas chaos pour autant le bougre sorti son épée dans le but de couper l'alcool (avec de l'eau, sacrilège). Mais tout ce qui réussi à faire fut de passer à travers et de se reprendre un coup dans le visage qui le fit dormir quelques heures. Sadlig enfin dans la tanière du loup commençait son enquête tout en servant des verres de Rhum à tout ceux qu'il croisait. Voyant que la défense était impénétrable à moins d'utiliser le Buster Call il se résigna et participa à la fête. Dansant, chantant avec ses ennemis comme si il était des leurs il savoura ce moment de bonheur. Il remplaça le tavernier qui ne revenait toujours pas. Servant à volonté en alcool les vieux briscards et autres furieux qui se présentaient. Les verres de désemplissaient pas, l'alcool coulait à flot, quand il n'y en avait plus il y en avait encore. Même les plus aguerris des piliers de comptoir ont un seuil de rupture. Carburer au Rhum pur toute une soirée laisse des traces sur le corps d'un Homme, si bien qu'au petit matin tous étaient saouls. Les pirates avaient bu toutes la nuit, vidant les tonneaux qui n'était jamais à cours de munition. Le tout savamment orchestré par Sadlig derrière son comptoir, offrant même à ceux de gardes de quoi passer une bonne soirée. Afin de s'assurer que tout les pirates étaient hors d'état de nuire il diffusa dans la grotte une vapeur d'alcool à en assommer un éléphant. Il bâillonna le tavernier d'origine qui malgré son nez cassé revenait peu à peu à lui. Quand il fut sur que tout le monde étaient ivres morts il lança le signal au bateau de la marine ancré non loin de là. Tous les pirates furent emprisonnés sans un mort des deux côté. Simplement un nez cassé.. A la suite de cette péripétie, la jeune recrue Sadlig fut promu au grade de Lieutenant.
[i]Rêve : Organiser une méga fiesta au QG de la marine
Dernière édition par Sadlig Lunard le Ven 4 Sep 2009 - 16:50, édité 5 fois | |
| | | Sadlig Lunard Pilier de la Marine
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| Sujet: Re: Sadlig Lunard le soiffard Jeu 3 Sep 2009 - 22:47 | |
| Un des mes Rp (Autre forum, autre thème):- Spoiler:
Nous n'étions encore qu'à l'aube de la journée lorsque Kanji se réveilla, son ridicule petit réveil placé à quelques centimètres de son matelas suffisait pour mettre un terme à son sommeil. Il se leva en baillant, la nuit avait été très, trop courte. Il avait travaillé au Magasin toute la soirée puis avait enchaîné sur un entrainement au Taijutsu qui avait fini à peine quelques heures auparavant, trois pour être exact. Il fit un brin de toilette dans la pièce qui servait de Salle de bain. Il se lava à l'eau froide afin de se réveiller complètement mais aussi pour favoriser la circulation du sang et la récupération après son entrainement. En descendant à la cuisine il trouva sur la table le petit déjeuner qui avait était prépare avec soin la veille. Du riz froid et un peu de poisson grillé, rien de tel pour remplir un ventre affamé. Une fois rassasier, il remonta dans sa chambre ou il fit sa couchette soigneusement. Il attrapa son sac à bandoulière et fit glisser la porte menant sur le balcon dans son rail en bois sans forcer pour ne pas faire de bruit. Il laissa grand ouvert la porte afin d'aérer sa chambre puis il sauta du balcon et se réceptionna sur ses deux jambes sans le moindre effort. Kanji était assez bien élevé mais il aimait beaucoup le mouvement et la porte d'entrée de la demeure de l'héritière des Hyûga n'était jamais une porte de sortie. Le balcon couvert du premier qui entourait la maison était plus enclin pour sortir de la demeure, à son gout..
Kanji se levait tôt afin de pouvoir méditer au calme avant de rejoindre l'académie. Il passa donc une bonne heure assit en tailleur à sa place habituel sur une des montagnes de la villes à observer le mouvement incessant de la vie en ce monde. Une fois l'heure passée, il se remit en route pour l'académie, toujours en baillant. Ni la douche froide ni le succulent petit déjeuner ne l'avait au final bien réveillé. Mais ce n'était pas trop grave, en général ce jour là était consacré à la théorie en classe ou au déchiffrage de code. Kanji n'était pas un cancre, il appréciait d'étudier car selon lui quelqu'un de cultivé ne peut se faire manipuler. Quelqu'un qui sait lire et écrire ne dépend de personne et peut se faire sa propos opinion, bonne ou mauvaise. Le jeune Hyûga profiterait donc de la journée pour reposer son corps et faire marcher ses neurones. Lorsqu'il arriva devant la classe il salua ses condisciples d'un bref geste de la tête. Il ne connaissait pas encore beaucoup de monde, il venait d'arriver il y a peu dans le village et de toute façon, il n'avait pas l'intention de pousser la connaissance. Certains se bécotaient au fond du couloir en s'enlaçant avec tendresse. Le professeur arriva et malgré sa bonne humeur quotidienne les élèves redevinrent sérieux, nous avions cours avec le Raikage, ce n'était pas rien. Tout le monde était prêt à sortir les cahiers, les premiers rangs l'avaient déjà fait et baver presque à l'idée de battre des records de vitesse en déchiffrage. Dans la classe de Kanji, ils étaient trois à vouloir intégrer la division de cryptage. Mais la donne fut changé, le Raikage annonça tout autre chose et lorsqu'il fit passer les élèves par une petite porte dérobée menant devant le parcours du combattant, beaucoup d'élèves tressaillirent. Kanji poussa un léger soupir suivi d'un petit sourire, il allait devoir encore solliciter son corps, le repos du guerrier n'avait pas encore sonné semblerait-il. Beaucoup d'élèves aimaient le sports, la course, les combats mais une grande majorité détestait le parcours de combattant. Il était long, pénible, rude et demandait un effort considérable sur quasiment tout les membres du corps. Le programme pour la matinée allait donc être des sauts, de la course, des tractions, de l'esquive, de l'équilibre et pour finir les élèves allaient devoir ramper et peut être même nager, le tout chronométré par dessus le marché. Certains eurent un regain d'optimisme en voyant le début du parcours, il n'avait pas changé et donc il serait plus facile, on ne fait pas deux fois les mêmes erreurs. Certains étaient plus pessimistes, depuis le début des cours sur la maîtrise du Chakra les élèves avaient fait trop peu de parcours, ils avaient du le changer afin de garantir une difficulté constante. Kanji lui se moquait bien de savoir ce qui allait arriver, il était juste fatigué, son corps était fatigué et réclamait une trêve avant même le début de l'exercice. Pourtant il y allait avoir du mouvement et pour rien au monde il n'aurait manqué ça. Le Raikage divisa la classe en deux, le premier groupe passerait en premier sur le parcours pendant que le second chronométrerai la performance et vice versa. Le professeur au sourire malicieux donna le signal de départ en faisant passer le plus timide des aspirants devant. Celui ci se révéla assez doué sur la première partie mais échoua lamentablement sur la poutre, il abandonna après quatre essais infructueux. Le groupe de Kanji était assez hétéroclite, il y avait quelques très bon sportifs, un excellent combattant et quelques grattes papiers. Notre Hyûga s'était retrouvé au milieu de la file, derrière les sportifs qui bavaient d'envie de commencer et devant devant ceux qui auraient bien simulé une grosse crampe de dernière minute. La file diminuait au fur et à mesure que les aspirants s'élançaient lorsque quelqu'un du second groupe demanda si il un échauffement n'aurait pas été favorable avant de commencer. Pour toute réponse il n'eut de la part du Raikage qu'un large sourire dépassant de son éventail. Voilà, c'était au tour de Kanji de commencer le parcours, quelques secondes avant de prendre son envol il se concentra et schématisa intérieurement les obstacles qu'il connaissait afin minimiser la perte de temps à la réadaptation de l'obstacle une fois devant. Kanji venait de s'élancer sur le parcours à toute vitesse, courant assez vite avec modération tout de même. Le premier obstacle arriva bien vite, c'était un grand classique, des ronds de bois posé au sol formaient une route. Ils allaient par pair et le Ninja devait le traverser le plus rapidement possible en glissant un pied à la fois dans chaque rond pour avancer. La différence était qu'ici des trous avaient été creusés en plus des ronds de bois pour accentuer la difficulté. Tout l'exercice résidait dans l'enchainement des jambes et des genoux. Kanji s'appliqua et ne manqua pas un seul trou. Il ne trébucha pas non plus mais dur ralentir sur la fin, les trous arrivants au dessus de ces genoux. Ce genre d'obstacle était là pour casser d'entrée de jeu l'allure des candidats. On ne pouvait pas maintenir un rythme régulier sur ce genre de parcours. Une fois sorti de ses crevasses Kanji reprit de la vitesse et fonça vers le canevas de corde. C'est une sorte de grand filet tressé avec de grosses cordes montant sur une porte de 45° sur 10 mètres, il est très difficile d'y monter rapidement car l'ensemble bouge énormément avec le poids du corps. Il y a deux façons pour grimper pour passer cet obstacle, la méthode "lente" mais rudement efficace qui consiste à grimper à l'aide de ses mains et jambes afin d'avoir un bon appui et de bonnes prises ou la méthode ninja qui elle est nettement plus rapide qui consiste à courir sur les tresses de fils habillement jusqu'en haut. La plus part des aspirants ninja y arrivent avec la méthode numéro deux. Le problème réside dans le chute qui en général se fait entre les cordes (je ne vous fait pas un dessin). Kanji se concentra donc afin de courir toujours droit sur le cordage le plus vite possible afin de ne pas ressentir l'effet de mouvement sur la corde. Une fois arrivé en haut du promontoire, il enchaîna pas l'échelles. une échelle placé à l'horizontale à une dizaine de mètre du sol que l'on doit traverser en traction. Chaque barreau ne doit être touché que par une seule main, le but étant là aussi de le passer très vite afin d'économiser ses forces. Il faut se servir du mouvement de balancier du corps afin d'aller plus vite. Kanji réussi assez bien cette épreuve, il failli lâcher sur les deux dernières barres mais se rattrapa in extremis. Une fois la dernière barre il lâcha prise et retomba sur ses jambes sans problème. Ses muscles commençaient à lui faire comprendre que deux entrainements simultanés avec si peu de repos était assez usant. Mais il fallait continuer, c'était plus amusant est un bon exercice. Il jeta un rapide coups d'œil à l'avant, les sportifs et autres spécialistes du déplacement étaient déjà loin tandis que les autres trainaient les pattes à l'arrière. Kanji reprit sa course, il ne fallait pas oublier que le chronomètre tournait. Il arriva ensuite sur la poutre, là ou le timide du début avait abandonnait, Kanji comprit pourquoi, la poutre surplombait un petit bassin de boue surement gelée. Là encore il fallait être habile et ne pas s'y attarder. Il ne regarda pas le bassin et se concentra sur la fin de la poutre tout en marchant le plus droit possible. Sans problème, il passa sans vaciller et continua, la suite le réjouissait moins, il approchait d'un passage qu'il n'aimait guère pour la simple et bonne raison qu'il avait failli finir à l'hôpital suite à cet obstacle. Celui ci se composait en deux parties, tout d'abord il fallait escalader une corde menant en haut d'un arbre à trente mètre du sol. Cependant l'arbre en question était planté en plein milieu du parcours ce qui sous entendait qu'on pouvait y grimper de deux manières, à la corde ou au Chakra. Kanji prit de la vitesse et fonça droit sur l'arbre, il malaxa son chakra et comme en cours théorique, le diffusa dans ses pieds pour obtenir une accroche parfaite. Il avait choisi la méthode Kinobori plutôt que de forcer encore un peu plus sur ses muscles déjà mal en point. Il voulait vraiment garder des forces pour la suite, pour le moment le parcours avait était le même que la fois précédente et il y aurait surement des changements par la suite. l'Hyûga monta donc l'arbre en courant mais arrivé à mi chemin il remarqua que les derniers mètres du tronc étaient enduits d'une substance inconnu. Dans le doute il continua un peu et au dernier moment sauta dans le vide pour attraper la corde. Celle ci tangua fortement sous l'impulsion de l'aspirant qui manqua de peu la chute en contrebas. Une fois la corde bien en main et un peu plus stable, il croisa ses jambes autour du tissage afin de faire un support d'appui. La montée fut rude et puisa dans les réserves de Kanji. Arrivé sur la plate forme en haut de l'arbre il prit quelques secondes pour se dégourdir les bras et les mains usés.
La suite fut une autre paire de manche, l'appréhension se laissait deviner sur le visage pourtant si calme du jeune homme. Voilà, il était devant l'exercice qu'il estimait être le plus difficile du parcours, pour le moment car là dernière fois il n'avait pu continuer pour le savoir. Ce fameux exercice consistait à descendre suspendu à un long câble tendu entre l'arbre et une poutre plusieurs dizaines de mètres en contrebas à l'aide d'une lanière en cuir se trouvant dans une petite caisse. Il en choisi une, pour ne pas dire celle en meilleure état, il l'a passa par dessus le câble et s'élança, il fallait qu'il s'élance rapidement avant de trop réfléchir sinon la peur le paralyserait et il serait incapable de réitérer l'exercice. Les premiers mètres vous donne l'impression de voler, de planer dans le vide tel un faucon mais une fois le câble bien tendu par votre poids la descente de fait très rapidement, nul difficulté à tenir une lanière et à se laisser glisser. Mais cette version comportait quelques arches qu'il fallait esquiver en levant les jambes, trois arches pour être précis. La dernière fois Kanji avait percuté la deuxième et s'était lamentablement écrasé sur le sable quelques mètres en dessous. Mais cette fois ci il leva bien les jambes et se prépara pour la dernière aches qui elle était à esquiver par en dessous. Il fallait lâcher la lanière et faire un rouler bouler avec la vitesse pour passer en dessous. Kanji s'exécuta et fit une jolie pirouette mais il s'arrêta à quelques centimètres d'une fosse.
Dernière édition par Sadlig Lunard le Jeu 3 Sep 2009 - 22:48, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: Sadlig Lunard le soiffard Jeu 3 Sep 2009 - 22:48 | |
| Suite.. :- Spoiler:
Fraichement creusée, il ne savait pas quoi faire, il réfléchit deux secondes et se frappa le front. Il venait de comprendre qu'il aurait du garder l'inertie de la chute pour sauter après sa pirouette par dessus le ravin. Mais il s'était arrêté et déjà derrière quelqu'un descendait, il voulu s'écarter mais trop tard, l'autre avait déjà lâche le câble mais son pirouette se transforma en cascade loupée quand il chuta dans le ravin, emportant avec lui Kanji qui avait tenté de l'esquiver. L'impact fut assez moelleux, du sable fin avait fait son office et Kanji se remettait déjà sur ses jambes pour sortir de ce trou. L'autre aspirant fut moins chanceux, son poignet était douloureux, surement foulé. La fosse était trop haute pour pouvoir en sortir en sautant mais par chance la terre venait d'être creusé, elle était encore meuble. Le Hyûga plongea ses mains dans les deux étuis à Kunaï sur ses mollets et en planta trois le plus profondément qu'il put. Il recula contre la parois et fit un faux départ. Quelqu'un passa par dessus la fosse comme aurait du le faire Kanji. Une fois que l'aspirant fut de l'autre côté et qu'aucun autre bruit de lanière crissant sur le câble n'était en approche, il prit son élan pour de bon et prenant appui sur les Kunaï il s'extirpa de la fosse. Il ne fallait plus trainer, il avait perdu un temps fou en comprenant mal l'exercice, quelqu'un l'avait même déjà rattrapé. Il continua le parcours en puisant dans ses réserves afin de ne pas avoir un trop mauvais temps au final. Après une rangée d'arbre et un petit virage, il apercevait de nouveau le départ et les gradins. Le parcours touchait à sa fin, ce qui eu pour effet de donner un peu baume au cœur à Kanji. Il aimait le mouvement plus que tout au monde mais là son corps avait atteint sa limite. Plus que quelques obstacles à franchir et le calvaire serait fini. Pour aller encore plus vite il pensa au bain bien chaud qu'il prendrait ce soir en rentrant à la demeure de l'héritière. Mais la réalité le rattrapa, en effet, un mur de bois, une palissade lui barrait le chemin entre son bain et lui. Il accéléra encore et d'un bond de félin sauta sur la tranche de la palissade. Se receptionnant adroitement sur le fine épaisseur de bois il poursuivi sa course. Il enchaîna deux autres palissades plus hautes les unes que les autres et chuta sur la dernière, le bout de sa sandale se cogna contre le coin de la planche. Kanji était au sol, il leva les yeux et tomba nez à nez avec du fil barbelé. Il était à terre et il y resterait, il rampa tant bien que mal jusqu'à l'autre bout de l'obstacle. Au milieu une fille était coincé, le vent avait du soulever ses cheveux qui s'étaient emmêlées dans le barbelé. Un d'un sportifs avait fait demi tour en rampant pour couper les cheveux de celle ci afin quelle puisse poursuivre. Arrivé au bout, Kanji se remit sur ses jambes et passa en marchant la ligne d'arrivée à quelques mètres du dernier obstacle. Fatigué, à bout de force, Il fut félicité rapidement par le professeur (comme chaque élève) et on l'invita à se poser dans la tribune, ce qu'il accepta volontiers. Son binôme lui indiqua son temps de parcours et lui confia le chronomètre. Une fois tout le monde du premier groupe arrivé ou hors jeu le signal fut donné à la deuxième équipe. Kanji activa le chronomètre mais n'assista pas à la course, il plongea dans un sommeil réparateur si bienfaisant. Mais cette pause fut de courte durée, réveillé par un méchant coup de coude dans les côtes, il se réveilla juste à temps pour stopper le chronomètre lorsque son binôme passa la ligne. Il gratifia son voisin de gradin d'un merci presque inaudible et alla remettre l'outil au professeur. Au passage il indiqua le temps de parcours à son camarade de classe qui semblait aux anges. Encore une fois le professeur congratula tout le monde de s'être donné à fond en ce début de matinée. Puis d'un large sourire il fit rassembler tout le monde sur les gradins et s'exprima de nouveau. " Bravooo à tous, ceci était un échauffement pour le véritable parcours du combattant de ce matin ! Je tiens à préciser que ce qui va suivre est facultatif, seuls les élèves qui le souhaitent participeront. Cette épreuve sera noté en rapport avec votre parcours précédent. Ainsi, si vous réussissez l'épreuve qui va suivre, vous gagnerez des minutes afin de les soustraire du temps de votre premier parcours et donc être mieux noté au final. Mais je vous préviens (Visage sérieux), ce qui va suivre est extrêmement périlleux et à ne pas prendre à la légère. (Retour du large sourire) Qui veut en être ? "Kanji hésita, il savait qu'il avait fait un temps médiocre au premier parcours et que cette note influerai sur son bulletin. Non qu'il y portait une grande attention à ses notes mais il ne voulait pas se faire remarquer. Il restait dans le moyen bon, toujours dans le moyen bon. Quand on excelle les gens s'intéressent à vous, il en va de même quand vous faites le cancre. Pour ne pas se faire remarquer il faut rester dans la masse, dans le moyen bon afin de ne pas être embêté. De plus il voulait aussi ne pas se faire cataloguer comme un minable dans son clan. La demeure des Hyûga recevant tous les bulletins de notes de ses membres encore à l'académie. Kanji était coincé, il n'avait pas trop le choix. La pratique était un gros coef' et d'après le tableau des temps qui se trouvait derrière le Raikage, il était dans les derniers. Il fallait qu'il participe à cette épreuve facultative pour rattraper un peu de points. Il se consola en pensant aux mouvement qu'il y allait avoir. La micro sieste qu'il venait de faire lui avait permis de faire taire quelques muscles douloureux et c'est donc avec entrain qu'il leva la main pour s'inscrire. Il ne furent que six sur la trentaine d'élève que comptait là classe à s'inscrire. Tous pour des raisons différentes, certains pour le défis, d'autre pour repousser leur limite et quelques uns pour la frime. Le Raikage emmena la classe un peu plus loin que le terrain d'obstacle et lorsqu'ils arrivèrent sur le lieu de l'épreuve, tous se demandèrent ce qu'ils les attendaient. Le terrain n'était autre qu'une des nombreuses rivières de Kumo, plus précisément une berge en terre de quelques mètres entre une foret et la rivière. Le Raikage présenta donc notre nouvelle aire de jeu. Le but de ce parcours étant de courir le plus vite possible les cinq cent mètres qui sépare la position actuelle au drapeau qui se trouve là bas (Il pointa le drapeau de son éventail). C'était louche, très louche, il n'y avait aucun obstacle, juste une course de vitesse ? C'était trop beau pour y croire. Mais personne n'eut vraiment le temps de lancer le débat car aussitôt il demanda à ceux qui ne s'étaient pas inscrits de se placer en retrait. Il aligna les six participants sur une même ligne et donna le top départ.
Kanji s'élança, il était décidé à en finir le plus rapidement possible, il oublierait l'espace d'un instant si son corps le quémandait, il oublierait si la fatigue sonnait à sa porte, il oublierait si la douleur devenait envahissante, il oublierait.. Certains dans les gradins étaient dégoutés de ne pas avoir levé la main, c'était des points faciles.. Le Raikage avait encore fait une farce et certains s'en mordaient les doigts, enfin, jusqu'à la première explosion. Car l'élève qui menait la course de vitesse venait de se faire projeter dix mètres en arrière. Il venait d'y avoir une explosion, une sorte de mine. L'élève n'avait rien, il était juste désorienté et abasourdi. Les cinq autres participants stoppèrent leurs courses et se regarder les uns les autres. Le Raikage arborait lui un petit sourire en coin assez malicieux. Rapidement les participants s'organisèrent, le spécialiste du Taijustu interpela Kanji et le jeune Hyûga n'eut pas besoin d'une deuxième explication. Il activa son Byackugan et devant la réalité ne put contenir une perle de sueur. Tout le trajet était miné par des parchemins explosifs enterrés. Tout de suite il expliqua la situation aux autres participants qui furent surpris et peu enjoués. Chez les spectateurs par contre l'attention était à son comble, il y avait enfin de l'action et il adoraient. Le meilleur élève de la classe sur le plan physique et tactique prit les choses en main. Il demande à Kanji de passer en tête, les autres suivraient ses traces. C'était une course de vitesse individuelle. Mais rien n'empêchait la coopération durant ce laps de temps. Tous acceptèrent et Kanji ouvrit le chemin, évitant ainsi les pièges. Soudain, alors qu'ils fonçaient en direction de l'arrivée, des centaines de Kunaï avec des parchemins explosifs tombèrent du ciel. Kanji fut le premier à les voir. Il alerta les membres du cortèges et dans la panique la plus totale la troupe se dispersa. Quand les Kunaï tombèrent au sols ils explosèrent dans un vacarme assourdissant. Réjouissant les spectateurs comme au nouvel an chinois. Après l'explosion simultanée tous se cherchèrent du regard, seul un sur cinq était encore débout, les autres avaient été projetés à terre. Notre Hyûga qui était pourtant en tête du peloton se retrouva au milieu d'un chaos sans nom. Quand il se releva son regard se porta instantanément sur l'élève qui se trouvait à une dizaine de mètre de lui, celui ci se relevait doucement aussi mais il était juste en dessous d'un parchemin enterré. Kanji prit son élan et fonça vers lui. " Boug.. " Le parchemin explosa, soufflant l'élève avec. L'instinct de survie de Kanji le poussa à stopper sa course et à tenter d'utiliser un Hakke Shou Kaiten pour contrer l'explosion mais il n'avait vu ça qu'en théorie et il exécuta les mouvements tout en libérant son chakra. Il ne parvint pas au résultat escompté et fut éjecté dans la rivière.
Les oreilles encore sifflantes, le visage en feu, les membres douloureux, Kanji luta pour ne pas sombrer. Il se hissa tant bien que mal sur le rebord. Mais il n'avait plus la force de continuer, Il revoyait la scène de l'élève exploser sous ses yeux. Il se posait un tas de question, comment le Raikage pouvait laisser faire ça. Perdu dans ses pensées il aurait bien fait une nouvelle sieste, là au bord de l'eau. Les pieds encore dans la rivière, le ventre au sec. C'était sans compter l'intervention du premier de la classe qui le tira entièrement de l'eau et le força à se remettre debout. Celui ci le motiva et ensemble il finirent la course. Kanji le remercia et s'effondra sur un bloc de pierre. Haletant, le cœur battant à en sortir du corps. Le Raikage ainsi que tous les spectateurs les saluèrent pour cette performance et lorsque le Raikage s'abaissa au niveau de Kanji, il lui désigna du bout de son éventail une direction à regarder. Ce que voulait montrer le Raikage à son élève n'était autre qu'un Jounin qui rigolait avec un autre élève. L'élève que Kanji avait cru voir exploser sous ses yeux. L'Hyûga se critiqua intérieurement, comment avait-il pu croire que le Raikage mettrait en danger la vie de ses élèves. Mais la colère ne dura pas, d'ailleurs rien ne dura car il sombra à nouveau un sommeil bien mérité...
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| | | Godwrath D. Alexander Héros de la Marine
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| Sujet: Re: Sadlig Lunard le soiffard Ven 4 Sep 2009 - 15:15 | |
| Ce qui ne va pas :
- ta quatrième technique qui est un peu trop bourrin à mon goût ; - ton avatar, celui de Trafalgar Law, qui est interdit (comme tous les avatars de persos One Piece). On en a déjà accepté un tout juste avec une pseudo-histoire de sosie, mais on va s'arrêter là. Donc choisis autre chose s'il te plaît ^^
Sinon, je ne suis pas contre le Rhum Rhum no Mie qui était censé être reservé, mais comme je m'oppose à la réservation je suis ok. Mais j'attends confirmation des autres membres du staff pour délibérer. Sinon, pour ce type de logia, le Rp me semble correct. | |
| | | Jonathan Rickshaw Soldat d'exception
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| Sujet: Re: Sadlig Lunard le soiffard Ven 4 Sep 2009 - 17:02 | |
| Je suis pour, si tu suis les recommandations de God | |
| | | Sadlig Lunard Pilier de la Marine
Profil Psy : Bon Nombre de messages : 470 Age : 37 Fruit du Démon : Arukō Arukō No Mie (logia des alcools)
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| Sujet: Re: Sadlig Lunard le soiffard Ven 4 Sep 2009 - 17:20 | |
| J'ai supprimé la quatrième techniques, je vais réfléchir à des techniques pas trop puissantes et originales pour l'évolution de mon personnage. Pour l'avatar je l'ai modifié (Merci Gingi), par contre je ne suis pas encore entièrement satisfait par celui que j'ai trouvé, donc on va dire que celui ci est provisoire le temps de trouver un qui va avec mon personnage. ^^
Pour le fruit je ne savais pas qu'il était réservé, il n'y avait rien d'inscrit à côté dans la liste. | |
| | | Jonathan Rickshaw Soldat d'exception
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| Sujet: Re: Sadlig Lunard le soiffard Ven 4 Sep 2009 - 17:24 | |
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| | | Antharia Aisu Partisan
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| Sujet: Re: Sadlig Lunard le soiffard Ven 4 Sep 2009 - 17:35 | |
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| | | Godwrath D. Alexander Héros de la Marine
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| Sujet: Re: Sadlig Lunard le soiffard Ven 4 Sep 2009 - 18:23 | |
| Donc validé, la réservation n'a pas l'air de poser problème aux collègues. Amuses-toi bien | |
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| Sujet: Re: Sadlig Lunard le soiffard | |
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| | | | Sadlig Lunard le soiffard | |
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