One piece Rpg Bienvenue sur les mers du Rp, Invité |
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| [Validée]ne le regardez pas dans les yeux! | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: [Validée]ne le regardez pas dans les yeux! Jeu 2 Avr 2009 - 9:55 | |
| Prénom: Arnaud
Age:16 printemps
Sexe: si tu le regarde, t'est mort!
Comment avez vous connu le forum?
Combien d'heures vous vous connectez par jour? houlà, une heure , le midi. un peu le soir aussi...
Tes Mangas préférés: : one piece, FMA, Air Gear, Kyo, etc...bof, la liste est longue...
Ton pirate préféré dans one piece :sanji, zorro
Hobbys:lire, écrire
~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~
Nom & Prenom : Jiuu Kuusou Nekomata
Pseudonyme : "le cinquième " pour les gens de sa première vie. sinon, c'est "l'homme qui te regarde bizarrement depuis le recoin sombre du bar" Age :La vingtaine (personne n'a daigné le renseigner sur sa date de naissance, c'était trop futile)
Race : Humain
Occupation : Pirate (en fait il est surtout hors-la-loi par-ce-qu'il sort des restaurants sans payer, on à pas encore réussi à lui attribuer un seul crime.)
Rang Spécial : heu, assassin déprimé?
Métier : il veut faire cuistot, mais, bizarrement, les gens n'aiment pas manger un repas préparé par un ex-assasin.il peut éventuellement servir de médecin , grâce à sa bonne connaissance de l'anatomie hummaine, ou alors cannonier, étant capable de se servir de tout ce qui est destiné à tuer.
Physique : Si quelqu'un croisait Jiuu dans la rue, il ne verrait en lui qu'un simple passant, si tant est qu'il lui porterait attention. Grâce à la maitrise du "fukashi", la voie première de l'assasin enseignée par sa famille, il ne laisse généralement aucune impression sur les gens, allant même jusqu'a devenir invisible à leur yeux si ils ne se doutent pas qu'il se trouve là, devant eux. Mais si quelqu'un lui portait vraiment attention (se dont il se rendrait évidemment compte, grâce à la deuxième voie, mais on y viendra tout à l'heure), si quelqu'un lui portait vraiment attention, donc, il le décrirait comme un jeune homme de la vingtaine, rasé de prés, un physique plutôt attirant, habillé le plus souvent d'un pantalon en toile noir, qui semble flotter autour de ses jambes sans jammais,cepandant, en laisser apparaître le moindre bout. Son visage est souvent fermé, le laissant ruminer de sombres pensées. Portant une chemise blanche par dessus son torse barré de nombreuses cicatrices, il présente des muscles, mais des vrais, pas de ceux qui apparaissent à la sortie de la gonflette, non, des muscles de prison (bien que Jiuu n'y soit jammais allé),souples et solides, résultante d'une vie plutôt mouvementée. L'esclade, la discrétion et le déguisement n'ont aucun secret pour lui, mais ses muscles sont quand même capables de merveilles. vous ne l'avaez pas encore vu faire des tractions sur le petit doit de la main gauche en portant des poids autour des chevilles et des poignets, vous ne pouvez pas comprendre...Ses cheveux sont d'un gris tirant sur le blanc, mais il se les colore souvent en châtain pour passer inaperçu. A l'état naturel, ils contrastent assez avec ses vêtement de couleur sombre, avec son attitude silencieuse et renfermée, le visage grave. Ils semblent ne jammais pousser plus que nécessaire, et sont assez soyeux. Jiuu les lave souvent, le sang et la sueur ayant tendance à y élire résidence, et, sans compter le fait que cela ne fait pas un trés bon gel, il en serait moins discret si il se balladait dans cet état. Il mise sur l'apparence de l'habit, les bonnes manières de facade pour les contacts avec les gens, étant donné qu'il est difficile de lui faire avoir la moindre émotion. En réalité, Jiuu porte des vêtements à longues manches pour cacher son attirail: tout un ensemble de lames, de poisons, de fils, tout ce qui peut se trouver comme accessoires tranchants et perçant servant généralemment à tuer. On peut nommer dans la foulée: des poignards de lancer, des shurikens, des fils à couper le beure, des fils à étrangler, des mécanismes de base servant à la fabriquation de pièges artisanaux. C'est à se demander comment il fait pour ne pas se faire arrêter dans la rue. Personnellement, je ne l'ai jamamis vu se faire prendre, il sait être discret quand il veut, et si un marine à déjà tenté de le fouiller, je prie pour son âme, ce que ne fera certainement pas Jiuu Il posséde également une épingle à ouvrir à peu prés n'importe quoi dans ses cheveux. C'est bien simple, pour s'assurer qu'il n'a plus de moyens de vous prendre en traître, il faudrait l'attacher les cinq membres (non, je pensait à la tête pourquoi?) sur le mur à l'aide de menottes en granit marin, complètement à poil, une lame sous la gorge. Il fut un temps où il possédait une pastille de cyanure dans une dent creuse, mais il l'a balancé. Par-dessus tout celà, un grand manteau de cuir noir, mais de nos jours, tout mec ayant envie de se la péter en porte un comme ça. Se manteau sert surtout à cacher son GUNBASS(marque déposée) sorte de colt à 8 coups, tirant du gros calibre à une distance de 100m, ainsi que son wazibashi, "yukizora", "ciel de neige", court sabre à la lame bleutée et dont la lame à l'avantage de rester invisible tant qu'elle ne se trouve pas exposée à la lumière du jour. Ces deux armes sont ses préférés, seulement, le pistolet à tendance à faire du bruit, mais le voir s'en servir est un délice pour les yeux. Son sabre, en revanche, n'émet pas le moindre bruit lorsqu'il trenche l'air. pour le chair, c'est une autre histoire...Là aussi, il le manie avec une dextérité impressionnante, bien que les techniques destructrices ne soient pas vraiment son fort, la force de l'habitude l'obligeant à tuer en silence...Le gros avantage de ce sabre est en fait son invisibilité, provenant de sa structure en verre. Si il est aisé de prévoir approximativement sa taille au simple regard de son fourreau, il est néanmoins ardu de se la représenter quand la lame en question virevolte dans des positions imprévisibles et pourtant de plus en plus meurtrières Mais le signe le plus marquant du personnage reste encore le collier en cuir noir, agrémenté d'une clochette en argent. Il est le symbole de son ancienne vie, mais il n'a pas pu se résoudre à s'en débarrasser, c'est le seul accessoire de son corps qui ne cache pas d'arme ou d'ustensiles. Ce collier est porteur de souvenirs dont il n'a pu se débrasser. La clochette ne sonne que quand il en à envie et reste muette si il prend le désir de rester discret. S'il ajoue une touche amusante à Jiuu, ses yeux sont , par contre, eux, terrifiants, au sens propre du therme. On dit que les yeux sont le reflet de l'âme. Jiuu, lui, ne prête pas ettention à ces balivernes, tant et si bien qu'il met généralement mal à l'aise tout ceux qui croisent son regard. Deux profondes pupilles bleues, de sombres diamants dont l'éclat rapelle celui des fonds marins, abyssaux, froids et porteurs d'une haine où d'un tristesse sans nom, je ne saurais le dire. Toujours est il que son regard semble, n'avoir plus rien d'hummain. je pourais disserter des heurs durant sur d'autres détails de sont aparence, mais je préffère m'arreter là pour ajourd'hui.
Caractère & morale : Jiuu chez le psychologue (ce dernier le prend pour un jeune légiste)
Jiuu:" Mon travail? en fait, c'était plutôt pas mal, il n'y avait que trés peu de danger, mes cibles ne se doutait de rien quand cela leur tombait dessus" le psy eu un petit rire "et j'était formé pour celà. L'argent tombait pas mal, cela devenait naturel pour moi. mais, de part sa nature, j'avait du mal à me faire des amis. En fait, je n'avais pas besoin de beaucoup d'amis, et j'avais quelques connaissances dans mon travail, incluant ma famille, bien sûr, mais c'est à cause d'eux que j'ai racroché. J'ai toujours vu ma famille d'une manière étrange. ma mère était jolie, mais, comme j'étais le cinquième fils et qu'elle travaillait dans la même branche que moi, on ne s'est pas trop vu, et elle est morte pendant la guerre, avec mon père. Mon plus grand frère yamamoto à pris le contrôle du secteur d'activité de la famille, je ne l'aimait pas trop, j'ai passé mon enfance avec des instructeurs qui m'apprenaient le métier et des missions à partir de l'âge de douze ans. De se fait, mes seules relations avec ma famille était professionnelles. Sauf pour Saeko, ma jeune soeur, c'est à elle que j'ai appris ce que moi, on m'apprennait, elle à été ma seule véritable famille."
il s'interrompit un instant et reprit:
Jiuu: "Au quotidien, j'essaye de ne pas faire de remous, et de sourire beaucoup, je pense que celà aide aux rapports sociaux; je bois beaucoup de lait et voyage pas mal. J'ai souvent l'impression d'être observé, je dois être un peu paranoïaque, c'est possible. La plus grande partie de mes revenus proviennent de convoyage. Ca veut dire que j'escortais pour le compte de riches personnes de menus chargement lors de voyages en mer ou sur terre. Il m'est arrivé de me battre contre des pirates, mais j'avais préparé le terrain le plus souvent. Je mange beaucoup au restaurant et je drague beaucoup de filles, jamais la même chaque soir. Les gens doivent me trouver froid, celà doit venir de mon ancien boulot. L'adrélanine me manque.j'ai bien sûr pensé à m'engager dans la Marine, mais je n'aime malheureusement pas les ordres, et encore moins y obéir. C'est l'une des raisons pour laquelle j'ai quitté mon travail."
Jiuu s'interrompit et attrapa une bouteille de lait dans son sac.
Jiuu: "Escusez-moi, Le lait m'aide à oublier, continuez à me poser des questions, je n'en prendrais qu'une gorgée, si je bois toute la bouteille, j'aublierais même qui je suis et ce que je fais là."
Le psy attendis que Jiuu ai fini sa gorgée et observa le regard hébété qui lui lança avant de reposer sa question suivante.
Jiuu: " Mes rapports avec les autre personnes? J'essaie d'être aimable avec tout ceux que je croise, d'afficher de grands sourires, mais beaucoup de gens que j'ai croisé ne sont pas dupes, il disent que je ne sait pas sourire. En fait, si j'ai appris il ya quelques années à sourire, mais je suis encore dépréssif à cause de cette histoire. elle s'appelait Maya, elle était trés sympathique avec moi et ne posait jamais de questions sur mon boulot, pourtant, avec le recul, je me rend compte qu'elle à dû le soupçonner. Elle était merveilleuse, c'est grâce à ele que j'ai découvert le vrai sourire, nous nous sommes aimés, je suppose, mais je n'ai pas beaucoup de comparaisons, je sais juste que je n'avais jamais éprouver quelque chose de ce genre pour une personne."
...
A l'issue de l'entretient, le carnet du psy:
"Mr Smith (est-ce vraiment son nom?) semble froid, et celà à cause d'une éducation et d'un train de vie qu'il a suivit pendant à peu prés 20 ans. Il semble plutôt fort, puisqu'il prends les affrontements avec des pirates pour des passages sans interrêt. En tout cas, il à une haute estime de lui-même et de son entraînement. Il est la plupart du temps renfermé et admet être habitué à la solitude. Il est néanmoins ouvert aux autres, mais attends qu'on lui pose des questions pour agir. Il semble avoir traversé beaucoup d'épreuves, dont la mort de sa femme et est toujours en deuil. On peut voir à travers son comportement une certaine insensibilité, mais c'est la résultante d'une vie épineuse, il n'a jamais connu l'affection, et la seule fois où il l'a connu, elle est morte, Le fait d'être en contact constant avec la mort à dû finir par le rendre terne pour toujours. on voit qu'il fait cepandant des efforts et l'on peut voir, à travers son appétit pour les femmes, peut-être la recherche de l'amour perdu? Cet homme n'a surement que trés peu de pitié pour ses ennemis, et n'est pas du genre à discuter ou à chercher des compromis. Il détruirait tout ce qui se trouve sur son chemin, si il a encore un chemin.... Son attitude me laisse penser que son but est à présent établi, et décidé à la suite d'une longue réflexion. j'ai trouvé étrange son rapport avec la mort, il faudra sûrement que je me renseigne davantage sur lui. Je devine à sa manière de parler qu'il n'a pas l'habitude de s'étendre sur sa vie. Il était... hésitant. Bien que sa voix montrait un calme et presque une désinvolture, je sens en lui comme une menace sourde. Et il à l'air de se sentir menacé, lui aussi. Je pense que , dans son interrêt comme celui des autres, il devrait se faire des amis fidèles, où tout du moins être fidèle serviteur que quelqu'un. Son efficacité est grande, mais il semble avoir du mal à se forger une opinion et à prendre en main sa vie. Encore une fois, il semble trop complexe pour un simple Légiste de 20 ans.
Post scriptum: il à une allergie au lait étrange: quand il en boit, il perd la mémoire, ce phénomèene est assez impressionnant, mais cela explique sa soif de lait en permanence, comme font les alcooliques pour échaper à leur destin "
-"bien, vous pouvez à présent vous lever et partir."
-"je ne reviendrais pas. puis-je avoir votre avis?"
-"et bien..."
Le Psy n'eu pas le temps de finir sa phrase, Jiuu l'attrappa négligeament par le col, le soulevant de terre. Le pauvre homme essaya d'appeler à l'aide, mais il ne put articuler un mot, Jiuu bloquant sa machoire, d'une poigne de fer. Ce dernier lu les notes de son interogateur, lui demanda de préciser certaines choses, puis le redéposa au sol. Il garda le rapport avec lui et effaca son nom du carnet de rendez-vous du docteur, puis se tourna vers se dernier et le contempla avec ses yeux glacés. Le Psy sentit la terreur s'emparer de lui, une terreur sourde, l'empêchant de faire le moindre mouvement. Il s'attendait à mourir, mais, à son grand étonnement, Jiuu se détourna et partit d'un pas souple mais tranquile dans l'esclalier. deux minutes plus tard, le bureau explosait, un cadavre était retrouvé, identifié par sa femme comme étant celui du psy. aucune trace de celui à qui il avait donné rendez-vous. La secrétaire se souvenait de l'avoir vu entrer, mais était bien incapable de dire comme il était. Elle n'était même pas sûre qu'il s'agissait d'un homme.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Validée]ne le regardez pas dans les yeux! Jeu 2 Avr 2009 - 10:07 | |
| Fruit du Démon : oui
Techniques Spéciales : "gomichi":Les cinq voies (voir histoire):
1°voie: la discrétion "fukashi": ensemble des techniques qui consistent à effacer sa présence et à disparaître. permet notemment de pouvoir se balader avec tellement d'armes sur lui sans que l'on ne soupçonne quoi que ce soit.
2°voie: la perception "shiriai": ensemble des techniques visant à approcfondir ses sens, comprend aussi la technique qui permet à Jiuu de savoir à tout moment où se trouvent ses adversaires autour de lui(détaillé dans le post Rp)
3°voie: la lame "yaiba":ensemble des techniques permettant à Jiuu d'aporter une mort rapide et sanglante à un ennemi, avec ou sans armes, qu'elles soient des lames où des armes à feu.
4°voie: la maîtrise "jukuren": ensemble regroupant les trois voies précédentes, mais poussées à leur paroxysme. Permet à Jiuu de se débrouiller comme vous le verrez dans le post Rp. et notemment regroupe tout le talent d'improvisation et de maîtrise du terrain.
5°voie: la vengeance "fukushuu":techniques plus philosophiques que martiales, mais néanmois meurtrières. Contient aussi les manières de se battre avec son fruit Histoire : ( 20 lignes minimum < 50 maximum )
==début du rapport de l'observateur 34 pour les archives de la famille Nekomata==
L'enfant naquit une froide nuit de Décembre, se devait être un samedi. Il y a environ 25 ans. Sa famille, les Nekomata, formaient une partie de Octupus une sorte de grande mafia, manipulant de sa main plusieurs îles des Quatres Mers. La résidence familliale, basée à South Blue, servait de quartier général. Mais la grande spécialité de la famille Nekomata, était de servir d'"eraser" à Octopus. Ils exercaient le métier d'assassins, payés à gages où travaillant pour le compte de l'organisation. Jiuu, le cinquième fils héritier de la famille reçu, comme tant d'autres frères, soeurs, cousins et cousines, une formation compléte dès son plus jeune âge. Les méthodes d'enseignement et les techniques se transmettaient de Génération en génération dans la fammille Nekomata, si bien que le père se devait d'enseigner à son fils, qui lui-même l'enseignait à son jeune frêre, qui lui-même l'enseignait à son plus jeune frêre, etc... Jiuu K. Nekomata, dont le nom s'écrivait avec le kanji de la liberté, reçu donc l'enseignement du 4°, et apprit ce qu'il savait à la 6°, au therme de sa formation. Au coeur de cette famille, les enfants du couple régnant se doivent d'être exemplaires, leur vie est donc parsemée d'enfûches, et ce, dès l'enfance. L"art de tuer" ou "les quatres voies" s'apprennent au cours d'un entraînement intensif, qui commance dès l'âge de 1 an. L'enfant étant encore trop jeune pour que l'on lui demande le moindre effort physique ou mental, on agit sur son corps. L'entraînement prend la forme d'une substance, le ka, qui est inoculée par voie orale au nourrisson (au cour d'un repas par exemple.). Ce produit déclenche la production d'adrélanine, accélérant de ce fait les pulsations cardiaques, et élimine de manière trés rapide les toxines secrétées par les muscles, tout en clarifant les idées. Cette drogue ( car s'en est bien une ) permet donc au corps de ne pas ressentir la fatigue et de multiplier ses capacités musculaires et mentales. malheureusement, ce produit provoque une dépendance trés forte vers celui qui en prend ne serais-ce qu'une fois. l'autre effet secondaire, moins grave, est la production de pigments colorés au niveau des pupilles, donnant l'impression que son adversaire à des yeux jaunes ou rouges, de plus, la rechute est dramatique, puisque le corps du sujet doit subir le contre-coup de ce que tout son corps vient d'accomplir. Le ka est innoculé à l'enfant par doses de plus en plus fortes, jusqu'à ses quatre ans. A ce stade, l'enfant sait déjà marcher, parler et produire quelques calculs de base, de plus, son corps est bien plus endurant que la moyenne aux blessures où aux changements de température. Ce jour-là, avec l'accord de ses nourrices (détail superficiel), l'enfant est abandonné dans la forêt située derrière la résidence familiale, surveillé par quatre gardiens, camouflés, veillant à son dévelopement dans l'ombre. Plus dur encore que les privations de nouriture, puisqu'il doit se mettre à se débrouiller seul à l'âge de Quatre ans, c'est le manque constant de ka qui le torture le plus. Il devra passer deux ans dans cette forêt pour passer le premier stade, celui de la "naissance", où l'enfant revendique sont statut de membre de la famille Nekomata. L'organisme de l'enfant s'habitue alors au manque de ka et, plutôt qu d'en éliminer la dépendance, il mute afin de produire lui-même cette substance à volonté. A la fin de ces deux longues années, Jiuu ressortit de la forêt, se dirigeant droit vers la résidence familliale en traînant derrière lui les cadavres des quatre gardes qu'il avait massacré, armé d'un seul petit couteau. Son père le reconnu comme celui de ses 7 filles et fils comme étant celui qui avait le plus de potentiel. Dés lors, l'enfant est vraiment éduqué, on alterne le maniement du poignard à l'ingestion de drogues de plus en plus violentes, destinées à afiner ses cinq sens. dans le même temps, on lui enjoint au silence, le torture, lui demande de se promener dans la résidence sans faire le moindre bruit, alors qu'on lui attache des clochettes autour du cou. Si l'enfant échoue à chacunes de ces épreuves, il est roué de coups. Au bout de deux ans de ce régime, les longues périodes de silence et les déplacements de plus en plus furtifs l'on élevé au rang de discilple de premier cercle, maîtrisant le rang un, la première voie "fukashi", la discrétion. On annonce alors à l'enfant que désormais, des tueurs seront régulièrement envoyés pour l'assassiner et qu'il devra se débrouiller sans aucune aide pour s'en sortir. A cette époque, La chambre de jiuu était remplie de sang, essentiellement celui des autres. Si les deux ans passés dans la forêt avaient réveiller tout son potentiel combatif, voir même animal, les deux ans qui suient, dans la discipline la plus stricte, le calme et l'amènent à réféchir, tout en exploitant au mieu son potentiel. Comme l'annonçait l'une des devises les plus réputées du clan, "c'est en faisant passer de la température la plus extrème à l'eau la plus froide que l'on forge une vraie lame. La survie devint de mise, Jiuu apprit à être constament sur ses gardes, tout en restant calme et silencieux. Il en vint même à tuer par accident une ou deux femmes de chambres qui s'aventuraient la nuit pour faire le ménage pendant qu'il dormait, mû par un sixième sens. Il n'était alors pas rare de le voir courir dans toute la demeure, poursuivit par des hommes masqués et se servant des invités comme boucliers hummain pour dévier les tirs de poignards. L'usage répété de drogues et de calculs l'élèvent alors au rang de dicipliple de deuxième cercle, maîtrisant de plus la deuxième voie: "shiriai", la perception. Aprés quatres ans de cet enfer, il obtient l'autorisation de parler. à l'age de dix ans, Jiuu obtiend le droit de sortir de la maison, et passe le plus clair de son temps à accomplir des contrats, ou`à assassiner des gens pour le compte de sa famille. Parfois, on lui impose, sous forme de jeux, des restriction: ne combat qu'avec une arme donnée, n'accomplit ton contrat qu'en une seule journée, etc... il apprit ainsi à disposer, grâce à l'enseignement de son frêre, la Troisième voie, "yaiba" la voie de la lame et du combat. Il avait environ 15 ans lorsque la Grande Guerre de la Piraterie débuta. Sa famille s'engagea alors du coté des pirates, aimant moyennement que la Marine ne la découvre, les pirates étants plus tolérants à ce sujet. Jiuu fut , lui aussi envoyé au front, et recu, le jour de ses quinze ans, une des Sept armes transmises de génération en génération dasn sa famille, de facture extrahordinaire et de qualité incroyable, il devrait se souvenir à tout jammais de ce jour, celui où il se battit avec pour la première fois, "Kousuu", "la chimère", son revolver gravé. Kousuu étant un énorme équivalent de Desert Eagle, à bariller de 8 balles, tirant du 3,5 mm jusqu'a une distance de 100m avec 1mm de marge d'erreur au maximum. L'ensemble de la structure fut renforcé par jiuu, qui le trouvait un peu trop léger à son goût. L'arme pouvait à présent servir à parer les attaques à l'aide d'armes tranchantes, comme un sabre, à condition que celui-ci ne fut pas en granit marin. Malgrés celà, Jiuu finit par être blessé et rapatrié au manoir, mais ses parents n'eurent pas cette chance. Son père et sa mère , ainsi que leurs deux fils ainés furent acculés puis, au terme d'une bataille acharnée, tués par un vice-amiral. Ce même jour, le Troisème fils, éritier en titre et à présent maître de la famille, ordonna le retrait pur et simple de tous ses hommes du front. Aprés la victoire de la Marine, octopus, qui avait dû se battre au grand jour, fut dissoute, ses principaux membres arrétés ou tués. Pour survivre, la famille tomba dans la clandestinité, abandonnant son nom et changeant de QG. Elle continua ses contrats, bien qu'ils qe fissent un poil plus rares, tout ses membres travaillant sous couverture. C'est ainsi que Jiuu ouvrit une boutique de fleurs sous le nom de "Jiuu Kousuu", reprenant le nom de son arme comme nom de famille fictif. Il accomplissait ses contrats sans se douter que le destin alait frapper à sa porte. Ce dernier prit la forme d'un jeune fille, maya. D'un tempréramment plutôt relevé, mais sachant être douce, elle entra une première fois pour acheter des fleurs. Etant le premier client de Jiuu, ce dernier ne sut comment s'y prendre, elle commenca alors à lui faire des reproches sur tous les défaults de sa boutique at, sans ayant pu bien comprendre ce qui venait de lui arriver, jiuu se retrouva avec une jolie assistante nomée maya qui l'aiderait à entretenir sa boutique. Jiuu, que trés peu de choses au monde ne pouvait perturber, continua ses mission comme si de rien n'était. Si maya se rendit vite compte que les absences répétées de son patron et ami n'était pas dû à des voyages de publicité, et n'en dit rien (bon, l'escuse n'était pas trés recherchée...). Cepandant, au fur et à mesure où Jiuu la fréquentait, son comportement commenca à changer. Il devint plus doux, plus aimable, et en vint même à sourire de bon coeur. Cepandant, le fait qu'il finit par refuser plusieures mission pour rester auprés de sa Dulcinée, finit par attirer des soupscons de la part de la famille. Lui, considéré comme l'un des Trois plus puissants de la fammille voire même le plus puissant, son attitude témoignait d'un problème grave. On envoya donc son grand frêre, LE quatrième, dont le nom n'a pas d'importance, enquêter sur cette affaire. mais le 3° était un malade mental, et dès qu'il s'apercut que la nouvelle petite amie de jiuu était la cause de son changement de personnalité, il devint fou de rage et, profitant d'une absence de son petit frêre, lui rendit visite au magasin. Lorsque Jiuu rentra, ce fut pour trouver l'amour de sa vie étendue dans un kimono à fleur, au mileu d'une flaque de sang sur le sol. avec ses dernièers forces, elle lui indiqua un coin parmit les fleurs, puis mourrut dans ses bras. Fou de douleur, Jiuu finit par trouver ce qu'elle voulait lui montrer: un fruit étrange, aux pouvoirs démoniaques. Comment cette frêle jeune fille à elle réussi à ne pas mourir sur le coup face à un assassin parmi les plus doués de l'organisation? comment s'était-elle trouvé en possession d'un fruit du démon? Peut-etre que Jiuu lui-même ne le sait pas. Toujours est il qu'il mangea ce fruit, et enterra sa compagne. le lendemain, le cadavre du 3° fut retrouvé avec une rose blanche sur son cadavre. Son sabre, "ciel de neige" avait disparu. depuis ce jour, Jiuu K. Nekomata ne donna plus de signe de vie à l'organisation. Les trois frêre régnants son en train de statuer sur son sort.
==fin du rapport de l'observateur 34 pour les archives de la famille Nekomata==
Rêve / But : en découvrir plus sur le passé de sa défunte femme
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| | | Masamune Date Contestataire
Profil Psy : Bon ou mauvais peu importe Nombre de messages : 949 Age : 35 Fruit du Démon : ISLAND SEA ! Mouhahaha !!!
[Feuille de personnage] • Renommée: 420 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: [Validée]ne le regardez pas dans les yeux! Dim 5 Avr 2009 - 23:33 | |
| Ravis de te revoir Jiuu ^^ On attends ton post RP ^^ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Validée]ne le regardez pas dans les yeux! Lun 6 Avr 2009 - 11:55 | |
| Post Rp:
Le soleil se levait sur Desert Island, et ses rayons mordorés donnaient au sable une couleur rouille, tant prisée par les rares habitants de ces lieux.
... L'île, comme son nom l'indiquait, était constituée d'un immense désert, asséché et assoiffé. Gigantesque disque de tôle brulante dont les seuls habitants portaient des écailles aux couleurs de feu, des reptiles qui ne dépassaient pas la taille du poing fermé du doyen du village. Parce qu’il y avait un village, bien entendu. Où plutôt une sorte d'excroissance de baraquements de bois et de briques, ne dépassant pas cinq mètres et qui semblaient menacer de s'effondrer si on aurait essayé de leur poser la moindre couche de peinture. Les habitants avaient respecté ce souhait, et le champ de ruine que l’on appelait « village » avait, pour toute décoration, des Lézards Rouges se dorant au soleil sur les toits. De toute façons, la moindre tentative de poser une couche de peinture était vouée à l’échec et à voir cette dernière s’écailler à vue d’œil avant d’être emportée par les vents brulants qui soufflaient par intermittence du désert. Jadis, cette île était vierge, un simple îlot sans intérêt au beau milieu de South Blue, mais la découverte de gisements de cuivre dans le désert avait finit par persuader les aventuriers avides d'or, les mains roses et la tête pleines de chimères de venir s'y poser dans l'espoir d'en exploiter les richesses. Les baraquements avaient donc poussés un peu partout, au gré de leurs habitants, une ville champignon, en quelque sorte, apparut comme par magie par un coup de baguette du destin. Ce chaos ambiant respectait cependant une seule règle : tout était construit autour de l'allée centrale, qui, d'un coté, donnait sur la mer, de l'autre, montrait alors de Désert, parcouru des points noirs qu'étaient les exploitations minières.
Tout un symbole... Mais le destin est d'humeur changeante, et, après avoir appâté suffisamment de fous sur cette gigantesque poêle à frire, décida de les récompenser en ne dévoilant plus aucun gisement sur toute sa surface. Les revenus devinrent maigres, et la travail plus dur encore. La ville fut alors désertée en l'espace de quelques mois. Des navires continuaient encore à y faire escale, arrivant quasi vides et repartant quasi pleins. Sans cesse battue par les vents du désert, chargé de sable couleur rouille, elle ne comptait plus guère que 35 habitants, tassés autour de l'allée centrale, dont l'extrémité qui donnait sur le désert s'ornait à présent d'une église flambante neuve. Les derniers habitants étaient des mineurs, des femmes de mineurs ou des enfants de mineurs, plus une vieille aubergiste acariâtre fumant de gros cigares et demandant de sa voix enrouée par le tabac à tout individu le temps qu'il faisait dehors, à croire qu'elle ne sortait jamais. Ceux-ci, déjà rendus à moitié fous par le dur climat de la région, avaient décidés que cette île était leur maison, mais aussi leur tombeau. Ils tombaient donc tous dans cette espèce de décrépitude qui caractérise ceux dont la fin vient, inéluctable, et qui ne font rien pour l’éviter. Mya, la vielle aubergiste était la seule femme que l’on pouvait encore qualifier d’être « vivant ». Copper town avait tout d'une ville fantôme. Un matin comme les autres, alors qu'elle voyait partir la famille Burns, ce qui ne laissait que trente habitants, un jeune homme était arrivé par le bateau de liaison et lui avait demandé une chambre. Elle ne sut pourquoi, mais l’homme en question se fondait presque dans le décor Malgré ses vêtements, il avait le même genre de regard que les autres habitants : celui qu’on les gens décapités. Cela faisait bien longtemps que personne n'en louait jamais plus, mais la vieille les entretenait toujours, comme un rituel donnant sens aux derniers moments de son existence. En tout cas l'Etranger lui en fut reconnaissant et déclara le lendemain avoir dormit comme un loir. La vieille apprécia le compliment et le convia à se rendre à la messe. Devant l'hésitation de l'Etranger, elle le regarda droit dans ses yeux, soutenant son regard.
"C'est sacré" lâcha-t-elle comme si cela coupait court à toute discussion.
Et cela coupa court à toute discussion.
...
Le soleil se levait sur Desert Island, et ses rayons mordorés donnaient au sable une couleur rouille, que Jiuu apprécia, mais il préféra tourner son regard vers la mer. Cette dernière contrastait avec le reste de l’île par sa couleur et la vie qu’elle dégageait. En tant que professionnel, il avait déjà commis plusieurs fautes graves: il avait loué une chambre dans une auberge sans la vérifier au préalable, dans une ville qui ne comptait que 35 habitants, autrement dire qu'il ne passerait pas inaperçu, et maintenant, il laissait son esprit se balader, au lieu de vérifier les différents endroits stratégiques pour une éventuelle fuite. Cela faisait une semaine que Jiuu était arrivé dans cette île, et bientôt un an que Maya était morte. Et on était dimanche. Jiuu n'avait jamais aimé les dimanches, Maya, elle aimait bien, c'était pour elle l'occasion de partir faire des achats, de se promener en sifflotant dans le port, admirer les vaisseaux plus grands les uns que les autres, et une multitude d'autres choses, sans beaucoup d'intérêt stratégique, et dans des lieux de plus en plus dangereux si ils étaient suivis. Lorsque Jiuu lui en avait fait la remarque, elle avait sourit, de son sourire si particulier, contagieux même, et lui avait demandé: "et alors? Il n'y a personne qui nous en veut, non? Autant vivre pleinement". Devant son visage souriant, il avait sentit le pourpre lui monter aux joues et avait sourit, lui aussi, comme ça, naturellement, alors qu'il ne savait pas comment faire. A l'époque, cette expérience l'avait beaucoup perturbé, s'était la première fois qu'il souriait spontanément. Jiuu sentit monter en lui le remords, les larmes et le besoin pressant de s'emparer d'une bouteille de lait. Il effectua un mouvement souple et vif du poignet, faisant jaillir de sa manche un fil qui alla s'entortiller autour de la bouteille située deux mètres derrière lui, autour du goulot. Une technique d'étranglement redoutable, qui ne laissait aucune chance à sa victime. Une chose que Maya lui aurait sûrement reprochée. "Nous sommes tous exceptionnels, mais il vaut mieux éviter de faire l'étalage de nos talents" lui aurait-elle sûrement dit en prenant une mimique réprobatrice, puis aurait sourit. Et lui aussi, sûrement. Cette fois, c'en était assez, Jiuu attira la bouteille à lui et en but trois gorgées d'affilée. Il se sentit alors tout drôle, une sensation étrange parcourait son corps tandis que son organisme réagissait à la présence de lactum. Ce n'était pas étrange, c'était juste comme si il se retrouvait en train de nager sur une mer de nuages. Son esprit devint subitement blanc et duveteux, il ne pouvait plus faire aucune réflexion. Puis la sensation partit aussi subitement qu’elle était venue, et Jiuu regarda l'église. De ses pensées précédentes, il ne lui restait que la vague idée qu'elles étaient assez tristes pour qu'il ait eu envie de les oublier... On était Dimanche, et Jiuu détestait les Dimanches. Il entendit la vieille Mya l'appeler. Les Dimanches, il faut aller à la messe, et la messe, c'est sacré.
La vieille aimait discuter de tout et de rien, comme ça, quand ça lui prenait. Elle seule ne le considérait pas comme une espèce de danger, être à part parmi les momies des mineurs du désert. Tandis qu'il devisait avec elle sur le chemin de l'église, il se surprit à se souvenir de l'origine de ses pertes de mémoires. Un homme portant un bandeau blanc, médecin formé dans l'usage de drogues accélératrices des fonctions du métabolisme, un bien grand mot, que Jiuu résumait souvent par "empoisonneur". L'empoisonneur racontait à son père, avec un visage à la fois grave et surexcité, quelque chose à propos d'une drogue qui, injectée, permettait une quasi "super-connaissance de son milieu immédiat", mais qui réagissait violemment avec la présence de lactum. Tout produit laitier provoquait une perte de ses repères, puis un chamboulement des neurones, faisant disparaitre la mémoire immédiate, puis de plus en plus ancienne au fur et à mesure que le "sujet " buvait du lait. Il était donc à exclure pour un assassin en période de croissance, le lait étant indispensable à l'organisme. De telles pensées n'avait rien fait à son père, qui avait tout de suite demandé à ce que ce produit soit administré à son 5° fils, le plus talentueux des sept...Voilà l’origine de cette perte de mémoire chronique. Ce désagrément avait un autre avantage : certains noient (difficilement) leurs problèmes dans l’alcool, Jiuu, lui, n’avait pas de risque de tomber ivre mort dans le caniveau en buvant du lait.
-"vous m'écoutez?"
La voix de Mya le ramena à la réalité. Ils étaient arrivés devant l'Eglise. Jiuu lui rendit une réponse pour la forme et la laissa entrer. Ils étaient en retard. Tout le monde était déjà assis, attendant la Prêtresse comme le Messie. Jiuu s'apprêta à entrer lorsque qu'un réflexe fugitif le fit se retourner, tous les sens en alerte. Personne, la rue était vide. Sur un toit, un lézard Rouge le regardait d'un œil torve. L'impression avait été soudaine, et était partie tout aussi soudainement, mais avait tendu l'esprit de Jiuu comme une lame de poignard. Ramenant son esprit à la réalité, il décida de rentrer dans l'Eglise, sans cesser de jeter de furtifs coups d'œil à droite et à gauche. De l'encens brûlait sur l'autel. Les murs étaient sales et les pauvres mosaïques déjà à moitié effacées par la poussière aux reflets de cuivres charriées par le vent du désert. La Prêtresse commençait son sermon, toujours aussi pénétrant pour les gens du village. Jiuu, lui, écoutait d’une oreille distraite, dans l'ombre de l'encadrement de la porte, il observait. La prêtresse avait un discours puissant, d'une voix de soprano, mais pour qui, comme lui, la regardait attentivement, un léger air de folie planait dans ses yeux. Après une entrée en la matière assez classique, elle annonça que la médiation du jour allait porter sur "l'ETRANGER". Jiuu eu de nouveau un mauvais pressentiment.
-"Oui, dit-elle, Vous savez de qui je veux parler! Je veux parler de celui qui se tient dans l'ombre, celui qui ne montre pas son visage, celui qui vous amène au péché! Quand vous jouez au bar, qui distribue les cartes?» et l'assistance répondit dans un murmure: "l'ETRANGER"." quand vous buvez plus que raison, qui vous tend la bouteille? L’ETRANGER. Quand vous vous escrimez dans la chair d'un autre corps, quand vous vous souillez de votre main solitaire, à qui vendez-vous votre âme? L'ETRANGER!"
Elle criait à présent, comme en transe, et l'assistance semblait y participer aussi. Jiuu n'avait jamais vu un tel effet de la religion: des hommes se jetaient à terre en implorant le pardon, des femmes se contorsionnaient sur leur chaises, faisant échapper de drôles de gémissement, tandis que la bave leur venait aux lèvres. Les enfants se tenaient la tête en pleurant. C'était la souffrance absolue. Même la vieille Mya semblait y prendre part. Pour Jiuu, la situation était pour le moins étrange, puisque lui ne sentait rien, mais cela lui rappela quelque chose, il ne savait plus quoi. Une femme tomba à terre, prise de convulsions, elle se marqua le visage des ses ongles, inscrivant dans sa chair des stigmates sanglantes. Et la prêtresse continuait sa psychose collective:
-"c'est lui qui reviendra, Le perverti, le diable, l'ETRANGER! Le roi cramoisi aux yeux de sang, qui viendra pour mener les hommes dans les entrailles embrasées de la perdition, dans les confins sanglants de la cruauté, tandis que la bile rongera les organes des enfants, que la matrice des femmes donnera naissance à des monstres, que les travaux des hommes serons noyés dans le sang. C'est lui qui viendra pour implanter la peste, la maladie et les insectes, se délectant de la mort et de la souffrance que procure la profanation. C'est lui, enfin, qui déposera son regard glacé sur les étendues désertiques, et qui emportera nos âmes dans les tourments éternels, tandis que tout ce que nous connaissons tombera dans l'oubli!"
Cette fois sa y est. Jiuu se souvenait. Les bougies! De la Cire Du Diable! Cette Cire laissait échapper une discrète fumée empoisonnée, qui provoquait des souffrances par vagues successives, toujours plus fortes. Dans l'espace exigüe de l'église, tout le monde en avait respiré une pleine bouffée. Ceux qui respiraient les vapeurs se trouvaient en proie à une souffrance sans fin. Ils étaient donc, de ce fait, instables mentalement, et pouvaient tout faire pour se guérir. Jiuu avait déjà accomplit une mission avec l'une de ces bougies. Les gardes du corps qui l'avaient respiré s'étaient tués mutuellement dans un moment de folie. Lui y était immunisé, mais pas ces gens! Et le discours de la prêtresse... Elle était folle, c'était sûr, mais là... elle allait attirer tout le monde dans sa folie! Elle le appelait à se battre! Soudain, tout devint clair dans sa tête. Un assassin de l'organisation lui avait refilé cette cire et la manipulait. Des hommes se roulaient à terre, se tenant le ventre, la prêtresse déclara que cela était la faute de l'ETRANGER, qui était arrivé dans cette ville, et que, si ils ne voulaient pas que leurs entrailles fondent dans le grand fourneau de l'Enfer, ils devaient le tuer.
Soudain, cette fille le regarda et, le pointant du doigt, s'écria:
-"C'EST LUI! LE DIABLE! L'INTRUS! L'ETRANGER! TUEZ-LE!" |
| | | Hyzaac Mataazar Nouveau
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| Sujet: Re: [Validée]ne le regardez pas dans les yeux! Lun 6 Avr 2009 - 17:34 | |
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