Genjô Shan

Sujet: Genjô Shan Lun 12 Oct 2009 - 21:35

~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~

Voir Génésis

~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~

Nom & Prénom : Genjô Shan

Pseudonyme : Kuja

Age :18 ans

Race : Humain

Occupation : gouvernement mondial

Rang Spécial : CP9

Physique

Grand homme svelte, Genjô est le fils d'une ancienne famille d'aristocrates, à par certains traits qui représente sa distinction sociale, c'est à dire ses longs cheveux gris/argentés, doux et fins, surement lavés avec précautions et beaucoup de rafinement. Ses habits d'une rare classe et étant brodés avec une rare délicatesse ont la faculté d'attirer la convoitise de la pluparts des gens de hauts rangs, connaissants le prix et l'importance qu'il faut avoir pour pouvoir porter de telles chef d'oeuvres.
D'un autre coté, tout le reste de sa personne est bizarre, sa voix, son apparence, sa mentalité, son passé, il n’y a pas une once de chose qui soit normal. D'un visage assez fin, sa peau est d'une grande douceur et d'une grande beauté, éclairé par les rayons du soleil depuis sa plus tendre enfance. Sur ce visage apparaît en chaque instants un sourire. Pourquoi un tel sourire? Peu de personnes n'en savent les raisons, sourire assassin, sourire dragueur, beaucoup sont ceux qui ont plié sous ce sourire, ce sourire quotidien, constant, rendant les gens fou! La raison d'un tel sourire est qu'importe le temps, qu'importe les difficultées, Genjô sait qu'il ne peu compter que sur lui et en est fièr, il sourit a regarder les gens demander l'aide de tierces personnes, la faille humaine le réjouis plainement.
Ses yeux représente le bleu de la mer, la force de vent et la profondeur du ciel, accompagnés de longs cils, ces derniers on déja permis à Genjô d'enflammer le coeur d'un grand nombre de demoiselles, les laissant se baigner dans ce bleu ci pur. Se balançant souvent devant eux, les cheveux de Shan ont la rare particuliarité d'être de couleur argentée, arrivant jusqu'aux cottes, ces longues trainées jouants avec le vent, ces milliers de lames volants telles des feuilles mortes représente toute la beauté intérieure de Genjô Shan.

Parlons plus précisément de ses vêtements, dont les couleurs prédominantes sont le mauve et le blanc. Au niveau du coup de notre ami, l’on peut voir une collerette mauve, protégeant le coup fragile de l’individu, puis tombant pour se joindre à une légère tunique. Cet ensemble étant en possession d’une très belle bordure d’orée se joint a merveille avec des épaulières en tissu léger, mais renforcée grâce à une légère plaque de métal. De longues manches cachent les bras de Genjô, celles-ci démarrant au niveau du coude pour aller jusqu’au poignet, de léger gants protègent le mains de leur maître, bien que celui-ci ne soit que très rarement salis. Aucune bague, aucun pendentif, aucun objet superflu n’est remarquable sur Genjô. Une ceinture et un léger pagne sont suffisant pour cacher le bassin du jeune homme, et laisse une partie de ses cuisses dégagées. De longues bottes montent combler l’espace laissé et arrive à mi-cuisse, de jolie bouclette en or viennent faire leur office sur les bottines mauves et leurs bouts pointus.

Spoiler:

Mental

Pour Genjô, la justice n’est qu’une pure invention de notre imagination, voir un pirate tuer de pauvre innocent pourrait paraître une certaine justice pour notre nouvel agent du CP9. Mais pourquoi fait-il partit de cette organisation me direz-vous ? Si il manque de tout sentiment de justice, pourquoi être dans le camp de la marine ? Excellente question, si vous lui demander directement il vous répondra : « Tout simplement pour exercer ma propre justice. » , mais vous n’aurez la qu’une façade installée pour encore une fois flatter un égo surdimensionné.
La simple vérité est qu’il n’a pas le choix, et ce voir, lui un être parfait, devoir obéir de telles manières ne lui donne que des mots d’estomac. On n’arrive donc jamais a savoir si il ment où dit la vérité, caractéristique pratique dans le niveaux social l’entourant, il est aisé de se faire passer pour n’importe qui et donc d’attirer les grâce de certaines personnes. Mais devant cet art de l’infiltration, beaucoup d’aristocrate ont perdu bien plus que de l’argent.

Seconde capacité de Genjô à énerver son monde, il n’est jamais en colère, rare sont les fois où l’on a vu son visage sans son sourire, jamais on ne l’a vu craindre quelque chose, le sens de la mort et de la peur ne font que le traverser, mais ne trouvent aucun port d’attache pour s’ancrer dans son être. Beaucoup de combat on eu lieu, beaucoup de victoire, mais même dans la défaite il gardait son sourire et prenais de plus en plus de plaisir a chaque coup. Serait-il sadomaso penseriez-vous ? Non, désolé, il ne fait pas parti de votre Fan Club, il aime juste peu de chose, et la chose qui le passionne le plus n’est rien d’autre que les combats, réglés selon les rîtes et coutume, les combats où à la fin il reste un vaincu et un vainqueur. Par contre, continuer de sourire et narguer son adversaire dans la bataille attire souvent la foudre des spectateurs. Serait-il sadique, oui, passionnément, à la folie et sens gènes.

Ses combats peuvent être discernés en deux méthodes bien différentes, la première partie ne dure jamais plus de dix minutes, Genjô bouge comme un danseur, évitant le plus de coup possible et essayant de mettre son adversaire au tapis par multiple coups de pied et enchainement. Il fait souvent ce passage en gardant les mains dans les poches, pour les protéger, car elles sont son arme principale dans la seconde partie. Quand l’adversaire est trop fort, ou tout simplement commence à se familiariser à la méthode de combat de Genjô, ce dernier sort enfin les mains de ses poches, et tel un animal, s’en sert pour couper, déchirer, trancher, il court a vitesse maximale le plus longtemps possible et tente d’abattre son adversaire avant qu’il puisse contre-attaquer. Le plus effrayant dans tout cela, c’est le rire de notre carnacier, il prend un malin plaisir à risquer sa vie a chaque instant, attend avec impatience les coups de son ennemi, il ne porte aucun intérêt à sa vie ni à celle des autres.

Le peu de chose qu’il déteste, c’est que l’on insulte sa famille, peu de personne l’on fait, et se sont retrouvées sous Terre peu de temps après. De plus, il ne faut pas non plus manquer de respect à son Credo devant lui, sa famille respecte depuis longtemps cette phrase :
« Ni femme, ni enfant. »

Il est clair que si vous frappez une femme où un enfant devant sa personne, tenez vous près à finir dans un pire état que votre victime. Genjô n’est pas marginal, c’est juste qu’il respecte des règles d’un ancien temps.

Fruit du démon : Neko Neko Yuki No Mie (modèle lion blanc)

Technique : (facultatif)

Sujet: Re: Genjô Shan Mar 13 Oct 2009 - 0:10

Juste avant que tu continues dans ta lancée, je te conseille de prendre contact avec Labrusca D. Anima, la chef du CP9, pour éviter de tromper dans ton histoire, et pour ne pas que tu entre en conflit avec l'histoire du CP9 sur ce forum. Envoie-lui un mp Wink

Sujet: Re: Genjô Shan Mer 14 Oct 2009 - 19:53

Histoire

Genjô est née dans une île de South Blue, île réservée a l’élite social de se monde , fréquentée par toute les riches familles, riches propriétaires et est sous la protection de la force gouvernementale. Cette île se nomme Paradizia, la ville originelle, on dit que les premiers pionniers de commerce s’ont parties de cette île. Enfin bref, passons, c’est en Eté qu’est né le garçon, le soleil le chauffait tendrement dans son berceau, pas de cris, pas de pleurs, dès la naissance, Genjô était d’un calme extraordinaire. La mère de ce petit était d’une beauté enchanteresse, quand elle le prenait dans ses bras, elle aimait lui chanter une petite chanson racontant l’histoire du monde, du ciel et de la mer. Son père s’appelait Marcus Gonshan, il était un ancien entrepreneur immobilier et avait fait fortune en peu de temps lors du crack boursier ayant toucher tout les îles lors de la mort du dernier seigneur des mer, Monkey.D Luffy. D’une imposante carrure, l’on devinerait aisément, en voyant l’apparence de Genjô de nos jours, qu’il a pris la silhouette fine de sa mère.

Ce milieu familial promettait à Genjô une bonne éducation, dans les règles de la monarchie et de la richesse, il aurait pu vivre une belle vie, être commerçant comme son père, mais le sort en a décidé autrement.

Dès l’âge de cinq ans, Genjô dû choisir la voie qu’il allait suivre , lui, ses quatre frères et sœurs ont tous dû passer par là. Ce jour là, il pleuvait des cordes sur la ville princière, comme tout les jours, Genjô se baladait dans le palais impérial, la où les forces du gouvernement protégeant la ville c’était installées, un palais fait de marbre, avec une allée centrale longue de cent mètres, où l’on pouvait voir des armes de toutes sortes accrochés aux murs.

C’est dans ce lieu austère que les enfants de la famille Gonshan devaient passer leur test. Dans une salle lugubre, un inspecteur de la marine venait faire une inspection physique, caractérielle de chaque enfant. Grand nombre de famille faisait faire cette inspection à leurs enfants, sachant que cela montrait encore une fois les différences sociales, et était bien vu par le gouvernement. Le silence régnait dans le couloir quand Genjô arriva et s’installa dans la file d’attente, l’inspecteur venait de faire rentrer un élément dans sa salle d’auscultation, l’examen était simple, porter un maximum de charge ( à cinq ans sa pèse pas lourd), test de vision, audition, prévision de la croissance de l’enfant, des test banals en somme.

Cette inspection n’avait que durer que dix minutes, l’inspecteur accompagna l’enfant à la porte et se plaça, près à recevoir le suivant, c’est à ce moment là qu’il aperçu, un groupe d’enfants allongés par terre, le sang coulant par leurs narines, debout devant ce spectacle, se tenait droit comme un piquet le fils Gonshan , Genjô, il s’était battu contre dix autres bambins pour une raison qui était encore inconnue. Fou de rage, l’inspecteur accompagna ce garnement jusqu’au forces militaires les plus proches, leur dit de le ramener chez lui et de tout dire à son père, et d’appeler des infirmiers, car les enfants ne c’étaient toujours pas relevés, ils n’avaient pas la fibre du combattant.

Par contre, une seule chose était sur, Genjô partait droit vers le peloton d’exécution, en effet, son père allait surement détester
que l’honneur de sa famille venait d’être mis a rude épreuve. Frapper des enfants d’autres familles nobles était l’une des pires actions pouvant être commise. Le jeune enfant marchait escorter de deux gardes, le menant chez lui, devant son père, malgré les remontrances qu’il allait subir, Genjô marchait la tête haute, toujours son sourire aux lèvres, il aimait lécher les gouttes de sang qui coulaient le long de sa joue. Il arriva devant la porte de sa propriété quand les gardes le lâchèrent pour aller parler à son père. La majorité des enfants dans cette situation auraient ressentis la peur, auraient eu envie de fuir, Genjô, lui resta impatient devant la grille, attendant le moment où son père pris de colère lui donnerai une correction digne de ce nom, le bagarreur savait qu’il avait fait le bon choix, que rien n’était à regretter. Avec cette idée en tête, il attendu jusqu’à que son père se mette devant lui, dans la froideur de la rue. Peut-être allait-il rester dans cette rue, banni de son foyer, se faire battre en guise de représailles, personne ne le savait.

Ce qu’il se passa était en dehors de toutes les prévisions de Genjô, comme prévu, Genjô se pris la plus grosse tarte de sa vie, mais peu après, son père mis sa main sur la tête de son fils, lui dit quand frappant les enfants des nobles, il avait décidé de sa voie, il serait un combattant. Et pour représenter la famille, il deviendra un combattant de tout premier ordre, rejoindra le gouvernement et montrera la puissance de la famille Gonshan. Dans le regard de Genjô, l’on pouvait voir une étincelle qu’on ne vit qu’une fois, il vu son avenir se jouer devant ses yeux.

Dès lors, l’entrainement commença, par mesure d’un planning chargé, Genjô apprenait à manier Sabres, Arcs, Arts martiaux tout en conservant une éducation de tout premier ordre, il ne suffit pas d’avoir des muscles pour se faire remarquer par le gouvernement. Ses entrainements principaux visaient à l’entrainer à protéger des personnes, par simples escortes où espionnages. En effet, ses parents avaient prévus le coup qu’en cas d’échec, leur fils leur serait toujours d’une grand aide, s’empressant de faire les grâces de leur chérubin aux grand dirigeants du gouvernement, cela suffit grandement. Après plusieurs test d’aptitude, ce fut a l’âge de neuf ans que Genjô fut envoyé dans un camp d’entrainement, dirigé par six grands maîtres dans l’art du meurtre.

Douze ans durant, Genjô subis un entrainement journalier de premier ordre, fortification des défenses, apprentissage des techniques de combat, les règles à respecter dans la communauté, respect des hauts gradés et collègues. Tout le système n’était qu’un immense règlement, cela faisait douze années que Genjô s’entrainait avec son maître, dont il ne connaissait rien ; son nom était Maître, son boulot, faire de lui un tueur. Il était l’un des Six Grands maîtres, sans doute le plus mystérieux, les seules phrases pouvant être interprétées d’un manière sympathique furent les menaces de morts à l’encontre de son jeune disciple.

La dernière année d’entrainement fut la plus terrible, en effet, comme tout homme de valeur de l’organisation qui avait recruter Genjô, il méritait un fruit maudit. Celui-ci se trouvait dans une boite en or, laisser sur le terrain d’entrainement par le maître. De couleur Grise, un fruit se trouvait à l’intérieur, la question ne se posait même pas, il fallait manger ce fruit, de goût amère, d’une apparence médiocre, aucun changement immédiat ne fut remarqué. Le seul indice laissé au fond du coffret était un mot du Maître, disant quand mangeant ce fruit, Genjô était enfin admis comme agent du Cipher Pole 9, plus couramment appelé CP9. Genjô avait enfin réussi à devenir un homme du gouvernement, pouvant enfin faire honneur à sa famille, qu’il devait d’oublier pour faire ce travail. Il était simple que ne pas changer de nom aurait pus causez des désagréments à ses jeunes frères et sœurs, étant de la famille d’un futur meurtrier, rien ne pouvait être simple.

Genjô arriva enfin à la fin de son entrainement, sachant manier son fruit du démon, il se sentait près à enfin mener sa vie de noble, à flatter toute demoiselle et à la protéger. Le fils prodigue faisait enfin son apparition, faites place à Genjô Shan, Fils de Marcus Gonshan.

[Fin]

Sujet: Re: Genjô Shan Jeu 15 Oct 2009 - 19:18

Post Rp

Vraiment nécessaire?

Sujet: Re: Genjô Shan Jeu 15 Oct 2009 - 19:32

Donc ! Non pas besoin de post rp' puisque c'est un DC ^^

Ensuite, rp' agréable à lire, le fruit n'est pas trop haut niveau, et l'entrée dans le Cp9 se fait via le chef, qui est une femme pour le moment Cool

Donc je te donne ta première validation =)

Sujet: Re: Genjô Shan Jeu 15 Oct 2009 - 20:56

Hop désolé du double post mais l'on vient de m'informer que le fruit demandé est déjà pris :/

Tu vas donc devoir changer désolé ^^'

Sujet: Re: Genjô Shan Jeu 15 Oct 2009 - 21:11

Post édité, j'ai changer mon Zoan léopard des neiges pour un Zoan du lion Blanc

Voili Voilou.

Sujet: Re: Genjô Shan Jeu 15 Oct 2009 - 22:28

Dès que tu seras validé en tant que CP9 tu sera attendu ici!

Sujet: Re: Genjô Shan Sam 17 Oct 2009 - 14:39

Petit up pour ma validation.

Cordialement,

Genjô

Sujet: Re: Genjô Shan Sam 17 Oct 2009 - 19:08

Un admin te donnera les couleurs et fera le nécessaire. Tu peux commencer ta FT déjà.

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