La prez' de Sei Denchi ! [Validé]

Sujet: La prez' de Sei Denchi ! [Validé] Sam 24 Oct 2009 - 17:32

Nom & Prenom :

Sei Denchi
(cherchez la traduction Japonais-Français ^^)

Pseudonyme : L’albinos

Age : 25ans

Race : Humain

Occupation : Pirate

Rang Spécial : Pirate Albinos ?

Métier : Bretteur

Physique :(5 lignes minimum )

Bon…commençons la description de ce personnage, pour le moins….compliqué ? Il ne pourrait pas être comme les autres celui-là ?! Eh non ! Encore raté ! Bref…commençons la description de cet homme pour le moins…anormal, même si dans le monde où il vit son anormalité ne choque personne puisqu’il passe inaperçus au milieu des nombreux monstres de foire qui existent de par le monde. Et lui ? Qu’a-t-il de particulier à part une belle gueule des dents trop bien rangés et un sourire a en faire tombé…peut-être pas les filles vu sa technique de drague…Cet homme est pourtant un humain comme les autres…non, pas comme les autres mais c’est bien un humain de sexe masculin, chromosomes XY, enfin je crois. Bon…si on continue comme ça on n’y arrivera jamais. Place à la vraie description :

Commençons par son visage, voulez-vous ? Ses traits ? Ses yeux ? Sa peau ? Son nez ? Ses lèvres ? Ses cheveux aussi ? Tout cela vous sera bientôt révéler très cher lecteur ! Puisque nous savons déjà que c’est un homme il doit bien avoir tout ce qui vient d’être énoncé sur son visage, n’est-ce pas ? Oui ! Evidemment ! Ce n’est pas non plus un cyclope ou un extraterrestre, faut pas pousser mémé dans les orties non plus ! C’est partit pour son visage dans ce cas :

Commençons son visage par ses yeux ! Eh oui ! Il a bien des yeux ! Comme je l’ai dis plus haut il n’est pas extraterrestre ni cyclope, sinon là il serait facilement reconnaissable et au lieu de faire sa présentation je me calmerais chez un psy ! Donc…ses yeux ! Euh…les yeux sont des boules qui sont dans les orbites, les yeux permettant de voir, la vue étant un des cinq sens. J’ai bon ? Bref…ses yeux ont une couleur peu commune ou dans ce cas il vit dans un monde de wallaby albinos, ce qui m’étonnerais, quoi que…Oui ! Car
ses yeux sont rouges ! Oui, vous savez le rouge c’est la couleur qui a la même teinte que le sang ! Si tu ne sais pas ce que c’est que du sang ne continue pas cette présentation tu vas être choqué !! Donc, savez-vous pourquoi il a des yeux rouges ? Non ? Je m’en doute c’est mon rôle que de vous l’expliquez ! Donc, les albinos n’ont pas de pigmentation, eh oui ! Et donc ce qui peut paraitre l’œil en lui-même n’est autre que le fond de l’orbite qui est rouge, mais maintenant la question fatidique est : et ce monsieur est albinos ? Bah non ! C’est juste un surnom qui lui a été donné pour son physique et ses yeux rouges sang. Maintenant que tu connais tout sur ses yeux qui ne sont pas ceux d’un wallaby albinos car sinon il porterait des lunettes de soleil, et qui ne sont pas ceux d’un extraterrestre psychopathe en manque de sang humain, ou encore un vampire qui aurait soif (ne donnez pas un verre d’eau à un vampire quand il a soif, conseil d’ami) dont le sang abreuverait ses yeux devenus pupilles écarlates (ne me demandez pas où je vais cherchés ça j’improvise) !

Continuons par son nez ! Eh oui, un nez pas un bec, ce n’est pas un pélican non plus ! Bref…soyons sérieux. Son nez est assez fin et lisse, il n'est ni gras ni laid bien au contraire il est assez élégant. Ses deux narines si fines, deux fentes perçant ce nez fin et lisse au petit bout pointu, ces narines ne se dilatent que rarement lorsqu'il prend de grandes inspirations. Dès que ces fentes se dilatent lors de grandes inspirations ces si fines fentes passent d’un infime trou à deux fentes bien net faisant penser à un néant.

Et sa bouche ? Ces deux morceaux de chaires rouges qui, si elle était mise sur un autre visage, pourrait paraitre très belle. D’ailleurs ce pirate en tire profit au maximum pour attirer les jeunes demoiselles recherchant la compagnie d’une nuit. Mais il
utilise plutôt cette petite bouche aux fines lèvres rougeoyante pour étirer des sourires rieurs ou marrants accentués par la lueur rougeoyante de ses yeux de feu. Ces sourires laissent parfois passer un rire sonore et gargantuesque qui fait souvent sourire les gens et passer la bonne humeur parmi eux. Il est un fin gourmet et adore goûter à de nouvelles recettes et s’en mettre plein la panse.

Comment sont ses oreilles ? Normale ! Étant seulement un peu étiré en arrière et un peu pointus elles n'en ont rien de fantaisistes comme les oreilles d'êtres sylvains racontées dans les comptes et histoire d'enfants où se bousculaient farfadets, elfes et gnomes en tout genre. La seule
chose qui n'est pas comme toutes les oreilles ce sont sûrement les deux anneaux d'ors suspendus à son oreille droite. Mais, malgré les apparences ses oreilles sont des plus utiles car Sei se fit beaucoup à son ouïe.

Passons maintenant à ses cheveux. Sa chevelure est une vaste étendue d'un blanc de neige. Oui, vous avez bien compris ! Ses cheveux sont anormalement blancs et cela n'est pas une teinture ni autre artifice ! Ses cheveux sont bel et bien naturels ! Comme pour ses yeux, ces caractéristiques ne sont pas héréditaires ! Et comme pour ses yeux il ne chercha jamais à comprendre le pourquoi du comment. N'étant pas très curieux. Et comment est-il coiffé ? Ses cheveux sont mi-longs, lui tombant en mèches ordonnés et droites le long de son visage pour finir au bas de son cou. D’ailleurs ce pirate à prit l’habitude de jouer avec les mèches de ses cheveux passant à porter de main. Ses cheveux sont l’une des autres caractéristiques faisant penser à un « albinos ».

Avant de passer à autre chose parlons de sa peau. Oui sa peau aussi est importante quand même ! Sa peau fait aussi partie de son surnom « l’albinos » qu’il s’est mit à apprécier. Je vais vous expliquez pourquoi sa peau est si étrange et pourquoi
les gens l’appellent « albinos » pour cela. Il a une peau anormalement pâle, trop pâle peut-être faisant penser à une dépigmentation de la peau le rendant presque blanc comme un linge, mais il n’a aucune maladie et est en bonne santé c’est ceci le plus étrange !

Bon...désormais nous pouvons passer au corps de cet homme pour le moins...troublant, n'est-ce pas ? Après une telle description au niveau de son visage, son corps doit bien vous interloquer, non ? A t-il quatre bras ? Ou bien six jambes ? Non, je vous
rassure il n'est pas extraterrestre et n'a pas de membres en trop. Puisque je vous en parle, autant le décrire, non ? Donc c'est partit :

Et ses bras ? Ses bras sont, à première vue, normaux tout comme ce qu'on aurait put dire de son buste. Mais ses bras ne sont pas musclés visiblement, même s'ils possèdent une puissante force destructrice, encore un détail étrange de ce corps. Malgré tous
ses efforts pour faire ressortir les muscles de ses bras, ceux-ci gardent leurs proportions initiales et ne changent que lorsqu'il contracte ses muscles au niveau des bras, formant une boule d'une incroyable dureté au niveau de l'avant bras. Continuons le long de ses bras pour arriver à ses mains. Une paume aux lignes se croisant les unes et les autres en des signes étranges. Longeant cette main aux marques de cicatrices multiples se croisant avec les lignes de la peau, on découvre ses doigts, longs et fins, lisses et beaux. Aussi beau que des doigts peuvent l'être malgré les marques de griffures et autres petite marques rouges de cicatrices les marquant. Au bout de ces doigts, cinq ongles pointus sur chaque main, dépassant d'un quart de pouce des doigts, assez acérés pour déchirés et griffés efficacement.

Après les bras, passons aux jambes. Même s'il n'y a pas grand chose à dire sur ces membres-ci, étant encore moins visibles que les bras de ce pirate car cachés sous des vêtements. Ses jambes ne sont pas bien grandes, il n'est bien sûr pas petit car il fait tout de même un mètre quatre vingt, ce qui est quand même une bonne taille pour un jeune homme de vingt ans. Ses pieds ? Autant en parler puisque nous parlons de ses jambes. Ses pieds ont une pointure de quarante deux, de grands pieds quand même, sans être un géant. Quand à ses jambes elles sont musclés et rapides, d'ailleurs la plupart des mouvements de cet homme sont rapide, étant son principal atout, sa rapidité est impressionnante.

Passons maintenant à ses vêtements ! Les vêtements ? Très important ! Si on ne décrit pas ses habits on pourrait penser qu'il se trimballe nu sur les mers ! Ce qui serait assez amusant à première vue sûrement. Bref...commençons cette description :

Commençons par le haut de ce corps d’athlète : Il porte une chemise d'un noir profond (comme sûrement la plupart des chemises noirs mais bon...) avec rien en dessous, préférant souvent ouvrir cette chemise pour sentir le vent frais caresser son torse et dévoilant au passage ses abdominaux et ses pectoraux très bien dessinés, aimant bien ouvrir cette chemise surtout quand il voit une jolie fille pour l'impressionner. Continuons par le bas de ses vêtements: Il possède un pantalon blanc assez ample pouvant peut-être faire penser aux pantalons des bouffons qui tentaient de faire rire leurs rois, mais en beaucoup plus classe tout de même. Sur le côté de son pantalon un long tissus noir faisant penser au bas d'une tunique pend là se gonflant tel une voile de navire dès qu'une puissante brise passe. Au cou de Sei une écharpe trône, enroulée non pour l'empêcher d'attraper froid, mais pour...rien à vrai dire, c'est un style comme un autre, non ? Cette écharpe est blanche et à l'air d'être faite en écailles, peut-être des écailles de dragon qui sait ? Finissons par les pieds de ce pirate, même si il n'y a rien à dire sachant qu'il n'a aucune chaussure ni rien...il marche pied nu et n'a que faire des cailloux qui lui rappe les pieds !

Sujet: Re: La prez' de Sei Denchi ! [Validé] Sam 24 Oct 2009 - 17:56

Caractère & morale :
(5 lignes minimum )

Désormais parlons du caractère de cet homme, marrant ? A vous de lire ! Ici tout vous sera révélé sur son caractère, ce qu’il aime, ce qu’il déteste, ceux qu’il aime, ceux qu’il déteste, ce qu’il aime faire etc…vous saurez comment il est intérieurement et ce qu’il aime faire, en gros…c’est comme si vous étiez un psy, et je serais votre patient :

Commençons si vous le voulez bien (vous n’avez pas le choix de toute façon) par les sept péchés capitaux, vous me direz pourquoi, n’est-ce pas ? Eh bien…parce que ! C’est une manière comme une autre de commencer une description psychologique après tout, non ? Bon c’est partit pour ces péchés :

Débutons les péchés capitaux par la Gourmandise (Gula/Gluttony). Ce pirate est-il gourmant ? Que ce soit au sens moderne comme la gloutonnerie, et à d’autres sens. Donc…oui en effet, Sei peut-être considéré comme étant un gros gourmant, ou un gros goinfre aussi ! Aimant mangé toute la bonne cuisine il a quand même un bon palais et ne supporte pas les mauvaises nourritures, il a comme développé une allergie aigue à la nourriture trop cuite ou trop fade, il dit même qu’il aimerait goûter à toutes les cuisines de toutes les régions du monde, c’est une des raisons qui le fait parcourir les mers. Ses nourritures préférées sont sans aucun doute la viande et les pâtisseries ! Quand à l’alcool il préfère les boissons fortes comme le rhum ou le whisky, mais heureusement il tient très bien l’alcool car sinon il devient un peu trop honnête et dit ses quatre vérités au premier venus, que ce soit sur son physique, ce qui quelquefois assez méchant, comme pour son comportement ou son caractère, ce qui blesse très souvent les gens. Heureusement qu’il tient l’alcool quand même !

Continuons avec la Paresse (Acedia). Est-il paresseux ? Non ! Dormir c’est pas trop son truc, il préfère être dans le feu de l’action et bougé en permanence, quand il s’amuse il est increvable et c’est pareil quand il se bat, allant au bout de ses idées comme
au bout de sa santé. A ce demandé même s’il ne prend pas de l’adrénaline au petit déjeuné, ce qui ne serait sûrement pas très étonnant venant de lui. La paresse ne fait pas partit de ses habitudes, évidemment il dort bien assez et il ne se surmène pas, mais il est plus sur-actif qu’autre chose.

L’orgueil (Surberbia). Ce pirate est-il orgueilleux ? Peut-être, peut-être pas ! Non ! Il ne l’est pas du tout ! Enfin, presque, quand il tente de draguer une fille il devient un vantard né ! Dans ces moments là, plus vantards que lui tu meurs. Mais sinon il ne l’est pas du tout avec ses compagnons, il est plus qu’honnête avec eux et ne se vante pas de ses aventures, il préfère plutôt les racontés comme des histoires que l’on raconterait à des enfants, êtres qu’il adore d’ailleurs, de si petits hommes si mignons et marrant avec leur petite bouille de bambin, après ça dépend de l’âge, il ne peut pas blairer les adolescents boutonneux qui se la pètent à essayé de donner le change en
s’entrainant au maniement des armes pour devenir « de bons petits soldats ». Comme quoi plus c’est petit, plus c’est mignon et plus c’est grand, plus c’est con !

Et la colère ?ça donne quoi avec lui ? Il n’est pas du tout coléreux et il s’énerve rarement. Si ce pirate s’énerve c’est qu’il doit y avoir une bonne, voir une très bonne raison pour qu’il se mette dans ces états là ! Il n’est pas du genre à gueuler sur tout le monde, mais plutôt du genre « peace and love » et à sourire au monde, même s’il tue. Il ne haït personne en particulier, malgré toutes les tortures qu’il eut subit par le gouvernement, tout ce qu’il recherche c’est une vie paisible dans la joie et la rigolade, à boire comme des trous avec des compagnons tous plus sympathiques les uns que les autres.

Pas non plus besoin de faire tous les péchés capitaux ! En faisant un bref récapitulatif on peut dire qu’il est gourmand, voir un vrai goinfre, sur-actif donc pas paresseux, orgueilleux pour draguer mais autrement non et pacifiste donc loin d’être
coléreux. Pour les derniers péchés capitaux on peut dire : La Luxure c’est son truc car il adore les femmes et le désir qu’il éprouve pour elles est très fort même si loin d’être aveugle et prêt à tout faire pour l’une d’elle, il préfère garder sa liberté. Il n’est pas du tout avare, il aime l’argent mais pas au point de le garder pour lui et de ne pas en faire profiter les autres, il serait prêt à donner tout son argent à ses compagnons si ceux-ci comptent vraiment pour lui. Quand à l’envie, il n’est pas un voleur et n’est pas envieux de volé les biens d’autrui tant que cela n’en vaut pas la peine !

Continuons par deux sentiments qui s’opposent mais qui pourtant se ressemblent et s’attirent ! Vous l’aurez peut-être compris, je parle de L’amour et de la Haine ! Ces deux sentiments, l’un pur et l’autre sombre pouvant mener au meurtre et à d’autres choses toutes aussi sombres que froides. Peut-être que grâce à ces sentiments vous connaitrez un peu mieux ce personnage ? Peut-être bien, oui !

L’amour. L’amour, toujours l’amour, un sentiment si fort a-t-il déjà été éprouvé envers une quelconque personne pour cet homme ? Derrière ce rire et cette joie se cache un ancien amour, désormais perdu. En effet Sei aura aimé une femme, si belle que
même les milliards d’étoiles et de planètes s’éparpillant dans le ciel ne pouvaient égaler la beauté du regard de cette femme. En effet il l’aimait plus que tout, mais ce sentiment fut perdu un jour (voir histoire), mais grâce au dernier souhait son aimée il devint un être de joie et d’amusement, ce qui pourtant lui valut la prison.

Et la Haine ? Non ! Il aurait put éprouver un tel sentiment si son aimée ne lui avait pas soufflée quelques paroles lui indiquant la voie qu’il devrait suivre : celle de la joie, de l’amusement et de la vie ! Il sourit à la vie et a à tout jamais chassé la partie noir de son être, il serait capable de pardonner à quasiment n’importe qui de quasiment n’importe quoi !

Et les autres sentiments tels que l’amitié par exemple ? Il est très amical avec ceux qui le sont avec lui et qui ne l’envoi pas paitre. En effet côté amitié il est considéré comme quelqu’un de gentil qui accepte tout le monde malgré leurs défauts physiques ou mentaux, ou les deux, mais il ne supporte pas les gens ayant un mauvais caractère, ce qui est tout de même compréhensible.

Passons maintenant à une autre partie de cette description : L’idéologie ou plutôt ses buts selon les gens. Ce pirate a-t-il des buts particuliers ? Ou bien parcourt-il les mers pour rien ? Ce serait étonnant ! Un pirate sans but est comme un pingouin sans banquise ou sans glace. Continuons donc avec le but de cet homme : C’est assez simple à vrai dire, il ne cherche pas vraiment d’objet surpuissant ou autres conneries de pirates en quête de pouvoir, tout ce qu’il cherche est une réponse, un sens à sa vie, cette vie qui le fit souffrir tout le temps, commençant par la mort de proches, puis un amour perdu pour finir emprisonné dans une prison où il fut torturé et enfin condamné à mort. Trouver une réponse ? Mais à quelle question ? La question de la vie, pourquoi ? Il n’en sait rien lui-même, ce n’est pas une quête divine ni un autre truc religieux, mais tout simplement une réponse qu’il recherche pour lui-même, c’est pour cela qu’il choisit la voie du pirate, pour être libre de parcourir les mers et de trouver cette réponse qu’il tient tant à trouver.

Ainsi il est et ainsi il restera !

Fruit du Démon :

Dokuta Dokuta No Mie :

Permet dans une zone
délimitée de découper les êtres vivants tout en les gardant en vie et
d'intervertir à sa guise les positions des choses découpées dans cette zone!

Techniques Spéciales :

A faire quand je serais validé ^^

A voir plus tard.

Sujet: Re: La prez' de Sei Denchi ! [Validé] Sam 24 Oct 2009 - 18:15

Histoire :

Soufflant….soufflant dans les airs et poussant les nuages, le vent était puissant et particulièrement ce jour là, la nuit était fraiche et la lune, pleine. La lueur de cet orbe blanc illuminant les nuages noirs menaçant se déplaçant à une vitesse folle par le vent qui ne s’arrêtait pas de souffler comme si une tempête était prête à tombée sur l’île. Puis ce fut ce qu’il se passa, le vent forcit et il commença
par le versant sud de l’île, là où se trouvait une forêt luxuriante d’un vert sombre par la nuit qui s’affichait là. Le vent commença à pénétrer sur le territoire de l’île, entraînant les vagues déjà influencés par la lune dans un ballet infernal de fracas permanents contre la roche dure de la rive, l’élément omniprésent continua son chemin en passant de l’eau à la plage où le sable vola tel une de ces tempêtes qui étaient courantes dans les pays faits de déserts, le sable volait en tout sens dans une danse macabre dans cette nuit éclairée par l’astre lunaire. Frrr….les bruissements des feuilles de la forêt, le vent frappa la verdure de la flore luxuriante, faisant fuir au passage la faune qui s’enfuyait rapidement et silencieusement, au loin on entendait le flux et reflux des vagues toutes plus grosses que les autres qui s’écrasaient contre la plage et ses roches dures. Les feuilles frémirent et un grand nombre d’entre elles tombèrent sur le chemin de la bourrasque qui ne s’arrêtait pas de grandir et de gagner en vitesse, puis le vent trouva la sortie, au loin la lumière grandissait tel un tunnel de lumière. Et le vent déboucha dans une grande crevasse, et l’air chuta pour s’écraser rapidement sur ce qui se trouvait là, un village abrité habituellement du vent par la crevasse et la forêt allait se prendre une grande bourrasque en pleine face.

Dans une maison du village les médecins étaient affairés au lit d’une femme à essayé de la faire accouché sans trop de dommages, mais apparemment le nouveau né ne voulait pas sortir, se trouvant sûrement mieux au chaud que dans une maison d’un village en pleine tempête glacée un soir de pleine lune. Mais il finit par sortir, un tout petit être aux yeux tout rouge, chose normale pour un petit garçon venant de naître, mais les médecins ne se doutaient pas des drames qui allaient suivre ce jour heureux où Sei Denchi naquit !

Dix ans avaient passés depuis, encore une fois les médecins s’affairaient autour d’un lit, mais cette
fois-ci ce n’était pas celui d’une femme, mais celui d’un petit garçon de dix ans qui n’avait aucun problème de maladie sauf peut-être ses yeux étrangement d’un rouge sang et ses cheveux blancs qui activaient la curiosité des médecins plus que de les inquiétés. Mais pourtant ce garçon n’était jamais malade et était en très bonne santé, en parfaite santé même, il mangeait bien, il ne boudait pas, il avait des amis avec qui joué, il était heureux dans son petit village ! Et puis il y avait de quoi faire dans le village, ils s’affairaient tout le temps aux champs à travailler le soir ou le matin ou bien à travailler à l’école où il récoltait de bonnes notes. En plus de ça ses parents étaient fiers d’avoir mis un petit homme pareil au monde, eux n’étaient pas honteux de le voir s’amuser et d’avoir laissé vivre un être si…étrange ! Certaines mères, en le voyant joué avec leur fils ou fille, disaient à leurs enfants d’allés se trouvé d’autres amis car d’après eux il était soit « une mauvaise fréquentation » ou soit « une personne pas comme « nous » ». Les autres personnes l’évitaient et il récoltait quelquefois des insultes du genre « démon » ou « monstre », encore des dires infondés qui ne faisaient rien à l’enfant mais qui embêtaient les parents. Mais qu’avaient-ils tous à le fuir ? Les enfants eux voyaient la vérité en face : cet enfant n’étais pas comme eux, mais il savait où jouer et quand on le connaissait bien il était beaucoup moins mystérieux, il s’ouvrait et il devenait amusant et sympathique, un vrai petit « ange » au contraire d’être un « démon ». Mais malgré cela les femmes ne laissaient jamais jouer leurs fils avec lui quand elles étaient là à les surveillés, de « vieilles connes » d’après la mère de Sei qui tous les soirs, tardivement, s’enfermait avec le père dans leur chambre pour pousser des cris qui inquiétaient le fils avant que cela ne s’arrête une vingtaine de minutes plus tard, mais le plus étrange c’est qu’ils ne se battaient pas car au levé aucun des deux n’avaient de cicatrices ou de blessures. La vie d’un enfant de dix ans était bien peu intéressante, mais ce n’était que le début !

Quinze ans, quinze bougies ! Le souffle de l’adolescent éteignit les quinze flammes dansantes au-dessus du gâteau à la vanille et à la crème. Tous ses amis l’acclamait et lui donnait une tape dans le dos ou lui serrait la main avant de lui tendre leurs paquet où se trouvaient leurs cadeaux. Cadeaux que Sei ne désirait pas trop, il leur avait dit de garder leur argent pour eux car il ne voulait pas profiter de la richesse des autres. Il arracha l’emballage et découvrit un petit coffret, un étrange coffret assez grand où se trouvait quelque chose d’assez gros. Il prit bien son temps pour l’ouvrir et il finit par découvrir l’objet se trouvant à l’intérieur. Et là, il découvrit un fruit, mais pas un fruit ordinaire, un fruit étrange aux motifs étranges et aux couleurs étranges, tout était étrange dans ce fruit ! Il fut comme hypnotisé par ce fruit. Mais quand il leva les yeux du fruit pour poser une question à son ami il ne vit plus personne, il n’y avait plus personne autour de lui, rien que lui, même pas ses parents qui quelques secondes plus tôt l’avait applaudit et embrassé sur les deux joues. Il fut interloqué, mais il fut encore plus surprit quand il baissa les yeux vers ses mains où il n’y avait plus le coffret, plus rien. Mais avant qu’il n’ait eut le temps de se poser des questions il avait regardé son corps recouvert de la couverture de cotons entourant ses jambes, il se trouvait là, dans sa chambre, à moitié nu dans son lit. Tout cela n’avait été qu’un rêve, un rêve pour le moins étrange. Il se leva et se vêtit pour sortir de sa chambre et entamé la journée où il allait avoir sa quinzième année.

Après ses cinq heures de cours quotidiennes il sortit enfin de l’école, rentrant chez lui il affichait une mine triste, depuis désormais cinq ans il n’avait plus d’amis, à cause de ces pourritures de mères soit disant protectrices qui incitaient leurs enfants à ne pas l’approcher car sinon ils attraperaient des maladies et qu’ils finiraient par mourir comme le soit disant « monstre » qu’il était. Il n’était qu’un humain ! Un adolescent comme les autres ! Seul le physique était inhabituel chez lui ! Mais pourquoi jugé sur le physique quand on ne connait rien de la personne ? Il en avait marre de ces personnes si énervantes qui ne jugeaient les amis que leurs enfants devaient avoir que par leur apparence, ces mères qui disaient à leurs enfants des trucs du genre : « tu ne devrais pas traîner avec ce petit garnement, il va mal tourner j’en suis sure » ou autres conneries. Désormais il était rejeté par tout le monde, mangeant chez lui à l’école et étant pour la plupart
du temps seul, il préférait s’amuser à faire du sport ou à s’entrainer à l’escrime avec des bouts de bois, arts que son père appréciait le voir faire car il le trouvait « élégant » quand il dansait avec ses bâtons taillés tels des sabres. Puis, repensant à la journée qui se présentait il
accéléra le rythme pour rentrer plus rapidement chez lui. Après tout on n’avait pas quinze tous les jours !

Arrivant à sa maison il souriait béat, pénétrant dans la demeure il ne fut pas surprit d’être seul, tous les soirs étaient ainsi, ses parents, n’étant pas riches, travaillaient durs et tard jusqu’à la tombée du jour et le levé de la nuit. Tous les soirs étaient ainsi, il mangeait seul, faisait ses devoirs seul et faisait ce qu’il voulait jusqu’à ce que ses parents rentrent. La plupart du temps ses parents
rentraient tellement tard qu’il n’avait pas le temps de les voir et qu’il s’endormait avant qu’ils ne rentrent. Aujourd’hui il allait essayer de rester
éveillé, enfin il essaierait.

Après avoir finit tout ce qu’il avait à faire il se mit dans un fauteuil où il attendit ses parents, la journée avait été
éprouvante et il avait sommeil. Les moqueries désormais quotidiennes de ses camarades de classe et de ses professeurs à son égard le fatiguait physiquement comme moralement. Il avait beau être l’élève le plus brillant de la classe les professeurs ne l’appréciait pas, ils le détestaient même, comme si chaque être humain avait besoin de haïr quelque chose ou quelqu’un, et cette personne dans ce village c’était lui. Il attendait et attendait encore la venue de ses parents, mais rien ne vint, ses yeux quand à eux protestaient et commençaient à se fermer d’eux-mêmes. Puis le noir tomba et il sombra dans un sommeil profond. Très profond !

Rien ne le réveilla pendant un certain temps, c’est comme s’il restait à moitié éveillé, mais qu’il n’arrivait pas à se réveiller, le coulissement de la porte atteint ses oreilles annonçant ainsi la venue de ses parents, mais ses paupières restaient closes et ses lèvres, muettes. Les paroles de ses parents arrivaient jusqu’à ses oreilles, mais il n’en comprenait pas le sens. Il sentit des mains le porter jusqu’à sa chambre et il sentit les draps et la couverture de cotons effleurer sa peau, mais il ne se réveillait pas, il le voulait, mais ne le pouvait pas.

Quelques minutes passèrent, ou peut-être bien des heures, qui sait ? Il ne le savait pas lui-même. Une certaines animation avait lieu dans la pièce d’à côté, mais il ne pouvait toujours pas se réveiller. Ses yeux commençaient à frémir, ses paupières à bouger, et ses lèvres à remuer. D’un coup tout ces membres de son corps se mirent à s’éveiller, ses yeux s’ouvrir et sa bouche bailla. Il posa
pied à terre, et regarda la lumière provenant du salon depuis la porte fermée. Ses parents n’étaient pas seuls, des gens du village peut-être ? Mais pourquoi ? Il s’était lever et tendait sa main vers la poignée quand un coup de feu retentit, puis un deuxième. Sa main s’immobilisa et il entendit un bruit sourd comme une personne qui tomberait, mais deux fois. Les gens de l’autre côté de la porte s’affolaient apparemment. Il ne pouvait plus se retenir désormais, il attrapa la poignée et la tourna pour ouvrir la porte, la porte coulissa laissant au jeune adolescent la vue sur le salon. Face à lui se trouvaient cinq hommes tous vêtus de noir mais parfaitement visibles de visage et reconnaissable, leurs yeux étaient braqués sur lui, et un des hommes tenait un revolver encore fumant. Ses yeux s’écarquillèrent et une larme perla, il venait de comprendre ce qu’il s’était passé avant de baissé les yeux. A ses pieds se trouvaient deux corps qui eux étaient parfaitement reconnaissables, les yeux encore ouverts, son père le regardait de ses yeux vides de toute émotion, et sa mère avait les yeux fermés. Il tomba à genoux et entendit les hommes du village qui partaient en courant, il voulut les suivre, mais ses jambes l’avait lâché et il ne pouvait plus se relever. Il poussa un gémissement étouffé par les larmes qui s’engouffraient dans sa bouche, un gout salé. Il s’effondra et pleura pendant un temps indéfini.

Il courrait, évitant toutes personnes susceptibles de lui parler, chose qui n’arrivait déjà jamais. Repoussant la broussaille et tout ce qui lui barrait la route. Il s’érafla les mains à prendre le chemin le plus difficile d’accès : la « muraille » comme il l’appelait, le grand mur de roche naturelle qui les protégeaient du vent, où une forêt verdoyante avait bâtit son nid en ses hauteurs. Il saignait des paumes quand il atteignit la forêt où il ne cessa de courir sans savoir où il allait, les branches lui fouettait le visage et il faisait encore nuit noire autour de lui, l’air frais de la nuit soufflait son visage trempé de sueur et de larmes qui ne cessaient de coulés. Il n’acceptait pas le fait que ses parents soient morts. Surtout que c’était des personnes du village qui les avaient tués, mais pourquoi ? Leur haine pour lui allait-elle si loin que ça ? Voulaient-ils tués le « monstre » qu’il était ? Que s’était-il passé ? Il pleurait et ne s’arrêtait pas de courir sans regarder où il allait, ses yeux étaient encore plus rouge qu’à leur habitude et sa vision était brouillée par les larmes qui lui gênait la vue. Puis son pied droit rencontra une racine qui le propulsa face contre terre où il tomba dans les pommes.

Il cracha, du sang ? De la salive ? Il n’en savait rien. La forêt avait reprit des couleurs, apparemment le jour était revenu. Combien de temps avait-il dormi ? Il n’en savait rien et il s’en fichait. Ses parents étaient morts et plus rien n’avait plus d’importance pour lui. Tout ce qu’il aimait dans sa vie avait désormais disparut et ce pour toujours. Il erra dans cette forêt qu’il avait souvent côtoyé, tous ses membres lui faisait mal, ses bras avaient été éraflés par les branches des arbres et des cailloux lui avait lacé les jambes pendant le nuit, quand à ses mains elles étaient rouges du sang de la veille lorsqu’il avait grimpé la falaise de roche.

Cela faisait désormais deux heures qu’il marchait sans but dans cette forêt, il ne voulait pas revenir
au village de peur de devenir un vrai monstre en vengeant ses parents. Il les haïssait, mais il n’était pas comme eux, il ne tuait pas par vengeance et il ne le ferait pas. Surtout que lui avait une raison pour les tués alors que les assassins de ses parents eux, n’en avaient pas. Il marcha et d’un coup, l’instinct sûrement, il tourna et continua tout droit, l’instinct de Sei l’avait souvent sauvé des pires situations et il s’y fiait plus qu’à quiconque. Une étrange lumière, plus puissante que les autres l’entourant, se trouvait à une centaine de mètres devant lui. Ses pas s’accélérèrent et il pénétra dans une clairière où ne se trouvait qu’un petit arbre, aussi grand qu’un pommier. La clairière était éclairée par le soleil, c’était une clairière d’environs cinquante mètres carrés où se trouvait en son milieu un seul et unique arbre qui ne prenait pas beaucoup de place. S’approchant de l’arbre mystérieux il aperçut une sorte de fruit, un seul et unique fruit, c’était plutôt étrange car un arbre fruitier possède souvent plusieurs fruits, surtout en cette période ! Mais là il n’y avait qu’un fruit, ce fruit plutôt ! En effet, il avait déjà vu ce fruit, c’était le fruit de ses rêves ! Exactement le même ! Enfin il pensait, mais il en était quasiment sûr. Il s’approcha un peu plus de l’arbre, assez pour tendre sa main vers le fruit bizarroïde et l’attraper. Puis il se laissa glisser le long de l’arbre lui aussi étrange et il plongea son regard dans le fruit de couleur bleu turquoise, plutôt étrange pour un fruit. Etait-il comestible au moins ? Il l’espérait, mais après tout, qu’avait-il à perdre désormais ? S’il mourrait a cause de ce fruit il rejoindrait ses parents, sinon il continuerait sa vie et quitterait cette île après avoir joué un mauvais tour aux habitants du village, pas les tués, mais les faire payés leurs fautes et leur haine, c’était à son tour de se vengé. Puis ses dents croquèrent le fruit, un goût acide, très acide même monta à sa bouche et il voulut tout recracher, mais il ne pouvait pas car il avait
faim et que en ce fruit reposait son destin : la vie ou la mort ? Il croqua de nouveau le fruit et il le finit entièrement avant de fermer les yeux
pour s’endormir. S’il ne se réveillait pas c’était qu’il serait mort, dans l’autre cas il serait en vie et il retournerait au village pour récupérer ses affaires et partir d’ici.

Un cri, ou un croassement, sûrement pas un cri d’ange venant du paradis en tout cas, donc il était en vie ? Et merde ! Bon…tant pis ! Le jeune homme ouvrit les yeux, il battit des paupières et bailla, combien de temps avait-il dormit ? Longtemps sûrement car le soleil avait apparemment fait tout un tour, car le soleil ne recule jamais en une journée, mais là il était bien plus bas que
quand il s’était endormit. Il devait être dix heures et il était en pleine forme, il sentait une nouvelle force en lui, une étrange force, peut-être
était-ce dû au fruit qu’il avait ingurgité ? Peut-être en effet. Il se leva et s’étira, il allait mieux déjà, il était toujours triste, mais puisqu’il n’était pas mort il ne devrait pas se morfondre pendant trop de temps sur son sort, il allait se venger et ses parents n’auraient pas voulus qu’il soit
triste s’ils devaient le quitté plus tôt que prévu. Il se décida donc à se diriger vers le village.

Du haut du ravin il observait l’animation qui avait lieu au village. Les gens avaient eus le temps d’apprendre la mort des parents de Sei et du monde entouraient la maison, n’osant, pour la plupart, pas entrer. Il avait l’intention de rentrer chez lui, de récupérer des affaires et de piquer un bateau pour partir autre part qu’ici. Il ne perdit pas de temps et dévala la falaise par une voie facile d’accès lui permettant de descendre sans encombre. Accédant rapidement à l’arrière sa maison il y pénétra par une fenêtre restée ouverte. Personne ne se trouvait dans la demeure et il entra dans sa chambre silencieusement, rien n’avait été déplacé et il prit un sac et y rangea des vêtements. Prenant un deuxième sac il passa dans le salon où les corps de ses parents avaient été enlevés et prit de la nourriture en grand nombre, mais quelque chose attira son regard. Plus loin, sous un des fauteuils, se trouvait quelque chose de rouge. Il se baissa et attrapa l’objet. Il le mit face à lui et une larme perla, il l’essuya aussitôt et mit les deux sacs sur son dos avant de mettre le sabre à sa ceinture. Il
sortit la lame de l’écrin noir et rouge et il vit que la garde était faite d’un tissu doux et de cuir noir, ce sabre était d’une grande beauté et il ne savait pas comment ses parents se l’étaient procurés. La lame était d’un gris resplendissant, tout était beau dans cette arme ! Il se précipita dehors et se retrouva face aux villageois qui se turent, le fixant, vu leurs expressions de peur ils ne devaient sûrement pas savoir que c’était cinq des leurs les assassins de ses parents et ils devaient sûrement penser que c’était lui l’auteur de ce double meurtre. Il ne perdit pas une seconde et détala, attrapant au passage une lanterne, il la fracassa contre le mur de sa propre maison où naquit une flamme, il voulait effacer toute trace de sa vie passée. Il répéta cet acte sur dix autre maisons qui prirent rapidement feu, occupant ainsi les villageois, c’était ainsi qu’il se vengeait de la mort de ses parents ! Il se dirigea vers le port où personne ne se trouvait, il sauta dans un petit voilier dont il coupa la corde de son sabre tout neuf le détachant ainsi du port. Il quittait l’île où la lueur des feux grandissait à perte de vue.

Les années passèrent et de nombreux évènements se bousculèrent dans la vie du pirate. Pendant quatre années il parcourut les mers, à piller des villages, à brûler des maisons et à tué des bandits trop cruels à ses yeux, mais il ne tuait pas les innocents n’en voyant pas l’intérêt. Il découvrit aussi un étrange pouvoir venant du fruit qu’il avait mangé, un étrange mais puissant pouvoir qui le faisait s’amuser. La marine le recherchait avidement, mais il se trouvait sur une île où il s’était prit d’amour pour une femme. Une jolie brune, assez petite, aux yeux noisette et au sourire charmeur. Ils avaient pour projet de se marier, mais pendant une année ils vécurent dans les bras l’un de l’autre sans penser à cela. Mais un nouveau drame surgit lorsque, pendant la cérémonie de mariage, les marines chargés de son cas, le retrouvèrent et tirèrent à vue, tuant sur le coup sa femme et d’autres innocents. Sa femme eut le temps de lui parler avant qu’elle ne trépasse, ces quelques mots marquèrent l’esprit du jeune homme âgé à ce moment là de vingt ans : « Ne vie pas dans la haine et la tristesse et souris à la vie à chaque occasion, ris et trouve toi des compagnons avec qui tu pourras sourire et rire comme jamais ». Il fut capturé et apporté jusqu’à une toute nouvelle prison en manque de prisonnier nommée « Soul Crusher ». Il fut torturé là-bas pendant cinq longues années, les tortures étaient des plus atroces et il souffrait à chaque fois plus encore, mais jamais il ne criait ou ne pleurait, ayant tenu sa
promesse à sourire à la vie, il riait et souriait au lieu de pleurer et crier, ce qui lui valut de passer par tous les étages de la prison pour le
« calmé un petit peu », il n’était pourtant pas fou, mais cela ses bourreaux ne le comprenait pas.

Puis, après ces longues années à être torturé ainsi, sa sentence fut claire : la mort ! Il causait trop de problèmes à la prison qui ne savait plus quoi inventer pour le faire souffrir et au moins le faire crier ou pleurer, ils décidèrent donc de s’en débarrasser lors d’une exécution publique à Marine Ford où il, d’après ses bourreaux assez sadiques, allait se mettre enfin à pleurer avant de mourir.

Que s’y passerait-il ? Allait-il vraiment mourir ? Non ! Il ne le voulait pas ! Il allait vivre !

[b]Rêve / But : Trouver une réponse à la vie et couler des jours heureux en tant que pirate renommé.

[Preuve pour TNE]

Sujet: Re: La prez' de Sei Denchi ! [Validé] Dim 25 Oct 2009 - 18:53

Je valide. Je suis pas un fan de ce style pour le physique/mental. Je trouve un peu lourd et pesant. L'histoire m'a plu. Pour autant d'effort, j'accorde la validation.

Sujet: Re: La prez' de Sei Denchi ! [Validé] Lun 26 Oct 2009 - 20:02

Up pour une seconde validation ?

Ps : Pourriez-vous changer mon pseudo pour "Sei Denchi" à la place de "Kinzo Katan" ? Merci.

Sujet: Re: La prez' de Sei Denchi ! [Validé] Lun 26 Oct 2009 - 20:47

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