One piece Rpg Bienvenue sur les mers du Rp, Invité |
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| ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] | |
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[Suppr.] Maya Whiteflow Contre-Amiral
Nombre de messages : 171 Age : 32 Fruit du Démon : Orange Town
[Feuille de personnage] • Renommée: 700 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Jeu 29 Oct 2009 - 10:40 | |
| Mesdames, messieurs, bonjour, tout d’abord je pense que c’est inévitable, il va bien falloir que je me présente. Alors voila : Commençons par ma marionnettiste : • Présentation du joueur(se) •Prénom : Noémie Age : 15 ans Sexe : Fille Comment avez vous connu le forum?De part son frère, le Colonel Pebbles ! Combien d'heures vous vous connectez par jour?Très aléatoire mais en moyenne 1 à 3 heures par jour. Tes Mangas préférés :One piece, Bleach, Air Gear et tant d’autre … Ton pirate préféré dans one piece :Sandy avec ses fameux sourcils. __________________________________________________ • Présentation du personnage •Passons maintenant à ma présentation qui est également la chose plus importante ici : Je suis une personne de sexe féminin, normalement humaine, mais avec tout de même quelque différance notables. Je me prénomme Maya et non, je sais ce que vous devez vous dire, « maya » comme la civilisation, mais hélas je n’ai rien à voir avec cette civilisation de la cité d’or : sinon mon banquier le saurait. Mon nom de famille est Whiteflow, comme le dentifrice Whitenow de Signal [Attention ceci n’est en aucun cas une pub, même si j’adore ce dentifrice]. Ce nom est le seul héritage de ma mère, mais bon, on n’est pas là pour déprimer et c’est comme ça. Sinon j’ai dans les 17 printemps et je mesure 1m 60 pour environ 45-50 Kg … attendez on ne va pas chipoter, disons plutôt 45 Kg. • Physique • Alors par où commencer … Débutons par la tête. Mes cheveux ont toujours poussés comme une grosse touffe orange aux reflets bordeaux mais je pense avoir réussi à les dompter, ce dont je ne suis pas peu fière. Et comme visiblement les hommes préfèrent les rousses, ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre… Ils sont munis d’un serre tête en tissu rouge sur le haut du front puis attachés sur les cotés de bracelets d’enfants de la même couleur avec un symbole de croix blanche. La majeure partie de mes cheveux se finit au niveau de mes hanches toujours sont attaché par le bas à l’aide d’un tissu rougeâtre identique à celui du serre tète. Pour la suite, mes parents m’ont dotés d’oreilles pointues, ce qui n’est pas forcément commun, à tous les humains que j’ai croisés jusqu’à maintenant … Elles mesurent environ 3 cm de haut sur 6 de large. Passons maintenant à mon visage, mes yeux en occupent une bonne partie et sont d’un vert comme qui dirait émeraude, surmontés de sourcils fins. Ils sont très expressifs et il m’est difficile de cacher mes émotions. Egalement j’ai toujours eu un petit teint rosé au bord des pommettes, et bien malgré moi, je rougis très facilement… Les gens me disent souvent que ça me donne un air, je cite, « si mignon ! » personnellement, je trouve que j’ai plus l’air d’un benêt en version féminin, à qui ont peut faire croire toutes les sottises du monde. Pour mon nez il sera difficile de le décrire vu que je n’en ai pas, à la place, vous n’y trouverez qu’une petite bosse … C’est encore une propriété qui n’existe pas sur les humains normaux mais on s’y fait vite. Aussi je possède une dentition assez particulière : je n’irai pas jusqu’à dire je suis un vampire car je n’ai jamais eu l’envie de sucer du sang, bien que j’aime beaucoup la viande, mais mes canines sont assez prononcées. Passons au corps ensuite, j’ai tout ce qu’il faut là où il faut, ne vous en faites pas pour ça … question muscle, on dit souvent que les filles sont plus faibles que les garçons, ce n’est pas du tout mon avis, même si je ne possède pas de gros biscotos ou triceps de 30 centimètres de diamètre, je sais me défendre et me faire entendre le moment venu. Au cas où vous en doutiez, allez demander à mes ex, ils vous en parleront mieux que moi. Je pense aussi qu’il y a quelques petits pervers précoces ici et là, donc comme pour vous décevoir, je ne vous dévoilerai ni mon tour de poitrine ni celui de mes hanches, même si je les trouve assez large … mais que voulez vous, j’aime trop le chocolat. Question vestimentaire, je porte une robe ressemblant plus à un tablier qu’a autre chose, attachée au niveau du cou et de la taille par une ficelle, offrant un dos nu pour finir par couvrir l’ensemble des fesses, du bassin et des cuisses, tout en étant ouvert sur les cotés bien sur, permettant une amplitude de mouvement optimal. Pour les jambes, j’ai quasiment tout le temps une sorte de chaussettes blanches remontant jusqu’au milieu des cuisses, et pour les chaussures, c’est rare que l’on me voit en porter. Pour finir, j’ai une allure assez timide, que, je ne vous le cache pas, j’essaie de changer car je ne suis pas très intimidante : on me prend plus pour de la rigolade qu’autre chose. - Spoiler:
• Caractère & morale •Sur mon caractère, si je puis dire je possède comme deux personnalités. Je suis capable d’aimer et de suivre un homme sans savoir qui il est, il suffit juste qu’il est fait attention à moi, qu’il se soit excusé en me bousculant, ou qu’il se soit inquiété un jour de grand froid de mon endroit où dormir alors que j’étais encore jeune et surtout encore seule. Je me serai réduit à l’impossible pour le voir. Peu importe qu’il ne soit qu’un pirate, un militaire, un traître ou un bandit de la pire espèce. De ce fait je pense que c’est un défaut assez problématique pour certains et très avantageux pour d’autre, car je suis très influençable et ça peut aller très loin si l’interlocuteur sait manipuler un minimum les gens. De part mon enfance, je ne supporte pas les gens qui se sentent supérieur dû à leur grade, leur puissance ou leur argent. Depuis le jour de ma liberté, lorsque une personne me prend de haut, je sens comme un torrent de lave monter en moi, même si au fil du temps j’ai appris à ne pas le montrer. On me dit souvent que je suis fragile, sentimentalement parlant … Si vous écoutez un peu les villageois qui me connaissent, ils vous diront très certainement que je suis pleurnicharde, paresseuse et doué d’une incroyable bêtise … franchement je ne les comprends pas. Sinon, je suis une fille de contact, et qui ne se laisse pas faire même face à des gros tas de muscle sans cervelle mesurant près de deux fois ma taille. Je sais où frapper pour que ça fasse mal, et où caresser pour les soins. Mes techniques de combat, je ne maîtrise aucun style particulier mise à part mettre des baffes à tout ceux qui voudront de m’en donner une. Ma « deuxième » personnalité serait que, dans certaines occasions, je ne me contrôle plus, au point de vouloir détruire toutes les vies se trouvant autour de moi, qu’elles soient amies ou ennemies. Cette volonté d’enlever la vie à autrui simplement parce qu’il me tient tète peut arriver à tout moment, et tout particulièrement lors des engueulades, et malgré mes efforts titanesques pour me calmer lorsque cela arrive, veillez à ne pas être à moins de 50 mètres de moi, et hors de mon champs de vision. Ceci dit ces « crises » ne se sont révélées que une à deux fois dans toute ma vie, si courte soit-elle. Sinon la politique m’ennuis terriblement, tous ces gens avec toutes leurs phrases longues et compliquées, et tout leurs gestes pour essayer de nous faire comprendre quelque chose qui n’a aucun sens. Moi, ça a plus tendance à m’endormir, enfin on est tous différents. Pour les taches quotidiennes, on entend trop souvent que les femmes doivent rester à la maison, et bien je vous dis que ça doit changer, ça et c’est pour cela que je me suis lancé dans la marine plutôt que rester une simple civile au service d’un mari totalement irrespectueux de mon travail. De part ce fait, je suis membre de l’équipage du Vice-amiral Sora, « les Arpenteurs d’horizon », et je ne compte pas être mousse ou cuisinière à plein temps.
Dernière édition par Maya Whiteflow le Ven 27 Nov 2009 - 12:22, édité 4 fois | |
| | | [Suppr.] Maya Whiteflow Contre-Amiral
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Mer 4 Nov 2009 - 11:50 | |
| Elle ignore l'Enfer comme le Purgatoire, Et quand l'heure viendra d'entrer dans la Nuit noire, Elle regardera la face de la Mort, Ainsi qu'un nouveau-né, – sans haine et sans remord. Fleurs du Mal, Charles Beaudelaire • Histoire • Les esclaves, des travailleurs non libres et généralement non rémunérés qui sont juridiquement la propriété d'une autre personne et donc négociables, au même titre qu'un objet. Ces quelques mots ont guidé mon enfance et sont maintenant pour moi une honte, un fardeau lourd à porter. Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs. Cette histoire commence un jour de printemps. C’était une femme d’une vingtaine d’années qui habitait un petit village de Smart Town dans les eaux de West blue. Ce jour de printemps, des marins ont amarré sur cette île en disant qu’ils étaient des naufragés. Les habitants, qui ne recevaient jamais personne de l’extérieur, leur avaient préparés tout un banquet de bienvenue, pour eux, c’était un jour de fête, alors que ces « marins » soit de la marine, des pirates, ou révolutionnaires, ça leur étaient égal. Les dits « naufragés » ayant bu toutes les réserves de rhum du seul bar étaient complètement saouls. Après les avoir accompagnés dans leur belle taverne qu'ils avaient décorée en vitesse à la vue de leur navire, les villageois allèrent se coucher. Mais pour beaucoup d’entre eux le lendemain n’aura jamais lieu. Dans la nuit, la jeune femme voyait de longs filets de feu se dessiner sur la porte d’entrée d’en face. Puis elle entendit les hurlements des villageois, puis les aboiements du chien d’en face, le cri étouffé de son père, un objet frapper contre sa porte, enfin la voix d’un homme coiffé un tricorne. Elle se précipita sous son lit en ne faisant aucun bruit, elle resta là a attendre, attendre que son corps terrifié de peur lui réponde, attendre que son père, dont elle n’entendait plus aucun son, vienne lui dire que tout est fini, que les gens sont partis. Mais rien ne se passait et le temps d’un instant semblait durer une éternité, à la vitesse dont les hurlements des villageois, les aboiements du chien d’en face se taisaient. Après un long silence, elle sortit de sa cachette, observait son village enflammé par la fenêtre, la tache de sang qui s’étalait sous la porte jusqu’à son tapis. Elle essaya d’ouvrir la porte en vain, colla son oreille contre celle-ci et entendit des voix d’homme ricané d’une « belle réussite ». Alors elle compris que l’objet avait été déposé là pour sa sécurité par son père et que sa vie ne dépendait plus que de celui-ci. Malheureusement en se redirigeant vers la fenêtre, elle se cogna contre un barreau métallique de son lit révélant ainsi sa présence. Elle se mit à courir en direction dans la fenêtre et remercia Dieu que sa chambre était au premier étage. En sautant par sa fenêtre, elle retomba dans les tissus enflammés, qu’elle s’était épuisée autrefois à transporter sur le marché du Dimanche, là ou elle trouvait les bonnes cerises du monsieur qui allait les cueillir tout en haut de la montagne, mais cette époque était bien finie, dimanche n’était plus que réduit en cendre en à peine une seule nuit. Et elle se mit à courir autant qu’elle pouvait mais en vain, elle fut rattrapé par des hommes au poignes violentes, au regard repoussant et au capitaine portant le tricorne. Il lui mit une cagoule sur la tête et la lumière dévorante du feu laissa place à l’obscurité. Tout est allé très vite ensuite et quand elle se réveilla, c’était pour exprimer son mal de mer. Pour le village, il n’était plus que cendre et cadavre en pyjama. Le capitaine lui expliqua qu’elle deviendra sa servante, qu’elle devra lui obéir, ne jamais essayer de s’enfuir, qu’en échange elle sera nourrie et logée, autrement dit qu’elle n’aura plus que ses yeux pour pleurer car tout le reste appartiendra au capitaine, son maître. Quelques mois plus tard, je naissais dans la cabine du personnage que l’on m’aura apprit à appeler Maître. Oui, je naissait de ce corps fin et écorché par les taches et la vie d’un esclave sur un bateau. Je « naissait » c’est un bien grand mot car délivrée d’une chaîne qu’est le cordon ombilical, on m’en n’en mit une autre bien plus lourde à porter. Mon enfance ce résume à une suite de bonheurs cachés passés avec ma mère dans la cuisine, elle me racontait ce qu’était la vie sans chaîne, ni balai, ni fouet bien que je m’arrangeait toujours pour ne pas en recevoir. Sur le bateau, je me souviens que nous étions trois à porter des chaînes, ma mère, moi, et un vieux monsieur qui me disait tout le temps de prendre la chaloupe et de partir. Certaines fois les membres de l'équipage me prenaient à part en me promettant une récompense si je les aidait à soulager leurs pulsions, mais heureusement pour moi le vieux monsieur venait en rouspétant et en menaçant de tout dire au capitaine. Car malgré sa méchanceté, le maître ne voulait pas que l'on fasse des choses sur quelqu'un à qui le corps n'avait pas atteint l'age adulte. Le vieux monsieur je me moquais toujours de lui mais il persistait à vouloir être gentil et à me protéger. Il était comme un père pour moi ou plutôt un grand père. D'ailleurs je n'ai jamais connu mon père... Que se soit à ma naissance où à sa mort je ne saurai jamais qui était t-il. S'il avait les cheveux roux comme moi ou blonds comme maman, ou tout simplement bruns comme la plus part des gens sur cette planète. Aurai-t-il une barbe comme le maître ou un visage angélique comme ma mère ? Je passais la plupart de mon temps dans la cuisine, pièce où passaient les membres de l’équipage du pont à la réserve, là où se trouvait la boisson qu’il appelait Rhum. Cette boisson était en effet au fond de la réserve sous forme de tonneaux ou de bouteilles de verre, autrefois je m’amusait à en inondé le sol de la réserve pour voir la réaction de l’équipage : il se jetait au sol, le léchait, pleurait pour une boisson qui les rendait plus con encore que d’habitude. Mais mon histoire ne s’arrête pas là : un jour que je m’amusait à faire des petits trous avec le couteau qui me servait à décortiquer les gros poissons, dans un tonneau rhum, J’entendis un cri familier venant de la cabine du maître. Mon sang ne fit qu'un tour et je me précipita vers cet endroit où ma mère passait la plus part de son temps. Alors je restai devant la porte. Le maître avait l'habitude de faire crier ma mère, mais ce nouveau cri était tout autre. Je l’entendais résonner jusqu'au fond de mon estomac affamé, car ce jour là je n'avais mangé qu'un bout de pain et encore je l’avais volé à un gros de l'équipage. En effet c'était le temps de la famine sur le bateau. Les affaires ne marchaient pas fort en ce moment et le maître était souvent fâché. J’entendis ma mère parler d'être affranchi et d'être rémunéré. Le maître, lui n'avait pas l'air d'accord et se tenait la tête avec l’une des ses mains. Soudain il s'est levé, se rapprochant d'elle tout en restant muet. Et il lui demandait si elle avait de réfléchir à ce qu'elle venait de dire. Les deux, face à face, étaient droits comme des i mais restaient calme. Cela faisait dix ans qu'elle servait sur ce foutu bateau et elle trouvait normal qu’après dix ans de bons et loyaux services, d'être affranchi. Elle était bien décider à obtenir sa liberté. Le maître n'était pas de cet avis. Il commença à se fâché et prit un barreau métallique rouillé tout en criant qu'il nous avait nourris, acheter des vêtements, des hamacs, autrefois des couches, tout ça pour qu'au moment le plus faible de toute sa carrière de pirate on l’abandonne, on lui demande d'être affranchi, on ne veut plus rester fidèle. Il était hors de lui, beuglant à tout va. Il pris le barreau bien en main et je couru chercher le vieux monsieur, que d'ailleurs je ne trouva pas, il devait être en train de tenter de s'envoler avec sa 6587ème invention, Car le vieux monsieur c’était avant tout un génie, avant d’être esclave, avant de travailler sur ce bateau, avant même d’être né. Il avait réussi à canaliser une image mouvante et la faire aplatir et la retransmettre dans une petite vitre, par exemple il avait installé un escargophone avec la bouche ouverte dans la cabine de capitaine, et l’on pouvait le visionner dans un autre escargophone placé dans la cuisine. Ceci dit comme je ne le trouvais pas je retourna devant la cabine où les cris s’amplifiaient, j’ouvris la porte à la volé. Le maître se stoppa net comme si il avait reçu un coup d’épée dans le dos, ma mère était à terre, une main ensanglantée sur son visage meurtris, les larmes dégoulinaient de son visage d’habitude si joyeux. J’entendis ma mère soupirer des « non », en me disant tout bas de partir, qu’elle irait me rejoindre. Le sourire du maître montait sur ses lèvres sèches dans tout les sens du terme, et il s’écria que cette situation était parfaite, qu’ainsi j’apprendrais ce qui arrive aux esclaves qui désobéissent à leur maître. Saisit d’une haine monstrueuse je couru en direction de cet être dont je savais contre lequel je n’aurais aucune chance. Il prit la barre et la dirigea sur moi qui me rapprochais à grand pas. Ma joue glissa sur la cette surface métallique sans recevoir le moindre coup. Pendant une fraction de seconde qui sembla durer une éternité, j’observais les yeux de mon ancien maître en le foudroyant du regard. Je pris alors cette barre qui continuait sa course, afin de me retrouver dos a lui, je glissai ma jambe d’un côté de sa tête, l’autre étant de l’autre côté du ce visage de cet être. Je ne comprenais rien à se que je faisant, mes mouvement étaient si souples et si violents à la fois, que jamais je n’aurai été capable de ça. Mon corps ne me répondait plus, c’était comme si ma conscience était enfermée dans une cage, dans l’impossibilité de reprendre le dessus sur cette puissance qui avait prit possession de mon corps, réduit à l’état de spectateur. Je ne voyais plus rien, j’entendais le capitaine hurlé à la mort, la voix de ma mère crier un « non » désespéré. Je senti alors le sang qui coulait sur mon visage, sang dont je ne connaissais pas sa provenance. J’entendis le vieux monsieur arriver en courant, je sentis alors mes jambes se mettre à courir, un instant de terreur régnait dans cette cage où j’y étais enfermé, prisonnière de cette créature, de ce monstre qui contrôlais entièrement mon corps. Ce monstre qui dévorait le monde, qui détruisait tout et par dessus tout, chacune des les personnes vivantes. Soudain je sentis une violente douleur à la tête, et tout devint noir. Depuis je n’ai plus aucun souvenir de ce qui s’est passer. La vie était-elle terminé, aurai t’elle été si courte, je n’aurai jamais vu de grands espaces autres que la mer, cette Océan bleu infini qui relie tout les continents sans qu’ils puissent se coucher. Je n’aurai jamais connu la vie, les boutiques, l’air de la ville ou de la montagne, ces animaux que l’on appelle les chiens, ce gouvernement qu’est la marine que j’ai toujours attendu, et rêvé venant nous délivrer. Non, tout ça ne pouvait pas être perdu, je ne pouvais pas terminer ma vie comme ça, sans avoir tout connu, tout vu. Une lumière apparu et j’ouvris les yeux, je me trouvais dans la cabine, le soleil avait reprit ses droits et entrait dans la pièce par les vitres brisés pour arrivé jusqu'à mes mains tachées de sang, les murs étaient décollés, il y avait un trou dans le plafond d’où entrait aussi le soleil, plein d’espoir, toujours prêt pour une vie meilleure. J’étais par terre étalé, comme morte, la pièce était décorée de taches rouges sang sur les murs, le plafond et le sol. En levant les yeux, ce que je ne pouvais que faire sur ce moment, j’aperçu trois corps gisant sur le sol. Le premier était celui que j’appelais autrefois « maître » avait la tête loin du corps, sur le torse dénudé, était tracé une croix, comme celle des chrétiens aux traits égaux, ce signe se trouvait au même endroit pour les deux autres cadavres. La deuxième personne étendu à terre était le vieux monsieur, une carotide arraché à la force des dents, mais la troisième, était simplement ma mère allongé sur le sol ayant les coups de la barre marqués sur son visage, un trou dans la poitrine au centre de la croix. Malgré cette vue inhumaine, je restais calme comme sereine, comme ce l’on ressent quand on a franchit un but, un obstacle, une barrière, quand on s’est délivré d’un fardeau, d’une chaîne, d’un boulet. En reprenant mes esprits, je me levai doucement, tranquillement malgré l’impression d’avoir comme une boule dans la gorge. La porte par lequel se suis rentré était visiblement fermée à clé car les membres de l’équipage essayant de la forcer. Je me précipitai donc vers la fenêtre, escaladant l’extrémité de la poupe du bateau. J’attendis qu’il n’y plus personne sur le pont avant de me diriger vers la chaloupe. Il ne me restait plus qu’à partir pour un très long voyage, quitter cet univers qui avait dicté mon existence jusqu’à aujourd’hui. J’allai donc chercher un peu de provisions et je partis loin, loin de mon passé, loin de ma famille, vers l’inconnu. Bien sûr une fois seule sur la chaloupe et assez loin du bateau, je me mis à fondre en larme. Cet événement allait littéralement changer ma vie, à jamais. Certains dirons que c’est un meurtre moi j’appellerai ça une renaissance. Ma vie après ça se résume à une suite de petits boulots, de gentilles personnes qui m’ont hébergé, du monde que je découvrais, j’avais beau avoir l’estomac vide, j’étais heureuse. Ainsi j’avais décidé de l’être pour toujours. Quand l’âge me le permis je me lançai dans la marine et je décidai que je monterai en grade afin d’être respectée. Et de pouvoir montrer ma version du bonheur au monde entier. Et c’est ici que mon aventure commence. • Fruit du Démon • Ukim Ukim no Mi : ce fruit se révèle en tant que crises, dans certains moments. Le détenteur du fruit ne se contrôle plus et devient un véritable démon près à éteindre toutes formes de vie avant de se tuer soit même. Et quand il redevient "normal", c'est quand il est morte ou quand on vire le démon (suivant les cas : grâce à du granit marin, ou que il tombe inconscient. Etc.) (PS : Niveau du fruit différent)
Dernière édition par Maya Whiteflow le Sam 21 Nov 2009 - 21:58, édité 3 fois | |
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 13:56 | |
| Mon cœur, comme un oiseau, voltigeait tout joyeux Et planait librement à l'entour des cordages ; Le navire roulait sous un ciel sans nuages, Comme un ange enivré d'un soleil radieux. Les fleurs du mal, Charles Beaudelaire • Post RP • En hiver, à travers ce vent glacial, et cette grêle qui tombait à tout hasard, les gens sont tous de vrais trouillards sous leurs parapluies. Mais moi je riais sur le trottoir, perdue, devant ce grand ciel noir, dans cette ville nouvelle. Je venais d’arriver hier avec mes bagages. J’étais là, j’observais les gens, vagant à leurs occupations, plus ou moins utiles, se pressant, se comprimant sous les poches des magasins pour ne pas être mouillés. Moi, j’avançais tranquillement vers le QG de la marine, des gouttes tombaient de mes cheveux sur mon blouson, je commençais à m’imaginer, à imaginer ma vie dans la marine, me prendrait t-il comme Colonel, ou comme simple matelot ? Pour l’instant je sais que je devais faire mes preuves, et donner le maximum de moi-même. Personnellement ma vocation de marine ne me tenant pas tellement à cœur, mais comme dit le dicton : « Il y a qu’à la marine qu’il embauche ! » Alors pourquoi ne pas tenter ma chance ? Mais une vieille dame au nez crochu et au regard pénétrant me fit sortir de mes pensées en s’écriant : « Dégage de là, sale … » Je n’ai pas entendu la fin de ce qu’elle me disant, ou plutôt je n’ai pas voulu l’entendre. Les gens me regardaient d’un air bizarre et je commençais à accélérer le pas. Ce n’est pas que j’ai peur des gens, non loin de moi cette idée, mais je ne connaissais pas cette ville et ces gens qui tous avaient l’air d’être d’une humeur de chien. Comme j’ignorais la position du QG de la marine et que, avant de voir la tête des passants si maussade, je comptais en arrêter un et lui demander mon chemin, mais finalement je me ravisai. Dans ce boulevard même les vitrines ne donnaient pas envie. Avec des toiles d’araignées dans les coins, les étalages de fruits noircis, je me dis, que je n’allais pas rester longtemps dans cette île si grande soit-elle. Mais je n’allais pas rester sous la pluie à attendre qu’une bonne étoile tombe du ciel en me disant : « Tiens, tu es perdue ? Tu cherches le QG de la marine ? Voila c’est par là. » Je rentrai donc dans un magasin histoire de demander l’adresse d’un hôtel à bas prix. Car ce n’est pas avec mes 1000 berrys que j’allai entrer dans un hôtel 5 étoiles, soyons réalistes ! Je choisis un magasin de chocolats, non plutôt de déguisements. Ne m’en voulez pas j’ai arrêté le chocolat depuis peu. Et un monsieur d’une soixantaine d’année, sortis de sous la caisse. En s’écriant : « Bonjour, mademoiselle vous désirer quelque chose ? » Malgré son accueil chatoyant, il me dévisagea de la tête au pied d'un air de mépris. Sa barbe se fourcha et semblait bouger toute seule. Je lui répondis poliment que je cherchais des hôtels pas très chers sur l'île. Il eu un moment d’étrange immobilité et il reprit en m'indiquant l’un des trois hôtels dispersés sur cette île de West blue. Je le remerciai et lui acheta une petite vache qui faisait Meuh quand on l’a retournait. Alors je me dirigeai vers le premier de ces hôtels. A Première vue, les vieux châteaux d'écosse paraissaient beaucoup plus accueillant que cet hôtel à la façade noircie par le temps. Des corbeaux y avaient fait leur nid. Rien qu'à la vue de leur plumage noir comme la mort, j'appréhendais déjà l'intérieur froid et mort de cet hôtel. Je me ravisai donc, bien que le prochain hôtel se trouvait à l'extrémité droite de cette grande ville. N'oublions pas de dire que je suis une grosse fainéante et que faire quelques centaines de mètres ne m’enchantaient pas vraiment. Mais je préférais faire ça plutôt que de rester toute la nuit sous ma couette à transpirer de peur comme une folle, car en peureuse qui se respecte, les choses qui me faisaient le plus peur se n’étaient pas les choses que l'on peut voir, entendre, ou toucher mais les choses inconnues, inodores et inexistantes.
La pluie avait cessé et mes jambes commençaient à me lâcher littéralement. Mais d’après l’indication du vendeur, je n’étais plus très loin. Et enfin j’arrivai. Cela ressemblait plus à une petite maison qui donnant d'un côté sur la triste rue des Tourefils et de l'autre sur le triste boulevard que j’avais suivit jusqu’alors. Entre le boulevard et le corps du logis, quelques vieilles roses, dévorées d'insectes et de mousse, étiraient piteusement leurs bras décharnés sur la noire et haute façade. Quelques pauvres fleurs étiolées penchaient languissamment la tête attendant qu'un rayon de soleil vînt sécher leurs feuilles à moitié pourries. Les herbes avaient fait irruption dans les allées, qu'on avait peine à reconnaître, tant il y avait longtemps que le râteau ne s'y était promené. Un ou deux poissons rouges flottaient plutôt qu'ils ne nageaient dans un bassin couvert de lentilles d'eau et de plantes de marais. Ce devait être le jardin. Outre toutes les belles choses que nous venons de décrire, il y avait un pavillon passablement maussade. Il était dans un état de dégradation complète. Les murs faisaient ventre, de larges plaques de crépi s'étaient détachées et gisaient à terre entre les orties et la folle avoine, une moisissure putride verdissait entre les failles. Les bois des volets et des portes avaient largement fait leur temps, et ne fermaient plus ou fort mal. Bref, c'était une demeure assez lamentable. Je me présentai sous le porche, et une voix roque avec un léger accent qui faisait penser que le rhum n’était pas loin. « Ch’est pour quoi ? »
*Devine ! Mais qu’est-ce qu'il a l'air aimable celui là !*
«C'est pour une chambre, pour la nuit.
- Allez ailleurs, ch'est fermé et en plu’ il y a p’us de place ! » Non mais pour qui il se prenait celui là ? Je n’avais pas fait tout le voyage d'île en île, de villes en villes, de chemins en chemins pour me retrouver devant une porte grinçante et près à s'effondrer qui refuse de s'ouvrir sous prétexte qu’elle veut dormir ! Mais moi aussi je veux dormir ! « Monsieur, ne soyez pas bête vous vous êtes levez vous avez pris la peine de descendre les escaliers, sûrement de mettre un peignoir tout ça pour rien ? Allez ouvrez moi ! En plus ça vous fera gagner de l'argent ! Allez il ne vous reste plus qu'à tournez la serrure et à ouvrir cette porte »
- Non ! En plus je ai pò la clé » Je commençais à m'impatienter sérieusement et comme la pluie recommençait à tomber je mis délicatement mon pied sur la porte. « Qu'est che que vous faites ? Vous êtes toujours là ? Hein ? » J'entendis des bruits de pas lourds s'écarter de la porte. Puis je fis une légère pression sur cette porte et elle tomba toute seule aux pieds de son propriétaire. C’était un petit homme trapu aux yeux gris assortis à ses cheveux. De loin il faisait penser au célèbre physicien du nom d’Einstein, mais de près la confusion n'était pas possible. Les trais de son visage tiraient vers le bas et son visage joufflu et boudeur contrastait avec ses cheveux frivoles. Contrairement à ce que l'on pourrait pensé à son âge il lui restait une belle touffe frisée. Il était vêtu du traditionnel costume du pépé, je pense que c'est inutile de le préciser, avec le gilet fait par mamie, les chaussures tout terrains pour aller de la cuisine au potager en passant par la case arrosoir et bien sûr, comment l'oublier, le fameux béret qui donne un air bien rustique. Finalement il avait bien sympathique ce vieux ronchon ! L'intérieur de l'hôtel ressemblait à l'extérieur et quelque chose me disait que la mamie ne devait plus être là. J’avançai tranquillement sur la porte en direction du papi. « Bonjour ! Auriez-vous une chambre s'il vous plait » J’articulais au maximum tout en me rapprochant très près de lui. Remarquons que j'étais plus grande que lui et je n’étais pas peu fière, ce n'est pas tous les jours que je suis plus grande qu'un homme. « Bin'sûr" dit-il en fixant la porte. Ch'est 800 berrys la nuit, 1000 si vous vous v'lavez et 1300, si vous prenez un r'pas, mais pour vous le r'pas c'est le t'i deg' et si vous remettez la porte je vous l'fait l'tout à 1000.
- C'est ok pour le tout à 1000 ! » *ça tombe bien, j'ai que 1000* Je remis donc la porte non sans difficulté. Elle était peut être facile à décrochée mais difficile à soulevée. Ce devait être un bois brut comme du chêne ou quelque chose dans le genre. Une fois l'avoir remise à sa place je parti me coucher dans la chambre que m'avait indiquée le vieux. Elle se trouvait au fond du couloir de l'étage, étage auquel on accédait par l'escalier en face de la porte maintenant remise sur pied. Le vieux ne voulu pas me dire son nom mais m'indiqua que ce n'était pas un hôtel mais une auberge et qu'elle se nommait "Chez Ginette, si vous avez du temps à perdre passez votre chemin !", je lui ai demandé si c'était tout ça le nom de l'auberge, il me demanda si j’étais idole ou que je le faisais exprès. Je n'ai pas compris pourquoi il avait dit cela. Il n'avait pas répondu à ma question, mais je renonçai, j’étais complètement crevée et je ne pensais plus qu'à dormir. Je montais donc dans ma chambre. J'y déposai mes bagages sur le lit il était avec des barreaux en fer. Il occupait la moitié de la chambre qui avait de grands rideaux gris qui faisaient toute la hauteur du mur marron. L'ensemble était très rustique. Je redescendis, histoire de demander s'il y avait quelque chose à grignoter. En passant dans le couloir du rez-de-chaussée, je fus attirée par un vase qui était posé sur un petit meuble d'une petite longueur. Il était d'un blanc que la neige aurait eu l’air jaune à côté, que les nuages auraient tous l’air gris à côté. Il n’y avait pas l’eau à l’intérieur, ni eau, ni fleur, il n'avait donc pas de vie mais il me semblait qu'il était la vie, la vie tel qu'un homme pourrait l'imaginer, il était pourtant si simple mais si sophistiqué à la fois, de son blanc innocent on pouvait tout imaginer allant de la vie à la mort en passant par l'amour et la haine. Je me demandai quelle personne pourrait avoir fait cet objet si pur et si dur, quel esprit tourmenté aurait pu réaliser un objet aux contrastes si flagrant. Comment a-t-il pu réaliser un double objet ? Était-il un homme, une femme, un génie, un roi, un pirate ou un ange, ces êtres purs à la puissance charnelle. Je regardai longtemps ce vase au double visage, aux doubles vies, à la vie, à la mort, il me fit me rappeler de souvenir lointain que je croyais à jamais enfermés dans leur tombe. "Il vous plaît ? Il me retira de mes pensés si violemment que je cru que ma tête allait exploser. Il est merveilleux n'est-ce pas ? Mais ne t'avise pô d'y toucher sinon je me chargerai personnellement de te faire la peau ! Il appartenait à ma femme » Sur ce je lui demandai un petit casse-croûte et il me donna un bon morceau de saucisson. Saucisson qui était par ailleurs excellent ! Puis je retournai me coucher. Mais en tant que chieuse, je n'allais pas en rester là.
Plusieurs heures passèrent et je dormis comme un vrai bébé. Mais, vers une heure de la nuit je commençai à avoir la gorge asséchée et décida d’aller voir un peu ce qu’il y avait dans le frigo à la cuisine. La porte de mon hôte était fermée, il devait sûrement dormir. Alors je me mis donc à marcher sur la pointe des pieds. Je fais partie de ces personnes au os qui craque, alors j’avais beau essayer de ne pas faire de bruit, mes genou craquaient semblant dire « Coucou, coucou, je suis là réveille toi !! ». Je descendis les marches une à une, mettant les mains sur les murs pour me faire plus légère. Comme je n’avais pas de lumière j’essayais de me souvenir tant bien que mal, de l’emplacement des meubles. La cuisine devait se trouvée au bout du couloir où je marchais, et j’aperçu une lumière venant de la salle d’à côté la porte était entrouverte et je pu apercevoir une table à repasser. Le vieux monsieur était là, il se tenait à côté de la table, et repassait une veste de couleur bleue. Elle paraissait plutôt courte et avait des petites épaulettes faisant penser à un haut gradé. Qu’est-ce que cette veste venait faire chez un aubergiste ? L’avait-il volé ? Était-il la personne ayant porté cette veste ? Mais ses yeux se levaient dans ma direction. Je me mis alors à avoir peur. Et s’il me trouvait ? Que dira-t-il ? Il me fallait partir… Je fis donc demi-tour, et repartis dans ma chambre mais une fois que j’arrivai au niveau du vase j’entendis des pas se profanés derrière moi, « Qu’est che tu fais la ? » Je me retournais violemment avant de donner un léger coup de coude au vase. Alors qu'il n'y avait pas d'eau, j’entendis un léger clapotis au fond de celui ci. Je sentis alors que je venais de faire la connerie du siècle, mais je me précipitai en vain pour le rattraper. Je ferma les yeux, réflexe inutile qui survient au moment d'un grand bruit, et quand je les rouvrais je découvris le vieux monsieur allongé au sol tenant du bout des doigts le vase, il était il y a à peine une dizaine de milliseconde, à 5 mètres de moi. Comment avait-il pu pour se déplacer à une telle vitesse alors que moi, ayant, sans me vanter, une vitesse de mouvement supérieur à la moyenne, je n'ai qu'eu le temps que de plier les jambes ? N'oublions pas de dire que j'étais auparavant passé par la case cuisine et que j'y avais récolté un verre de jus d'orange. Verre que je tenant toujours remplis à la main au moment de bousculer le vase. Etonnée par la prestation du monsieur j'avais comme eu un énorme bug et mon verre se glissa lentement à travers mes doigts au moment de tomber je repris mes esprits et le rattrapa de justesse avant qu'il ne touche le sol, et pour parfaire ma connerie, c'est à l'envers que je rattrapa mon verre et je ne risquai plus de pouvoir boire son contenu sachant qu'il s'était déversé en plein sur la tête du vieux monsieur, autant dire que je n'en menait pas large ! Mais pourquoi cette malchance s'abattait sur moi aujourd'hui ? Pourtant ce matin, je n'ai pas été raté par cet oiseau de malheur ! Les yeux du vieux monsieur me fixait d'un air d'haine mélangée à de l'exaspération. Il fallait que je fasse quelque chose, une excuse un geste, quelque chose ! Je choisis alors de remettre le vase à sa place. Tout en fixant l'aubergiste droit dans les yeux je mis mes deux mains sur le vase qu'il tenait, j'essaya alors de le soulever, mais il le tenait fortement, je tirai donc un peu plus fort mais il persista, je continuai et le sentiment de haine paru disparaître, l'autre par contre était bien fermement encré dans son regard, mais il n'était plus fâché, s'était l'essentiel. Mais comme je tirais encore sur le vase, il me dit : « Tu le fait exprès ?
- euh non ... » Voyant que j'avais retrouvé l'usage de la parole, je me mis a bafouiller t'en bien que mal des excuses, que j'étais désolée, que patatis, patatas, vous connaissez sûrement la formule. Il me dit clairement d'aller au lit, comme si j'étais encore une gamine et m'annonça que demain après que j'aurai réglé ma note je partirai.
Pendant le reste de la nuit, je dormis très mal, et j’avais la tête dans le troufion quand je me réveillais. Je déposais mes 1000 berrys sur la commode, et me recouchais. Mais on était Mardi, et Mardi, c’est le jour de mon entretient d’embauche dans la marine. Quelques minutes plus tard, j’étais debout, et encore quelques autres minutes plus tard, j’étais lavée et j’avais fait mon sac. J’avais fait un petit chignon, histoire d’avoir l’air sérieuse, et avait mis mes vêtements les plus corrects, mentalement parlant. Quand je descendis pour aller déjeuner, j'avais l'impression d'aller à l'abattoir. Il y avait une ambiance pesante, comme si quelqu'un était mort. Je pris ce qu'il y avait sur la table. Même si j'aurais préféré un chocolat chaud plutôt qu'un thé sans goût et surtout sans sucre ! Mais je n'osai pas lui parler, je ne le regardais pas, il ne me regardait pas et tout allait pour le mieux. Après avoir fini je lui dis brièvement "au revoir" et je partis un peu déçu de ne pas mieux connaître cet homme. Et me revoilà dans la me, dans cette ville inconnue, et oui, je fais des rimes, ça vous étonne ?
Arrivée devant le QG de la marine, ces grosses portes en acier, ne donnaient pas franchement envie d'y rentrer, mais je me lançais, "à moi l'aventure !" comme on pourrait dire. Je toquai à cette porte en aspirant un bon coup. Une petite fenêtre d'environ 10 cm sur 10 s'ouvrit au niveau de mon nombril, je me baissai et j'y aperçu un petit homme ou du moins son visage tout joufflu. « Bonjour ? Ici c'est le QG de la marine, que pouvons-nous faire pour vous ? Vous vous êtes fait agressée par un pirate, il vous a volé votre argent, Vous vous êtes fait arnaquer par un marchant ? Vous avez fait une promesse que vous êtes incapable de tenir, vous devez de l'argent à quelqu'un ? Vous avez oubliés vos enfants à l'école, résultat vous ignorer où ils sont passés ? Votre lave-linge est en panne ? Voyant que je ne réagissais pas il continua sa liste interminable.
- Stop ! Est ce que vous savez si le caporal est là ?
- Du tac au tac il me répondit il est occupé pour le moment veuillez repasser plus tard merci ! Et un large sourire s'élargissait sur sa bouche.
- Je dois rentrer c'est urgent, je Suis déjà en retard !
- Je suis désolé c'est pas possible.
- Aller ! Je dois le voir !
- Je suis désolé c'est pas possible.
- Je viens pour mon entretien d'embauche ! Vous ne pouvez pas savoir comme c'est fatiguant de rester devant des portes closes. Monsieur ouvrez moi s’il vous plait !
- Ah mais fallait le dire plus tôt ! » Là si j'aurais pu je crois que j'aurai explosée. Il referma sa fenêtre et j'attendis quelques minutes que cette grande porte s'ouvre. D'ailleurs comment pouvait il ouvrir une porte de cette envergure ? Mais la porte ne bougea pas, au contraire une porte normale s'ouvrit sur le côté et en plein milieu, une tête d'homme, la même qui m'avait "accueillit" se montra. Elle me dit de venir et je fus étonnée de la petite taille du petit bonhomme. Il me fit rentrer dans cette pièce qui se trouvait être le local à poubelle, chouette l'entrée ! Nous passions de salle en salle pour nous retrouver devant le bureau du commodore. Là je m’assis sur un de la dizaine de sièges qui était posté là. Le petit homme m'abandonna, et commença à stresser car j'ignorais ce qu'il allait falloir dire, mes dents commençaient à claquer toutes seules, mes genoux se cogner l'un contre l'autre, mes mains devenir moites, les battements de mon cœur s'accélérer. Ce sont des choses que je connaissais bien, je n'aimais décidément vraiment pas passer devant les gens. Une heure après, j'allais mieux, Je somnolais presque, et un homme très efféminé me rendit visite en me demandant de le suivre. Nous marchâmes pendant un long moment dans un couloir où il me posa toutes sortes de questions, sur mes envies, mon âge ainsi que pleins d’autres informations. Après un long quart d’heure, où j’avais l’impression d’être dans un interrogatoire de police, il termina sa dernière question et nous nous retrouvâmes comme par hasard à notre point de départ. « Je crois que c’est tout merci, veuillez vous asseoir, je reviendrais vous chercher dans quelques minutes. » Et voilà c’était fini, je pense que mon entretien terminé j’allais rencontrer le commodore. Il devait sûrement être grand, vieux, avec un costume bien serré, le même que le vieux monsieur. Je recommençais à stresser, l’angoisse me montait à la gorge. L’homme efféminé revenait pris un café et repartait en direction du bureau du commodore. Une longue série de minutes passèrent et je cru rester là pendant des heures et des heures. L’homme revenait et me dit que je pouvais entrer, je ne savais pas ce qu’il m’attendait derrière cette porte, mais je sais que quand je la franchirai ma vie prendra un nouveau grand tournant. Je déposais lentement mon pied à l’intérieur de cette pièce qui allait changer ma vie. Et là, le choc ! La personne devant moi était un petit homme trapu aux yeux gris assortis à ses cheveux. Les trais de son visage tiraient vers le bas et son visage joufflu et boudeur contrastait avec ses cheveux frivoles. Ça vous rappelle quelque chose ? Moi oui, ce personnage à la canne noir, et au costume bien repassé n’était autre que l’aubergiste. A voir ses yeux écarquillés il devait être aussi choqué que moi. Une couleur rouge remontait sur son visage, visiblement il n’avait pas oublié ce que j’avais fait la veille. Promis ! je n’irai plus boire la nuit ! J’avais le souffle coupé et l’homme efféminé tournait sa tête de droite à gauche en essayant de comprendre pourquoi nous faisions ces têtes là. Puis soudain la couleur rouge de son visage remonta jusqu’aux oreilles et il s’écria : « Oh non pas elle ! André donne-moi un équipage loin d’ici, où l’on trouve tous les … enfin tous les incapables de la marine, autant les mettre tous dans le même sac !
- Et bien on a l’équipage du capitaine Sora, l’équipage…
- Très bien aller zou chez le capitaine Sora !, André donne lui les coordonné de leur emplacement mais qu’elle vire de ce bureau tout de suite ! » Et c’est ainsi que commença ma vie de marin, coulant les pirates, pillant les fourbants, déchiquetant les révolutionnaires !
Dernière édition par Maya Whiteflow le Sam 21 Nov 2009 - 14:05, édité 2 fois | |
| | | [Suppr.] Maya Whiteflow Contre-Amiral
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 14:09 | |
| Présentation terminée attente de validation et surtout de commentaire =) | |
| | | Antharia Aisu Partisan
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 14:12 | |
| Pour moi, y'a pas photo. Validée direct ! | |
| | | Cyanure Pirate légendaire
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 14:14 | |
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| | | [Suppr.] Maya Whiteflow Contre-Amiral
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 14:20 | |
| Alors pour en venir au fait, quel grade choisissez vous de me donner, et est-ce que mon fruit est acceptable ? | |
| | | Cyanure Pirate légendaire
Profil Psy : Mauvaise jusqu'à l'os! Nombre de messages : 2460 Fruit du Démon : Toro Toro no mi
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 14:28 | |
| le fruit est acceptable.
pour le grade Lieutenant colonel vu qu'on valide à Max colonel et que tous les sièges sont pris. | |
| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 15:17 | |
| Je vais m’expliquer avec des mots simples pourquoi j’avais refusé le fruit. C’est cool de proposer comme ça mais je pense au côté pratique pour le bien du forum. Bref, je regarde comment il sera joué sur le forum.
- ll faut donc que le démon meurt. Mort du démon = ta mort. Ou tu veux peut-être tuer ton fruit sans te tuer, c’est quoi ce fruit qu’on peut utiliser que une seule fois ? Car si tu tues l’esprit de ton FDD, autant dire que ton FDD n’existe plus. PS : Les seuls FDD qui possèdent des sortes d’esprits sont les zoans
Bref, tu deviens démon et donc il y aura aucune source de retour. Si c’est comme cela que tu veux jouer, le zoan libéré est la meilleure solution. Fin de la discussion, et merci de jamais prendre part de mes remarques. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 17:08 | |
| > Bon, je post ici et maintenant en remplaçant ma sœur : le sujet de ce post, l'explication du fruit demandé par cette demoiselle.
voici ce qu'elle a mit :
Ukim Ukim no Mi : ce fruit se révèle en tant que crises, dans certains moments. Le détenteur du fruit ne se contrôle plus et devient un véritable démon près à éteindre toutes formes de vie avant de se tuer soit même. Et quand il redevient "normal", c'est quand il est morte ou quand on vire le démon (suivant les cas : grâce à du granit marin, ou que il tombe inconscient. Etc.) (PS : Niveau du fruit différent)
> Il y a effectivement quelques incompréhension, je prend donc la liberté de reformuler ce point. Cela donne la définition suivante :
Après avoir manger le fruit, maya possède un démon en elle mais pas n'importe quel démon. Ce dernier est s'exprime lorsque maya se déchaine (ou pique une crise de colère, enfin un sentiment profond et violent) et ne se contente plus de réfléchir. A ce moment-là et à ce moment-là seulement, le démon contrôle ces gestes, se transformant ainsi en machine à tuer toute vie présente autour d'elle jusqu'à se détruire elle-même. Mais là où ce trouve la différence si mince soit-elle entre un zoan libéré et un FDD normal, c'est tout d'abord que maya conserve en totalité son apparence et la possibilité de calmer le démon (et non de le tuer, car si l'on tue le démon, on tue maya dans la foulé). Pour calmer ce démon, plusieurs techniques existent, le contact du corps avec du granit marin ou le faites de faire tomber maya inconsciente. Le démon est alors calmé mais pas mort, et peut donc ressortir lors d'un prochain pettage de câble de la part de cette jeune demoiselle. Les pouvoirs de ce fruit sont une augmentation disproportionné de la puissance, de l'agilité et de la rapidité de maya lorsque le démon sort, en contre-partie d'absence de contrôle de soi-même.
voila, j'espère avoir été clair, et j'attends vos commentaires et questions. |
| | | [Suppr.] Maya Whiteflow Contre-Amiral
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 18:39 | |
| Merci nodox. Désolé Célérion d'être têtu, mais je ne lache pas prise si facilement ! ^^ Donc une dernière question, quel serai le niveau de mon fruit ? merci | |
| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 19:03 | |
| Cela empiète maintenant sur le fruit de la seconde personnalité. Voilà ce que je propose :
XXXX XXXX No Mie : Permet à l’utilisateur de se changer en XXXX ou en forme hybride. Malheureusement, Maya a quelque peine à pouvoir contrôler son zoan pleinement et navigue toujours entre une phase de contrôle et une phase libérée. Lorsque Maya est frustrée ou en colère, celle-ci perd le control et laisse échapper la forme libéré du Zoan. La forme libérée est une forme représentant l’animal sous forme de monstre, presque comme un géant. La force et la résistance sont également fortement accrues. Malheureusement, cet état est incontrôlable et il n’est pas rare qu’elle attaque ses propres amis. Cet état cesse seulement quand Maya se calme pour reprendre le contrôle de son Zoan ou quand elle est fortement affaiblie après un combat. | |
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 21:59 | |
| • Fruit du Démon • Akuma Akuma No Mie : Permet à l’utilisateur de se changer en XXXX ou en forme hybride. Le Jettatura est un esprit malfaisant Malheureusement, Maya a quelque peine à pouvoir contrôler son zoan pleinement et navigue toujours entre une phase de contrôle et une phase libérée, faute de puissance d'esprit sur la puissance du fruit. Après avoir manger le fruit, maya possède un démon en elle. Ce dernier est s'exprime lorsque maya se déchaine (ou pique une crise de colère, enfin un sentiment profond et violent) et ne se contente plus de réfléchir. A ce moment-là et à ce moment-là seulement, Elle laisse échapper la forme libéré du Zoan, le démon contrôle ces gestes, se transformant ainsi en machine à tuer toute vie présente autour d'elle jusqu'à se détruire elle-même. Mais là où ce trouve la différence si mince soit-elle entre un zoan libéré et un FDD normal, c'est tout d'abord que maya conserve en totalité son apparence et la possibilité de rendormir le démon (et non de le tuer, car si l'on tue le démon, on tue maya dans la foulé). Pour calmer ce démon, plusieurs techniques existent, le contact du corps avec du granit marin ou le faites de faire tomber maya inconsciente. Le démon est alors calmé mais pas mort, et peut donc ressortir lors d'un prochain pettage de câble de la part de cette jeune demoiselle. Les pouvoirs de ce fruit sont une augmentation disproportionné de la puissance, de l'agilité et de la rapidité de maya lorsque le démon sort, en contre-partie d'absence de contrôle de soi-même. | |
| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Sam 21 Nov 2009 - 22:40 | |
| Arrêtez de me jouer les autres mangas ici, ce n’est pas le but. On s’entache de dire qu’il faut être polyvalent dans une présentation et de pas se butter sur un fruit. Le Ukim Ukim était dans la liste des disponibles. On ne pouvait pas le dire avant. J’aurais tout de suite répliqué car on ne connait pas les noms par cœur mais toutes les définitions oui. Le pire est que j’aime la définition du forum car on parle de personnalité qui s’interchange sans ce problème, il y a pas ce truc nunuche d’esprit proche des zoans. J’étais sûr qu’il était inventé premièrement ce fruit. Deuxièmement, comme le fruit est prit il sauf s’entacher de faire des sacrifices. C’est comme cela. Ce n’est pas comme ton manga et alors, ce n’est pas grave. C’est même mieux car il passe sur quelque chose d’inédit. Le zoan oblige le choix d’un animal que tu le veuilles ou non. De ce fait, ta morphologie change et tu ne peux rien y faire. Il faut que tu te trouves un animal. On peut négocier sur la taille étant pas parfaitement libéré. Mais tu peux pas être un esprit qui n’a aucune forme sous peine d’empiéter sur un autre fruit et de plus mériter le titre de zoan. De plus, il y a beaucoup d’animaux qui ont une quasi forme humaine. Le singe et l’ours par exemple, le choix ne manque pas. Tu as devant toi un choix qui t’offre plus de possibilités sans être BG et tu te restreints automatiquement, ce qui est très dommage.
Dernière édition par Celérion Cashi le Dim 22 Nov 2009 - 11:37, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Dim 22 Nov 2009 - 9:45 | |
| Désolée Célé mais j'ai absolument RIEN compris à ce que tu as dis, nodox non plus.
Pourrais-tu réitérer, s'il te plait ta réponse en français ? merci | |
| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Dim 22 Nov 2009 - 13:15 | |
| Arrêtez de me jouer les autres mangas ici, ce n’est pas le but. On s’entache de dire qu’il faut être polyvalent dans une présentation et de pas se butter sur un fruit. => On fait une présentation pour un fruit et pas une présentation avec un fruit. Il faut également avoir une ouverture d’esprit et se montrer polyvalent en cas de refus et accepter les compromis. On est normalement là pour aider mais je deviens le bourreau car il y a aucune évolution de ton côté.
Le Ukim Ukim était dans la liste des disponibles. On ne pouvait pas le dire avant. J’aurais tout de suite répliqué car on ne connait pas les noms par cœur mais toutes les définitions oui. => Oui, il y a bien un fruit qui s’appelle Ukim Ukim no mie, je ne sais pas si tu l’as vu mais il a été pris par Saphir. Il y a déjà un petit moment déjà.
Le pire est que j’aime la définition du forum car on parle de personnalité qui s’interchange sans ce problème, il y a pas ce truc nunuche d’esprit proche des zoans. => Quand on parle d’esprit, on parle de zoan. Les autres donnent simplement des pouvoirs et restent inertes. Le pire est que quand tu parles de démon, j’ai directement fait le lien avec un changement d’apparence pour justement éviter d’être redondant avec le Ukim d’origine. C’est d’ailleurs cela qui m’a induit à faire un changement vers le zoan.
J’étais sûr qu’il était inventé premièrement ce fruit. => Tu as changé la définition d’origine et donc je n’ai pas fait le lien avec le fruit du forum. De plus, il fallait prendre le temps de le préciser.
Deuxièmement, comme le fruit est prit il sauf s’entacher de faire des sacrifices. => Un fruit prit veut dire qu’il faut changer de fruit
C’est comme cela. Ce n’est pas comme ton manga et alors, ce n’est pas grave. C’est même mieux car il passe sur quelque chose d’inédit. => Ne te bute pas à faire comme dans ton manga. On est dans du One piece, il faut réfléchir One Piece ou mettre les autres pouvoirs à la mode One Piece.
Le zoan oblige le choix d’un animal que tu le veuilles ou non. =>Le zoan implique de choisir un animal
De ce fait, ta morphologie change et tu ne peux rien y faire. Il faut que tu te trouves un animal. => Comme tu la veux jouer Jekill et mister Hide, c’est pour moi la seule solution qui te reste. Ce n’est pas un caprice de gamin. C’est juste qu’il faille se montrer différent du Ukim. Sauf, si Saphir lâche le fruit spontanément mais là, autant dire que l’aspect démon est à proscrire. On parle de changement de personnalité (cela ne fait pas intervenir une personne tierce. Cela a l’air anodin je sais mais cela évite un mélange avec un zoan et évite l’élaboration de fruit au plus grand potentiel GB.
On peut négocier sur la taille étant pas parfaitement libéré. => Dans le manga, chaque forme libérée est une forme monstre de l’animal du Zoan. Mais, en forme contrôlée, on a une forme humaine. Etant dans un pseudo état transitoire si tu acceptes le compromis, on peux jouer entre les deux tailles. Je dis cela car tu te rapproches du fruit d’origine que tu voulais.
Mais tu ne peux pas être un esprit qui n’a aucune forme sous peine d’empiéter sur un autre fruit et de plus mériter le titre de zoan. => Autre manière de dire que le choix d’un zoan implique une forme sauf le zoan de l’homme qui est déjà mangé
De plus, il y a beaucoup d’animaux qui ont une quasi forme humaine. Le singe et l’ours par exemple, le choix ne manque pas. => Toujours dans l’optique de rester dans le fruit que tu voulais être. Tu serais la même en un peu plus poilu ou avec des griffes si vraiment tu restes têtu.
Tu as devant toi un choix qui t’offre plus de possibilités sans être BG et tu te restreints automatiquement, ce qui est très dommage. =>Je n’ai pas lu la présentation mais si on t’a donné un grade de lieutenant colonel tu as une large gamme de choix. Je dirai niveau 5 ou 6 facile, après je préfère me faire une relecture pour être sûr. Ton demande un fruit qui te contraint à peu de liberté. Là, l’imagination est super grande à un point inimaginable.
Je ne suis pas un modo qui aime punir, mais je le fais quand il y a trop d’ambiguïté. J’ai d’abord demandé de te chercher une solution avant de proposer la mienne. Maintenant, il faut savoir ce que tu veux. Tu es toujours libre de choisir. J’ai exposé les problèmes et j’espère que tu les comprends. Je t’ai offert beaucoup de mon temps et j’espère que tu te rends compte que ce n’est pas que ça me fait plaisir. Je suis aussi déçu que tu n’aies aucunement pris en compte mes remarques dans la partie demande de fruit et en flood. C’est normal après de se taper sur un mur. J’ai réfléchi, j’ai vu les possibilités et les défauts. Il sera inutile de me répondre par une explication supplémentaire qui alourdirait la présentation et qui ne serait qu’une répétition. Je peux un changement de définition dans ton prochain poste qui prend en compte mes remarques. Je tiens aussi à dire que ma solution n’est pas la solution absolue. Tu es libre de trouver un autre truc.
Je veux donc un vrai changement cette fois. | |
| | | [Suppr.] Maya Whiteflow Contre-Amiral
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Lun 23 Nov 2009 - 19:50 | |
| Prenant compte de tes explications j'ai finalement choisis de changer beaucoup de chose dans ma présentation.
D'abord, je m'excuse d'avoir été aussi têtue mais cette idée de fruit me plaisais vraiment. J'ai compris qu'elle ne pourrai pas être mise en œuvre dans ce forum je vais donc basculer ma demande sur un fruit plus ... commun. donc voici mon nouveau fruit bien fini, si tu accepte qu'il me soit attribué, je ne t'embêterais plus.
Akuma Akuma No Mie : Permet à l’utilisateur de se changer en Démon ou en forme hybride. Maya a quelque peine à pouvoir contrôler son zoan pleinement et navigue toujours entre une phase de contrôle et une phase libérée. Lorsque Maya est frustrée ou en colère, celle-ci perd le control et laisse échapper la forme libéré du Zoan. La forme libérée est une forme représentant l’animal sous forme de monstre. La force et la résistance sont également fortement accrues. Malheureusement, cet état est incontrôlable et il n’est pas rare qu’elle attaque ses propres amis. Cet état cesse seulement quand Maya se calme pour reprendre le contrôle de son Zoan ou quand elle est fortement affaiblie après un combat.
Un démon se défini sur plusieurs critères :
- les yeux virent au jaune et les pupilles prennent la forme de celle des chats :
- Les Ailes semblables aux ailes d'ange mais noires, et donc pourvue de plumes :
- Les cornes, plus ou moins longues :
- Spoiler:
Après, les différentes formes ne sont pas définies :
- Les ongles s'affinent, s'allonge et se durcissent devenant aussi dures que le marbre :
- La Queue
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| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Mar 24 Nov 2009 - 20:24 | |
| Même si je suis contre, le zoan de l’ange sur le forum t’offre en quelque sorte ma validation. Je te demanderai à l’avenir d’avoir un esprit plus ouvert, c’est pour ton bien. Un truc, oublie les ongles de 12 km comme sur l’image, on reste sur le traditionnel sans fantaisie extrême | |
| | | [Suppr.] Maya Whiteflow Contre-Amiral
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| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] Mar 24 Nov 2009 - 20:50 | |
| d'accord et tu donnerai quel niveau à ce fruit ? | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] | |
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| | | | ♣ Présentation de Maya Whiteflow ♠ [Validée] | |
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