One piece Rpg Bienvenue sur les mers du Rp, Invité |
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| ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] | |
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Nami Soriou Révolutionnaire confirmé
Profil Psy : Psychopathe, douce, cruelle, attirante, choisissez Nombre de messages : 1129 Age : 34 Fruit du Démon : Suke suke no mie (invisibilité)
[Feuille de personnage] • Renommée: 3600 • Wanted: 142 000 000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Jeu 5 Nov 2009 - 14:19 | |
| Bien le bonjour à tous, je suppose qu’il faut se présenter quand on arrive en terre inconnue, aussi voici ma fiche. Mais tout d’abord mon successeur : ~ Présentation du joueur ~ Prénom : Ely Age : 19 ans Sexe : F Comment avez vous connu le forum ?Par hasard Combien d'heures vous vous connectez par jour ?Très aléatoire mais en moyenne 1 heure à 2 heure, le soir Tes Mangas préférés :Bleach, One Piece, Negi Ma … Ton pirate préféré dans one piece :Robin Hobbys :Surf, volley-ball et guitare ~ Présentation du Personnage ~ Maintenant, je me présente. Je m’appelle Nami Soriou. Quel joli nom, vous ne trouvez pas ? Personnellement, je trouve que ça rappelle un sentiment très étrange comme une sorte de beauté sauvage se trouvant enfermer depuis fort longtemps et qui retrouve enfin la liberté. Ce sentiment qu’attendent tellement d’âme, enfermée dans un corps égoïste. Et si depuis je vis sur ce monde, je les aide au mieux à retrouver la liberté, la mienne est, et sera encore bien longtemps emprisonner. Ce nom que me donnèrent mes parents, je le portai comme une dernière fenêtre sur le monde, comme une dernière possibilité de liberté, pour mon âme meurtrie. Et je le porte ainsi depuis vingt-deux ans, du haut de mes 1 mètre 67, pour près de 52 kg … ~ Physique ~ Pour ce qui est du physique, je le décomposerai en trois parties, la tète, le corps et les jambes de façon à être au mieux compréhensible par la majorité de la population qui me lira. Commençons donc sans plus tarder : Mon visage ressemble à tout ceux que l’on rencontre sur les routes, si banale que s’en est parfois ennuyant. Avec un petit nez, ni crochu ni plat ni couvert de verrues. Des yeux marrons hérités de mon père pour des lèvres fines et légèrement rosées hérité de ma mère. Seul mes cheveux, toujours en bataille, d’un marron châtaigne ne provenaient qu’un membre de ma famille. C’était en quelque sorte ma seule marque, indiquant que j’étais très différente des autres personnalités familiales. Je les portais ainsi mi-long et dans tout les sens, autant dire qu’ils gardaient les marques de mon sommeil précédent. Ma mère me disait si souvent que je devais les peigner, en prendre soin et de les disciplinés au mieux. Mais suite à différentes expériences afin de lui faire plaisir, tout ce que j’avais dans le miroir, c’était l’image d’une petite fille modèle, à qui rien ne pourrait lui arriver, tellement elle était mignonne et gentille. Sauf que voila le problème, je ne suis pas une petite fille mignonne, gentille et modèle, certes et on me le dit souvent, j’ai du charme, bien que je ne sache pas où ils le voient ce charme, mais au fond de moi, il n’y a rien de cette petite fille modèle. Bien au contraire, ainsi je ne pouvais et ne pourrais jamais supporter d’être bien coiffé, avec du maquillage et tout les accessoires de beauté qui vont avec. Ensuite, je possède des petites oreilles, ni pointu, ni extra large, ni quoi que se soit d’autre, juste petites à mon goût. Donc histoire de les faire ressortir un petit peu, j’y ai accroché différentes boucles et petites pointes, le tout en argent, ma famille s’était cotisé en totalité pour me les offrir le jour de mes 18 ans, par conséquent je ne les ai jamais quitté pour quelques raisons que ce soit. Passons au corps maintenant. Sur ce point, autant le dire, j’ai des complexes, quoi de plus normal pour une jeune fille, me direz-vous. En particulier, ma poitrine est trop petite. Ça c’est une partie hérité de la famille que je n’aime pas du tout, en comparaison, ma cousine en a des bien plus gros, sans que ce soit exagérer non plus, ce qui lui donne des formes voluptueuses sans la graisse qui s’accompagne d’ordinaire. Ensuite je ne vous l’ai pas dit, mais j’adore les tatouages, tout particulièrement ceux à forme tribale, je m’en suis fais faire un peu partout sur le corps, mais tout particulièrement dans le dos, sur les épaules et les bras pour finir sur mes petites mains délicates, comme me dit trop souvent ma mère dans mon enfance. Si on continu à descendre, nous arrivons au niveau des hanches. De ce coté-ci, aucun complexe, je m’en venterais presque, puisque je peux manger tout et n’importe quoi sans prendre un gramme. Et ça ma cousine en est tellement jalouse, que s’en est hilarant parfois. Mais on ne peut pas tout avoir. Ensuite les jambes, voila un point souvent problématique pour les filles, il faut qu’elles soient ni trop longues ni trop courte, ni trop large et surtout sans poil … bref c’est un casse-tête sur le quel trop de femme gâche leur vie et leurs économies. Et même temps je dis ça, mais j’ai eu une chance toute particulière, j’ai été doté dès la naissance de jambes fines, ni trop longues, ni trop courtes, sans non plus être squelettique et ayant la même faculté que mes hanches. Pour la question vestimentaire, je ne n’ai pas un avis arrêter sur tel ou tel style. Même si je ne porte que rarement autre chose qu’une robe noir à dos nu et ouvert au niveau des cuisses attacher avec un cordage complexe, c’est une robe appartenant à ma mère, elle est inestimable. Il m’arrive tout de même parfois de mettre quelque chose d’un peu plus masculin, tel qu’une chemise blanche sur un short en jean marron. Pour les chaussures par contre, je suis totalement contre les sandales à talons, aussi soit je suis pied nu, soit je porte des spartiates. Pour les incultes de la mode, se sont comme des tongues mais attachés à la cheville pour remonter sur le mollet. Et pour finir, je possède des bracelets en argent aux poignets ainsi que quelques bagues sur l’index, le majeur et l’auriculaire de la main gauche. Ceci étant terminé, parlons muscle à présent puisque j’aurais très certainement quelques gamins qui viendront me chercher des crosses un jour ou l’autre. Et c’est un petit peu normal, d’extérieur, j’ai l’air fragile, et peureuse sans doute, comme une fleur craignant que le vent lui coupe la partie si mince mais vitale qu’est sa tige. Et bien j’aime autant vous dire que je les attend ces jeunes, tous aussi intrépides les un que les autres. On vous a très certainement dit à un moment crucial de votre vie, que l’habit ne fait pas le moine, et bien figurez-vous que c’est mon dicton préféré, et je ne manque jamais une occasion de le mettre en pratique. ~ Caractère et moral ~ Passons au caractère à présent. J’ai reçu depuis ma plus petite enfance et d’aussi loin que je me souvienne, une enfance mouvementé, avec mes petites soeurs. Mon père n’était quasiment jamais à la maison, et ma mère ne supportait plus se va et vient totalement aléatoire que mon paternel effectuait, cela pouvait être aussi bien plusieurs fois dans la même journée qu’une seule fois dans la semaine. Mais même si nous avions interdiction de parler de ça, et qu’il y avait une ambiance assez familiale. Ma mère travaillait toute la journée, c’était donc moi qui avait pour tache de veillé sur mes cadettes, et lorsque le travail finissait, ma mère trouvait encore le temps et la force de s’occuper de nous, de jouer, d’expliquer des choses de la vie diverse et variée. C’était une femme remarquable, et elle ne méritait sûrement pas une fin comme la sienne. Toute ma vie et jusqu'à ce jour, j’essaye de lui ressembler, de faire aussi bien qu’elle, mais il faut croire que je ne suis pas à la hauteur. Ce qu’il y a en ce monde je ne peux pas supporter, c’est la lâcheté et l’égoïsme, faire comme bon nous semble quand on en a envie et où on a envie, sans se soucier du mal que l’on peut produire autour de nous et sans s’inquiéter de savoir si l’on a besoin de nous ailleurs. Ça, c’est intolérable, et malheureusement c’est un des critères spécifiques de très nombreux pirates. Et C’est là ma motivation d’entrée dans la marine, puisque qu’il y a tellement plus de pirates et de révolutionnaire que de marine, j’aurais bien plus de cible qu’en me mettant dans l’un des autres camps. Ensuite, arriver à mes quatorze ans, ma courte scolarité et mon vagabondage dans les différentes villes m’a permis d’étendre mon savoir sur la médecine et les traitements qui fallait pour guérir un tel ou tel virus. A ma grande surprise, je me passionnai très rapidement pour ce domaine pourtant si compliqué et si vaste, mais quand je me lançais dans mes petites études, le temps ne comptait plus. Je faisais différentes expériences dans un coin de ma chambre, que j’allais ensuite faire vérifier aux professeurs et médecins, non pas sans risque bien sûr mais c’était si intéressant que s’en est indescriptible si l’on ai pas du même avis que moi. Avec toutes ces aventures abracadabrantesques, je me suis forgé un caractère bien à moi, influencé par les différentes personnes que j’ai rencontré jusqu’alors. Mais si la médecine me passionne, la politique m’insupporte au plus haut point, avec tous ces personnages plus étranges les un que les autres, et leurs discours tout aussi ennuyant que soporifique. Même s’ils font des tas et des tas de gestes dans tout les sens pour relever notre attention et dynamiser leur discours, à quoi cela sert de faire autant d’effort pour au final raconter un document d’une centaine de ligne qui n’a totalement aucun sens. A moins que je n’ai pas les neurones requis pour les comprendre. Pour ce qui est des hommes, tout ceux que j’ai rencontrés jusqu’à présent ne pensait qu’à leurs sous, à l’alcool ou à me faire des mômes, pour certains c’était même les trois en même temps, autant vous dire que ça n’a pas duré longtemps. Pour ce qui est de mes techniques de combat, je suis tout spécialement une femme de contact, même si cela ne me déplait pas de temps en temps de prendre un peu de distance en volant une arme à feu à quelqu’un qui passait par là, j’ai une prédilection toute particulière pour les fines lames bien tranchantes. Quelle merveille invention que ces outils de destruction, rapide, efficace, silencieux et très facile à dissimuler. Et si l’on possède quelques aptitudes dans ce domaine, il est très facile de tuer quelqu’un sans que personne ne s’en aperçoive, et de ce faites, vous pouvez vous retirer de la scène sans soupçon possible. Je possède ainsi deux dagues d’une longueur de vingt-cinq centimètre dissimulé quelque part sur moi et d’un takana accroché dans mon dos lorsque je pars à l’aventure. Egalement je débute dans le domaine du poison, mais là je suis encore très loin d’une experte, et l’apprentissage est très, très long. ~ Rève/but ~ Libérer toutes les âmes de leur prison charnelle, sans exception.
Dernière édition par Nami Soriou le Sam 14 Nov 2009 - 1:59, édité 4 fois | |
| | | Nami Soriou Révolutionnaire confirmé
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Dim 8 Nov 2009 - 0:59 | |
| ~ Histoire ~ Par un rude mois de décembre, la neige tombait ardemment dans les rues de ma petite ville natale, portant le nom de Kin Town. Là-bas, dans une impasse se trouve un hôpital, et dans cet hôpital, il y a une fenêtre au dernier étage, montrant une pièce allumée. Il est vingt-deux heures et quarante neuf minutes quand retentirent dans la chambre des hurlements assourdissant, des cris provenant des plus profonds lieux que l’on peut avoir en soi. Cette nuit-là, je naquis. Deux ans plus tard, je faisais mes premiers pas tout seul sur le tapis du salon, puis vint mes petites sœurs jumelles, Julie et Alice. Presque tous les jours, nous allions en famille dans un petit parc au coin de la rue, mes sœurs sur la balançoire et moi jouant avec ma corde à sauter. C’était un temps sans soucis, ou presque puisque la vie n’est jamais toute rose, mais nous arrivions à trouver un certain bonheur malgré quelques passages problématiques. Dès mes quatre ans, je fus scolarisé à l’école du quartier, mais bien que les professeurs étaient tout à fait compétents, je ne faisais pas parti des bons élèves. Et cela, ma mère ne le comprenait pas, elle qui aurait tellement voulu être scolarisé, faire des études et avoir une vie bien meilleurs qu’actuellement, elle ne comprenait pas que je ne puisse pas être capable d’avoir les meilleurs notes possibles, de ne pas avoir un avenir radieux et surtout vivre convenablement, avec un mari qui saura s’occuper de moi. A l’époque, tous ces mots n’avaient strictement aucuns sens, pour moi, l’école n’était là que pour occuper les enfants lorsque leurs parents travaillent. Mais même si les cours et les professeurs avançaient, je continuais mon ascension dans la hiérarchie scolaire, et bientôt mes petites sœurs entrèrent elles aussi dans ce monde tout aussi ennuyant qu’épuisant. Vers mes dix ans, la vie familiale allait de plus en plus mal. D’après ce que l’on pouvait comprendre des nombreuses engueulades qu’avaient mes parents en rentrant du boulot, mon père allait être virer de son entreprise suite à un manque de font financier et une liste considérable d’actions négatives au sein de l’établissement. C’est à ce moment là que je voyais de moins en moins mon père, parfois je le suivais quand il sortait de son lieu de travail, il ne se rendait pas à la maison mais au bar du coin de la rue en compagnie de quelques collègues étrangement louches. Il revenait chaque jour un peu plus tard, la tète en sueur et le nez rouge. C’était tout à fait normal que ma mère s’en inquiète, mais lui ne voulait pas en parler, il répétait sans cesses que tout allait bien. Alors je déballais tout ce que je savais, tout mes petits rapports sur ces activités hors de son entreprise. Et le lendemain, il y eu encore une engueulade, plus violente encore que les précédentes. Mes sœurs et moi étions plaquées à la porte, observant la scène de ménage par l’entrebâillement, et suite à une impressionnante liste de jurons, mon père sortit de la pièce en claquant la porte d’entrée, c’est alors que ma mère s’écroula en larme, jurant le ciel afin de savoir ce qu’elle avait fait pour mériter ça. Après cet événement, mon père ne revenait pas, plus aucune nouvelle de lui et apparemment personne ne l’avait croisé dans le quartier. Quelques années passèrent, j’avais alors quatorze ans, quand un soir, et contre toute attente, il déboula dans la cuisine, le visage en sang et les vêtements trempés. Nous étions toutes sous le choc, c’était l’heure du dîner, l’une de mes petites sœurs avait encore la fourchette suspendue en l’air, qui en temps normal, aurait depuis longtemps été vidé son contenu dans sa bouche grande ouverte. Mon père était maintenant particulièrement barbu, ses cheveux avaient poussés pour lui arriver aux épaules, et malgré la pluie et le sang qui colorait son visage, on distinguait essaiment qu’il n’avait pas dormis depuis bien longtemps. Il commença à faire des gestes étranges, comme s’il avait perdu la parole. Voyant que l’on ne comprenait rien à tout cela, il souffla bien fort avant de parler. Il montra alors le coffre fort de la maison du doigt, tout en continuant de faire des gestes brusques, apparemment il avait besoin d’argent et vite. Ma mère se mit entre lui et le coffre, le menaçant de le frapper s’il touchait à ne serait-ce qu’un gramme de cet argent. Mon père la supplia alors, se mettant à genoux devant elle, je ne l’avais encore jamais vu aussi affolé, il regardait souvent en arrière, en direction de la porte d’entrée. Ma mère m’ordonna alors de prendre mes sœurs et d’aller s’enfermer dans la chambre. Regardant pardessus mon épaule, je la vis approcher un couteau à cuisine dans son dos, pour le glisser dans son tablier rose à pois bleu. A peine enfermée dans la chambre que la porte d’entrée s’ouvrit à la volée, manquant presque de se décrocher de son logis. Par expérience, mes sœurs et moi-même avions troué légèrement la porte de la chambre afin de voir les scènes de ménages qui se passaient de l’autre coté habituellement, aussi nous nous sommes immédiatement plaqué contre la parois afin de savoir ce qui se passait dans la pièce que nous venions a peine de quitter. Un homme plutôt petit et portant une veste longue noir, venait d’entrer, et au vu de à la fumée qui se dégageait de son passage, il fumait un cigare déjà bien consommé. Un éclair venait d’éclater à l’extérieur, ajoutant à l’ambiance actuelle quelque chose d’un peu plus effrayant. Le nouveau venu s’avançait pas à pas dans la pièce, d’une démarche lente et assurée, un petit sourire s’étirant sur son visage balafré. Son visage s’arrêta longtemps sur ma mère, la fixant de haut en bas, puis se reportant sur mon père, il demanda avec une voix lente et amusée où était son argent. Mon père le regarda un moment, l’air effrayé puis bouscula ma mère contre le mur afin de pouvoir accéder au coffre. Quelques secondes passèrent avant qu’il revienne devant le petit personnage en noir, une liasse de billets dans la main. La cause était inconnue mais on ne pouvait pas donner autant d’argent à quelqu’un sans explications, surtout étant donner le mal que l’on s’était donné pour l’avoir cet argent. En moins d’une seconde, ma mère surgissait de l’ombre et gifla son mari si fort qu’il fut projeté contre le mur de la cuisine, l’argent s’éparpillant sur le sol. Elle se retourna ensuite vers l’autre énergumène, et lui demanda la raison de ce don, le menaçant d’un couteau de cuisine. Celui-ci ne répondit pas mais sortit un revolver de l’une des poches intérieures de son manteau et le braquant sur le front de celle qui venait de lui poser la question, toujours le sourire vicieux en coin. Tout alla ensuite très vite, et la description en serait que trop incompréhensible, par contre pendant un instant, plus rien de bougeait dans la maison, plus un bruit de qui que ce soit ni de quoi que ce soit. Quelqu’un était visiblement adossé à la porte de la chambre, bouchant ainsi les petits trous d’espionnage. Du sang coulait à travers ces espaces, quand je vis clairement le corps inerte de ma mère glissant contre le bois pour s’écrouler sur le sol, libérant ainsi la vue. Mon père se tenait face à cette porte, toujours debout sans faire le moindre geste, comme figé sur place, le revolver de l’homme en noir dans sa main, encore fumant en direction de la chambre. J’écartai immédiatement mes sœurs, leurs demandant de ne faire aucun bruit, malgré les larmes coulant à flot. On se précipitait dans le placard le plus proche, mais une voix dans ma tète hurlait si fort qu’elle couvrait à elle seule le besoin de pleurer. Elle martelait mon crâne, m’ordonnant d’utiliser mes compétences de vilaine fille pour venger ma mère. Je sortis alors sans bruit de notre cachette pour aller chercher mes petites dagues dérobées à un marchant il y avait quelques mois de cela. Cette petite voix, si familière et en même temps si étrange, m’obligeait à revoir des quantités énormes d’images retraçant toutes ces années passées en compagnie de ma mère, de tout ce qu’elle avait sacrifié pour notre bonheur. Et cet album s’arrêta sur la dernière image encore présente dans mon crâne, celle de mon père il y a de ça presque dix ans. Une haine montait alors en moi, une colère indescriptible envers cet homme qui n’avait vécu que pour lui. La scène qui suivit fut des plus meurtrières et sanglante, comme celles que nous lisons dans les livres, au moment où le personnage principal, remplit de haine, vengeait la perte d’un être bien aimer, la conscience complètement déconnecté de ces gestes, n’étant plus qu’animer par l’envie et le besoin de faire ressentir aux coupables le mal qu’ils venaient de répandre. J’étais dans ce cas là, et quand je redevins maître de mes mouvements, les deux hommes étaient étendus sur le plancher, plusieurs de leurs membres gisait ici et là, alors que je serrais le cadavre de ma mère contre moi, les larmes ruisselant. J’entendis alors la porte du placard de la chambre s’ouvrir, je ne pouvais pas laisser mes sœurs voir cette boucherie. Un bandage sur les yeux de chacune, je les emmenai à l’orphelinat de la ville malgré la pluie torrentielle et les éclairs explosant dans la nuit noire. Arrivé dans l’établissement recueillant les orphelins, j’expliquai longuement à chacune que je ne pouvais pas rester avec elles, il était temps pour moi de quitter cet univers. C’est ainsi que je partis sur les routes du monde, naviguant clandestinement sur les navires des commerçants. Mon voyage m’amena à connaître divers chercheurs, professeurs et docteurs m’exposant leurs théories, leurs expériences et leur savoir. Je trouvai tout cela véritablement intéressant, pouvoir guérir quelqu’un d’un mal invisible, cela relevait parfois du miracle alors qu’un bon médecin pourrait arranger cela. Tout ces gens étaient vraiment chaleureux envers moi, allant jusqu'à m’excepter dans leurs cours pourtant si cher et si rare. Les connaissances ne manquaient pas et si l’on avait un problème, les professeurs et chercheurs ne rechignaient en rien de pouvoir nous expliquer un point épineux. Et entre les devoirs, les cours et les esquives de dragueur, je m’entraînais dans un coin à l’utilisation de mes merveilleuses petites dagues, si bien que un jeune garçon me demanda de faire parti de son club d’escrime. Sauf que les dagues et l’épée, ce n’est pas tout à fait pareil. Du coup je essaya alors plusieurs armes mises à disposition dans certains clubs, jusqu'au jour où je me trouva une dextérité étrangement accru pour les armes à feu à longue distance, autrement appelé les snipers, alors que je n'en avais encore jamais touché un, ignorant même que cela existait. Tout ça pour dire que jusqu’à ma majorité, j’étudiais la médecine en compagnie des meilleurs professeurs et qu’à coté, je me perfectionnais au sniper au camp de tir, et aux dagues dans le club d’escrime. Mon dix-huitième anniversaire passait, je rentrai dans la marine en tant que médecin de bord. Les pirates leur menaient la vie dure, et sans personne pour les soigner sur place, le gouvernement perdait trop d’unité. Et pendant près de quatre ans, je fus médecin de bord, étudiant en même temps avec certains livres que j’avais emporter, jusqu’au jour où j’en eu marre, marre de soigner toujours les même tètes brûlées, à chaque fois c’était la même chose, il fallait donc que cela change, et vite. Je rentrai donc au port d’attache, direction le QG de la marine. C’est là-bas que j’avais le plus de chance de pouvoir intégrer un véritable équipage, avec des vrais matelots. Arrivé à destination, je m’arrêtai devant le tableau d’affichage des recrutements, et dans un coin tout en haut se trouvait une annonce du vice-amiral Sora cherchant de vaillants marins pour son nouvel équipage. J’allai donc déposer ma candidature quand un haut gradé stoppa ma démarche. Apparemment, je n’avais pas suffisamment d’expérience en tant que marin pour ne serait-ce que déposer cette candidature. Je lui demanda donc comment faire pour l’intégrer le plus vite possible, mais comme partout il y a certaines personnes qui ont l’esprit un peu tordu. Il me donna alors deux solutions, pour la première je devais faire mes preuves à bord d’un navire face à des pirates, quand à la deuxième je devais le persuader, disant ces mots il me fixait d’un air amusé, son regard partant de ma poitrine pour descendre jusqu’à mes hanches avant de me re-fixer dans les yeux. Je posa violemment ma lettre sur son bureau et lui disant que j’allais remplir sur le champs la première solution, et que la deuxième qu’il ne compte pas dessus. Je sortis alors de la pièce en vitesse afin de me lancer dans une nouvelle aventure. | |
| | | Nami Soriou Révolutionnaire confirmé
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 17:25 | |
| ~ Poste RP ~ Je sortis du bureau responsable des recrutements sur le pas de course, direction le port. Quand une jeune dame assise derrière un petit établi m’appela :« Hey, mademoiselle. Chuchota-t-elle tout en me faisant signe d’approcher. D’après ce que j’ai pus entendre, vous devez faire vos preuves pour avoir ce que vous convoitez.
- C’est à peut près ça, oui. Pourquoi ? Lui répondis-je.
- Et bien, j’aurais peut être quelque chose pour vous. Mais vous devez me promettre de ne dire à personne que c’est moi qui vous en ai informé. Voyant que j’acquiesçai, elle continua. Alors, en ce moment, le gouvernement manque de granit marin. Et par conséquent il en a commandé en grande quantité par navire. Mais une telle cargaison peut rapporter énormément d’argent a celui qui mettra la main dessus. Aussi, bon nombre de pirates s’attaquent aux marchants qui participe à la cargaison. Votre mission serait donc de s’incruster parmi les marines chargés de les escorter et de leurs prêter main forte. Avec vos capacités et vos talents de médecin, cela ne devrait pas poser trop de problème pour vous.
- C'est une excellente idée, merci beaucoup mademoiselle. » Je m'apprêtai à partir, quand je me retournai vers elle :« Mais qui êtes-vous, au juste ?
- Tu ne m'as pas encore reconnue ?
- Heu …
- Bin je suis ta cousine, pauvre cloche. Tu ne te souviens même pas de moi … c'est incroyable de voir combien je compte à tes yeux.
- Ma cousine ? … cousine … cousine … AH ! Nate ? C'est toi ?
- Non, non c'est le boulanger de la ville d'en face … mais évidement que c'est moi, pauvre nouille, je vois que tu n'as pas même pas remplacer ta poitrine contre plus de neurone.
- Hey oh, je ne te permets pas, espèce de vache à lait. » Il y eu un échange d'éclair dans le regard avant que l'on ne se tourne le dos. Puis un instant de silence, mis a disposition afin de calmer la pesanteur. Je commençai à partir quand elle lâcha :
- Bonne chance tout de même, misstinguette. Et évite de mourir.
- Inutile de me le dire, et prend soin de toi aussi, bye. Répondis-je en levant la main derrière moi. Je sortis alors du QG pour prendre la direction du port. Le soleil tapait fort en ce moment mais le vent glacial nous évitait toute insolation. Malgré cela, je pense que bon nombre de commerçant aurait préféré ne pas avoir ce vent d'hiver synonyme de chasseur de touriste. Le port en vue je pressai un peu le pas, histoire ne pas trop me faire remarquer. Sur le quai, un navire fortifier de la marine s’apprêtait à prendre la mer, les derniers matelots et soldats en rang devant le pont montaient au pas de course. Je me glissai donc dans la file, ni vue ni connue. Du moins c’est ce qui aurait été le plus simple sauf qu’il fallut qu’un des marins crie à tue tète :« Hey, t’as rien à faire ici, toi. C’est confidentiel. Dégage ! » Je le regardai longuement, sur son épaule était cousu l’insigne de lieutenant. Je souffla un moment puis redescendis du navire. Mais a peine hors de vue que je m’accrochai à un des cordages qui retenait le bateau à quai, une petite séance d’escalade et je me retrouvai sous le pont, au milieu des canons, poudre, boulets et bouteilles de rhum. Bon certes, c’est très sale, mal odorent et visqueux par endroit mais au moins je pouvais me laisser emmener sans poser de problème à quiconque. Bientôt le bruit et le mouvement significatif de la libération du navire se firent entendre à l’extérieur. Et le voyage commença en direction des navires marchants sans cesse attaqués par les pirates. Une attente longue et de plus en plus énervante débutait alors, dans ce silence pesant, entre bouteille de rhum et tonneau de poudre à canon quand des retentissements se firent entendre. Je passa ma tète au travers d’un des très nombreux écoutilles du navire, au loin on pouvait effectivement distinguer trois navires cote à cote, et de la fumée sortant des coques, mais à cette distance, il m’était impossible de reconnaître lequel des navires étaient celui à protéger, mais de toute évidence nous arrivions un peu trop tard. Je montai précautionneusement sur le pont, afin que personne ne me voie quand une explosion coupa net le silence et la concentration des matelots. Cette explosion venait visiblement d’un boulet de canon atterris en mer mais à moins de deux mètres du bâtiment de la marine, nous étions donc suffisamment proche pour être prit pour cible par l’ennemie. Le capitaine ordonna de riposter immédiatement, une vingtaine de marins coururent vers la soute, là où se trouvaient les canons et là où je me trouvais aussi. Il y avait donc urgence, je courus me cacher derrière un tonneau apparemment remplit de bouteilles de rhum. Les matelots s’activaient à préparer la riposte pendant que les dirigeants poster sur le pont continuaient leur approche du lieu de bataille. Une grosse ombre passa devant les écoutilles quand la voix du capitaine au dessus hurla :« FEU !! » Le vacarme qui suivit fut assourdissant, les boulets fusaient de partout, explosant les lattes de bois alors que de notre coté, on enflammait la poudre. La soute se transforma très vite en énorme chantier, des plaques de bois arrachées, des boulets de plusieurs kilos roulaient sur ce qui restait du plancher. Je courus en direction de l’escalier, n’étant ni canonnière ni fin tireur, il ne me restais plus qu’a monter dans l’un des navires pirates, histoire d’abord de les surprendre, et puis de stopper cette destruction immonde de navire si bien construit. Arriver sur le pont, des pirates étaient déjà arriver et combattaient brutalement et sauvagement contre les forces marines écrasés par tant de puissance de brutalité. Mes dagues en main, je me précipitai à la rescousse de ces malheureux qui tentaient par leur seule force d’obéir aux ordres d’un capitaine perché en hauteur et surtout en sécurité. Un tour de passe-passe et je me retrouva rapidement derrière la bande de voyous. En bon feignant, je les aurai laissé combattre pour partir directement sur l’autre navire, mais il fallut que j’aie une conscience, une conscience m’ordonnant de venir en aide à ces pauvres marines qui se faisaient tuer l’un après l’autre. Souhaitant donc éteindre au plus vite cette voix crissant, je tranchai net la nuque des quelques pirates se trouvant à ma portée. Les marins survivants me remercièrent chaudement, tout en gardant sur le visage le genre d’interrogation que l’on a lorsqu’on rencontre quelqu’un encore jamais vu mais qui nous offre d’entrée une marque d’attention à notre égard.
Ni faisant que peut attention, je reportai mon regard sur les cordages qui faisaient des allers-retours entre chaque navire. Un pirate sauta sur l’une d’elle en hurlant comme un dément, le sabre en l’air et prêt à trancher tout ce qui passera à sa portée. Malheureusement pour lui, il n’eu pas le temps de poser les pieds sur le pont adverse que je lui avait déjà enfoncé une de mes lames au travers du crâne, le tout en faisant bien attention de récupérer la corde. Une rapide partie de voltige et je me retrouva très rapidement encerclé par l’ennemie, que de bonheur n’est-ce pas ? Ils n’étaient que sept contre moi, que je fonçai directement sur le premier arriver. Une tète vola dans les airs, aspergeant par la même occasion les six autres pirates. Chacun se ruèrent sur moi à leur manière, l’un par le bas pour trancher verticalement, d’autre de front sans avoir de réel plan d’attaque. Mais leur offensive était voué à l’échec, non pas grâce à mes talent de guerrière mais tout simplement parce qu’ils étaient trop manchot pour attaquer en groupe, se gênant l’un l’autre, des coups de sabre volant par-ci par-là, allant jusqu’à blesser leurs propres confères.
C’était un spectacle pour le moins étrange et comique, mais il y avait mieux à faire que de regarder des bandes de novice s’entre-tuer. Je monta donc le pont contenant la barre, là se trouvait trois autres pirates. Un portant un chapeau grotesque serti de plumes, sûrement le capitaine du navire, un autre si petit que l’on ne le remarquerait presque pas si seulement il ne faisait pas autant de bruit avec son mini canon fixé sur le bord en bois, le troisième pirate présent sur les lieux portait un grand et large tablier tacher de sang sur presque toute la surface, certainement le cuisiner. Au moment de mon arriver, tous se stoppèrent dans leur action, visiblement étonné de voir une jeune femme sur leur bateau qui d’autant plus portait avec elle des armes déjà tachées de sang. Je pris la pose précédent l’assaut, les jambes légèrement écartées pour augmenté sa stabilité, le bras droit plier devant le visage, une des dagues tendues en direction des cibles, tandis que le bras gauche restait légèrement en arrière afin d’avoir suffisamment d’espace pour prendre son élan. Les deux hommes regardèrent leur capitaine, attendant ses ordres comme deux merveilleux petits toutous bien dressés, quand celui-ci brandit se qui lui servait de sabre vers moi :« Pauvre gamine, tu n’aurai jamais dû venir jusqu’ici. Tuez-la. » Sans aucune hésitation, les deux acolytes se jetèrent sur moi, le capitaine restant en retrait. Le petit pirate était plus rapide que le pseudo cuisiner qui courait à sa manière, et donc avec une démarche lente et particulièrement bruyante. Le premier round se déroula donc contre le petit homme haut comme trois pommes, courant comme un dératé dans un espace plutôt petit et sans mur. Aussi inutile de décrire la suite de la scène. Je me décala légèrement sur le coté tout en laissant un pied sur le passage, cette technique plus communément appelé croche-pied est véritablement redoutable contre certaines personnes n’utilisant que trop peu leur cervelle en contrepartie des muscles. Le petit homme ne vit que trop tard cette fourberie qui le conduisit directement dans la mer. Le cuisinier arriva ensuite, l’une de ces mains sortant de son tablier un gros hachoir apparemment bien aiguisé qu’il envoya sur moi à la même manière d’un un bûcheron découpant une bûche trop solide. Mais le surplus de graisse et de muscle rouillé rendait ce geste trop lent, ne misant ainsi que sur la force. Son hachoir se planta dans l’une des lattes qui formaient le pont du navire avec tant de force que les vibrations se répercutèrent dans la masse de graisse du pirate cuisiner. Ce dernier resta un instant sur place, se demandant pour quoi il n’y avait rien à cet endroit là alors que la seconde précédente se trouvait la gamine, puis pivotant légèrement la tète vers son capitaine, son visage prit une couleur véritablement pale en m’observant en train d’essuyer superficiellement l’une de mes dagues. Il voulut alors se relever mais ces jambes de lui obéissait même plus, jusqu’au moment où il reçut un dernier coup sur le crâne. Sa tète venait de tomber au sol, laissant le reste du corps sur place. Chose faite, je me retournai vers le capitaine, qui malencontreusement avait disparut, laissant sur place son tricorne en cuir. Une course poursuite commença alors, au travers des combats sanguinaires que menaient les marines contre les pirates, pour finir sur le pont du bâtiment du gouvernement. Le capitaine pirate avait prit en otage le capitaine actuel de ce bâtiment, le lieutenant même qui avait refusé que je monte à bord. Quel étrange sentiment, il me regardait d’un air à la fois surpris, et effrayé par ce coupeau qu’apposait le pirate sur sa carotide, insistant de plus en plus sur la peau. Sans faire attention à cette position peu commune, je lançai au lieutenant :« Re-bonjour, monsieur. Vous vous souvenez de moi ? Je suis celle à qui vous avez dit dégage, c’est confidentiel. Ça vous revient ?
- Tss, je vous ai dit de ne pas venir mais visiblement vous n’avez rien compris.
- Si si, j’ai tout compris, mais en imaginant que je n’es pas été là, vous seriez très certainement tous mort, égorgé par tous ces pirates. Au faites, je vous présente le capitaine de cet équipage. Et oui, c’est celui qui vient de vous prendre en otage.
- D’accord, mais on est pas plus avancer là, et si ça continu, je vais en perdre la tète.
- Ta Gueule, minable ! S’exclama le capitaine pirate. Et toi, la femme, tu va regretter ce que tu as fais à mes hommes. Attention ! Un pas et ce cher lieutenant n’aura plus sa tête d’ordure pour faire le lèche-cul aux supérieurs.
- D’accord, et comment comptes-tu me faire regretter cela ? Étant donné que si tu t’éloignes de ton otage, tu meurs et si tu t’approches de moi, tu meurs. »
Un sourire apparut sur le visage du pirate, alors qu’il détacha les boutons de son manteau.
« Personne ne pourra s’échapper, vous mourrez tous dans d’atroces souffrances ! Ahaha.
- D’accord d’accord, on va tous mourir, mais explique nous au moins comment va-t-on mourir.
- A la dynamite !!! Hurla-t-il, en arrachant la veste, mettant à jour une ceinture de dynamite prête à exploser. Le premier qui bouge et je fais tout sauter !!
- ok, d’accord je vois. Hum, je crois que j’aurai une solution à ce problème … » Quittant le cercle qui s’était formé autour du lieutenant, je descendis à la calle pour en ressortir avec un sot remplit d’eau dans les mains. « Dégager le passage ! Pardon mon lieutenant. » SLASHHHH….. Les deux hommes étaient à présent trempés jusqu’aux os. Le pirate jura de tous les noms et actionna la mise à feu de sa ceinture. Dommage que la dynamite n’explose pas une fois mouillé. Il hurla de toute sa rage, et courut sur moi, entaillant gravement le lieutenant au passage. Je m’apprêtai à lui régler son compte quand un marin lui sauta dessus, le jetant à terre. Et en un tour de main, il lui passa les menottes avant de porter son regard sur moi : « Excusez-moi, mademoiselle mais il faut que cet homme reste en vie, il ira au devant de la justice du gouvernement. Et vu de vos exploits sur le navire ennemi, je ne pense pas me tromper en pensant que vous vous appétiez à le tuer.
- Pff, quel rabat joie tu fais, matelot. Répondis-je en soufflant, puis je levai les yeux. Oula, votre lieutenant à l’air très mal en point. » En effet, l’ancien otage se tenait le bras gauche dégoulinant de sang, et semblait sur le point de s’évanouir, ce qu’il fit quelques secondes plus tard. Avec l’aide de quelques marins, nous le transportons dans sa cabine, où le lit avait été préparé. Ayant des connaissances assez poussées dans la médecine, je restai seule à ces cotés, nettoyant la blessure de son bras étonnamment profonde. Quelque heure plus tard, il se réveilla couvert de bandage dont le bras gauche dans le plâtre. D’instinct, il se redressa sur son lit. Etant assise à coté de lui, il me demanda : « Que s’est-il passé ? Comment ça se fait que je sois dans cet accoutrement ? Et qu’est-ce que vous faites dans ma cabine ? Sur mon siège en plus.
- Vous revoilà parmi nous, cap’taine. Alors comment vous sentez-vous ?
- Mal, très mal. J’ai des courbatures partout et je sens comme une brûlure dans mon bras.
- Je vois … je vous conseille donc de rester coucher, du moins pour le moment.
- Mais … mais non, je dois immédiatement organiser les troupes, envoyer des marins réparer le navire et ceux des marchants, consolider les coques … » Il se leva brusquement quand un coup de pied le renvoya dans son lit. « Tes hommes se sont occupés de tout, et nous sommes déjà en route pour le QG.
- Mais c’est de mon devoir de … » Je m’approchai de son visage, une de mes mains tenant mes dagues dégainées : « Si tu bouge … je te tue. Tu crois peut être que tous ces matelots sont des petits robots sans cervelle ? Et moi, je pouvais très bien te laisser crevé, agonisant de douleur alors que tu étais déjà inconscient. Et surtout après que tu m’as rembarrer comme ça quand je voulus monter à bord. Mais non, je t’ai sauvé la vie. Alors tu es prié de bien rester tranquille jusqu’à ce que tu guérisses. C’est clair ?
- Mais … mais …
- Sinon c’est très simple, je t’achève sur le champ. A toi de choisir.
- Très bien, d’accord je ne bougerais plus. Mais s’il vous plait, arrêtez de me tutoyer. Je suis quand même lieutenant de la marine.
- C’est ça, fais dodo. » Je sorti de la cabine, refermant la porte derrière moi. Tous les marins s’étaient regroupés devant la cabine du capitaine et attendais mon verdict : « Tout va bien, et il est en plein forme. » Une joie sans limite s’empara de tous ces jeunes marins, jetant leur casquette bleue en l’air et serrant tout ceux qui passaient à leur porté dans leurs bras. J’eus même droit à être porté, tel une héroïne ayant libéré la population d’un mal inconnu et terriblement destructeur. Le voyage retour sembla durer que qu’une dizaine de minutes alors que le QG de la marine était en vue. Il fallut alors reprendre notre sérieux, ce qui n’était cela dit en passant pas si facile. L’arrivé dans le port se fut alors sans encombre et surtout avec le même sérieux qu’au départ. Je fus parmi les premiers à quitter le navire, un marin et moi aidions le lieutenant à marcher, direction le QG. Arrivant dans le hall, je demanda à ce que l’on installe le capitaine sur un fauteuil, juste le temps de régler quelques différents avec un haut gradé. La porte étant fermée, je cognai trois fois, aucune réponse. Jusqu’au moment où ma cousine vint m’ouvrir, puis me fit entrer avant de me laisser seule. L’homme que je voulais voir était assis sur son fauteuil, un cigare à la bouche et me regardais fixement : « Alors tu a fais tes preuves ? Je serais curieux de voir comment tu aurai pu de débrouiller, et surtout aussi vite.
- C’est très simple, vous n’avez qu’à aller poser la question au lieutenant assis dans le hall, derrière cette porte. Il ne pourra que mieux vous raconter cela. » L’homme souffla longuement en l’air avant de se lever, et d’un pas décisif, il alla questionner le lieutenant. A cette distance, je n’entendais pas ce qu’ils disaient, par contre je voyais très clairement ma cousine levant les deux pouces vers moi, un clin d’œil en plus. Le personnage haut gradé revint ensuite vers moi : « Je vous félicite, vraiment. Et cette demande sera archivée d’ici quelques minutes. Aller retrouver le Vice-amiral Sora Shizen à trickbast, et bonne chance.
- Merci monsieur. Au revoir » Je m’apprêtais alors à reprendre le lieutenant quand celui-ci me fit signe que c’était inutile, et d’un geste de salutation il me dit au revoir. Ma cousine derrière me donnait des tapes dans le dos en répétant : « Bravo ma vieille, et bonne chance pour la suite de tes aventures » Et c’est ainsi que je partis pour de nouvelles aventures, à travers les flots.
Dernière édition par Nami Soriou le Ven 13 Nov 2009 - 18:27, édité 1 fois | |
| | | [supp.] Xino J. Shinichi Nouveau
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 17:35 | |
| Bienvenue Si tu fais un effort de relecture pour corriger du mieux que tu peux tes fautes, je te donnerai un niveau de fruit entre 7 et 8. 8 pour un zoan ou un paramécia et 7 pour un logia. Voilou, | |
| | | Cyanure Pirate légendaire
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 18:11 | |
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| | | Nami Soriou Révolutionnaire confirmé
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 18:18 | |
| ~ Petite présentation des équipements : ~ Deux dagues : Lame principale 25cm , 4 petites lames courtes autour du manche Les lames sont en acier inox. Manche métal assemblé ciselé aspect vieil argent au bout se trouve également une petite lame. - Spoiler:
Le sniper :Du style plutôt winchester, ayant une précision à verrous pour une balle par coup. Il y a donc un court instant pour la recharge à la suite de chaque tir. - Spoiler:
~ Fruit du démon : ~ Pour ce qui concerne le fruit, j'ai plusieurs questions :- ¤ Est-il possible que mes dagues et les balles de mon sniper soit en granit marin, remplaçant ainsi l'éventuel fruit du démon.
- ¤ Puis-je savoir à quel niveau de fruit ai-je accès, si jamais ma demande ci-dessus est refuser. J'irais alors choisir dans la liste des fruits disponibles.
J'attends avec impatience vos commentaires. | |
| | | [supp.] Xino J. Shinichi Nouveau
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 18:29 | |
| Pour le fruit, je l'ai dit plus haut:
-8 pour un paramécia ou un zoan.
-7 pour un logia.
Pour ce qui est du granit marin, je serais d'accord, mais il faut que tu justifie in rp que ta demande a été acceptée par Marie Joa, et que l'une de tes dague a été recouverte de granit. Pas plus d'une dague, et il faut absolument qu'un coursier te l'apporte in rp. Pour les balles en granit marin, je suis contre... | |
| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 18:38 | |
| On a dit que le granit était similaire à un fruit niveau force. Fruit ou granit, faut choisir. | |
| | | [supp.] Xino J. Shinichi Nouveau
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 18:40 | |
| Oui, j'avais oublié de spécifier dans mon post, je pensais que c'était évident... C'est l'un ou l'autre bien entendu... ^^' | |
| | | Nami Soriou Révolutionnaire confirmé
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 19:02 | |
| voila, j'ai relus et corrigé toutes les fautes que je croisais sur le chemin. Pour Célérion, j'ai bien précisé ma demande, du granit marin OU un fruit. Par contre, je comprend pas vraiment Xino refusant mes balles en GM, est-ce possible d'avoir un peu plus d'explication ?
Par contre, et là je crois que je suis trop gourmande mais, si jamais je n'ai qu'une seule dague en GM est possible que je me trouve un fruit de niveau inférieur ou égal à 3 ? | |
| | | [supp.] Xino J. Shinichi Nouveau
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 19:54 | |
| Nop, c'est fruit OU granit marin sur une dague ... Pour ce qui est des balles en granit marin, c'est très simple, le granit marin, ça coute super super cher... Et une balle, c'est à usage unique... Je te vois mal aller farfouiller dans le corps de ton adversaire pour récupérer ta balle, ou aller la chercher si tu as raté ta cible. C'est donc de l'argent eprdu pour le Gouvernement. Voilà pour l'explication in rp. Pour ce qui est de l'explication partie IRL, c'est surtout qu'une balle, ça s'esquive difficilement, en général, ceux qui ont un sabre les tranche parce qu'ils ne peuvent pas les esquiver. Or le granit marin ne se coupe pas d'un mouvement de sabre, même Jaag n'est pas assez grosbill pour ça... ^^' Donc pour des raisons de grosbillisme potentiel trop flagrant en IRL et des raisons purement pécunières in rp, je n'accepte pas les balles en granit marin... A la limite, j'accepte que tu ai une et une seule balle en granit marin, mais dans ce cas, tu n'as pas ta dague en granit... | |
| | | Nami Soriou Révolutionnaire confirmé
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 22:35 | |
| ok mais Sora shizen à un fruit et une épée en GM ... c'est un peu contradictoire avec ce que tu dit Xino ...
enfin bon, sinon je demande le fruit Suke Suke No Mie : (Paramécia de l'invisibilité) Permet de devenir Invisible ainsi que ce qu'on porte. | |
| | | Okama Momifié Nouveau
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Ven 13 Nov 2009 - 23:19 | |
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| | | Cyanure Pirate légendaire
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Sam 14 Nov 2009 - 0:04 | |
| Fallait bien que je l'étrenne! | |
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Sam 14 Nov 2009 - 1:46 | |
| Nami, Sora a un fruit + une épée en GM, tout comme moi. La différence réside dans le fait qu'on a obtenu nos "suppléments" à la sueur du Rp. Sora a un niveau très haut, et moi j'ai rempli des quêtes pour obtenir ce dont j'avais besoin. Les avantages se méritent, on ne peut tout avoir dès le début | |
| | | [supp.] Xino J. Shinichi Nouveau
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] Sam 14 Nov 2009 - 12:02 | |
| J'étrenne la mienne: | |
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| Sujet: Re: ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] | |
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| | | | ♠ présentation de Nami Soriou ♠ [validé] | |
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