I. Présentation du joueur
Ce compte est le double compte de Genesis Rhapsodos.II. Présentation du personnage Nom & Prénom : Il les a délaissé.
Pseudonyme : Shigo.
Age : 24 ans.
Race : Humain.
Occupation : Pirate.
Rang Spécial : /
Métier : Bretteur.
Physique : Le physique. Quelque chose d'important, du fait qu'il s'agit de la première chose apparente aux yeux d'un individu lambda, ce qui lui permet de se forger un avis rapide et primitif au sujet de la personne observée. Alors observons donc un peu Shigo. Si on l'aperçoit dans un environnement quelque peu sombre, la toute première chose qui frappe, c'est sa taille. En effet, le jeune homme n'est pas vraiment très grand. Ou peut-être est-ce simplement dû à un contraste lié au fait qu'il soit souvent en compagnie de personnes de haute taille ? Jugez de vous-même si un mètre soixante-dix vous paraît petit ou non. A présent, voyons voir dans un lieu correctement éclairé, dans la rue par exemple. Là, vous vous dites "Oh mon, dieu, qu'est-ce qu'il est pâle !". Et bien, oui, il a le teint plutôt maladif, et il n'y peut rien, il est né tel quel, et il assume parfaitement. Cela lui donne un petit coté effrayant, enfin, les gens ont tendance à se méfier à sa simple vue, ce qui n'est pas plus mal pour un pirate soit-dit en passant. De plus, son attitude quelque peu, non, vraiment désintéressée et son regard très souvent neutre lui donnent un air...pas très sympathique. Au-delà de ces impressions de premier abord, Shigo entretient une chevelure mi-longue, mi-courte, d'un noir de jais, dont une mèche tombe au milieu du visage; tout comme ses cils, étonnamment noirs. Ses yeux sont d'un vert sombre, néanmoins très beau. Et oui, la beauté ne passe pas forcément par l'éclat et la luminosité...ce stéréotype de la beauté angélique n'est vraiment qu'une foutaise ! Mis à part ça, un autre détail de l'anatomie du sombre garçon : il possède deux tatouages sur le visage, de la même couleur que ses yeux. Ceux-ci partent des pommettes, et se finissent au bord du visage, et représentent des larmes, et servent à lui rappeler qu'il n'a nul besoin de pleurer, d'autres le font à sa place. Sur le plan vestimentaire, Shigo s'habille toujours de la même façon, l'originalité ne faisant pas partie de ses plaisirs. Il porte une paire de bottines noires, ainsi qu'un pantalon noir, ni trop ample, ni trop serré, lui permettant de jouir d'une certaine aisance de mouvement. En remontant, on peut voir un col roulé grisâtre, très confortable. Et par dessus, il revêt une veste de type "trench", noire, pourvue d'une auréole de fourrure grise tout le long du col. En clair, il a une certaine allure, le petit Shigo, et malgré le fait que certaines personnes peuvent le trouver quelque peu effrayant, il est cependant nanti d'un charisme raisonnable, qui n'est pas à négliger. Et une dernière petite précision, il porte sur sa tête une moitié de crâne. Il s'agit ni plus ni moins d'un souvenir de la première bête qu'il a tuée, et en plus, ledit crâne lui octroie une petite protection, et c'est toujours ça de pris...
Caractère & morale : Autant annoncer la couleur de manière directe, avec Shigo, on n'est pas là pour faire des tours de manège, ni pour piller tout ce qui peut l'être, ce qui potentiellement pourrait l'être, et ce qui, d'ordinaire, ne peut pas l'être. Même en sa qualité de pirate, le jeune homme ne tolère pas trop que l'on sème la mort et le trouble sans aucune raison apparente. A noter qu'à ses yeux, le raison "Pour tuer le temps" n'est pas une raison valable. Ce beau brun est doté d'un sens de l'honneur très poussé, et possède des valeurs solides qui en font un homme respectable et apprécié de ceux qui le connaissent. Il n'est pas du genre sanguinaire à dégainer son sabre pour rien, ne serait-ce que pour ouvrir un tonneau de rhum, et relève plutôt du groupe des calmes de nature, ce qui est assez rare au vu de son jeune âge. N'ayant pas grandit dans un environnement bercé par l'amour et d'autres sentiments que nous qualifierons de "positifs", la capacité émotionnelle de Shigo avoisine le zéro pointé. Il lui est donc impossible d'avoir pitié de quelqu'un, ou de trembler de peur devant tel ou tel évènement
(bien sûr, il n'est pas immunisé au Haki du Fou). Néanmoins, la loyauté, ça il connaît bien. En effet, s'il y a bien une chose qu'il déteste, c'est le fait qu'on s'en prenne à ses compagnons, ou qu'on le trahisse. Et là, l'aspect calme et détaché laisse place à un caractère protecteur ou vengeur, selon la situation, animé par conscience guerrière plutôt développée. Dans ce genre de moments, il peut tuer sans la moindre hésitation. En fait, Shigo est quelqu'un de posé et assez discret, tant que l'on ne va pas à l'encontre de ses principes. Il n'aime pas non plus les actes d'injustice, et encore moins ceux qui font preuve d'inhumanité. Essayez donc de massacrer des innocents, des femmes, ou des enfants sous ses yeux, et il sera sur vous en moins de temps qu'il n'en faut pour dire "Crève, misérable !" à l'adresse de la victime. Au niveau de la psychologie de combat, Shigo, de part son attitude discrète, préfère rester en retrait et n'intervenir que si c'est nécessaire, ou lorsqu'il ne peut faire autrement; et ce car il aime bien observer dans un premier temps. Il n'agit jamais à l'aide de son épée sans avoir quelques idées au préalable sur l'adversaire. Cette capacité d'analyse fait que le sombre garçon a toujours un ou deux coups dans sa manche au cas où son mouvement initial serait voué à l'échec. Pour résumer, pour pouvoir pleinement apprécier Shigo, il faut le connaître un minimum. C'est un homme très droit, qui a choisi de se libérer de l'étreinte
du gouvernement afin d'acquérir la liberté, et de vivre de bonnes expériences sur les flots.
Fruit du Démon : Kon'ya Kon'ya No Mie : (Paramécie de la Nuit) Ce fruit permet de créer des zones immatérielles de diverses formes dans lesquelles la lumière ne peut plus passer créant une zone noire et terrifiante. (Note : l'utilisateur n'a pas la capacité de voir dans la nuit.) Il s'agit d'un fruit de classe 7, mon Marine en possède un de classe 5 (Paramécia de Limaille de Fer).Techniques Spéciales : Il utilise un sabre de combat avec une grande adresse, due aux longues années de pratique de l'instrument. Son arme, appelée "Onime", qui peut se traduire par "Œil du Démon" ne fait partie d'aucune des trois grandes familles de sabres, mais demeure cependant une arme de très bonne qualité. Pour une meilleure vitesse de frappe, il a pris l'habitude de l'utiliser d'une seule main, sa main vide pouvant accessoirement lui servir de balancier dans le but de manœuvrer beaucoup plus librement lors des ses batailles.
- Spoiler:
Histoire : Ce futur pirate en devenir naquit il y a une vingtaine d'années, où le repère historique le plus connu n'est autre que l'arrestation du Seigneur des pirates Gol D. Roger. Originaire d'East Blue, celui qui se fait aujourd'hui appeler Shigo grandit dans un environnement assez aisé. Il faut dire que tout ses parents proches étaient des officiers de la Marine, ou des civils connus qui possédaient de bonnes affaires en ville. Très tôt, il connut le sang, et la mort. Avec l'âge d'or de la piraterie, son père, qui était Contre-Amiral, passait énormément de temps sur le front à opérer pour le gouvernement. Sa mère était la propriétaire d'une chaîne de boîtes d'architectes, et gagnait plus que bien sa vie. Assez souvent, il l'accompagnait au travail, sur le terrain, histoire de passer du temps avec elle, et de voir comment on construisait des bâtiments. En tant que chef, sa mère était amenée à commander, et le petit garçon voyait déjà ce qu'était l'autorité. Lorsque les permissions de son père étaient terminées, ses hommes venaient le chercher avec son navire, et quand il montait sur le pont, tous voulaient lui serrer la main en qualité de "fils du Contre-Amiral". Encore une expérience du pouvoir. Son père, qui était plus vieux sa femme d'au moins vingt ans, prit sa retraite au moment où son fils atteignait ses dix ans. Il commença alors à développer son physique, et c'est d'ailleurs de lui que le jeune homme tient ses talents de bretteur. L'adolescent passait ses journées à étudier auprès de son père, en alternant la science du combat, et tout ce qui pourrait lui être utile dans la vie, ce qui rentre dans le cadre de la culture générale disons. Il faut dire qu'à l'école de sa ville natale, il n'avait aucun ami, car tous le fuyaient à cause de sa peau pâle et de son regard inexpressif. Et aussi parce qu'il ne souriait presque jamais. C'étaient donc de bonnes raisons pour le désinscrire, le libérant ainsi de cette enceinte emplie de haine, pour ceux qui paraissaient différents, comme lui. Une fois, alors qu'il allait faire une course pour la maison, il croisa en chemin un de ses anciens camarades de classe en train de se faire embêter par deux petits idiots arrogants. Le mal-aimé, qui connaissait les prémices d'un futur grand sens de l'honneur, ne put se résigner à passer devant la scène comme si de rien n'était, il connaissait ce garçon qui plus est. Il mit donc sa première dérouillée à des humains, et il avait treize ans. Et devinez quoi, lorsqu'il s'approcha de la victime en le fixant des yeux, simplement dans le but de se renseigner sur son état, ce dernier poussa un cri et parti en courant. Apparemment, il avait du croire qu'il l'avait sauvé pour mieux le dépouiller, ce qui était absolument idiot. Il apprit donc à ses dépends que parfois, certaines bonnes actions ne sont pas récompensées, ne serait-ce que par un sourire. Mais ça, peu lui en importait.
Lorsqu'il eut tout juste quinze ans, son père l'emmena chasser un grand reptile que l'on pouvait trouver un peu plus hauteur, dans une forêt. L'animal n'était pas dérangeant en soi, mais le vaincre à un tel âge relevait d'un bel exploit d'adresse et de force. Ainsi, les deux gaillards appâtèrent la bête avec de la viande faisandée, et le créature, qui se voulait énorme, ne tarda pas à se montrer, crocs dehors avant même d'avoir le festin en vue. Ce qui étonna le jeune combattant, c'est que la bête avait un corps imposant, mais une tête légèrement plus grande que celle d'un humain adulte. Gros muscles, petit cerveau en somme. Son père lui intima la démarche à suivre, et le jeune garçon, armé d'une lance plutôt longue, engagea le combat. Il ne parvint pas à prendre le dessus sur la bête, et cette dernière finit par le mettre à terre. Sur le point de l'achever, elle ne vit pas l'homme qui l'assomma pour les heures à venir. Notre jeune protagoniste avait été sauvé par son père, qui lui dit qu'il était encore un peu jeune, mais qu'il ne manquait pas de courage. Ainsi, ils rentrèrent chez eux, le jeune brun peu content de sa performance du jour. Arrivés à la maison, le père déclara partir en ville pour régler une affaire, et le "fils de l'ancien Contre-Amiral" resta chez lui en compagnie de sa mère, qui s'attelait à préparer le goûter. Il monta alors dans sa chambre, et parcouru les pages d'un des nombreux livres que son père lui faisait lire. Celui-ci traitait de la flore et la faune d'East Blue, afin de savoir qu'est-ce qui est dangereux, et qu'est-ce qui est bénéfique dehors. Il alla prendre son goûter, puis s'autorisa une petite sieste, assez fatigué de sa journée. Il fut réveillé par l'odeur du diner que sa mère préparait. Un vrai cordon bleu la maman. Il se leva lentement de son lit, et entreprit de descendre lentement l'escalier. Soudain, un gros bruit se fit entendre, suivit d'un rugissement et d'un cri qui eut vite fait de s'étouffer. Il comprit, horrifié, que c'était sa mère qui avait crié. Il sauta les marches restantes et assista alors avec horreur à la scène : la façade de la cuisine défoncée, des débris partout, et les pieds de sa mère qui disparaissaient dans la gueule d'un gros monstre. LE monstre que son père avait assommé en tout début de journée. Il avait donc suivit les odeurs, dans le but de chercher vengeance. Agissant vite, le jeune homme utilisa un manche de balais, des chiffons, une bouteille d'alcool et des allumettes pour se confectionner une grande torche, le temps que la bête achève d'engloutir feu sa mère. Il parvint, à grands brassages d'air, à chasser le reptile, mais non pas à le tuer... Il resta assis dans les débris, versant de chaudes larmes, jusqu'à ce que son père arrive. Ce dernier écouta son fils, et, accablé, partagea sa douleur. Le trop-plein de chagrin l'empêchait de chercher vengeance...
Plus les jours passaient après le drame, et plus le paternel s'enfonçait dans la tristesse, le désarroi, et plus la capacité à se venger l'abandonnait. Inévitablement, il ne tarda pas à sombrer dans le fléau de l'alcool. Le jeune garçon regardait ainsi un ancien officier supérieur de la Marine, vaillant à souhait, laisser jour après jour la place à un ivrogne fini, qui passait ses journées à boire et à pleurer. Plus d'une fois, il tenta de réconforter son père, mais ce dernier restait sourd, ne répondant qu'à la soif et à l'appel de la boisson. Un certain soir, alors qu'il était encore plus une loque que d'ordinaire, il s'en prit à son fils, lui hurlant à la figure que c'était de sa faute si sa femme était morte, hurlant que s'il avait eut la force d'être un homme, et de tuer le monstre, ils n'en seraient pas là. Il le traita de mauviette au moins trois fois par phrase, ou plutôt par bribes de phrase, car un ivrogne ne peut aligner qu'une certaine quantité de mots à la suite, après quoi, il doit faire une pause pour boire un coup. Il tenta de fracasser une bouteille vide sur le crâne de son propre fils, et ce dernier acculé dans un coin, s'empara d'un couteau de cuisine. Le père rigola, se rua sur sa progéniture, mais trébucha sur une bouteille de rhum abandonnée à même le sol, pour tomber dans les bras de son fils, tendus, qui tenaient fermement le couteau. Ainsi le père se ficha lui-même sur la lame, qui lui transperça directement le cœur. Il regarda une dernière fois son enfant, et sombra dans le sommeil ultime, celui qui ne cesse jamais. Ainsi, le jeune homme était seul. Il resta un moment avec son père sur les genoux, le sang de son paternel se répandant sur sa tenue, puis se leva, et alla se planter devant un miroir. Il chercha une aiguille et du colorant dans les affaires de sa mère, et entreprit, de se tatouer à l'encre verte, la même que ses yeux, deux trainées de larmes sur le visage, afin de se rappeler de ce jour, qui marquait ses derniers pleurs. En effet, il ne put s'empêcher, quelque part au fond de lui, de se dire que son père avait raison : c'était de sa faute. Si seulement il avait été le guerrier que son père attendait, il aurait pu tuer aisément cette immonde créature ! Mais non, il fallait qu'il soit la victime de ce "frisson du premier combat", frisson qui tétanise ceux qui ne sont pas suffisamment préparés, dont il fait partie. Puis, il chassa ces pensées, et se ressaisit. Il avait quelque chose à faire pour véritablement devenir un monde pour s'affranchir de cette faiblesse. Mais tout d'abord, il alla enterrer son père aux cotés de sa mère, puis se prépara à quitter la demeure familiale, ayant finit sa vie ici. En passant devant la chambre de ses parents, il vit un paquet dans un coin, un paquet avec un mot accroché dessus. Il alla voir, et ouvrit la lettre, qui était de son père "A mon fils, un futur grand homme, voici le sabre Onime". En déballant le paquet, il se rendit compte qu'il s'agissait d'un sabre de bonne facture, et remercia intérieurement son père. Il quitta la maison, et entreprit de la brûler, afin d'effacer toute trace de cette ancienne vie. Sa première destination fut les montagnes, où il alla trouver ce reptile. Son père n'avait put venger la mort de sa mère, et bien lui allait le faire. Il trouva la bête, et l'affronta, équipé de sa nouvelle arme. A force de dextérité, de patience et de précision, il parvint à lui trancher la tête. Il conserva ainsi une moitié de son crâne, en guise de trophée, qu'il utilisa comme un casque. Ce symbole qui ornait sa tête lui donnait du courage, de la force, et servait aussi à ne pas oublier les blessures liées à cette bête. Il jura sur la tombe de ses parents de ne plus être faible, de ne plus avoir peur, promesse qui allait le conduire à se fermer hermétiquement à toute émotion susceptible de lui faire revivre un tel enfer. Maintenant, il pouvait prendre la mer l'esprit tranquille.
Plusieurs années étaient passés depuis cette nuit où il quitta sa demeure. Il avait pris un nouveau nom : "Shigo", qui signifie "Vie après la mort", et s'était engagé dans la Marine, faisant un bon Lieutenant. C'était la guerre civile, une époque pas facile pour tous. Monkey D. Luffy et les pirates, alliés aux révolutionnaires, faisaient face au Gouvernement. C'est d'ailleurs au cours d'un affrontement contre des corsaires que Shigo dénicha un coffre contenant un fruit noirâtre. Il savait ce que c'était : un fruit du démon. Un pouvoir supplémentaire n'étant pas de refus, il entreprit de l'ingérer. De toute façon, il n'aimait pas trop nager, alors ça ne lui manquerait pas le moins du monde. Ainsi, il se vit posséder les pouvoirs du Fruit de la Nuit, qui lui permettait de faire sombrer n'importe quelle zone de son choix dans le noir le plus complet. Assez intéressant. Il continua alors de se battre pour la Marine, mais les actions de l'État-Major ne lui plaisait pas beaucoup. En effet, il multipliait les Buster Call ci et là, engageait même des petites fillettes de quinze ans dans leurs rangs, les envoyant délibérément à la mort. Et ça, il n'aimait pas trop, lui qui avait un minimum de respect pour la vie. C'est ainsi qu'au moment où allait avoir lieu l'effroyable bataille de Negara Shigo déserta les rangs de la Marine, afin de se lancer dans la piraterie, pour plus de liberté, et aucune magouille venant d'un quelconque supérieur inexistant. C'est ça être pirate : être libre, vivre ses passions, laisser libre court à sa vision des choses...une vie qui lui correspondait bien !
Rêve / But : Constituer un puissant équipage afin de devenir une légende des mers.
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