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Sujet: Le retour d'un Elric [Validée] Ven 6 Nov 2009 - 20:55
~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~
(cf Xino J. Shinichi)
~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~
Nom & Prenom :
Flame D Elric
Pseudonyme :
L'Ange Noir / L'autre alcolo là bas / La larve humaine / Le déchet / Salaud!!!
Age :
La vingtaine, je dirais même plus, la vingtaine passée... 26 ans...
Race :
D'aucuns pensent qu'il est humain, d'autres prétendent qu'il est une larve. A dire vrai, les deux camps ont raison...
Occupation :
Marine / Alcoolique / Dormeur
Rang Spécial :
Sous Amiral
Métier :
Branleur
Physique :
(post suivant)
Caractère & morale :
(après le physique)
Fruit du Démon :
Si fait, je désire obtenir le magnifique:
Sencha Sencha No Mie : Permet à son détenteur de devenir un homme-forteresse dont les quelques particularités sont les suivantes : toute personne qui se trouve à une certaine portée de lui est miniaturisée et celle qui en sort retrouve sa taille normale, le détenteur peut « ouvrir » des passages dans son corps et accueillir les personnes miniaturisées et/ou des systèmes d'artillerie pour ainsi « défendre la forteresse ».
(Niveau 5 maximum oblige, puisque c'est un DC)
Techniques Spéciales :
Chance incroyable + Odorat de loup amélioré
Histoire :
(Ca arrive... Après la psychologie...)
Rêve / But :
Nan... Pour avoir un but, faut être doué de conscience, et être en état de réfléchir, lui... Ben il peut pas...
Post RP :
[Inutile]
Dernière édition par Flame D Elric le Mer 13 Jan 2010 - 13:15, édité 4 fois
Flame D Elric Sous Amiral
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Sujet: Re: Le retour d'un Elric [Validée] Ven 6 Nov 2009 - 20:57
Description physique:
Un Elric, c’est avant tout -et surtout- quelqu’un qui manque cruellement, si ce n’est plus, de style. Une absence totale et indescriptible de genre et un look semblable en tout point à celui qu’aurait la plus branchée des limaces défoncée à la cocaïne à Marie Joa. On se demande perpétuellement comment une telle chose, car on ne peut pas vraiment le considérer comme humain aux vues de son comportement, peut avoir un tel succès auprès de la gent féminine, improprement appelé « sexe faible ». Quelqu’un a forcément du dire à ses parents, quand ces pauvres gens hébergeaient encore cette loque humaine, qu’il était raté, et que le mieux serait encore d’en refaire un, après l’avoir jeté, lui et son affreux sourire, dans la poubelle la plus proche. C’est sans doute pour cette raison, et par pur désir d’une pseudo vengeance post-apocalyptique qu’il se traîne, plus qu’il ne se déplace, caché sous de grands vêtements et ses horribles cheveux.
Mais commençons, car il le faut bien, dans ce monde qui ne nous laisse le temps de rien, par une brève description de cette chose flasque et blanche qui lui sert de visage. De forme rondelette, s’approchant toutefois du rugbystique ovale, référentiel bondissant aléatoire bien connu des sportifs, son visage a en effet une teinte très blanche, un peu comme s’il vivait dans une île hivernale toute l’année. Effectivement, le visage des caucasiens normaux est blanc, mais sans commune mesure avec le blanc de la neige, alors que celui de ce jeune marine lui, est carrément blanc comme cette même neige des plus pures. Il aime à prétendre que cela ne rend sa beauté que plus unique, il est malheureusement le seul à le penser… Il a ce visage justement, net de toute graisse humaine que l’on y trouve habituellement, propre sur lui, et sans le moindre bouton, il n’en a de toutes évidences jamais eut. C’est inexplicable en effet, que son visage soit si pur et propre en comparaison de sa tignasse grise et grasse lui servant de chevelure. Mais restons sur le visage, les cheveux viendront plus tard. Il a pour lui une bouche fine et jolie, aux lèvres naturellement grenat, une couleur sublime parmi les belles couleurs, rendant sa bouche des plus attirantes pour les membres de l’éminente gente féminine. Deux canines pointent à l’occasion sur la lèvre inférieure, faisant alors penser à un loup en quête de proie. Du loup, il en a l’odorat, et, fort heureusement, pas le nez. Il a donc un nez aquilin, allié à un odorat digne des loups. Ses yeux à présent. Troublants en vérité, car probablement uniques en ce monde. Il a la forme d’iris des chats, à savoir en amande, de sorte que son regard soit fort mystérieux, impressionnant, terrifiant par moments, l’égal même de celui d’un démon schizophrène. Ce regard, pour continuer là-dessus, a ceci de particulier qu’il insuffle le doute et la curiosité quant à ce personnage, du fait des deux prunelles, yeux vairons, particularités ô combien rare. Il a donc un œil rose, et l’autre vert. Deux couleurs très peu communes d’ailleurs, qui, pour une raison inexpliquée, peuvent s’inter changer, le rose devenant alors vert, et le vert devenant rose. Ces deux prunelles interchangeables ne sont en fait que le reflet de deux personnalités différentes d’Elric, sur le panel assez large dont il dispose. Il a aussi, comme beaucoup d’entres nous, deux oreilles, mais les siennes là encore, ont ceci de spécial quelles sont pointues, et ce du simple fait qu’il les a lui-même taillées en pointe dans sa jeunesse, et que le corps humain étant ce qu’il est, elles ne se sont jamais reconstituées. Sa chevelure enfin, grise et folle recouvre la globalité de son visage en une cascade de cheveux coulant, mèches folles et libres, le long de sa nuque, de son visage, descendant jusqu’à son nez, et parfois plus bas. Dans le dos, ces mèches descendent jusqu’entre les deux omoplates, longueurs déjà tout à fait respectable.
Passons maintenant à son physique voulez vous ? Il est assez grand, massif serait un mot convenable dans ce cas. Il mesure en effet un bon mètre 90, si ce n’est plus… Il domine donc de cette hauteur la majorité des gens. Relativement chétif, il n’a pas de masse musculaire hallucinante comme beaucoup de personnes prétendent en avoir, ses 70 kilos lui suffisant largement. Il est conscient que cela est maigre, mais n’en a cure, le bon poids est celui où l’on est bien dans sa peau. Il n’est donc pas si musclé que ça, ayant tout de même des biceps et triceps convenables au niveau des bras, et se complait bien dans ce rôle de la grande perche qui n’est pas la montagne de muscle habituelle. De ses jambes vous devez garder à l’esprit qu’elles sont fines et non musclées, couvertes de cicatrices diverses et variées, héritage d’un sanglant passé… enfin ses abdominaux, ou du moins ce qui devrait être ses abdominaux, sont en fait plus semblables à des tablettes de chocolat fondu qu’à des tablettes véritables. Mais, et pour relativiser cette idée de masse non musclée que vous vous faite d’ores et déjà de lui, je me dois de préciser qu’il est très tonique, agile et rapide, ce qui lui permet de frapper non pas fort et une seule fois, mais vite et trois fois.
Passons alors à ses vêtements, car il y en aurait à dire aussi là-dessus. Il porte principalement une grande cape grise, et c’est là tout ce qu’on voit de lui d’ailleurs. A capuche, cette cape est décorée de multiples rainures de métal faisant penser à de l’or, ce serait plutôt un métal à très faible valeur qui a été ajouté au dessus des coutures pour éviter tout déchirement intempestif du vêtement. Cette longue cape lui descend aisément jusqu’en dessous de ses talons, et recouvre donc la totalité de son corps. Dans le bas du dos, elle commence à se déchirer, signe qu’elle commence à avoir de l’âge, et que marcher sur ses vêtements n’est absolument pas bon pour ces derniers. Dans le dos, un blason, ou ce qui semble l’être, est imprimé, de manière indélébile, en noir. C’est en fait un signe tribal des tribus vivants en forêts, clin d’œil de l’homme à ceux qui par le passé l’ont aidé. Ce signe donc, est un enchevêtrement complexe de lignes noires s’entrecroisant de manière artistique et par voie de conséquence belle, visant à former un oiseau stylisé, un aigle, le tout dans le plus total et incompréhensible entassements de signes tribaux noirs. Mais bien entendu, il porte des vêtements en dessous de sa cape, plus par obligation que par pudeur d’ailleurs. Il porte une petite veste de cuir noir, entrouverte, laissant deviner à quiconque regardera avec assez d’attention un T-shirt blanc, immaculé, comme neuf. Mais revenons à la petite veste en cuir. Ouvragée, elle semble richement décorée, et les boutons des nombreuses poches (il y en a une petite dizaine) sont en argent, marqués d’un signe spécial, celui là même d’Elric, le prince démoniaque des romans. Assez sympathique, cette veste reste un ouvrage de valeur, et le simple fait qu’Elric le porte montre qu’il ne respecte pas ce vêtement pour sa valeur, mais pour son confort et sa praticité. Il porte en dessous un pantalon de toile noir, pratique au déplacement, silencieux car la matière ne fait pas de frottements. Ce pantalon est aussi agrémenté d’une foultitude de poches cachées ou non, remplies ou non. A sa ceinture, il porte son sabre, assez spécial… Ses chaussures enfin, larges bottes de cuir dont le bout est en métal, vont à l’opposé du reste de l’équipement vestimentaire du marine, dans le sens où elles le ralentissent. On y devine toutefois le dessin de flammes sur le cuir, ainsi qu’un poignard soigneusement rangé dans la botte gauche, pour être sorti rapidement, car Elric est en effet gaucher.
(Plus court et plus sobre que celle de Xino, j'ai seulement retrouvé l'inspis dernièrement pour ce perso... La suite arrive sous peu...)
Dernière édition par Flame D Elric le Mar 6 Avr 2010 - 18:47, édité 1 fois
Flame D Elric Sous Amiral
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Sujet: Re: Le retour d'un Elric [Validée] Mer 13 Jan 2010 - 12:54
Description psychologique :
Là, vous vous aventurez en terrain miné, en lieu dangereux, et autres expressions pouvant vous inciter aussi bien peur qu’incompréhension, ou franche envie de rigoler. Nous devons diviser cette approche psychologique en deux parties, car il nous appartient de dire qu’Elric est intelligent, mais qu’il a un gros problème dans la vie, c’est que c’est un drogué, un raté, un loser, un alcoolique, et autres choses qui repoussent généralement les gens… C’est pourquoi nous verrons dans un premier temps les aspects plus ou moins normaux de sa personnalité, son intelligence, avant de mettre tout cela au conditionnel, car après, tout, c’est un drogué…
Comme nous l’avons donc précédemment mentionné, Elric est intelligent, très intelligent serait même un terme plus que correct, car après tout, potentiellement, c’est un génie, à tous points de vues. La quadrature du cercle, il l’a trouvé en CE1 tellement il était doué… (Même si, après mure réflexion, il est jamais allé au CE1)… Or donc, voyons ici et maintenant les réactions diverses et variées aux sentiments courants, et émotions intenses que la vie nous procure, de ce jeune con… Sujet à la Colère par nature, cet être con mais intelligent, paradoxe à lui tout seul, est en effet très facilement énervé. Il lui suffit de voir la tête de son vieil ami Sora Shizen, ou encore une cacahuète mal grillée dans son paquet pour qu’il veuille tout casser, à commencer par ce con de vendeur qui a mal grillé les cacahuètes…Lorsqu’il est dans cet état, ses narines se dilatent, il rougit légèrement, et la cigarette qu’il a quasi perpétuellement en bouche se consume d’elle-même, à une vitesse folle. Son cerveau bouillonne, et il est presque impossible de le ramener à la raison autrement qu’en le frappant un bon coup sur la tête. La Luxure également, bien que, bizarrement, ce soit elle qui semble attirée par lui plutôt que l’inverse. En effet, c’est comme si un charme l’entourait, sorte de maléfice faisant que toutes les femmes ou presque tombent sous son charme. Elric étant un homme, de plus, il n’a découvert l’utilité de son pénis que tard, il ne lutte pas tant que ça contre ce déchaînement de désir purement sexuel qu’il déclenche chez les femmes. Vaniteux, il ne l’est pas non, on ne peut pas dire ça. Il ne se vante que rarement de quelque chose, préférant mettre ses exploits sur le dos de la chance, ou de toute autre entité mystique qui aurait pu faire que, oui, il a réussi. Pour autant, il est résolument athée, et détient la preuve formelle que Dieu ne peut exister. Il ne fera pourtant rien pour la dévoiler, car ce serait là trop dangereux, et risquerait de mettre à mal trop de gens. L’Amour et la Haine maintenant, deux facettes d’une même personne que l’on croit bien connaître et qui, au final, n’est pas celui que l’on croyait. Notre sujet n’a jamais été réellement amoureux, ou alors uniquement en de rares cas d’unilatéralité de ce sentiment. En ces circonstances, on peut se dire qu’il y est sujet comme tout le monde, avec une boule dans le ventre, lui nouant l’estomac, les sueurs dans le dos, le stress au moindre petit retard, et pis encore, les bégaiements. Cependant, tout ceci est à mettre au conditionnel puisqu’une fois encore, Elric n’a jamais connu l’Amour réellement, ou alors il a du lui casser la gueule, de frustration… On ne peut cependant pas en dire autant de la Haine, puisque si Sora Shizen est son meilleur ami, c’est aussi la personne qu’il déteste le plus au monde. La vision d’un des multiples objets de sa Haine suffit à ce qu’il ressente la même boule dans le ventre, et une envie de meurtre si poussée que, bien des fois, il tente de mettre en pratique ses envies. Illustrons ici par un exemple. Elric hait à un point incommensurablement haut tous ces gastéropodes gluants et visqueux, qui rampent sur le sol, laissant derrière eux leur bave, leur bile en quelque sorte. Oui, il déteste férocement les escargots, et tentera autant que faire se peut de contribuer au génocide de ces bestioles qui, selon lui, ne méritent pas de vivre tant elles sont abjectes. Mais si Elric éprouve la Haine, il éprouve aussi l’Amitié. Encore une fois, son meilleur ami est Sora Shizen et, une fois que les deux hommes ont fini de se mettre allègrement sur la gueule, engagés dans une lutte si féroce et puissante que les Amiraux mêmes ne pourraient intervenir, ils aiment à boire ensemble dans les bar, discutailler de leurs récents faits d’armes, et de leurs plus récentes conquêtes. Mais étrangement, il ressent beaucoup plus aisément de l’Amitié pour tout membre de la race humaine du sexe féminin, poitrine développée, arrière train agréable à la vue, et visage charmant. En d’autres termes, il se lie facilement d’amitié avec toutes les bombes sexuelles, prostituées ou non d’ailleurs, de tous les lieux où il passe, et Dieu, dans son infinie non existence, sait à quel point il en a traversé, des endroits… Mais ce qui a fait la réputation d’Elric, c’est cette incroyable capacité à se mettre dans le pétrin tout seul, alors que tout semblait se passer comme prévu. Capable de lâcher une réplique cinglante, chantante et rimant, il le fera systématiquement au moment le moins opportun, et fichera alors toute la négociation en l’air. C’est comme si son incroyable chance en combat et au jeu lui était reprise pour tout le reste. Si un piano doit tomber sur quelqu’un, ce sera très certainement lui, de même pour les paquebots volants (cf Histoire).
Passons ensuite à son idéologie, son credo, ce en quoi il croit et pourquoi il se bat en fait. Eh bien, force nous est d’admettre que son idéologie est simple. Si son métier est bien fait, il recevra sa paye, et pourra alors s’acheter de quoi manger, ou de quoi payer sa tournée dans un bar, ou encore s’acheter sa dose de la plus coûteuse des drogues. C’est ce qui le fait avancer dans la vie, le simple fait qu’il doive bosser pour vivre. Aussi simple que cela puisse paraître, c’est pourtant bel et bien vrai, et nous devons concevoir alors qu’on peut vivre sans but réel dans la vie. Certains lui reprocheront de ne pas être marine pour le prestige mais par intérêt. A ceux là il répondra que oui, et que ce n’est pas pour autant que son boulot est mal fait, puisque, même s’il est l’un des éléments les plus craints de la marine, les missions sont toujours réussies, à quelques dommages collatéraux près, comme le maire qui passait par là, nan mais quel con… On lui reprochera aussi de ne pas réellement avoir de but dans la vie, puisqu’il n’est pas marin pour le prestige, ou pour le fait de désirer du plus profond de son être d’aider les gens. A ceux là encore, il leur répondra allègrement d’aller se faire foutre, ou d’aller voir ailleurs, des fois qu’il y serait, par le plus grand des hasards… Elric est donc un homme sans but réel dans la vie, n’avançant que parce qu’il le faut bien, et regrettant le temps où il était jeune, insouciant et doué en skateboard. Vient ensuite sa vision du monde, complexe au possible, comme celle de tout un chacun d’ailleurs. Il est de ceux, utopistes, qui voient difficilement le mal dans une personne. Etant à moitié fou, il tentera de voir le bien jusqu’à ce qu’on le pousse vraiment à bout, et qu’il se voit contraint de réagir. La dictature ne le dérange pas, dans la mesure où son salaire, quand il le reçoit, est suffisant pour lui octroyer le pouvoir de s’acheter des cacahuètes. La piraterie n’est pas un problème, ni une menace pour lui, il les voient plutôt, ces pirates, comme de joyeux lurons voguant sur les mers. Il ne les arrête que quand on le lui demande, ne se battant nullement avec eux si ce n’est pas le cas. Il en est cependant tout autrement de la révolution, qu’i considère comme une réelle menace. Il a conscience qu’en l’état actuel, le monde n’est pas parfait, et loin de là, mais on peut difficilement faire mieux. Il rend alors en grande partie responsable les révolutionnaires de ce mauvais système politique. Il juge en effet que, si le Gouvernement ne peut pas changer, c’est à cause de ces fous qui braillent que tout va mal, brûlant des villes et montant les îles les unes contre les autres. Enfin, pour finir cette description, voyons le gros problème d’Elric, du moins rapidement… La drogue. Elle l’accapare, le domine. Il est à même de s’en passer, mais l’aime trop, et ne s’en séparera pas sans aide. Mescaline, héroïne, il tente tout ce qui lui passe sous la main, et même des choses dont on aurait pas soupçonné qu’elles étaient hallucinogènes…
Flame D Elric Sous Amiral
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Sujet: Re: Le retour d'un Elric [Validée] Mer 13 Jan 2010 - 13:00
Cacahuètes, ananas et taboulé.
(Vous avez cliqué pauvres fous?! Tant pis pour vous... XD)
"Come on Barbie let's go party Ahahah yeah!"
Aqua
0.
L'histoire d'Elric est longue, étrange et pleine de diverses aventures, tantôt extrêmes mais amusantes, tantôt moins extrêmes mais tout aussi amusantes. Le parcours du marine est jalonné de pérégrinations diverses et variées, l'amenant à voyager aux quatre coins du monde, pour des missions, pour fuir, ou pour apprendre à danser l'étrange danse faisant jouer tout le corps de façon très sensuelle, à savoir la macarena. Nous verrons d'ailleurs qu'au cours de son parcours (NDLR: BOUHAHA jeu de mot...), cette danse semblait le suivre tout autant que sa malédiction récente, que nous verrons aussi un peu plus tard. Laissons alors derrière nous cette introduction vaseuse et qui doit vous sembler inutile, longue et ennuyeuse car, après tout, je ne fais qu'introduire ici le sujet même de cette fiche de présentation. Mais mes professeurs m'ont toujours expliqué, parfois en me criant à moitié dessus avouons le, qu'une bonne introduction est la base fondamentale et nécessaire d'un bon développement et, par voie de conséquence, d'une bonne conclusion. Comprenez alors, chers lecteurs, que si je fais cette introduction, c'est pour vous et votre confort de lecture qui m'intéresse au plus haut point soyez en surs. Sur ce, je éclipse et reprend le rôle objectif de narrateur, afin de vous conter au mieux et dans les meilleures conditions possibles, l'histoire de cette larve humaine, ce déchet de l'humanité qu'est Flame D. Elric (NDLR: Je lui refais une histoire entière juste pour vous alors que je l'ai pas fait depuis 3 ans... Vous pourrez vous vanter d'avoir fait travailler Xino... ).
Suit alors cette introduction, l'histoire officielle, conservée par Marie Joa ayant engagé depuis le marine nommé Flame D. Elric ou Connard selon les endroits. Elle peut sembler incohérente, cela est normal, et vient du fait qu'elle est entièrement inventée. La véritable histoire n'étant connu que d'une personne, le marine lui même. Et à ce jour, personne n'a réussi à le faire parler à ce sujet...
1.
Flame D. Elric, né John-Lee Patrick J. Fitzflame, est né, oui ça on en est sûr. C'était un mercredi soir, mais la date m'échappe, il y a environ 27 ans, au mois de décembre. Il faisait horriblement froid par cette nuit d'hiver à Marie Joa, ville noble par excellence, située sur une montagne perdue au beau milieu de l'océan. Fitzflame, vous aurez intuité, vient du fait qu'il n'est nullement un enfant légitime. Bâtard, il l'est donc indubitablement. Né d'une mère noble parmi les nobles, elle était une de ceux qu'on appelle les Dragons Célestes, et d'un père bourgeois n'ayant pu prouver assez de quartiers pour que e mariage puisse être prononcé, il fut nommé bâtard, et sa vie semblait alors tracée. Signalons que, en plus d'être illégitime, le bambin fut nommé maudit pour plusieurs raisons. La première est qu'après un accouchement long et douloureux, sa mère devint stérile, et ne put donc plus jamais avoir d'autre enfant. Étant une erreur, il apparut évidents aux grands penseurs que c'était une sanction normale pour avoir engendré un enfant bâtard. La deuxième raison, et nous savons qu'elle a une explication scientifique, fut le regard du garçon, aux yeux troublants. Les yeux vairons, vus comme une malédiction, aggravèrent encore le cas du garçon. On dit alors, à l'époque, qu'il n'était pas naturel que le nouveau né n'ait su choisir entre les yeux roses de sa mère et les yeux verts de son père. Obtenant un mélange des deux, le bébé avait bien un œil rose et l'autre vert. Étrange cas encore, il était blanc, pâle et semblait faible. Certains savants pensèrent que la solution la plus à même de mettre fin aux malédictions et à cette situation embarrassante tant pour la famille des Dragons Célestes que pour la famille du bourgeois était la mort. Fort heureusement, la belle jeune femme, noble, était tendrement amoureuse du bourgeois. Aussi lorsque la famille Flame, alors peu influente chez les Tenryuubitos, mais assez pour engager des hommes à prendre les armes pour s'attaquer aux bourgeois, et les punir, plus d'avoir jeté la disgrâce sur leur famille que pour avoir engrossé leur fille, cette dernière, bien qu'encore faible du fait de l'accouchement, se dressa contre sa famille. Elle réussit, après de longues discussions avec sa famille, à leur faire entendre raison, et faire cesser l'attaque. En conséquence de quoi, elle fut bannie de sa famille, destituée de son titre en même temps que de son casque, symbole de son rang social. Elle fut chassée, emmenée de force sur un navire, gardé par des soldats royaux de l'armée personnelle des Tenryuubitos, avec le nouveau né. Rassurée quelques temps par le fait d'avoir la certitude d'avoir obtenu l'abandon des charges pesant sur son bien aimé, ce ne fut cependant qu'un répit de courte durée, car elle appris de source sure quelques semaines après qu'il avait bel et bien été exécuté pour une toute autre chose, sans doute une raison bidon. Attristée au plus haut point, elle avait tout perdu et hésita plusieurs fois à mettre fin à ses jours. Tout perdu? A vrai dire non, il lui restait son fils, ce bâtard pour qui et à cause de qui elle avait tout sacrifié. Elle décida alors, de dépit, de l'éduquer du mieux qu'elle pourrait, afin de lui préparer un avenir différent, et principalement en mémoire de l'homme qu'elle avait aimé, et qu'elle avait perdu. Mais le malheur semblait ne pas en avoir fini avec elle. En effet, après lui avoir tout enlevé, il revenait pour lui prendre le reste, à savoir sa vie. Le médecin de bord, vint la voir à sa demande pour de fortes poussées de fièvres et des toussotements pleins de sang. Il l’examina, et ne sut réellement dire si c’était grave ou critique. Forçant le navire à s’arrêter, le médecin partit chercher un collègue à terre. L’analyse croisée et en collaboration des deux spécialistes conduit à un diagnostic sans échappatoire, elle allait mourir d’infections pulmonaires. Ce genre de cas était réellement rare à bord pourtant, et une fois de plus, ce fut mis sur le dos de l’enfant bâtard. L’équipage, bien que payé pour surveiller la jeune femme, s’était pris d’affection pour elle et sa gentillesse. Ainsi, apprenant la mauvaise nouvelle, ils pleurèrent tous, de vraies larmes. Sachant sa mort imminente, la jeune femme quand à elle, demanda qu’on lui apporte des cahiers de voyage vierges, et de quoi écrire. Cette demande fut acceptée sans en référer aux supérieurs, car elle paraissait bénigne, et que par principe, on ne refusait qu’en de rares cas les derniers souhaits d’un mourant. Aussi entama-t-elle l’écriture de notes sur l’éducation qu’elle escomptait donner à son enfants, avec les connaissances et les explications allant avec ; ainsi que ses Mémoires, et un historique rapide de la famille Flame. Elle eut la chance de pouvoir finir ses écrits avant de mourir dans des souffrances atroces, et des convulsions pitoyables. Son corps fut donné à la mer dans les traditions de marins, lors d’une cérémonie pleine d’émotions. Beaucoup pleurèrent, et l’erreur du nouveau né, qui était alors dans une poussette un peu plus loin sur le navire, fut sans doute d’éclater de rire. Le rire franc et sincère, si touchant, qu’est celui du bébé, exacerba la situation, et les membres de l’équipage voulurent tuer le garçon. Mais ils ne pouvaient s’y résoudre, car l’affection qu’ils avaient pour la disparue était trop grande. Un vote eut alors lieu, et l’équipage vota pour abandonner le garçon, sur un radeau, avec les écrits de sa mère. Ce fut fait, quelques jours après et, par le hasard de la mer, le garçon finit son trajet sur une île habitée par d’étranges indigènes, ou du moins ils prétendaient l’être, et des loups. C’est seulement alors que commença la véritable histoire d'Elric, et que s’acheva ce qui peut jouer le rôle de tragique préambule à sa vie…
Dernière édition par Flame D Elric le Sam 24 Avr 2010 - 15:05, édité 1 fois
Flame D Elric Sous Amiral
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Sujet: Re: Le retour d'un Elric [Validée] Mer 13 Jan 2010 - 13:10
Pas d'rhum, une femme, mais pas d'bière! Nom de Dieu!!!
"Non seulement Dieu n'existe pas, mais essayez de trouver un plombier le dimanche."
Woody Allen
2.
Après une journée en mer donc, le bébé Elric arriva sur une île qui jusqu’alors semblait être déserte. Il fut alors recueilli, alors qu’il était toujours en train de rire aux éclats de son voyage maritime. En fait, il avait failli être mangé deux ou trois fois. Les monstres, pas très doués, l’avaient manqué et les remous avaient fait rire le bambin, qui, alors qu’on le lui raconta plus tard, n’en revint pas. Mais revenons à l’île. En fait, ce n’était là qu’une banale île, avec une majeure partie de forêt luxuriante, avec ça et là plages et falaises. Falaises du haut desquelles sautaient allègrement et rapidement des lapins avec une petite plume rouge entre les deux oreilles. On reconnaissait les mâles des femelles au fait que les mâles avaient deux plumes au lieu d’une seule. Ces lapins, suicidaires en apparence, sont en fait de joyeux sauteurs, hurlant à la lune pendant leur saut (ouais, ils gueulent ALALUUUUUUUNE). Etrangement, cette race de lapin, résolument pacifiste, tient bon depuis des millénaires, alors que l’épreuve pour passer à l’âge adulte est de sauter d’une hauteur minimum de 50m. Chaque samedi, les lapins se réunissent pour un concours de saut, celui qui saute du plus haut sera mâle dominant de la semaine. On appelle cette curieuse race les lapins Schplock, ce qui s’explique aisément. En effet, quand le lapin saute, il hurle, et on entend ensuite un Schplock, significatif qu’il est arrivé en bas. Du fait d’étranges et inexpliquées innovations génétiques aléatoires, ces lapins ont obtenus la particularité d’avoir un épiderme si solide que le mâle dominant de tous les mâles dominants s’est jeté de 2000m de haut et n’est pas mort. Remarquant cela, les locaux prirent l’initiative, puis l’habitude, de se servir de ces lapins pour aiguiser leurs lames. Mais nous reverrons les lapins Schplock plus tard. Parlons donc de ces fameux locaux. Ce son des indigènes, vivant sur cette île depuis toujours, du haut de leur communauté forte de ses 5 membres. En fait, ils ne naquirent nullement sur cette île, mais ils y furent rejetés pour des raisons obscures. En effet, cette bande de fieffés menteurs, mais non moins joyeux drilles sont en fait les inventeurs géniaux mais un peu barges de la danse sensuelle légendaire : la macarena. Tube planétaire, ils devinrent les idoles de toute une génération. Malheureusement, leur second et donc dernier morceau, la camanare, marcha beaucoup moins bien. Le monde du show-business étant ce qu’il est, ils furent jetés comme des malpropres et éjectés sur cette île de rêve pour y établir une super démocratie où les ministres, tous du sexe masculin, sauf une pauvre femme, ne meurent jamais. Cruel destin qu’était le leur, aussi furent-ils fort heureux de trouver le bébé sur la plage, alors que Cocot, la poule salope unijambiste s’en approchait dangereusement. Sauvé d’un viol précoce, le garçon fut donc recueilli par les chanteurs-danseurs bizarres, qui prétendirent toujours être des indigènes. Trouvant les cahiers lassés par la mère du garçon, les musiciens furent bien contents de les avoir, car ils constituaient une réserve de papier suffisante pour faire du feu pour l’hiver. Les cahiers d’histoires et commentaires personnels brûlèrent donc dans les semaines suivantes, mais d’un commun accord, il fut décidé de garder les cahiers comprenant les savoirs réellement utiles pour la vie future du jeune garçon. Ils attendirent cependant deux ans, que le garçon arrête de rire de tout avant de les lui lire, les leçons, l’air de rien et en tant qu’histoires banales. Mais ils se rendirent bien vite compte que le bambin, alors âgé de seulement deux ans, était doué. Il parlait déjà comme un livre, comprenait tout, marchait, et écrivait son nom. C’était à n’y rien comprendre parce que, paradoxalement, il pissait partout comme s’il marquait son territoire… D’où lui venait cette lubie, eh bien des loups qui vivaient dans les bois non loin. Une nuit que tout le monde dormait, les loups vinrent et emportèrent le jeune Elric dans les bois, et lui apprirent cette technique, avant de le ramener, aussi trempés que lui, au petit matin. Les indigènes n’y comprirent rien et refusèrent de manger quoi que ce soit venant des réserves pour les cinq semaines suivantes après que l’un d’entre eux tomba malade, vomissant tout ce qu’il mangeait pendant deux jours. Son éducation fut donc étrangement rapide, bien que jalonnée d’étranges régressions à l’état animal du garçon, toujours après des escapades nocturnes avec ses nouveaux amis les loups. Avançons alors jusqu’au moment de l’émancipation du bambin, comprenez par là l’âge auquel il ne fut plus dépendant des autres pour lire, quand il fut capable de le faire de lui-même. Il appris plus ou moins seul, à force de suivre les doigts de ses parents adoptifs courir sur les lignes. Il apprit à reconnaître des syllabes avant de reconnaître les lettres et de comprendre les prononciations des différentes associations de ces symboles nouveaux. Une preuve de plus que l’enfant avait un potentiel latent énorme, il n’avait que quatre ans et demi et il savait lire. Or donc, Elric marchait, parlait et donc chantait. Il avait l’âge idéal pour apprendre les divers mouvements de la macarena, du haut de ses quatre ans et demi. Sa mémoire était bonne, la chorégraphie facile, le garçon retint tout bien vite et prit cette danse pour une danse sacrée de l’île, visant à rendre le souper meilleur. En quelque sorte, cette danse devint le Hakkuna Matata du garçon, qui la dansait très souvent. Il l’appris même, par une nuit de pleine lune, à ses amis les loups qui, pour lui faire plaisir, la dansait à chaque fois qu’ils voulaient dire bonjour à l’un d’entres eux ou à un indigène. Vous l’aurez compris à ce stade de l’histoire, le garçon apprit à se trémousser avant de savoir faire du vélo. D’ailleurs, il n’y avait pas de vélo sur l’île. A la place, il y avait les planches à coco. Ce sont de simples planches, sur lesquelles par un habile système de nœuds, cordes et vis, sont fixées des noix de coco, permettant, et on ne sait toujours pas comment, de rouler, bien que l’étrange engin soit instable au possible. Dévaler les flancs des montagnes, debout sur sa planche à coco, devint l’un des jeux favoris de l’enfant, qui vivait une période heureuse. Le matin, il lisait le cahier de 12000 pages laissé par sa mère, car il savait déjà, on le lui avait expliqué, qu’il était adopté. Il apprenait vite, lisait tout aussi vite, mais voulait s’imprégner de ce qui lui restait de sa mère, car c’est tout ce qu’il avait sur elle. L’après midi, il s’amusait, et mine de rien, bien qu’il n’ait que cinq ans et que ses efforts soient minimes, il apprenait à faire des efforts, et était musclé, aussi stupide soit-il de prétendre qu’un gamin pouvait l’être. Et les soirs, quand il ne sortait pas avec ses amis les loups, il mangeait et filait dormir, car après tout, il n’avait que cinq ans, et se fatiguait donc vite, ayant besoin de repos et d’une petite douzaine d’heures de sommeil par jour. Ben ouais, Elric a beau être un Personnage Joué, il n’est pas un dieu non plus… Il avait donc des besoins simples. Mais avançons alors jusqu’aux huit ans du garçon, pour une anecdote importante, avant de conclure au moment de sa fuite de l’île.
3.
"L'ennemi est con, il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui."
Pierre Desproges
A ses huit ans donc, alors qu’il se baladait en forêt, il fit une rencontre décisive. Il fit la rencontre d’un de ses futurs amis. Cet ami n’était autre qu’un lapin Schplock, beau, fier et masculin, s’entraînant pour le concours de saut acrobatique du samedi. L’animal sera d’ailleurs renommé plus tard et de façon tout à fait arbitraire Panpan, sans aucun rapport avec son homonyme du film pour enfant Bambi, dont nous ne citerons pas le nom… et merde… mais non j’l’ai pas dit ! Mais revenons en à la rencontre. Elric, maintenant fier chieur de 8 ans, se pissant moins dessus mais marquant son territoire, se promenait alors en bord de plage, en bas d’une falaise haute de 50m, un vendredi matin. Sa balade en forêt matinale étant finie du fait que la forêt débouchait sur la plage, il avait décidé de pousser un peu sur le sol sablonneux. Il portait sur sa petite tête un casque titane-blindé-nec-plus-ultra-top-giga-solide garanti résistant à la chute inopiné d’un porte avion nucléaire, en plus, c’était un Lebauhaum, c’est dire. Or donc, avec son casque sur la tête, il se promenait en bord de falaise, protégé contre les lapins Schplock autant que contre les porte avions nucléaires tombant du ciel. Alors qu’il passait devant un caillou à la forme d’un orifice normalement pas tourné vers le ciel, ou alors quand on est allongé sur le ventre, mais là c’est de la triche, il le ramassa pour mieux l’observer. Formé de deux petites montagnes d’entres lesquelles le vent sifflait, apportant une odeur dégoûtante de méthane, semblant sortir de cet orifice sombre au milieu, le caillou intéressa le garçon un temps, mais il s’en lassa. Aussi le jeta-t-il à la mer, où un gros monstre marin le mangea, le confondant avec l’orifice qu’il était sensé représenter (quel con ce monstre), et se cassa deux dents dessus, avant de le recracher puissamment sur le jeune garçon, qui ne remerciera jamais assez son casque Lebauhaum. Il reprit alors sa marche, lente mais agréable, ses cheveux noirs déjà longs flottant aux grés des alizés. Il eut le temps de faire une vingtaine de mètres, d’éviter pendant ce temps quatre lapins, deux rochers et un piano dont on se demande encore ce qu’il faisait là. C’était d’ailleurs un beau piano à queue, un Pleyel, une marque renommée dont Elric n’avait rien, mais alors rien à foutre. Quelque part ailleurs, au même moment, un homme se réjouissait que son canon à piano marche si bien. C’est bizarre comme la folie furieuse nous fait faire des choses bizarres et dangereuses. C’est donc alors qu’il venait de parcourir, cheveux au vent, les yeux plissés pour ne pas que le vent charrie en eux du sable, et le nez en alerte, son odorat de garçon à moitié élevé par des loups sur le qui-vive, qu’il lui arriva une autre péripétie. Se tournant lentement vers la mer, les yeux toujours mi-clos, il put observer une curieuse scène, amusante. Sur une planche à voile miniature, un gamin qui devait avoir le même âge qu'Elric, blond, les longs cheveux dans le vent, un indéfectible sourire accroché sur un visage jovial et avenant de ceux qui triment pour survivre. Le garçon était aveugle, et, en gros sur sa voile, il y avait un tag assez stylisé, au dessus du symbole du village éloigné appelé Marine, décrivant ainsi le possesseur de cette planche à voile : Sora Shizen. Et en plus petit, en dessous : Petit con… Indéniablement un fugitif pirate très dangereux et puissant, il était poursuivi par un grand et fier navire appartenant apparemment aux forces de l’ordre locales, dont le commandant était assez connu, il s’appelait Dao Shizen… mais on l’appelait tous Damdamdao, en petit comité. N’importe quel ahuri aurait fait le rapprochement entre Sora Shizen et Dao Shizen, mais à dire vrai, Elric n’était pas n’importe quel ahuri… Mu par un grand, fort, puissant et irrépressible désir d’aider la justice, afin de se faire remarquer, et peut être qu’on le sorte de cette île afin qu’il ait un avenir différent de celui d’un indigène danseur de macarena, Elric ramassa donc une pierre, assez lourde, un bout de carton, et un feutre rouge épais qui se trouvaient là pour les besoins du scénario prévu. Il jeta alors le caillou, fort et précisément sur la voile de la planche, qui se troua presque instantanément. Un observateur extérieur aurait très certainement dit de Xino qu’il avait le sens moral du chacal affamé, et il aurait raison. La voile trouée, la planche cessa de porter le jeune forban en fuite, et ce dernier tomba à l’eau. Un monstre marin passait par là, et le mangea, laissant alors à l’endroit même où le gamin était tombé une mare de sang rouge qui surnageait par rapport à l’eau… Satisfait, Elric prit son carton et son feutre, affichant un « C’est moi que j’l’ai fait ! », fièrement, et souriant de toutes ses dents jaunes pour paraître présentable et, peut être, être pris. Malheureusement, il venait de tuer le fils adoptif du commandant Shizen, qui se vengea en attaquant directement l’île, tuant tout sur son passage, mais ça Elric n’en savait alors rien… Il reprenait alors sa balade, calmement, quand un lapin lui tomba lourdement sur la tête. Ne sentant pas la douleur, protégé par son casque, le gamin sentit quand même l’impact, et il en tomba par terre. Le lapin l’observa, le gamin regarda le lapin et ce fut le coup de foudre, ils se firent l’amour violemment sur la plage… et ce fut le coup de foudre, ils s’apprécièrent alors l’un l’autre, et devinrent très vite amis. Au même moment, le jeune Sora Shizen ressortait du monstre marin, et remontait à bord du navire de son père, pour se prendre une trempe, du fait de la mauvaise blague qu'il venait de faire...
4.
Vous comprendrez alors plus tard, dans le rp, que je ne peux aller plus loin, car le gamin, rentrant au village, tomba sur un champ de ruine. Un radeau était là pour les besoins du scénario, aussi l’emprunta-t-il pour partir avec son ami le lapin. Sa formation ninja suivit, mais doit rester secrète, pour les besoins encore une fois, du scénario prévu par le narrateur, c'est-à-dire moi… Comment ça c’est un moyen de pas finir et d’inventer au fur et à mesure… Ben un peu, mais j'étais parti pour faire un roman, qui ne se finirait que dans 6 mois, et encore, si j'accélère... Donc je post ça, et le reste de sa formation, comment il est monté en grade, comment la Marine a put l'accepter dans ses rangs, tout cela viendra plus tard, in rp... ^^'
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Tar Etts Trappeur
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Sujet: Re: Le retour d'un Elric [Validée] Mer 13 Jan 2010 - 15:22
Validé, attend une deuxième validation.
JESSE Jenaiz De Bellum Nouveau
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Sujet: Re: Le retour d'un Elric [Validée] Mer 13 Jan 2010 - 15:32