Prénom: ******
Age: 18
Sexe: homme
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Tes Mangas préférés: One Piece, Eyeshield 21, Death Note...
Ton pirate préféré dans one piece : Shanks, et aussi Ao Kiji
Hobbys: musique (Led Zep, RHCP, ACDC, SOAD, Satriani, Vai.. pour ne citer que les plus connus)
Autre:
~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~
Nom & Prenom : Piko Hanson
Pseudonyme : Piko
Age : 21
Race : Humain
Occupation : Pirate
Rang Spécial : gentil pirate ^^
Métier : Cuisinier
Physique :Piko Hanson n'a pas un gabarit hors norme. On pourrait même dire qu’on ne le remarque pas quand on le voit arriver au loin, tant son allure est banale et sans intérêt. Il n'est pas d’une taille excessive, bien que son jeune âge lui laisse encore des espoirs de croissance. Son gabarit n’est pas très imposant, étant donné l’état de ses muscles encore jeunes, qu’il n’utilise pas souvent dans des conditions difficiles qui leur permettraient de se développer.
En fait, la seule chose notable est que ses bras ont l’air un peu court par rapport au reste du corps, mais sans que cela le gène pour autant. Les mains sont parfaitement propres et vierges de cicatrices, comme si elles n’avaient jamais servi qu’à exercer des tâches insignifiantes et peu marquantes, ce qui n’est pourtant pas le cas.
Seules ses jambes témoignent d’une activité physique un peu poussée : contrairement au reste du corps, où se glissent de temps à autre quelques traces de graisse, ses jambes sont parfaitement fines, avec des contours bien dessinés. Sans être celles d’un sprinteur, elles laissent deviner de nombreux kilomètres parcourus.
En revanche, son visage est assez marquant.
Tout d’abord ses yeux, noirs, qui sont petits et fins, semblent pétiller, tant ils sont prompts à se refermer lorsque Piko éclate de rire.
Les autres parties de son visage semblent insignifiantes, un petit nez, des petites oreilles, ce qui est accentué par sa large bouche, donnant à sa tête un aspect rond, aux proportions mal respectées.
Ses cheveux sont d’un noir qui vire étrangement à l’orange en cas d’humidité et de forte exposition à la lumière. Ils sont coupés très simplement et surtout très court, ce qui est probablement le fait d’un certain laxisme ; cela permet à Piko de ne se coiffer pour ainsi dire jamais (les cheveux courts ne se décoiffent jamais)
A l’image de ses cheveux, ses vêtements sont en général courts et prévus pour permettre une grande souplesse dans les mouvements. Piko porte le plus souvent un short noir, accompagné d’un T-shirt d’une seule couleur qui peut varier (et cet accoutrement ne dépend pas de la température qu’il fait dehors). Il y eut de rares occasions où il enfila l’uniforme de l’hôtel, en présence de clients renommés, mais il ne se sent pas à son aise dans de tels habits.
Sa voix est grave pour un jeune homme comme lui, mais le ton qu’elle adopte est toujours le plus chaleureux et courtois possible. Il en résulte une sympathie presque immédiate envers n tel bonhomme.
Caractère et morale:
Piko voit le monde comme une vaste prairie, où chaque plante doit pouvoir être libre de pousser sans entrave. Il est donc réfractaire à toute forme d’autoritarisme, cependant il comprend l’utilité de respecter des règlements et des valeurs, il n’a rien d’un anarchiste.
La principale qualité de Piko est sa capacité à positiver dans toutes les situations imaginables, ce qui est sans doute liée à un certain pragmatisme : Il ne s’attarde pas sur ce qui ne fonctionne pas, et va de l’avant autant qu’il peut, quitte à prendre des risques et à s’exposer aux dangers.
Il semble d’ailleurs faire preuve d’une grande confiance en soi, et avoir rarement peur, mais il est plus juste d’associer ce trait de caractère à sa naïveté, et à une sorte d’inconscience face aux dangers qui se présentent. On pourrait parfois dire que rien ne peut le désarçonner dans sa bonne humeur, tant il fait preuve de gaieté et de bonne humeur, ce qui se manifeste en particulier par le fait de relativiser toutes les mauvaises nouvelles.
Il convient de ne pas oublier que Piko a perdu ses parents très tôt, et qu’une telle attitude, de joie, est surprenante pour un orphelin; mais il est fort probable que ce soit justement une couverture pour masquer une meurtrissure aussi profonde. Le rire est le remède à bien des maux…
Si cette hypothèse est vérifiée, elle expliquerait aussi une deuxième attitude de Piko, qui est une absence de haine et de mépris, il n’arrive tout simplement pas à éprouver ces sentiments même face aux pires actes envers lui, comme si des problèmes d’une telle faiblesse ne pouvaient pas le blesser… pas plus qu’il ne l’est déjà dirons-nous.
Il n’apprécie pas vraiment la guerre et l’opposition de forces qui en découle, étant plus habitué à négocier qu’à se battre. Il est donc peu enclin au combat, alors quand il se bat, cela signifie qu’il juge l’affrontement inévitable.
Il a déjà été mentionné que Piko sympathisait avec tout le monde. Avoir un contact aussi facile avec les gens permet, il est vrai, de mener une vie agréable, mais c’est pourtant ce qui est à l’origine du second drame de Piko : les amis.
Bien entendu, il connaît une foule de personnes avec lesquelles il entretient une bonne, voire très bonne relation ; cependant il déplore (du moins s’il s’en rend compte) le fait de ne pas avoir de véritable ami, sur qui compter etc… Inutile de définir ici ce qu’est un ami. Ce qui importe est que Piko se sent souvent seul face au reste du monde, surtout en voyant les ignominies dont sont capables les hommes (et que lui pense être incapable de faire).
Pour achever cette description mentale, la chose qu’il désirerait le plus au monde serait donc de trouver un ami, à condition qu’il sache qu’une telle chose existe, et que le rapport entre êtres vivants peut être autre que mercantile, des amis qui puissent aussi l'aider à changer et à progresser.
Fruit du Démon : J'attends de voir quel niveau vous me donnez pour choisir, étant donné que j'ai encore peu d'expérience.
Techniques Spéciales : Je verrai en fonction du fruit du démon, sinon Piko a développer un style de combat basé sur l’improvisation avec les objets qu’il trouve, créant instantanément des techniques (pas toujours efficaces cela dit).
Histoire :
Piko est né sur une petite île, dont le nom importe peu. Il a perdu ses parents d’une façon assez étrange, et dès son jeune âge, ces derniers étaient de simples commerçants et ne lui laissèrent pas grand-chose.
Il dut survivre sans eux. Évidemment à cet âge il ne pouvait être seul, et il eut la chance d’être recueilli par un le propriétaire d’un petit hôtel miteux (dénommé le Merle gris), qui lui procura un endroit où dormir et de quoi manger. Cependant ce dernier n’était pas spécialement riche, et il préféra que Piko l’aide à en effectuant de petites tâches à l’hôtel (où il était seul), au lieu de perdre son temps en jouant avec les jeunes de son âge. La chance de Piko était toute relative ; l’hôtelier n’étant pas particulièrement tourné vers la charité, il exigea beaucoup de travail, alors qu’il n’avait en face de lui qu’un enfant.
Heureusement le garçon ne fut pas traumatisé par cette enfance, à l’allure peu reluisante, car les tâches était toujours très diverses, et il n’avait jamais l’impression de faire la même chose.
Le vieux maître d’hôtel qui l’hébergeait réussit même à lui transmettre sa passion, celle d’accueillir les gens dans l’hôtel, peu importe les origines et les richesses, et à leur faire passer un agréable séjour même si l’hôtel n’avait rien d’exceptionnel. C’est à partir de ce moment que Piko apprit à sourire en présence de clients, et il devint apprécié des clients fidèles de l’hôtel, qui commençaient à se faire plus nombreux depuis que Piko avait apporté un souffle de jeunesse et de gaieté.
A mesure qu’il grandissait, il pouvait faire de plus en plus de tâches, manier chaque instrument de cuisine (il se révéla entre autre d’une grande créativité culinaire, même s’il manquait encore d’habileté), ou s’occuper des pensionnaires qui avaient des retards de paiements. Ceux-ci se montraient parfois agressifs, et Piko dut apprendre à se défendre, pour conserver le calme dans l’hôtel. Sa technique de combat était au départ très approximative; il se battait avec ce qui lui tombait sous la main, ou était parfois obligé de détaler devant des adversaires trop coriaces, ce qui lui valait plus tard les remontrances de son « patron ».
D’une nature curieuse, il rencontra aussi de nombreux pirates ou marines de passages, qui le voyaient s’entrainer au combat, et s’amusant de voir un jeune homme se prendre autant au sérieux, ils lui prodiguèrent des conseils d’une grande utilité.
Lorsqu’il fut vraiment en âge de travailler officiellement, il commença à recevoir de l’argent pour son aide à l’hôtel, et obtint aussi des jours de repos, où il découvrait d’autres îles, avec des traditions culturelles différentes.
Il fut fasciné par une d’entre elles, dont la spécifité était la fabrication de glaces. Il adorait le produit en lui-même, mais surtout la facilité avec laquelle il pouvait communiquer des sensations aux enfants (alors que lui n’ait jamais connu ce plaisir auparavant. Il mit donc un point d’honneur à devenir un expert en confection de produits glacés, et de les commercialiser pour les rendre accessibles à tous. Il obtint un grand succès, mais continua à travailler à l’hôtel, la plupart du temps comme cuisinier, mais comme il aimait le contact avec les gens, il faisait souvent le room service, ou apportait les plats directement aux tables.
L’hôtel devint prospère, et quand des habitants d’une maison du voisinage quittèrent l’île (ils n’appréciaient plus l’agitation relative causée par les pensionnaires plus nombreux de l’hôtel), Piko et le propriétaire du Merle gris, qu’il considérait comme son père (n père tyrannique et exigeant, maiq un père quand même), décidèrent de racheter la maison pour étendre l’hôtel. Ce fut aussi l’occasion de remettre le premier bâtiment à neuf, et de changer le nom pour qu’il soit appelé « Les Deux Merles ».
Excellente période pour les affaires, le restaurant de l’hôtel vit sa renommée s’accroitre jusque dans les îles voisines, d’où des clients venaient pour découvrir la cuisine de Piko et ses glaces, au point qu’on parlait même moins de l’hôtel, qui gardait toutefois de nombreux clients.
Cette ombre que faisait le restaurant à l’hôtel ne dérangeait pas Piko et son mentor, et ils continuaient d’accueillir ceux qui avaient besoin d’un hébergement. C’était un endroit où le gouvernement n’irait pas un trouver un criminel même recherché, ce pouvait être tout en apparence sauf l’endroit pour cacher quelqu’un. C’est en tout cas le raisonnement que suivit un vieux pirate nommé Berren qui vint en planque à l’hôtel, son équipage avait été décimé et il désirait juste couler des jours heureux avec les quelques restes de son butin. Et effectivement, pendant un long moment il fut tranquille, mais attiré par les entraînements quotidiens de Piko, il l’observait et ne put pas longtemps résister, comme beaucoup avant lui, à corriger des erreurs évidentes dans le style du jeune homme. Il avait beaucoup d’expérience, et comptait finir paisiblement ses jours sur l’île. Il se lia donc d’amitié avec Piko, et devint son entraineur, lui permettant de faire d’énormes progrès pendant de longs mois.
Mais la fin du vieux pirate ne pouvait être aussi simple. Certes, Berren n’éveillait aucun soupçon, cependant, d’autres pirates passaient de temps à autre par l’île, voire séjournaient dans l’hôtel.
Un d’entre n’avait pas l’argent pour payer et on décida d’envoyer Piko pour lui faire payer ses dettes (il était le plus fort de l’hôtel après tout), mais même lui ne fut pas en mesure de vaincre le brigand, il en sortit assez blessé, et c’est le vieux pirate qui dut intervenir, au cours d’un combat qui causa quelques dommages dans la ville.
Une fois le mauvais payeur hors combat, le Berren resta pour s’occuper des blessures de Piko.
Le geste était honorable, mais il causa sa perte. En effet suite aux ravages dans la ville, des habitants avaient appelé la marine pour remettre de l’ordre.
Ils ne mirent pas longtemps à découvrir qui se cachait dans l’hôtel. Malgré les sommations des marines de dénoncer la nouvelle planque de Berren, Piko ne voulut rien avouer, bien que ce fut sans espoir. Ils finirent par le trouver, en fouillant l’hôtel bien sûr, et n’ayant pas de preuves contre un complice, ils détruisirent l’hôtel, tout simplement. Ils voulurent aussi exécuter le vieux Berren sur la place centrale du village, en exemple.
Le jour de l’exécution, tout le village était présent, sous peine d’amende, et Berren voyant le visage plein de peine de Piko, en raison de l’exécution et de la destruction des Deux Merles, comprit et tenta de l’apaiser, en parlant à la foule comme l’avait fait Gold Roger des décennies plus tôt. Il dit à tout le village de ne pas chercher la vengeance, et de ne pas se rebeller car la piraterie et l’opposition au gouvernement sont des tâches trop dures pour un petit village comme celui-ci.
La foule ne comprit pas ces paroles et crut que le pirate délirait, mais Piko savait qu’il s’adressait personnellement à lui.
Il médita longuement les derniers conseils de Berren, mais il n’arrivait pas à concilier sa peine avec son inactivité. Il parvint finalement à la conclusion qu’il manquait un hôtel, ou un lieu pour le repos des pirates face à la marine, et que ce lieu pouvait exister uniquement sur un navire, ce qui permettrait de fuir en cas de besoin.
N’ayant plus rien à part ses talents de cuisinier, il décida que la voie la plus rapide pour atteindre son but était de rejoindre un équipage pirate et de naviguer sur Grandline pour progresser, et trouver comment échapper continuellement à la marine.
Avec ses talents de cuisinier et sa connaissance des glaces il devrait pouvoir trouver un équipage qui veuille bien de lui.
Rêve / But : Piko rêve de construire un navire hôtel, qui naviguerait sur les mers, à l’image du Baratie, mais surtout, un lieu où les pirates recherchés par la Marine et las de fuir et de combattre pourraient venir faire une pause et se reposer.
Post RP :
Qu’est-ce que c’est ?
Room service, on vous apporte le petit déjeuner...
Attendez deux minutes…
Après 5 minutes d’attente, donc, la porte finit par s’ouvrir, laissant apparaître un homme visiblement encore mal réveillé et mal rasé. Il portait un pyjama bleu avec des dessins d’animaux, qui était légèrement trop court et laissait dépasser son embonpoint.
Il avait l’air passablement de mauvaise humeur, il était tout de même 6 heures, mais Piko ne s’en soucia guère. Il afficha un large sourire et lança d’un ton enjoué :
Bonne journée Sergent Corkbell, voici le petit déjeuner que vous avez commandé hier soir !
Le dénommé Corkbell se frotta les yeux, et jeta un regard vague au plateau que tenait Piko, et qui contenait une belle brioche avec quelques pots de confiture et de miel. Le tout semblait particulièrement frais et appétissant. Mais le sergent n’en eu cure, et ronchonna :
‘savez l’heure qu’il est ?
Il est précisément 6 heures 07, sergent, et vous aviez précisé hier de vous réveiller à 6 heures, voilà qui est fait.
Le sergent fit une grimace en entendant l’heure matinale où on venait de le déranger, surtout dans un rêve magnifique où il nageait dans une chope de bière avec des poissons-poulets autour de lui (un rêve magnifique on a dit !).
Il essaya ensuite de se concentrer pour se rappeler ce qu’il devait faire, son visage épais se rida de plus en plus au fil de sa réflexion. Après quelques secondes intenses, son visage s’alarma, il arracha vivement le plateau des mains de Piko qui comprenait à peine ce qui se passait. Il salua le sergent en lui souhaitant à nouveau une bonne journée.
Il passa ensuite à la chambre suivante, et frappa 3 fois, comme chaque matin. Pas de réponse… Il tenta donc la tactique suivante, même s’il avait quelque soupçons depuis un moment et se doutait de ce qu’il allait trouver en entrant.
Kerry Mc Bean ? Room service, vous n’avez pas payé votre dernière semaine. Kerry ?
N’ayant aucune réponse au bout d’une minute, il sortit son trousseau de clés. *Chambre 18, c’est celle là.*
En entrant, il poussa un soupir, le locataire s’était fait la malle, et avait laissé la chambre dans un certain désordre. Il n’y avait pas de quoi faire un drame, juste quelques saletés par terre et des draps en piteux états, mais tout de même !
Il prit ensuite le den den mushi de la chambre, qui communiquait avec le standard de l’hôtel, si on pouvait qualifier ainsi le petit bureau chaotique où le propriétaire réglait ses affaires.
Patron, le 18 est parti sans payer, et en ayant saccagé la chambre.
T’inquiètes pas pour ça, va !
Le fameux patron avait parlé d’une voix calme et presque amusée par l’indignation du jeune homme.
Il reviendra n jour ou l’autre et paiera sa dette, c'est une vieille connaissance. Dépêches toi juste de remettre la chambre en état pour des nouveaux clients, et n’oublies pas que ce soir tu t’occupe des fourneaux.
Pas de problème, mais je m’occupe des autres clients d’abord ?
Evidemment. On se voit tout à l’heure.
Lorsqu’il eut fini sa tournée des chambres, Piko aperçut le sergent Corkbell, qui avait apparemment englouti tout ce qui était sur le plateau petit-déjeuner. Il semblait à la fois pressé et embarrassé, comme s’il devait trancher à propos d’un vrai dilemme.
Piko l’accosta, toujours en souriant, et en ayant l’air de s’intéresser particulièrement.
Tout se passe bien Sergent ? Puis-je vous être utile ?
Corkbell fronça les sourcils en entendant le jeune homme, puis, en le voyant si joyeux, il se résigna à raconter ses malheurs à Piko.
Voilà, j’étais sensé m’occuper des matériaux de construction pour restaurer le navire de mon colonel, mais j’ai perdu l’adresse de ce charpentier qui pouvait me dépanner, alors à moins que tu connaisses un charpentier dans le coin je vois pas ce que tu…
Il fut coupé par Piko qui arborait un air soulagé et confiant.
Si ce n’est que ça, je peux vous donner l’adresse et le numéro de den den mushi de Mabam. C’est le meilleur sur cette île, il est très efficace. Vous verrez, votre navire sera comme neuf dans quelques heures.
Laissant, une note avec les coordonnées du charpentier, Piko alla ensuite ranger et nettoyer l’ancienne chambre de Kerry Mc Bean. Dans le ramassis de déchets et de vêtements sales que ce dernier avait laissé, Piko trouva un bout de papier sur lequel était inscrit un petit mot.
« Les graines sont dans l’abreuvoir de l’écurie à 16 pas au Sud du vieux ranch. »
Il se rappela une histoire qu’on lui avait racontée il y a longtemps ; l’hôtel avait été aménagé à partir d’une vieille ferme ou un bâtiment du genre. D’ailleurs les écuries avaient été transformées en restaurant…
Par contre une partie du message le choquait : des graines dans un abreuvoir, c’était absolument illogique. Il se demanda s’il n’était pas en train de manquer un épisode, mais parvint à la conclusion que l’auteur du message était un peu dérangé, et continua sa journée sereinement.
Sujet: Piko Hanson 
