Piko Notable
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[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Piko c'est moi Mar 2 Oct 2012 - 2:57 | |
| - Présentation du joueur IRL - - Citation :
Prénom : Marc Age : 19 Homme/Femme/Okama : j'ai un truc qui pendouille entre les jambes .. Comment avez-vous connu le forum : One piece rpg -> taper sa sur google c'est le 2e combien d'heures vous vous connectez par jour : je dirais minimum une visite par jours Tes Mangas préférés : Op .. Original je sais ton personnage préféré dans One Piece : Chopper ce qui t'as motivé à venir : le Rp tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : débutant Hobbys : .. Autre(s) : ..
- Présentation du personnage - • Prénom : Piko • Nom: Samui • Surnom : Frog, originalité égal succès • Age : en humain ça doit pas faire bien des chiffres • Race : Crapaud parlant • Camp : Civil pour débuter •Prime : 0.00 • Orientation psychologique : indifférent, bon & stupide • Métier/Spécialité : bête de foire, attraction vivante, etc. Mais écrivain à temps partiel • Pouvoir demandé [/i] : j’aimerais avoir le niveau max pour un fruit svp • Rêve(s)/But(s) du personnage : se rendre dans le Nouveau Monde, histoire de trouver l’ile des grenouilles et trouvé une princesse aux lèvres d’or. • Code présentation : ◘ Description physique, caractère & morale : OUAHHHHHH! Mais vous avez vu cette ignoble créature, toute orange aux yeux globuleux, ouah dégueu, elle doit sentir mauvais en plus… Elle se confond aux humains comme si elle en était un! Mais c’est inacceptable, regarder ses petits habits comme s’il allait y changer quelque chose! Horrible, peut-être est-ce un homme-poisson? Non, il n’a pas l’air de ceux-là, on dirait plus un, un oui vous savez, un vrai euh… Crapaud, format costume pour enfant, peluche, monstre… Non, Piko est un Crapaud pure race et ouais! Donc pas besoin de vous casser la tête bien longtemps. En sommes, il ne fait pas plus d’un mètre de haut et se quand il s’étire, alors rien d’impressionnant, une fillette n’aurait même pas un frisson. Côté croissance, il n’est pas encore arrivé à son maximum, mais le qualifier d’adolescent serait parfait. Se qui est intéressant avec lui, c’est plutôt sa façon de se mouvoir, ou d’agir comme le ferais toute personne normale quoi. SNACK. SLUUURP. BOUARP. Pardon, une mouche. Bon, comme je le disais, il agit comme un animal, un vrai. Que voulez-vous, il faut croire que l’instinct est plus fort que le reste… Peut-être que la petite veste qu’il porte l’aide à se sentir un peu plus comme nous, gens normaux, mais qui sais, dans sa tête soie s’était une question d’assimilation ou bien à force de se tenir dans les lieux publics et de se faire traiter de Hentai, une certaine forme de respect envers les autres peut se créé. Dans tous les cas, se n’est pas sa qui le fera passer inaperçu, qui lui permettra d’éviter les regards de surprise et bien plus encore. Peut-être qu’une paire de bas par contre… Vous savez quoi, de tout son physique, une seule chose lui fait de la peine, remarquable non? Une chose qui l’aura toujours dessus et de laquelle, il ne faut pas se moquer, vous voyer il faux le comprendre, les crapauds chevelus, ne sont pas très nombreux, voir inexistant et Piko, en plus de ne pas en savoir beaucoup sur ses origines ignore se petit fait assez connu et même reconnu. Pauvre de lui, mais nous ne pouvons que bien le comprendre après tout, qui n’as jamais rêvé d’avoir une chevelure qui en ferait tomber de jalousie toute personne en croisant le regard hein? HEIN? En attendant de découvrir la vérité, il est et restera probablement longtemps persuadé que les petites pustules qu’il retrouve par si par là sur le dessus de son crâne sont des petites poches remplies à ras bord de ces doux fils minces et doux. Laissons-le donc croire qu’un jour ils arrêteront de fermenter et jailliront pour lui couvrir le crâne. D’un autre coté, être un batracien, ça a ces avantages, nager telle une grenouille, oups. Comme un poisson, sauter comme une gre gazelle! Ou même tirer la langue comme un crap caméléon! Se sont tous des avantages qui avec le temps lui aura rendu la vie plus facile vous voyer et sais sans parler, de ces magnifiques membres dotés de mains ou de pieds palmés et ouais! Il a aussi découvert une passion pour les longues journées passées sur la plage à se faire griller au soleil! Ou de fortes envies d’ingurgiter des tonnes d’insectes… Ne nous éloignons pas trop quand même, mais avez-vous jeté un regard dans ces magnifiques petits yeux tout jaunes? Tout brillant et avez-vous vue se magnifique visage dont le nez absent vous intrigue au point de dégobiller votre repas, Mmmm l’odeur de la nourriture prémâcher, un délice quand on n’a pas de dent! On s’en lécherait bien les lèvres, mais la encore il n’est pas sur d’en avoir, mais sa langue elle! Parfaite, longue douce et capable d’atteindre plein de choses tout en sécrétant une substance plus ou moins collante. Ce n’est pas cool? Lui il pense que ouais, surtout quand il est trop fatigué pour saisir un truc et qu’il n’a qu’à tirer la langue pour l’attraper! Je vous ai parlé de son petit veston tout à l’heure, d’un bleu uni et de manufacture moyenne, il constitue le seul vêtement du jeune crapaud. En plus, il garde dans ces poches intérieures, quelques crayons et un livre bien particulier « Comment faire des blagues en mille et une farce! », mais de tout se livre et seulement une fois le premier chapitre bien entamé, seule la partie finale sue retenir son attention, car voyer vous, la moitié sinon plus du petit livre, n’est que feuille lignée vide. L’endroit parfait pour y introduire ces propres blagues! Ce n’est pas magnifique la vie? Pour un crapaud, oui! « Comment faire des blagues en mille et une farces! » D’un point de vue intérieur, Piko est très intéressant. Tout d’abord, il n’est pas rare de le voir parler à la troisième personne, dans le genre : Piko est beau, Piko le sait. Oui, comme cette petite réplique le démontre bien, Piko s’aime énormément et à vraie dire il n’aime presque rien d’autre, ou ne considère presque rien digne de lui, de sa magnifique crapaüté (mot inventé par nul autre que lui même). Mais au-delà de son égo surdimensionné, ou sa façon bien particulière de se surévaluer face au monde entier, un jeune esprit bien tordu et moqueur se dégage de tous ces gestes et paroles. Les insultes, les blagues douteuses et même des commentaires sexistes, sans parler des phrases bidons directement sortis des romans d’amour un peut trop rose, tout le monde sais que malgré tous ces efforts pour ce faire valoir, personne ne réalisera son rêve… Son Rêve! Je dois vous l’expliquer! Oups, j’ai totalement oublié de vous expliquer l’un des plus gros enjeux de sa vie! Car notre jeune crapaud, aussi intelligent ou stupide soit-il, réserve son existence dans une action bien particulière! Celle de réaliser ce merveilleux rêve! Personne n’a jamais entendu la rumeur, celle disant, qu’un baiser de la plus douce, jolie femme et séduisante soie elle. Sur les misérables lèvres de notre petit crapaud serviraient à le transformer en un magnifique et torride sans parler de l’exotisme qui pourrait enfin émaner de ce merveilleux prince servant ? Que seul se baiser tout à fait unique pourrait le transformer en le plus beau des hommes?... Foutaise croirez vous. Mais Piko croit dur comme fer en cette petite histoire, car un jour il deviendra ce magnifique prince! ◘ Histoire : - Contexte et histoire d’un village
L’ile de Toas, royaume incontesté des grenouilles, crapaud et tout batracien. Situé dans les environ de la mer noire, dans le Nouveau Monde.
L’île était plus fleurie que jamais auparavant, les bambous s’étaient élevés vers le ciel comme si une course était une fois de plus recommencée en l’honneur de la saison des pluies fraichement débuter. Dans une petite hutte située sur les bords boueux des marais, un miracle était célébré. Pour la dix-huitième fois, Mako et Bunta, deux crapauds plus ou moins importants mettaient au monde un magnifique petit bébé. Pour le moment il n’était qu’un œuf, mais bientôt il serait assez fort pour sortir et leur révéler sa couleur. Dans leur petite île habituellement écarter de tout le reste, plusieurs coutume et rite bien particulier étaient célébrés et le plus important de tous, c’était l’attribution de la couleur au nouveau-né. Pour l’occasion, car les crapauds ne mettaient au monde qu’une fois tous les trois ans, chaque couple créait ensemble un œuf qu’il entourait d’une cordelette et d’une petite médaille à l’effigie de leur famille, ensuite les œufs étaient placés dans une fontaine commune ou ils se réchaufferaient chacun les uns les autres jusqu’à leur éclosion. Une chose bien importante à savoir, c’est que peut importe l’origine ou la famille, le crapaud une fois sa semaine passée sous sa forme d’œuf commençait à se teindre d’une couleur généralement neutre, mais parfois multicolore, dans tous les cas, l’ordre suivait ainsi ce petit tableau et peut importe le reste, cette apparence les diviserait dans leur future composition physique et sociale au sein de la communauté.
_________________________ • femelle seulement Rose : cette couleur représente la pureté, chaque femme née sous cette couleur se verra donc vivre au milieu de tous, mais personne ne pourra leur parlé, elles seront reconnues par tous comme pur et jamais elles n’auront droit de se reproduire ni de faire le moindre effort.
Bleu : médecin et guérisseur en tout genre.
• Mâle & femelle Brun : la classe la plus banale constituée des ouvriers normaux et villageois, mais aussi les plus communs des crapauds.
Noir : généralement chef de clan, contremaitre ou gestionnaire des bruns.
Blanc : ils sont la classe religieuse et les porte-paroles de leur dieu Gama, le crapaud d’or.
Violet : les scientifiques ou chercheurs en invention des plus loufoque, généralement reconnue comme fardeau de la société de par leur inefficacité.
• mâle seulement Vert : assassins et utilisateur de poison, tous les crapauds peuvent créé un minimum de substance, mais ceux si sont bien les professionnels.
Orange : combattant de par leur plus forte constitution, leur esprit reste brouillons, car on retrouve dans cette classe l’équivalent de toutes les classes, attribut lier à leur faculté à changer de couleur pour obtenir les autres facultés, donc chacun sera meilleur que l’autre tout en restant moins bon que les couleurs originales afin de pouvoir créé une diversité au combat. On raconte que les plus puissants ont réussi à devenir dorés, mais les légendes sont pour les enfants.
Rouge : classe royale des crapauds, portant tous une couronne d’or sur leur crane, nul ne peut discuter leurs ordres.
Or : Dieu, un seul crapaud de toute l’histoire est né sous cette couleur, on raconte qu’il est le plus puissant de tous ceux n’ayant jamais vu le jour, le grand Gama.
Multicolore : classe bien à part pour laquelle la couleur dominante l’emporte. _________________________
Une fois la semaine écouler, que les nouveau-nés ont leur couleur, ils sont respectivement envoyés vers l’un des temples représentant leur couleur afin d’obtenir leur formation pour un avenir tout tracé. Dans sa famille, Piko, car c’est bien de lui que nous allons suivre chaque pas, il est effectivement le dernier-né d’une famille peu commune, la mère n’étant rien de plus qu’une brune et le père qu’un noir et chef de la famille Samui. Sous se clan bien des crapauds s’étaient rassembler, de par leur gentillesse et de leur besoin d’aider les gens. Comme dans chaque monde, il arrive parfois qu’un enfant soie égarer, qu’il perde son médaillon ou que sa famille ne soie pas retrouvé, dans les cas normaux, il était simplement entrainé, mais depuis que Bunta, chef du clan Samui eut fondé l’orphelinat, nul ne pouvait naitre sans famille, car ses gens généreux s’occupaient de tous à parts égales.
Outre se généreux geste, les dix-sept petits garçons auquel lui et sa femme donnèrent naissance furent tous de la même couleur, d’un blanc immaculé sauf au niveau des yeux, ou une auréole noirs formait l’équivalent d’un petit masque. Une combinaison étrange, mais reconnue au sein de leur communauté.
- Un nouveau jour se lève
Même place, cinq jours après le dépôt des œufs dans la fontaine du village.
GLING, GLING, GLING.
- Alerte! ont nous attaque!
Les plages étaient envahies, les fleurs et arbres s’étaient enflammés, d’un brasier anormal, les animaux volants tentaient de s’échapper, volaient dans tout les sens, le village s’effondrait. Toute la beauté de cette ile, la joie de ses habitants, tout leur fut volé, en une seule journée, une journée qui à elle seule changerait le destin d’une race, d’un peuple et bien plus encore. Une flotte d’une vingtaine de navires plus armés les uns que les autres, voilà se qui clochait, tous remplie d’homme sans scrupule qui pillait, détruisait et par dieux s’était gardé de violer les femmes. Ça ne leur pris pas plus d’une heure pour tout réduire en cendre, d’attacher chaque villageois et de tous les rassembler au milieu de l’ile, cordée comme l’aurais fait de bons bucherons, tous aligner autour de la fontaine, les pirates fessaient les comptes, heureusement il n’était pas des esclavagistes et mieux encore, il ne comptait pas tuer la moindre grenouille.
- Si seulement nos guerriers n’étaient pas partis chercher des matériaux sur l’ile voisine…
C’était d’une voie remplie de regret que le présent roi pleurait la perte de son royaume, tout serait à refaire, tout recommencer…
Les pirates une fois le tout terminé, s’avancèrent vers un enfant ligoté, le détachèrent et lui donnèrent un couteau. Le chef des pirates prit alors la parole.
- Tien mon petit, vous avez été compréhensif et presque personne ne c’est défendu, je te donne donc le moyen de détacher tout le monde et se seulement quand nous serons partis, sinon on tue tout le monde compris?
- O, o oui…
- Tu n’aurais pas une idée, disons d’un trésor caché? Je suis sûr qu’en crapaud intelligent que vous êtes, vous devez avoir dissimulé vos biens les plus précieux non?
- Vous avez tout je euh…
- Hé! capitaine, regardez dans la fontaine des jolies pierres de toutes les couleurs! s’exclama un stupide matelot.
- Ah, voilà donc ce que je cherchais!
- NON! répliqua l’une des femmes responsables des nouveau-nées. Tout, mais pas ça, ce sont nos œufs!
- Intéressant, ramasser le tout, on vendra ça ailleurs! Aller plus vite, ont part ensuite.
Personne ne put réagir, nul n’osa répliquer, ne voulant pas aggraver la situation, mais cette fois c’était bel et bien la pire chose qui puisse arriver, des milliers de petits œufs… tout le monde pleurait, laissait leur rage s’écouler dans leur larme et définitivement personne n’oublierait se jour.
BANG.
- Rauh, se sale petit crapaud, il a retourné mon couteau contre moi ! Rahhhh.
BANG, BANG, BANG, BANG, BANG.
Le corps maintenant troué de balle du seul ayant réussi à trouver un peu de courage gisait là, sous le regard de ça famille, ami et compagnon.
- Que cela vous serve d’exemple, Rauh, fils de pute, il m’a crevé un œil ! AHHHHHHHHHH.
La gentillesse de se pirate ne dura pas plus longtemps, il donna l’ordre de tuer la moitié des otages en signe de puissance et le bain de sang s’éternisa, pour un simple geste, tout un village en paya les conséquences, mais tous garda a l’esprit, qu’il aurait fait la même chose, nul ne blâma le courageux crapaud, tous se souviendraient de cet ignoble et maintenant borgne pirate qui leur avait tout volé, les laissant la, gisant comme des chiens affamés de vengeances.
- Le début d’une nouvelle génération
Une semaine plus tard, dans une caisse de bois, perdu sur West blues.
Crack, clic. - Hey regarder moi sa Boss, les œufs rares commencent à craquer!
- Alors c’est qu’ils sont très fraie et que tu hésites trop avant de les écraser contre ton fouet, aller je veux du Tartare, regarde-moi sa, une caisse pleine! on doit faire honneur aux banquets se soir.
Se soir la, une grande fête était donner en l’honneur d’un homme prestigieux de la marine, un haut gradé, une promotion, mais rien d’important pour les gens en cuisine qui eux, ne s’occupais que de faire des victuailles dignes d’un roi! Les aliments fraie arrivait des quatre coins du monde et par chance, un vendeur potentiel directement venu du Nouveau Monde avais mis la main sur une cargaison d’œuf extrêmement rare, de la taille d’un ananas pour les plus gros, on pouvait en compter un nombre incroyable! certain un peu plus frais que d’autre avais fendu en deux pour révéler de jeunes bébés grenouille assez dodus, étranges qu’ils n’aient pas la forme de têtard, mais peu importe, elle devait bien avoir un goût exquis!
Plus la soirée avançait, plus les gens rentraient dans le domaine, la soirée promettait d’être mémorable. De retour en cuisine, un petit problème venait d’éclore. Des dizaines de petits crapauds bien gras, s’était mis à sortir de leur protection pour courir et sauter un peu partout, il y en avais de toutes les couleurs et certaine se révélait être de vraie athlète dès leur première apparition dans le monde réel. Parmi eux, un jeune crapaud orangé s’était enfui par un petit trou circulaire servant de sortie pour la fumée d’un poil à bois. Une chose importante, c’était que parmi tous les employer de la cuisine, presque personne ne se rendit compte que les animaux les imitaient sur un point bien précis, il répétait les insultes et mots qu’ils utilisaient, car oui, cette espèce très intelligente apprenti et grandissait plus vite que la normale, le tout sans toute fois être un trop gros danger pour les enragés de cuisinier.
Arriver dans la sale de réception, le jeune Piko commença sa découverte du monde par l’observation des humains, encore beaucoup trop jeune pour se rendre compte qu’il appartenait à un tout autre univers, il écoutait et répétait discrètement tout en restant sur ses gardes, à vraie dire la petite tournée dans les cuisines lui avais fait une peur bleu et son instinct lui dictait de s’éloigner le plus loin possible. Tout était magnifique et les gens semblaient habiles, contrairement à lui qui marchait maladroitement sur ses quatre pattes, eux n’en utilisaient que deux. Rapidement, il les imita, puis se couvrit le corps d’une serviette de table qu’il venait de trouver au sol pour leur ressembler un peu plus. Une chose se détachât alors du reste, un attroupement de jolies créatures entourait un homme à la chevelure blanche, il avait fière allure et les femmes buvaient ses paroles. Sans se soucier du reste, il s’avança un peu, émergeant de sous une table quand soudain un hurlement strident l’obligea à mettre ses pattes avant sur sa tête.
- Iiiiiiiii, une bestiole sur le sol ! Ahhhhhhh.
- Mais non, Mme Clarissa, regarder, il est habillé et marche sur deux pattes, c’est surement un nouveau qui à manger un de ses fruits démoniaques !
- Mmm, vous devez avoir raison, mettez le sur la table !
Comme un servent, l’homme s’approchât du nouveau-né épeurer, le pris doucement et le monta sur une table, la une petite foule s’avança vers lui et comme s’il attendait quelque chose, ne le lâchais pas des yeux. Puis l’homme reprit la parole et pointa le petit bout de bois qui lui servaient de médaillon.
- Piko, c’est ce qui est écrit…
- PIKO !
Un oh, d’exclamation parcourue la petite assembler, il parlait bel et bien, signe qu’il n’était pas normal. Mais quand l’exclamation et l’effet de surprise eut fini de l’envahir, il en voulait encore, cette magnifique chaleur qui l’envahissait, il en voulait plus. C’est alors qu’il saisit un couteau sur la table et comme l’homme aux cheveux blancs, le plaça sur le côté de sa jambe et agita l’autre main en gargouillant.
- Bouark, bourk, bouuk, Bouark.
Une autre vague d’énergie positive l’envahi, puis au hasard il répéta des mots et bouts de phrases sans qu’un sens particulier ne s’en détache, plusieurs l’appelèrent Piko le petit épéiste de par sou couteau à beur, mais les femmes le trouvais plus mignon, une histoire de petit animal tout joufflu et gesticule, enfin se n’est qu’une supposition. Heureusement, la foule commença un peu à se séparer, pour son bonheur, car il n’avait plus beaucoup de force et bouger aussi vite pour épater la galerie, s’était fatiguant… quand tout redevins un peu plus calme, il se rendit compte qu’il marchait déjà depuis un moment et était tout perdu. La surface de bois sur laquelle il marchait se révéla être glissante et le fit trébucher, en se relevant, il chercha son arme des yeux et la vit bien enfermer dans une grosse boule un peu rosé. Sans se poser de questions, il s’en approchât puis essaya de déloger le couteau.
- Hé, fais gaffe, le bar est bien glissant et merde. Qu’est-ce que tu fais avec un couteau aussi peu aiguiser?
En relevant un peu les yeux, Piko découvrit l’homme aux cheveux blancs qu’il admirait un peu plus tôt. Paralyser par l’incroyable confiance qu’il dégageait et le nombre assez important de femelles qui l’entourait, il ne put que gober une mouche qui rôdait autour d’une chope d’alcool, le stress ressortait d’une bien drôle de manière parfois… Mais le tout fit naitre un petit sourire sur le visage de l’homme. Déjà, il portait un couteau assez grand pour être une épée si l’on tenait compte de sa taille et ensuite le coup de la langue qui s’étire l’avait bien fait rire, chose que les présentes femmes n’avaient pas encore réussi à faire.
BAM La porte de la cuisine s’était ouverte d’un coup se fracassant contre le mur, un homme assez gros et laid en sortie avec un air inquiet, puis fit la petite annonce qu’une bonne quantité de grenouilles assez vigoureuses s’était échapper, c’est alors que Piko se sentit bouger contre son gré et se retrouva enfermer dans une prison hermétique et laineuse.
La soirée continua, puis tout le monde ayant atteint leurs limites commença à reprendre leurs manteaux pour aller dormir un peu avant que le soleil n’ait fini de se lever. Piko lui, s’était endormi s’abandonnant à l’inconnue. L’homme aux cheveux blanc n’était pas fou, il lui avait sauvé la vie en le cachant dans la poche de son manteau et c’est ce qui lui permit de sortir de cet enfer bel et bien vivant.
Un mois plus tard, alors que Yue D. Aquila, l’homme mystérieux et Piko, c’était tous deux retrouvé face à une mission quelconque, qui eut pour but de les forcé à se séparer, mais c’était heureux et plein de nouvelle connaissance qu’il peut quitter sont idole avec la ferme intention de le revoir un jour, de pouvoir si Dieu le veux concurrencer avec lui et partager de nouveau quelques instants avec son mentor. Lors de son départ, Yue laissa une petite boite avec une lettre, sur le dessus on pouvait aisément y pire les mêmes caractères que sur son médaillon, mais lui ne savais pas lire, se fut donc une nouvelle recrue qui lui lue la lettre. _________________________________________________ Cher Piko, Il est temps pour toi de vivre ta vie et je te laisse avec ce cadeau, je te l’avoue, ton sens de l’humour laisse à désirer, donc étudie bien et deviens plus fort ! Yue. _________________________________________________
Après cette émotive et touchante lettre, le petit crapaud rempli d’émotion laissa écouler une larme de joie et se dit que s’était bien lui, cru et véridique avec une pointe d’humour. En ouvrant la boite, il y trouva un livre intitulé comment faire des blagues en mille et une farce! décidément, il avait le tour sans l’avoir, mais se livre lui servirais ça s’était sûr.
Quelques années plus tard, après avoir entendu la rumeur d’un Chat parlant et de beaucoup d’activité, Piko quitta l’ile sur laquelle il avait trouvé refuge, c’était un lieu idéal et peu habiter, donc favorable pour un entrainement important, mais il se sentait prêt et quand on le sent on y va sans regarder!
◘ Exemple de post RP :
C’était dans les environs d’une semaine après son départ que la jeune femme remplie d’espoir et d’attente envers l’avenir atteignit la première marche de son destin. Le destin, ou la force des vents l’avaient poussé vers une petite ile inconnue.
Dès que son petit navire fut attaché au quai, la jeune femme remit sa cape en place et se dirigea vers le lieu le plus habité qu’elle remarqua directement par les colonnes de fumée qui s’élevait vers les cieux. Un peu plus tard dans la même journée, une fois que ses quelques effets personnels furent emmagasinés dans une petite chambre fraichement louer dans l’auberge du coin, la chasse à l’emploi débuta. Par chance et pour le salut d’un mode de vie adéquat au-dessus du seuil de la pauvreté, un emploi rémunéré était offert sur le chantier naval. L’offre se lisait comme suie :
_________________________________________________ Cher travailleur,
Nous sommes présentement à la recherche de main-d’œuvre au chantier naval. Si vous avez de l’expérience ou si vous voulez débuter une carrière des plus enrichissante, veuillez vous présenter le matin au lever du soleil, ou le soir au début de la nuit pour rencontrer le propriétaire, l’armateur reconnu, M. Carlo. _________________________________________________
Au début, l’offre la ravit au plus haut point et sans réfléchir, elle s’inscrivit pour débuter le travail au plus vite, mais au bout du compte, ça ne lui prit même pas une semaine pour se rendre compte que M. Carlo n’était rien de plus qu’un armateur désagréable et radin. Malheureusement, le besoin surpasse souvent les moyens et ce n’est qu’un mois après le début de son arrivée qu’un homme remarquât son véritable talent, car les autres n’étaient tout simplement pas de fin connaisseur ou n’avaient aucunement l’œil critique. Production de masse et peu de qualité n’était définitivement pas ses termes préférés.
L’homme avait tout de suite demandé à voir plus de ses œuvres et s’était démarqué des autres par son gout développé. Elle ne se douta de rien, car l’homme paraissait bien, savaient les bonnes manières et par-dessus tout, il lui proposait une offre en or. Faire un coup d’argent assez important pour lui permettre de tenter sa chance ailleurs, une nouvelle ile et une nouvelle chance d’éblouir ! C’est donc avec une avance pour les matériaux qu’ils signèrent un papier officialisant le contact. Les règles étaient simples, si elle pouvait faire tout le travail seul et en moins d’une semaine, il lui doublait l’avance sans que personne ne soit au courant, rendant la cachoterie possible aux yeux de l’affreux Carlo.
Tout avançait avec une réelle vitesse de croisière et enfin la jeune femme pue ressentir une fois de plus la merveilleuse sensation de la liberté ! Travaillant avec ardeur, elle sculpta une magnifique figure de proue qui avec tout le minutieux travail prendrait énormément de valeurs, sait d’ailleurs ce qui rendit Carlo jaloux au point qu’il débuta ses petites magouilles à l’intention du client. Se ne fut pas bien long avant qu’il mette la main sur une information bien juteuse, en fait le chaleureux client qui lui avait fait du tord d’une manière involontaire se révélait être un célèbre et jeune pirate, tout nouveau dans le métier, il s’était déjà emparé d’une ile et son équipage ne sassais d’augmenter. Aussitôt découvert aussitôt dénoncer, ce sale enfoiré ne pouvait pas envisager une vie ou il ne se préoccuperait que de ses petites affaires…
Un peu plus tard, le vieux détestable rentra dans son chantier encore imprégner de l’odeur nauséabonde de la traitrise, puis interpella le jeune ébéniste qu’il pensait toujours à sa botte comme un chien bien dressé, puis débuta l’une de ses interminables séances de jérémiades remplies de vantardises exagérées.
- Tu sais, le mec qui t’a commandé cette atroce sculpture pour son navire?
- Ce n’est pas affreux et c’est une figure de figure de proue digne des plus beaux navires.
- Si tu le crois, mais d’un œil expert, je t’assure qu’il te reste encore des années avant de pouvoir égaler la semelle de ma botte!
Silence, malaise et frustration régnaient dans la place, rendant la colère de la jeune femme à un niveau encore inégalé, mais c’était lui qui payait tout donc encore un peu de patience. Voyant qu’elle ne répondait pas et qu’elle continuait à finaliser les derniers détails il reprit d’un ton encore plus imposant, histoire de jouer du coude avec la fierté de l’artiste.
- Revenons à nos moutons, heureusement que tu ne les élèves pas, j’aurais du mal à croire que tu réussirais à faire vivre un être vivant. Le gars, c’est un pirate, donc je t’ordonne de détruire tout sa, un peu de bois de chauffage me ferait le plus grand bien pour ma nouvelle maison.
- Avec tout le respect que je vous dois, ce n’est pas à vous de juger de mon art. Le client, qu’il soie pauvre, riche, homme, femme, et j’en passe. M’a payé d’avance et est donc déjà le propriétaire de cette magnifique œuvre.
- Insolent! comment ose tu remettre mon jugement en question, cette poutre de bois mal tailler ne quittera jamais se chantier. Argumente encore une fois et je te mets à la porte c’est clair? De plus, j’ai dénoncé l’homme et son équipage, ils se feront arrêter d’ici la fin de la journée.
- Faite comme bon vous semble, au grand pire cette œuvre, elle pourrait se retrouver sur l’un de vos navires, pas besoin de la détruire, disons que je vous l’offre vous la prenez?
- Mmm, je ne suis pas du genre impoli qui refuse un cadeau, je vais envoyer mes gars la charger et l’entreposer, pour le reste, fini sa et disparait, je te donne une semaine de congé sans solde, comprend y qui est le maitre.
Fier de ça pseudo victoire, il s’estompa retrouvant les conforts de sa luxueuse demeure, mais pendant se temps, la jeune femme fit se qu’elle avais à faire, elle finit, laissa les hommes l’entreposer dans une caisse de bois puis elle l’identifia d’une marque dans le couvercle.
Sans laisser de trace elle retourna chez elle, prit un petit dispositif escargot qu’elle utilisait pour la première fois et contacta le client comme il lui avait montré un peu plus tôt dans la semaine. Expliquant hâtivement la situation, il comprit rapidement le génie dont elle avait fait preuve et la gravité de la situation. Leur plan s’échafauda rapidement puis un rendez-vous fut prévu dans la nuit, au chantier et plus précisément, entre le quai des visiteurs et l’entrepôt.
La jeune artiste avait tout préparé, son sac et les effets dont l’abandon n’était autre qu’impossible. Rentrer et ouvrir la passerelle des visiteurs ne fut qu’un jeu d’enfant et l’intrusion des pirates se fit sans les regards indiscrets des travailleurs. Ensemble, ils chargèrent la caisse identifiée et préparèrent le navire puis l’heure des adieux arriva.
- Merci pour tout, sans ton appel, la marine nous aurais pincé et avouons-le, nous n’aurions pas résisté. Voilà ton argent, je crois que le tout en vaut bien la peine.
- Merci, votre sens de l’honneur vous distingue des imbéciles de cette ile.
- Ce n’est rien après tout, j’obtiens une magnifique figure de proue pour mon gros navire! Mais toi, dis-moi, que fais-tu maintenant?
- Je n’aimerais pas abuser, mais avec votre argent, je m’imaginais bien fuir avec vous, de plus mon aide sera précieuse pour souder les deux morceaux ensemble.
- Rien ne nous ferait plus plaisir de vous accueillir à bord! dans se cas, ALLER LES GARS, ON DOIT SE RENDRE À LA PROCHAINE ILE!
Dernière édition par Piko le Sam 13 Oct 2012 - 23:49, édité 1 fois | |
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