Présentation Reffya. [terminé]

~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~

Prénom :
Adam

Age :
21 ans

Sexe :
Masculin

Comment avez vous connu le forum ?
Google, mon ami et bien plus encore...

Combien d'heures vous vous connectez par jour ?
Ça dépend des jours, si j'ai beaucoup de taff ou non, mais en général 2h par jours minimum.

Tes Mangas préférés :
One piece, Full Metal Alchemist, Dragon ball Z...

Ton pirate préféré dans one piece :
Ace

Hobbys :
Cinéma


~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~

Nom & Prenom :
Okinashami Reffya

Pseudonyme :
Le malchanceux, le paniqué.

Age :
26 ans.

Race :
Humain.

Occupation :
Pirate.

Métier :
Recycleur, musicien.

Physique :

Quand on regarde Reffya de loin on ne le remarque pas vraiment, il parait être tout ce qu'il y a de plus banale. Quand on le regarde de prêt, on s'aperçoit très vite qu'on ne peut pas le louper. Ce n'est pas qu'il soit impressionnant, enfin si, on pourrait dire qu'il est impressionnant dans son genre... Au premier regard, on y voit un gamin en pleine adolescence. Il est de taille moyenne, 1m82, pour un corps aussi fin que peut l'être celui d'un anorexique. Il ne semble avoir que la peau sur les os et malgré cela, pèse quand même 71 kg. Certes, ce n'est pas énorme, mais pour quelqu'un qui n'a que la peau sur les os, c'est plus qu'il n'y paraît. S'il n'a pas un gramme de graisse, ni même de gros muscles, d'où peut-il bien tirer son poids ? Lui même n'est pas au courant, mais il a une ossature lourde. Ses os sont plus dur que la normale et en conséquence plus lourds. Cette particularité lui est énormément utile, non pas qu'il veuille s'amuser à casser des murs sans se briser les os, même si avec de l'entrainement il le pourrait - comme il n'est pas au courant, il ne s'entrainera probablement jamais pour cela -, mais cela lui est extrêmement utile pour ne pas se casser les os. Il n'a d'ailleurs jamais eu un seul os cassé. S'il était ce qu'on peut appeler un « casse cou », cela lui servirait énormément. Mais il ne l'est pas. C'est juste quelqu'un de très maladroit, qui tombe sans arrêt, se cogne sur tout ce qui se trouve sur son passage, reçoit parfois des coups qui ne lui étaient pas destiné. Bref quelqu'un de très malchanceux qui ne rate pas une occasion de se faire mal. Pour cette raison on peut voir qu'il est couvert de pansements. En le côtoyant régulièrement, on peut aussi constater qu'il n'a jamais moins de trois pansements sur son corps. Ses vêtement laissent ressentir sa malchance, il sont éraflé de partout, entièrement rafistolés. Heureusement pour lui, il sait presque tout réparer en recyclant tout ce qu'il à sous la main; ce qui fait que ses vêtements ressemblent plus à du patchwork qu'autre chose. Cependant il essaye de garder les même couleurs pour couvrir les trous, ce qui fait qu'il n'y a que de très prêt qu'on peut remarquer qu'il n'y a presque plus une partie du tissus original. De loin ou de prêt, mais pas trop non plus, on ne voit certes pas des vêtements neuf, mais des vêtements juste un peu rafistolés, ce qui ne lui donne pas pour autant bonne image ou quelconque classe vestimentaire. Mis de coté tout cela, esthétiquement, il n'est pas attirant, ni repoussant, il se trouve juste entre les deux. Il est adulte, mais ne possède pas le visage qu'il devrait avoir, il ressemble à un enfant ou plutôt un adolescent. Le visage fin, des traits agréables, et de petites oreilles, trop petite à son gouts. Il porte de grandes boucles d'oreilles, justement pour essayer de les agrandir en les étirant. Ses cheveux sont naturellement beau et blond, mais comme il n'en prend pas soin et qu'il se sali souvent en tombant dans la boue ou autres, ses cheveux ne ressemblent donc plus à rien, on peut juste y reconnaître sa blondeur. Au niveau des expressions du visage, elles sont très exagérées. Pas qu'il cherche à les exagérer, mais il le fait sans s'en rendre compte. Chose qui permet de lire ce qu'il ressent aussi facilement que si c'était écrit. Cela est principalement due à sa grande bouche; au repos elle paraît tout à fait banale, mais en réalité il peut l'agrandir au point de pouvoir mettre une pomme en entière dans sa bouche. Sa bouche est donc le principale facteur qui permet de reconnaître très rapidement ses expressions faciales. De plus il n'y a pas qu'au visage qu'on peut y reconnaître ses expressions, il les étends jusqu'au corps, par exemple s'il est choqué, il va avoir la bouche grande ouverte et aura tendance à se pencher en avant avec de grands yeux. Ses mimiques corporels sont elles aussi exagéré, c'est comme si son corps réagissait plus qu'il ne devrait. Ce qui peut faire par exemple que sa marche lorsqu'il est content va s'accompagner d'un grand sourire, le dos courbé en arrière, voire trop parfois, en étant accompagné de grands mouvements des bras d'avant en arrière en les laissant assez éloigné du corps et avec de grands pas bien élancé, un peut comme s'il lançait son pied avant d'atterrir sur le sol. Ajouté à tout cela, il porte un bandeau de pirate sur la tête, qu'il retire rarement et qui, contrairement au reste, parait neuf, même s'il reste un peu sale, il moins que le reste de ses vêtements. Et en dernier point, pas des moindres, on lui remarque un perroquet en bois sur son épaule, qu'il a solidement attaché, comme si c'était un prolongement de son corps. Ce perroquet n'a rien de spécial, mis à part qu'il est bien peint et que c'est bien la seule chose intact que l'on peut voir sur lui. Au final, il s'agit d'un personnage bien caricaturale, qui est plus que ridicule mais qui au moins est très résistant.

Coté psychologique, Reffya pourrait passer très facilement pour un fou. En effet, il a un perroquet en bois perché sur son épaule gauche et lui parle assez fréquemment, comme s'il lui demandait conseil avant d'agir. C'est d'ailleurs ce qu'il fait plus ou moins. Certaines personnes, lorsqu'elles se sentent seule, parlent seule, lui c'est presque pareil, sauf qu'il parle à un objet; c'est juste un moyen de se sentir moins seul. Avec le temps cette situation a évolué, c'est devenu, pour lui, un moyen de se poser des questions, de lui permettre de savoir quoi faire. Il a besoin de ça, car il est extrêmement dissipé; par exemple s'il doit chercher quelque chose pour quelqu'un et qu'au passage, il croise n'importe quoi qu'il ne connait pas, qui pourrait l'intriguer ou qu'il pourrait trouver marrant, il va oublier son premier devoir et ne va plus que penser à ce qu'il a devant lui. L'oiseau, aussi faux qu'il puisse être, lui permet de se sentir comme épié, lui donnant l'impression qu'il pourrait faire en sorte de se remette à sa tache affectée. On pourrait dire que cet objet l'aide à moins se dissiper. C'est probablement pour cela qu'il l'avait mis dans son sac de voyage, avant de perdre la mémoire. Car en effet, il a perdu la mémoire. Avec cette perte, son comportement à peut-être changé, mais à moins qu'il ne la mémoire, on ne peut pas le savoir. On ne peut que supposer qu'il était déjà ainsi avant ou alors que cette perte l'ai rendu, comme on pourrait le dire de façon familière : « déjanté ». Ce qui explique le besoin du perroquet. Il s'en sert également pour parler, pour ne pas sombrer dans la dépression quand il est seul. Au début de son périple, il lui parlait car il était seul. Par la suite, il s'y est habitué et lui parle même s'il n'est plus seul, entouré par d'autres individus. De fait, il ne pense pas comme le feraient d'autres, c'est-à-dire narrater dans sa tête, réfléchir comme le ferait n'importe qui; lui il transforme ses pensées en dialogues entre lui et l'oiseau. Parfois ce sont des conversations entières, d'autre, de bouts de phrases, des dialogues incompréhensible ou bien il lui arrive aussi de ne regarder que l'oiseau et de se faire le dialogue dans sa tête. Ce dernier cas arrive, mais que lorsque le dialogue que l'on pourrait appeler « réel » se ferait trop long. On peut supposer qu'il ne supporte pas la solitude et qu'il s'agit du moyen qu'il a trouvé pour y remédier. Le fait qu'il ne puisse pas être seul, outre qu'il doivent tout le temps parler, se confirme par le fait qu'il soit extrêmement sociable. En effet, malgré son aspect physique peut abordable, une fois que le dialogue est entamé, il est quasi impossible de ne pas se sentir en bonne compagnie. Il arrive à rire sur tout et n'importe quoi et ce, avec n'importe qui, il parle très facilement avec les gens, très poli, courtois, enclin à aider les autres, trop des fois. Il est naïf, sans trop l'être; c'est-à-dire qu'il peut croire très facilement croire n'importe quoi, mais lorsque cela parait trop gros, son perroquet est là pour lui signaler que c'est faux; en réalité cela vient de lui même sans qu'il ne s'en rende compte. En plus d'être très sympathique, il arrive facilement à redonner de la bonne humeur aux autre simplement avec sa propre joie de vivre. En effet, il est très joyeux de vivre, content de tout et le montre, comme s'il oubliait les choses qui ne vont pas. Il ne les oublie pas, il préfère les mettre de coté, car il pense que c'est là, qu'il faut faire avec et que ça ne sers à rien de penser à ce qui ne va pas alors qu'il y a tant de choses qui vont bien en lui même, chez les autres ou dans le monde. Pourquoi broyer du noir alors qu'on peut être heureux et profiter de la vie ? Ainsi est sa philosophie de vie, malgré le fait que la malchance le poursuive. La malchance est ce qui lui donnerait milles raisons de déprimer. Il attire tout ce qu'on peut faire par ce qu'on appel la malchance, c'est-à-dire que si un individu qui passe à un certain endroit à une chance sur mille qu'un vase lui tombe sur la tête, c'est sur lui que ça tombera, si, lors d'une bagarre, un coup de poing se perd, c'est lui qui recevra le coup, si un endroit est glissant, ce sera le premier à glisser dessus, d'ailleurs il trébuche sur tout ce qui peut faire trébucher, même ses propres pieds. D'un coté, il y a tellement peu de chance qu'autant de misères lui arrive, qu'on pourrait presque dire qu'il est très chanceux, seulement, pas comme il le faudrait. Donc malgré cette malchance, qui le blesse souvent lui ou ses proches - oui car attirant la malchance, il arrive souvent que cela se répercute sur ce qui l'entour -, il ne perd jamais le sourire et garde espoir que cela cesse un jour. Pour éviter de blesser sa famille et amis, il à décidé de s'en éloigner, le temps qu'il trouve un moyen de briser ce fardeau. Cependant, vu qu'il a perdu la mémoire, c'est ce qu'il pense qu'il a du faire avant de la perdre. Paradoxalement à sa joie, il panique très facilement pour tout et n'importe quoi. On pourrait penser qu'il panique en premier, puis que le perroquet lui permet de se contrôler et d'agir avec humour et bonne humeur. Dès qu'on lui annonce quelque chose qui sors de l'ordinaire ou d'inattendu, chose à quoi il ne s'attend généralement pas, son premier réflexe est de paniquer, de courir partout sans réfléchir - à croire que sans son oiseau en bois, il est incapable de réfléchir – en criant l'horreur, pensant le pire. Généralement il lie quasi toujours tous au fait que son visage puisse être volé, chose qui n'a, dans une grande majorité des cas, aucuns rapports avec ce qui à provoqué cette panique. On peut se dire que c'est sa pire phobie et de fait, le moindre changement est, pour lui, lié à cela, le faisant ainsi paniquer. Heureusement, dès que le dialogue commence avec son oiseau, il se calme très rapidement. Hormis tout cela, et malgré ses moments de panique et de malchance, dès qu'une étape ou un passage se montre à lui, aussi compliqué soit-il, il ne rebroussera jamais chemin, ou que très rarement, il fera toujours en sorte d'arriver à ses fins. Chose qu'il considère primordiale pour pouvoir être heureux. En dernier point, on peut parler de ce qu'il aime par dessus tout, dont il a énormément de mal à se passer, il s'agit en premier du lait, peut commode mais certains préfèrent se goinfrer de chocolat, lui c'est le lait, ce qui pourrait expliquer pourquoi il est si maigre ou pourquoi ses os sont si résistant. En second, il s'agit du recyclage, le fait de réutiliser n'importe quel objet pour créer ce dont il a besoin ou envie, comme souvent des instruments de musique, car, même si son niveau n'a rien d'exceptionnel, il aime en jouer. On peut donc dire qu'il s'agit d'un personnage fort sympathique, toujours joyeux qui ne craint pas les petits bobos, même les grands et qui, contrairement à ce qu'on pourrait penser sera toujours serviable et essayera toujours au maximum d'arriver à son but fixé, cela malgré ses moments de panique et surtout de sa malchance.

Fruit du Démon :
Pas encore défini, dépendra du niveau que vous m'autoriserez.

Techniques Spéciales :
Pas encore défini, dépendra du fruit.

Histoire :

Dans la ville de Fushia Town dans les mers d'East Blue d'une année méconnue, un jeune homme se réveilla sous une pluie torrentielle en plein milieu d'une flaque d'eau. Ce n'est pas la pluie qui lui tombait dessus ou le fait d'être mouillé qui le réveilla, mais plutôt une femme qui, en courant se réfugier, trébucha sur son visage. Elle le regarda, vit qu'il avait le visage en sang dut à son accrochage et partie en courant comme si de rien n'était. Grâce à la douleur du choc, il pu se réveiller, ce qui lui évita sans doute une noyade dans cette flaque grandissante. Il ne comprenais pas ce qui lui arrivait, il avait mal au nez, sentait une grosse bosse au derrière de du crane et voyait juste au loin quelqu'un courir comme un fou qui chercherait probablement à fuir quelque chose, pensait-il. Il se leva sans comprendre ce qui lui arrivait, et se mit à marcher sans vraiment savoir pourquoi; il se disait juste qu'en allant dans cette direction, au moins il aurait la pluie dans le dos, non pas dans le visage et en plus ça l'arrangeait, dans cette direction la route était marrante, il trouvait drôle le mélange de terre et d'eau qui formait de la boue, surtout quand il marche dedans et qu'il y a beaucoup d'eau.

Une vieille femme le vit au loin qui s'amusait dans la boue avec le visage toujours couvert de sang. Elle pensa qu'il devait être complètement bourré pour être dans cet état et d'un sentiment de pitié, lui proposa de venir se réchauffer chez elle le temps que la pluie s'arrête. Chose qu'il accepta volontiers, pas qu'il en avait marre, mais juste qu'il se disait avoir un peut froid. La vieille dame, voyant qu'il n'avait pas bu, le questionna avant toute chose sur le sang qui lui était resté sur le visage malgré la pluie. Le blond se mit alors à courir dans tous les sens complètement paniqué. Il croyait que son visage était déformé, qu'il avait été tabassé, frappé à mort ou pire qu'on lui avait volé son visage ! Oui, il avait peur que par quelconque moyen, on lui vole le visage... La grand mère dut le calmer en le poussant devant un miroir pour qu'il se rende compte qu'il a juste saigné, rien de plus. Il y avait aussi un petit garçon, ça devait être le petit fils, qui était en rire devant cet inconnu qu'il trouvait marrant. La dame lui proposa de s'assoir prêt du feu pour sécher et s'y réchauffer, pour ensuite le questionner sur qui il était et pourquoi il ne s'était pas abrité. L'homme ne su pas lui répondre, il disait qu'il ne savait pas et répondit pareillement pour les questions suivantes. Il venait ainsi de se rendre compte qu'il avait perdu la mémoire. Son souvenir le plus lointain remonte à son réveil sous la pluie. Lui, qui jusqu'à présent gardait le sourire, fit pâle mine. Mais cela ne dura que quelques secondes. En effet, avant même que la grand mère puisse tenter de lui remonter le morale, il se leva brusquement en faisant tomber sa chaise et dit que ce n'était pas grave, pourquoi il déprimerait sur ce dont il ne se souvient pas ? Reprit d'un élan de bonne humeur, il se fit vite remettre en place par une claque de son hôte. Ce n'est pas qu'elle n'appréciait pas sa joie, mais il venait de faire tomber la chaise dans le feu... Pris d'un nouveau moment de panique, il courra dans tous les sens pour trouver de l'eau et éteindre le feu. Par son habituelle malchance, il trébucha sur le tapis faisant tomber d'autres chaises dans le feu. Une fois le feu vaincu, non pas par le jeune homme, mais par l'enfant qui semblait plus responsable; appréciant la compagnie drôle, voire ridicule de par sa malchance de l'inconnu, la vieille femme et son petit fils lui ont proposé de souper avec eux et de passer la nuit au sec avant de repartir.

Le diner se passa convenablement, accompagné de plusieurs verres de lait pour l'homme, car il adorait ça, le tout dans le rire et la bonne humeur jusqu'à ce qu'une question existentielle se pose : comment doit-ont l'appeler s'il ne se souvient pas de son nom ? Au lieu de réfléchir à la question, il se mit à nouveau à courir dans tous les sens pris de panique au lieu de se questionner, en espérant sans doute que la réponse allait lui tomber du ciel, jusqu'à ce qu'il trébucha à nouveau, mais cette fois en se faisant un croche pied à lui même. Le petit garçon lui proposa alors de l'appeler Reffya, ce qui sembla plaire au blond qui se releva brusquement en disant qu'il aime ce prénom et surtout en se cognant au passage la tête sur le coin de la table. Le garçon enchaina en expliquant pourquoi ce prénom, il s'agissait en fait du nom que son rat avait avant de se faire lancer au feu par mégarde. Ce qui fit plutôt rire l'homme qu'autre chose, tellement rire, qu'il ne voulu pas choisir un autre prénom. Pour son nom, il l'a choisit lui même : Okinashami. Pourquoi ? Parce que c'est la premier nom qui lui est venu en tête, même si cela semblait ridicule et ne voulait rien signifier. Mais à quoi bon chercher quelque chose de bien alors qu'il porte le prénom d'un rat mort ?

Le lendemain au petit matin, il se décida à partir pour ne pas importuner plus longtemps cette gentille famille. Cependant il ne réussi pas à le faire discrètement puisqu'il se cogna à tout ce qui se trouvait sur son passage. L'enfant triste de voir son nouvel ami partir lui demanda de rester, il disait qu'il devait remplacer son rat perdu. Chose qu'il refusa. L'homme, après avoir accepté de prendre quelques bouteilles de lait et quelques ustensiles que la grand mère qualifia de survie, mais qui pour lui était principalement des objets inutiles et encombrant, s'éloigna avec classe face au soleil levant ne laissant paraitre qu'une ombre s'éloignant, pour disparaître d'un coup. L'enfant complètement halluciné se dit qu'il à la classe, que c'est quelqu'un de fantastique pour disparaître d'un coup. La réalité est autre : il venait de tomber, trébuchant sur un sac. Reffya pensa que c'était son sac, puisqu'il le trouva pas loin de l'endroit où il s'était réveillé la veille. Dans ce sac il y avait une boussole, une pomme, une dague toute rouillée, une longue vue, un perroquet en bois qui semblait bien réel, un bandeau avec une tête de mort dessus et une carte au trésors qui semblait être dessinée par un enfant. Il se dit alors que c'était peut-être le sac d'un chercheur de trésors, et que si c'était son sac à lui, car il lui semblait familier, c'était peut-être lui le chercheur de trésors. Lui, qui, jusqu'à présent avançait sans savoir où aller, savait enfin vers ou se diriger ! Chose qui l'arrangea, le trésor ne se trouvait pas loin d'ici ! Pour une fois qu'il à de la chance, il ne va pas s'en plaindre ! D'une marche montrant sa bonne humeur, il avança mangeant sa pomme, qui, au passage, était pourri et contenait un verre... Quand il s'en rendit compte, il se mit à vomir bien plus qu'il n'avait mangé. Mais ce n'est pas ça qui l'arrêtera. Il jeta cette pomme et partit comme si de rien n'était en glissant au passage sur ce qu'il venait de régurgiter...

Après deux heures de marche, de péripéties quelconques comme l'esquive de plusieurs bouses de vaches, un combat acharné avec les moustiques d'une forêt, présent grâce à l'humidité et un combat avec lui même pour éviter de trébucher sans cesse, il arriva enfin à ce fameux trésor. Il ne se posait même pas la question de savoir pourquoi c'était si simple, il se contenta de creuser à mains nues Pour atteindre le coffre. Ce n'était pas un coffre contrairement à ce qu'il imaginait, mais un autre sac, avec, dedans, un carnet contenant des notes mais abimé par la pluie et la boue qui avait traversé le sac. Curieux il l'ouvrit et essaya d'y comprendre ce qu'il y avait marqué dans le peu de pages qui n'étaient pas déchirées. On pouvait y déchiffrer vaguement les mots « père », « malchance », « voyage », « pirate », « Grand Line », « drame », sur la première page. Les suivantes étaient illisible, jusqu'aux deux dernière pages; l'écriture était différente et il y avait un croquis qui semblait lui ressembler. Malgré les gribouillis difficile à lire et presque effacé, on pouvait y lire « Ici commence mon voyage pour rompre cette malchance qui me hante et qui touche tout ceux que j'approche. J'affronterais les mers pour y trouver le moyen d'avoir enfin de la chance, d'en faire profiter ma famille tout en ayant l'espoir d'y retrouver les traces de mon père. Maman, petite sœur, j'espère que vous trouverez mon mot et comprendrez mon absence. ». Il n'était pas sûr de comprendre, mais ce qu'il comprit c'est que ce carnet était le sien, qu'il l'avait laissé de façon à ce que sa famille le retrouve et comprenne pourquoi il est partit. Il ne savait rien de plus, mis à part qu'il se doit de continuer son voyage, qu'il doit suivre la voie de son père, et doit trouver un moyen de rompre la malchance qui le possède. Apparemment, il pourrait bien trouver la solution sur la Grand Line, la mer ou tout est possible. C'était son seul indice, donc le seul endroit où se rendre. Son explication qu'il se donna du pourquoi il ne se rappel plus de rien fut simple : il avait glissé dans la flaque d'eau, s'est cogné la tête au sol de façon à oublier jusqu'à qui il était, ce qui expliquerait la bosse qu'il s'était découverte sur son crane. Cela l'amusa plus qu'autre chose.

C'est ainsi que débuta l'histoire de Okinashami Reffya. La suite fut simple, il s'accrocha le perroquet trouvé dans son sac pour se donner un certain style et surtout pour avoir quelqu'un à qui parler lorsqu'il se sentait seul, un peu comme un ami imaginaire. Il prit la mer seul en espérant avoir de la chance et de trouver ce qu'il cherche. Il s'est découvert le don du recyclage, il pouvait détourner n'importe quoi pour l'utiliser comme il le veut. C'est ainsi qu'il s'est construit un radeau à partir des ustensiles offert par la vieille dame qui l'avait accueilli. Cependant il n'avait pas pensé à une chose : prendre de la nourriture... Il se trouva donc en pleine mer, le ventre qui crie famine avec rien autour, mis à part un petit îlot. Il s'y est rendu en espérant y trouver de quoi manger. Chose qu'il trouva. En effet un fruit gisait seul sur le sable. Il n'hésita pas une seconde et sauta dessus pour l'engloutir d'un coup. Pour ensuite se sentir comme différent. Il venait en fait de se trouver un fruit du démon qui lui conféra ainsi des pouvoirs auquel il ne s'y attendait pas.

Voici donc le début de l'histoire de Reffya le malchanceux.

Post RP :