Hiiro Korona ! La beauté fatale à l'état pure !

DC de Kurai Hoshi


~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~

Nom & Prénom : Hiiro Korona

Pseudonyme : La lame écarlate

Age : 27 ans

Race : Humaine

Occupation : Révolutionnaire

Rang Spécial : Femme fatale

Physique :

Spoiler:

Si la beauté pouvait avoir un nom ce serait bien celui de Korona. Sont corps fin et parfait de 1m85 de hauteur, sa poitrine avantageuse, et sa peau bronzée font de Korona une femme un réveil vivant parfait par la gente masculine. Son visage ovale, entouré d’une longue chevelure de feu presque rouge sang, tombant jusqu’à sa taille. Ses yeux brillants comme des topaze, sont charmeur et perçant, ils envouteraient plus d’un homme, une arme fatale si on sait l’utilisé à bonne escient. Ses lèvre pulpeuse arrivent à stimulé à distance le désir en chaque hommes, associé à sa voix douce et mélodieuse pourrait confondre la belle Korona à une sirène de la mythologie qui envoutait les marins pour les piéger. Dans son dos, il y a, caché par sa longue chevelure, la marque de son déshonneur de femme.

Parlons un peu de son style vestimentaire qui est assez particulier : habillé d’une longue robe rouge à dorure ne recouvrant que sa poitrine et lui tombant jusqu’au cheville, la demoiselle pousse encore la passion à son paroxysme. Elle possède en ornement une chaine autour du cou avec accroché à celui-ci un soleil dorée, sur son bras droit un brassard tout aussi doré (comme la majeur partie de ses bijoux), sur son poignet gauche il y a aussi un bracelet doré orner d’une pierre précieuse rouge. A son annulaire se trouve une petite bague représentant un soleil. Korona marche souvent pied nue car elle aime sentir le sol sous ses pieds, mais elle possède quand même une paire de talon aiguille pour les sols peu praticable. Korona possède une démarche gracieuse, sensuelle et adore jouer la provocation encore et encore.

Caractère & morale :

Korona est l’incarnation de la gentillesse à l’état brut, en fait elle ne peu s’empêcher quand elle voit une fille mignonne, de lui sauté au cou et de lui faire un tendre bisou sur la joue. Par contre elle a un fort mépris pour les hommes a cause de son lourd passé et n’accorde que peu sa confiance à ces derniers, mais elle sait faire la part des choses et aime utiliser ses atouts pour arriver à ses fins. De ce mépris pour la gente masculine, Korona a désormais un fort penchant pour les autres femmes, et son comportement vis-à-vis de ces dernières ne laisse aucun doute, et si l’une d’elle résiste à ses avance, elle s’en fera soit une petite sœur soit elle la tranchera en deux (seulement dans le cas des marines bien entendu ^^ en encore elle ne tranche que rarement une femme pour cette raison). Dans sa manière de se battre, elle ne se met jamais en colère, elle garde constamment le sourire même quand elle perd ou qu’elle achève son adversaire.

Mais il serait temps de parler de ce qu’est vraiment Korona en dehors de se visage toujours empli de joie : Elle éprouve une haine sans limite pour les gens composant les tenryuubito, elle fut leur esclave pendant quelques années où il lui faisait subir tout genre de sévices corporel que l’on pouvait faire à une jeune femme à l’époque sans défense (je vous passe les détails de ce que peuvent faires des hommes à une femme ^^ ») jusqu’à sa libération. Elle c’est jurée que chaque tenryuubito qu’elle croiserait elle le ferait souffrir de façon humiliante avant de le tuer sans état d’âme.
Fruit du Démon : Pas pour le moment !

Techniques Spéciales : Maitresse dans l’art du maniement de la masamune, possède une force hors du commun pour une femme.

Histoire :

Le destin, la seule chose à laquelle je ne crois pas, car si mon destin était de vivre la vie que j’ai vécu, je m’en serais passé avec plaisir ! Oh mais suis-je étourdie ! Je m’appelle Korona ! Cela veut dire « couronne solaire », ma famille m’a donné ce nom car j’ai été bénie par le soleil d’après eux, en l’occurrence, cette bénédiction ressemble plus à une malédiction qu’à autre chose … J’avais onze ans quand mon père mourut au champ d’honneur, officiellement mort au combat face à un groupe de pirate sans scrupule, je ne me suis jamais résigné à le croire. Mon chère père ne pouvais être vaincu ainsi, du moins pas de la façon dont on nous l’à expliquer. Mais ce qui est fait, est fait, je me devais de continuer ma vie, m’occupant avec ma douce mère, de mes trois jeunes frères ainsi que de ma sœur cadette. Ma vie continua donc sa course paisible pendant cinq ans, mais il fallait bien que la malédiction me poursuive : A mes 16 ans, un groupe de noble inconnu arrivèrent dans notre ville, ils étaient tous vêtus de blanc, la marque sur leurs vêtements ainsi que le fait qu’ils aient une bulle autour de leurs tête indiquaient clairement qu’il s’agissait des fameux Tenryuubitos. Un étrange pressentiment me parcouru l’échine, ses hommes ne m’inspirait pas, tous s’agenouillaient à leurs passages, j’en ai fait de même, mais la chance une fois de plus ne fut pas mon alliée : un des soldats qui marchait aux cotés des nobles me bouscula violement me faisant tombé au pied d’un des hommes qui semblait se positionner au dessus des autres hommes. Tentant de me relever, j’aperçu avec effroi son regard perçant et son sourire pervers, cet homme avait vu quelque chose en moi, quelque chose qu’il voulait non qu’il désirait : mon corps. Cet horrible personne voulait mon corps pour je ne sais quel raison, il ordonna à la garde de m’emporter, chose que mes trois frères ne pouvaient permettre, mais les événements qui suivirent créa une blessure qui restera à jamais ouverte. Le Tenryuubito sortit une arme et abattit mes jeunes frères sous mes yeux, mes larmes coulèrent, celles de ma mère et ma sœur firent de même, mon cri, je ne pouvais l’entendre moi-même, mais il caractérisait surement parfaitement mon désespoir. Alors que je me libérais de l’étreinte de mes gardes, je me souviens m’être jeté sur la dépouille défunte de mes frères, leurs sangs se répandaient sur le sol, mes cheveux de l’époque étaient blonds, mais ils s’imprégnaient du liquide vital qui se trouvait sur le sol. Les gardes tentaient de me relevé et de m’emmené, l’homme fourbe hurlait à ces même hommes d’activé le mouvement, sous prétexte qu’il devait « s’amuser » avec moi, j’entendis ma mère et ma sœur hurler mon nom, puis soudain, le néant, le noir absolu, je suppose qu’un des garde m’a assommé pour pouvoir me défaire de l’étreinte que j’exerçais sur mes frères.

A mon réveil, j’aurais préférer me retrouver en enfer plutôt que l’à où l’on m’avait emmené, j’étais dans une grande pièce, enchainer au sol avec un étrange dispositif autour de mon cou qui me serait de trop. Quelques minutes après mon réveil, trois hommes apparurent, l’un d’eux avait un objet étrange sur la main, un long manche avec un fer à l’une des extrémités, le fer représentait la marque des Tenryuubitos et je compris aisément que cela n’allait pas être agréable pour moi. Les deux autres hommes vinrent me détacher pour me conduire prêt d’une table, les gestes qu’ils utilisaient avec moi était violent et indigne de l’idée que je me faisais des hommes un tant soit peu moral envers une femme. Mon haut fut complètement arracher me laissant à demi nue devant leurs yeux malsains, ils me saisirent violement par les bras et les jambes pour m’attacher sur la fameuse table. La peur me gagna peu à peu, la sueur coulait abondamment sur mon visage, la peur que j’éprouvais se changea en panique, une étrange chaleur s’approcha de mon dos, l’un des hommes poussa mes cheveux encore imprégner du sang de mes frères pour m’être mon dos à nue, et puis soudain, la torture : une intense brulure me parcourra l’intégralité du dos, j’hurlais ma douleur, les larmes ne cessais de coulé sur mes joues, mes cris de douleurs je ne les entendais plus tellement ils étaient assourdissant et effrayant. Les hommes qui me faisait subir cette torture, restait de marbre à mon tourment, puis celui qui tenait l’étrange objet qui devait être la source de ma douleur, le retira subitement, je souffrais encore le martyre à cause de la brulure infligé par ce fer : ma vie toucha à sa fin, je n’étais plus un être humain mais du simple bétail, marqué au fer rouge du sceau de tenryuubitos. Je fus détaché, on me jeta un chiffon pour que je puisse me vêtir un tant sois peu, mais par réflexe et aussi a cause de la douleur je me suis mis en position du fœtus, la honte, la souffrance m’avait particulièrement atteinte, je savais que jamais plus je ne vivrais comme je l’avais toujours fais. Je pense que mon dégout envers la gente masculine a commencer ici, car les années qui suivirent me poussèrent à haïr les hommes avec rage pour une seul raison : pendant toutes ces années d’esclavage, Je devins le jouet de tout les fantasmes du tenryuubito qui m’avais enlevé et marquer au fer. Cet homme … Je l’ai maudis encore et encore, jour après jour, à chaque fois qu’il prenait du plaisir avec mon corps je le haïssais plus encore. Les années passèrent, je suis tombé enceinte deux fois, je maudissais ces enfants avant même leurs naissances, et pour mon plus grand bonheur je narguais mon bourreau alors qu’il m’était lui-même à mort sa propre chaire qu’il avait lui-même créé avec moi : Ce tourment dura 8 ans. Un jour alors que j’allais purifier mon corps dans le lac local, tout en étant gardé de prêt par les chiens-chiens de l’homme se disant être mon « maitre », un homme apparu, il était étrange et osait me regarder alors que j’était nue dans l’eau, mais la gène ne se lisait pas sur mon visage, seulement de la rancœur et de la haine, je crois que si j’avais été armé, j’aurais tuer cette homme sans hésitation, mais ne voulant pas donné de raison de satisfaire les envie pervers de la noblesse gouvernementale, je restais calme et silencieuse, fixant l’homme droit dans les yeux avec mépris. Il me disait qu’il était là pour me délivré ainsi que d’autre esclave qui se trouvait sur l’île, bien entendu je ne le cru pas, pour moi tous les hommes sont fourbes, menteur, mesquin et manipulateur. Lui tournant le dos pour aller me revêtir je fis mine d’être sourde à ses baliverne, mais sans quand je vis soudain mon collier piéger tomber sur le sol que je fus prise de surprise. Posant ma main sur mon cou, je réalisais enfin que j’étais libre, que je pouvais quitter cette île sans me voir explosé par ce maudit collier. Cherchant à remercier l’homme d’une façon ou d’une autre, je ne le trouvai nulle part, il avait totalement disparu des lieux. Je ne cherchai pas à comprendre plus le pourquoi du comment, j’entrepris de fuir cette île le plus vite possible avant que l’on remarque ma disparition. Je réussi à m’évadé à bord d’un vaisseau cargo, je rejoignis une île très éloigner, et c’est ici que je commençai une nouvelle vie, une vie où je me vengerais de ces hommes qui m’ont fais souffrir miles morts, je vengerais mes frères, je restaurerais mon honneur de femme ! Je changerais ce monde !!!


Rêve / But :