Kuroi Tsuki [ en cours, je prend mon temps pour la faire, donc je préviendrais quand j'aurai finit]

Kuroi Tsuki est un homme d'un mètre quatre vingt cinq et pèse soixante dix kilos. Sa musculature, légèrement dessiné sur son corps, n'est pas extraordinaire malgré le faite qu'il pratique régulièrement des exercices, mais comme ont dit : « on ne ce fit pas aux apparences ». Ses bras, ni trop long ni trop court, sont peu musclés, mais donne l'impression que ceux ci sont dotés d'une grande souplesse et que leur possesseur peut les manier avec facilité. Ses jambes, qui font la moitié de sa taille ont à peu prêt les mêmes descriptifs que ses bras. Et bien entendu, il à deux mains et deux pieds.
Il a également un tatouage qui par de son coude droit pour repartir sur le torse afin de recouvrir intégralement le pectoraux du même coté. Il ne représente pas réellement quelques chose, c'est un assemblage de trait en tout genre qui partent un peu dans tout les sens, des genres de petites spirales carrés,...Peut être un semblant de forme d'une carapace.

Ses cheveux, brun, sont assez court et pas coiffés, ils partent un peu dans tout les sens, mais il a une sorte de queue de cheval sur le derrière du crâne qui part en arrière. Une queue de cheval attaché par un genre de bandage blanc délavé sur quasiment toute la longueur de la queue, on peut voir des cheveux, qui partent en vrilles, seulement à l'extrémité du bandage. Ses yeux, aux nombres de deux, sont noir. Il n'en a pas un crevé ou un d'une autre couleur, rien qui sortirait de l'ordinaire. Son nez, quand à lui, (si si il en a un) est assez petit. Ses narines le sont également et on ne peut donc pas voir les « Mickeys » qui s'y logent. Ses oreilles sont assez petites, et là encore je préfères préciser qu'il en à deux. Pour en finir avec son visage, sa bouche. Elle est assez grande est pleine de dents ce qui permet à notre cher héros d'avoir un sourire ravageur et surtout classe.

Kuroi Tsuki ne se balade pas nu, il porte des habits. A son coup ont peut remarquer la présence d'une écharpe en tissu rouge dont les deux extrémités retombent dans le dos. Son corps est légèrement recouvert par un débardeur blanc. Une sorte de ceinture passe de haut en bas de son débardeur et lui permet de ranger quatre sabres dans le dos. Ces quatre sabres sont de moyennes qualités et leurs poignées sont recouvertes par un bandage. Sur sa tête ont peu voir une sorte de paire de lunettes aux verres rouges qui lui servent pour la plongé, une sorte de lunette avec un cuir qui rappel celui de certain navigateur (je voulais dire aviateur, mais il n'y a pas d'avions dans O.P.). Pour finir avec sa tête, il a deux anneaux a son oreilles droites et un bandage, sous ses lunettes qui lui recouvre l'œil gauche, un bandage qui lui sert pour son entrainement. Pour repartir vers le bas, il porte une sorte de ceinture rouge, de la même matière que son écharpe avec les deux extrémités qui retombent sur le devant ce coup ci. Son pantalon, car il en a un, est gris avec deux ceintures de même couleurs attachés au milieu de chaque cuisse, peut être parce que son pantalon est trop large ou tout simplement pour le style. Et pour finir, il possède des botes, avec le bas du pantalon rangé dedans, et dont le dessus est recouvert par des petites plaques de métal.


-Son maitre : ….
-Ses tortues : …..
-Ses sabres : ….
-Son honneur et sa loyauté : ….
-....(Malades sur n'importe quels transport)




Alors qu'un pingouin d'Afrique dévalisait le frigo d'une infirmière trop occupé à cirer le parquet, qui était d'ailleurs en train de rêver à des vacances dans un hamac sous un grand cocotier et qui réalisa par la suite qu'il ne pourrait jamais réaliser ce rêve, condamner à rester parquet ici toute sa vie. Il décida alors de prêter son attention sur le groupe de cigale qui vivaient en dessous de lui. Il sembla étonné de voir les occupations de ses chères voisines : elles sniffaient de la poudre et jouaient au poker.
Tous ceci se déroula dans les cris et la bonne humeur d'une femme qui était en train d'accouché dans une chambre proche du fameux frigo. Elle avait commencé à crier au même moment que le pingouin avait ouvert le frigo et avait finit au moment où l'une des cigales fit une overdose sous les yeux ébahit du parquet. Un moment très mouvementé, aussi bien pour la femme qui venait d'accoucher que pour les amis de la cigale maintenant décédé alors que leurs super partie de poker n'était pas finit, mais ces chers cigales allaient vite sans remettre en partageant ses jetons.
Voici donc ce qui se déroula au moment où Kuroi Tsuki vint au monde, mais la suite ne fut pas aussi passionnante. En effet sa mère, qui avait était abandonné par le père de notre cher héros quelques mois plus tôt, n'avait pas les moyens pour élever l'enfant et elle décida alors de l'abandonner. Malheureusement, ce ne fut pas notre cher pingouin d'Afrique qui accepta de le nourrir et l'élever en compagnies des cigales, qui lui auraient apprit les rudiments du Poker et qui aurait grandit sur le cher parquet si déprimé de ne pouvoir voyager.

Sa mère l'abandonna à...la mer, dans un panier qui partit à l'horizon porté par les vagues calmes et régulières. Comme vous pouviez y penser, le jeune garçon ne mourut pas, il dériva jusqu'à une carapace d'une tortue avec un vieux assis dessus en train de pécher. Ce vieux, sortit de nul part, prit le panier et fut étonné de voir qu'un enfant dormait paisiblement à l'intérieur. Il fut encore plus étonné quand il vit des cigales assis sur l'enfant jouant aux cartes...au Poker, veuillez m'excuser mais si je confond une simple partie de carte avec une partie de Poker, je vais me faire tuer dans mon sommeil par des cigales. Pourquoi ces fameuse cigales étaient là d'ailleurs? Malheureusement, le vieil homme avait horreur de ces bestioles, mais même lui ne saurait en expliquer la raison. Il hésita à toutes les écraser, mais il décida de prendre l'enfant et renvoyer le panier en mer, avec nos amis cigales à l'intérieur.

Personnes ne sait ce qu'il advient de ce panier. Certains disent que les cigales sont devenues pirate à bord du panier. Ont racontent aussi, que leurs plus grand rival est un pingouin d'Afrique qui navigue sur un parquet....
Enfin je vous conterez leurs voyages un autre jour, ont est pas ici pour parler d'eux, mais pour Kuroi Tsuki.

Le vieux qui venait alors de trouver l'enfant rentra chez lui sur le dos de sa tortue. Il habitait une petite cabane en bois à Koopa Land.
C'était un homme du nom de Okina qui avait donc recueillit le bébé. Il était passionné de tortue et porté le surnom de « Tortue génial » car il était apprécié par tous les habitants de l'ile. Il les avait protégé à plusieurs reprises contre des pirates qui étaient venue saccager cette petite ile paisible et dont la présence de marine, pourtant habituelle sur la plupart des iles, étaient inexistante.

Koopa Land , l'ile des tortues, se situe quelque part dans East Blue. La forme de cette ile représente une tortue et plusieurs d'entre elles viennent y pondre des œufs sur les belles plages de Koopa Land.
Okina habitait le plus au nord de l'ile dans sa fameuse cabane, situé sur la plage et surtout à l'écart du village qui se situe plus dans les terres.
C'est donc ici que notre héros grandit, élevé par un vieil homme respecté de tous dans son village pour sa force et sa sagesse. Sa joie qu'il transmettait aux autres et sa gentillesse firent de lui un bon père pour l'enfant. Son age, assez avancé, ne dérangeais pas le jeune garçon qui aurait pu le considérer comme son grand père, mais le vieil homme ne voulait aucun de ces noms là, il préférais être considéré comme un maitre pour l'enfant. Un homme qui lui apprendrais tout son savoir et ses connaissances, afin de faire de l'enfant un homme qui saurait survivre dans n'importe qu'elle situation et qui aurait un rêve. Le vieil homme pensait que tout homme devait avoir un rêve, c'était son point de vue.
Kuroi Tsuki n'est jamais partit à l'école, le village se trouvait bien trop loin pour y aller chaque jour et Okina décida alors de tout lui enseigner.

Quand il eu cinq ans, il savait déjà compter jusqu'à cent, écrire des petites phrases, lire et lasser ses chaussures. Il apprenait vite et le vieil homme en était fier et pour le récompenser, il lui offrit un boken, un sabre d'entrainement un bois dur. Kuroi s'entraina régulièrement avec et il devint passionné par le combat à l'épée, mais une autre chose le passionnait, les tortues. La passion de son maitre avait était transmit à son élève sans y avoir était forcé. Au début il observais discrètement le vieil homme lorsqu'il étudier les tortues de l'ile.

Un jour, le garçon partit tôt le matin, son maitre dormait encore. Quand il se réveilla, il ne vit pas l'enfant et commença à paniquer. Il courut dehors et il entendu un enfant rire, sa devait être Tsuki. Il courut alors en direction des rires et le vieux n'en crut pas ses yeux. L'enfant était entouré de centaines de tortues, une espèce qui était impossible d'approcher en temps normal. Soit elles fuyaient soit elles devenaient agressive, mais là, le jeune garçon jouait avec, il sautait sur leurs carapaces. Son maitre n'en revenait pas, sur le coup il voulut aller le chercher car il y avait tout de même un risque, mais les tortues ne semblaient pas lui vouloir de mal. L'homme tomba alors assis sur le sol, des larmes de joies coulèrent sur ses joues, lui qui était tant passionnés par ses animaux et qui n'avait réussit à en approcher qu'une dans sa vie et ce gamin en avait une centaine autour de lui. Il resta à les observer toutes la journée, l'enfant ne s'en lassait pas et riait toujours autant. Le soleil commença à tomber et Kuroi Tsuki commença à rentrer chez lui, les tortues semblaient vouloir le suivre, mais l'enfant leur dit d'un ton innocent qu'elles devaient rester ici et qu'il reviendrais demain, sa maison était trop petites pour les accueillirent. Il partit en leurs faisant un grand signe de la main comme on fait pour dire au revoir.
Une fois rentré, le vieux l'attendais, l'enfant s'excusa de son absence de la journée, mais le vieil homme ne lui en voulut pas. Il décida alors de lui expliquer qui il était et qui était ces fameuse tortues.

C'est à peut prêt à ce moment que deux équipages traversèrent Reverse Moutain, un panier remplit de cigales et un parquet qui portait un pingouin....Le plus étonnant était surtout que ces deux équipages avaient obtenues une prime de...10 berrys, d'accord c'est très peu mais pour des cigales et un pingouin c'est déjà énorme et ils se retrouvaient maintenant sur Grand Line.

Le vieil homme se nommait alors Okina, un homme âgé de plus de cent ans et qui avait réussit lors de son étude sur les tortues d'en dresser une, enfin plus exactement de sympathiser avec l'une d'elle. C'était aujourd'hui sa meilleur amie et il aurait donné sa vie pour elle. Lors de son étude, il découvrit une espèce qui l'intéressa plus que toute les autres, mais qui était impossible d'approcher. Il ne dit pas le nom de cette espèce, mais il expliqua au garçon que c'était la même espèce que les tortues avec lesquelles il avait joué. C'était les petits de l'une des plus grandes créatures de ce monde et qui était même craint par les monstres des mers. Le vieux avait rêvé toute sa vie de pouvoir voyager en mer sur le dos de l'une d'elles et de s'entendre aussi bien avec elle qu'avec sa tortue, qui devait avoir une cinquantaine d'année et que d'après ses recherches, il fallait plus de cent cinquante ans pour que ces créatures arrivent à taille adultes, mais ce qu'il avait vu aujourd'hui lui fit comprendre que ce n'était pas lui qui aurait la possibilité de dresser la plus grande et la plus passionnante des créatures. Il décida alors de transmettre toutes ses connaissances à Kuroi Tsuki. A partir d'aujourd'hui le garçon allez devenir son véritable disciple.
Puis un bruit étrange ce fit entendre à la porte, comme si quelque chose se frotter dessus. Le vieil homme ouvrit la porte et vit une tortue, une de celle avec qui le gamin avait joué. L'enfant regarda son maitre avec un regard qui disait tout, « on peut la garder? ». Okina accepta, il ne pouvait pas refuser sa et pour son étude des tortues il n'y avait pas mieux que de voir l'une d'elles habituellement inapprochable frapper en quelque sorte à la porte. Ils décidèrent de l'appeler Gaméra.


Le lendemain, le véritable entrainement allez commencer. Le matin, le vieil homme lui ferait un cour sur les tortues, ce qu'elles mangent en général, leurs capacités, les différentes espèces, la solidité de leurs carapaces,...Après le repas du midi, le garçon allez jouer avec sa tortue, le premier jour il courut là où il avait joué, mais il n'y avait plus aucune trace des tortues. Plus une seule. Il partit donc nager avec celle qui était venue chez lui. Sa carapace faisait tout de même un mètre cinquante de diamètre, et Kuroi pouvait donc s'assoir facilement dessus. Un véritable rêve de gosse qui se réalisait. Il allait nager avec une tortue...
Il passa les cinq années suivantes avec cet emploi du temps. Il comprenais sa tortue en regardant seulement son regard et il n'avait que dix ans.

Il paraitrait, d'après une certaine légende, que deux équipages d'animaux ont réussit à traverser Grand Line et ils sont à présent dans le nouveau monde. La légende raconte également que ces équipages sont constitués de cafards pour un et d'un pingouin d'Afrique pour l'autre...

Un matin d'automne, un nuage de fumée s'éleva dans le ciel. La fumée venait du village. Okina, le grand père et maitre, s'inquiéta. Il avait un ami là-bas et il aimait ce petit village même si il habitait à l'écart. Il décida d'y aller en laissant Kuroi Tsuki ici pour qu'il reste en sécurité. Il laissa également sa tortue qui l'accompagné partout en temps normal avec l'enfant. Sa tortue était intelligente et le protègera comme son enfant. Et le vieil homme partit vers le village. Ce fut le dernier instant où l'enfant verrais son maitre.

Une semaines plus tard, un homme très musclé et armé d'un énorme marteau vint à la petite cabane. La tortue du maitre s'approcha de l'étranger sans le craindre. L'enfant en conclu aussitôt que cet homme connaissait le vieux. Cette homme se nommait Fujin, le forgeron.
Il venait du village pour porter une nouvelle, une très mauvaise nouvelle. Okina venait de mourir, le village avait était attaqué par des forbans et le vieux périt en défendant les villageois. Fujin était un vieil ami du vieil homme, il avait combattu plus d'une fois à ses côtés. Il était venu voir l'enfant car Okina lui avait demandé et Fujin lui avait promit de s'occuper de l'enfant si il lui arrivait malheur. Kuroi Tsuki fut énormément triste en apprenant ce qui était arrivé à son maitre.

Le forgeron emmenât alors Kuroi au village, dans sa maison qui était ouverte sur le devant où l'on pouvait y trouver sa forge. Fujin n'avait pas de femme ni d'enfant. Il ne savait même pas comment l'élever. Devait-il l'envoyer à l'école alors qu'il n'y à jamais était? Non, le forgeron n'avais jamais aimé l'école alors pas besoin de faire subir le même sort à l'enfant. Sa devait pas être dur de lui enseigner les bases.

Une fois par semaine il lui donné un cour de « sport ». Pour lui un jeune devait se dépenser, même si Kuroi partait nager tous les jours, jouait avec sa tortue, il ne se musclait pas vraiment, il développé plus son endurance. Alors Fujin lui faisait donc un cour particulier par semaine. Cour à la forge. L'enfant devait taper sur des lames en fusion, les faire chauffer, chercher des sceaux d'eau au puits,...
Étrangement, l'enfant adorait et sa le rapprochait de sa deuxième passion, les épées.

Tortues:
-Gamera
-Genbu
( j'avais hésité avec carapuce/franklin mais enfaite non, il y a un limite à la connerie, puis entre un qui voudra évoluer et l'autre qui sera ses lacer ses chaussures et compter deux par deux... ^^)

==> C'est quoi ça ?

C'est le nom des deux tortues que mon personnage aura, je vais l'expliquer dans l'histoire, mes sinon je peux les enlever de la et je les mettrais dans ma fiche plus tard...

Cette fiche est terminée?

Non, désolé du retard pour ma réponse, j'ai précisé que je prenais mon temps mais je crois que je prend trop de temps là.

Je viens de m'y remettre un peu plus activement, j'espère avoir finit dans la semaine et je changerai le titre du poste de toute façon