Naywhunt F. Phantom Notable
Nombre de messages : 14 Fruit du Démon : — Là où il y a de la thune
| Sujet: — Naywhunt F. Phantom — [UC] Mar 16 Fév 2010 - 15:29 | |
| — Description Administrative —
•●• Dénomination •●•
Naywhunt F. Phantom, de son patronyme, Foldmist, occulté pour des raisons de sûretés. Remplaçant cette appellation par celle de « Phantom ». •●• Pseudonymes •●•
On l'appelle à de nombreuses reprises « Arès », sa passion exacerbée pour le pugilat l'ayant classé tel quel. D'autres pseudonymes sont courant à son égard, cependant, on ne les gardera pas. •●• Sexe •●•
Il est un homme, doté de surcroit de la puissance caractéristique qui hisse cette appartenance. •●• Origines •●•
Il appartenait naguère au firmament, l’adaptation sur la terre ferme s’est effectuée bien plus tard. •●• Âge •●•
Vingt-sept hivers tracent son sillage jusqu’à présent. •●• Date de Naissance •●•
Il serait né un hiver. Le 7 décembre 1473, enseveli du doux linceul de la Sorgue.
— Description Militaire — •●• Alliance •●•
Il est rangé en tant que Marine, insondable justicier. •●• Armement •●•
Il fut gaté d'un pistolet à bout rond dès lors qu'il fut apte à en manier un mais il est de rigeur de compter qu'il en a sa possession un pouvoir bien plus imposant. •●• Métier •●•
En liaison avec son grade, il est au commandement d’un cortège de soldat. La garde d’un équilibre entre les pays et les villes se font par son biais. C'est cet amoncellement de besognes qui définit son métier. •●• Grade •●•
Son grade s’évalue à une place nonobstante de sa possession chimérique ci-dessous nommée. •●• Akuma no Mi •●•
La denrée rare qui fut ingérée par Monseigneur n'est autre que le Yami Yami no Mi, un fruit bien mystérieux. — Mémorandums — •●• Profil Physique •●•
Sombre personnage. Dans la noirceur de son atmosphère, on y distingue quelques atouts physiques de premiers ordres, l’incoercible froideur de son psyché jouant dans la métamorphose de celui-ci, comme quoi, les déboires peuvent aussi influencer sur la physiologie. Les cendres de sa cigarette éclaire avec dédale son jeune faciès, à partir de là, nous pouvons observer de multiples éléments tout aussi importants que protéiformes. De bien lourds tributs que furent son passé, de ce fait, c’est un véritable pandémonium en quoi s’est transformé son visage, qui, d’antan, paraissait si angélique. Cette joie s’est finalement tarie, laissant place à une justice de fer, justice qui constitue les traits entiers de tout ce qu’il représente. C’est ainsi que la joie, susnommée milles et une fois, s’est transformée en plaisir. Pas un plaisir charnel, non loin, puisque désormais, il prend un plaisir fou à ôter la vie à quiquonque ose défier le système politique du Gouvernement international. Comme il le dit avec tant de noblesse, « Le monde doit se préparer au Nihilisme ». Ce n’est donc qu’à ces moments-là que l’on peut caresser l’espoir d’apercevoir une once d’émoi, le reste du temps, c’est ce caractéristique minois transi par le dégout qui tapisse sa tête. Une sorte d’ostentation de son œil droit peut se voir ainsi, c’est vrai, en cherchant à cacher les horribles stigmates d’une géhenne âprement ressentie au coin de sa prunelle gauche. Contrairement aux préavis que l’on peut se faire, ce n’est pas la cécité qui hante cet œil-là mais bien plus que ça. S’enorgueillissant d’être toujours de ce monde, au prix de quelques fiertés, tel que la mise en valeur de ses pleines capacités. Ce n’est que lorsque l’accumulation de pression déborde du vase du supportable qu’il quitte ce voile éraillé, au prix de ce globe désormais mis en exergue. Les estafilades que l’on aperçoit au moment où il retire son cache sont des traces immémoriales de la déchéance qui l’accompagne, à l’instar des blessures anodines que lui affligent ces courts cylindres fumant aux cendres coruscantes. Des supplices tangibles, prêt à se rouvrir, des blessures sanguinolentes spécialement situées aux commissures de ses paupières.
Un visage sortit d’un piètre état, voilà pourquoi tant de personnes se retournent lorsqu’il le croise. çà et là, on remarque qu’il n’y a pas que la cendre chue qui a marqué sa peau d’albâtre. En communion avec tout ce corps marqué par une époque instable, ancrée dans la misère contemporaine actuelle si figurative de la guerre glaciale éclatant entre une foule de camps. Des quinquets qui se coudoient conjointement entre sérosité et folie sont un des autres phares du contraste facial de ce palladium international. Ainsi mesmerisantes, ces deux perles aux décorations naturelles ont des capacités toutes aussi variées que sibyllines. Ces dits hublots font targuer leur possesseur de la capacité à l’effroi, l’épanchement à l’exacerbation de son sentiment de haine se retransmettant exponentiellement au moyen de ses possessions oculaires. Cet ouvrage marmoréen profus est ainsi centré par ces deux démons. C’est dans l’obscur, à contrario d’un humain lambda, que toute la luminosité de son interne se révèle. C’est un véritable conte, son faciès en est véritablement un, un long et fastidieux récit, qui, vraisemblablement, a tellement à raconter. On ne pourra plus dire qu’il n’est pas obscur, sa seule physionomie nous informe sur ledit rangement psychique auquel il s’est sciemment classifié. Il est indéniable que son visage est livré constamment à des pantomimes changeant en fonction de l’humeur de son porteur, s’étant épris au mutisme significatif, c’est sous l’apparence d’un mur humanoïde que se révèle cet homme. Un patelin faciès qu’à en sa possession un homme capable de s’en servir, voilà tout. Passons à présent à une partie inintelligible de sa physionomie, son corpus. Filiforme personnage, il n’impose pas par sa musculature mais par son charisme oppressant. Il est un hommématoïde qui n’impose par sa musculature, mais par son charisme opprimant, il dégage une bouleversante aura de violence, poussant les personnes environnantes à craindre sa personne et son oppressante aversion envers les apeurés, se rangeant dans la même manière d’identifié qui doit se faire attaquer ou pas, similaire aux sens d’un canidé. On aurait tendance à amalgamer Naywhunt avec un outrecuidant quelquonque.
Les gens se trompent irrémédiablement, c’est un dédain naturel que suinte à souhait notre haut-gradé. Nanti pour ainsi d’une « aura », il ne craint point les esclandres de la populace à son égard. Qu’il exécute un travail un peu trop excessivement, pourrait se laisser entendre, mais qu’on vienne lui réclamer de tempérer sa fougue justicière serait, en connaissance de cause, improbable. On ne peut savamment reprocher à un bourreau de tuer, me direz-vous, c’est un peu la même notion exposée ici-même. Le corps dénudé de ce démiurge est couvert de supplices et d’empreintes encrées. Bien que peu d’yeux ai eu l’éventualité d’apercevoir ces continuels stigmates qui jonchent tout son organisme, très bien cachés par l’excès d’habits le recouvrant, on pourrait clairement omettre que c’est un corps châtié par l’expérience qui est face à nous - une expérience tendancieuse, certes, mais qu’importe -. On remarquera surtout cette longue et large entaille sillonnant son entière carcasse, prenant amont à son bas-ventre et aval à son omoplate. Les études menées sur la survie du sujet « Phantom. » à une telle blessure se forment sur l’hypothèse basale d’un éventrement raté ou bien pire, à un déshéritage céleste, qui comme vous le savez, n’est jamais bon pour le sacrifié. C’est sur ce principe très archaïque, dans lesquels se pâment encore quelques vieux fous, que se fondent les plus grands scientistes de la marine. Il mesurerait officieusement cent soixante dix-sept, et très hypothétiquement, pèserait dans la soixantaine de kilogrammes. Aux antipodes des armoires à glaces tels qu’on en trouve en grand nombre dans le métier, son corps s’axe sur l’agilité et la promptitude, une célérité motrice de supériorité face à certains badins lourdauds. En s’intéressant dès à présent à son habillage, on y apprend qu’il n’attache pas une importance majeure à sa tenue de service. Certains pourraient le voir comme un affront, un être respirant la puissance qui ne prônerait pas pleinement à une organisation dont il est le pilier, vu comme ça, ce serait tout à fait conventionnel. L’exubérance de son caractère est à proscrire, c’est une des raisons pourquoi, il n’exhibe pas avec une vigueur exceptionnelle sa cape gouvernementale. C’est en continuité qu’il arbore son costume, par contre !
•●• Profil Psychologique •●•
« Un immuable et imperturbable négrier », voilà comment a été décrit ce jeune homme à la psyché fuligineuse. Ce dît geôlier possède une notoriété frisant la terreur, et ce, pourquoi ? Parce que cet homme, considéré alors comme un tyran accorde une importance primordial aux éliminations. Ôter la vie est quelque chose de très lourd selon lui, mais elle perd touts lests lorsque ceux-ci sont mis en demeures par un supérieur. D’ailleurs, il n’y a qu’ici où un commandement est vital. Les besognes récurrentes sont souvent épicées par quelques escarmouches délibérément provoqués, histoire de ne point croupir sur le siège des réunions. Avili par le sérieux trop longuement ininterrompue, il s’est trop gorgé de cet appui de causant donc son dégout envers cette notion de supériorité. Cette pseudo-rébellion auquel s’est adonné Naywhunt qui lui fait prendre du galon. Impitoyable face à ses subordonnés et irrespectueux envers ses supérieurs, cette teigne fantasque est donc révoltant de par son irrévérence, qui fut provoqué par un enseignement tendancieux. Bien sûr, d’une volubilité très nébuleuse, il ne serait pas quelqu’un qui aboierait pour ne pas faire grand-chose, tout au contraire, même considéré comme lâche par les défaits, c’est même son trait de caractéristique majeur, son omission fréquente. Il ne parle presque pas de ce qu’il fait, a fait ou fera. On peut dire que c’est justement ce mutisme caractériel qui lui fait imposer de sa personne sans même ouvrir la bouche, une qualité apeurante aux devants d’un redoutable ténébreux. Régulier dans ses actions, c’est cette sûreté qui le caractérisa à maints égards. On comprend facilement son outrecuidance, les louanges d’épargnements ont forcé son égo à grandir, désormais, il n’écoute plus que son propre cœur. De doux oripeaux que retransmettent ses états d’âmes à travers l’extérieur de son corps, c’est un homme qui n’arrive pas à expliciter ses sentiments au travers d’un simple geste ou d’une simple expression. Si il devrait les montrer, ce serait via de longs palabres remplis de métaphores et d’autre bêtises du genre. Affublé d’une montagne de tares, de peur ou de constat ? Dans toutes les hypothèses envisageables, cela va sans dire qu’il est loin de l’homme d’honneur ! En combat, humiliation, traitrise, déploiement et coups dévastateurs lâchement distribué sont au rendez-vous. Ce nématoïde bellâtre est aussi étriqué que rigide.
Une corroboration quant à l’épais dossier que constitue le psychédélique état spirituel du palladium des mers. Ravagé par des crises événementielles successives, on ne peut s’avancer plus loin sur la thèse d’une subite vengeance synonyme d’une incertaine vésanie. Il semblerait que ce legs miséricordieux se soit soldé par une frénétique rancune, ainsi, le métier qu’il exercerait ne serait que le simple pont vers le pouvoir inter-universel qu’allouerait une place de si haut galon. L’adrénaline qui parcourt constamment son corps constitue une aide intégrale à glaner quelques fins plans pour exécuter sa besogne. En outre, son outrecuidance effective n’est rien par rapport à la capacité intellectuel que la réhabilitation politique lui a procuré. Aussi indéfinissables que paraissaient les sentiments de cet oligarque, il y a une certaine logique dans les chimères comportementales que présentent celles du spécimen non-commun Naywhunt Foldmist Phantom. . Une apathie situationnelle pourrait s’avérer prendre le contrôle et l’omniprésence de l’esprit souillé de l’être « originel », ce qui, ayant la fâcheuse habitude à prendre des fréquences rapprochées et nombreuses, peut tendre à agacer ses condisciples, souvent soldats faibles et ignares, fut-ce sentiment fugitifs vu la rapidité à la mise en place au titre noble et inébranlable de leur maître. On discerne néanmoins une volonté de fer sur l’attèlement des lois qu’instaure de son propre chef le vengeur, les années ayant passées avec une langueur infâme, il a bien fallu que le choix qu’il a prit en ayant l’arrière pensée de se servir de ce poste comme d’un tremplin pour l’acquittement des dettes que Satan lui a impartie, commence à marquer un intéressement un tant soit peu important pour l’homme qui en représentait l’intégralité. C’est avec ces avantages qu’il se tapit sous la couverture justicière du gouvernement international avec méticulosité pour frapper et toucher au but. Un art de virtuose auquel il ne manque pas de satisfaire chacune de ses victimes, les yeux de ce démon transperçant ceux de la victime avec une froideur d‘antarctique, témoin silencieux de son funeste destin.
Une autre partie des facettes de cet infernal scélérat, sa rage. Cette névrose combattive qui lui offre ainsi une vision tout-à-fait différente des combats qu’il effectue. Une fougue démoniaque débarquerait donc dans l’esprit du schismatique lorsque l’exécution du devoir civil s’avèrerait trop « complexe » pour un être stoïque comme il le laisse paraître. C’est un peu comme une sorte de tare maladive qui ne prend forme que lorsqu’une envie bestiale prend le contrôle de son cerveau. Comme il le dit si bien : un homme ne nait en aucun cas fou, il le devient au fil des évènements qu’il rencontre et c’est ce besoin si véhément de tuer qui prend le dessus sur sa personnalité morose. Heureusement pour sa personne, cette ignoble bestialité prend le contrôle de son corps que lorsqu’un combat s’annonce inéluctable. Cette scélératesse procure ainsi une puissance si animale qu’elle en est incontrôlable, de ce fait, il l’a drape de plusieurs substituts de calmants platoniques, comme par exemple, des jeux ou des bains, sans compter sa cigarette qu‘il arbore inconsidérément au coin de sa lippe. Donc pour revenir à ses envies délétères, on peut ainsi dire qu’il est hanté par l’inassouvissable démon, gourmand du sang de l’ennemi. Cette barbarie tacite, ne s’étant oblitérée sous aucunes parties et d’aucunes façons, prenant les atours d’une élégie enchanteresse et enivrante, se jouerait des méfiances de son détenteur et serait donc impossible à contrebattre. La géhenne qu’il vit lorsqu’il est prisonnier de son animalité n’est cependant rien comparée aux douleurs et aux peurs que ressent son face-à-face. Toujours est-il que c’est un désastre pour quiquonque serait présent lors de ce réveil luciférien. Mais, selon-vous, que se passe en l’intérieur de Naywhunt quand cela arrive ? Que se passe-t-il donc quand tonne le dernier souffle de l’adversaire, dans l’âme lacérée de ce démon ? C’est bien plus horrible que vous pouvez l’imaginez. Des flashs, de nombreuses images brouillées, des souvenirs effacés apparaissent, gravés aux noms des défunts qu’il portait jadis de son cœur, bien qu’à certains moments, ils se manifestent sous des formes joyeuses, au plus souvent, ils apparaissent en sang, déchiquetés et terriblement humiliés. Comprenez-vous, là, les horribles représailles que ce passé sordide lui apporte ?
| |
|