Un conseil : Toujours se redouter de la colère d'un homme patient.
Dernière édition par Naywhunt F. Phantom le Jeu 30 Juin 2011 - 20:32, édité 2 fois
Jaag Akanawa Pirate légendaire
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Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée) Mer 29 Juin 2011 - 11:54
Et bien et bien, je ne vois pas grand chose à redire.
Je valide donc rang 2 avec le fdd demandé. Attends une deuxième validation !
Sid Langren Seigneur des océans
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Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée) Mer 29 Juin 2011 - 15:27
Citation :
avait subtilisé le nom d’un village du siècle perdu, par des procédés et des méthodes nébuleuses certes, mais il demeurait toutefois digne du port d’une telle dénomination.
Informations sur le siècle perdus => non.
Citation :
Tu es un héros de la marine, doté d’une puissance incommensurable, tu t’appelles Naywhunt Phantom.
Désolé mais tu commence très bas dans l’échelle, du grade ET de la renommée.
Et pas si haut que ça niveau puissance.
J'attends donc les corrections nécessaires avant de valider.
Kurogane Shinobu Bras droit de la Marine
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Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée) Mer 29 Juin 2011 - 17:49
Je tiens à faire remarquer qu'il n'y a pas de post rp or rien n'est dit dans la fiche qu'il s'agit d'un second compte.
En fait la partie présentation du joueur passe totalement à la trappe.
Or d'après les règles des présentations :
Citation :
Article 3 : Il n’est pas obligatoire de poster dans la partie IRL (in real life ou vie réel, présentation du joueur) de la présentation si vous trouvez les questions personnelles. Veuillez quand même copier-coller la partie concernée pour aiguillé le staff et monter que vous avez pris compte de cette partie.
Mais de plus :
Citation :
Article 15 : Interdit de faire un DC si votre premier personnage n’est pas actif. Il est également interdit d’avoir deux personnages avec un FDD supérieur à 5, sauf si le premier personnage est actif depuis plus de neuf mois avec son fruit du démon, auquel cas ce fruit ne vous limiteras pas dans vos choix de fruit du démon pour votre DC.
Je bloque donc cette présentation jusqu'à nouvel ordre pour les raisons suivantes :
-pas d'activité avec le premier compte. -irrespect des règles.
Si mon jugement pose problème ma boite à mp reste ouverte.
Naywhunt F. Phantom Notable
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Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée) Jeu 30 Juin 2011 - 11:28
Tout a été corrigé. Merci d'avance.
Cyanure Pirate légendaire
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Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée) Jeu 30 Juin 2011 - 17:31
Pour être franche... Edward ne peut pas être compté comme actif.
Moins de dix posts rp en plus d'un an et demi d'ancienneté. Joue ton premier compte avant de songer à vouloir en créer un second.
Par contre, je note l'effort fait pour signaler qu'il s'agissait d'un DC Ed.
Malheureusement ce n'est pas suffisant pour faire changer mon opinion.
Naywhunt F. Phantom Notable
Nombre de messages : 14 Fruit du Démon : — Là où il y a de la thune
Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée) Jeu 30 Juin 2011 - 20:51
« Mes cicatrices me rappellent que mon passé n'est guère un rêve. »
Peu de gens peuplaient les rues en cette nuit où de fins astres luminescents parsemaient les cieux, à l’heure noire, avec minutie. Un homme à la mise parfaitement régie traversait la ramification principale de la ville en ces temps tardifs, et ses yeux lorgnaient chaque petites parcelles de celle-ci, il inspectait, c’était son métier. Le bel homme se confondait au noir et jouait avec, il jouait si bien que certains badauds se frottaient les yeux de leurs grosses pognes poilues, doutant de la réalité de la chose et si ce qu’ils apercevaient n’était pas qu’une simple hallucination due à l’engloutissement de trop de spiritueuses. Eh non, ce n’était pas une hallucination, uns à uns, ils se retiraient du pavé pour rentrer soit chez eux ou soit chez leurs taverniers attitrés, trébuchant généralement contre la marche de la bâtisse avec un ridicule déconcertant. Naywhunt, une cigarette se consumant à la commissure de ses lèvres, alors éclairé par la cendre coruscante, observait avec dédain la scène dont il était le protagoniste et continuait son chemin. Sa cape de supériorité militaire pendait à ses épaules et virevoltait timidement en émettant de temps en temps des cliquetis de métal. Un ubuesque jeune garçon, plutôt sobre pour les quatre heures du matin qu’il était, s’approcha du Vice-amiral avec une sorte d’expression plongeant entre orgueil exacerbé et innocence imbécile. Un rictus carnassier ourla les lèvres de Naywhunt, elles-mêmes au cœur du débat qui allait naitre. Le garnement se mit à sortir tout un attirail d’objets, spécifiques certes mais bien connu du « fantôme ». Un briquet, un couteau dont l’embout recourbé laissait penser à quelque chose d’exotique, du scotch adhésif, étrangement, il les posa au sol et pris le borgne ténébreux par le col de sa chemise. Agressif dans le ton et pitoyable dans la dégaine, il revendiquait plusieurs biens, qu’avait, et ça se voyait, en sa possession Naywhunt. Il fit le compte dans sa tête, pour réfléchir à la manière, platonique ou violente, de répondre à ce cas-de-figure. L’enfant voulait donc une liasse de billets qui vaudrait environ 10 000 berrys, son paquet de cigarettes et son zippo. Le sourire présent sur les lèvres du marine prit de plus en plus de places, de fait, il commençait à coudoyer ses joues, mais ce n’était pas ce sourire mêlant machiavélisme et névrose qui faisait le plus flipper dans l’histoire, non, c’était les perles de jais que contenaient ses paupières qui, à l’heure qu’il était, commençaient à briller d’une lueur bleue, donnant la factice impression que c’était milles et unes flammèches qui irradiaient au-dedans de cette pupille.
Il mit une main dans la poche droite de son costume en arborant toujours la même tête de dingue et sortit de celle-ci, son paquet. Quand la fin de sa cigarette partit en cendre brulante, il se saisit d’elle, lentement, et, de plus en plus rapidement, en approcha le bout, encore brulant, du faciès de l’enfant. L’adolescent recula tardivement la tête pour éviter de se faire carboniser ne serait-ce qu’un petit point de peau, mais hélas la vitesse de propulsion du bras de l’homme en costard eu atteint son paroxysme au moment où l’infâme racketteur prit conscience qu’un cul de clope allait venir côtoyer chaudement sa douce peau d’albâtre, sur ce coup, il était en parfait impotence. Le filtre doré de la cigarette vint s’affaisser dans une odeur de chaire grillée, avec force et rapidité, sur la joue du garçon. Une seconde, chronomètre en main, se passa avant d’entendre les premiers cris de douleurs et de voir les premiers gestes de débattement vain. Un souffle candide, un sautillement, un étirement du muscle de son épaule, et c’était repartit. L’enchainement ne cessait plus, la balance avait indubitablement changé. Peu à peu, du sang et de la sueur se mettait à couler sur le sol. On vu d’un autre côté, deux gants de cuir s’écraser contre le sol, c’était ceux de l’héraut gouvernemental. Le regain était pour Naywhunt monnaie courante dans le monde qu’il avait l’habitude d’habiter et ici, en était un parfait exemple. Tabassé à convalescence l’enfant convulsa et louchant sur les dents carnivores du haut-gradé de la marine, se targua intérieurement d’être encore et toujours en vie. Soudain, les bruits vagues dans la tête du chérubin se métamorphosèrent étrangement en une sorte de radiophonie d’horreur, où les cris et les bruits de chaires se déchiquetant étaient les principaux sons. Le corps du garçon s’aplatit sur le sol, sous le regard de pas mal de gens qui avaient accourus grâce aux harmonieuses émissions sonores de la rixe menée à bien par le bellâtre. Il posa le pied sur la mâchoire bavante de l’adolescent passé à tabac, en remarquant que des gens observaient l’état de l’hère qu’était devenu le vandale. Un rire hautain fit vibrer ses cordes vocales pendant qu’il retirait le gantelet qui séparait son chaotique style de combat de son monstrueux pouvoir. Posant délicatement ses après-gants, il regardait avec dégout le corps tuméfié du garçon gire, voir, s’enténébrer.
La cape de monsieur se frotta au sol lorsqu’il s’agenouilla pour contempler les traits de celui qu’il venait de frapper à mort, de plus prêt. Sa main, ornée de multiples cicatrices et d’un tatouage prenant les atours d’un code barre, se mit à effleurer le faciès rougeâtre de l’éphèbe, pliée, sa main s’ouvrit et dans un net bruit, la tête de l’enfant s’écrasa instantanément en se mêlant au sol. Les fissures du sol se comblèrent sous le souffle profond de Naywhunt. Il se releva en même temps que l’éveil des cris se fit. Il rigola des esclandres de la populace et ne démordit pas de son chemin, il devait être 4h10. Connu pour sa pitié inexistante, « Arès » continuait de tracer son chemin vers le restaurant qui se plaçait à l’embouchure de la rue qu’il longeait si adroitement, en faisant peur aux passants de par son aura de machiavel invétéré. Il aimait ce qu’il faisait et en était fier, il prenait un plaisir fou à ça, personne n’avait le droit de le critiquer, la belle vie était bel et bien par là. Il profita du temps qu’il lui restait pour s’en rallumer une, la grasse flamme restait sage mais dansait avec le vent plus que de raison. Le panache blanc qui sortait de la bouche de l’incorrigible fumeur contrastait avec l’obscurité présente de son monde. L’impression factice que l’endroit fuligineux qu’il traversait n’était qu’un infini pandémonium, et qu’il en était le pauvre péon le traversant, n’eu même pas le loisir d’effleurer sa vaniteuse cervelle, qui pour le moment guettait tout acte délictueux se déroulant dans son champ de vision et analysait le degré de gravité de ceux-ci, cette sélection judiciaire semblait balayer justement le mouvement urbain, pourtant caractéristique de cette ville. Le mouvement des galbes de Naywhunt arpentait les rues à la recherche d’un petit « truc » qui pourrait assouvir sa soif de contacts, même une simple escarmouche aurait suffit pour qu’il soit ainsi rassasié. Les crépitements de sa cigarette tintaient dans le sentier qu’empruntait sereinement, le son et le calme semblait s’additionner naturellement pour un résultat d’une finesse éthéré. C’était son coin, la ville, ses habitants rustauds, et il savait parfaitement où se sustenter.
Et tous les penseurs, pas un n’en manquant à l’appel, connaissait la silhouette émacié mais si prestante du marine. Son évanescence était évocatrice, on la reconnaissait au moindre pli de l’œil, sa néfaste présence pesait mais amenait beaucoup, beaucoup, beaucoup de personnes dans son restaurant favori. Aux antipodes de la célébrité positive, c’était une renommée faite de tapage et de tuerie qui précédait son nom – d’où le fait qu’on le nomme naturellement « Arès » et que chaque personne s’enquérait de cela au profit de son propre nom. L’opale sphère qui trônait en bonne et due forme au beau milieu de ce linceul noir obsédait certains côtés bestiaux du négrier, tel le loup blanc, aux griffes noires et aux pupilles rougeoyantes, comme des rubis chauffé par les chaudrons de l’enfer, qu’il était. Le filet intangible qui tournoyait autour de lui créait un bouclier invincible et invisible, allait avoir, à l’instar de beaucoup d’autres oripeaux, raison de lui dans peu d’années. Habitué aux drogues douces, depuis déjà pas mal de temps après sa reprise en main, ce n’était pas les trois paquets qu’il consommait journellement qui le pousserait dans le caniveau. Sa tête s’était elle-même habitué aux nuées crayeuses qu’elle voyait, respirait et sentait constamment. Un absentéisme mémoriel qui restait toujours oppressant, terriblement oppressant pour le dieu de la guerre qu’il était, certaines rumeurs spéculaient que c’était ce dit fait qui le rendait aussi vif qu’une transmission électrique, à l’instigation de sa haine ininterrompue et de son adrénaline foisonnante. Le plus vrai dans toutes ces médisances était qu’en combattant, avec hargne et conviction, il s’enrichissait d’un flash rétrospectif contant avec une minutie tirant parti du vécu de Naywhunt enfant, son passé là-haut. Chacune de ses cicatrices s’enorgueillissait de pouvoir raconter une histoire, une histoire riche de détails, pauvre en platitude. Malheureusement, dès que le combat se terminai – la plus plupart du temps, en victoire pour le Phantom –, ses flash-back discontinuaient subitement, il n’était pas obtus à ce point-là pour ne pas comprendre que c’était le fait que son corps s’alimente de la sensation de bagarre, un tantinet partiale, qui engageait ses mémoires. Certes sa vie n’avait pas été épique, certes elle n’avait pas été celle d’un sage garçon, soumis à son supérieur et respectueux, mais elle était celle pour ses rêves. Seulement, cette rébellion fut vite tuée dans l’œuf. Bridé, il explosa, compressé par les camisoles de force et par le sceau de « fluide » de ses ainés. Voilà, grotesquement, le petit rien de mémoire que lui rendit Dieu sur le coup de la rixe de tout-à-l’heure.
Au petit matin, c’était justement cette drogue de chaire qui lui faisait défaut et les affres de cette faim résonnait dans son for intérieur comme dans un carillon bien scié. La petite tannée qu’il avait donné récemment n’avait en aucun cas suffit, une racaille plébéienne pour qui que soit, amateur du pugilat, bretteur d’exception, tireur de valeur supérieure, guerrier martial, professionnel du massacre ou encore, boucher à grands couteaux, n’était amplement pas suffisante. Ce besoin frauduleux n’en faisait pas moins frémir les mains, alors dissimulée dans ses poches, de Naywhunt et son visage souriait d’un manque plus spécial que spécieux, oui, il avait aussi faim et soif, mais il en était que des besoins infimes par rapport au gigantesque qu’était celui de combattre et d’en connaitre plus sur son passé. Comme le disait les vieux célestes de son pays « La vie est longuement triste », il avait bel et bien assimilé cette citation mais il continuait d’avancer non sans détresse, traçant bravement son sillage, hissant son étendard avec fierté. Le prix de la liberté était égale à celui de la vie, pour Naywhunt, c’était le prix de forçat qu’il se devait de payer, endetté des créances de la vie envers le gouvernement et c’était cette parfaite allégeance envers l’état major qui lui tenait à cœur. Défendant vaillamment les desseins de la paix, au péril de sa vie, avec sûreté, mourir en marquant une page de l’histoire était le plus noble des cadeaux qu’il pouvait se voir obtenir. Bien qu’en ce moment, il foulait aux pieds les principes même de l’effigie qu’il défendait, en supprimant, oubliant tout ce qu’il y a d’humain en lui, la vie d’un garçon d’environ 17 ans. Mais à présent, sa petite tuerie du matin avait filé de son esprit et dorénavant, il désirait goûter aux plaisirs culinaires, méconnu dans le coin pourtant, mais si bien maitrisé par son hôte attitré. Peu de gens apposaient leurs marques dans la mémoire du geôlier international et il fallait qu’ils soient aussi singuliers que doués pour qu’ils aient leurs chances. Comprenez-y là la qualité hôtelière que fournissait ledit « Kakubei ». La quintessence de son art gastronomique tenait de l’onirisme, le fond et la forme, la prestance et l’amabilité, la politesse et la fraternité, tout était bon pour adorer ce que faisait ce bon vieux Kakubei, impliqué et partial. Le marine apprit que naguère l’âgé Kakubei fut un pirate renommé, pour sa puissance et sa philanthropie sans égal.
Il parcourait les mers, en concurrence avec le fameux « Zeff aux pieds rouges », pour trouver All blue et le One Piece, non sans y démordre, mais en y perdant tout son équipage au court d’une supercherie hautement sanglante, mais ô combien menée à bien par les légendaires Shirohige. C’est de ce fait, qu’il s’est directement arrêté, une fois sortit de cette diabolique mystification, d’exercer l’illicite métier de pirate. S’étant posé à tout jamais sur la première île qu’il trouva, pansant ses blessures, et, inéluctablement, conservant son bras gauche, arraché au combat. Il exhorte depuis maintenant 30 ans, l’arrêt de la guerre, en conseillant misérablement et inutilement à touts les pirates ou marines qui passent par là de venir l’aider à décanter son alcool de pêche ou de l’aider à chasser du monstre marin pour établir le menu du midi. Vainement, bien sûr, il en est triste, mais il les comprend néanmoins, il comprend intimement ce qu’il aurait fait de même si il serait toujours aux côtés de ses frères d’armes et de sangs. Voici les infimes munitions qu’aurait Naywhunt pour l’arrêter et empocher une prime de forcené au sein de la marine, une prime qu’il l’hisserait au grade plus haut sûrement, mais il n’en faisait rien, aujourd’hui à ses 60 ans, il n’aurait, premièrement, aucuns mérites et serait privé, deuxièmement, de la succulente cuisine bien mitonnée d’un homme qui met tout son cœur pour déplacer les pyramides de l’ère pirate, voilà pourquoi il ne s’en prend pas à ce vieux fou, qui a renoncé au siècle à sa façon, combattant le mépris avec une verve qui aurait fait renoncer beaucoup de personnes influençables, mais dans le Nouveau Monde, on ne pouvait sciemment pas espérer cela, pour sûr, le ver était fatalement dans le fruit, et ce fruit était gorgé à saturation d’une volonté de fer. Naywhunt se remémorait cela avec une paix divine, tandis qu’il se plantait face à la devanture de la bâtisse « Chez Kaku’ », sa cigarette finie, il s’avançât à l’intérieur, avec une confiance sans pareil. Poussant de ses deux mains, couvertes de stigmates tangibles, le portique de bois qui constituait l’entrée miteuse du restaurant. Il s’asseyait sur la première table qu’il trouvait en revendiquant à Kakubei une entrecôte fraîchement saignante et un verre de whisky. Une journée de plus, sans ostentation, dans un quotidien fastidieux, pour l’atrabilaire, peut être promesse de rencontre ?
Cyanure Pirate légendaire
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Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée) Jeu 30 Juin 2011 - 22:16
Bon, je ne m'oppose plus a cette validation vu que tu m'as dit sur la CB que tu supprimais Edward.
Par contre, pourrais-tu mettre ton avatar aux dimensions du forum (160 pixels de large maximum).
Et tant que tu y es préciser clairement dans quel camp tu compter ranger ton personnage.
Merci.
Naywhunt F. Phantom Notable
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Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée) Jeu 30 Juin 2011 - 23:09
Changement de taille d'avatar opéré et quant au métier, je pense que je vais choisir celui de "Huissier de justice officiel du Gouvernement".
Sid Langren Seigneur des océans
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Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée) Ven 1 Juil 2011 - 20:34
Je valide rang 2 avec le fuwa fuwa.
Vu ton métier je te range dans la catégorie civil.
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Sujet: Re: ♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée)
♦ You can't fear your own sword - Naywhunt ♦ (Terminée)