Post RP
__________________________
L’histoire ce passe à notre époque c'est-à-dire que notre jeune Ao est âgé de ces 16ans. Nous nous trouvons actuellement dans une petite ville sombre d’Est Blue. Après de nombreuses petites altercations entre pirate du coin Ao fut vite pourchassée par eux et pas les chasseurs de pirate également, revenons en à notre jeune Ao.
Le Bar
Je marchai tranquillement dans la rue étroite, les immeubles surplomber la vue, en temps normale cette vue est atrophiée par ces grands immeubles qui dépasse les nuages, collait les un au autre, mais ici une épaisse purée de pois c'était imposé. L'air était sombre comme à son habitude, je marchai dans cette petite rue tête baissait a fixés mes pas, quant-il se mit à pleuvoir, au bout de quelques minutes la pluie était devenue vraiment abondante, je me mis à l'abri dans un bar. Au-dessus de la porte il y avait un cadrent avec l'inscription « Bars » en néon jaune.
Le « B » du mot « Bar » clignotait d'un intervalle de 12seconde et s'arrêtait de temps en temps.
Ao poussa la porte en acier puis entra dans la salle.
Cela ne me surprenait plus. Un bar en piteuse état, avec un sol en acier rouiller sur les angles et a quelque endroit, les murs également en acier, il n'y avait que peu de tables environs 4 ou 5, il y avait une lumière suspendue au plafond, qui bougeait de droite à gauche, laissant des zones d'ombres et des zones plus ou moins éclairé, quand quelqu'un ouvrait la porte, celle-ci se balançait de nouveau. Le comptoir quand, à lui était éclairé grâce a ses spot fixer au plafond. A la table du fond vers la droite il y avait une personne, tête dans ses bras, elle devait probablement dormir, au bar il y avait un homme derrière le comptoir, torchon dans un verre a le nettoyé. De l'autre côté du comptoir il y avait une femme.
Elle avait les cheveux d'un rouge mauve, qui lui arrivait jusqu'au sein, elle portait une grosse fleure rosâtre dans ses cheveux, elle avait mis du mascara rouge pale sur ses paupières, elle était d'une beauté resplendissante. D'ailleurs à bien y réfléchir quai-ce qu'une belle jeune femme comme celle-ci pouvait elle bien faire ici ? Elle portait un joli haut a manche courte de couleur rouge également mais d'un rouge très claire en se rapprochant un maximum du blanc, un haut vraiment décontracté, ou l'on pouvait apercevoir des froufrous noirs au niveau de sa poitrine, elle portait une jupe très courte, a effet accordéon d'une couleur unie rouge marine et de grandes chaussettes également rouges marine qui lui arrive jusqu'aux genoux, accompagner de petites sandalettes.
Ao jeta un coup d'oeil par-dessus le hublot de la porte, voyant que la pluie ne cessera pas de sitôt elle pris l'initiative d'aller s'asseoir au bar à côté de cette jeune femme.
Tout en m'asseyant je demandai un grand verre de lait au barman, après quelque gorgé, la femme s'adressa à moi d'une voix douce et aimable me dit c'est mot
« Bonjour, j’ai l’impression de vous avoir déjà vue quelque part, mais je ne sais pas ou. »Je lui rétorqua
« Bonjour, désolé mais cela ne me dit rien du tout. Vraiment désolé »Elle me dit que cela n'était pas grave et qu'elle était désolée de s'être trompée, mais moi une question m'obstiner : Pourquoi était-elle ici ? Cela faisait un peux tache de ça par d'être dans un endroit pareil. Alors je lui posai la question.
«Eu... excusée moi, mais que fait vous ici ? » Elle me répondit toujours, d'une vois douce,mais en penchant sa tête sur le coter pour me faire un grand sourire.
« Hi hi tout comme vous je me suis abritée de la pluie » Je là remerciai d'avoir répondu puis, je me mis à fixer mon vers de lait qui était en face de moi, tout en étant plongée dans mes penser.
J'avais des lors compris que c'était faux, car j'étais rentrée dans ce bar au moment même ou la pluie a commencé à tomber et qu'elle était là avant moi donc par ce fait elle ne put rentrer pour cette raison, elle devait savoir que j'allais venir ici, il était probable aussi qu'elle était la pour me tuer ou quelque chose comme ça.
Au moment même où je pensais tout cela elle avait déjà compris, elle aussi.
Mon glaçon situer dans mon verre de lait avait fondu et lors de son dernier tintement de sonorité, la femme se leva de son tabouret, le fessent ainsi tomber par terre, tout en me donnent un coup-de-poing. Je me levai in-extrémis tout en prennent une baguette chinoise, de plats à emporter, qui traînait sur le comptoir, puis m'interposa, a l'aide de cette baguette. La baguette était maintenue à l'aide de mon pouce, de mon indexe et de mon majeur grand ouvert ou plutôt écarter, ses phalanges perpendiculairement positionner contre la baguette qui la tordait, mais sans la casser.
L'homme plaçait derrière son comptoir nous cria qu'il ne voulait pas de bagarre dans son bar.
« Si vous voulez vous battre c’est dehors ! »Après ses mots, la femme baissa son coup de point, laissant ainsi tomber la baguette a terre, nous marchions cote a cote sereinement, mais toujours sur nos gardes. Arriver à hauteur de la porte, je l’ouvris, mais en laissant passer d'abord la jeune femme. Une fois dehors nous, nous sommes mis au milieu de la rue, qui était désert, face contre face. La pluie tombait toujours aussi fort qu'à mon entré dans ce bar, l'on était dans une rue complètement déserte, il y avait des vieux cartons flétrie par la pluie a quelque endroit contre les mures. La rue devait bien faire environ 500~700 mètres, avec la visibilité réduite causer par la pluie, cette même pluie qui a dû dissiper le brouillard apparemment, je ne pouvais pas voir a chaque extrémité de la rue. Mais grâce à la sonorité des voitures et des gens l'on pouvait imaginer une forte densité d'habitant qui n'était pas très loin de cette rue. Je me retrouvais face à cette magnifique jeune femme, j'étais jalouse d'elle, beaucoup plus jolie et mieux faite que moi, mais très vite je me remis à me concentrer pour trouver la façon d'on j'allais devoir m'en sortir.
Ao et cette jeune femme se fixèrent un petit bout de temps dans les yeux, quand après avoir passé c'est quelque minute, ils furent tout deux, 8 pas en arrières, puis se stoppèrent.
La fuite
L'on était à environ 6~7 mètres l'un de l'autre, j'attendai sa première attaque, car comme je ne connai rien de mon adversaire, je ne sais pas comment elle va m'attaquer. Il pleut toujours autant, l'eau qui coule sur mes gros écouteurs, qui une chance était étanche à l'eau et maintenant mouiller. Je lui demandai en haussant la vois, mais d'un ton normale, car l'on était assez éloigné.
« Que me voulez-vous ? Pourquoi en avoir après moi ? » La femme me regarda et me fit un grand un sourire en coin et répondit.
« Hi Hi je vous aime bien et je veux juste m'amuser avec vous. » Après ces mots la femme se mis à courir dans ma direction, l'on pouvait entendre le bruit de ses pas qui courait sur l'eau qui était disposée par terre.
*Elle dit qu'elle voulait s'amuser avec moi. Et ce que cela était vrai ? Ou c'était plutôt parce que je suis recherche ?* Après ce temps de réflexion la femme était à ma hauteur et me donna un violant coup-de-poing, au visage, qui me projeta quelques mètres plus loin en arrière.
*Quelle force impressionnante !* Je me relevai tremper, de toute manière avec la pluie qu'il tombe je l'étais déjà.
La femme courut vers moi et redonna un coup-de-poing droit, a l'aide de ma main gauche je parais le coup en prennent son poignet laissent ainsi une ouverture sur son flanc droit pour ensuite la frapper. A l'aide de ma main droite qui est venue rejoindre ma gauche je fie une rotation de son poignet vers l'avant, ce qui la fit automatiquement s'abaisser, tête avant, j'en profitais pour lui donner un coup de genoux droit, en plaine tête, tout en lâchant son poignet, ce qui la fit monter en l'aire, puis déplia mon genou droit pour lui porter un coup encore plus violant, qui la monta encore plus hauts.
La femme était maintenant inerte en plein air, in-extremis elle se rétablie en l'air puis me lança un petit couteau qu'elle prit de sous sa jupe.
Le couteau foncé littéralement sur moi. Pris par surprise, je n'eus pas le temps de l'esquiver je devais parer. Je levais mon coude droit à hauteur de mon visage et la lame se planta dans l'avant bras. Surement jeter avec beaucoup de force pour que celle-ci ressorte de l'autre côté. La pointe du couteau était au bout de mon nez. Qui me fit tomber a terre. Juste après le coup, je me relevais puis retira la lame. Pendant se lapse de temps la femme c'était déjà enfui je la voyais qui courrait vers l'extrémité de la rue où il y aurait surement toute la population.
Je jetai son petit couteau a terre, puis essaya de la suivre en courent.
Je pouvais entendre mes bruit de pas qui scintiller avec le bruit de l'eau, l'or ce que je courais dans une flaque, d'ailleurs la pluie c'était adoucie. Il pleuvait de moins en moins, ce qui me donnait une meilleure visibilité. Pendant que j'essayais de suivre la jeune femme, je me posais tout un tas de questions.
*Elle a dit qu'elle voulait s'amuser alors pourquoi avoir fuit ? Si elle voulait vraiment s'amuser elle aurait pus continuer le combat, peut être qu'elle a dû être forcé de quitter le combat ? Ou alors elle voulait vraiment s'amuser et après le coup que je lui es porté, elle a dû avoir peur et a pris la fuite. Non mon coup n'était pas très puissant ! Puis ce petit couteau, vraiment intelligent de l'avoir placé sous sa jupe, je ne mis attendais vraiment pas. En avait telle d'autre ? Je ne pense pas, ou alors encore un ou deux pas plus. *A la fin de ma cogitation, j'avais enfin réussit à rattraper la jeune femme. Je lui criai de s'arrêter.
Je fus surpris en premier temps, car elle s'arrêta belle et bien, mais la femme était entourée de par tous les horizons d'une masse de gens qui eux vivait leur propre vie.
La femme se retourna puis commença à courir vers moi, mais fut très vite stoppé par la foule. Elle se mit alors a crié puis, après quelque minute, la foule de gens s'apaisa ne restent plus qu'elle, elle put alors courir vers moi.
Les gens avaient compris qu'il s'agissait d'un combat. Au fur et à mesure que le combat durait les gens se poussaient d'entre nous, ce qui forma un périmètre.
Après de nombreux coups nous, nous étions séparées pour prendre un peu de recul. J'étais à environ 5~6 mètres d'elle.
Quand elle me chargea frontalement, pour me redonner un coup-de-poing droit, je me préparais pour parer le coup quant à la dernière minute elle se baissa.
*Une feinte !* Une fois baissait, elle se trouvait a hauteur de mon ventre, elle me donna 3~4 coup-de-poing paume ouvert. Qui eu pour effet de me retourner les boyaux, ou plutôt de m'attaquer de l'intérieur. Puis en se relevant elle me donna un coup-de-poing au niveau du menton, qui me fit monter dans les airs. La femme fit un semi saltos puis en ayant pris appuis sur ses mains m'éjecta à l'aide de ses pieds. Je fis un long vole planais avant de retomber au sol.
La fuite forcée
Je me relevai, frotta, mais vêtement aux parties sales, puis lui annonça de venir, la femme ne compris pas tout de suite, alors je répétais.
« Viens ! Amène-toi ! » La femme fonça sur moi, 5mètre, 4 mètres, 3 mètres, 2 mètres, elle se trouvait maintenant dans mon périmètre d'attaque. Je levais mon genou à hauteur de mon torse. La femme stupéfaite s'arrêta. Je dépliais mon genou et mon pied se posa sur son épaule, en rabattant ma jambe je pris sa tête par sa nuque à l'aide de mon pied, puis accompagna, son vissage lors de sa descente. Son visage s'explosa par terre ce qui la fit saigner dû nez et esquinta son visage
Je fis quelque saut en arrière pour me remettre a distance respective au cas d'un attaque venant de ça part.
Après de longue minute, la femme se releva avec beaucoup de mal. Surement dut au choque subit par mon coup.
Je me mis en position de combats, quand j'entendis un vois, venant de derrières moi qui criés.
« Et toi la ! »Je me retournai pour voir, qui disait ses mots quand je vis un homme en costume noir à chemise blanche.
*C'était surement des gens qui en avaient après moi* Ce sont des gens qui me recherchent mais bizarrement cela, ne me rechercher pas. Il en avait après la femme.
L'homme fit signe a d'autre compère de le suivre tout en montrant du doigt que la femme qu'ils recherchaient était là.
La femme après avoir entendu ses mots pris la fuite, en se dissimulant dans la masse de gens. Je suis restée en retraie pour m'occuper de s'est hommes, de toute manière il me suffit de suivre les gouttes de sang pour la retrouver.
Deux hommes venant de front voulant la suivre vinrent à ma rencontre. L'un avec un katana en main, tendit que l'autre n'a rien.
Le premier homme en costume celui qui ne possédait pas d'arme passa juste à coter de moi, arriver à ma hauteur je lui mis un coup de coude dans sa nuque. Il tomba tête la première vers le sol, puis une fois a terre y resta.
Le deuxième homme celui avec le katana qui était en arrière se stoppa pour observer la scène et à la fin de celle-ci se jeta sur moi à l'aide de son sabres.
L'homme en costume fonça sur Ao en laissant toucher le point de son katana par terre.
Arriver à sa hauteur cet homme leva le sabre, en diagonale de gauche à droite, Ao recula alors sa jambe gauche d'un pas en arrière pour ainsi s'allonger en arrière de quelque centimètre. Le katana lui passa a ras du visage. L'homme s'arrêta le bras tendu diagonalement en haut à droite puis rabaissa son bras toujours diamétralement, Ao recula cette fois-ci sa jambe droite, pour esquiver. Ao pris le poignet de l'homme et le fit pivoter vers la droite, laissant ainsi sa garde à nue.
Elle profita pour lui donner un coup de genoux dans l'estomac. L'homme laissa tomber son katana avant que lui-même tombe à terre, Ao ne laissa pas le temps au katana de touchait le sol qu'elle le reprit en plein vole.
La pluie continua de tomber par petite gouttelette, je me fondis dans la foule pour essayer de retrouver la trace de cette femme et pour ainsi terminer le combat. J'avais désormais un katana en ma possession, mais bon il ne me servira probablement pas. Comme je ne sais vraiment pas manier cette si jolie arme, je ne connais qu'à peine les bases. Tout en continuer les recherches je me mis à penser.
*Elle voulait s'amuser, cette phrase résonner de plus en plus, dans ma tête au fur et à mesure que je la cherchais. Le fait qu'elle avait dit ça, été peut être vrais, en tout cas de nombreux facteurs le montrer.
Le fait qu'elle aussi, soit recherché par des gens, qu'elle sait beaucoup mieux se battre que les autres.*Je suivit les traces de sang quand, arrivé à un carrefour, celles-ci s'arrêtèrent. J'émis l'hypothèse qu'elle aurait surement pris a droite. Comme 77% de la population est droitier, et qu'après avoir analysé ses mouvements j'ai pu remarquer que elle aussi l'était, et que dans une éventuelle fuite sous la prise de la panique l'ont ne réfléchit pas, l'on pense en priorité à se cacher. Donc par conséquence elle aurait pris à droite.Au bout de quelque minute de marche, je l'avais retrouvé elle était là sur un banc en train de reprendre son souffle ou de se reposer. Je me mis à courir dans sa direction. Quand elle m'a reconnut, elle se leva puis se mit à courir, voulant surement m'échapper.
L'on était retirés de la ville, je ne sais pas exactement ou l'on se situe, mais une chose était sûre. C'est que l'on était plus que tous les deux.
Après quelque minute de course poursuite j'an avais mare je décidais de jetais mon katana sur elle pour essayer de la tuer.
Le katana volé en ligne droite, dans sa direction, juste avant que le sabre arrive sur elle, elle sauta en l'aire se posa sur un rempare de toiture, ainsi esquivent mon katana qui se planta dans le mure. Je courus dans sa direction puis pris appuie sur le katana et à l'aide de celui-ci me retrouva sur la toiture en face de cette jeune femme, pour en finir une bonne foi pour tout.
Combat Finale
L'on était chacun à une extrémité de la toiture, la pluie c'était complètement arrêté. La pleine lune briller d'un tel éclat qua elle seule suffisait pour nous éclairer.
Mais blessures n’était que légères, quant à elle. Je supposais que ça n'allait pas fort pour elle vue a quel point elle a eu du mal à se relever lors de ma dernière attaque, ça allée être un combat rapide.
La femme se tenait a quelque mètres devant moi, la lune qui la surplombée la rendait encore plus belle et resplendissante qu'auparavant. Une brise de vent passa sur le futur terrain de combats et une fois celle-ci fini je lançai l'offensive.
A chaque pas que je fessais l'on pouvait entendre les tuiles qui bougeaient, arriver à sa hauteur je lui donnai un coup-de-poing au niveau du ventre, elle sauta pour l'esquiver, puis à l'aide de ses pieds pris impulsion sur mon avant bras droit qui était encore tendu et elle fit un salto en arrière puis se rétablit dans les aires et une nouvelle fois ressortie un petit couteau de sous sa jupe et me le lança. Le petit couteau arrivait à grande vitesse sur moi, mais cette fois si, j'y étais un temps soi peut préparer, au cas où. Et il me suffisait pour moi de faire un pas sur le coter pour l'esquivait. Et alors le petit couteau se planta dans la toiture. La femme était maintenant dans les aires. Je ne sais pas si elle avait remarqué ou si cela était fait exprès, mais elle ne se trouvait plus en dessus de la toiture et aller donc par se fait jutait. Je sortie mon révolver et dans le mouvement d'extraction du révolver décocha une balles qui partit en direction de la femme. La balle se logea dans son épaule droit la déstabilisent. Elle en perdit son rétablissement. Une fois le coup partie je rangeai mon révolver, puis me mit dos à la femme sur le petit rebord. J'étais maintenant bras perpendiculaire au corps et parallèle au sol, bien tendu comme une forme de croix latine. Je pris une grande impulsion puis partie en arrière fessent un très long s'alto arrière je me retrouvais quasiment au-dessus de la femme qui était en trin de tomber. Et d'un coup sec et puissant je lui donnai un coup de pied ou plutôt de talon, au niveau de sa tête. La femme tomba en rouler bouler, plus rapidement vers le sol.
La femme était maintenant a terre tendit que moi j'étais encore dans les aires, au-dessus d'elle. J'étais bras toujours tendu, comme cette fameuse croix latine. Après un bref salto me trouvent ainsi jambes perpendiculaires à cette femme je me mis à parler.
« Voilà le coup de grâce. Le pilier de la mort ! » Mais pied s'enfoncèrent dans sa cage thoracique. Après quelque minute je m'enlevai de son torse puis me mis à penser
*Voulais-elle vraiment jouer avec moi ? Une chose et sur c'est que c'était un beau combat. * A la fin de ma réflexion je me sentais obliger de la soigner, mais je ne suis malheureusement pas médecin. Je posais mes doigts de telle manière que l'on aurait dit de l'acuponcture puis exerças un faible pressions sur ses parties interne qui sont le plus endommager, après répétition de cette action a plusieurs endroits et surtout apres de longue minute, je me relevai puis reparti en direction de la ville pour essayer de trouver un coin où je pourrais dormir.
*Mais blessures était plus grave que je ne l'imaginai, cela me fait tellement mal que j'ai du mal à marcher * Ao repartie en direction de la ville, tout en boitant et en laissant la jeune femme à terre. Elle savait très bien que le lendemain la femme se sentirait un peu mieux et pourrait au minimum marcher jusqu'à un endroit où qu'elle qu'un pourrait la soignée.