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Sujet: Fenrir le loup gris ! [ Terminée] Ven 2 Avr 2010 - 21:59
*Présentation du joueur * Voir mon autre compte, Walter C drake
*Présentation du personnage*
Nom : Lycan Prénom : Fenrir Pseudonyme : Le loup gris Race : Humain Age : 26 ans Occupation : Des choses pas très catholiques Camp : Piraterie Métier : Meurtrier Fruit du démon : Yougan Yougan No Mie : Permet de transformer son corps en lave et d'en générer. Haki : Peut être un jour Armes : Une lame accrochée à son poignet Rêve / But : Être connu comme le loup blanc
.::. Physique .::.
Spoiler:
.::. Physique .::.
Aspect général
C’est un jeune homme de 25 ans, qui peut se vanter de ne pas avoir était louper par mère nature. Au fil des années il a réussit à tailler son corps avec une musculature très bien proportionnée, lui permettant d’allié gracieusement robustesse et souplesse. Le tout réparti sur un bon mètre quatre-vingt-cinq de haut. Pour garder son physique, chaque jour il passe environ deux heures à faire des exercices physiques, principalement du renforcement musculaire. Nonchalant et fainéant par nature, sauf exception il en fait le moins possible jusqu'à’ à avoir la flemme de marcher correctement préfèrent trainer les pieds. Il a adopté un style vestimentaire assez décontracté dans lequel il peut se mouvoir sans aucune contrainte, privilégiant le plus souvent les hauts sans manches. Il affectionne particulièrement les vêtements de couleurs noirs ou blancs. Il ne se sépare jamais de son collier de cuirs ainsi que de ses gants, seuls souvenirs de ses défunts parents. Autre bijoux qu’il ne quitte jamais, deux boucles d'oreilles dont la couleur est étrangement la même que ses yeux. A le regardait marcher dans la rue avec les mains dans les poches, une tête mal réveillé et ses cheveux en pétard, il apparait aux yeux des gens comme LE glandeur par excellence.
En detail
Le plus frappant pour une personne le croisant, est sans nul doute sa paire d’yeux rouge sang disant long sur le personnage et surtout faisant froid dans le dos, ne font qu’accentuer son regard perçant, qui provoque généralement un malaise chez beaucoup de gens. Certain pense que la couleur de ses yeux est un des deux signes physique de la présence de sa seconde personnalité enfoui au fond de lui, le rouge traduisant son insatiabilité désir de sang !
Si on pense à relever un tant soit peu la tête on remarque une touffe de cheveux ébouriffée poivre sel, peut courante pour une personne de son âge, ce mystère pousse les gens à croire qu’il s’agit là aussi d’une manifestation de sa deuxième personnalité, laquelle toujours celons leurs dires est certainement plus âgée, ainsi la couleur poivre sel prendrait tout son sens. Son visage est comme le reste de son corps totalement imberbe, celui-ci possède une forme assez fine se terminant par un menton légèrement pointu
Son torse musclé, est parsemé de nombreuses cicatrices et séquelles reçus durant les rixes en prison. La plus flagrante ce situe dans le dos, signe de lâcheté totale. Faites par un prisonnier d’une bande rivale, à profiter que Fenrir sois dans les douches pour lui assené un coup de poignard entre les omoplates. Heureusement le coup ne lui fut pas fatal toutefois, il en gardera une cicatrice pour le restant de ses jours.
.::. Caractère .::.
Il faut tout d’abord prendre conscience que Fenrir est atteint de Schizophrénie depuis son adolescence.
Sa première personnalité est un jeune homme mélancolique ayant passé une bonne partie de son adolescence à l’ombre d’un cachot. Alors que les autres enfants continuaient d’aller à l’école lui était en prison et en à retenue beaucoup de principes et de règles. Fort heureusement il n’a jamais oublié non plus l’éducation de ses parents ainsi, il n’a pas perdu tout sens de vie en communauté, loin de là. D’abord, au premier regard, son air nonchalant nous saute au regard et fausse toutes idées sur lui, loin d’être lent comme un escargot et ne porter que du dédain au monde qui l’entour, c’est un garçon très attentif à ce qui l’entour, et il est loin d’être lent comme un escargot quand il a une idée en tête, d’ailleurs c’est une vraie tête de mule.
Ensuite, après une petite analyse on se rend compte que sous son air décontracté ce cache en réalité un jeune homme, timide et pessimiste, qui en a trop vu pour pouvoir faire confiance facilement, préfèrent prendre du recul envers les nouveaux venue, le rendant à la limite hautain. Lors des premières rencontrent, difficile de savoir sur quel pied dansé, est-il froid ? Ou Hautain ? Au vu de son entourage il est perçu comme quelqu’un toujours prêt à rendre service mais ce voit vite confronté à sa grande faiblesse, sa paresse sans égal. Préférant au travail des activités bien plus valorisante pour lui, comme faire une bonne sieste au soleil ou encore bronzé. Autre défaut non moins important toujours aux yeux de ses proches, c’est un sacré bavard. Malgré quelques défauts il est connu comme quelqu’un de fort et fidèle en amitié.
Cependant, même à ses proches, il n’aborde jamais le sujet de son adolescence passée en prison et encore moins celui de ses parents, le simple fait d’y faire allusion le fait rentrer dans une rage folle. Lorsque que cela arrive et son passé resurgi à la surface, il n’a pas d’autre choix que de s’isoler. Son lieu de prédilection étant les toitures, le fait de voir les gens s’activaient en dessous de lui comme une véritable fourmilière tout en captant les nombreux bruits émanant de la ville l’apaise pour une raison inconnue.
Il éprouve un profond sentiment de respect pour tout se qui ce rapporte à la nature, et plus particulièrement les animaux qu’il trouve beaucoup moins fourbe et cruel que les hommes.
Spoiler:
Sa deuxième personnalité est beaucoup plus sombre et surtout plus sanguinaire. Elle surgit quand ce dernier est confronté à la mort ou quand la colère le submerge. Il se retrouve tel possédé et sa seule envie est d’étanché son insatiable soif de sang. Lors de cette transe, il se retrouve alors témoin impuissant de sa folie, cela n’altère en rien sa mémoire et il reste toujours conscient. Mais dans l’état actuel des choses, il ne peut contrôler ses actions. Ca première manifestation intervint lors de sa seizième année, par rage il tua son codétenu en lui arrachant la carotide.
Il semblerait que cette folie qui s'empare de lui trouve sont pouvoir au fond de lui, la ou se trouve tous ses sentiments noirs regroupant aussi bien la mort de ses parents que les années passées au cachot. Lors des phases de démence , ça plus grande crainte est de tuer un de ses proches, c’est pourquoi il cherche désespérément un homme pouvant l’aider à se contrôler.
Dernière édition par Fenrir Lycan le Jeu 8 Avr 2010 - 14:13, édité 9 fois
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Sujet: Re: Fenrir le loup gris ! [ Terminée] Ven 2 Avr 2010 - 22:19
.::. Histoire .::.
La venue au monde du louveteau
Spoiler:
Cette nuit la, le temps était épouvantable, le vent soufflait par rafales et dans le même temps une pluie diluvienne s’abattait sur la ville de Shell Town. Alors que tous les habitants étaient calfeutrés chez eux pour échapper à la tempête, deux hommes déambulaient dans l’avenue principale avec la plus grande difficulté en direction des quartiers populaires. Ils couraient avec toutes les peines du monde, l’abondante pluie rendait les pavés de l’avenue si glissante qu’un des hommes trébucha, relevé aussi tôt par le second. Le vent mêlé à la pluie privait toute discutions possible et la visibilité était nettement réduire, pourtant une motivation inconnue les poussai à aller de l’avant. L’homme de tête malgré un impair lui couvrant le corps de la tête aux pieds laissait transparaitre un corps bien plus massif que son compagnon de course, ce dernier paraissait même chétif à certains moment comme lorsqu’il trébuchait. Cependant même les chutes les plus spectaculaires ne lui firent pas lâcher sa mallette qu’il tenait fermement dans sa main droite.
Apres avoir bravé la colère des éléments et des pavés, les deux hommes arrivèrent devant une petite échoppe dans un piteux état, leur destination. Tandis que l’homme de tête rentra avec perte et fracas dans la bâtisse, le second resta dehors, plié en deux par la fatigue. En observant de plus prés on pouvait remarquer que ses habits avaient durement souffert de l’escapade, de nombreuses déchirures ou salissures les rendaient bon à mettre les vêtements aux feu. Pendant que ce dernier tentait de retrouver son souffle, il fut tiré violement par son prédécesseur à l’intérieur. L’endroit était une petite échoppe sans prétention du quartier populaire des docks. On y vendait uniquement des petits articles et fournitures de la vie courante dans un confort très sommaire. Le nouvel arrivant ne pu s’empêchait de remarqué les multiples infiltrations d’eau de par et d’autre, la vétusté de la construction ne permettait plus de supporter de telles intempéries. Évidemment le vent aussi était de la partie s’infiltrant de toutes parts comme dans un gruyère.
Sans même pouvoir prendre le temps de se déshabillé, l’homme était déjà amener au lieu de son intervention, la chambre. C’est ici que tout l’avenir de Fenrir se déroulait, car il s’agissait ni plus ni moins que de sa naissance ! Son père avait du traversez toute la ville pour trouver un médecin qui puisse assister l’accouchement, tâche remplie avec succès âpres une nuit entière de suspense, Fenrir Lycan était enfin né !
Le loup sort de sa tanière
La vie était de plus en plus dure, le père de Fenrir à lors matelots sur un navire marchand devait prendre la mer pour des périodes de plus en plus longue, pour pouvoir assurer les besoins de sa famille. Dans ce contexte difficile, sa mère nu d’autre choix que de l’élevé seul durant la majeur partie de son enfance. C’était un garçon assez turbulent, toujours à cherché à faire de nouvelles bêtises. Cependant sa mère l’aimait plus que tout au monde et lui pardonnait tout ses excès d’énergie. Une forte amitié c’était crée avec les autres enfants du quartier, se retrouvant tout les jours âpres l’école pour jouer insatiablement aux méchants pirates et gentil marine. Bizarrement Fenrir était très doué dans le rôle du pirate …. . Les années passèrent et déjà Fenrir avait quelques bonnes gourdes à son actif, la plus célèbre était celle où il fut pris la main dans le sac à voler une pomme sur le marché, ce qui lui valut une sacré correction de la part de sa mère. Les autres parents du quartier voyaient déjà en lui l’âme d’un chenapan, et ils commencèrent à regarder de plus près les faits et gestes de ce dernier pas peur qu’il gangrène leurs enfants. Son père à chaque retour paraissait prendre dix ans, son boulot l’épuisait, le rongeait jusqu'à la moelle. Fenrir à son insu entendit plusieurs fois de violente dispute entre ses parents qui le pensaient absent ou en dormis, et cela chaque fois que son père allait prendre la mer. Il était trop jeune pour en saisir tout le sens à l’époque.
La fin du vieux loup de mer
Alors qu’il entamait l’année de ses 16 ans, Fenrir avait pris au cours des dernières années du poil de la bête, se dirigeant calmement mais paisiblement vers l’âge adulte. Avec l’âge il c’était tout de même assagi, en cours il laissa la place du cancre pour celui du rêveur, il aimait par-dessus tout lire des histoires sur les grands marins et pirates ayant bravé la mer de tous les périls, le Grand Line ! Ce soir la l’ambiance était bonne à la maison, les affaires marchaient correctement à l’échoppe, mais surtout son père revenait d’un périple en mer de plus d’un an comme il l’avait annoncé un mois plus tôt dans une lettre qu’il leur avait adressée. Alors qu’il attendait impatiemment la venue de son père, sa mère paraissait depuis quelques jours de plus en plus inquiétée, mais pourquoi ? Avec l’âge il avait compris un bon nombre de choses y compris que son père menait une activité parallèle à celle de marin mais sans pour autant savoir précisément de quoi il s’agissait.
Les heures passaient et toujours aucun signe de vie, l’ambiance était devenue lourde dans la petite maison, sa mère tremblait de tout son corps, à cette vue Fenrir commença lui aussi à stresser. Au même moment la pluie commença à tombait de plus en plus bruyamment sur le toit de la maison, l’ouverture des volets laissait apparaitre le temps d’un instant des éclairs au loin. Mauvais présage Brutalement la porte s’ouvrit, elle fit sursauter les deux occupants, devant l’entrée se tenait un homme dans l’ombre de la nuit. Sans dire un mot les trois figurant se regardèrent à travers la nuit, un éclair releva l’identité de l’homme, c’était Jack, le père de Fenrir. Mais pourquoi se tenait-il comme ça sans bouger devant la porte ? Alors que le jeune homme se précipitait dans sa direction, Jack s’écroula sur le pallier. Aussi tôt, la mère et le fils le trainèrent à l’intérieur, ne remarquant même pas la large trace de sang que laissait Jack à son passage. L’homme était dans sale état, couvert de sang. Pendant que Luna, se précipita dans la cuisine cherchais de quoi le soigner. Pendant ce temps le jeune adolescent tentait de savoir ce qui lui était arrivé mais malheureusement jack prononçait que des semblants de phrases totalement incohérente et dépourvues de sens, en répétant régulièrement « Ils m’ont trahi ». Mais son fils ne chercha pas à comprendre le sens de ses mots, le plus important pour lui était de le tirer d’affaire. Mais ils ne tardèrent pas à comprendre ce qui arrivait à Jack, au loin retentissaient les cris de nombreux hommes, terrifié Fenrir ferma la porte à double tours et éteignit la lampe à huile pensant naïvement que les hommes passeraient leur chemin. Evidement ce ne fut pas le cas. Trois grands coups déchirèrent le silence qui régnait jusqu’ici dans la petite maison. A la grande surprise du jeune garçon, il s’agissait de la marine, emmenée par le lieutenant Rawell. Mais que se passait-il ? Qui était-ce réellement son père ? Des dizaines de questions défilèrent dans la tête de Fenrir. La porte vola en éclat et les marines s’engouffrèrent violemment dans l’échoppe ravageant tout sur leur passage, d’instinct, le fils de Jack s’interposa et frappant le premier des marine avec un coup de poing, la rage l’envahit quand il vue que les marines jetèrent sa mère à même le sol, la lynchant de coup de pieds , se défendant du mieux qu’il peut il réussit à coucher un autre marine avec l’intervention de Rawell lui-même qui lui mit un violent coup avec sa crosse dans l’abdomen qui lui fit perdre rapidement connaissance. Sa dernière vision fut l’image de sa mère couverte de sang le bras tendus essayant d’attraper son mari.
A son réveil, il se trouva dans une cellule puante la pisse et la merde, avec un autre prisonnier qu’il n’avait jamais vu auparavant. Ce dernier affichait un large sourire tout en pointant du doigt la petite fenêtre de la geôle qui donnait vu sur la place principale, là était suspendu à un échafaud son père.
Spoiler:
Les loups ne font pas des chats
La rage le pris une nouvelle fois, essayant de toutes ses forces de briser les barreaux mais en vain, derrière lui son compagnon de cellule partit dans un fou-rire ce qui le rendit hystérique. L’autre détenu était bien plus grand et massif et surtout n’avait que 16 petites années, mais la trentaine bien passée, lorsque Fenrir bondit sur lui pour se battre il l’arrêta aisément en le jetant contre les barreaux, mais cela n’arrêta pas le jeune garçon pris dans une démence folle. En le revoyant revenir à la charge il prit la chose plus au sérieux sans pour autant enlever son effroyable sourire. Une nouvelle fois il pensa attraper aussi aisément le jeune homme, mais ce fut son erreur, le garçon se jeta sur lui avec une telle force que l’homme fut complètement déséquilibre et s’écrasa contre les barreaux. Ayant pris un net avantage, Fenrir frappa à plusieurs reprise la tête de son Codétenu contre les barreaux, pendant que ce dernier tentait de le contenir en l’étranglant. C’est Alors que l’adolescent lui creva les yeux à l’aide de ses doigts, le prisonnier lâcha immédiatement toute prise et un horrible cri d’effroi et de douleur sortit de sa bouche. Mais dans sa démence l’adolescent ne s’arrêta pas, et par commettre l’irréparable, en lui arrachant comme un loup le ferait sur sa proie la carotide du pauvre homme. Toute cette agitation avait alerté les gardes, peu présent dans un niveau de sécurité si faible, généralement étaient enfermés ici les voleurs et petit malfrats ou ivrognes troublant l’ordre public. A leur arrivée, ils découvrirent l’homme en fin de vie suffocant dans son propre sang et dans la pénombre de la cellule, Fenrir recroquevillé sur lui-même était couvert de sang.
Après un violent lynchage il fut transféré dans un niveau bien plus profond de la prison, celui réservé aux criminels et violeurs. La nouvelle avait déjà fait le tour de la prison et bientôt tout le monde le surnomma le Loup gris, en référence à sa couleur de cheveux mais aussi à la teinte que ses yeux avaient pris depuis ce jour.
L'homme est un loup pour l'homme
Voila maintenant dix ans que Ferir était emprisonné, sa peine était enfin purgée, durant ces dix années le louveteau était devenu un véritable prédateur, la prison lui laissa bon nombre de séquelles aussi bien physiques que mentales. Elevé au milieu de tueurs en tout genre il avait beaucoup appris au milieu des malfrats et s’était tissé un solide réseau de contact. Lors de son premier jour dehors, il était complètement déboussolé, ne reconnaissant plus la ville, ni les gens l’occupant tout avait radicalement changeait. Le plus dur dans un premier temps fut de s’habituer à la lumière aveuglante du soleil, pour lui qui avait vécu dix longues années sous terre. Toutefois il reconnut assez vite les grandes artères de la ville qui n’avaient pas grandement changé durant les dix longues années d’emprisonnement il n’avait eu aucune nouvelle de sa mère, ni de personne d’ailleurs. La seule chose qu’il sut c’est le pourquoi de la mort de son père, acte de piraterie. En prison pour celui qui sait écoute les bonnes choses, un nombre infini d’information circule, plus ou moins vraies et plus ou moins précise. Selon les rumeurs qui couraient dans la prison et dieu sait qu’il y avait des rumeurs, Jack Lycan officiait comme pirate dans un petit équipage qui sillonnait South Blue. Et toujours selon les même rumeurs, Et toujours selon les mêmes rumeurs, l’un des membres d’équipage avait été attrapé, et pour éviter l’échafaud il avait balancé Jack comme étant le capitaine de d’équipage. Durant son long séjour, un des gros caïds l’avait pris sous son aile, voyant en lui un grand potentiel de tueur, et par le biais de cette amitié, il réussit à obtenir une information vitale, un nom, Tony les 3 couteaux, en référence aux armes qu’ils portent toujours sur lui.
Mais avant toute chose il décida, de se rendre à l’échoppe familiale, dans l’espoir d’y trouver sa mère. Le quartier avait comme tout le reste de la ville grandement changé, difficile de reconnaitre les anciens terrains de jeux, laissant place maintenant à des maisons et immeubles de toutes parts. Arrivais devant la boutique, cette dernière était devenue une ruine. Il ne put s’empêcher de verser une larme, quand il vit les nombreuses inscriptions marquées sur la façade « Mort au pirate ! » « Un bon pirate est un pirate mort » « Tel père Tel fils ! », et beaucoup d’autres que le temps avait effacées.
Pourquoi tant de haine ?
Surpassant son angoisse il voulut entrer mais une vieille femme l’interpella par son prénom au même moment. En se retournant il put voir la vieille femme, un visage familier mais impossible de mettre un nom dessus. Toutefois à sa demande il la suivit chez elle, sans pour autant lui faire entièrement confiance. Une fois dans la petite maison, ce sentiment de déjà vu lui fit ressortir bon nombres de vieux souvenirs. Puis cela lui revint, il s’agissait d’une dame qui venait tous les jours à l’échoppe de sa mère, il gardait d’elle l’image d’une femme déjà assez âgée avec toujours un grand sourire et surtout d’une si grande gentillesse. Il ne put s’empêcher de lui demander ce qui s’était passé durant ses dix années d’absence. Une fois le thé servi, elle commença son long récit.
Suite à l’exposition en public du corps de son mari, tout le monde lui tournis le dos, lui faisant des coups dès que possible, la femme d’un pirate, une honte aux yeux de tous ! Son échappe n’avais plus aucun client, elle réussit à tenir une longue année cette pression puis, décida de se pendre un soir ne pouvant plus supporté une telle vie.
Fenrir était effondré, si ce jour là il avait pu réprimer ses sentiments de haine peut être que sa mère serait toujours en vie à l’heure actuelle. La veille dame alla chercher les dernier effets qu’elle avait pu récupérer avant que toute l’échoppe soit pillée. Deux boucles d’oreilles rouges appartenant à son père et un collier en cuirs que posséda sa mère. La discussion terminée, le jeune garçon décida de quitter à jamais cette maudite île, mais avant il lui restait une chose à faire.
Dans la gueule du loup
En repartant, Fenrir prit la direction du bas de la ville, le quartier mal famé par excellence. Apres une longue marche, l’atmosphère joviale des quartiers populaires, laissa place petit à petit à l’ambiance si particulière, du bas de la ville. Ici régnaient différentes bandes se partageant le territoire et de nombreux pirates, trafiquants venaient prendre un peu de bon temps dans les divers bars ou bordels. La première chose à faire était de prendre contact avec une des nombreuses relations de son ancien protecteur de prison, il lui fournirait surement tout ce qu’il avait besoin pour mener sa vendetta. En entrant dans ce quartier Fenrir était lucide que y rentrait était chose simple, mais y ressortir et encore plus en vivant l’était beaucoup moins surtout après ce qu’il allait faire.
Son entrée ne passa pas inaperçue, repéré immédiatement pas les nombreux guetteurs, il savait qu’il devait faire vite pour rejoindre l’auberge « Chez soulard » où il trouverait en théorie son fameux contact. Il n’était jamais venu auparavant, par interdiction formelle des parents, maintenant il comprenait pourquoi. Comment pouvoir se repérer dans ce maudit trou à rat ? Évidement il ne possédait aucune carte, et les guides présent vous amenez pour un aller simple vers la mort. Il décida de prendre son courage à deux mains et de plonger dans la gueule du loup. Derrière lui le soleil déclinait lentement pour permettre à la nuit de poser son voile sombre sur la ville. La moindre chose qu’on puisse dire était que le quartier été sacrément sale ! Détritus, ordures, cadavres de bouteilles jongeaient l’ensemble de la rue, dégageant une odeur pestilentielle pour les pauvres naseaux de Fenrir. Sans s’attarder il marchait d’un rythme soutenu pour éviter d’être abordé par les nombreux marchands de babioles et les catins qui avaient connu beaucoup trop d’hiver à son goût. Il décida tout de même de resté sur l’axe principal, car les nombreuses ruelles étaient de véritable coupe gorge. Il aperçut même un pauvre homme se faire tabassé dans l’une d’elle. Il décida de passer son chemin, ce n’était pas le moment de se faire remarquer.
Arrivé en bas de la rue, trois chemins s’offraient à lui, mais lequel prendre ? Plus il hésitait, plus il sentait des regards pesant sur lui, à un moment une main lui agrippa l’épaule, par réflexe il tira sur la main faisant valser la personne devant lui. C’était qu’une pauvre catin, elle cracha une pluie de juron à mon égard. Sans prêtait beaucoup d’attention à ces injures, il reprit son chemin, mais elle m’interpela, quand elle dit qu’elle appartenait à « Tony les 3 couteaux » et que il avait signé mon arrêt de mort en la touchant ! La scène avait attiré de nombreuses personnes et pas que par simple curiosité. Quatre gros loubars, édentés et moches comme des culs, foncèrent sur lui, heureusement, ils étaient vraiment lents, alors que Fenrir commençait à prendre un net avantage , en ratatinant déjà deux d’entre eux et brisant le nez d’un troisième , le combat aller donc tournait court , mais dans son combat il ne vit pas derrière lui la meute venir en renfort, et avant qu’il ne puisse réaliser dans quelle situation il était , il se retrouva assommé par un violent coup de gourdin derrière les oreilles.
Une faim de loup
Son réveil fut difficile et douloureux, son cœur battait la chamade comme jamais, il était proche d’une nouvelle crise de démence. Avec difficulté il ouvrit les yeux, sa tête était grosse comme une pastèque, ses kidnappeurs avaient bien profité de sa situation pour le lyncher, à moitie nu, couvert de bleus et de blessures, Fenrir était suspendu par les bras et solidement attaché par un cordage au plafond. A son grand malheur, l’un de ses bourreaux jouant aux cartes avec ses acolytes, s’aperçus de son réveil. Les hommes parlaient et s’activaient mais impossible de savoir ce qu’il disait, sa tête lui faisait atrocement mal, et ses oreilles bourdonnaient. C’est alors qu’une porte s’ouvrit, en face lui un homme apparut, à ce qu’il put voir, il était habillé d’un haut bleu et avait des cheveux roux, qui était-il ?
Il ne tarda pas très vite à le savoir, l’homme resta les bras croisés devant lui affichant un large sourire pendant que le jeune homme subissait un interrogatoire pour le moins musclé ! Au début ne lâchant pas un mot pas le moindre gémissement, il ne put toutefois contenir son autre soi, qui réclamait son dû de sang. Il posa toutefois une question pendant qu’il était en état de le faire, où se trouvait « Tony les 3 couteaux » ? C’est alors que l’homme au fond de la pièce éclata de rire, et demanda pourquoi il le cherchait ?
Ce fut le déclic, la machine ce mit en marche, trop tard pour l’arrêter, la soif de sang, de justice, de vengeance était trop forte ! Son sourire était tranchant comme une lame et ses yeux couleur sang mirent dans un premier temps mal à l’aise les brutes, alors Tony leur ordonna de le battre jusqu'à ce qu’il dise pourquoi il le cherchait ?! Le premier des hommes de main qui s’élança sur lui le poing en avant pour le frapper mais d’un geste souple et rapide Fenrir l’attrapa avec ses deux jambes et commença une lente strangulation. Il avait prévu la réaction des quatre autres exécutants, ils tentaient de dégager leur collègue en tirant, chose stupide, car le jeune homme tira lui aussi de toutes ses forces sur les liens, qui ne résistèrent pas longtemps à une telle pression. La chute fut violente envoyant valser tout le monde y compris le jeune homme, mais il fut le premier à se relever et commença sa danse macabre, il sauta sur le premier venu lui crevant les yeux, tout en pensant à récupérer au passage la lame de ce dernier, il fonça droit dans le tas. Tranchant, crevant, coupant, perforant. Le boss appela l’ensemble de ses hommes présents sur les lieux, mais ils étaient trop peu nombreux, pour contenir la bête, voyant que cela ne tournait vraiment pas à son avantage, Tony prit rapidement la fuite pour aller chercher des renforts. Derrière lui s’élevaient les cris atroces de ses hommes qui se faisaient massacrer dans un bain de sang, le sang giclait partout sur son passage, vitres, murs, sol, plafond. Tout le monde passa sur le fil de son épée, même les catins et les enfants employés en tant que Pickpocket. Quand plus rien ne sembla encore en vie, Fenrir décida de quitter les lieux à la recherche de sa cible, cette dernière était couverte de sueur et avait le front en sang suite à une chute, il ne savait pas par où aller et se retrouva bien vite pris au piège dans son propre entrepôt, contre une porte fermée par un cadenas. Se retournant couteau à la main il comprit que sa seule chance de survie était l’affrontement. Les bruits de pas de Fenrir résonnaient dans l’entrepôt maintenant vide de toute vie hormis le prédateur et sa proie. Tony dégoulinant de sueur, tremblait comme une feuille, il n’avait jamais vu pareil démon, et de plus il ne savait toujours pas pourquoi il en avait après lui !
La tension fut à son comble lorsque les bruits de pas ne se firent plus entendre, complètement déboussolé, Tony alla se cachait derrière une caisse attendant son ennemi avec sa lame, à son grand dam, le prédateur était déjà présent, mais pas à l’endroit où il l’espérait. Fenrir était juché sur la caisse juste au-dessus de sa victime d’un bond il se retrouva derrière lui le temps que ce dernier face volte face il se retrouva projeter contre la porte en bois. Il eu à peine le temps de secouer la tête la tête pour retrouver ses esprits que la bête se jeta sur lui, les pieds en avant, ce qui le fit traverser la porte en bois pour de bon.
L’arrière du hangar donnait sur les anciens quais depuis longtemps désaffectés. Cherchant désespérément du regard une aide possible, pas âme qui vive ici, où étaient ses hommes de mains ?! Il n’aurait jamais de réponse à sa question. Alors qu’il était assis sur son cul les yeux vides, Fenrir lui attrapa violemment sa gorge et le souleva du sol, dans une lente mais puissante strangulation il senti sa vie s’échapper de lui, et il ne pu prononcer qu’un mot
« Pourquoi… ? ». Avant de sombrer dans l’au-delà.
Spoiler:
Fenrir lâcha le corps inerte qui atterrit dans le port, et qui ne tarda pas à flotter à la surface. La bête avait enfin quitté son corps reput de sang et de vengeance.
De nombreux ce firent entendre devant l’entrepôt, sans doute le reste des hommes de Tony le macchabé. Il ne devait pas trainer davantage dans les parages, où cela risquerait de le conduire à sa perte. De plus une telle affaire ne pourra rester sans impliquer la marine. Bien plus qu’un souhait maintenant une obligation, il devait quitter l’île au plutôt. A son habitude il prit de la hauteur et traversa le quartier sur les toits, il regarda une dernière fois la ville s’égaillé de 100. Lumières et disparut.
C’est ainsi que commencèrent les péripéties du jeune loup
Fin
Dernière édition par Fenrir Lycan le Jeu 8 Avr 2010 - 14:09, édité 2 fois
Flame D Elric Sous Amiral
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Etant donné que tu souhaite obtenir un fruit avec Walter, ton premier compte, je vais fixer arbitrairement la barre de fruit du démon pour ce compte à 5.
Si il s'avère que le fruit de Walter soit inférieur à 5, je reverrai à a hausse ce barème.
En attendant d'en savoir plus, je donne ma validation.
Okama Momifié Nouveau
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Sujet: Re: Fenrir le loup gris ! [ Terminée] Jeu 8 Avr 2010 - 14:39
je valide
Cyanure Pirate légendaire
Profil Psy : Mauvaise jusqu'à l'os! Nombre de messages : 2460 Fruit du Démon : Toro Toro no mi
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Sujet: Re: Fenrir le loup gris ! [ Terminée] Jeu 8 Avr 2010 - 16:10