Nom & Prénom : L. Melkor , Mordred
Pseudonyme : Le faucheur
Age[b] : 29 ans
[b]Race : Humain
Occupation : Pirate
Rang Spécial : aucun
Métier : Cuisinier
Physique : Mordred n’est surement pas la personne que l’on souhaite rencontré la nuit, tout seul. Si vous l’apercevez juste, vous croirez à un fantôme, mais vos yeux vous aurez trompé. Et s’il apparait devant vous, ce qui vous viendra a l’esprit sera peut être les mots de, « vampire », ou de, « mort ». De taille très grande, vers le mètres quatre-vingt quinze, mais non déterminé avec exactitude, ce sera d’abord et surement, le teint de sa peau d’une blancheur qui en est presque maladive, qui vous intriguera, puis alors vos yeux se tourneront vers les siens, et une couleur bleu-grise, presque hypnotique, vous captivera. Tel un oiseau cherchant sa proie, ses cheveux très long et d’un noir de jais semble pouvoir l’emporter partout ou il le désire, en volant aux grés de ses pas et du vent, derrière lui. Sa carrure n’est pas vraiment ce qu’on pourrait appelé de musclé, Mordred est tout simplement assez fin voir maigre, mais c’est une silhouette tout en muscle, et même s’ils ne sont pas gros, ils se trouvent être puissant. Ne jamais se fié aux apparences. Toujours habillé de noir, son grand manteau au col relevé et dur, qui ne laisse entrevoir qu’au plus bas, une boucle d’oreille complexe, ne le quitte jamais dans ses déplacement, et ce manteau qui descends jusque aux genoux laissent apparaitre un jean tout aussi noir qui se termine sur des chaussures encore plus noir légèrement relevé.
Caractère & morale : Ni haine, ni peur, ni vengeance, ni colère, ni tristesse, ni rancune. Point d’amour, d’amitié, de joie, de rire. Un robot? Un monstre? Non, un humain qui est pourtant comme tant d’autre. Un cœur depuis longtemps changer en pierre. Une glace impossible à réchauffer à imprégner son cerveau. Aucun sentiment, est synonyme pour lui d’aucune faiblesse, distant et le plus souvent seul. « Je suis tel un mur, froid et dur ». Sa phrase la plus connue, mais qui lui correspond aussi le plus. Mais Mordred n’est pas que cela. Très calculateur, très fin, il est aussi observateur, et vois souvent ce que d’autre n’on put voir. Un homme intelligent mais non rusé. Il ne fera jamais ses coups en douce, car il est aussi très direct. Enfaite il est tous ce qu’on attend d’un pirate de confiance au sein d’un équipage parcourant l’univers qu’il dit lui-même, corrompu, des eaux dangereuse des blue et de grand line, par la marine est tout autre forme qui se trouve être leur alliés. Mais socialement, il serait presque détestable. Vous pourriez le connaitre depuis très longtemps, être avec lui depuis autant de temps, et la vous penserez qu’il s’est attaché à vous. Et c’est la que vous commettrez une grande erreur. Car même si sa vous déchirerez le cœur, vous apprendrez qu‘il n‘est avec vous que pour passez le temps. Le jour ou une personne brisera les chaines de sont cœur, ou sont enfermé tout ses sentiment, si ce jour arrive, cette personne deviendra celle qui signera le destin de Mordred. Un destin de vie, mais surtout, un destin de mort, car la Mordred deviendrait une personne voué à vivre et à mourir pour cette personne. Mais est-ce que cette personne existe dans ce monde, et est-ce que leur vie se croisera….
Fruit du Démon : Ryuusei Ryuusei No Mie : (Paramécia du météore. LVL
Permet à son utilisateur de faire apparaître et contrôler des météores (pierres brulantes). Il peut bien sûr contrôler plusieurs météores à la fois, mais cela lui demandera plus de concentration. Concrètement, l'utilisateur peut ouvrir de sorte de portes informes et sans consistance à quelques dizaines voir centaines de mètres au dessus du sol dans lesquelles les météores apparaissent. L'utilisateur peut ensuite contrôler la trajectoire de ces rochers, à l'impact, les dégâts sont terribles.
Techniques Spéciales : aucune pour le moment.
Histoire : Mordred est originaire d’une ile de North blue, plus précisément sur Sibery Town. Il n‘a pas découvert le monde des yeux d’une famille aisée, mais son intelligence, la très grandement aidé dans sa vie et c‘est ainsi qu‘à l‘âge de 15 ans, il devint un cuisinier hors paire assez renommé. Pour beaucoup de ses connaissances a cette époque, Mordred devait irrémédiablement devenir un grand soldat de la marine, mais toutes ces personnes, était très loin de s‘imaginer que ce crack qui avait presque fait un livre sur » comment cuisiner le poisson a fourrure en 1001 façon », aller avoir un renversement total de ce qu‘il appelait déjà sont train-train quotidien. Comme la plupart des jeunes de son âge, Mordred fréquentait des filles, et depuis un moment, l‘amitié qu‘il avait connu avec une amie d‘enfance s‘était transformé en amour sincère. N‘ayant presque rien à envier a d‘autre, c‘est dans la tranquillité et la joie que Mordred arpenter le chemin de sa vie, mais ce chemin ne se trouvait apparemment pas sans danger et une embuscade croisa la route de cette vie.
Dans le cadre de son apprentissage de la cuisine, Mordred parti en ville pour rencontrer d'autres grand cuisinier, a l'âge de 18 ans, qui avaient, eux, trouver les 2002 façons de cuire le poisson. Rien de plus banal et Mordred en profita alors pour emmener sa petite amie avec lui. Mais au détour d'une dernière soirée de cuisine, et parcourant à pieds le chemin qui ramenait les deux jeunes gens à leur chambre pour la nuit, Mordred et son amie tombèrent sur une bande de soldat de la marine qui sortait apparemment d'un bar, et qui se trouvait pour le moins encore plus imbibé qu'une éponge. Le groupe de marine ricanant ensemble a ne plus pouvoir s'entendre penser et ils arrivèrent au niveau de Mordred. Là, ils s'arrêtèrent, et les deux jeunes firent de même. Une simple phrase sortit, une phrase qui était annonciateur de bien mauvaise chose et ce fut la phrase du commencement de la fin. Celui qui avait apparemment parlé s'avança d'un pas un peu titubant et Mordred senti une main, celle de son amie se resserrer sur son bras, et il commença à reculer, mais lorsqu'il voulu faire demi-tour, le jeune homme reçu un coup de couteau dans le bas du dos qui le fit s'écrouler. Se trouvant sur le flanc, il entendit des ricanements plus bruyants, et surtout sa petite amie qui se mis à crier. Il voulu se relever, mais quelqu'un l'attrapa par les cheveux, et Mordred ne put voir que deux yeux le regardant fixement pendant une demi-seconde, et l'homme qui le regardait, lui mis un coup de poings qui l'assomma presque sur le coup. Et alors qu'il allait sombrer dans le cauchemar le plus long de sa vie, il vit son amie tenue par plusieurs hommes et il reçu à ce moment-là un autre coup, causé par un objet qui avait surement était en métal.
Et c'est près de 48h plus tard qu'il revint à lui, dans une chambre d'hôpital. Il était tard lorsqu'il se réveilla, et ce fut le lendemain qu'il connut l'amère vérité. Sa petite amie avait était violé et défiguré au niveau du visage avec l'aide de ce qui avait du être un couteau. Pour beaucoup de ceux qui entendirent cette histoire, peu de gens le crurent lorsqu'il expliqua que c'était des soldats de la marine qui avait fait ce crime, peu de personnes en ces temps encore troublé ne voulait croire a cela et surtout en être mêlé. Apparemment quelque personne était en apparut et avait mis en fuite les ivrognes. Ces sauveur qui sont restés inconnu ont alerté les autorités et ont ensuite disparu. C'est donc a ce moment la que Mordred commença à basculer dans la froideur, la distance et la solitude, s'écartant du monde qui l'entourait. Ce fut la vision de son amie, couché sur un lit, vivante, mais défiguré et ni ne bougeant, ni ne mangeant, ne montrant aucun signe de vie, les yeux fixer vers le plafond, qui changea certaine opinion de sa façon d'être, de lui-même. Ce fut aussi une plainte déposé et une enquête vite fini et bâclée qui lui dit que quelque chose devait disparaitre avec la « justice »qu'appliqué le gouvernement dans ce monde. Et la naquit le changement.
Les mois passèrent, puis une année. Aucune amélioration arriva chez son amie, et Mordred sombra de plus en plus dans un monde qui ne se trouvait pas être le mal, mais un monde encore plus sombre que celui-ci. Il vivait maintenant seul, et si vous gardiez encore le souvenir d'un garçon drôle ou parfois triste, a l'écoute du nom de Mordred, il va falloir, pour vous, faire un voyage dans les terres les plus gelée et les plus reculé de l'ile. Ce fut d'ailleurs ici, alors qu'il s'était construit une maison totalement en glace, et qui se trouvait être presque plus chaud que le coeur de l'homme en question, alors qu'il creusait des galeries, de plus en plus profonde, de plus en plus éloigné du monde qui l'entourait, ne mangeant plus a sa fin, qui la trouva. Une boite en bois noir, une boite qui aurait été brulé pendant des heures et des heures mais qui ne se serait jamais consumé, tellement le noir était d'un couleur si profonde. S'étant musclé naturellement a creuser continuellement des galeries dans la glace, et étant bien plus fort qu'avant, même si rien ne laissait transparaitre cela, il prit la boite entre ses mains et finalement l'ouvrit sans presque aucun effort. Lorsque le coffret s'ouvrit, une légère fumé sortit et à l'intérieur se trouvait un fruit, qui en fait n'en étai pas un. En tout cas, c'est-ce que ce dit Mordred lorsqu'il le regarda attentivement. C'était une sorte d'orange qui avait une couleur virant entre le vert olive et le noir gris, bref, indéfinissable. Par simple curiosité il s'arrêta de creuser et remonta hors des galerie, son estomac hurlant tout ce qu'il pouvait pour que Mordred mange au moins un morceau de cette chose. Il éplucha alors ce qui ressemblait vaguement a une orange et une nouvelle fumée se dégagea du fruit, laissant derrière elle, une fumée acre, mais qui avait une odeur plus que raffiné et exceptionnel au sens du nez. Était-ce du au fait que Mordred n'avait pas mangé depuis presque 2 jours, pourtant son nez de cuisinier de pouvez pas le mentir, ce fruit, a l'apparence vraiment très étrange, sentait énormément bon. Il prit alors un couteau et se coupa un quartier, puis il porta ce quartier une nouvelle fois au nez, puis il y avait mis juste le bout de la langue. Très doux et très sucré. Ce fut ce que sont cerveau analysa immédiatement et Mordred se jeta et mangea le morceau de fruit. Encore plus doux et encore plus sucré en bouche, puis il avala et la, ce fut un total retournement de situation. Une énorme sensation de chaleur l'envahi puis le gout qu'il avait gardé dans sa bouche devint très vite amer, puis acide et enfin, une envie de vomir le prit et il du se retenir de toutes ses forces pour ne pas faire ressortir ce qui se trouvait dans son estomac, c'est-à-dire, a par de l'eau et des suc gastrique...pas grand-choses. Alors qu'il relevait la tête en balayant la chose qu'il avait cru être un fruit de la table ou il l'avait posé, son regard tomba sur un calendrier et la date du jour était entouré d'un énorme cercle noir. Et il se rappela, un an jour pour jour, il y avait eu le grand tournant dans sa vie. Se dirigeant vers la porte d'entrée, il sortit a l'extérieur et dans un nuit ou le vent avait, pour une fois, arrêtait de souffler, il regarda de très loin la ville ou tout c'était produit, ou ces soldats se trouvait encore la surement, a boire encore dans des bar nullement dérangé par leur conscience, et la ville ou se trouvait toujours son amie, alité et n'ayant toujours pas voulu bouger autre chose que les yeux et la bouche. Et Mordred pensa a tout cela, et une haine, et une colère intense l'envahi, deux sentiments qui avait était refoulé pendant une année et qui ressortait une dernière fois et une envie de meurtre le pris, une sensation qu'il n'avait jamais connu jusque la monta en lui et alors qu'il regardait encore la ville au loin, un craquement sinistre se fit entendre au-dessus de sa tête et dans le ciel, quelque chose apparut que Mordred ne vit point a ce moment la. Cette masse qui se trouvait être un caillou d'une taille convenable tomba, tomba, tomba et avec la puissance d'un énorme boulet de canon, s'écrasa à coté de la ville qui se trouvait la et glissa en rétruisant le terrain sur son passage. Tout ce que Mordred put voir avant le crash, ce fut une pierre, de la taille...mais de quel taille? De la taille d'une petite maison peut-être, une pierre encore rouge, brulé par un feu très intense, que même un volcan n'aurait pu combattre. La terre trembla, une vague de neige, de terre, de poussière et de vapeur de plusieurs mètres de haut apparut et inonda tout sur son passage. En moins d'une seconde, l'endroit était devenu un endroit de cauchemar. L'air était devenu opaque, épais et irrespirable, un vrai champ de mort.
Les jours et les semaines suivirent. Le brouillard créé par l'accident resta quelque jour avant de retombé complétement. Et beaucoup de personnes, endormis, vielles ou faibles, moururent sur place à cause d'asphyxie, y compris l'amie de Mordred... Vint alors des scientifiques, des chercheurs de cristaux précieux, des secouristes, et des marines de la grande ville principale. Contre toute attente, l’affaire fut classé et la thése de « cause naturel » fut la seul gardé. Après tout, un météore de cette taille qui s’écrase sur terre c’était tout a fait normal, ce dirent la plupart des idiots trainant ici et la, mais apparemment, même si ce fut la marine qui avait classé l’affaire, beaucoup de patrouille de soldat bougeait autour de la ville et plus loin, cherchant…quelque chose, car parmi les plus intelligent, le faite que tout ceci eut était causé naturellement était peu probable, et qu'il y avait un possesseur de fruit du démon dans le coin. Mordred ne se douta pas sur le moment qu’il avait était à l’origine de cet apocalypse, et lorsqu’il découvri son pouvoir, après plusieurs chute de météore autour de lui, alors qu’il avait décidé que plus rien ne le retenait sur son ile natal, et qu’il était partit vers le sud, il se rendit alors compte de ce qu’il avait fait autour de lui et surtout aux dernières personnes qu‘il avait aimer et connu, et qu'il avait en fin de compte fait souffrir et tuer. Mais finalement son esprit et son cœur se ferma complétement et il dirigea toute ces fautes accumulé sur le gouvernement. Le gouvernement mondial qui, sans ses marines, rien de tout cela ne ce serait passé, et sans eux, il aurait eu une vie bien différente. Le prix à payer sera lourd, très lourd, et la dette sera tout aussi longue a payer que Mordred vivra.
Et il vécu, car il commença une autre vie, changeant en permanence d'endroit et tuant quelque marine, par ci, par la, tout en prenant soin de ne pas se déchainer et de trop éveiller les soupçon de soldat un peu trop gradé.Il était très proche d'un révolutionnaire, car ses pensées, non dirigé par une quelconque vengeance ou un forme de colère, car ses sentiments il les rejetait complétement, mais plutôt créé par des envies. Des envies de meurtres et d'annihilation. Exterminer le gouvernement mondial était la chose la plus stupide, mais aussi celle qu'il voulait le plus. Se disant pirate ou sombre voyageur la ou il passait et aux peut de personnes a qui il parlait, il finit, en fin de compte, et après plusieurs années d'errance à recherché des compagnons, non pas a cause de qu'il avait connu et que certain appelaient amour ou amitié, non c'était toujours pour une envie, une envie de croitre en force, et en puissance, à coté de personne qui pourraient lui permettre de l'emmener toujours plus prés de son but.
Mordred, une vie, sans haine, ni violence, sans amour, ni joie, et tout aussi noir que la mort elle-même.
Rêve / But : Tuer, toujours tuer, ceux qui doivent payer, pour leurs crimes non avoués , et non expiés.
Post RP :
Rp venant d'un autre forum. celui ce déroule pendant la demi-finale d'un tournoi. Source: http://onepiece-powaaa.forums-actifs.com/tournois-f83/demi-finale-peut-etre-the-combat-of-the-tournoi-gaia-vs-heishi-t911.htm#8017
""Un froid venait de l’envahir, la température avait chuté, mais pourtant, il y avait encore le soleil qui perçait les nuages. Debout, devant l’entré de l’arène, Gaia se retourna pour voir s’avancer son adversaire. Heishiro Katsura. Le pirate le regarda un moment, puis ses yeux se fixèrent un moment dans ceux du révolutionnaire. Toujours sans se lâcher du regard, le capitaine des Shimobashira, fit apparaitre un fauteuil de glace, et lorsqu’il fut assis, il créa un tabouret des plus minables. D’un petit geste de la tête, Heishiro fit signe a son adversaire de s’assoir, cela quoi répondu Gaia:
« Désolé, mais avant un combat, je n’ai pas pris l’habitude de me geler les fesses….. »Décidément, même s’ils n’étaient pas dans l’arène, le combat avait déjà commencé. Il n’était pas physique, il était surtout mental. Chaque homme se fixant des yeux. L’atmosphère se refroidissant de secondes en secondes et un vent inconnu venant d’on ne sait ou, souffla de plus en plus fort en rafale. Le combat allait être épique sans aucun doute, et ce fut seulement au moment ou l’arbitre s’éclaircit la gorge bruyamment et demanda au deux homme de se préparer a rentré dans l’arène que la chaleur revenu et le vent disparu. Les deux hommes consentirent enfin à se lâcher du regard, en prenant bien soin qu’aucun des deux ne lâchent se regard en premier.
L’arbitre leur rééxpliqua quelques règles, assez timidement, puis indiqua les entrées de chaque combattant. Le soleil lui-même se faisait timide en cette heure. Sachant que ce qu’il avait créé, il ne pouvait plus le diriger a sa guise, regardant que maintenant deux des plus grande force de la nature, ici matérialisé, allaient s’affronter dans un combat épique. L’heure sonna, les portes furent ouvertes et les combattants pénétrèrent dans l’arène.
La porte se referma sur lui, et il put enfin contempler le véritable aspect de l’arène miroir. Gaia se retrouva en face d’innombrable miroir. Il pouvait voir cent fois son reflet sur tous les murs qui se trouvaient la. Regardant attentivement il ne s’avança point du tout. Cherchant le meilleur moyen de s’approprier la faculté de cette salle, si cela était possible. Il fit quelque pas de coté, puis il commença enfin à avancer. Cela fut un peu sur la défensive au début, puis lorsqu’il prit un peu d’assurance dans ce monde de reflet il marcha un peu plus de bon cœur, surveillant chaque intersection. Cela faisait combien de temps qu’il marchait, peut être 5 minutes guère plus, mais le temps semblait s’allongeait dans cet endroit. Au détour d’un autre chemin il jeta un coup d’œil vers la route qui continuait sur sa droite, puis il se replaça contre le mur, et la, il le vit. Juste devant lui, alors qu’il regardait a gauche, il aurait du plutôt tourner son regard vers la droite, mais il pensait que c’était un mur a cet endroit la. Le regard vide s’affichant dans ses yeux Heishiro sembla faire un geste, mais cela ne fit aucunement réfléchir Gaia sur ce qu’allait faire son adversaire car lui avait déjà pris sa décision. Il sauta en avant et cria:
« Kaze Kaze no Typhoon!! »Alors que sa boule de vent dévastatrice venait de se former dans sa main, il percuta enfaite un miroir avec son attaque, qui se brisa sous le choc et l’attaque continuant à agir fit vibrer de nombreux autres miroir qui te purent tenir le mouvement et explosèrent eux aussi. Ne perdant pas de temps, Gaia se releva aussitôt rageur et mécontent. De une car il s’était fait avoir par un miroir, et deux car il venait peut être de révéler magnifiquement sa position. Ne perdant aucune secondes a cet endroit Gaia regarda autour de lui, se repris quelque peu, pour se calmer enfin et continua sa route, tout en essayant de s’éloigner le plus possible, pour le moment de l’endroit du massacre de miroir. Le son de l’attaque avait rugit tel une explosion et la vibration dans les miroirs devait encore se propageait a l’heure actuelle, même si les miroirs ne se casser plus du tout. A cause de cela, rejoindre la source des vibrations des miroirs était très facile, c’était pour cela qu’il ne fallait pas camper dans le coin. Décidément cette arène n’était vraiment pas à son avantage.
Le chef des révolutionnaires marcha alors encore quelques minutes, faisant de plus en plus attention, a la moindre bifurcation, aux moindres reflets, au moindre mouvement dans les miroirs, qui semblait ne pas venir de ses propres reflets. Et alors que sa vigilance semblait retomber, devant les minutes qui s’écoulaient toujours plus, il fut revigoré par une sensation qu’il avait reconnu pour l’avoir expérimenté il y a peu. Un froid le parcouru et le glaça jusqu’au os. Son réflexe immédiat fut de changer chaque partie de son corps en vent, Si attaque surprise il y avait, il ne devait pas se laissait avoir comme un débutant. Mais non, rien de cela, juste un froid qui persisté, et alors qu’il allait repartir en chasse, il l’entendit. Faible, se rapprochant, très lentement, imperceptible. Des bruits de pas. Dans son instinct du vent et de toujours vouloir tout entendre autour de lui, il fit quelque chose qui pourrait indiquer a quel endroit il se trouvait, mais qui agissait aussi comme un radar. Se concentrant, Gaia fit circuler vers lui l’air de l’arène. Et le son fur porté beaucoup plus facilement vers lui, et même s’il ne put vraiment dire exactement d’où cela venait, il sut que sa se rapprochait vraiment, et que sa venait vers lui. Il arrêta de faire circuler vers lui l’air entre les allées de miroir, puis il repoussa tout. Dans chaque allée maintenant soufflé une rafale de vent assez puissante. Cela fait, il attendit patiemment. Il se trouvait au croisement de de quatre allée, et il savait que rien ne servait maintenant de marcher car son adversaire se diriger vers lui. Il lui suffisait juste d’attendre et de jeter sans relâche des regards dans les miroirs qui était autour de lui. Lorsque son adversaire arriverait, il le verrait dans un miroir avant de le voir lui, enfin, c’est-ce qu’il espéré au mieux, mais son adversaire l’aura lui aussi aperçut dans un miroir avant de le voir physiquement. Cette arène était vraiment chiante décidément.""
Sujet: Mordred L. Melkor, le nouveau nom de la mort vivant à vos coté...[terminer] 
