[Validée]Dahmed, le roi des voleurs

Prénom: va pour Dahmed
Age: 17 ans maintenant
Sexe: garçon
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Tes Mangas préférés: Ils sont nombreux, j'aime beaucoup One Piece, Death Note, Naruto, Bakuman et Kurosagi que je viens de commencer à lire après avoir vu le drama
Ton pirate préféré dans one piece : Je dirai Boa
Hobbys: divers et varié
Autre: what else?


Nom & Prenom : Dahmed

Pseudonyme : Le pirate au turban / Le roi des voleurs

Age : 21 ans

Race : Humain

Occupation : Pirate

Rang Spécial :

Métier : Capitaine/Trésorier

Physique :

Dahmed est un homme dans la force de l’âge, mesurant près d’un mètre quatre-vingt. Non seulement long, se jeune homme a également un corps des plus athlétiques. Ses muscles ont été développés dans le but de pouvoir combiner vitesse et force au maximum, ils sont suffisamment puissant pour lui permettre de d’infliger de lourds dommages à ses adversaires au corps à corps tout en restant suffisamment léger pour ne pas le ralentir dans ses mouvements. Les avantages que lui apporte son corps ne se limitent pas à sa taille et à sa musculature.
Dahmed a deux particularités physique des plus rares, non en fait trois bien que la troisième soit commune a tous les grands hommes. Sa peau qui a été dorée par le soleil tout au long de son enfance, ce qui lui a permis d’obtenir un superbe bronzage, ses cheveux d’une couleur bleu nuit qui lui arrivent jusqu’au bas de la nuque a l’arrière et lui tombent sur le front à l’avant, ils masquent même quelques fois l’un de ses yeux, des yeux qui sont d’ailleurs très expressifs et constituent sa troisième particularité. Le regard de cet homme est réellement impressionnant, le rendant capable d’intimider voir même de faire peur à un individu juste en croisant son regard.
Le reste de son visage est masqué par un foulard clair qui part sous ses yeux pour descendre jusqu'au haut de son torse, la face de Dahmed reste donc un mystère totale. Que cache-t-il derrière ce foulard ? Une barbe aussi touffu que la cime des arbres ? Une dentition de cheval sauvage ? Un nez crochu ? Ou pourquoi pas un sourire carnassier ? Il est le seul avec son miroir à connaître la réponse à cette question.

Dahmed porte aussi un turban de la même couleur que son foulard, celui ci masque la plus grande partie de sa longue chevelure. Il est vêtu d’un habit également de couleur clair des plus classique se composant d’un simple pantalon et d’un haut s’arrêtant a mis manche laissant ainsi apparaître ses bras. Seuls ses poignets sont protégés par des bracelets métalliques relativement épais, souvenir de sa vie passé dont il n’arrive à se défaire…

Son physique ainsi que son style vestimentaire font que le jeune homme ne passe pas inaperçu, et lui donne un air de prince du désert. A ce titre honorifique le jeune homme préfère d’ailleurs celui de rois des voleurs.


Caractère & morale :

Dahmed n’est pas le genre d’homme a ce soucier de la morale, ses pensés ne sont guidées que par un seul sentiment : la cupidité.
Cet homme ne se soucie ni du bien ni du mal, pour lui ce ne sont que deux notions inventées par les hommes et sans aucun intérêt. Pour lui tout se résume en simple choix entre compromis et égoïsme, et bien entendu il choisit toujours égoïsme.
Chaque homme s’interroge sur le sens à donner a sa vie, se demande pourquoi il est. De la manière chaque homme trouve une réponse qui le satisfait. Celle de Dahmed est unique en son genre, pour lui il a donc il est. C’est aussi simple que cela. La seule chose qui compte pour lui est donc de tout obtenir, il veut détenir tout ce qui existe sur cette Terre, en fait non il veut devenir le propriétaire de cette Terre et le possesseur de tout se qui s’y trouve ou y vit. Le One Piece fait bien évidemment parti de tout ce qu’il convoite, c’est d’ailleurs pour cela qu’il a choisit de devenir pirate.
Etant voleur dans l’âme, Dahmed n’achète rien : ce qu’il veut il le vol. Il ne donne jamais rien par contre il ne refuse jamais ce qu’on lui offre. Si il se retrouvait entrain de couler au large et qu’on lui proposait de l’aide en lui disant « donne moi ta main » il serait capable de rester au fond de l'océan en attendant l’arrivée d’une personne qui lui dirait « prend ma main ». Dahmed est donc l’incarnation de la cupidité, prisonnier de ses désirs et se donnant la liberté de les assouvir.

Apres avoir plus ou moins cerné le profil psychologique Dahmed, intéressons nous maintenant a son intellect. Dahmed est ce que l’on pourrait appeler un génie à l’esprit tordu. Il est capable de comprendre rapidement ce qu’on lui dit ou ce qu’il voit et cherche aussi tôt un moyen d’exploiter cette connaissance. Des lors qu’il avait compris que les serrures servait à fermer les coffres il cherchait un moyen de les crocheter. C’est un homme qui raisonne par parade, des qu’on lui expose un système il en cherche la faille et comment en profiter le plus habilement. Il en fait de même avec les individus, il cherche à comprendre comme ils raisonnent, à découvrir leur limite pour mieux en tirer avantage plus tard. Pour lui les hommes ne sont rien de plus que des objets, des choses, dont il sera amené à devenir le maitre plus tard. Les manipuler ne lui pose aucun soucis, car rappelons le Dahmed n’est pas le genre d’homme à se soucier de la morale. Tout ce qui l’intéresse c’est d’obtenir ce qu’il désir, et ce qu’il désire c’est tout obtenir.


Fruit du Démon : Oui.

Techniques Spéciales : _

Histoire:

L’histoire de Dahmed a commencé à s’écrire avec la naissance de celui-ci.
Dahmed vit le jour sur une île au climat désertique de South Blue. Une ile ou les températures variaient de 40 degré le jour lorsque le soleil était à son zénith, a moins 10 degré les nuits ou soufflait un vent frai. Dahmed poussa ses premiers cris et ses premières larmes, en plein milieu du désert comme le voulait la tradition de son village pour qu’il se familiarise dès la naissance avec le sable chaud. Mais loin de s’intéresser a ce qui se passait au tour de lui et à tout le sable présent en abondance, la première chose qui attira le regard du nouveau né était le soleil dominant le ciel azur. Au milieu de ses cris il leva les bras vers cette chose lumineuse qui attirait son attention. A la naissance déjà, cet enfant se différencier des autres par ces désirs, bien qu’encore inconscient. Alors que les autres réclamait des choses futiles ou nécessaires, lui voulait déjà mettre la main sur une chose hors d’atteinte et pourtant si belle : le soleil.

Né dans une famille pauvre, il semblait cependant être destiné à rentrer dans la norme. Ses parents n'étant que de pauvres dresseurs de chameaux, les chances qu’il avait de prendre la mer étaient donc fortement réduites en comparaison de celles d’un fils d’officier de la marine ou du rejeton d’un pirate. La mer, l’une des autres choses qui fascinait Dahmed, ses parents n’avaient guère de temps à lui consacrer trop occupés par leur dur labeur : le dressage de chameau, le garçon passa le plus clair du temps de son enfance assis sur les bords de l’ile à contempler le vaste océan. L’enfant était alors captivé par cette étendu d’eau qui s’étendait a perte de vue jusqu'à l’horizon. Malgré son jeune âge il avait compris à quel point la mer était belle. Il se demandait néanmoins à qui pouvait bien appartenir une telle chose. Le jeune garçon se sentait attiré vers elle sans pour autant en prendre conscience pleinement. Il se contentait de la regarder calmement assit au bord de l’eau sans tendre la main dans sa direction. Bien que la désirant, il ne tentait pas d’accomplir son désir, à cette époque l’enfant se sentait incapable d’obtenir se qu’il voulait, tout simplement par ce que jusqu'à lors il n’avait obtenu la moindre chose comblant ses caprices ou ses désirs. Depuis sa naissance rien ne lui avait été donné, certes il avait de quoi manger mais jamais en quantité suffisante pour être rassasié, certes il voyait ses parents mais eux ne le regardaient pas, trop occupés par leur travail. Aussi loin qu’il se souvienne l’enfant ne se rappelait pas avoir reçu d’autrui ce qu’il voulait. Cette effrayante conclusion le poussa à se poser des questions, il se demandait pourquoi les autres étaient incapables de lui donner ce qu’il voulait, si cela ne le condamnait pas à ne jamais obtenir ce qu’il voulait, et si cette condamnation ne faisait pas de sa vie un enfer de souffrance et d’insatisfaction. Il se demandait des lors à quoi bon être vivant.

La vie de cet enfant déchiré par les doutes et rongé par l’incertitude allait prodigieusement changer et ce à cause d’un événement lors d’une journée des plus anodine en apparence. Alors qu’il rentrait chez lui après avoir passé une bonne partie de sa journée a observer le mouvement des vagues en s’interrogeant sur lui, ses désirs et sa vie, il passa devant une boulangerie des plus ordinaires. Son attention fut immédiatement attirée par un pain au chocolat qui était exposé en vitrine, le jeune garçon se rappela alors qu’il n’avait rien mangé de la journée. Il tendit la main vers le pain au chocolat qui semblait l’attiré avec une force extra ordinaire. L’enfant semblait être en passe de trouver une réponse aux questions qu’il se posait. Il pénétra dans le magasin et se saisit de l’objet de ses convoitises sans réellement faire preuve de discrétion. Il avait choisit sa voie, si les autres étaient incapable de lui donner ce qu’il voulait alors il se servirait lui-même. Pour combler ses désirs il avait décidé de tendre la main dans leurs directions et de les saisir. Pour obtenir ce qu’il vola Dahmed vola pour la première fois. Mais sa première fois était si pure, si innocente qu’elle n’échappa pas au vieil homme qui se tenait derrière le comptoir. Celui-ci assena alors un violant coup de canne a l’enfant le clouant littéralement au sol. Ce fut dans la douleur que Dahmed compris une autre chose, pour obtenir ce qu’il voulait il allait devoir devenir fort. Plus forts que ceux possédant l’objet de ses convoitises, plus fort que les obstacles se dressant entre lui et l’accomplissement de ses désirs. Bien qu’ayant reçu un coup violant l’enfant n’avait pas renoncé à l’idée de prendre le pain au chocolat, il le voulait et pour l’obtenir il était prêt à risquer de prendre un coup supplémentaire. L’enfant voulu se saisir a nouveau du pain au chocolat qui se trouvait a quelques centimètres de lui, un peu plus loin sur le sol. Cette tentative lui valu un autre coup de canne. En recevant le coup l’enfant poussa un cri grave, semblable au râle d’une bête sauvage a l’agonie, après ça il ne bougea plus. Pris de panique le vieil homme se rendit dans l’arrière boutique à la recherche d’une trousse de premiers secours pour venir en aide au petit garçon qu’il était persuadé d’avoir salement amoché. Persuadé, car en réalité il n’en était rien. Dahmed avait certes eut mal, peu être même très mal mais le cri et son immobilité n’était en fait qu’une mise en scène, un moyen qu’il avait trouvé pour palier a son manque de force physique et son manque d’adresse. En se faisant passer pour un moribond il venait de faire perdre toute vigilance à l’homme à la canne, mieux encore il lui avait fait quitter les lieux. Dahmed se releva donc et se saisit du pain au chocolat. Il l’avait a présent dans les mains et il ne lui restait plus qu’a sortir de la boulangerie. Mais il n’en fit rien. Debout le pain au chocolat a la main, il restait immobile. Seul son cerveau était encore actif. L’enfant se demandait pourquoi il devrait s’arrêter à un seul, alors qu’il pouvait tout prendre. Un nouveau sentiment venait de naitre en lui. La cupidité, sentiment que seuls les adultes pourris ressentait véritablement, venait de se réveiller en ce jeune garçon qui avait grandit privé de tout. D’un grand geste il ramassa la totalité des pains au chocolat exposé dans la vitrine qu’il enroula dans la nappe posé dans la vitrine, se confectionnant ainsi un baluchon qu’il porta aussi tôt a son épaule. Lorsqu’il s’apprêta à quitter le lieu de son méfait le vieillard venait de revenir de l’arrière boutique une boite de premier secours à la main. Boite qu’il ne tarda pas à lâcher tant sa surprise était grande. Dahmed lui lança un regard plein de défis avant de quitter les lieux sans se retourner à nouveau.

Depuis cet épisode, Dahmed n’est plus retourné chez ses parents et a multiplié les vols et les entrainements. Ayant compris que la force était une chose nécessaire pour passer outre les obstacles se dressent entre lui et les objets de ses désirs il se mit à travailler avec acharnement. En plus des entrainements physiques il pratiquait une autre sorte d’entrainement. Il s’agissait d’un entrainement que l’on pourrait qualifier de pratique. Il s’agissait d’un entrainement au vol. Le jeune garçon s’essayait à toutes les formes de vols, se découvrant un talent naturel qu’il poussait à son paroxysme. Au fil des années le petit garçon était devenu un jeune homme capable de vivre exclusivement de son activité. Il excellait tellement dans son domaine d’activité, qu’il avait fini par devenir le plus célèbre bandit de l’ile, en tant normal il aurait du être traqué et arrêté mais les autorités de l’ile avaient un problème bien plus grave à gérer que le cas d’un simple voleur.

En effet, elles étaient en négociation avec le gouvernement mondial, celui-ci exigeait l’intégration du pays à l’alliance mais les dirigeants s’y refusaient catégoriquement préférant conserver leur indépendance ainsi que leurs traditions. Voyant que les négociations n’aboutissaient pas et étant désireux de faire un exemple le gouvernement mondial décida d’employer la manière forte afin de trancher définitivement le problème et de récupérer l’ile. Car plus que l’adhésion a l’alliance de l’ile, ce que voulait véritablement le gouvernement mondial c’était l’ile en elle-même, elle était idéalement placé sur le chemin de Reverse Montain et l’installation sur place d’une imposante base de la marine aurait permit de condamné l’accès a Grand Line par South Blue, ou du moins de le réduire terriblement. Le gouvernement mondial décida donc de recourir à la force pour prendre possession des lieux.

C’est ainsi que furent envoyé trois navires de guerre à l’assaut de l’ile natale de Dahmed. Un seul aurait largement suffit à vaincre les habitant de l’ile, mais ce n’était pas ce que voulait le gouvernement mondial, ce qu’il voulait c’était la capitulation pur et simple des habitants de l’ile. Il avait visiblement bien fait son calcul car des que les trois navires de guerres firent leurs apparition a l’horizon les habitant de l’ile renoncèrent immédiatement a l’idée de se battre, face a trois navire de guerre toute rébellion était vaine. Les soldats de la marine débarquèrent donc en toute tranquillité sur l’ile, et ordonnèrent que tous les habitants de l’ile se rassemblent sur le rivage. Bien que l’ile ne soit pas très grande il avait alors fallu attendre plus de cinq bonnes heures pour rassembler l’intégralité de la population. L’intégralité ? Non Dahmed était le seul à manquer à l’appel, vivant seul au cœur du désert il n’avait pas été appelé comme les autres. Cependant il n’était pas pour autant absent, il n’était pas dans les rangs avec les autres habitant de l’ile mais observait calmement la situation caché derrière une dune. Il regardait sans être vu. Cette situation plutôt inhabituelle attisait la curiosité du jeune homme, c’était peut être l’occasion rêvé pour lui de quitter son ile et de partir découvrir d’autres horizons. Il n’hésita pas bien longtemps avant de se décider à avancer vers les officiers de la marine. Deux hommes tentèrent de stopper la progression du jeune homme sortit des dunes et qui ne respectait pas les consignes qui avaient été donné, en vain. En l’espace d’un instant Dahmed c’était emparer des sabres des deux hommes et les pointait déjà sur leur gorges, il ne s’agissait ni plus ni moins de l’utilisation combiner de ses capacités physiques et de son habilité de voleur exacerbés par un long entrainement. Son geste fit comprendre aux autres soldats qu’il n’avait rien à voir avec les autres habitants de l’ile tous dociles et apeurés. Le marine le plus haut gradé présent sur les lieux qui était responsable du succès de cette opération s’avança vers le nouveau venu qui tenait en respect ses deux hommes avec une facilité des plus évidentes. Il se présenta comme étant le colonel Mykel Poulet, décida d’ouvrir les négociations avec Dahmed afin que celui-ci relâche ses hommes sans leur faire de mal. Mais les négociations tournèrent cour, relâcher une chose qu’il avait obtenu ne convenait pas a l’homme au turban, il était donc hors de question qu’il laisse les deux hommes qu’il avait vaincu retourner au près de leur chef sans leur infliger le moindre coup. D’un geste rapide il fit tourner les épées qu’il tenait de façon à ce que la lame pointe vers l’arrière et frappa d’un coup de coude chacun des deux soldats au niveau de la gorge les assommant net avant de se ruer vers leur chef. Toujours armé des deux épées qu’il venait de voler, Dahmed chargeait le colonel qui semblait chercher quelque chose à l’intérieur de sa veste. Les deux sabres volèrent dans les airs pour retomber quelques mètres plus loin sur le sable. L’homme au turban c’était fait désarmer avec une facilité déconcertante par son adversaire qui pointait maintenant une arme dans sa direction. Une arme ? Il s’agissait en fait d’une cuisse de poulet rôti. C’était avec cette arme peu conventionnelle que Mykel Poulet avait désarmé Dahmed sans le moindre mal. Loin d’abandonner le voleur tenta à nouveau sa chance mais à mains nues cette fois, enchainant tous les coups qu’il était capable de réaliser Dahmed tentait désespérément de perturber le marine qui parait ses coups toujours a l’aide de sa cuisse de poulet. La scène durant au moins dix bonnes secondes avant que Dahmed ne se fasse balayer par Mykel et finisse allongé sur le sable. L’homme à la cuisse était clairement plus fort que lui. Dans un combat régulier Dahmed aurait été déclaré perdant dès cet instant, mais il ne s’agissait pas d’un combat régulier loin de la. L’homme à terre se saisit d’une poignée de sable qu’il lança au visage de son adversaire pour l’aveuglé. Profitant de cet instant Dahmed se redressa et subtilisa la fameuse cuisse de poulet avant de prendre à la gorge Mykel. Sur de sa victoire Dahmed croqua dans la cuisse de poulet rôti, avant de cracher le morceau qu’il venait de mettre dans sa bouche, il fallait s’y attendre après tous les coups qu’il avait paré le morceau de viande ne devait plus avoir bon gout. Jetant l’arme de son adversaire sur le sol il resserra son étreinte, il lui suffisait alors de la resserrer un peu plus pour venir définitivement à bout de son adversaire, pour lui offrir la mort. C’est alors que Dahmed relâcha prise, il venait de comprendre une chose terrifiante, une chose qui signifiait pour lui la fin : il était incapable de donner quoi que se soit et même la mort a son adversaire. Mykel profita de ce moment de relâchement pour sortir une autre cuisse de poulet de sa veste, rappelons le un poulet a deux pattes et donc deux cuisses, pour assommer l’homme au turban.

Lorsque Dahmed se réveilla il se trouvait dans un endroit qu’il n’avait jamais vu. Un lieu sombre, un lieu froid, un lieu clos. A ses poignets se trouvait deux imposants bracelets métalliques relié par des chaines de métal, l’homme n’était plus libre. Un garde passa devant sa cellule et lui expliqua sa nouvelle situation. Il ne se trouvait plus sur son ile de South Blue mais à un autre endroit, il était à East Blue sur l’ile de Tequila Wolf un pays d’ouvrier ou les ennemis du gouvernement mondial était retenu captif et contraint de travailler a la construction du plus grand pont de l’histoire. Dahmed quitta sa cellule et rejoignit les autres les autres ouvriers qui travaillaient à la construction de ce fameux pont. Celui-ci était tout bonnement impressionnant, s’étendant sur un nombre de très nombreux kilomètres, il était censé relier plusieurs iles. Des l’instant ou il le vit, Dahmed sentait qu’il le désirait, il voulait que se pont lui appartienne. Mais il fut rapidement tiré de ses pensé par un coup de fouet qui lui indiquait qu’il devait commencer à travailler. Le pont mis a par, autre chose intéressa énormément le nouveau venu, c’était la façon dont les hommes était traité en ce lieu. Ils étaient considérés comme de simples objets, et étaient contraints au travail par la force des fouets. Ainsi Dahmed découvrit qu’il était également possible de disposé des hommes aussi bien que des objets, devenir le maitre d’un homme était possible de la même manière que de devenir le propriétaire d’un objet. Pour l’heure il se trouvait du coté des objets, des esclaves, mais très bientôt il serait du coté des maitres, mieux encore il serait le seul maitre car il désirait que les choses soient ainsi.

Depuis qu’il avait été enfermé Dahmed était contraint de travailler sous les coups de fouets, mais sont activité ne c’était pas limité a ce qu’on le contraignait à faire. Des la première semaine suivant sont arrivé il avait appris a distingué deux types de travailleurs, ce qui étaient sans intérêt ne réussissant pas à survivre dans se milieu difficile et étant remplacé par d’autre une fois morts et ceux qui l’intéressaient, ceux supportaient bien mieux la tache. Il se rapprocha de ceux-ci persuadé qu’il pouvait apprendre d’eux et il eut raison. La plus par des membres de se groupe étaient des bandits de grand chemin, et les meilleurs d’entre eux des pirates. Ce fut donc durant sa captivité que Dahmed, qui avait grandit à l’écart du monde, commença à le découvrir. C’est sur l’ile de Tequila Wolf qu’il entendit pour la première fois parler de piraterie et du fabuleux trésor : le One Piece. Un trésor qui lui faisait terriblement envi, un trésor qu’il voulait posséder le plus tôt possible.

Durant trois années Dahmed continua à travailler tout en récoltant un grand nombre d’information, en prévision de son évasion. Evasion qu’il préparait depuis son arrivé sur l’ile. Au départ il avait pensé à détruire le pont et a profiter de la panique créer par la destruction de celui-ci pour fuir mais il avait du renoncer a se plan dès le départ. En fait dès l’instant où il vit le pont pour la première fois, il était impensable que Dahmed détruise une chose qu’il voulait obtenir. Une fois cette option écarté, il fallait trouver un autre plan. Puisque le pont devait rester intact l’homme au turban devait trouver une autre diversion afin qu’il ait le temps de fuir. Se défaire de ses chaines allait être un jeu d’enfant pour un expert en vol tel que lui, le plus difficile c’était d’obtenir la diversion et de trouver par ou fuir. Pour obtenir sa diversion Dahmed disposait de tout se qu’il fallait, il devait juste être assez habile pour s’en servir. Pour la première fois de sa vie il allait se servir des hommes, maintenant qu’il avait découvert que ceux-ci pouvaient être exploité comme des objets il n’avait aucune raison de s’abstenir, puisqu’il était possible de dominer les hommes il en serait le maitre tout simplement par ce que tel était son désir.
Pour être capable d’utiliser les autres prisonniers il allait d’abord devoir les convaincre de lui faire confiance. Devenir la lueur d’espoir de ces gens plongés dans le désespoir le plus sombre, pour ensuite être capable de les manipuler à souhait, c’était ce qu’il se devait de faire. Petit à petit, il s’imposa comme un véritable leader au près des autres ouvriers leur faisant miroiter la liberté si ils acceptaient de le suivre. A l’issu de ces trois années les préparatifs étaient terminés, il avait exacerbé le désir de rébellion d’hommes plus morts que vif tout en faisant de vaillants petits soldats prêt a lui obéir. Il ne lui resta plus alors qu’à lancer la révolte, il fit sauter le verrou des chaines des ouvriers un à un, leur permettant de libérer leur rage contre leur tortionnaires. S’en suivit alors une pagaille monstre, un chaos qui allait servir de diversion parfaite au seul homme encore menotté : Dahmed. Si lui, l’homme qui avait été capable de libérer les autres avait fait en sorte de conserver ses chaines c’était par ce qu’il en avait besoin pour quitter les lieux. Le rois des voleurs profita du désordre pour se rapprocher de la partie inachevé du pont, celle encore constitué uniquement d’échafaudages. Dahmed se jeta dans le vide a ce niveau du pont, freinant sa chute en coinçant ses chaines dans les barres de fer, celle-ci tombaient une à une permettant à Dahmed d’atteindre le niveau de l’eau sans encombre. Mais c’est a ce moment la que les problèmes commencèrent pour lui, un monstre marin jaillit des eaux pour tenter de se nourrir de l’homme. Il réussit à se sortir de se mauvais pas en se servant de ses chaines pour bloquer les mâchoires du monstre. Dahmed se retrouva sur le nez de l’animal, et en utilisant sa chaine pour le diriger il en pris les commendes, inconsciemment il reproduisait les mêmes gestes que ses parents lorsqu’ils élevaient des chameaux sur son ile natale. Il guida ainsi la créature marine en direction de l’ile la plus proche, se guidant grâce au pont qui reliait déjà plusieurs iles entre elles. Alors qu’il approchait de la terre, un nouveau problème survint la chaine se brisa, et il en fut de même pour bon nombre de dents de l’animal, qui profita de se renversement soudain de situation pour tenter de reprendre le dessus sur Dahmed. L’homme au turban ne se laissa pas faire et frappa de toutes ses forces sur le haut du crane de l’animal affaiblit par la perte de sa puissante mâchoire. L’attaque de Dahmed assomma instantanément l’animal, loin d’avoir perdu en puissance pendant sa captivité l’ancien ouvrier avait pu la développé grâce au différant travaux qu’il avait eut à accomplir. Le résultat était stupéfiant. Il y avait cependant un gros bémol, la chaine c’étant brisé il était a présent impossible de se défaire des deux bracelets métalliques que l’ancien ouvrier avait aux poignets et qui allaient sans cesse lui rappeler sa condition passé.

Dahmed poursuivit son parcours jusqu'à l’ile a la nage, trainant derrière lui la créature des océans. Comme vous l’avez déjà compris, Dahmed ne laisse rien derrière lui, il prend tout. Une fois sur la terre ferme l’homme fit cuire la créature marine, s’offrant ainsi sont premiers véritable repas depuis trois ans. Une fois celui-ci terminé, l’homme parti a la recherche d’un bateau à voler pour partir à nouveau sur les mers, cette fois ci en tant que pirate. Il avait bien réfléchit et pour lui le meilleur moyen de combler ses désirs était de suivre la voie de la piraterie. Il reparti en mer avec pour objectif, rien de moins que de devenir le maitre de se monde et de tout ce qui s’y trouvait.


Rêve / But : Dahmed n'a qu'un seul objectif: tout obtenir. Il veut le monde et tout ce qui s'y trouve.

Le pirate au turban venait d’arriver dans une ruelle peu éclairé alors que le soleil commençait a se coucher. La rue était déserte, il n’y avait pas âme qui vive a l’extérieur, une atmosphère malsaine se dégageait de ce lieu fuit par la population locale. Dahmed en était sur il y a avait des pirates qui c’étaient installés dans cette rue. Il s’avança encore de quelques pas avant de se retourner, il faisait face a un bar d’où sortait énormément de bruit. Les pirates devaient être en train de festoyer ou de se battre à l’intérieur. Dahmed n’en savait rien et cela n’était pas très important, ce qui était plus important à ses yeux c’était le nombre d’équipage qu’il y avait a l’intérieur. Un grand bruit éclata et un homme fut projeter en direction de Dahmed en traversant une fenêtre. Le pirate au turban pivota légèrement sur son buste et laissa tomber son poing avec force sur le visage du pauvre homme, celui-ci acheva son vol plané au pied de Dahmed. L’homme qui avait traversé la fenêtre n’avait pas l’air d’être un barman et encore moins un homme distingué. Le vol plané de cet homme venait conforter Dahmed dans son hypothèse, il y avait ici des pirates. Surement y avait-il deux équipages qui étaient entré en conflit.

Dahmed poussa sereinement la porte du bar et entra. Il avait vu juste le bar était bel et bien occupé par deux équipages pirates, bien que l’un semblai plus en forme que l’autre. Sept hommes étaient assis sur les chaises ou sur les tables, alors que huit autres se trouvaient étendu sur le sol. Les sept hommes portaient tous une écharpe faite en fourrure et arboraient fièrement une fine moustache, en la voyant Dahmed se souvint avoir déjà entendu parler de ce petit équipage composé de sept frères moustachu et féru de fourrure et grands amis des bestiaux à poils : l’équipage de Jack la belette recherché pour 35 millions de Berry. La prime mise sur leurs têtes n’était pas exagéré au vu du bazar qu’ils avaient mis, battre un autre équipage qui se trouvait en supériorité numérique et qui plus est sans avoir subit la moindre blessure justifiait amplement une tel somme, sans oublier les divers forfait qu’ils avaient du commettre au coure de leur aventure. Le plus imposant d’entre eux qui était l’ainé était entrain de battre un jeu de carte.

*Alors ce serait a l’issu d’une partie de carte que se carnage aurait eut lieu ?*

Sans se poser plus de questions, le pirate au turban s’avança vers le comptoir et s’assis commandant un verre de thé. En entendant sa commende les frères belettes ne purent s’empêcher d’éclater de rire et de le pointer du doigt.

« Alors l’ami l’alcool est trop fort pour toi? »

Dahmed pivota sur son siège pour faire face au chef de la bande à fourrure qui venait de lui adresser la parole.

« Non en fait j’ai tendance à boire jusqu'à être soul, et j’ai bien peur qu’il n’y ait pas assez d’alcool ici pour ça. »

Légèrement agacé par la réplique du nouveau venu qui avait visiblement verbe facile, Jack l’invita à rejoindre sa table pour une partie de cartes. Comme vous le savez déjà, Dahmed n’est pas genre d’homme à refuser une invitation. Il bu donc son verre de thé d’une seule gorgé avant d’aller s’installer à la table la table du capitaine belette. Celui-ci distribua les cartes. C’était le début d’une partie de poker. Lorsque le moment fut venu de dévoiler les cartes qu’ils avaient en main Dahmed fit une petite déclaration.

« J’ai deux paires »

Jack ne pu s’empêcher d’éclater de rire une nouvelle fois. Ce rire sonore et dénué de toute élégance commun a tous les méchants de seconde zone persuadé d’avoir gagner. Abattant violement sa main sur la table dévoilant sa main il annonça.

« J’ai gagné : deux paires, une paires de Damme et une paire d’As ! Tu ne peux me battre avec aucune autre combinaison à deux paires »

Dahmed sourit sous son voile avant de dévoiler a son tour sa main. Celle-ci ce composait d’une paire de rois et d’une paire… de rois.

« J’ai deux paires de rois, chose que l’on appelle aussi un carré de rois. Autrement dit j’ai gagné la partie. »

Jack était furieux, sa petite moustache se dressait à présent en pointe et semblait aussi aiguisé qu’une lame de rasoir pendant que de la fumé lui sortait des narines. Le chef des pirates belettes ne supportait pas de perdre de la sorte, surtout à un jeu qu’il avait lui-même proposé. Le pirate frappa violament la table avec ces deux bras, et exigea de Dahmed que celui-ci rejoue. Le pirate au turban haussa, les épaules. Vaincre à nouveau un aussi mauvais joueur que Jack au poker ne lui posait pas de problème, il pouvait recommencer une centaine de fois sans le moindre mal. Mais cette fois ci la partie allait être légèrement différente. Les frères de Jack vinrent se placer dans le dos de Dahmed afin de voir les cartes que celui-ci avait en mains pour en faire par a leur frère. C’était une tentative de triche des plus flagrantes, une tricherie qui ne cherchait même pas à être masquer et qui se faisait au grand jour. Si ils agissaient de la sorte c’était par ce qu’ils étaient sur que l’homme au turban en infériorité numérique n’y trouverai rien à redire. Dahmed soupira avant de se mètre à battre les cartes, ce n’était pas avec une technique de ce niveau qu’un voleur aussi habile que lui serait mis en échec. Il distribua les cartes et leva sa main bien haut histoire que les six idiots derrières lui puissent bien voir les cartes qu’il avait.

« Tu peux y aller grand frère cette fois il n’a rien dans son jeu »

Après avoir entendu ça Jack abattit sa main sur la table dévoilant son jeu, pendant que ses lèvres se retroussaient dévoilant un sourire composé de dents jaunâtres. Encore une fois il était sur de sa victoire, et encore une fois il fut déçu. Dahmed venait de dévoiler une suite royale et de remporter encore une fois la partie. L’homme au turban venait d’utiliser une technique particulière lors du battage des cartes, au fur et a mesure qu’il les mélangeait il sortait du tas et glissait dans ses bracelets les cartes dont il aurait besoin pour s’assurer la victoire, ensuite il distribua les cartes normalement et mit bien en évidence les cartes qu’il avait en main. Lorsque le moment fut venu de dévoiler son jeu il inter-changea les cartes dans ses mains avec celles dans ses bracelets sans que les autres ne le remarquent.

« Mettre des types dans mon dos ne sert a rien si ils ne sont pas foutu de lire ce que j’ai en main… »

Cette petite phrase prononcée d’un air suffisant venait piquer les nerfs de Jack et de sa bande, ils n’avaient dès lors qu’une envie : corriger le jeune insolant qui était venu les narguer dans le bar dont ils avaient pris le contrôle. Les frères s’éloignèrent de l’homme au turban pour se positionner en cercle autour de lui. Chacun des sept hommes venait de sortir deux couteaux, c’était la technique des quatorze lames qui avaient rendu célèbres ces frères pirates. Ils lancèrent un certains nombres de couteaux sur l’homme qui se trouvait au centre du cercle et se lançaient entre eux les couteaux restant. Si les couteaux étaient esquivés ils étaient rattrapés par un autre des frères et lancés à nouveaux. Dahmed eut vite fait de comprendre que l’esquive ne le mènerait nul par, il devait trouver une solution pour sortir de cette tempête de couteaux et contre attaquer. L’attaque des sept frères était remarquablement bien synchroniser et y trouver un temps mort n’allait pas être possible, il fallait donc en créer un. Alors que quatre couteaux fusaient dans sa direction Dahmed en contra deux avec ces bracelets laissant et esquiva les deux autres à la dernière minute, ce qui l’entailla au niveau des bras. Il relança les deux couteaux contré en direction du frère vers lequel se l’un des deux couteaux qu’il avait esquivé. Trois couteaux pour deux mains, c’en était trop pour le pauvre homme qui pris de panique ne réagit pas à temps. Il se fit transpercé par les trois lames et s’écroula sur le sol. La chute de celui-ci accentua la colère des six restant qui mirent tout leur cœur a l’ouvrage pour augmenter la vitesse des lancés. Mais même si les jets étaient plus rapides avec trois couteaux et un lanceur de moins toucher l’homme au turban allait se révéler difficile. Encore une fois Dahmed contra deux couteaux et laissa passer le troisième, mais cette fois ci il ne relança pas les deux couteaux les laissant a ses pieds et continuant à esquiver. Dahmed pouvait continuer sa série d’esquive grâce à son excellente condition physique qui lui permettait de prolonger l’effort physique intense pendant un long moment, ce qui lui avait d’ailleurs permis de survivre sur l’ile des ouvriers. Encore une fois Dahmed interrompit la course des couteaux, mais cette fois ci non pas en les repoussant mais en se saisissant des deux premier pour parer le troisième, il jeta ensuite a ses pieds le . Les six frères ne disposaient à présent plus que de six couteaux. Chacun en avait un dans la main, se les faire tourner n’avait dès lors plus aucun sens, les seuls options qui restaient aux pirates de la belette étaient de lancer leur couteaux ou encore de charger aux corps à corps. L’un des frères excédé par la situation, se jeta poignard en avant vers l’homme qui avait brisé la technique de sa famille. Sans le moindre mal Dahmed se saisit de la main armé de l’ennemi qui le chargeait, sans perdre un instant Dahmed cassa le bras de l’homme avant de le frapper du pied au visage l’envoyant valser. Les autres frères lancèrent tous leurs couteaux en direction de l’homme au turban, il lui suffit alors de sauter pour éviter la salve de couteaux. Jack et ses quatre frères restant étaient à présent désarmés.

« J’ai pu voir que vous n’étiez pas très doué pour le un contre un et pour le corps à corps, je dirai donc que vous êtes fichu.^^ »

Deux des frères se jetèrent sur Dahmed tentant de le mettre au tapis à coups de poings, mais leurs efforts furent vains et ils finir rapidement hors d’état de combattre. C’est alors que les deux derniers frères se jetèrent sur l’homme au turban, mais n’essayèrent pas de le frapper. Ils se jetèrent à ses pieds pour ramasser un couteau et le jeter en direction de Jack qui lui avait extrait les trois couteaux du corps de son premier frère. Les deux frères furent mis au tapis, il ne restait a présent plus que Jack armé de quatre couteaux.

« Tu n’es pas décidé à lâcher l’affaire toi? »

Jack cracha sur le sol, il était vraiment furieux. Il se mit à jongler avec les quatre couteaux que lui et ses frères avaient eut tant de mal à récupérer, il était plus déterminé que jamais.

« Tu as eut mes frères, tu ne vas pas t’en tirer comme ça ! »

Jack continuait a jonglé avec ses quatre lame tout en accélérant progressivement sa vitesse. Dahmed était intrigué par les mouvements de son adversaires, celui-ci était entrain d’imprimé un effet de rotation des plus étranges à ses lames. Sans prévenir Jack lança deux des lames qui furent aussitôt suivit des deux autres. Au départ Dahmed fut surpris par cette attaque éclaire, mais il réussit à se ressaisir pour esquiver les lames volantes en se déséquilibrant lui-même. Il se replaça ensuite en position de combat. Pour lui c’était fini, le lancé éclaire de Jack était censé être la dernière carte de cet homme qui avait perdu, pourtant c’était moins simple que cela. Fendant l’air les quatre lames venaient de faire marche arrière pour foncer à nouveau vers l’homme au turban, cette fois ci il fut pris de cour et fut a nouveau entaillé par les lames qui étaient retourné dans les mains de Jack. Celui-ci recommença à les faires tourner leur imprimant à nouveau leur effet rotatif particulier. Dahmed c’était relevé, il saignait au niveau de l’épaule et avait quelques entailles sur les bras, mais les blessures n’étaient pas trop graves il pouvait poursuivre le combat à condition d’éviter les gestes amples et d’abréger l’affrontement.

*Je vais devoir en finir rapidement*

Jack lança une nouvelle fois ses couteaux, mais cette fois ci Dahmed réagit différemment. Il utilisa une nouvelle fois ses bracelets pour dévier les lames qui se plantèrent à ses pieds, puisqu’elles étaient lancées par paires de deux il pouvait contrer les quatre sans avoir à esquiver. Une esquive contre ce type d’attaque l’aurait mis en difficulté mais une fois les couteaux immobilisés, le danger n’existait plus. Dahmed se mit à avancer vers Jack, le capitaine des belettes était fichu et il le savait. Pendant que l’homme au turban avançait, l’homme à la fourrure lui reculait, jusqu'à ce retrouver dos au mur.

« Arrête ! Ne me fais pas de mal s’il te plait, je t’en prie. Je n’ai pas de trésor à t’offrir mais prend cette carte et laisse moi filer ! »

En disant cela Jack sortit une carte au trésor qu’il montra à l’homme au turban qui continuait a avancer vers lui. La distance qui séparait les deux hommes devenait de plus en plus petite. Dahmed leva le bras, et Jack ferma les yeux de peur de voir s’abattre sur lui le poing de l’homme qui avait vaincu ces frères. Dahmed se saisit de la carte et posa sa main sur le sommet du crane de Jack, le tapant amicalement.

« Tu es un brave type, par contre tu as un petit problème de vocabulaire »

Dahmed venait de serrer dans sa main le crane de l’homme totalement paralysé par la peur, sa moustache d’habitude si vivace ne bougeait plus d’un poil. L’homme au turban resserra un peu son étreinte avant de frapper violement Jack contre le mur, le mettant hors d’état de combattre pour un long moment. Dahmed se frotta les mains avant d’ajouter.

« Quand on donne une chose en contre une autre, on n’offre rien on fait un échange… Maintenant voyons voir ce que tu m’as laissé. »

Il déplia la carte et commença à la lire, elle indiquait l’emplacement d’une grotte répondant au nom de grotte de Hodja. Cette grotte était une chose que de nombreux pirates recherchaient car il était dit qu’elle renfermait un trésor légendaire : la lampe exhaussant les souhaits. Dahmed était à le recherche de cet endroit depuis qu’il avait entendu parler du pouvoir de cette lampe mystique, mais il ne s’attendait absolument pas a mettre la main sur une carte indiquant sa position dans un tel lieu. Il était agréablement surpris d’avoir pu mettre la main sur un objet aussi rare même si il ne comprenait pas comment Jack et les siens avaient réussit à mettre la main dessus. Sans perdre plus de temps il la replia et la rangea avant de quitter les lieux laissant derrière lui les sept frères belette étendu sur le sol, leurs anciens adversaires dans le même état et un barman terrorisé.

Bienvenu dahmed^^ bin t'ai validé ton niveau est de 9 choisi ton fruit

N'oublies pas l'avatar vieux ^^

Merci^^
Je conserve le Pika Pika no Mi.

Oui t'as raison, j'ajoute ça de suite^^