Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant !

~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~

Prénom: /Passe/

Age: 19

Sexe: Masculin

Comment avez vous connu le forum? Kazuki

Combien d'heures vous vous connectez par jour? Beaucoup

Tes Mangas préférés: DBZ, One piece, Fairy Tail, Satan 666, FMA,

Ton pirate préféré dans one piece : silver Rayleigh

Hobbys: Le sport, l'informatique, la lecture et le le ciné Very Happy

Autre: Nada

~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~

Nom & Prenom : Izaya Kida.

Pseudonyme : ( facultatif )

Age : 19 années de dure labeur.

Race : Humaine

Occupation : Si tuer et s'enrichir sont des occupations...alors c'est donc celles ci.

Rang Spécial : Conquérant

Métier : Chasseur de prime

Physique :

Douceur, élégance, magnificence, beauté, grâce, beaucoup d'adjectifs pour décrire de simples personnes, de simples humains qui se prennent pour plus qu'ils ne sont. Pourquoi ne pas simplement retranscrire la vérité? Tout simplement car elle est douloureuse et très embarrassante voir honteuse.

"Il ne suffit pas que je réussisse - tous les autres doivent échouer."

L'être humain est soit disant un être unique et supérieur, j'entends dans ces affirmations qu'aucunes personnes ne se ressemblent et qu'elles sont toutes « uniques ». Je suis totalement contre, de mon point de vue en me regardant je suis autant banal qu'une personne qui vit dans la rue, ou un simple barman. D'une stature fine et élancé je me fond facilement dans les rangs des plus grands chasseurs de prime. A une certaine distance on pourrait me confondre avec un de ces rats des rues qui se battent pour un bout de jambon dénommé femme, Mais en partant du principe qu'il n'y a qu'un dieux invisible dans le ciel, il n'y a donc qu'un dieu sur terre et c'est moi, Izaya Kida. Je suis de ceux que certaines personnes aiment qualifier d'extravertie et différent, à commencer simplement par mon style vestimentaire. Je porte souvent un tissu très fin et serré le long de mon torse remontant sur une partie de mon visage dont je parlerais plus tard. Conservant ce qui doit être au chaud au chaud et ce qui doit être au frais au frais il est aussi un « outil », un style de vie pour moi. Je suis comme vous l'aviez surement remarqué un tueur à gage, donc une certaine panoplie est nécessaire pour mener à bien ce mode de vie choisit plus petit. Mon visage est donc de moitié recouvert par ce fin tissu cachant des lèvres fines et douces se contractant au fil de mes petits tic et toc que j'expliquerais plus en détail par la suite. Mon nez aussi se retrouve cacher par ce voile, vous ne verrez souvent qu'une petite forme pointu d'où quelques jets de vapeur sortiront lorsque la chaleur se fait rare. En suivant cette petite piste nasale vous tomberez sur deux yeux verrons, un violet attirant et un bleu perçant cacher au grès du vent par une pointe de ma tignasse tyrannique. Cette tignasse...parlons en, composée de trois couleurs dominantes, un noir aussi profond que les abysses où je me ferais un plaisir de vous envoyer, un blond rappelant les champs d'épis de maïs que vous avez surement tous déjà connu et un mélange donnant une couleur indécise qui se fond rapidement entre quelques mèches. Elle est ce qui me démarque de tous ces primates écervelées qui jonchent les trottoirs de ce monde.

"Si mon corps meurt, que mon corps meurt, mais ne laissez pas mourir mon pays."

Maintenant que mon visage est passé au crible fin et que vous voyez à quoi je ressemble je vous propose de passer à ce qui fait que les gens ne s'attardent pas trop sur moi, mon corps. Jeune et athlétique je passe pour un simple étudiant que je suis réellement. Malgré un aspect féminin flagrant que vous avez surement remarqué je garde un physique très marqué. J'entends par là que le moindre de mes muscles est optimisé pour ses usages différents, qu'il est taillé dans la chaire juste ce qu'il faut. De mon point de vu je suis l'homme parfait, mais je suis conscient que je puisses être dépasser dans un nombre incalculable de domaine. Mis à part ce corps rapidement évoqué je suis simple et comme tout le monde, munit de deux bras et deux jambes recouvert chacun de mes vêtements habituels. Un haut maron-noir de forme débardeur munit d'un col de fourrure de renard des montagnes, peu efficace pour mes missions mais très agréable au touché. Mes avants bras se retrouvent couvert de cette même matière qui recouvre mon torse et mon visage, mes jambes quant à elles se retrouvent couvertes d'un pantalon d'uniforme de mon ancienne école plongeant dans des bottes mi hautes lassé d'une manière peu conforme laissant les languettes tomber sur le devant de mes bottes de cuir.

Voilà donc mon apparence globale, quelques détails restent à venir pour parfaire cette description évasive de mon physique des plus banal. Récemment j'ai tuer une personne à main nue pour m'avoir bousculé dans la rue, j'ai été ravi d'apprendre qu'il était en faite une petite frappe de cette déchetterie que certains appellent ville. Mon corps est en temps normal doux et raffiné, mais lorsque je suis confronté à un danger je deviens une machine de « guerre », je suis habitué depuis très jeune aux combats de rue et au free-fight entre lycéen, j'ai donc acquis une maitrise du combat rapproché et du combats de rue avec armes en tout genre. Mais maitrise n'est pas parfaite pour certaines armes mais elle reste plus que correct et me permet de me sortir de beaucoup d'embrouilles seul et sans trop de blessures. Les blessures tien, j'en viens à vous expliquer une particularité que j'ai développé depuis un bout de temps, je suis comme à la manière d'un Berseker, mon corps s'endurcit, mes muscles ne ressentent plus la douleur et je deviens incontrôlable, comme un prêtre vodoo j'entre dans une sorte de transe que me rend presque terrifiant.

Caractère & morale

Je viens d'achever de me présenter physiquement, alors pourquoi ne pas passer à ce qui fait d'un être ce qu'il est, sa mentalité, ses humeurs, ses goûts, ses désirs. Comme vous l'avez certainement remarqué plus haut je suis assez imbu de moi-même, certainement pas le premier et encore moins le dernier malheureusement. Une chose différencie l'idiot de base imbu de lui-même qui ne le reconnaît pas et l'homme éclairé narcissique et qui le sait et ne le renie pas. Je fait partit de cette « classe » d'homme éclairé aillant fait un minimum d'études dans ma jeune jeunesse qui se comporte comme des hommes supérieurs aux déchets trainant dans les rues tout en se comportant comme eux.

«L'honneur n'est rien sans la victoire"

Comme toutes personnes imbu de ma personne, je suis prêt à tout pour vaincre qui que ce soit, cependant je respecte toutes règles imposé et j'opte pour des combats loyaux voir même avec des handicapes de mon côté. Je vous l'ai dit...je suis arrogant et risque parfois ma vie trop simplement pour des causes qui resteront inconnues encore longtemps.

Voilà les bases de ma façon de penser, gagner, tuer et vivre. Ce n'est pas ce que l'on trouve de plus original de nos jours, les hommes se ruent sur des rêves pour la plupart irréalisable et sans fondement... les miens sont simple, mais tout aussi fous que les vôtres...je souhaite être tout simplement maitre de mon destin et de mes gestes, vivre la vie comme elle vient et ne pas être obligé de respecter une loi autre que les miennes. Vivre, combattre, tuer, égorger et chasser voici une partie de ma vie, ma misérable vie qui se résume à peu de choses. Mis à part cette animalité qui me ronge depuis mes jeunes années de lycée je peux me montrer plus qu'aimable malgré une grande timidité qui reste un défaut plus que flagrant chez moi, qui n'est pas pour autant mauvais pour mon métier de chasser et tuer toutes personnes ne méritant pas sa place dans mon empire.

"Le plus grand bonheur est de disperser votre ennemi, de le conduire devant vous, pour voir ses villes réduites en cendres, pour voir ceux qui l'aiment enveloppé dans les larmes, et de recueillir dans votre sein ses épouses et les filles."

Voilà donc comment je suis et comment je vois les choses sur cette terre, un aspect sombre et surement néfaste de ma personnalité qui me façonne de jours en jours et qui me renforce. Mais! Car il y a un mais.... Mon plus gros pécher mignon reste les sucreries et les enfants... Qui croirait qu'un tueur à gage aurait envie de sucette ou même de boule de gum en plein meurtre? Qui penserais qu'un tueur sanguinaire et sans aucuns sentiments pourrait se sacrifier pour un enfant? Tout simplement personne. C'est une de mes tocs, en plus de celui de ne pas pouvoir monter sur une chaise sans me jeter sur le sol pour ne pas voir la distance qui sépare le dit sol de mes pieds, je ne peux m'empêcher de manger des sucreries quand je me vois attribuer l'ordre de tuer ainsi que certain rictus me défigurent quand je prends un quelconque moyen de transport, c'est pour cette raison que je remonte mon vêtement jusqu'au milieu de mon visage pour le cacher et éviter de ressentir les regards critiques sur ma divine personne.

Je vais donc me permettre de résumer brièvement mes ambitions et ma façon de voir certaine chose. Une chose est sûre je n'ai aucun cœur et encore moins de sentiment pour ce qui est des femmes, gentilles petites bestioles ou autre.Ensuite vient en première place mes ambitions, je désire être au sommet de tout, le monde, ma dynastie, ma propre maitrise, mais tout en restant quand même proche du sol...Car l'altitude est tombée amoureuse de moi et à force de me coller me fait affreusement peur. Je suis de ce fait un enfant qui a grandi trop vite pensant que tout pouvait lui être dû grâce à la violence, mais qui est influençable par une mesquinerie terrible dénommé, sucrerie !

Fruit du Démon :

Le Hoo Hoo no mi.

Ou le fruit décrit au dernier message. Je suis plus pour le Hoo Hoo avec le quel j'ai plusieurs idée "one piecienne"...

Techniques Spéciales :

Histoire :

''Aucune chasse ne vaut la chasse à l'homme, et ceux qui ont longtemps chassé des hommes armés, qui ont aimé ça... ne trouvent plus jamais saveur à autre chose"

Toute personne n'arrive pas sur une terre par inadvertance ou même par simple miracle, sa venue est bien façonné par les hommes seuls maitre de leurs actes et de leurs âmes. Je vis le jour comme vous surement dans une petite ville des blues, venant d'une famille modeste au père strict et à la mère protectrice et trop simple pour voir quel genre de jeune homme je devenais. Je suis donc arrivé sur cette terre ne me méritant pas une après midi de juillet entouré d'une horde d'infâme villageois ici pour célébrer la venu d'un despote, moi.

Comme toute nouvelle progéniture je criais pour que l'air impure entre dans mes poumons et me permette de vivre malgré tout, je restais comme tout enfant à mon âge sur le dos attendant qu'un de ces êtres inférieurs daigne me soulever et me couvrir de draps pour enfin me laver. Un vieil homme me souleva enfin après une bonne éternité qui dura au moins cinq ou six secondes après que ma malheureuse mère eu finit de joueur de ses abdominaux pour enfin sortir l'enfant de Satan que je suis. Voilà comment après de longue année de batifolage dans une maison reculée et très modeste de Fushia Town, ville simple et si banale où se terre de petites frappes ainsi qu'une population des plus calme qui vit simplement comme tout être devrait le faire. Me voilà donc enfin projeté dans cette spirale infernale qu'est la vie, une vie qui commença réellement quand je suis entré dans mes premières années d'école. Effectivement vous me direz que ces années-là ne sont pas les plus importantes étant donné que nous sommes âgés d'à peine six ans et que nous ne sommes pas en réel possession de tout nos moyens. Et bien il faut croire que je reste et demeure hors norme, à six ans et demi j'avais déjà compris qu'il fallait être au-dessus des lois, au-dessus des gens, les dominer, chasser toute peur de notre esprit et se contrôler comme on pouvait pour être celui qui est respecté et pas celui qui est délaissé, celui que tout le monde rejette et frappe « juste pour rire ». La plus part des personnes de mon école se plaisaient au jeu de frapper un jeune garçon qui s'entêtait à vouloir sauver un crapaud unijambiste, j'étais bien loin de ces enfantillages malgré mon jeune âge. Pour ma part le seul moyen que j'ai trouvé pour arrêter ces bêtises fut de tuer le crapaud et de mettre une bonne volée à la bande de petit riche qui rentrèrent chez eux un soir avec quelques égratignures et un certains nombres d'hématomes que leurs parents ne se privèrent pas de faire remarquer aux miens.

Ces années-là furent donc horriblement bonne dans le sens où je me forgeais un caractère et une réputation parmi les rebut qui arpentaient les murets de mon école. Me voilà maintenant arrivé dans ce que nous appelons tous grossièrement le collège, lieux où la jeunesse s'épanouit, où elle grandit, apprend les bases de la vie, moi j'y ai appris comment survivre. Effectivement comme toutes personnes un peu différente j'ai eu quelques ennuies avec la population de rats qui s'accumulaient dans les locaux, j'entends par « quelques ennuis » un groupe de petits morveux de mon âge s'essayant à plusieurs de renverser ma petite dynastie que j'avais posé sur mes camarades de classe. Dynastie d'une dizaine de personnes qui se trouvaient maintenant sous mes ordres aillant eux aussi reçu une douce correction de la divinité que je suis. Les hommes sont comme les animaux, en les punissant il nait en eux un sentiment de soumission et ils s'abandonnent au maître les aillant rattaché à sa cause, moi. Coup de poings, coups de pieds, dents cassées, arcades fissurées et nez cassé, voilà le quotidien de nos moments de liberté, des bagarres de rue pour savoir qui serait le Caïd des rues de Fushia Town. Ce ne fut pas tout de suite moi, car j'étais plus jeune que les personnes qui se trouvaient dans l'école supérieure, mais ayant réussi à réunir un bon nombre des « hommes » de mon établissement nous tenions tête aux « grands ». Les grands qui n'étaient ni plus ni moins les fils de révolutionnaires, pirates et autres forbans de notre ville. Mes parents se faisaient un sang d'encre en me voyant revenir chaque soir avec un peu de sang sur mon visage si pur à leurs yeux, sang qui n'était pratiquement jamais le mien.

« what’s a RocknRolla? And I tell ’em it’s not about drugs, drums, and hospital drips, oh no. There’s more there than that, my friend. We all like a bit of the good life, some the money, some the drugs, other the sex game, the glamour, or the fame. But a RocknRolla, oh, he’s different. Why? Because a real RocknRolla wants the fucking lot. »

Les années passaient rapidement, mon premier diplôme venait de m'être remis et je l'avais déjà oublié, mon père commençait à me parler de faire carrière dans les hautes strates de la marine à la vue de mes notes supérieurs à la moyenne. Je le regardais toujours avec dédains et amusement car rentrer dans une soit disant justice alors que la justice n'est réellement faite que par soit même me semblait strictement aberrant et me paraît toujours aberrant. J'arrivais enfin où je ne pouvais aller plus haut, l'école supérieure, un endroit remplis d'animaux ne demandant qu'un guide, Izaya Kida. J'entrais donc dans la plus basse des classes de notre école où les forbans grouillaient comme des fourmis autour d'une pomme qui moisit depuis quelques jours sur un pavé de la rue principale. Muni de mon seul courage ou simplement de ma seule folie qui me poussait à me rendre de classe en classe défiant un à un les jeunes garçon qui s'y trouvait. L'endroit où nous étions censé étudier se transforma rapidement en guerre de territoire. La sueur, le sang, les os brisés, les poings se brisaient un à un contre les pommettes qui s'éclataient laissant le sang couler le long des joues et la peau se déchirant sous l'impact de chacun des assauts. Plus aucun des enseignants ne géraient leurs classes, les jours défilaient et mes parents n'en pouvaient plus, mon père ne renonçait pas à son idée de me faire intégrer la marine, idée que je refusais toujours entre deux coups de pieds bien mérité fracassant ma mâchoire pour une seconde fois. Je dominais après quelques mois la moitié des classes les plus faibles, j'étais heureux et mes ambitions grandissais de plus en plus, les élèves me surnommait « Khan » de pars mon ascension fulgurante dans les « hautes strates » de notre école. Un seul problème survenait pour que mes plans soient totalement à leurs apogées, un homme ou plutôt un jeune homme plus âgé que moi de quelques années restaient encore invaincu. Cet enfant était celui d'un homme connu pour sa méchanceté dans le village de Fushia Town, il terrorisait les femmes et les enfants dans les ruelles sombres, je me devais de rabattre fermement ce qui lui servait de porte voix pour déblatérer un nombre incalculable de conneries.

Ce jour que j'attendais tellement vint, dix neuves années venaient de passer. En ce jour bénit de dieu, moi, je m'apprêtais à aller en cour comme tous les jours, mais avec une envie simple...aucune violence pour cette journée. Je me forçais chaque jour qui venaient célébrer l'ajout d'une bougie sur un gâteau inexistant de ne pas me battre, mais ce jour-là... un joli comité d'accueil m'attendait à l'entrée de notre école barre de fer en main et cigarette en bouche.

"Celui qui excelle à contrôler les autres a du pouvoir, mais celui qui parvient à se contrôler, a encore plus de pouvoirs."

Rêve / But : Vivre.

Post RP :

C'était donc l'un de nos derniers jours de cour, le jour où je devenais « adulte », celui de mes dix-neufs ans. Que rêver de mieux pour mes dix-neufs ans d'une journée calme et ensoleillée ? Surement pas ce qui m'attendait devant la porte de l'école supérieure de Fushia Town. L'entrée n'avait pas changé du jour au lendemain, une simple porte lié à un mur de briques rouges par un ensemble de boulonnerie simple que l'on peut trouver dans tous les coins de rue de notre belle ville. Il faut dire que cette école est restée très vieux jeux, les bâtiments ne tombaient tout de même pas en ruine, mais on aurait pu se poser des questions sur l'origine des bâtiments. J'ai toujours pensé qu'ils étaient des vestiges d'une ancienne air que seul le vieux directeur connaissait. Passons, le directeur n'était pas là et avait surement reçu un joli pot de vin pour ne pas intervenir aujourd'hui dans notre bonne école. Les raisons de son absence se trouvaient devant moi, une bande qui me rappelait vaguement quelque chose, des voyous fils de voyous se prenant pour des choses qu'ils ne sont pas, des caïds.

''Presque toute l'absurdité du comportement émane du désir d'imiter ceux à qui l'on ne peut ressembler"

Je me stoppais calmement sans perdre mon sang froid légendaire, ou pas, je laissais mes petits yeux verrons se plonger dans l'immensité de haine que laissait paraitre ceux d'un grand gaillard brun et emmitouflé dans un énorme blouson gris. Ses cheveux noirs plongeaient dans son dos effleurant le sol aux aléa des brises de vent, deux gorilles l'encadraient muni chacun d'une barre de fer, ou du moins ce qu'il en restait. De légères tâches rougeâtres se laissaient voir sur les extrémités me rappelant à qui j'avais à faire. Je n'avais pas besoin d'elles pour me souvenir de quels genres de ramassis de ruelle c'était, des jeunes adolescents prêt à tout pour prouver à leurs pères respectifs qu'ils valaient autant qu'eux. Pour moi il ne restait pas moins des pirates qui ne méritaient pas plus ma compassion que mon attention, je reprenais tranquillement ma route en direction de ma classe passant entre les deux gorilles qui gentiment me laissèrent passer. J'étais surpris, savaient-ils qu'aujourd'hui était un jour différent ? Maintenant que j'y repense, je me dis que oui mais qu'ils allaient me donner leurs cadeaux différemment. J'eus à peine le temps de me retourner qu'une poigne de fer attrapa mon col tel une chatte attrapant son petit. J'étais maintenant plaqué sur le muret de brique ne touchant plus le sol. Mon visage vira au blanc sans prévenir, mes jambes tremblaient et je me recroquevillais sur moi même implorant le truand de me reposer sur le sol. Que j'étais pitoyable au yeux de mes camarades qui connaissaient bien cet inconvénient chez moi, ils se lamentaient et certains même riaient de moi. Je me sentais pour le moins idiot, mais l'homme qui me tenait relâcha doucement son emprise, je tombait doucement en direction du sol les yeux remplis de larme et l'espoir de tomber sur le sol sans mourir d'une crise cardiaque alors que je venais à peine de remarquer une masse étrangement trop proche de mon visage, la fameuse barre de fer percuta mon bras que je réussis tout juste à remonter le long de mon corps pour me protéger. La douleur s'empara de moi rapidement et la puissance du coup me fit décoller de quelques mètres pour m'envoyer valdinguer gentiment dans une porte de bois massive que j'enfonçais.

"Il faut prendre les Renards à leur propre jeu"

Je me relevais lentement le bras douloureux et immobile contre mon flanc droit, je soupirais m'efforçant de retenir ma colère et mes larmes. Je venais de faire avoir comme un bleu à cause de simples vertiges... je me remettais lentement de ce choc énorme pour moi et un des loubards pris la parole alors que leurs ''chef'' restait toujours tourné ne m'observant pas :

-Écoute gamin.... toi et tes potes de seconde zone empiète un peu sur notre territoire, et on aime pas trop ça.

Un long moment s'écoula avant que l'autre pris la parole d'une voix plus aigu et affreuse que l'autre pendant que je m'avançais vers eux d'un pas lent et tremblant :

-On va faire un jeu...Nous on te frappe et toi tu t'écrases pendant que tes copains qui viennent d'arriver se rallies à nous!

Je ne comprenais rien à rien, il me parlait mais j'oubliais tout ce qu'ils disaient au fur et à mesure, je tendais le bras encore valide vers un jeune garçon qui sortait une lame de sa poche lui intimant de rester hors de ça. Je parvenais enfin au niveau des deux loubards, j'étais largement plus petit qu'eux et la différence de taille tira un sourire niait à l'un deux. D'une voix calme et plate je m'adressais à eux avec diplomatie :

-Je vous propose un autre jeu, je suis le loup et vous les brebis, gentiment vous allez carrer vous fesses laineuse dans le navire de vos pères et débarrasser cette école de vos présences néfastes.

Un rictus de mauvaiseté se fit remarquer sur le visage des deux primates qui levèrent leurs masses métalliques en même temps. Être armé c'est bien, mais savoir s'en servir c'est mieux. D'une simple impulsion je me soulevais dans les aires au niveau du visage du premier venu, ma main gauche se posa doucement sur le cuir chevelu de la brute et j'écrasais bien sagement mon genou sur son visage. Une mélodie se fit soudain entendre, un son aigu puis grave, un craquement signifiant l'arrivée des cuivres puis un coup de tambour magistral, mon crane, s'abattit sur son voisin. Les deux masses musculaires tombèrent sur le sol inerte, un filet de sang assaillait ma botte que je reculais fougueusement pour ne pas me salir :

-Et bien ...mince le lait des brebis serait-il rassi et mauvais aujourd'hui?

Mon humour ne semblait pas plaire à 'homme devant moi, il se tourna rapidement une veine saillant sur le front, une haine sans limite se lisait sur son visage. Je compris que j'avais surement poussé les limites un peu loin, mais comme ils l'avaient chercher autant finir le travail. Je m'élançais vers lui le poing gauche serré, le seul d'encore valide, oubliant comme un idiot que ses gorilles m'avaient frappé par derrière et qu'il ne serrait pas plus loyale qu'eux. Un jet de poussière atterrit dans mes yeux me faisant trébuchet pour finir par m'écraser sur le bout de la botte de mon adversaire. Une douleur effroyable traversa tout mon corps, une douleur justifiée et pour le moins visible. Je me relevais le nez en sang, la mâchoire simplement tenu par mon dessous, car elle s'était fracturée au contact de la botte renforcée. Je rougissais de colère, un enfant s'était vu projeté par mon corps contre un mur, je récupérais une des barres de fer encore utilisable et la trainais par terre, ma haine était maintenant sans limite et je ne pourrais m'arrêter qu'à une seule condition, sa mort. La barre de fer se pliait sous la pression de ma main, doucement le bout de la barre s'imprégnait de la forme de ma main, j'étais dans un état second, mon bras balança un coup dans le vide que le géant esquiva en souriant, mais ce qu'il n'avait pas prévu c'est que l'élan entraînerait mon corps qui virevolta dans les aires assénant un coup de pied vertical l'écrasant sur le sol. Il essayait de se relever mais mon bras encore valide s'acharna sur son crane broyant littéralement ce qu'il restait de son visage, les gens me regardaient comme pétrifié quand un jeune garçon s'élança pour me stopper. D'un coup je me retournais et armais mon coup que je stoppais net à quelques centimètres de sa joue, je lâchais la barre que s'écrasa sur le sol dans un tintement sourd. Mon regard fuyait l'assemblée et je réalisais à peine mon acte, je ramassais sa veste et m'en allais les pieds ballant retournant vers cette maison qu'était celle de mes parents. J'ouvrais la porte doucement, mon père me gifla et vomis de dégout en sentant ma mâchoire disloquée, ma mère me prit comme toute mère dans ses bras bandant mon bras et me regardait avec un air inquiet et comme un pantin je pris la parole :

-Je viens de tuer un homme... un pirate ou un malfrat j'en sais rien mais il est mort et ne nuira plus. Je vous quitte aujourd'hui pour vous éviter tout retour de bâton. Je vous remercie et vous enverrais des nouvelles par la suite. Père...je suis désolé mais je ne serais pas marin, mais rassure toi je ne serais pas non plus pirate!

Je sortis simplement sans dire un mot de plus, ma vie était tracée et le livre de mon existence venait de s'ouvrir. Mon ombre marchait sur les routes de Fushia Town en direction d'une taverne le blouson du pirate sur le dos et un bon nombre d'objet dans les poches auxquelles je ne prêtais pas attention, du moins pas pour le moment.

"De nombreuses personnes se font une fausse idée du bonheur, on l'atteint pas en satisfaisant ses désirs, mais en se vouant à un but louable."

Et bien voilà, présentation finit, je choisirais le fruit du démon en fonction du lvl que vous m'attribuerez, le fruit n'est pas encore mangé mais en ma possession à la fin du RP. Merci.

J'aime pas la balise table, tu vois le grand espace que cela laisse sur la droite. Il faut aussi préciser que l'italique écrase l'écriture et donne une fausse impression de longueur. Je te conseille d'utiliser la balise "margin" qui définit les marges en px entre le bords et le texte. Cela a l'avantage d'être particulièrement utile pour les gens ayant des écrans fin ou larges.

Pour le niveau, je pencherai sur le 7-8

Voila, un petit up pour le fruit et pourquoi pas une validation <3

Tu veux dire des mains tangibles, car sinon il est impossible de se battre. Bizarrement, exactement le même fruit a été inventé : (lvl6)

Kichi Kichi No Mie : (Paramécia de la main invisible) Permet à l’utilisateur de faire pousser sur son dos, deux énormes bras invisibles d’une porté de 5 mètres d'une grande force. Lorsqu’un bras est coupé, l’utilisateur ressent une douleur énorme et le membre perdu repousse dans plusieurs heures.[Kuroi Tsuki]

Donc je donne ma validation pour le kilo kilo

L'idée du Hoo Hoo reste quand même d'actualité au cas ou un admin soit plus "indulgent".

Sinon bah....ce fruit la, inventé.

Paramecia des...: Confer a l'utilisateur la possibilité d'etre soutenu par des mains translucides muni d'une force allant jusqu'à 10 fois celle du personnage. Elle ne sont en aucun cas relier a l'homme et ne peuvent pas dépasser 10 mètres dans un premier temps (jusqu'au lvl 7). Le nombres de mains évolue en fonction du rang.

Voila le fruit. Je dirais lvl 8. le nom j'en ai pas encore^^

J'aimerais aussi des précisions sur ce qu'il y a à modifier, des erreurs ou autre mis à part : "t'es pas one piecien"

Merci.

Je valide si et seulement si, les mains n'ont pas d'augmentation de force ni de taille. Sinon, il devient une évolution du fruit que je t'ai présenté avant et c'est pas le but.

Confère à l'utilisateur la possibilité d'être soutenu par des mains flottantes et translucides muni d'une force équivalente à celle de l'utilisateur. Elles ne sont en aucun cas reliées à l'homme.

Alors avec cette définition là je serais validé?

Validation

Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant ! Valida10

Je propose le rang 3.

Merci bien. Euh pour le nom du fruit ? Noke Noke no mi je propose Very Happy

. Merci encore.

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