The lotus, Cloud D. Cross

Cloud n'est pas forcément le combattant qui ne jure que par la force. Il ce bat essentiellement avec des techniques de CQC (Close quarters combat) réduisant efficacement l'écart de force entre deux gabaries (tel un homme et une femme).

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  Take : Technique défensive, elle consiste à bloquer le coup adverse en tentant d'attrapé le poignée, outrepassant la force du lanceur du coup. Par contre de bons appuies sont demandé pour réduire au maximum le recul qui peut être occasionné.
  
  Nami : Si Cloud arrive à exécuter sa technique de blocage (Take) il tente de tordre le poignée adverse, provoquant une forte douleur et dans des cas extrêmement rare une fracture mais ceci relève plutôt de l'impossible.
  
  Kaze : Technique avec les jambes, elle consiste à envoyer un fort coup de pied, visant essentiellement les articulations au niveau des jambes.
  
  Teishi : Cloud concentre sa force dans ses poings et ses jambes, tentant d'asséné deux coups stratégiques. Un au niveau du thorax et un second au niveau du foie. Cette technique peut couper pendant quelques secondes (trois seconde maximum) la respiration adverse.
  (La durée évoluera avec le niveau.)

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  Cette fine lame est forgée par les maîtres conquérants de l'époque avant l'apparition de l'âge d'or de la piraterie, conçue avec saveur et précision, d'une légèreté à peine croyable. Son tranchant est tellement redoutable qu'elle convertirait en souffle de poussière le plus tenace des métaux platine. Son aspect totalement noirâtre revient au secret de son forgeage, baigné dans le pure sang pourpre de la famille énigmatique de Cloud, mixé avec le métal spécifique d'Aurelia auquel de nos jours dame nature ne donne plus vie. Celle-ci fut débarrassée de ses impuretés lors de sa refonte, par l’un des seuls rares forgerons qui avaient survécu au temps. Il incorpora dans la lame les éclats restant de l’épée, qui avait offert tant de problème lors de ses péripéties de pirate. Conférant une puissance non négligeable à son porteur contre un pacte de sang. Les stigmates de cette refonte sont visibles de nos jours sous la forme de caractère gravé le long de la lame dans une langue inconnue.
  
  Résolue à servir son unique maître, cet épée inspire la peur dans les rangs adverses. Par contre elle demeure tellement maudite que même ses manieurs qui portent son sang ont du mal à la posséder, la dompter en devient alors proche du miracle. Cloud la possède depuis sa naissance, lui permettant de développer un certain lien entre elle et lui. Enveloppée par d'autres mains autre que celle de celui-ci, elle envoie une décharge modérée par l'état de son possesseur, pouvant jusqu'à tuer l'adversaire si celui-ci la prends entre ses mains chétives. Cela peut être considéré comme une certaine preuve d’affection du sabre pour son porteur.

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  Sekishu Shikyo ( Main de la mort, passif) : Enveloppée par d'autres mains autre que celle de son porteur légitime, Tassaîga envoie une décharge modérée par l'état de son possesseur, pouvant jusqu'à gravement blesser l'adversaire si celui-ci la prends entre ses mains chétives. (Plus le possesseur est en bonne condition, plus la décharge est forte.)
  
  Hayay Ôni (Démon rapide) : L'utilisateur canalise la moitié de son énergie vitale pour se débarrasser d'un poids spirituel. La vitesse alors obtenue est époustouflante, mais si la lame est brisée, il meurt. Si elle est gravement touchée, il subit les mêmes dégâts en conséquence. Seul son entrainement permet de déterminer le temps qu'il peut tenir en combat sans rapidement se fatiguer, étant donné que sa vitalité se prends les chocs frontales.
  
  Kami No Sekiban (L'ardoise des cieux) : Cette seconde technique suit les mêmes principes et dont les mêmes risques se présentent, mais elle donne un second avantage en échange d'une légère baisse de vitesse, et d'un taux plus élevé en ce qui concerne le fait d'être touché (rien que le croisement de fer devient essoufflant), cet avantage réside dans le fait d'envoyer une rafale de vent acéré. Cette rafale touche directement l'ennemi une fois le manieur derrière un obstacle quelconque, comme si elle traversait cet obstacle en transparence.
  
  Shihasu (Lotus de sang) : Cette troisième technique suit les mêmes risques que les autres mais avec un principe différent et un risque de ce faire toucher accru. L'utilisateur ce dirige vers son ennemi puis brusquement accélère à quelque centimètre de l'ennemi, exécutant un pas en avant bref avant d'en faire un en arrière assez grand. Tout en libérant deux lames de vent suivant une direction lobé, pour atterrir dans le dos de l'ennemi forment huit entailles semblable à un lotus. Cette enchainement donne l'impression que le manieur du sabre ce retrouve derrière son adversaire, alors qu'il est toujours resté devant.

Validé.