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 PQ le bras de la Justice

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Paul Queens
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Paul Queens


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MessageSujet: PQ le bras de la Justice   PQ le bras de la Justice EmptyMar 31 Aoû 2010 - 0:17

- Présentation du joueur IRL -

Voir Dahmed

- Présentation du personnage -



• Nom & Prenom : Queens Paul, il préfère quand c’est dit dans l’autre sens. Paul Queens est tellement plus classe que Queens Paul.

• Surnom (facultatif) : Selon votre relation avec Paul Queens vous pourrez le désigner avec différent pseudonyme. Si vous êtes un ennemi outre les nombreuses insultes que vous connaissez vous pourrez l’appeler le bigleux ou encore Megane (le bigleux en japonais). Pour un admirateur les désignations les plus communes sont le justicier ou encore le bras de la justice. Pour les amis se sera tout simplement PQ.

• Age : 26 ans

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Marine

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Justicier

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Justicier

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : [Merci de regarder la liste des FDD/Armes disponibles avant de demander. Vous pouvez proposer un FDD ou une arme qui n'est pas dans la liste, mais faites-nous en une description détaillée] Le fruit des ciseaux si possible

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Un monde sans mal



◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]

De ses talonnettes noires jusqu'à l’ultime mèche blonde dressé en pic sur le haut de sa tête, Paul Queens mesure exactement 333 centimètres. Une taille qu’il juge parfaite puisqu’elle répète à trois reprises le chiffre trois synonyme de perfection. Il est cependant important de savoir que cette perfection est d’avantage l’œuvre d’un fanatisme sans entrave que d’un destin bienveillant. Et oui ce n’est pas par hasard mais bien par choix que Paul Queens mesure 333 centimètres au millimètre près. En réalité notre homme mesure 321 centimètres de la plante de ses pieds jusqu’au sommet de son crane, il gagne les 12 centimètre manquant grâce à un stratagème que vous avez surement déjà du percer à jour. Les talonnettes ! Procédé employé par de nombreux chef d’état à travers l’histoire afin d’atteindre la taille réglementaire pour être à la hauteur de leur fonction, les talonnettes de notre homme lui font gagner 9 centimètre ce qui lui permet de culminé à 3 mètre 30 avant passage devant la glace armé d’un peigne et d’un pot de gel fixant. Oui Paul Queens enfile ses bottes avant de se coiffer… Vous aurez donc compris que les ultime 3 centimètre manquant sont le fruit d’un montage capillaire. Une redoutable construction que le soldat répète jour après jour avec la précision d’un métronome. D’un coup de peigne il soulève une mèche de chaque coté de son visage qu’il enduit de gel fixant prenant soin de laisser échapper aucune mèche rebelle avant de plaquer la seconde moitié de ses mèche d’un geste ultra précis. Il forme ainsi un « M » au dessus de son front dont les sommets surplombe le haut de son crane de trois centimètre ! Pour réaliser une coupe aussi parfaite jour après jour Paul Queens n’hésite pas un instant à couper avec des ciseaux géant tout cheveu qui sortirai du rang : aucune rébellion n’est tolérable pour cet homme épris de la justice la plus pur qui soit et ce jusqu’au plus profond de son cuire chevelu ! Mais à peine avons-nous résolu le mystère enveloppant sa taille parfaite qu’une nouvelle question s’impose à nous. Une question des plus dérangeantes, le genre de question qui nous tiraille au point d’en perdre l’appétit, qui nous intrigue au point d’en perdre le sommeil, qui nous bloque au point de nous constiper. Cette question est bien entendu : Pourquoi un M ? Après tout il existe des milliards de coupe de cheveux pouvant être réalisé avec un peigne et du gel permettant de hisser au niveau supérieur notre cuir chevelu, alors pourquoi un M ? Maintenant que la question à été lâché nous nous devons d’y répondre pour vous éviter anorexie, insomnie et constipation. Eh bien figurez-vous que ce M à un sens bien particulier. Il s’agit de la première lettre du mot : « Méga-ultra-giga-super-justicier-de-la-mort-qui-tue-protégeant-la-veuve-et-l’orphelin-des-forces-du-mal-du-désordre-ennemi-absolu-de-l’ordre-publique-nécéssaire-à-la-paix-pour-la-prospérité-du-monde-et-exterminateur-par-exellence-des-méchants-villains-pas-beaux ! » Toute une philosophie et un mode de vie résumé dans une simple coupe de cheveux ! Chapeau l’artiste.

Bien que le simple fait de savoir que Paul Queens est un homme mesurant pile poile 333 centimètre et arborant fièrement un « M » blond au dessus de sa tête devrait vous suffire à le reconnaitre dans la rue nous allons poursuivre la description de notre marine pour vous parler de la chose la plus remarquable chez lui. Quelque chose de plus remarquable que sa taille ou sa coupe de cheveux ? Oui Monsieur ! Cette chose prend place entre ses deux mèches, sous son front dégagé et juste au dessus de son nez en équerre, masquant ses yeux vers émeraude, et prenant appui sur ses oreilles vierges de tout piercing. Avec tous ses indices vous devez avoir compris que la fameuse chose est… une paire de lunettes ! Mais pas n’importe quelle paire, la paire de lunettes qui a valu à Paul Queens son surnom de bigleux ! Cette paire est tellement importante qu’elle vient littéralement d’éclipser le reste du visage de Paul de cette description physique, d’ailleurs elle éclipse son visage de la même ma manière dans sa vie de tous les jours. On se souvient toujours de lui comme un grand type coiffé bizarrement avec des lunettes, impossible de retenir autre chose. On vous a assez fait languir comme ça, on va vous révéler le secret de ses lunettes. Tout d’abord leur forme, deux rectangles dont se dégage une sensation de perfection inégalable grâce à l’utilisation du nombre d’or dans leur élaboration. Ensuite la couleur, une monture d’un blanc éclatant que notre homme préserve grâce à une multitude de soin qu’il répète jour après jour. Ajoutons à cela la nature des vers : se sont les seules vers optique à garantir une protection contre les balles ! Les lunettes de PQ sont sans conteste les meilleures lunettes au monde. Elles n’ont qu’un défaut, elles glissent malheureusement sur le nez trop pentu du marine. Pour remédier à ce léger contre temps celui-ci les relève assez fréquemment en utilisant le doigt du milieu de sa main droite. Si vous êtes face à lui à ce moment n’y voyez rien de personnel^^

Il ne reste à présent plus qu’a aborder le style vestimentaire de votre nouveau marine préféré. Comme vous vous en doutez il ne se contente pas de porter un uniforme de soldat lambda, notre homme est un poil trop excentrique pour ça. Il préfère se draper de blanc à l’image d’un vrai héros de la tête au pied, enfin pas tout à fait puisque ses talonnettes son noire. Bien sur le blanc et le noir ne sont pas ordinaire, le blanc est éclatant et le noir luisant. Le blanc éclatant est obtenu grace à une super lessive de marque X qui lave blanc, plus blanc que blanc ce n’est pas top quand on y pense. Le noir luisant quant à lui est obtenu grâce à un super cirage de marque X lui aussi. Bref un super équipement pour obtenir une tenue digne d’un super héros de la justice. C’est à peu près tout ce qu’il y a savoir sur ses vêtements. On attaque donc sans plus attendre ses sous vêtements ! Rassurez vous PQ ne fait pas partie des justicier portant leur sous vêtements par dessus leurs vêtements, pourquoi en parler alors ? S’ils sont à leur place, sous les vetements, vous vous dites que vous ne les verrez jamais n’est pas ? Et bien c’est sans compter sur l’une des habitudes les plus chiantes de PQ, notre homme à la fâcheuse manie de se dévêtir en combat. Il agit de la sorte lorsqu’il se sent en difficulté, il s’agit d’une sorte de rituel lui permettant de se surpasser. Cette habitude trouve sa source dans le fait qu’un guerrier portant une armure pense inconsciemment à sa défense et ne peut concentrer toute ses forces dans l’attaque. Notre marine courageux applique méticuleusement cette théorie en baissant son pantalon et en élevant sa veste. Il ne conserve alors sur lui que sa chemise grande ouverte, son slip moulant noir et bien sur ses talonnettes ! 333 centimètre de playboy pour le plaisir de mesdames !

◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]

Si Paul Queens a reçu le surnom de justicier ce n’est pas pour rien. Nul homme n’a plus à cœur que lui de faire respecter l’ordre et pour ce faire il ne connait qu’un seul moyen : Aku Soku Zan. Ses trois mots peuvent être traduits par Crime Punition Expéditive ou encore par Eliminer le mal immédiatement. Cela constitue son idéal de justice. Autrement dit PQ n’a pas peur de se salir les mains et de faire couler le sang. Il juge lui-même ses ennemis et prononce automatiquement la sentence : la peine de mort. Il s’agit alors d’une exécution pur et simple, pas de torture ni d’humiliation, juste la mort. Oui si ce soldat haute la vie ce n’est pas pour son plaisir mais uniquement par amour de la justice, de l’ordre et de la paix. Bien sur peu de gens adhèrent a une justice aussi radicale, et en temps normal on aurait du lui reprocher son comportement en l’accusant de jouer avec la vie humaine, mais le fait qu’il pousse son raisonnement à son paroxysme et s’inclut dans son propre combat contre le mal tend à le rendre acceptable. En effet s’il considère que la vie des criminels peut être prise sans aucun scrupule, il pense également que les soldats de la marine doivent être prêts à renoncer à leur vie à tout instant. Le soldat est au service des populations civiles, son devoir et de se battre jusqu'à la mort pour eux. Il est normal qu’un marine se fasse tuer dans l’exercice de ses fonctions, il est donc stupide de parler de venger un frère d’arme. On peu tout au plus tacher de ne pas rendre sa mort inutile en exploitant des informations qu’il aurait obtenu au prix de sa vie… Autrement dit Paul Queens est un homme de conviction prêt à tuer et à mourir pour la bonne cause.

Sa version de la justice se résumant en trois mots, Aku Soku Zan, il est inutile de s’étendre sur le sujet. Il est en effet bien plus intéressant de se concentrer sur son caractère et ses gouts dont vous avez déjà eu un aperçu lors de la présentation de ses différentes manies.

Droit comme un I en ce qui concerne la morale PQ ne se permet aucun égarement. Il se préserve de toutes les substances pouvant altérer son jugement ou sa volonté, entendez par là drogue, cigarette, alcool, et même café ! Il se tient aussi à l’écart des femmes qu’il juge dangereuses pour le maintien de son caractère rigoureux. Eh oui notre Playboy exhibitionniste de plus de trois mètre est un grand timide. Ses joues se teintent de rouge dès lors qu’une femme entre dans son espace vitale, c'est-à-dire qu’elle se trouve à moins de trois mètre de lui, et si jamais elle lui adresse la parole de façon impromptue le rouge gagne alors tout son visage plongeant notre homme dans un hébétement profond que l’on pourrait qualifier de paralysie passagère. Comprenons nous bien, il s’agit ici d’une femme des plus ordinaire. La réaction de PQ est bien plus alarmante lorsque la femme en question est une « sexy dynamite » plus dévêtu que vêtu. La seule solution dont dispose notre marine dans ce genre de situation est de se reculer en redressant ses lunettes d’un mouvement de majeure caractéristique et en hurlant « C’est indécent ».

« C’est indécent » C’est à croire que Paul Queens n’a que ses mots là à la bouche. Il doit les prononcés au moins tous les quart d’heure, à chaque fois qu’il est confronté à un acte immoral ou emprunt d’immoralité. Les mensonges, les injures et les choses du sexe sont ce qui le scandalise le plus. Son ardente volonté de dénoncer les égarements des autres hommes est telle qu’ils prononcent même ses mots fétiches pendant son sommeil, à raison d’une fois toutes les deux heures… Il fait deux rêves capable de suscité son indignation par nuit, les autres rêves étant plein de chevaux blanc et de châteaux aux toits roses. Il faut avouer que notre homme à des gouts de fillette… Grand amateur de danse classique, portant lui même le tutu pour les grandes occasions, et fée du logis passé maitre dans l’art de manier le plumeau, notre homme pourrait sans doute devenir le mari idéal sans son blocage vis-à-vis des femmes. Compte tenue de la son blocage vis-à-vis des femmes, on lui à proposé de devenir Gay mais comme vous en douter il s’en offusquer à grand coup de « C’est indécent ». En fin de compte ce qui bloque véritablement PQ ce ne sont pas tant les femmes que la sexualité elle-même.


◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]

L’histoire de Paul Queens commence par une rencontre. La rencontre de deux être lié par le destin. La rencontre d’Adrien Queens et Margaret Rose. Ses deux personnes sont tombé follement amoureuses l’une de l’autre dès le premier regard qu’ils ont échangé. Un battement de cœur accéléré parcouru leur poitrine alors que dans leur esprit germa l’idée qu’ensemble il ferait les plus beaux enfants du monde. Pour être beau ils l’étaient l’un comme l’autre, Paul était grand beau et blond et Margaret était grande belle et blonde. Tout deux issu de riches familles bourgeoise, leur mariage devait permettre de propulser les Queens et les Rose à un niveau de richesse et de prospérité encore jamais atteint. Obtenir l’accord des parents ne fut alors qu’une formalité et la date fut rapidement fixé. Sentant l’attirance des jeunes gens croitre irrésistiblement les familles décidèrent de sceller leur union dès le mois prochain pour éviter tout scandale lié à la fougue des jeunes amoureux. Les futurs époux se prirent en main durant les trente jours afin de pouvoir se donner la main de la meilleure des façons quand le jour tant attendu arriverait. Tout allait donc se passer à merveille, du moins c’était ce que tout le monde croyait car s’était sans compter sur un événement inattendu.

Le jour du mariage, ce qui ne devait absolument pas arrivé un jour de mariage se produisit : les mariés se virent avant la cérémonie. Par le plus pur des hasards Paul se retrouva seul à seul avec Margaret, par inadvertance il pénétra dans les toilettes des femmes alors qu’il essuyait ses lunettes. Lorsqu’il les remit il pu voir Margaret plus belle que jamais dans sa robe d’un blanc éclatant. Ils ne purent résister au profond désir que suscita en eux cette rencontre inattendu et consommèrent leur passion. Ils s’aimèrent des heures durant oubliant qu’il se trouvait dans les toilettes, oubliant qu’il n’était pas encore marié, oubliant que la cérémonie n’attendait qu’eux pour débuter. Le mariage qui eut lieu juste après avait perdu tout caractère sacré. Paul était devenu un homme. Margaret une femme. Les amoureux des amants…

La nuit de noce qui suivi la grande mascarade qu’avait été le mariage de Paul et Margaret fut la plus décevante de toute. Le mari épuisé par sa vaillance d’avant mariage n’eu pas la force de prendre soin de son épouse. La mariée comblée par les jouissances d’avant mariage n’eu pas l’envie d’en demander d’avantage à son époux. A défaut d’accueillir des jeune gens vierges le lit de noce demeura aussi blanc que la robe de marié l’avait été. Le lendemain Paul d’eut partir en voyage d’affaire, maintenant qu’il était un homme il se devait d’apprendre tous les rouages du commerce pour la prospérité de son foyer. Margaret se résolu à l’attendre patiemment, les deux époux avait déjà expérimenté l’attente avant leur mariage, ils ne tardèrent cependant pas à comprendre que celle qui suivait le mariage était bien plus douloureuse que celle qui le précédait. Ils tinrent cependant bon, chacun prenant soin de lui pour l’autre… A son retour Paul apprit une nouvelle qui le repli de joie : Margaret attendait un enfant. Leur amour prénuptial allait donner naissance à un bébé. Un bébé conçu dans les toilettes de la salle des fêtes, mais qui s’en soucie ? Pour célébrer la bonne nouvelle les époux décidèrent d’inaugurer le lit conjugal.

Très vite ils oublièrent qu’ils étaient de futurs parents pour redevenir de simples amants. Ils le restèrent jusqu’à l’accouchement en dépit de la taille que prenait le ventre de Margaret. Le plaisir qu’elle ressentait semblait plus fort à mesure que son ventre gonflait, mais parallèlement au plaisir le remord grandissait en elle. La femme se sentait terriblement perverse et était écrasé par le poids du regret. Inconsciemment elle prit la décision de préserver coute que coute l’enfant à naitre de la spiral du plaisir et des vices. C’est la fois ou elle atteignit l’extase pour la dernière fois avant de donner la vie qu’elle prit la décision d’imposer une éducation des plus rigoureuses au fruit de ses entrailles.

Un bébé magnifique vint au monde, un bébé comme celui que les époux avaient désiré à l’instant même où ils étaient tombés amoureux. Ils décidèrent de l’appeler Paul, Paul Queens. Ce nom sonnait terriblement bien. Et allait résonner à travers le monde dans quelques années comme celui d’un justicier de la marine. Mais de nombreux événement allaient se déroulé entre temps. Pour la plus par d’entre eux ses événements seront tragique, car tout justicier qui se respecte à grandi avec l’ombre du malheur à ses cotés…

Le premier des malheurs qui frappa la famille Queens fut la mort tragique d’Adrien, le père de Paul. Il décéda alors que son fils n’avait que trois ans et était haut comme trois pommes. Il fut cueillit par la mort lors d’un malheureux accident, il essayait le nouveau model de lunettes mis au point par Queens Industrie : les lunettes par balles. Malheureusement il enfila par inadvertance les mauvaises lunettes lors de l’essai public : la balle brisa le verre avant de traverser son œil. La mort fut immédiate. Privé de son père dès son plus jeune âge, Paul fut élevé uniquement par sa mère qui avait décidé de faire de lui un homme juste et vierge de tout vice. Son éducation fut donc particulièrement rude. Mais persuadé que sa mère était aussi pure qu’elle voulait qu’il le soit, PQ consenti à tous les sacrifices et embrassa une morale des plus complète. Pendant que Paul faisait de son mieux pour pousser droit, Margaret sa mère se laissait secrètement aller aux vices et aux plaisirs. Elle recevait en secret des hommes d’origine douteuse dans ses appartements dans le plus grand des secrets…

Alors qu’il avait treize ans, Paul surpris sa mère en galante compagnie. Elle fondait de plaisir au coté d’un homme que son fils reconnu immédiatement bien qu’il ne l’ai jamais vu, il s’agissait d’un pirate dont la tête était primé à un million de Berry. « C’est indécent » Ce fut les mots que prononça l’adolescent avant de se jeter fou de rage sur le pirate qui avait les mains occupées. Il se mit à le frapper avec la lampe de chevet qui était la première chose qui lui passa sous la main, il frappait avec une colère qu’il ne se connaissait pas. Quelque chose s’était brisée en lui ce jour. Lorsque la lampe de chevet se cassa il continua à frapper à main nue jusqu’à ce qu’il fracasse totalement le crane de sa victime qui éclaboussa de son sang le corps de Margaret. La colère de Paul n’était pas encore éteinte, le mal n’avait pas encore été totalement exterminé. Sans une hésitation il étrangla sa mère, étouffant ses cris avec un coussin. Pour compléter son œuvre, le jeune homme mit le feu au manoir familial. Il quitta les lieux n’emportant avec lui que son nom et les lunettes par balle que son père avait laissés… L’incendie fut mis sur le dos du pirate retrouver mort et PQ intégra la marine pour assouvir son désir de faire justice. Il avait choisi sa voie et était prêt à tous les sacrifices pour son objectif ultime : un monde sans mal !

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Paul Queens
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MessageSujet: Re: PQ le bras de la Justice   PQ le bras de la Justice EmptyMer 8 Sep 2010 - 19:50

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Jaag Akanawa
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MessageSujet: Re: PQ le bras de la Justice   PQ le bras de la Justice EmptyMer 8 Sep 2010 - 20:40

Validé rang 3 avec le fruit des ciseaux Wink attends une seconde validation =)
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Kurogane Shinobu
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MessageSujet: Re: PQ le bras de la Justice   PQ le bras de la Justice EmptySam 11 Sep 2010 - 12:06

validé au grade de vice lieutenant.
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