Nombre de messages : 205 Fruit du Démon : Sumisu Sumisu No Mie
[Feuille de personnage] • Renommée: 465 • Wanted: 10.000.000 • Grade dans la Marine: /
Sujet: [Rang C]Les esclaves sous les confettis. Mer 15 Sep 2010 - 22:19
¤ Les esclaves sous les confettis ¤
Citation :
Objectif : - Sauver les esclaves. [10 au maximum]
Scénario : Difficile de trouver son chemin quand on ne sait pas où on est. Le navire dérive depuis maintenant plusieurs jours et les mers sont peuplés d'autres navires. Un jour ensoleillé alors que je me prélassais sur le pont, un bateau qui portait en son mat un étendard du gouvernement passait par ces eaux, ces malheureux ont croisés mon chemin et ils transportaient des esclaves...
Pouvoirs du PNJ : - 1 commandant dont l'arme provoque, a chacun de ses coups, un jet de confettis colorés qui viennent aveugler l'ennemi. - 30 soldats de la marine.
Ça fait du bien pouvoir se reposer un peu, faire bronzette au soleil, assit sur le pont du navire le dos posé sur un des murs qui composait la salle intérieure que je n'avais toujours visitée. De ce navire je ne connaissais que l'extérieur, ça ne faisait que peu de temps que je me trouvais ici après tout et en toute sincérité je n'avais pas dans l'idée de faire un tour du propriétaire et puis bon je verrais ça plus tard., rien ne presse, j'ai tout mon temps...
Le vent gonflait les voiles entrainant le navire sur les flots de la mer qui entourait la zone de l'East Blue, je ne m'y connaissais pas tellement en ce qui concerne la navigation et je n'y connais toujours rien d'ailleurs. Je ne compte pas la navigation ou la météorologie dans mes compétences, j'ai un cerveau pour inventer des objets et un physique pour combattre puis de là d'où je viens ce genre de capacités n'étaient pas enseignées si ce n'est par très peu de personnes vers autant de personnes voir moins. Enfin, pour en revenir à ma progression, je glandouillais sur le pont en train d'ajuster mon pseudo-casque toujours à proximité de ma lance au cas où les choses viendraient à changer. Tout en cherchant a quitter cet instant d'ennui intense, je me levais pour me tenir face à la vaste étendue d'eau calme et peuplé de monstre marins plus ou moins impressionnant selon les différentes rencontres. En profitant de ma position je regardais autour de moi dans l'espoir de trouver un objet intéressant ou une occupation si il y en avait une. Le plancher du navire semblait robuste tout comme le bois qui le compose, les mats étaient imposants et bien fixés avec deux poutres pour soutenir le mat principal vêtu de trois voiles dont une plus imposante que les autres. Il y avait plusieurs caisses au sol, toutes plaquées contre le mur qui composait la la bouche d'escalier qui menait vers les étages inférieurs, je dis « les », mais je ne sais pas combien il y en a, il se peut qu'il y en ait un seul comme plus. Le contenu de ces caisses semblait intéressant, l'une d'elle était ouverte. Par curiosité je me dirigeais en sa direction afin de voir ce qui était entreposé à l'intérieur de ce conteneur fait uniquement de morceaux de bois ainsi que des quelques clous. De plus près je pouvais distinguer un tas de métaux aussi diverses que variés, on y voyait de l'argent, du cuivre, de l'étain, un peu d'or, du titane du chrome et d'autres encore, je ne saurais dire la quantité totale et encore moins sa masse, mais j'allais m'amuser avec ça, je vais pouvoir créer de multiples objets et pourquoi pas renforcer ce navire afin d'en faire un navire de guerre.
??? : « Hé vous là-bas, montrez nous ce que vous avez sur votre bateau. »
Mon regard se tourna en direction de la voix qui venait de m'interpeller. Mes yeux découvrirent un homme vêtu d'un uniforme sans aucuns doutes celui d'un marine, son grade ? Je ne saurais le dire. Néanmoins je n'aimais pas présence, mais d'un côté je ne voulais pas causer plus de tord, c'est donc simplement que j'ai jeté l'ancre à l'eau. Par chance le vent s'était tue il y a maintenant plusieurs minutes, je ne savais pas comment ranger ces voiles et si le vent avait continué de souffler je vous dis pas comment je me serais senti mal. Cet homme sauta sur le pont de mon navire, oui mon navire. Une fois volé il m'appartient ça s'arrête là. Il inspecta le contenu de mes caisses et se tourna vers moi en me posant la question suivante :
??? : « Qu'est-ce qu'un homme, qui ressemble à un guerrier, fait sur un navire marchand ? Et seul qui plus est. »
Ma Chao : « Hé bien, il faut savoir défendre sa marchandise et on je ne fais confiance à personne si ce n'est à ma lance et en mes poings. »
??? : « Je vois, dans ce cas, veuillez venir sur notre navire, nous allons parler affaire. »
Une petite discussion, ou plus précisément un interrogatoire de courte durée. Je suivais mon interlocuteur et montait sur le pont de son navire, il était bien plus imposant que le miens et comportait plus d'hommes, vue comme ça je dirais qu'il y avait une vingtaine d'homme sur le pont surement encore à l'intérieur. L'homme aux cheveux noirs teintés de rouges demanda que l'on apporte un siège pour ma personne, poliment je tentais de le refuser mais il ne voulait rien entendre et j'ai donc pris place sur ce siège à contrecœur.. Les gardes, ou soldats avaient pris place autour de nous, pas tous, sept seulement. J'avais l'impression d'être une pièce de théâtre sur le bateau d'un mafioso. Il sortit de sa poche de manteau un parchemin, il semblait bien long pour un simple parchemin. Il en déplia un bout et me demanda :
??? : « Je me présente : Sacha Tirtoi commandant de la marine. Mais vous devez me connaître car nous avons répertorié votre navire dans notre liste des clients les plus fidèles. » Un léger sourire se forma sur mes lèvres. « Aujourd'hui nous avons plusieurs esclaves à vous proposez M.Canard. » C'est quoi ce nom ? Le capitaine de ce navire s'appelait donc M. Canard. Hé ben je le plains le pauvre, enfin. « Faites sortir les esclaves! »
Sur ses ordres ses soldats amenèrent les esclaves en question. Il y avait homme, femme, enfant, personnes de toutes âges et même certains de races inconnues par l'étranger que j'étais. Ces hommes et femmes semblaient avoir perdus tout esprits combattifs, ils semblaient déjà résignés a vivre. Ils étaient en rang comme lors d'un contrôle, sauf que là ils avaient les yeux baissés tournés vers leurs pieds nus et sales. Ils étaient vêtus que du strict minimum, j'éprouvais une pitié pour ces individus, je ne pouvais pas les laisser comme ça. C'est alors que je pris la décision de les acheter, tous autant qu'ils sont. Je demandais qu'on les transfert sur mon navire et je me dirigeais en leur compagnie pour apporter l'argent au capitaine de ce navire et chef de cette transaction. Bien sur je ne vais pas les acheter mes leurs rendre leurs libertés. C'était une feinte pour les mettre en sécurité pendant que je m'attaque à ces grossiers personnages. Il ne bronchait pas car je jouais sur nos années de transactions et ma fidélité dans ce domaine. J'utilisais juste les informations qu'ils m'avaient donnés. Sur le pont de mon navire je chuchotais a ce qui semblait être le plus puissants des esclaves :
Ma Chao : « Je vais vous libérer, ne faites pas de bêtise. » Puis me tournant vers le commandant qui se tenait debout sur le ponton qui liait nos deux navires : « Dites vous n'auriez pas la clé ? J'ai pour habitude de l'avoir avant de payer afin de vérifier que ce soit correct comme transaction. » , je ne pense pas qu'il est vu ma petite déclaration vers l'esclave au quel cas il aurait sans doutes réagis autrement.
Sacha : « Et moi de voir l'argent avant... »
Ma Chao : « Vous mettez en doute mon sérieux ? Dans ce cas je vous rend votre marchandise... »
Sacha : « Non, non, je vous crois tenez. »
Je me disais bien qu'il ne pouvait pas refuser, après tout je lui achète tant de sa marchandise, il devrait être riche après ça, toutefois si je le payais. Il me lança la clé que je testais de suite sur l'homme a qui je venais d'annoncer leur libération, je profitais de la situation pour glisser la clé dans sa main en lui donnant comme consigne de libérer les autres et de préparer le navire pour notre départ, et que pour l'instant il devait se faire passer pour prisonnié. Mais qu'il devait faire tout ça dans un silence et une discrétion absolue. Après quoi je me dirigeais vers le navire du gouvernement ma lance en mains. Tous furent étonnés de ma présentation, je me tenais face au pont improvisé bloquant l'accès à mon navire. Prenant une pose de combattant j'annonçais d'une voix assuré :
Ma Chao : « Tant que je respirerais personne ne sera détenue en esclavage, moi Ma Chao vaincrait quiconque tentera d'assouvir un être vivant. En garde ! »
Dernière édition par Ma Chao le Sam 18 Sep 2010 - 12:18, édité 1 fois
Ma Chao Espoir Révolutionnaire
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Sujet: Re: [Rang C]Les esclaves sous les confettis. Ven 17 Sep 2010 - 18:37
Commandant Sacha : « Je vois, vous m'avez dupé. A tous les soldats je veux la tête de cet homme! »
Le capitaine du navire lança l'offensive, prêt à contre attaquer je me plaças en position de riposte, la lance en avant un bras en arrière, je fixais les soldats qui approchaient de moi avec une rage proche de celle du dernier combat. L'un d'eux se lança en premier avec son sabre de moyenne facture, il semblait mal aiguisé et très peu entretenu, cependant c'était tout de même le genre d'arme qu'il ne fallait pas laisser approcher de trop près. Je déviais son attaque du bout de ma lance, pour ensuite le frapper avec le bout opposé de mon arme, je frappais son ventre puis de mon poing je l'envoyais contre le plancher. D'autres approchèrent et sans vraiment faire attention aux nombres je balançais une décharge de mon poing, le vent vint frapper ces hommes et les désarmais, les rendant ainsi vulnérable a chacune de mes attaques à moins qu'ils ne parviennent à esquiver, mais qu'importe, ils ne m'intéressaient pas. Je ne voulais pas les tuer mais juste permettre à mon navire de prendre une certaine distance et si cela s'avérait impossible, je me verrais forcer de clouer ce navire sur place. Mais avant de penser à ce qui se passera, il faut encore que je me débarrasse de ces énergumènes. C'était un entrainement super intéressant, sur Logue Town, je m'étais uniquement confronté au colonel là, je dois affronter le commandant ainsi que ses hommes, il fallait attaquer en supposant que telle ou telle personne riposte, ce qui était difficile c'était que ces personnes pouvaient ne pas attaquer et donc les hypothèses tombaient à l'eau. Enfin, passons, ils lançaient de nouvelles offensives me forçant à parer, contrer, esquiver quand l'occasion se présentaient, j'en blessais quelques uns tout en bloquant l'accès à mon bateau. J'étais le seul rempart entre les esclaves maintenant libérés et cette marine qui vend des êtres vivants pour se faire des sous, et j'étais prêt a donner ma vie pour les défendre, leurs vies ne valent pas plus que la mienne, mais elles ne valent pas moins non plus, nous sommes tous vivants, et nous allons tous mourir un jour, et d'ailleurs ces hommes cherchaient la mort je le crains. Depuis maintenant une dizaine de minutes nous combattions, je m'étais pris des coups, il ne fallait pas rêver, mais rien de bien sérieux. En revanche, certains d'entre eux n'avaient plus la motivation, ils ne voulaient plus combattre mais ils étaient forcés de le faire, leurs attaques étaient moins puissantes, ils avaient perdus la fougue qui les avaient poussés à l'assaut, je ne sentais plus la force de tout à l'heure. C'est pourquoi je leur demandais de fuir sans poser plus de résistance, le combat ne mènerait à rien s'ils n'avaient plus de rage de vaincre. Mais le commandant ne l'entendait pas de la même oreille...
Il lança l'attaque lui même en compagnie de quelques hommes, les plus valeureux sans aucuns doutes. Le commandant portait en sa main gauche une épée, elle semblait tout à fait commune jusqu'à ce qu'il porte une attaque que je contrais pourtant simplement. De son arme, plusieurs morceaux de papiers de couleurs différentes s'échappèrent ces morceaux de papiers me bloquaient la vue, je ne voyais rien si ce n'est un décor coloré. C'était des confettis vous savez comme ceux qu'on utilise lors d'une fête ou autre et bien là c'était pareil. Ses alliés en profitèrent pour me frapper, mais n'étant pas dupe j'avais anticipé le coup et dégageait la zone en donnant plusieurs coups de lances. Avec l'aide de mon gant j'aspirais l'air environnant pour ensuite la rejeter je changeais ce qui composait mon champ de vision pour laisser place au commandant, seul. Ses troupes étaient loin derrière lui en train de préparé les barques surement pour fuir, leur capitaine se rendit compte de cela et les menaça, il menaça de les tuer s'ils quittaient le navire. Je profitais de cette occasion pour tenter de frapper cet homme, ma lance frappa ses genoux le mettant à terre. Le moment était idéal pour lui donner un coup en pleine face ce que je ne me gênais pas de faire, pour accentuer les dégâts, j'utilisais l'air de mon gant pour le projeter contre le mat principal. Le calme commença à s'instaurer sur le bateau, je saisis cet instant pour jeter un oeil en direction de mon navire, il commençait à prendre de la distance, il fallait que je me dépêche, autrement je vais pas pouvoir le rejoindre. Afin de le rattraper j'avais décider d'aspirer de l'air dans mes deux gants pour ensuite me projeter dans les airs pour essayer de l'atteindre, ce n'était pas bien difficile d'autant plus que je pouvais recharger une fois là haut. Le commandant revint à la charge, mais cette fois ci je ne tentais pas de le bloquer, une simple esquive sur le côté pour lui donner un coup de genou dans l'estomac suffit pour que je le laisse ici au sol. Mais pas pour l'achever, il m'attrapa le pied et poussa au sol, pour ensuite me ruer de coups au visage, du sang s'évacuait de ma lèvre inférieur et de mon arcade, il frappait vraiment comme un bourrin. J'avais besoin de répondre à ses attaques, cependant pour trouver une solution ce n'était pas évident. Un de ces hommes vint le distraire lui annonçant que les canons étaient en chargement, il n'yavait plus une minute a perdre je lui assénais un coup de poing dans le ventre pour ensuite frapper son nez de mon front, il saignait et me tachait, je le dégageait de là grâce à mon pied le projeta contre le mat de son navire. J'avais mal partout, non seulement a cause de ses coups, mais aussi a cause de ses soldats, ils ne m'avaient pas fait de cadeau. Néanmoins, avant de partir je déchirais les voiles du navire pour éviter toute poursuite puis je quittais le pont pour rejoindre les anciens détenus maintenant libre de tout mouvement.
Tandis que je croyais la bataille finie, le navire portant l'étendard du gouvernement se mit à nous tirer dessus. Évidement nous et notre pauvre bateau marchand nous ne pouvions riposter à moins que je n'utilises l'air pour les renvoyer ou les dévier. Les boulets approchaient en nombres et moi je m'approchais seul, je frappais avec l'air contenu dans mes gants, renvoyant les boulets vers la mer, les sphères noires explosaient sur le chemin du retour, on avait le droit à une bataille navale grandeur nature, encore heureux autrement y'aurait de quoi s'interroger sur la véracité des fais. Au fil de la bataille nous prenions de la distance au point de nous rendre hors de portée des canons de la marine, nous étions enfin tranquille et dans un cri de joie et de soulagement des larmes coulèrent des yeux des anciens esclaves, ils étaient libres et moi j'étais heureux de les avoirs aidés. Le bateau avait prit des dommages et quelques, maintenant, civils également. De mon coté j'avais prit un coup sur mon bras gauche, le boulet avait explosé très près de moi. De ce combat je ne suis pas sorti indemne.