Présentation de Docteur Mort [End] To the death and far away !

Dernière édition par Hakase Shi le Jeu 4 Nov 2010 - 18:09, édité 3 fois

Présentation du Joueur

So so, je m’excuse si je devais absolument respecter le modèle de présentation, mais enfaîte, je n’en avais pas fort en vie, je suis un petit rebelle comme ça ! Je m’appelle donc David, j’ai 17 ans, je suis un homme, j’aime les femmes :study :. Enfin, je fais partie de la société de base en simple pour tout ça ! Pour ce qui est du forum, je l’ai connu via un top-site je pense, enfin, je ne suis pas certain ! En ce qui concerne mes connections, c’est fort variable, donc je ne saurais que peu vous renseignez sur ce point mais je me connecte tous les jours sauf en période de vacances où il arrive que je sois en déplacement ou autre. Alors j’aime énormément Naruto, One Piece, Bleach, Fairy Tail, Darker Than Black, Karas, Reborn, Soul Eater, enfin, je les aime a peu près tous et d’autres que je ne pourrais qu’énoncer à des yeux avertis O_O ! Mon personnage préféré dans One Piece est incontestablement … Aucun, je les aime bien tous mais je n’ai pas d’attachement précis pour un quelconque. Ce qui m’a motivé est surtout la communauté assez vaste et qui semble très active, c’est un atout que je n’ai plus connu depuis longtemps et les règles qui semblent claires, complètes et simples à utiliser ! Alors je crois que ça doit faire quelques années maintenant que je fais du RP, j’ai commencé relativement tôt mais je ne saurais plus dire quand précisément. Alors hors de l’école, je fais de l’aviron, du vélo, du judo et ce en relativement grandes quantités !

Dénomination

Cet Auguste Ostrogothe a pris le nom d’Hakase Shi, dont la traduction n’est autre que Docteur Mort. Il ne possède pour l’instant aucun surnom établi.

Âge

Il est âgé de 31 ans.

Race

Humain en plein déboire.

Camp

Ancien chercheur du gouvernement mondial.

Orientation

Neutre

Métier

Scientifique

Pouvoir

Yami Yami no Mie

Nindô

Atteindre son morbide but : parvenir à donner vie à l’un de ses pantins de chair, percer le secret de la vie pour ne plus être atteint par la mort.

Code


	« Ne te pique donc pas d’errer en la même démence que la mienne. » Physionomie l’Augustéen Bellâtre . Toison d’Ebène trônant sur un visage blanchâtre. Tout son être semble représenter cette funeste noirceur qui compose son physique. En effet, depuis sa chevelure mi-longue, jusqu’à son habit n’est composé que du masque de la Sorgue. Sculpture d’argile, son visage manque d’expressivité, restant d’une incroyable froideur, nul sentiment ne peut transparaître sur pareil modèle. Ce Vénal Démiurge aux traits d’une finesse gracieuse est dénué de l’Eclat Coruscant pouvant embraser la magnificence d’un pareil faciès. En effet, ses yeux semblent vides, noirs, illustre représentation de ses mœurs marmoréennes. Ses lippes aux plis continuellement maussades n’ajoutent en rien à l’allure de ce Sinistre Palladium. Rien en lui représente cette étrange sympathie, un quelconque bien être, nul ne l’a vu accordé son sourire à la moindre femme, il est d’une beauté glaciale. Nonobstant ce regard froid, on ne peut dénoter qu’une certaine touche bleutée, semblant démontrer qu’il n’est pas encore totalement avili par l’opacité de ses desseins. Cette façon de redresser son menton d’un air hautain, ses commissures pointant toujours avec dégoût et son regard dardant son interlocuteur ne prêtent que peu à le trouver avenant. Dantesque Spadassin n’ayant que trop longtemps traîné dans cette obscurité qu’il encense. Cet air infatué donné par son visage écœuré par l’existence d’autrui majore son physique de bellâtre. Représentation même de l’ectoplasme via cette peau blafarde et cette apparence sans la moindre substance. Ce corps à l’allure ténue, filiforme. Dénué d’une carrure pouvant faire de lui un Soudard Considéré, il tient pourtant ces Dantesques Personnes de part cette agilité et cette légèreté dans le pas qui lui semble caractéristique. Le Spectre qu’il est, englué dans cette Antique Caban désuète. Il erre sur les mers, semblant être sans vie, représentation ésotérique d’un humain, allégorie même de l’utopie, il semble si présent et à la fois si absent. C’était comme si le monde pouvait faire sans lui, mais qu’il avait toujours l’art pour attirer celui-ci à lui. Certains êtres peuvent sembler asséchés par une vie au grand air, à se battre continuellement, mais cet Illustre Malandrin est comparable à un être dont la moindre ingestion d’un aliment de cette terre ne peut se faire que par nécessité, avec force de dégoût. Il est consumé, mais pourtant si vif. Il n’est pas cadavérique, mais il n’a guère plus de marge avant de l’être. Semblant être un jeune enfant en manque de nourriture et commençant seulement à se muscler, on peut noter sur cette musculature fluette une quantité de sceaux assez conséquente. Si son visage semble avoir été épargné, c’est pour le bien du Secret. Nul ne doit voir sa main, avant qu’il n’ait exactement évalué ce que possède ses adversaires, afin qu’il ne puisse que bluffer, tromper cauteleusement ceux qui pensent pouvoir jouer au même niveau que le sien. Car après tout, la vie n’est qu’une longue partie de Poker où l’intérêt est de ne jouer lorsque l’on possède la Quinte Royale. Psychologie La Démence Marmoréenne . Noirceur physiologique autant que psychologique, cet Esotérique Démiurge ne semble que se complaire entre les décadents bras de la Sorgue. On ne peut lui nier le pêché de la luxure autant que de la paresse, cet Altier Quidam se perdant en de nébuleuses activités auprès de chimères bien plus noires que sa propre âme. Cet Hérétique Anachorète se piquant de vivre au-dessus de la société de part cette Quête du Parfait qui le tourmente depuis son jeune âge. Mais on ne peut se gausser de cette utopie, car on ne connaît que peu les véritables capacités de ce Sombre Palladium qui semble toujours avoir des cartes dans sa main. Cet Hérésiarque, poison latent au sein même du Gouvernement ne semble pourtant n’avoir aucun fiel pour ceux de son sang, mais les racines du mal dans lequel il tente de se fondre étant si profonde que l’on ne peut réellement en saisir les objectifs. Il est sournois, malveillant, trompeur, être chafouin dont il faut se méfier en toute occasion et dès l’instant où l’on pense qu’il ne vous a jamais remarqué. Allégorie du Malin, il se joue de ses adversaires avec tant de désinvolture que l’on ne peut douter d’une vaste manigance dont ses antagonistes ne sont que de simples pions et où le monde est le Roi. Car là est son unique objectif, tel un pèlerin, depuis son plus jeune âge et avec une patience particulière, il s’est élancé dans la conquête du titre de Créateur. Le Divin et ses tours du Destin ne semblant qu’avoir peu d’influences sur Hakase qui rebondit sur chacun d’eux, laissant l’impression qu’il est toujours avantagé par les multiples embûches que l’on tente de placer sur son chemin. Il est malveillant, mais nul n’ose réellement l’assassiner au sein de ce clan, car il n’a pas encore démontré sa nature de vipère, de transfuge. On ne sait réellement combien de visages il peut posséder, mais son jeu d’acteur ne semble avoir aucune limite, cette attitude hautaine, à la limite de l’impériale n’est jamais qu’un masque qu’il s’impose pour faire fuir les plus marri. Seuls ceux qui osent l’accoster sont aptes à déterminer une partie de sa nature, mais tout n’est qu’illusion. Car jamais, il ne montrera sa Primitive Nature qu’à ses antagonistes les plus puissants, faisant tomber les masques pour mettre à jour sa démence. Son aliénation pouvant prendre appui sur son intellect ainsi que sur cette volonté sans limite, le poussant jusqu’à anéantir son corps pour un objectif, jusqu’à mourir d’inanition et de déshydratation pour la réussite d’un sceau. Et il ne se gène en aucun cas de le dire : il est apte à posséder tout ce qu’il désire. Surmontant cette paresse intellectuelle pour l’obtenir et ce dans les plus brefs délais. On peut en certain cas le comparer à un jeune roitelet ne faisant que s’étendre en multiples doléances, mais ce n’est à nouveau qu’une image, bien fausse, pouvant être inquiétante. Après tout …Les défenseurs du bien n’ont jamais imaginés que des ténèbres peu opaques.

Dernière édition par Hakase Shi le Jeu 4 Nov 2010 - 16:31, édité 5 fois


	« Je suis un Démiurge ricanant et voici mes Éphémérides.» Quelle est l’importance de mon lieu de naissance ? Quelle est l’importance du métier de mes parents ? Qu’ils aient été de Grands Penseurs, de Vulgaires Pêcheurs, cela ne serait que des lignes dénuées de sens hormis pour les curieux crasses se gorgeant de pareils détails. Car il faut bien se douter que ce n’est pas dans ce passé familial que l’on trouvera les gênes de ma Dégénérescence, je suis né comme je suis, j’ai créé mon propre Nindô, je me suis forgé ma propre volonté. En cela nous ne pouvons accuser l’éducation que m’a fournie ma génitrice, j’étais bien trop différent d’eux, je suis de leur sang, mais mon esprit a suivis d’autres pensées, d’autres chemins. Je suis juste une anomalie. Et c’est sans doute pour cela que le gouvernement m’a repéré car j’étais un être on ne peut plus spécial, se démarquant de tout dogme, car j’étais un être de petites vertus, facilement contrôlable tant que j’avais ce que je souhaitais. Mes exigences à cette époque ne dépassait guère plus que la volonté de connaître, de diagnostiquer, de soigner et surtout … je dois bien le dire, qu’au sommet de mon hérésie, je voulais créer la vie, je voulais détourner ce pouvoir, me l’approprier en le retirant telle une sucette de la bouche de Dieu. Car là était ma volonté en tant que Créateur : dépasser cette entité cosmique à laquelle chaque humain souhaite s’attacher. ~ « La Folie me guette de son ricanement, et je l’appelle du plus profond des ténèbres. »~ ~\|Car il semblerait que tout un chacun ait mal interprété mes objectifs\|~ Je ne peux qu’avouer qu’en ce jour, j’ai commis plus d’une erreur, mais après tout, je n’étais pas encore en ces temps forts reculés de ma mémoire l’être que je suis maintenant, je ne me piquais guère d’être un démiurge et encore moins le Créateur. Pourtant, déjà là, le gouvernement pouvait s’enorgueillir de mes capacités et surtout de mon manque de scrupules, car je faisais sans doute partie de la division scientifique la plus noire, la plus sale du gouvernement. On pouvait dire que mes penchants pour l’alcool et la luxure m’avait toujours fort soutenu dans mes œuvres, mais à quoi bon me trouver des excuses ? Je n’aime guère me rappeler cette nuit où je n’avais rien, sinon un don pour le scalpel et l’analyse du corps humain. Je n’étais que faiblesse, je ne m’étais point encore immergé dans les ténèbres comme je le suis à présent. Un toussotement me fait glisser mon scalpel, une gerbe de sang ainsi que l’odeur putride de décomposition émane hors de ce corps que je suis occupé depuis une semaine à analyser, pour en comprendre son fonctionnement. Mon regard se lève, les narines retroussées tandis que mes yeux rougis par la fatigue, les veines striant ceux-ci assombrissant mon aura, mon air méphistophélique était sans doute la raison du sursaut de l’intrus ayant perpétré un pareil viol, il venait de pénétrer dans mon laboratoire, sans gène, sans même me prévenir, cela faisait une semaine que je ne l’avais plus quitté, que je n’avais parlé à personne. Dans ma démence, je m’étais tout de même souvenu qu’il fallait que je m’alimente pour garder une base sûre de performance. – Hum ? Mon grognement interrogatif parut remettre les idées au clair de cet agent gouvernemental qui regardait d’un air effaré mon laboratoire où rôdait l’odeur de la mort et de la torture, car en effet. Une chose que je n’avais sans doute jamais pris la peine de transcrire dans mes rapports : il m’arrivait plus d’une fois de pratiquer des expériences sur des corps vivants, cela ne m’avait jamais paru réellement utile étant donné la qualité de prisonnier condamné à mort de mes cobayes. – Le conseil autorise-t-il réellement ce genre d’expériences ? Sa voix était tremblante, pourtant, je n’avais nullement une attitude menaçante, avec ma robe de à l’origine blanche et teintée de sang présentement séché, mon visage émacié par la fatigue et l’utilisation abusive de caféine. Mais, il tremblait, comme s’il venait d’entrer dans l’antre du pire fauve que l’on pouvait imaginer, je ne pensais pourtant pas avoir à cette époque l’aspect d’un Roi des Mers, mais de tout évidence, ce n’était que son self contrôle surdéveloppé qui l’empêchait de prendre la porte rapidement. – Est-ce vraiment à un inculte de s’interroger sur mes activités ? Mon ton était hautain, cela fut une grave erreur. Car cela avait agis comme un déclique chez mon interlocuteur, sans doute aurait-il eu peur si j’avais été d’une grave froideur, mais je venais de faire montre d’un comportement trop humain que pour l’inquiéter encore plus qu’à présent. Je venais de lui prouver qu’au final, je n’étais qu’un scientifique sur la pente de la dégénérescence, le Taihai. « Je suis envoyé par le Conseil, si cela ne te suffit pas Hakase Shi, je ne pourrais que faire un rapport négatif sur ton compte …Ou même pire. » Il venait de reprendre tout son sérieux, sa main se glissant lentement vers l’étui encerclant son pistolet. Je le regardais, mes yeux ayant une expression assez vitreuse tandis que mon bras accomplissait un geste que je devrais regretter tout au long de ma vie. Le scalpel prit la direction de cette main, transperçant les tendons de son poignet, le lancé avait été bien trop précis et trop vif, alors qu’il semblait si mal en point de part son manque de sommeil. Ma seconde main prenait déjà un sédatif dans mon étalage de médications diverses, me propulsant pour appuyer de tout mon poids sur le corps de mon adversaire, je me précipitais un peu trop dans ma tâche, la seringue déchirant une partie de la peau de mon adversaire avant de s’enfoncer réellement et de libérer son produit. « Il semblerait en effet que je doive faire pire … N’est-ce pas cher envoyé ? » Je venais de me mettre dans une mauvaise posture, mais je n’en avais réellement que faire, après tout, le Conseil commençait à venir un peu trop souvent fouiller dans mes affaires, et je ne souhaitais pas qu’ils prennent conscience de mes véritables objectifs. Me pensaient-ils déjà dangereux ? Non, j’en doute, je ne possédais encore aucun pouvoir m’étant propre, je n’avais que cette démence décadente, que ce penchant pour divers stupéfiants et les moyens du gouvernement pour accomplir mes plans. Sauf que j’aurais du me douter que la voie de la facilité ne me serait pas ouverte, surtout pour un si morbide objectif, le Gouvernement ne pouvait guère se permettre un scandale de ce genre, encore plus à cette époque. Mon regard commençait à s’attarder en direction de la bonbonne de gaz me permettant d’endormir d’un sommeil artificiel mes patients les plus coriaces, je n’avais d’autre choix que de mettre le feu à mon laboratoire et de fuir, de quitter ce gouvernement qui m’était dorénavant inutile. ~\|Et de m’enfoncer dans les plus profondes ténèbres.\|~